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11/05/2017

Terreal : mouvement de grève à Lasbordes et Saint-Martin

Ils avaient demandé, lors des négociations annuelles obligatoires, une augmentation de 1 % de leurs salaires et 50 cts sur les tickets restaurant et ou paniers de journée qui leur ont été refusée. Les salariés de Terreal ont donc décidé d'un débrayage, à l'appel de l'intersyndicale Force ouvrière, CFDT et CGT laquelle refuse les explications mises en avant par la direction générale pour justifier sa position de ne pas leur accorder cette revalorisation salariale.
Les syndicats ont également fait connaître leur opposition totale à l'ouverture de négociations salariales individuelles ; toute augmentation devra être générale. En conséquence, un préavis de grève illimitée a été déposé, dès ce mardi, sur le site de Colomiers, suivi dès hier par les sites de Lasbordes et Saint-Martin-Lalande. Aujourd'hui, Roumazières, en Charente, devrait suivre le mouvement. Pour les syndicats «le coût d'un tel envoi aurait permis une avancée significative. La colère et l'incompréhension montent». Et d'appeler «tous les salariés à venir en dehors de leur temps de travail faire barrage à de tels agissements et de consacrer un peu de leur temps privé sans perte d'argent», exhorte l'intersyndicale qui estime que «seul un vrai élan de contestation fera bouger les choses».

Côté direction

Du côté de la direction lauragaise, Patrick Leblanc tient à apporter les précisions suivantes : «Les négociations syndicales ont eu lieu au siège social à Suresnes avec les quatre syndicats, FO, CGT, CFTC et CFDT, à l'issue desquelles des accords ont été signés, qui en fait vont au-delà des 1 % puisqu'il a été décidé d'augmenter les salaires de 0,85 % globalement, plus 0,25 % individuellement au mérite, soit pour les salariés concernés 1,10 % d'augmentation. La direction rappelle également les nombreuses avancées récemment mises en place telles que : 160 €/an pour la compensation du temps d'habillage, pas d'augmentation de la cotisation mutuelle depuis deux ans, un intéressement pour tous les salariés».

Source La Dépêche du Midi par G. K. avec G.B.


Bouyer Leroux veut convertir Rhône-Alpes à la brique

Roland Besnard et Pierre-Alexandre Cheminel Roland Besnard, président de Bouyer Leroux avec le nouveau directeur marketing et commercial, Pierre-Alexandre Cheminel. 

L’un des leaders nationaux des éléments de construction en terre cuite, Bouyer Leroux Terre Cuite, affirme ses ambitions en Rhône-Alpes. Il s’appuie sur les ex-sites ligériens d'Imerys Structure, repris en 2013 : Mably et Saint-Marcellin-en-Forez.

La société coopérative Bouyer Leroux Terre Cuite, dont le siège social est situé à La Séguinière dans le Maine-et-Loire, a réuni les 20 et 21 avril derniers ses équipes commerciales de la marque Bio’bric à Lyon, un territoire considéré comme « une zone grise » où le béton est le matériau le plus utilisé en construction.

Depuis les salons de l’hôtel Marriott, Roland Besnard, son président, l’a clairement dit : « On veut rougir cette région Rhône-Alpes sur la maison individuelle et le collectif. » Premier fabricant français en parts de marché sur les briques avec plus de 50 % des volumes, Bouyer Leroux veut mettre à niveau le marché régional. Pour cela, le groupe peut s’appuyer sur « son principal atout local », le site de Mably dans la Loire

Deux projets développés à Saint-Marcellin-en-Forez

Cette usine a bénéficié en 2016 d’investissements pour développer sa réserve d’argile et améliorer la productivité de son four. Unité moderne, elle bénéficie d’un atout important en termes de coût de fonctionnement avec un équipement alimenté par le gaz et le bio gaz.

A Saint-Marcellin-en-Forez, la Scop a également investi (150.000 euros), dans deux dossiers : une brique d’argile crue qui devrait être expérimentée avec un architecte des Bouches-du-Rhône et surtout « un système constructif » qui dépassera le cadre régional et national. Adapté pour réduire les délais de construction et « répondre au manque de qualification du personnel de chantier », le produit est en cours de validation avec un major du BTP sur un site pilote en Ile-de-France.

Source Brefeco par Vincent Riberolles

10/05/2017

Terreal: la grogne syndicale gagne la Charente limousine

La tuilerie de Roumazières emploie un peu plus de 400 personnes, qui attendent l’issue des réunions avec la direction.

Après Lamirande d’Exideuil, Terreal à Roumazières s’apprête à faire face à un mouvement d’humeur des syndicats. En cause, les revalorisations salariales.

A l’appel des syndicats CGT, FO et CFDT, un préavis de grève a été lancé hier mardi par les responsables syndicaux, au sein de l’entreprise tuilière Terreal de Roumazières-Loubert. Un préavis qui pourrait déboucher sur une grève surprise illimitée, expliquent les deux responsables CGT et FO, Laurent Délias et Bernard Gire. Hier, les responsables négociaient avec la direction parisienne et des réunions internes ont eu lieu toute la journée.

