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27/05/2016

ALGERIE- Fabrication de matériaux de construction: Une trentaine d’usines chinoises en Algérie

Après la réalisation des grands projets dans les domaines du BTPH, les sociétés chinoises ont décidément passé la vitesse supérieure en implantant, en partenariat avec des Algériens, des usines de fabrication de matériaux de construction.
«Depuis le lancement d'opérations de partenariat avec des Algériens, une trentaine de sociétés chinoises ont investi le domaine de la fabrication de matériaux de construction, et ce, en réponse à l'appel du gouvernement qui a souhaité réduire la facture des importations des intrants dans les domaines du BTPH», a révélé hier à Alger la responsable du pavillon Chine au salon Batimatec, Zhang Lei, lors d'un point de presse organisé à l'occasion dudit salon, inauguré officiellement la veille.
Selon la responsable chinoise, les sociétés en question, installées principalement à Alger, Oran et Skikda activent dans la fabrication d'aluminium, de PVC et de la métallurgie. S'exprimant sur le climat des affaires en Algérie et la présence chinoise dans le pays, la responsable demande à ce qu'il y ait plus de facilitations pour permettre aux entreprises de son pays de fournir plus d'efforts en investissant dans la construction de logements.
Déjà leaders en la matière, les Chinois s'intéressent de plus en plus au marché algérien du BTPH et ne ratent aucune occasion pour présenter leurs offres pour bâtir des cités, des barrages, des routes ou encore des mosquées.
Dans leur concurrence avec d'autres sociétés, notamment européennes, les sociétés chinoises ont eu souvent le dernier mot.
Les relations qu'on dit «dégradées» entre Alger et Paris profiteront davantage à Pékin qui, outre son offre concurrentielle, dispose d'atouts politiques pour remporter des marchés dans le domaine de la construction de logements, toutes formules confondues, qui lui ne connaît décidément pas de crise.
Pour preuve, le nombre de participants chinois au salon du bâtiment et matériaux de construction d'Alger est passé de 30 en 2008 à 300 participants lors de cette 19e édition, dont 130 entreprises spécialisées dans la fabrication de matériaux.
Ceci dit, les Chinois peuvent encore mieux faire, notamment en ce qui concerne la fabrication de maisons usinées, un procédé qui permettra, à coup sûr, l'accélération de la cadence de réalisation des programmes gouvernementaux de logement.
La veille, le ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville, Abdelmadjid Tebboune, a fièrement indiqué que 85 à 95% des matériaux de construction utilisés en Algérie sont fabriqués localement.
Les opérateurs locaux préfèrent importer
Dans ce domaine ou dans d'autres, il faudrait que les opérateurs locaux s'impliquent et soient demandeurs de partenariat. Chose qui ne se fait pas pour le moment, a confié un exposant chinois qui a révélé que «plusieurs opérateurs algériens nous ont approchés pour importer nos produits et rares sont ceux qui se disent intéressés par des opérations de partenariat».
Ainsi, le gain facile et rapide semble largement l'emporter sur les valeurs de l'effort, de l'investissement et de la création de la richesse et d'emploi. La 19e édition du Salon international du bâtiment et des matériaux de construction se tient du 3 au 7 mai au Palais des expositions des Pins maritimes à Alger.
Elle a été inaugurée avant-hier par le ministre de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville, Abdelmadjid Tebboune. Plus d'un millier d'exposants, dont la moitié des sociétés étrangères en provenance de plus de 25 pays, prennent part à ce rendez-vous. Selon de nombreux exposants, les secteurs de l'habitat et des travaux publics ne connaissent pas de crise mais plutôt un boom sans précédent.

Source Le Temps d'Algérie

26/05/2016

La fête de l’argile "De Briques et de Pots" les 18 et 19 juin 2016 à la Briqueterie Dewulf

Cette biennale est l’événement phare de notre association. Elle se déroule depuis 16 ans au sein de la briqueterie Dewulf (à Allonne près de Beauvais) autour d’une thématique chaque fois nouvelle.
A cette occasion, la briqueterie ouvre exceptionnellement ses portes au public avec la possibilité d’une visite guidée : les étapes de la fabrication des produits – briques, tomettes, les secrets du four tunnel de type Hoffman - vont seront dévoilés...
C’est l’occasion idéale de découvrir le patrimoine bien vivant de la céramique !
Une quarantaine de céramistes professionnels venant des quatre coins de la France et d’Europe s’installent dans l’enceinte de la fabrique pour présenter et vendre leurs créations contemporaines.
En 2008 deux potières maliennes sont intervenues en cuisant en présence du public une production traditionnelle de 15 jours.
En 2010 2012 et 2014 les membres de l’association ont construit spécialement pour l’occasion des fours à bois et ont cuit leurs créations en présence du public.
Et cette année ...
Les potiers de l’Oise ne se contentent pas, encore une fois, d’exposer leurs dernières créations, ils tournent également sur place des objets afin de faire partager leur passion. Un atelier de modelage accueillera aussi les plus jeunes pour leur faire découvrir le plaisir de modeler l’argile.
Les visiteurs pourrons émailler et assister à la cuisson de bols grâce à une technique spectaculaire : le Raku. Ils repartent avec des pièces uniques, en ayant contribué à leur création.
Cette manifestation accueille environ 5000 amateurs de céramique sur deux jours !!
Pour tout renseignement supplémentaire, nous sommes à votre disposition : 06 11 98 41 80
En pratique :

  • Briqueterie Dewulf, 5 Ancienne Route de Paris, 60000 Allonne
  • Accès : BEAUVAIS sud RN 1 direction Paris ; A16 : de Paris sortie 14 Beauvais Centre, d’Amiens sortie 15 Beauvais Nord
  • Un euro par famille en échange d’une brique commémorative.
  • Ouvert le Samedi 18 juin de 14 h à 19 h et le Dimanche 19 juin de 10 h à 18h.
  • Buvette et restauration sur place.
  • contact : Contacts : Patrice Deschamps : 06 11 98 41 80 ou Anne-Marie Hubert:06 43 08 91 44
  • http://www.potier-ceramiste-oise.com

Source ACYOM.COM par Hubert Anne-Marie (Sculpteur)

25/05/2016

Des distinctions chez Terréal à Chagny

Mardi 10 Mai des médailles du travail ont été remises au sein du groupe Terréal. Au cours de cette cérémonie, 21 médailles ont été accrochées par Jean-Sébastien Besset, directeur d’usines des sites de Chagny.
Médailles grand or pour 40 ans d’activité : Jean-François Maillot, Bernard Pillon, Jean Louis Bailly, Jean Luc Pasquier, Jean Louis Paris et Philippe Bert.
Médailles d’or pour 35 ans de travail : José Rocha, Antonio Télés, André Freby, Michel Boulay, Pierre Ferraux, Daniel Peteuil, Patrick Delhomme, Régis Dulion, Jean Marc Remondin et Georges Sauvageot.
Philippe Chauvelot reçoit la médaille de vermeil pour 30 ans de travail et de leur côté, Lionel Maréchal, Jean Oliveira, Ludovic Richard et Bruno Saconnet celle d’argent pour leurs 25 ans d’activité.

