Le numéro un français de la brique en terre cuite, Bouyer-Leroux, a annoncé ce jeudi 19 octobre l’abandon de son projet de carrières d’argile et de briqueterie en pays de Bray.
L’industriel a pourtant déjà investi 100 000 € pour quelque 350 sondages souterrains, 220 000 € en études en tout genre, et pas moins de 1, 1 M€ pour des acquisitions foncières sur 115 ha, soit en propre, soit par le biais de préfinancements à la Safer.
« Le besoin de faire n’apparaît plus comme évident », justifie Roland Besnard, le Pdg de l’entreprise dont le siège social est dans le Maine-et-Loire. Habituée à évoluer dans un marché erratique, celui de la construction, Bouyer-Leroux estime aujourd’hui que les besoins en maisons individuelles dans les prochaines décennies ne justifient pas d’investir 35 à 40 M€ dans ce projet.
Source Paris Normandie
L’industriel a pourtant déjà investi 100 000 € pour quelque 350 sondages souterrains, 220 000 € en études en tout genre, et pas moins de 1, 1 M€ pour des acquisitions foncières sur 115 ha, soit en propre, soit par le biais de préfinancements à la Safer.
« Le besoin de faire n’apparaît plus comme évident », justifie Roland Besnard, le Pdg de l’entreprise dont le siège social est dans le Maine-et-Loire. Habituée à évoluer dans un marché erratique, celui de la construction, Bouyer-Leroux estime aujourd’hui que les besoins en maisons individuelles dans les prochaines décennies ne justifient pas d’investir 35 à 40 M€ dans ce projet.
Source Paris Normandie
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