L’appel a été lancé dans l’ensemble des quatorze usines du groupe Terreal. Certaines d’entre elles, notamment dans le Sud, sont déjà bloquées par les salariés. À Roumazières-Loubert, les salariés de Terreal qui travaillent sur les grosses unités sortent d’un mois de chômage technique. Ils ont repris le travail hier.

La cause, des revendications salariales, suite aux négociations annuelles obligatoires (NAO) qui ne satisfont pas l’ensemble des salariés du groupe. "On nous a proposé une augmentation annuelle de 0,80% pour tous les salariés et de 0,30% individuellement", précisent les responsables syndicaux. Avant d’ajouter: "C’est là-dessus que nous ne sommes pas d’accord. Nous refusons ces propositions même si après la réouverture des négociations, la semaine dernière, elles ont été retoquées à 0,85% et 0,20%, ce qui fait une augmentation totale de 1,05%. Cette répartition des pourcentages ne nous satisfait pas."

"Distribution à la tête du client"

Les représentants syndicaux souhaitent une revalorisation globale de 1%, avec des pourcentages confondus même si c’est moins que ce que propose la direction. "Nous pensons que c’est plus juste pour les salariés", glissent-ils. "Avec ce que nous propose la direction, le piège de la revalorisation individuelle va faire que l’argent ne sera pas redistribué forcément en fonction du mérite. Et nous craignons que la direction fasse du rattrapage salarial...", ajoutent-ils. Cette sorte de prime individuelle au mérite est faite pour récompenser les compétences. "Une distribution à la tête du client", dénoncent les syndicats.

Pour l’heure, chacun est dans l’expectative. Il n’y a pas de mouvement visible. "Et s’il devait y avoir un débrayage, il n’affecterait pas la sortie et la rentrée des camions dans l’usine. Nous devons tout d’abord informer l’ensemble des ouvriers sur les négociations", explique Laurent Délias.

Source La Charente Libre par Par Marie-Françoise CORMIER

La brique terre cuite face aux labels et réglementations

Devenu aujourd’hui le grand référentiel du bâtiment en France, le label E+C-, lancé le 17 novembre par Emmanuelle Cosse, vise à établir de nouveaux standards environnementaux pour les bâtiments neufs. La FFTB est allée demander à Pouget Consultants en janvier 2017 comment les maçonneries en terre cuite sauront tenir ces standards. Et voici les résultats de l’enquête…

Face aux standards environnementaux de plus en plus nombreux et exigeants, il est normal de voir tout le monde, professionnels comme particuliers, s’inquiéter des inévitables changements à venir. Faudra-t-il changer leurs méthodes de travail ? Les matériaux utilisés ? Rénover (parfois au prix fort) leur petit nid douillet ?

La brique en terre cuite, exploitée depuis des siècles, est aujourd’hui encore utilisée dans la construction (plus d’un tiers des logements neufs construits en 2015 étaient en briques de terre cuite). Mais est-elle pertinente, face à de nouveaux labels comme E+C- ? C’est la question que se posait la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques).

Les résultats de l’enquête démontrent que la terre cuite permet un gain minimum de +3% de surface habitable, grâce à sa performance thermique. Et au mieux, une construction répondant aux standards E+C-, peut bénéficier d’un bonus de COS (Coefficient d’Occupation des Sols) allant jusqu’à +30% ! Oui, la brique en terre cuite est compatible avec les critères de l’excellence énergétique et environnementale et ce, quelque soit l’usage et l’énergie du bâtiment.

Pour aboutir à ces résultats, l’étude a été effectuée en janvier 2017 dans 8 zones climatiques différentes, avec des briques de 20 cm à R=1m2.K/W, ce qui est loin d’être le score de résistance thermique le plus élevé du marché.

L’étude a également fait en sorte de multiplier au maximum les variables : immeubles collectifs, logements individuels, utilisation de chauffage au gaz ou électrique, des isolants effectués pour tester l’efficacité de la brique en terre cuite. Qu’elle soit capable d’atteindre sans difficulté les critères du bonus de constructibilité est de bon augure pour la maçonnerie en terre cuite.

Source Batiweb

09/05/2017

Pesaro, trovato accordo per la Pica

PESARO Una fiamma che segna un nuovo inizio. Dopo oltre un mese di stop oggi sarà riacceso il primo forno alla Pica. Mesi di travaglio, fino al raggiungimento dell’accordo: l’affitto di ramo d’azienda alla Terreal, multinazionale francese, con l’obbligo irrevocabile d’acquisto. Lavoratori salvi, ma ancora nodi da sciogliere.