Source Le Journal de Saône et Loire

24/05/2016

Imerys Toiture mise dans le solaire

Imerys Toiture, spécialisée dans la tuile terre cuite, a annoncé l'acquisition de l'activité héliothermique (marque commerciale Ecoscience) du Groupe SAG (42) ainsi qu'une prise de capital majoritaire dans la société Luxol (73), spécialiste de la fabrication de tuiles photovoltaïques. "Grâce à ces nouvelles acquisitions, nous confortons notre ancrage national et confirmons nos engagements auprès des professionnels du bâtiment grâce à une offre complète de produits, répondant aux exigences du marché actuel", développe Pierre Jonnard, président d'Imerys TC.
L'entreprise étoffe ainsi ses actuelles gammes photovoltaïques et thermiques (tuiles photovoltaïques et kit de stockage pour l'autoconsommation). Elle assure permettre "à ses clients d'obtenir une meilleure performance énergétique des pompes à chaleur grâce à un système couplé avec des capteurs solaires, permettant la récupération de la chaleur par convection". La prise de participation majoritaire dans la société Luxol a été possible grâce à un partenariat avec les sociétés Silla (maçonnerie) et Sun'alp, spécialisée dans le photovoltaïque (filiale du groupe Soreo).
Source Actu-Environnement par Dorothée Laperche, journaliste

23/05/2016

La fédération des tuiles et briques publie un dépliant pour le chargement en sécurité

L’organisation professionnelle représentant les industries de la tuile et des briques a publié un memento pour rappeler aux professionnels du secteur les conditions de chargement de palettes en sécurité.
Plus de 4 millions de palettes sont chargées chaque année sur les quelques 130 sites de production et plates-formes logistiques de la filière terre cuite. © Phovoir - Plus de 4 millions de palettes sont chargées chaque année sur les quelques 130 sites de production et plates-formes logistiques de la filière terre cuite.
La Fédération française des tuiles et briques (FFTB) vient de publier un dépliant intitulé les «7 règles d’or du chargement en toute sécurité». «Plus de 4 millions de palettes sont chargées chaque année sur les quelques 130 sites de production et plates-formes logistiques de la filière terre cuite, rappelle François Ducasse, président de la commission sociale de la FFTB, dans un communiqué. La sécurité des opérateurs impliqués dans ces activités nous préoccupe au premier plan. »
Ce dépliant balaie plusieurs problématiques de sécurité des salariés : équipements de protection individuelle, protocole de sécurité, moyens et contrôle de l’arrimage, règles de circulation et de stationnement sur les aires de chargement.
Source LE MONITEUR.FR

22/05/2016

FIMEC TECHNOLOGIES/ BRANIS – Un succès confirmé :

FIMEC Technologies développe depuis plus de 40 ans des solutions innovantes pour la terre cuite.

Terre cuite : des solutions pour les nouvelles installations et pour la rénovation de lignes
dépileur Branis : Un succès confirmé !
Depuis son entrée en production en 2014, le site Branis de Biskra, plus grosse briqueterie en Algérie, illustre avec succès l’apport des dernières innovations dans le domaine de la production de briques en terre cuite.
Pour la construction de ces deux nouveaux sites à Biskra et à Sidi Bel Abbes, la famille Hoggui a retenu à nouveau les solutions développées par FIMEC Technologies pour le premier site de Branis.
L’entreprise, qui investit beaucoup en R&D, fait la différence par son approche innovante basée sur une expérience multi-marché. En se positionnant avec succès sur différents marchés (industrie automobile, matériaux de construction, logistique…) pour renforcer son activité elle a en effet démontré sa capacité d’adaptation et sa créativité en exploitant les meilleures idées et proposer des solutions dédiées à la terre cuite :

  • lignes de manutention de produits verts ou secs (coupeurs, chargeurs, empileurs, dépileurs),
  • séchoirs aux mécanismes innovants (séchoir rapide ANJOU® APO à pas optimisé),
  • manutention wagon,
  • palettiseurs et paquettiseurs,
  • nettoyeurs de wagon robotisés,
  • roues de wagons en acier forgé trempé,
  • portes de four.

En plus des nouvelles installations de ligne de manutentions et d’équipements livrés clés en main, FIMEC Technologies propose une offre dédiée à la rénovation de sites de productions :

  • Manutention wagon
  • Modification séchoir (tension de chaine automatique, étanchéité séchoir)
  • Augmentation capacité séchoir
  • Augmentation de cadence par robotisation (pré-empilage, empilage).