Un percorso iniziato con l’apertura della mobilità e il doloroso licenziamento di 85 dipendenti. A fine 2016 era stato presentata in Tribunale un’operazione di ricomposizione del debito secondo l’articolo 182 della legge fallimentare. Un atto propedeutico alla fusione con l'azienda di laterizi San Marco. Ma a fine febbraio la doccia fredda: invece di partire col progetto, si è presentato un problema con le banche. Gli istituti di credito non hanno accettato la ristrutturazione e il progetto è stato bloccato.

Qui il gruppo Terreal, che è già titolare della compagine San Marco, ha preso in mano la situazione. La multinazionale conta 22 stabilimenti nel mondo. Oggi, con un fatturato di 350 milioni di euro e circa 2.400 dipendenti nel mondo, Terreal è un gruppo chiave nella creazione di soluzioni innovative per l’edilizia.

Il  gruppo ha portato avanti la trattativa di affitto di ramo d’azienda. E' stato quindi firmato l’accordo per sei mesi più tre, dopodichè ci sarà un’offerta irrevocabile d’acquisto. Si passerà tramite un’asta, ma si conta sull’offerta Terreal. Il futuro dei 73 lavoratori è nel gruppo francese. Non ci saranno licenziamenti e i posti di lavoro sono stati salvaguardati. Anche i 3 dipendenti del deposito di Roma passeranno alla multinazionale, salvo 3 lavoratori di un altro deposito.

Source Corriereadiatico

Bilan 2016 Wienerberger : stabilité des activités monde et France

Sur un marché mondial toujours tendu, le Groupe Wienerberger (14.800 personnes) confirme la stabilité de son chiffre d’affaires 2016. En effet, avec un réseau dense de 198 sites de production dans les 30 pays où il officie, le Groupe a consolidé un chiffre d’affaires de 2,974 milliards d’euros (vs 2,972 pour 2015).

Une donnée qui se traduit par une activité industrielle soutenue, comme en attestent les produits Wienerberger commercialisés en 2016 : ceux-ci ont, à titre d’exemple, permis de construire 160.000 maisons, couvrir 288.000 toits et réaliser 630.000 kilomètres de canalisations… D’ailleurs 2016 n’a pas non plus failli à la règle Groupe avec 1% du CA consacré à la R&D ainsi que dans des projets orientés vers l’avenir.

Précisons enfin que, sur un secteur du bâtiment toujours en peine de retrouver son dynamisme, la filiale France, Wienerberger SAS, avec ses 4 marques reconnues (Argeton, Koramic, Porotherm, Terca) et ses 800 collaborateurs, stabilise également son chiffre d’affaires à 177 millions d’euros.

Source Wienerberger

08/05/2017

Port-Royal : la nouvelle tuile plate de tradition de TERREAL

Vieille tuile de tradition produite en Ile-de-France avec des argiles de la région, la Port-Royal s’adapte parfaitement aux paysages de cette région.

Avec son pureau brouillé et ses teintes subtilement vieillies, Port-Royal donne une identité unique à tous les projets, que ce soit en rénovation, – notamment à proximité des bâtiments remarquables – ou en neuf pour que les toitures viennent s’intégrer dans la tradition architecturale locale.

Port-Royal réussit ainsi le pari technologique d’une tuile plate esthétique et authentique à faible coût dans le respect du bel ouvrage.

Cas chantier : Restauration de la toiture d’une église du 12ème siècle à Montalet-le-Bois (78)

Les 190 m² de la couverture de l’Eglise de Montalet-le-Bois dans les Yvelines, datant du 12ème siècle, ont récemment été rénovés avec près de 12 000 tuiles Port-Royal, coloris Longchamp.

Le choix de la tuile plate à mettre en oeuvre s’est naturellement porté sur Port-Royal. En effet, avec son pureau brouillé et son nez déstructuré, elle conserve l’aspect ancien du bâtiment et l’authenticité du patrimoine historique. Son coloris vieilli est lui aussi en parfaite harmonie avec les toits de la région.


Caractéristiques techniques

  • Dimensions hors-tout (cm) 17 x 26 x 1,2
  • Nombre de tuiles au m² 62 / 65 / 68
  • Poids unitaire (kg) 1,1
  • Pureau (cm) 9,5 | 9 | 8,5
  • Recouvrement (cm) 7 | 8 | 9
  • Liteaux (ml/m²) 10 | 11,1 | 11,6
  • Nombre de tuiles par palette 1008
  • Pente minimale théorique
  • En zone 1 situation protégée avec écran 60% / 31°


Source Wellcom

07/05/2017

ETC VOUS REMERCIE D'ÊTRE PASSÉ À SON STAND LORS 20IÈME SALON BATIMATEC À ALGER

Comme chaque année, ETC France a participé au 20ieme salon Batimatec  qui s'est déroulé du 23 au 27 Avril 2017 dernier à Alger

Son équipe a eu le plaisir de vous accueillir sur son stand pour vous présenter la société et apporter les réponses à vos projets de briqueteries ou tuileries.