21/05/2016

Un LBO en fraude aux droits des salariés

L'arrêt rendu par la Cour d'appel de Versailles le 2 février 2016, dans l'affaire Wolters Kluwer, éditeur juridique en particulier en droit du travail, a le mérite de sanctionner une opération de LBO faite en fraude des droits des salariés en la considérant comme inopposable à ces derniers, notamment en matière de participation.
Le 30 juin 2007, le groupe hollandais Wolters Kluwer entreprend sa réorganisation : quatre sociétés LAMY, GROUPE LIAISON, WKA et WKB ainsi que l'intégralité de leurs filiales font l'objet d'un LBO. La société Wolters Kluwer France (WKF) devient l'actionnaire unique de toutes ces sociétés, puis procède à une dissolution-confusion des quatre sociétés.
La réorganisation d’un groupe de sociétés nécessite la consultation du comité d’entreprise des sociétés concernées. Si les institutions représentatives du personnel avaient donné un avis favorable à cette opération, l’emprunt contracté en juillet 2007 d’une durée de 15 ans de 445 millions d'euros par WKF à sa mère, la Holding Wolters Kluwer France, leur avait été dissimulé, d’autant que la société WKF n’avait pas de comité d’entreprise à cette date et qui a été constitué seulement en septembre 2007. En outre, à cette première irrégularité s’est ajoutée l’absence de communication audit comité d’entreprise de la documentation économique et financière prévue par la loi, pour les années 2007 et 2008.
Le comité d'entreprise de WKF assigne les sociétés mère et fille aux fins de comprendre la raison pour laquelle les salariés ne recevaient plus leur participation depuis 2007. La question était ici de savoir : dans quelle mesure l'opération financière mise en place pouvaient être caractérisée de frauduleuse et ainsi être inopposable aux salariés ?
C'est sur cette question que se prononce la Cour d'appel de Versailles le 2 février 2016, alors que le Tribunal de Grande Instance de Nanterre avait déclaré irrecevable les demandes du comité d'entreprise le 22 juin 2015.
“La mise en œuvre de manœuvres, ayant pour objet de ne pas transmettre au comité d'entreprise des éléments relatifs à une opération financière, est considérée comme frauduleuse et inopposable aux tiers lorsque la société ne bénéficie pas directement de l'opération fiscale.”
La Cour d'appel retient que les sociétés WKF et HWKF sont à l'origine de manœuvres frauduleuses et ajoute que ces dernières sont caractérisées tant par l'absence de communication au comité d'entreprise des documents obligatoires, que par un discours trompeur. Ainsi, la dissimulation volontaire d'informations est avérée : la société a refusé de transmettre à son comité d'entreprise les éléments permettant d'établir un lien entre la fusion des sociétés et l'absence de versement de la participation.
De plus, la Cour retient que la restructuration ayant obéré le bénéfice net de la société, n'a emporté aucun avantage économique à la société, ni même à ses salariés. Elle affirme que l'opération d'optimisation fiscale ici mise en œuvre ne pouvait pas être bénéfique à la société eu égard aux taux d'intérêts trop élevés et à un endettement très important de la société. Il apparait en filigrane que l'opération en question avait pour objectif de mettre un terme au versement de la participation aux salariés. Ce sont ces éléments qui permettent de caractériser les manœuvres frauduleuses mise en œuvre par les sociétés fille et mère du groupe.
Enfin, l'arrêt conclu que la manœuvre frauduleuse n'est pas opposable aux salariés et condamne la société à reconstituer la réserve spéciale de participation tout en la limitant aux années passées.
Il faut donc en tirer pour conséquence que le mécanisme financier en lui-même n'est pas a priori sanctionné mais que seuls les manœuvres utilisées pour dissimuler au comité d'entreprise l'opération, sont condamnées.
Source Le Nouvel Economiste par Bruno Bédaride, Notaire

20/05/2016

Châteauroux Ceramics : annulation du PSE confirmée

Les juges du Conseil d’État ont confirmé l’illégalité du document validé par la Direction régionale de l’emploi, en février 2015.

Pour la troisième fois, la justice administrative a donc considéré que le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) de la société Châteauroux Ceramics n'aurait pas dû être homologué, le 13 février 2015, par la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (Direccte) du Centre.
" Des mesures insuffisantes " estiment les juges
Ainsi que l'avait rappelé le rapporteur public lors de l'audience du 7 avril, l'administration ne pouvait accorder l'homologation d'un PSE que si le comité d'entreprise (CE) avait été suffisamment informé pour émettre un avis et si les possibilités de reclassement dans les autres entités du groupe lui avaient été exposées. Or, les juges du Conseil d'État ont confirmé l'appréciation de la cour administrative d'appel de Bordeaux qui avait estimé, dans son jugement du 23 novembre 2015, que « la procédure d'information et de consultation du comité d'entreprise n'avait pas été régulière » et que « les mesures contenues dans le plan n' (étaient) pas suffisantes au regard des moyens dont dispos (aient) l'entreprise et le groupe ».
Lors de la présentation du dossier devant les juges, le rapporteur public avait lui aussi insisté sur le fait que les solutions de reclassement proposées n'étaient manifestement « pas proportionnées au regard des moyens de l'entreprise et du groupe ». Les juges ont suivi cette analyse, confirmant à leur tour l'illégalité de l'homologation du PSE de Châteauroux
à chaud
Cette annulation du plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) par le Conseil d'État ne ramènera pas l'usine à Châteauroux et ne redonnera pas de travail aux salariés, « Mais cela va nous permettre de poursuivre la procédure au tribunal des prud'hommes de manière plus sereine, se réjouit Philippe Delimoge qui était délégué du personnel. Si le PSE avait été homologué, nous aurions bien sûr fait appel et cela aurait d'autant repoussé les choses. Là, même si rien ne sera conclu avant la fin de l'année, nous arrivons aux prud'hommes avec des billes. Normalement, je pense que nous pouvons compter sur six mois de salaire. » Une somme bienvenue pour ces 118 salariés qui ont bataillé un an durant pour faire respecter leurs droits. Philippe Zanelli a effectué toute sa carrière (trente-neuf ans) à Châteauroux Ceramics. Il est toujours marqué par la manière dont les choses se sont déroulées, l'année dernière : « Nous sommes restés deux mois sans salaire. Ça a été une catastrophe pour certains d'entre nous qui n'avaient que ce salaire dans leur ménage. Certains n'avaient même plus d'argent pour mettre de l'essence dans leur voiture ! »
Cette décision du Conseil d'État mettra du baume au cœur de tous les ex- « Ceramics » : « Ça prouve que le droit des salariés peut encore être reconnu. Ça fait du bien surtout dans le contexte actuel des manifestations contre la loi Travail. Après avoir été bernés comme on l'a été par ces patrons qui nous ont lâchés comme des malpropres, on se dit qu'il y a une justice ».

Source La Nouvelle République

19/05/2016

TERREAL redonne aux toitures leur aspect d’antan grâce à ses deux nouvelles tuiles de tradition : Bocage Bastide et Périgord Bastide

TERREAL, le spécialiste des matériaux de construction en terre cuite, enrichit sa gamme de Vieilles Tuiles de Tradition avec le lancement de Bocage Bastide et Périgord Bastide.

Leur aspect irrégulier et déstructuré rappelant les toits d’antan est particulièrement adapté pour la rénovation.
Leurs formats et coloris « vieux toit foncé » s’adaptent parfaitement aux paysages du Sud-Ouest et peuvent également s’intégrer aux régions de Centre France ainsi qu’en Normandie ou en Belgique.

Grâce à une épaisseur retravaillée, la Périgord Bastide et la Bocage Bastide sont particulièrement économiques.

Les formats respectifs de ces tuiles (18 x 27 cm pour la Périgord Bastide et 20 x 29 cm pour la Bocage Bastide) sont combinables pour proposer un panachage offrant des effets de volumes esthétiques et un rendu authentique aux toitures.



La tuile Périgord Bastide : la tuile déstructurée pour une toiture authentique

Elle est caractérisée par un pureau brouillé, à l’image des toitures anciennes.

De plus, elle bénéficie d’une stabilité optimale et d’une mise en œuvre simplifiée grâce à une barrette d’accrochage en sous face.

Enfin, son format de 18 x 27 cm et son coloris « vieux toit foncé » qui combine des nuances de gris et de rouge avec des touches de blanc, pour imiter la patine des vieux toits s’adaptent parfaitement aux paysages de la Dordogne, de la Bourgogne et de la région Centre.