Source ETC

Germany: Leipfinger Bader plans multimillion investments in 2017

The family-owned company Leipfinger Bader is looking ahead optimistically in 2017 and has announced multimillion investments.
A total of € 8.3 mill. are to be channelled into the three company sites in Lower Bavaria and the Upper Palatinate – with the objective of further improving the production of high-thermal-insulation Unipor clay masonry blocks. The highlight will be a specially developed recycling plant at the Puttenhausen site.

Up to now, the Coriso masonry blocks have been filled with Mineral insulating material at a special installation in Puttenhausen. Thanks to a new filling unit, this will also be possible in Vatersdorf too. This will increase production capacity.

At the Schönlind Brickworks, Leipfinger Bader has also taken over a production line for beam encasing elements, which are used for optimum embedding of storey ceiling slabs. Moreover, the Schönlind Brickworks has been comprehensively modernized since the takeover in 2014. Besides the installation of a grinding and unloading system, Leipfinger Bader envisages the installation of a photovoltaic system to increase utilization of renewable energies. Such a solar park has already been in operation at the Vatersdorf plant site since 2013.

Sustainability as a guiding principle

One of the most important projects in the year 2017 is the building of a recycling plant in Puttenhausen. With this project, the clay brick manufacturer is embarking on a venture that could change the industry permanently: “We are the first company to offer total recycling for the building material ‘clay brick’. This will enable a completely closed and environment-conserving raw materials cycle”, explains owner Thomas Bader. On the verge of completion is also the switchover at the company headquarters to an environment-friendly and reliable energy supply with natural gas.

Source Ziegelindustrie International

06/05/2017

International competition rewards outstanding brick architecture

For the eighth time now, the Wienerberger Brick Award in 2018 is honouring the most creative examples of modern and innovative brick architecture.

Ceramic products have to play an outstanding role in the submitted projects, from clay blocks through facing bricks and clay roofing tiles to pavers. Special attention is paid in the judging of the projects to the interplay of functionality, sustainability and energy efficiency.

The Brick Award is endowed with prize money of  7 000 euros for the grand prize winner (including category winner) and 5 000 euros for each of the remaining four category winners. The award comprises five categories:


  • Feeling at home
  • Living together
  • Working together
  • Sharing public spaces
  • Building outside the box


The fifth category is aimed at innovative concepts and ways of using brick, like, for example, the application of new construction technologies or the use of special, custom-made bricks and tiles.

Following expiry of the submission phase on 20 April 2017, an expert panel of architecture journalists and critics will narrow down the entries to 50 projects. An international jury of architects will then choose the five category winners and the winner of the grand prize. The ceremony for the presentation of the Brick Award will be held in Vienna in spring 2018. Coinciding with this, the accompanying Brick 18 book featuring all 50 nominated projects will be published.

Source Ziegelindustrie International

05/05/2017

Ceratec cherche 100 profils sur Tournai et Ploegsteert

L’entreprise technologique et d’ingénierie Ceratec ne cesse de se développer. Pour continuer à grandir, elle part à la recherche de 100 nouveaux collaborateurs pour ses sites dont Ploegsteert et Tournai. Une grande campagne de recrutement est lancée pour dénicher les talents qui pourront l’aider à maintenir son statut de fleuron.

Avec un chiffre d’affaires de 91 millions d’euros en 2016, grâce notamment à la croissance des commandes nationales et internationales dans les 4 divisions (automatisation, manutention et logistique, électrotechnique et industrie céramique technique) de l’entreprise, Ceratec veut continuer à grandir et à maintenir sa position dans le top des entreprises du secteur.

Source Nordeclair

04/05/2017

Construction: utiliser les matériaux récupérés dans les bâtiments pour reconstruire ailleurs

Un collectif belge a réalisé une plateforme pour réutiliser les matériaux récupérés dans les bâtiments vouées à la démolition.

Ce collectif belge du nom de Rotor a crée la plateforme Opalis.

Elle inventorie les matériaux de construction de seconde mains récupérés dans des bâtiments, des espaces voués à la démolition pour pouvoir les réutiliser.

Il s’invite dans les chantiers de démolition...Cela concerne aussi bien la robinetterie, les parquets que les cloisons mais aussi les faux plafonds et autres ornements.

Les initiateurs du collectif ne sont pas tous architectes, on trouve aussi des chercheurs des journalistes des autodidactes.

Source Franceinter

03/05/2017

Monier lance la seconde édition de son concours Black Tendance

Monier France, filiale française du groupe Braas Monier, organise la seconde édition du concours Black Tendance. Du 15 mars au 7 juillet 2017, architectes, constructeurs, entreprises de pose et promoteurs peuvent participer à ce concours qui vise à récompenser les meilleures créations utilisant la nouvelle couleur tendance : le noir. Meriem Dussart, directrice marketing et communication chez Monier France, nous en dit plus.

Deux ans après la première édition du concours Black Tendance, en 2015, qui avait rassemblé une centaine de participants, Monier, fort de ce succès et de son expérience, a décidé de lancer une seconde édition il y a un peu plus d’un mois.