La tuile Bocage Bastide : la tuile de tradition économique 

Produite à Montpon, au cœur du Périgord, avec un aspect déstructuré qui donne du relief à la toiture et une irrégularité qui rappellent les toits d’antan, la tuile Bocage Bastide s’intègre parfaitement dans les paysages du Sud-Ouest.

Son coloris « vieux toit foncé » redonne du charme aux vieilles demeures et son format de 20 x 29 cm fait d’elle une tuile économique de référence.





Source Wellcom

18/05/2016

Braas Monier further strengthens industry experience in its Board of Directors

With the election of Emmanuelle Picard and Christopher Davies as Non-Executive Directors of Braas Monier Building Group S.A. at today's Annual General Meeting, Braas Monier further strengthens the industry experience in its Board of Directors.
'Ms Picard and Mr Davies have both shown remarkable achievements in the European Building Materials Industry. Their valuable operating experience enables Braas Monier to further advance its successful strategy of sustainable growth above markets and its strong focus on customer centricity', says Pierre-Marie De Leener, CEO and Chairman of the Board of Directors of Braas Monier Building Group.
With effect from today, Torsten Murke (BNP Paribas) resigned from his mandate as Non-Executive Director of Braas Monier Building Group S.A. on his own accord. The Board of Directors of Braas Monier Building Group S.A. now comprises nine members.
All items on the agenda of today's Annual General Meeting of Braas Monier Building Group S.A. were agreed with a substantial majority. The resolutions of the agenda were passed with the following voting results:

  • Approval of the stand-alone annual accounts of the Company for the financial year ended on 31 December 2015: 100.00%
  • Approval of the consolidated financial statements of the Company for the financial year ended on 31 December 2015: 100.00%
  • Allocation of results and determination of the dividend payment in relation to the financial year ended on 31 December 2015: 100.00%
  • Discharge to all the Directors of the Company who were in office during the financial year ended on 31 December 2015: 100.00%
  • Election of members of the Board of Directors.
              a. Christopher Davies: 95.48%
              b. Emmanuelle Picard: 98.16%
  • Remuneration of members of the Board of Directors: 100.00%
  • Appointment of an independent auditor of the Company (réviseur d'entreprises agrée) for the purposes of the stand-alone annual accounts and the consolidated financial statements of the Company for the financial year ending on 31 December 2016: 100.00%

Further information regarding the Annual General Meeting can be found on our website www.braas-monier.com/investor-relations/annual-general-meetings
About Emmanuelle Picard
Emmanuelle Picard serves as General Manager for the Industrial Fabrics Europe at Adfors, a subsidiary of Saint-Gobain with operations in Spain, Netherlands, the Czech Republic and Poland. She has been working for Saint-Gobain since 2003, starting her career in the construction products industry as strategic planning manager for the Group. From 2006 to 2008, she worked as Director of Strategy for Saint-Gobain Textile Solutions and as BU manager for Grinding Wheels, a business unit with worldwide sales and production sites in Spain and China. Prior to her current position, she was Global Product Director for gypsum ceilings and steel solutions at Saint-Gobain Gypsum and as such responsible for the strategy, marketing and coordination for the business in 30 countries. She graduated from École Polytechnique, France, in 1997 and holds an M.S. in Industrial Engineering and Engineering Management from Stanford University Palo Alto, USA.
About Christopher Davies
Christopher Davies was employed at SIG plc from 1994 to 2013, serving for the last 5 years as Group CEO. Previously he held several senior management positions at SIG, including that of Managing Director of its European Division from 2002 to 2008. During the period 1996 to 2008, he was chairman and member of various SIG subsidiary operating boards in Germany, Poland, Benelux and France. Prior to joining SIG plc, Mr. Davies was a Regional Director at a UK subsidiary of Thyssen AG and worked as an Export Manager at BOC plc (British Oxygen) and at British Steel Corporation. He is currently a Non-Executive Director and Chairman of the Remuneration Committee on the Board of Safestyle UK plc, and through his own consultancy company, Frodingham Management Services Ltd, undertakes a variety of assignments including M&A advisory for private equity houses. Mr. Davies holds a BA Honours degree in Modern languages from Oxford University, UK.
About Braas Monier
Braas Monier Building Group is a leading manufacturer and supplier of pitched roof products in Europe, parts of Asia and South Africa. The Group covers all steps of the manufacturing process, offering a comprehensive range of concrete and clay tiles for pitched roofs and is one of the few suppliers to also manufacture and sell complementary roofing components designed to cover various functional aspects of pitched roof construction. The portfolio also includes ceramic and steel chimneys and energy system solutions. Braas Monier had operations in 37 countries and 118 production facilities and employed around 7,735 people as at 31 December 2015. The Company is headquartered in Luxembourg.

SourceUK FINANCE

17/05/2016

Polluer moins ? Deux Français remplacent le ciment par de l’argile

L’industrie du bâtiment est l’une des principales sources d’émission de gaz à effet de serre. À elle seule, la production de ciment est responsable de 5 % du CO2 rejeté dans l’atmosphère. Une entreprise française basée en Vendée propose une alternative, moins onéreuse et vingt fois moins polluante.
Julien Blanchard tenant des blocs d'argile aussi solides que du béton. Photo : HP2A.

Le béton de ciment est aujourd’hui l’un des matériaux de construction le plus utilisé au monde. En 2013, quatre milliards de tonnes de béton ont été produites selon les chiffres de l’Institut d’études géologiques des États-Unis dans un rapport daté de février 2014.
Mais l’impact environnemental de ce matériau omniprésent sur tous les continents est très peu connu. Pourtant, selon plusieurs études, produire une tonne de ciment entraînerait une émission d’environ 900 kg de C02. Son principal constituant, le clinker, nécessite une cuisson à près de 1 450°C, ce qui explique la forte consommation énergétique.
C’est pour cela que Julien Blanchard et David Hoffman ont inventé un nouveau produit, aussi solide que le béton et beaucoup moins nuisible à l’environnement.
David Hoffman et Julien Blanchard, les deux concepteurs du projet de ciment à base d'argile.
"La production d'une tonne de ciment d’argile pollue 20 fois moins que le ciment"
Julien Blanchard, responsable de la société Argilus basée à Chaillé-sous-les-Ormeaux, en Vendée.
J’ai créé en 2010 mon entreprise de construction "Argilus". L’argile est un produit 100 % naturel qui peut être utilisé pour faire des enduits ou des isolants. Je souhaitais poursuivre dans le domaine de l’éco-construction et j’ai alors rencontré David Hoffmann, un ingénieur chimiste qui a trouvé un procédé permettant de créer une matière aussi solide que le béton à partir d’argile. Jusqu’ici, il était en effet difficile de rivaliser avec le béton de ciment étant donné la solidité de cette matière.

La technologie que nous proposons repose sur une réaction chimique qui permet de reconstituer un bloc dur à partir d’une matière argileuse. Nous l’avons appelé "HP2A", il s’agit de l’acronyme de "Haute Performance d’Activation Alcaline". Les argiles sont créées naturellement à partir de la pierre.
Le chimiste David Hoffman dans son laboratoire. Photo : HP2A.
Nous proposons une réaction moléculaire grâce à ce qu’on appelle des réactifs alcalins qui permettent de "remonter le temps". [Les métaux alcalins sont des éléments chimiques, il s’agit du lithium, du sodium, du potassium, du rubidium, du césium et du francium NDLR.] Ces réactifs permettent de durcir l’argile sableux pour en refaire une "pierre". Et cela à température ambiante.
La poudre d'argile durcit à température ambiante grâce à une réaction moléculaire. Photo : HP2A.
Lutter contre la disparition des plages Conséquence : nous n’avons pas besoin de passer par une phase de cuisson, ce qui est le cas dans la production de ciment.
Par ailleurs, notre matière première est l’argile et on en trouve partout, sur tous les continents. [L’argile est issue de la décomposition de roches sédimentaires, NDLR.] Ce n’est pas une matière rare, en ce sens elle est peu chère.
Carrière d'argile de Chaillé sous les Ormeaux en Vendée.
En plus, cela nous permet de ne pas utiliser de sables marins, qui sont souvent utilisés dans la construction de ciment. Nous luttons ainsi contre la disparition des plages [l’exploitation industrielle du sable a déjà grignoté au moins 75 % des plages du monde et englouti des îles entières selon un documentaire réalisé par Arte, NDLR].

Un produit recyclable
Quand la production d’une tonne de ciment rejette 900 kg de CO2, nos études ont montré que la réalisation d’une tonne de ciment d’argile rejette 50 à 100 kilos de CO2, c’est 20 fois moins.
Il faut également savoir que le béton de ciment utilisé dans la majorité des constructions aujourd’hui ne se recycle pas. Par exemple, quand on démolit un bâtiment fait de béton de ciment on ne peut pas récupérer les gravas pour reconstruire. [En France, les déchets du secteur du bâtiment et des travaux publics représentent près de 300 millions de tonnes par an, dont 36 % sont des produits à partir de béton de ciment, pour lesquels on estime que seule la moitié est recyclée, NDLR.]
Un coût identitique, voire inférieur
Le ciment d’argile est lui recyclable, nous pouvons utiliser tous les sables, y compris ceux issus de la démolition. Dernier avantage : le coût de fabrication est identique, voire inférieur à celui du béton utilisé actuellement.
Nous avons déposé un brevet et nous souhaitons commencer la commercialisation dès 2017. Plusieurs grandes entreprises nous ont contactés pour nous soutenir comme Michelin, Total ou Airbus. Nous allons ouvrir une unité de production ici, en Vendée. Aujourd’hui la société Argilus emploie quinze personnes, nous souhaitons doubler notre effectif.

Source Observers France 24

16/05/2016

Précigné- Projet de carrière. L'association de défense est lancée, l'enquête publique terminée

L'enquête publique concernant l'implantation d'une carrière en forêt de Malpaire à Précigné s'est achevée samedi. La veille s'était crée une association de défense de la forêt.

« Imaginez la forêt avec un grand trou et dans le trou une grande décheterie, c’est ce qui est programmé sans nous le dire », lançait Hubert Guillais en guise d’introduction lors de la réunion de constitution de l’association de défense de la forêt de Malpaire à la salle des fêtes de Notre-Dame-du-Pé, ce vendredi 22 avril. Au centre des contestations : le projet de création d’une carrière en forêt de Malpaire à Précigné.
« Ce dossier est une fumisterie qui a enfumé la mairie de Précigné au son de création d’emplois qui n’existeront pas », poursuit-il. La municipalité, en janvier 2014, avait modifié son plan d’occupation des sols pour rendre possible une carrière dans cette partie de la forêt. « 191 hectares avaient été déclassés d’espace boisé protégé en zone d’exploitation d’argile et de sable ». Une modification qui avait été validée par une enquête publique qui était passée largement inarperçue. Alain Le Douce, de Voivres Environnement poursuit : « Un PLU (Plan local d’urbanisme doit être fait pour un intérêt public et non privé ».
Catimini, c’est aussi le mot qui revient pour ce projet de carrière. « Cette enquête publique s’est déroulée dans la discrétion la plus absolue. Il y a seulement eu quelques panneaux d’installés dans des lieux où il est impossible de s’arrêter », dénonce Hubert Guillais.
« Un projet qui a un faux nez »
Laurent Desprez, président de Charnie Environnement a, en son temps, réussi à faire stoper un projet de carrière en forêt de Charnie. Dans le projet de Précigné, il dénonce l’impact sur la faune et la flore. « 58 espèces protégées ont été recencées ».
Le dossier de replantation a aussi été largement critiqué. « Le reboisement compensateur se fait majoritairement très loin », dénonce Jean-Louis Lauféron. « Les gens de Précigné n’ont pas su qu’ils auraient pu en bénéficier ».
Pour Jean-Christophe Gavallet, président de Sarthe Environnement « c’est un projet qui a un faux nez ». « Le carrier a aussi des activités dans le traitement des déchets ».
L’association s’est constituée et le lendemain, une pétition avec une soixantaine de signatures a été déposée lors de la dernière permanence du commissaire enquêteur, samedi 23 avril au matin. Une cinquantaine de personnes se sont déplacées lors de cette permanence qui a à peine suffit à les recevoir. Parmi eux, le maire de La Chapelle d’Aligné, Christian Jariès. « Le conseil doit se prononcer vendredi prochain. Nous venons poser des questions précises. Il y a une vraie problématique autour de la circulation. Combien de camion vont passer par notre commune. S’y ajoute le problème de la replantation ». Lui succède le maire de Notre-Dame-du-Pé, Claude Davy. « Le conseil se réunit mardi. Nous aurions aimé demander une prolongation de l’enquête publique. Le public n’a pas été assez informé et c’est dommage pour un projet de cette importance ». Le maire s’inquiète sur l’impact sonore et visuel et sur le défrichement. « Ca peut aussi avoir des conséquences sur la vente de nos parcelles ».
L’enquête publique est achevée. Le commissaire enquêteur a un mois pour rendre son rapport. Le carrier devra répondre point par point à toutes les question soulevées. En conséquence, le commissaire enquêteur se forgera son opinion et rendra un avis. Un avis qui n’est que consultatif. C’est la Préfète qui décidera ou non d’autoriser la carrière.
Source Les Nouvelles du Sablé  par Julie Hurisse

15/05/2016

E.T.C "Expertises et Technologies Céramiques": la terre cuite a besoin d'experts!