Pourquoi le noir ?

« Aujourd’hui, les coloris foncés sont à la mode dans les architectures depuis 2-3 ans », constate Meriem Dussart, directrice marketing et communication chez Monier France. « On voit de plus en plus des façades blanches et des menuiseries noires et anthracite ». Une mode qui fait les affaires de Monier. « Notre offre est assez développée sur cette couleur-là, de l’entrée au haut de gamme. C’est l’occasion pour nous de nous démarquer de la concurrence, dont les concours sont souvent axés autour de la tradition et de l’histoire. Le notre est plus moderne ».

La raison invoquée de cette mode est que le noir se marie bien avec les crépis blancs actuels. « Dans le sud, et notamment à Bordeaux qui est en plein essor, on en voit de plus en plus, alors que le noir était traditionnellement réservé au Nord », explique-t-elle.

Organiser ce concours deux ans après le précédent n’est pas non plus un hasard de calendrier. « Il faut laisser au client le temps de réaliser sa maison, et nous évitons le rush qu’est l’organisation quasi permanente d’un concours ».

Comment fonctionne le concours ?

« Les participants prennent des photographies de l'ouvrage, puis s’inscrivent sur le site Black Tendance, nous soumettent les coordonnées et nous envoient les photographies. » Malgré l’utilisation de ces dernières, elle affirme qu’il ne s’agit pas d’un concours photo.

« L’idée est de voir comment sont constitués les ouvrages, pas de juger la qualité des photos. » Deux conditions, très simples : « il faut que la maison utilise une de nos 28 tuiles sombres, et seules les constructions et rénovation récentes de moins de 5 ans peuvent participer. »

Pour sa seconde édition, le concours recèle une petite nouveauté. « Le jury remarquera les dossiers qui s’inscrivent dans une démarche environnementale. Ce n’est bien sûr pas obligatoire, mais il s’agit d’un critère pris en compte, pour départager deux dossiers notamment. »

Le jury en question est constitué de neuf personnes. Comment sont-elles choisies ? « Nous avons décidé de mixer des personnes n’appartenant pas à Monier afin d’avoir un œil externe. Chaque membre du jury est différent : architecte, journaliste, couvreur, industriel, une personne partie vente, une autre partie technique, et une dernière communication. Les débats sont bien plus animés ! », confie Meriem Dussart.

Participer, oui, mais pourquoi ?

Si Pierre de Coubertin disait que l’important était de participer, il est difficile aujourd’hui de convaincre quelqu’un de participer à un concours de ce genre sans récompense valable à la clé. Lorsqu’on lui demande l’intérêt pour un participant, Meriem Dussart en expose la raison principale. « Au-delà des cadeaux, ce concours permet d’avoir une visibilité. Les gagnants sont fiers d’avoir un premier prix dans un concours qui récompense une belle architecture. Ce prix, ils peuvent l’afficher dans leur bureau, cela permet d’asseoir leur crédibilité, d’autant que Monier communique dans la presse et cite le gagnant, ce qui fait une excellente publicité. »

Le concours est divisé en deux catégories (maison individuelle vs collectif et tertiaire) et récompense 7 gagnants : 4 au niveau régional (Nord, Sud, Est et Ouest) et 3 au niveau national. De quoi faire plusieurs heureux, avec des week-ends de vacances à gagner ainsi que des drones, en plus du prestige de la victoire.

Si le concours Black Tendance continue de rencontrer du succès, Monier n’exclut pas d’en organiser d’autres du même genre à l’avenir.

Source Batiweb

02/05/2017

Les pavés en terre cuite : un plaisir dans chaque jardin

Que vous aimiez le style rustique ou le look sobre, des pavés en terre cuite sur votre allée ou sur votre terrasse, ou autour de votre pièce d’eau ou de votre piscine, apportent toujours une petite touche de charme naturel aux abords de votre habitation. Mais il y a bien d’autres raisons encore pour lesquelles votre maison mérite des pavés en terre cuite.


100 % naturels

Les pavés en terre cuite sont un produit 100 % naturel, fabriqué à partir d’argile de qualité supérieure et renouvelable. Ils ne renferment pas de composants nocifs pour l’homme ni pour l’environnement. Vous pouvez donc les poser dans votre jardin l’esprit tranquille. Et cerise sur le gâteau : ils sont très naturels au toucher lorsque vous marchez pieds nus sur votre terrasse.

Durables

Les pavés sont cuits à des températures de ± 1.100°C, soit environ 100°C en plus que les briques de parement. Une fois cuits, ils sont parés pour vivre une existence durable : résistants à l’usure, aux conditions météo extrêmes et aux agents agressifs comme le sel de déneigement et les produits nettoyants. Avec leur durée de vie moyenne de 125 ans, ils durent plusieurs générations tout en conservant leur qualité. Et notamment de par leur longue durée de vie, ils se prêtent aussi à merveille à la réutilisation.