E.T.C. est une société d’ingénierie et de construction d’équipement pour les briqueteries et tuileries créée en 1999 par une équipe d’ingénieurs issus du domaine de la Terre Cuite. Elle offre à ses clients une expertise complète en briqueteries et tuileries en alliant la conception, la fabrication, la supervision de l’installation et le démarrage d’usines complètes et entièrement automatisées.

Forte de décennies d’expérience, E.T.C. concentre ses efforts sur la qualité de ses produits fabriqués à plus de 90% à partir de pièces provenant de pays de l’Union Européenne. De même, elle garantit un savoir-faire français en construisant son équipement dans ses ateliers en France, et plus précisément en Vendée, une région historiquement tournée vers la terre cuite.
Proposer des services et des produits sur-mesure à chacun de ses clients est également une préoccupation majeure de l’ensemble de l’équipe. Du montage de projet jusqu’à la maintenance de votre usine, vous êtes suivi et conseillé afin de tirer le maximum de votre installation en termes de qualité et de quantité sur une durée de vie supérieure à la moyenne.

  • Etudes des matières premières
  • Etudes de faisabilité
  • Conception d’unités de production
  • Construction d’unités « clé en main »
  • Modernisation d’unités
  • Supervision de montage
  • Démarrage de lignes
  • Formation de personnel
  • Conception de produits nouveaux

E.T.C. est à votre disposition pour l’étude de tous vos projets.

Source E.T.C

14/05/2016

Une visite enrichissante à la briqueterie de Brach pour les élèves de CP.

Mardi dernier, les trois classes de CP et la classe Ulis (Unités localisées pour l'inclusion scolaire) de l'école de Saint-Laurent-Médoc, ont visité la briqueterie Les Grès médocains de Brach. Cette visite est le fruit d'un partenariat entre les enseignants des classes de CM1 et CM2 et le team Laurentus présidé par Claude Pina, initiateur du projet consistant à faire participer les élèves à la vie du Rallye automobile de la Fougère.

Fort du succès rencontré précédemment, le président Pina a proposé cette année aux enseignants concernés d'étendre cette collaboration aux classes de CP, afin que ces élèves puissent eux aussi poursuivre cette aventure participative en réalisant des sculptures sur argile, qui seraient ensuite exposées au village du rallye. Cette nouvelle collaboration étant enrichissante et gratuite, les enseignants ont tout de suite donné leur accord.
Ainsi, neuf classes ont participé cette année avec succès aux Ateliers terre, en présence de Claude Pina. L'établissement des Grès médocains avait mis à disposition des élèves l'argile, ainsi que de quoi faire cuire et émailler les sculptures. Celles-ci seront d'ailleurs remises à leurs auteurs d'ici quelques jours.
Les enfants ont également profité de leur déplacement sur le site de Brach pour découvrir, sous la conduite de Laurence, les diverses activités de l'entreprise, notamment la fabrication de la célèbre brique de Brach, bien connue dans la région.
Source Sud Ouest par Pierre Vallade

13/05/2016

Un bardage en tuiles bleues pour la crèche de Ramatuelle

L’entreprise Imerys Toiture a participé au projet architectural de la crèche de Ramatuelle (83) qui intègre un bardage de 25 000 tuiles en terre cuite émaillées en bleu. Nommée « l’île Bleue » et imaginée par l’architecte Bernard Saillol, cette crèche se distingue par sa structure aux traits arrondis lui conférant des allures futuristes.

Haut en couleur, le bardage en tuiles terre cuite allie étanchéité et esthétique. Couramment rencontré en zones humides et froides, il trouve naturellement sa place à Ramatuelle pour lutter contre le soleil, le vent et les embruns marins.

Les tuiles associées à une épaisse couche d’isolant assurent ainsi l’ITE du bâtiment.

Conçues au sein de l’usine Imerys Toiture de Phalempin (59), ces tuiles offrent à la crèche un style contemporain qui dénote de l’environnement et du paysage régional du village, habitué aux architectures plus traditionnelles.

L’entreprise a déjà réalisé de divers chantiers de ce style tels que la rénovation d’une maison des années 1940 à Dole (39) et la construction d’un immeuble de 60 logements à Ris-Orangis (91).
Caractéristiques techniques:

  • Longueur hors tout : 460 mm
  • Largeur hors tout :306 mm
  • Nombre au m2 : 9,9 à 12
  • Poids au m2 : 43 kg
  • Largeur utile : 268 mm
  • DTU 40-21
  • Type de pose : joints croisés

Source TP News par Claire Janis-Mazarguil

12/05/2016

Le savoir-faire de TERREAL valorisé au Journal Télévisé de France 2


La terre cuite, l'usine Terreal de Bavent, les produits "made in France" traditionnels et innovants... C'est ce que vous pouvez découvrir en visionnant la vidéo du Journal Télévisé de 13h de France 2 du vendredi 29 avril. 
Les savoir-faire du groupe Terreal sont présentés dans cette vidéo de 4 minutes avec un focus sur notre production et un zoom sur nos produits de bardage. On y voit l’exemple de la maison Monopoly où des tuiles Rully émaillées avec 4 coloris enveloppent la façade et la toiture de ce pavillon.  
Grâce à l'engagement quotidien de nos collaboratrices et collaborateurs et à la confiance que nous témoigne nos clients et partenaires, notre groupe œuvre chaque jour à l'amélioration de l'habitat.
Visionnez la vidéo ci-dessous. Retrouvez-la également sur YouTube
TERREAL n'est pas propriétaire de cette vidéo. Tous les droits sont réservés à France2/France Télévisions.

11/05/2016

ALGERIE- Matériaux de construction: des producteurs craignent la stagnation malgré l'interdiction de l'importation

ALGER - Plusieurs producteurs nationaux de matériaux de construction font part de leur appréhension d'une stagnation du marché en dépit de la mesure d'interdiction aux promoteurs, chargés de la réalisation des différents projets financés par l'Etat, de recourir aux matériaux importés si le même produit est fabriqué localement.