Couleurs inaltérables

Les pavés en terre cuite sont totalement exempts de colorants. Leur couleur résulte de la composition minérale de l’argile, ce qui la rend 100 % inaltérable. Teintés dans la masse, ils ne perdent jamais leur couleur d’origine. Une patine naturelle les embellit au fil des ans.

Faciles à entretenir

Des pavés en terre cuite correctement placés nécessitent très peu d’entretien. Il suffit de passer le nettoyeur haute pression une fois par an pour les conserver comme neufs. Vous avez ainsi tout le temps de profiter de votre terrasse.

Possibilités infinies

De par leur grande variété de couleurs et finitions, les pavés en terre cuite s’intègrent dans tous les styles, des plus classiques au plus modernes. Pour les amateurs de rustique, il existe par exemple des pavés « artisanaux » qui rappellent les véritables pavés de récupération hollandais. Et pour ceux qui aiment le style moderne, il y a des pavés aux lignes sobres. La grande palette de couleurs permet aussi de combiner plusieurs teintes. Formes arrondies et appareillages divers conféreront précisément l’aspect souhaité à votre jardin, terrasse ou allée.

Source Le Soir

01/05/2017

IMERYS TOITURE : LA PLUS LARGE GAMME DE TUILES FAIBLE PENTE CERTIFIÉES NF FP

IMERYS Toiture, le leader de la tuile terre cuite et spécialiste de solutions pour toits et façades intègre depuis toujours une démarche volontaire de certification de ses produits. C’est pourquoi, il a anticipé la suppression des DTA faibles pentes, effective depuis le 1er janvier 2017 pour les tuiles à emboîtement à relief relevant du DTU 40.21, remplacés par la certification NF Faible Pente. Aujourd’hui, IMERYS Toiture affiche ainsi la plus large gamme de tuiles faible pente.

12 tuiles certifiées NF Faible Pente

Soucieux de garantir la qualité et la sécurité de ses produits à l’ensemble de ses clients, professionnels comme particuliers, IMERYS Toiture a engagé une démarche volontaire concernant les tuiles à relief faiblement et fortement galbées.

Aujourd’hui, ce ne sont pas moins de 12 modèles qui bénéficient de la nouvelle certification NF Faible Pente, et ce sans aucune modification des pureaux de pose.

Les tuiles fortement galbées concernées par la certification NF Faible Pente sont l’OMEGA 10 Ste Foy, la PLEIN SUD Gélis, l’AQUITAINE Poudenx, la MEDIANE Plus, la MERIDIONALE Poudenx et la ROMANE Sans.

Parmi les tuiles faiblement galbées, citons, la STANDARD 9 Jacob, la DELTA 10 Ste Foy, la MARSEILLE Poudenx, la PV 13 Huguenot, la PANNE H2 et la RHÔNA 10 qui détient également un DTA Très Faible Pente.

Ces tuiles peuvent être posées jusqu’à 19 % de pente suivant les caractéristiques du chantier.

L’ALPHA 10 rejoint la gamme Faible Pente

A la ligne épurée, la tuile ALPHA 10 d’IMERYS Toiture est une tuile grand moule à pureau plat. Reconnue pour la qualité supérieure de l’argile Ste Foy qui lui confère une haute résistance mécanique et pour sa facilité de mise en œuvre, l’ALPHA 10 vient d’obtenir l’avis technique n° 5.1/17-2538 pour une pose jusqu’à 35 % de pente suivant les caractéristiques du chantier.

Avec l’obtention de cette nouvelle certification, IMERYS Toiture dispose de l’une des plus grandes gammes de tuiles aptes à être utilisées sur des couvertures Faible Pente. Des tuiles 100% françaises dont la haute qualité a permis à IMERYS Toiture d’être le premier fabricant français de tuiles à recevoir le label Origine France Garantie.

Source Batipresse

30/04/2017

What Are The Pros And Cons Of Tesla's New Solar Roof Tiles?

What are your thoughts on the new Tesla solar roof tiles? originally appeared on Quora: the place to gain and share knowledge, empowering people to learn from others and better understand the world.

Answer by Michael Barnard, low-carbon innovation analyst, on Quora:

I have a few thoughts about the new Tesla solar roof tiles:

Musk is exactly right that making solar panels look gorgeous and integral with the existing look and feel of homes is critical to the growth of home solar. People love their homes and obsess about them. Having multiple choices of very attractive tiles which look good longer and don’t fade is excellent. Tesla’s choices appear to be better than any existing solar tiles on the market.

Musk is right that in many places that the cost of the roof, plus the electricity it produces, plus the purported longevity of it, will make the overall cost of the solution cheaper than a normal roof and getting electricity from the grid. However, the roof itself is undoubtedly going to be quite a bit more expensive than a normal roof based, so amortization of the price is going to be critical somehow. But electricity prices vary widely across geographies, so it won’t make sense everywhere.