Le marché des matériaux de construction s'achemine vers la stagnation en raison des contraintes financières auxquelles sont confrontées les entreprises de réalisation depuis la fin de 2015, déclare à l'APS le chef d'une entreprise spécialisée dans la fabrication de carrelage et briques à Sour El-Ghozlane, rencontré au 19ème Salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics (Batimatec 2016), organisé du 3 au 7 mai à Alger.
Selon lui, plusieurs entreprises engagées dans la réalisation de projets publics ont beaucoup de mal à obtenir leur dû du fait des difficultés financières que traverse l'économie nationale.
Le tassement de la production de matériaux de production chez la plupart des fabricants a entraîné le recours, parfois, à la concurrence déloyale à travers le dumping lequel va à l'encontre des règles élémentaires de la concurrence sur le marché, poursuit-il.
Par ailleurs, cette "instabilité" que connaît le marché depuis un moment s'est accentuée sous l'effet de la flambée des prix du ciment, considère ce chef d'entreprise.
Un avis que partage le représentant d'un groupe spécialisé dans les revêtements de sol et le marbre à Bordj Bou Arreridj, qui estime que la directive d'interdiction aux promoteurs de l'utilisation des matériaux de construction d'importation fabriqués localement "n'a pas eu un effet notable" car ayant coïncidé avec une hausse sensible des prix du ciment.
Pour la responsable commerciale d'un fabricant de carreaux à Boufarik (Blida), si la directive du ministère de l'Habitat a encouragé certains producteurs, elle n'a eu qu'un "effet limité" sur beaucoup d'entre eux.
Elle estime que le marché des matériaux de construction enregistre une courbe descendante comparativement aux années précédentes et cette régression, affirme-t-elle, est constatable dans le nombre de visiteurs de "Batimatec 2016" et des commandes et conventions signées en marge de cette manifestation.
Dans ce contexte, un responsable dans un groupe spécialisé en faïencerie et céramique à Sétif, indique que les chiffres périodiques de production de sa société montrent une hausse des stocks. Ce qui a amené à réduire les heures de travail dans les différentes unités qui fonctionnent, désormais, par deux équipes au lieu de trois.
Ralentissement de l'activité du fait de la baisse de la demande
Expliquant les raisons de cette situation, le même responsable relève que les promoteurs privés sont confrontés à un ralentissement d'activités induit par la baisse de la demande pour leurs logements offerts à la vente, alors que les entrepreneurs qui réalisent des projets publics se plaignent d'une faiblesse de liquidités en plus de la hausse des prix du ciment qui dissuade aussi les clients privés.
Des importateurs, approchés par APS lors de ce salon, ont abondé dans le même sens en soulignant la régression du marché même si les mesures d'interdiction de l'importation ne les concernaient pas puisqu'ils commercialisent des produits qui ne sont pas produits localement.
Pour l'un de ces importateurs, la conjoncture économique générale et le taux de change du dinar face aux autres devises qui a engendré la hausse des prix des produits, ont contribué à la régression de l'activité de sa société.
Toutefois, il a dévoilé que sa société étudie, depuis une année avec ses partenaires français et portugais, le projet de création d'une usine de production locale de matériaux de construction afin d'échapper à toutes les restrictions imposées à l'importation.
Une telle décision révèle, a-t-il estimé, la conviction des partenaires étrangers que le marché algérien demeurera prometteur en dépit des difficultés conjoncturelles.
Pour cet importateur, la politique nationale visant l'encouragement du produit national est désormais une réalité à laquelle les partenaires étrangers n'ont d'autre choix que de s'y adapter.

Source Algérie Presse Service

10/05/2016

IMERYS : BÉNÉFICE NET ET VENTES EN CROISSANCE AU PREMIER TRIMESTRE

Imerys a vu son bénéfice net part du groupe augmenter de 5,7% à 72,4 millions d'euros au premier trimestre et son résultat opérationnel courant progresser de 9,9% à 135,4 millions. La marge opérationnelle s'est élevée à 13% en hausse de 0,3 point. Le chiffre d'affaires trimestriel d'Imerys s'est élevé de son côté à 1,038 milliard d'euros, en hausse de + 6,6 %. A périmètre et changes comparables, la variation du chiffre d'affaires est de - 1,8 % par rapport au 1er trimestre 2015 (- 0,7 % lié aux proppants céramiques).

"En ce début d'année 2016, le groupe continue de progresser et améliore sa rentabilité, grâce aux fruits de sa stratégie de croissance externe, mais également à ses innovations et à la gestion rigoureuse de ses coûts. Fort de ces atouts et de la solidité de son modèle économique, Imerys poursuivra sa stratégie de développement tout en adaptant son dispositif industriel à un environnement économique mondial qui reste volatil", a déclaré le PDG Gilles Michel.
Les points forts de la valeur

  • Leader mondial des minéraux industriels ;

  • Groupe intervenant dans 4 métiers : les solutions pour l'énergie et spécialités pour 31 % des ventes, les céramiques (28 %), la filtration et additifs de performance (26 %) et les matériaux de haute résistance ;
  • Diversification équilibrée des débouchés et des marchés géographiques (44 % du CA en Europe de l'Ouest, 27% dans les pays émergents, 24 % en Amérique du nord et 5 % au Japon-Australie) ;
  • Croissance tirée par l'innovation et la R&D, les produits nouveaux représentant 12 % des ventes en 2015 ;
  • Stratégie historique d'intégration en amont avec les 2/3 du chiffre d'affaires réalisés « de la mine au marché », le groupe disposant de réserves de minéraux rares et de très bonne qualité (ex : kaolin) ;

  • Croissance externe active –plus de 80 acquisitions en 15 ans ;
  • Structure financière solide, notée « investment grade » et hausse du dividende.

Les points faibles de la valeur

  • Exposition à certains marchés cycliques –sidérurgie, construction et secteur gaz&pétrole ;

  • Diversité dans les marges opérationnelles entre divisions, les solutions pour l'énergie et les spécialités étant à la traîne ;

  • Chute des ventes de proppants, notamment aux Etats-Unis, et effritement de celles des produits en céramique, drivers de la croissance à moyen terme ;
  • Risque de nouvelles dépréciations d'actifs sur les activités de proppants.

Comment suivre la valeur

  • Valorisation liée à l'évolution des changes, du prix de l'énergie, et plus particulièrement à celui du gaz ;
  • Intégration de S&B (minéraux industriels), dont il est attendu des synergies de coûts et de développement, et de l'activité PCC rachetée à Solvay ;

  • Résistance de l'activité dans un environnement incertain en 2016 ;
  • Flottant et liquidité limités, Belgian Securities, holding des familles Desmarais et Frère, détenant 53,9 % des actions (70 % des droits de vote), devant la famille Kyriakopoulos fondatrice de Blue Crest (5,1 % des actions).

Construction - Matériaux
Avec la tenue de la conférence sur le climat (COP21) en décembre 2015 à Paris, les fabricants de matériaux de construction, parmi les industries les plus polluantes au monde, ont affiché leurs efforts pour réduire leur empreinte énergétique. L'industrie représente environ 20% des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans le monde. Composant essentiel du béton, le ciment est l'un des matériaux les plus utilisés au monde mais aussi l'un des plus gros émetteurs de CO2 : environ 0,6 à 0,9 tonne émise pour 1 tonne de produit. Ainsi, selon une ONG, l'an passé, le cimentier français Lafarge, qui a fusionné avec le suisse Holcim, a émis 93,3 millions de tonnes de GES soit le double du pétrolier Total. C'est surtout la consommation d'énergie et la transformation du calcaire en chaux qui ont un impact environnemental fort.