Musk’s suggestion that a third of energy will come from rooftop solar and two-thirds from the grid is off I think. Only about 25% of households are situated and oriented in ways that provide useful solar exposure according to the EIA or NREL (I forget which). I crunched the numbers and only large, detached, ranch-style, southern US homes could generate enough electricity to provide the full years needs. Office, condo and apartment buildings have a lower roof surface area compared to interior volume and usually have window washing, elevator mechanicals and/or HVAC on the roofs which diminishes available surface even more. Only big box stores, warehouses, casinos and the like have particularly high roof surface areas to interior volume ratios. It’s more likely that distributed solar will support only 10% of electrical demand. That’s good, but not 33%.

Musk glossed over the two electric cars in every garage scenario in the video when he was talking about demand. Normal patterns are for cars to be away from homes during peak solar periods and the PowerWalls hold less than 20% of a Tesla car’s battery and pump electricity way too slowly to charge a car. Basically, you still have to be plugged into the grid to charge your cars, which is fine, but the video downplayed that a lot. Like point three about the actual percent of electricity likely to be provided by rooftop solar, there’s an implicit overstatement in the video.

More urban densification is occurring globally. Fewer people are living in detached homes with big roofs as a percentage of people. The tiles are gorgeous, but the demographic for them is growing more slowly than the population. It’s kind of targeting a slow growth market, which is a challenge. Utility solar is a much faster growth market, as are automobiles.

I think the 2% degradation due to the decorativeness of the tiles might be an understatement. That 2% is likely when the sun is perfectly aligned at 90 degrees to the tiles where the peekaboo louvers allow the most light through. The sun will rarely be perfectly aligned and roofs are only coincidentally well aligned with the sun. I’d expect a higher degradation in actual use compared to normal solar panels. This might or might not be relevant.

Overall, it's a great product and an excellent addition to Tesla’s product suite, but it's not the game changer the cars and soon to be trucks are though in my opinion.

This question originally appeared on Quora - the place to gain and share knowledge, empowering people to learn from others and better understand the world. You can follow Quora on Twitter, Facebook, and Google+. More questions:

Tesla Powerwall 2 and Solar Roof Announcement: What is the estimated price for a Tesla solar roof?
Solar Energy: What is the future of solar energy?
Tesla: Why would investors give money to Tesla when it states that profit is not its primary goal?

Source Forbes

29/04/2017

La brique en Sologne se dévoile

Lauranne Stainier, devant le four de la tuilerie de Pont Long. 

L'association Les Amis des tuileries et briqueteries de Sologne (ATBS) a invité Lauranne Stainier, spécialiste de l'histoire de l'art, pour présenter vendredi 24 mars, une conférence sur l'histoire de la brique en Sologne.

Devant un public nombreux, Pierre Chirol, président de l'association ATBS, a introduit la conférence en rappelant l'objectif de l'association : dans un premier temps le rachat du site de la tuilerie de Pont Long de Ménestreau-en-Villette pour pouvoir y accéder, le protéger et étayer les structures de façon à pouvoir ensuite le restaurer. Puis faire vivre le site avec diverses activités telles que l'accueil des scolaires afin de leur expliquer ce que la brique représente dans le patrimoine de la Sologne et d'accueillir des spectacles sur le thème de la Sologne.

Puis Lauranne Stainier a captivé un auditoire nombreux en rappelant que l'utilisation de la brique remonte au XVe siècle, que ce nouveau matériau avait été choisi par les rois pour embellir l'architecture de leurs châteaux et se distinguer de l'art décoratif du nord de la France ou des décors ornementaux hollandais. Puis après un saut dans le temps, la conférencière a conduit le public au XIXe siècle, sous Napoléon III qui a redonné à la Sologne un essor agricole, sylvicole et économique. Les constructions de nombreux châteaux et des nouveaux villages ont nécessité beaucoup de briques d'où les nombreuses briqueteries et tuileries solognotes, faisant maintenant partie du patrimoine historique solognot.

Source La Nouvelle Republique

28/04/2017

WITH THE ACQUISITION OF SMB MASCHINENBAU GMBH, VÖHRINGEN, LINGL EXPANDS ITS CORE COMPETENCES IN THE MACHINERY AND PLANT ENGINEERING SECTOR

On 24 March 2017, Lingl Anlagenbau und Verfahrenstechnik GmbH & Co. KG (LINGL) acquired the know-how and the intangible assets of SMB Maschinenbau GmbH as part of an asset deal.

Based in Vöhringen, SMB is a regionally well-known and recognized company specialized in machinery and plant engineering for the timber processing industry.

With the acquisition of SMB, LINGL expands its core competences by adding another, new business segment to the group’s portfolio. On 3 April 2017, the newly-established SMB Maschinenbau GmbH & Co. KG headed by the Managing Director, Mr. Hugo Schneider, has started production with ten former employees of SMB at the LINGL headquarters in Krumbach.

A first major order placed by the Fruytier Group in Belgium is already in hand.