Source Capital

09/05/2016

WIENERBERGER simplifie la réalisation des murs porteurs

Le fabricant vient d’obtenir l’avis technique pour la combinaison de ses innovations majeures, la brique CLIMAmur et le liant Dryfix. Cette association gagnante permet d’améliorer la rapidité de pose, tout en assurant la performance du bâti ainsi conçu.
Une réponse aux exigences des chantiers
Au-delà des matériaux utilisés, c’est désormais les méthodes de mise en œuvre qui tendent aujourd’hui à s’améliorer. Derrière cette évolution vient l’idée de l’optimisation du temps lors des travaux, tout en maintenant un haut niveau de qualité et de finition, dans le respect des réglementations thermiques notamment.
Dans cette optique, Wienerberger allie ses offres pour proposer des combinaisons 100 % gagnantes, sous avis technique. C’est le cas avec sa solution de maçonnerie CLIMAmur, associée à Dryfix. La première est une brique auto-porteuse en terre cuite intégrant de la laine de roche. Elle évite ainsi la mise en place d’un doublage isolant complémentaire, permettant de conserver une plus grande surface habitable. Celle-ci s’associe désormais au liant Dryfix.
La garantie de hautes performances thermiques
Ce système de collage en mousse à prise rapide se présente sous la forme de cartouches. Il est adapté aux constructions en R+1 avec combles. Sa première qualité vient du gain de temps qu’il offre, en moyenne de 50 % par rapport à la réalisation d’une maçonnerie traditionnelle.
L’association des deux produits permet également d’obtenir d’excellentes performances thermiques, affichant un R de 5,71 m².K/W avec la brique CLIMAmur 42. Cette solution est aussi utilisable en zone sismique, simplement en doublant l’application du liant par rapport aux préconisations habituelles.

Source ETI construction

08/05/2016

TECAUMA: un véritable savoir-faire reconnu en manutention de produits céramiques (terres cuites)


LA SOCIÉTÉ
Le métier de TECAUMA est la conception, la fabrication, l'assemblage et la mise en route de lignes de production automatique et d'équipements de manutentions pour différents secteurs d'activités et principalement le bois, la menuiserie industrielle, la terre cuite, le béton et l'agroalimentaire.
Fort de ces diversifications et d'un savoir-faire reconnu, TECAUMA a la capacité de proposer des lignes ou équipements pour d'autres secteurs d'activités.
TECAUMA possède aussi une réelle expertise en cellules robotisées qui lui a déjà permis de mettre en oeuvre ces solutions dans de nombreux secteurs d'activités avec des contraintes de cadence et de précision très élevées.
L'ensemble des solutions développées par TECAUMA répond efficacement à des problématiques de production, de productivité, d'ergonomie et de sécurité.
Dès la conception, les contraintes de maintenance des équipements sont intégrées dans la réflexion et assurent aux clients, l'intégration de composants de marques notoirement connues et des coûts d'entretien limités.
L'ORGANISATION
Le Système de Management Qualité de TECAUMA est certifié AFAQ ISO 9001.
L'entreprise TECAUMA a un effectif de 65 personnes, qui se consacrent pour moitié à l'ingénierie et pour moitié à la réalisation.
Dès la phase de consultation, TECAUMA établit une offre détaillée et précise des équipements qu'elle conseille et qui répond intégralement aux spécificités techniques du produit à manutentionner et aux performances attendues par le client.
Les équipements sont ensuite réalisés selon le cahier des charges établi lors de la consultation. De la commande à la mise en production, l'un de nos chefs de projet devient l'interlocuteur unique du client. Il lui assure une qualité de prestations, une réactivité et un respect des délais qui sont les valeurs essentielles de l'entreprise.
Tous nos équipements sont montés et essayés dans nos halls d'assemblage d'une surface de 6 000 m². Une réception interne avec le client garantit la conformité et la qualité des projets avant livraison. Après livraison, notre service après-vente réactif répond efficacement à vos besoins de pièces de rechange, maintenance et dépannage.
Pour vous assurer cette qualité de prestation, TECAUMA s'appuie sur : Une équipe de techniciens et d'ingénieurs expérimentés, Une capacité d'adaptation pour proposer à ses clients, des solutions sur mesure, Un Service Après-Vente reconnu pour son efficacité.
PLUS DE 30 ANNÉES D'EXPÉRIENCE...

Fondée en 1977, par M. Gérard HERBRETEAU, l'entreprise a toujours cultivé une diversification dans les secteurs d'activités lui permettant ainsi d'apprendre, et de se constituer un véritable savoir-faire dans la manutention et les process de ses clients. TECAUMA possède aujourd'hui un large parc installé dans de nombreux secteurs d'activités en France et à l'étranger. Ces lignes et équipements sont largement reconnus pour leur fiabilité et leurs performances.
Pour conforter sa position, TECAUMA innove dans de nouveaux équipements pour anticiper les évolutions des produits et les process de fabrication. De nombreux brevets ont déja été déposés.
En France et à l'étranger, TECAUMA est l'acteur de nombreux projets de référence qui permettent de proposer à ses clients des solutions largement éprouvées.

Source TECAUMA

07/05/2016

Par de là le mur... la brique

C'est le plus vieux matériau de construction mis au point par l'homme.
S'il a ses inconditionnels, il est aussi parfois considéré comme trop standard
par les puristes contemporains, surtout dans sa version rouge orangé des plus communes dans nos contrées et adulée du secteur clé sur porte. Mais en réalité ce petit parallélépipède d'argile est bien plus que cela.
"Il y a de l'alchimie dans la brique, le feu transformant la terre et l'eau en un matériau plus durable que la pierre. Grâce à lui, une matière première tendre et éphémère, la boue, devient dure, éternelle et belle", écrit l'historien de l'art Dan Cruickshank en avant-propos d'un ouvrage des éditions Phaidon.
Celui-ci rend hommage à ce module de maçonnerie qui, assemblé, donne naissance, depuis la nuit des temps, à de somptueux bâtiments : des thermes de Caracalla, à Rome, bâtis en 216 avant notre ère aux oeuvres très novatrices d'architectes d'aujourd'hui tels que Peter Zumthor ou Frank Gehry, en passant par de nombreux ouvrages devenus icônes du XXe siècle et signés Mies van der Rohe, Frank Lloyd Wright ou encore Alvar Aalto.
Au fil des pages, le lecteur découvre que l'expressivité de la brique est sans limite et que la répétition de cet élément à l'infini génère des volumes graphiques et texturés, magnifiés par les jeux d'ombre et de lumière. Pour le plaisir des yeux.

Brique, par William Hall, Phaidon, 224 pages. www.phaidon.com
Source Week End par Fanny Bouvry