The acquisition of this sector will not only bring additional advantages for the in-house plant technology of LINGL but also generate additional sales potential.

Source LINGL

27/04/2017

BRIEF-Combined Icopal and Braas Monier business will operate under name "BMI Group"

Braas Monier Building Group SA:

* Standard Industries completes acquisition of Braas Monier to form global roofing leader

* Combined Icopal and Braas Monier business will operate under name "BMI Group"

* Tony Robson, Executive Chairman of Icopal, will become Executive Chairman of BMI Group

* Matthew Russell Chief Financial Officer (CFO) of Braas Monier, will become CFO of BMI Group Source text for Eikon: Further company coverage: (Gdynia Newsroom)

Source Reuters

26/04/2017

Procédé HP2A: L'invention d'ARGILUS à Chaillé va grandir dans une usine pilote

Le ciment du futur va quitter le laboratoire de l'entreprise Argilus de Chaillé pour une usine pilote de 4 000 m2 à Bournezeau. La première pierre a été posée, jeudi 13 avril.

Julien Blanchard, patron d’Argiwest, et Jean Arthuis, ancien ministre, ont posé la première pierre de l’usine pilote HP2A.

Des briques « collées » par un mortier rosé. Au bout de la truelle, la main de Jean Arthuis. L’ancien ministre de l’Economie et des finances a posé la première pierre de l’usine pilote HP2A, jeudi 13 avril. De l’autre côté de la brouette, Julien Blanchard, président d’Argiwest. « Aujourd’hui, nous ne lançons pas seulement la construction d’un bâtiment, d’une simple usine », souffle celui qui a repris la briqueterie chaillezaise Gillaizeau en 2006. « Ici, on va construire un futur responsable ».

Né dans la tête de l’ingénieur chimiste, David Hoffmann et dans les mains de Julien Blanchard, fin connaisseur de l’argile, le procédé HP2A imagine le ciment du futur. Une plus faible empreinte carbone et un coût moindre. La formule gagnante a séduit. La banque d’investissement européenne, les partenaires et les actionnaires. « C’est grâce à ce travail d’équipe » que l’usine pilote va pousser à Bournezeau.

Du labo à l’usine pilote

Au printemps 2018, une dizaine de salariés devrait s’installer à deux pas de l’autoroute Nantes ? Bordeaux et de la quatre voies vers La Roche, en attendant celle filant à Chantonnay. Avec une mission : « Faire la démonstration que nous pouvons fabriquer notre liant en grosse quantité ». Ou comment passer du laboratoire de l’usine Argilus de Chaillé-sous-les-Ormeaux à une usine de 4 000 m2.

Source Le Journal du Pays Yonnais

25/04/2017

Wienerberger goes digital

Digital version of Architectum marks its 15th year in circulation

Wienerberger has announced the launch of a new digital version of its Architectum magazine to mark its 15th year in circulation.

The online platform, which is dedicated to architects and architecture lovers alike, features brick architecture from around the world that demonstrates the potential of clay building materials. It provides a source of inspiration, encouraging architects to continuously explore new products and unusual applications and forms, according to the needs of their clients.

The latest issue profiles two London-based residential projects: an award-winning designed development inspired by Victorian terraces in Hindmands Yard, Southwark, and an upgraded back-land area of a two-storey brickhouse in Highgate, North London.

Annette Forster, marketing director at Wienerberger UK, said: “At Wienerberger we are very focused on digital construction as we continue our efforts in spearheading online technology within the industry. Having already launched a variety of web-based tools, including our e4 app and RoofSpec, we’re continuing to harness digital change across the sector. Making our Architectum magazine available online is testimony to this movement.”

Source Buildingproducts

24/04/2017

AVEC MÉTÉO PROS, IMERYS TOITURE FAIT LA PLUIE ET LE BEAU TEMPS

Lors de la pose ou de la rénovation d’une toiture, la planification et la préparation sont des étapes essentielles à respecter par les artisans pour bien réussir leurs projets. Mais s’il est un facteur difficile à maîtriser, ce sont bien les caprices de la météo qui peuvent ralentir un chantier. Soucieux de faciliter le travail quotidien de tous les professionnels de la toiture et de la façade, IMERYS Toiture, leader de la tuile terre cuite et spécialiste de solutions pour toits et façades, lance Météo PROS, la première application mobile de surveillance météo et d’organisation de chantier.

Avec Météo PROS, les artisans sont les maîtres du et de leur temps

Développée en partenariat avec Météo Groupe, leader européen de la prévision météorologique, Météo PROS a été spécialement conçue par IMERYS Toiture pour répondre aux besoins de tous les professionnels de la toiture et des façades désireux d’introduire les données météorologiques dans la planification de leur chantier.

Disponible gratuitement courant avril sur Google Play et l’Apple Store, Météo PROS est la première application qui propose à la fois aux artisans :

• la surveillance météorologique de leurs chantiers,

• et un outil de planification et d’organisation de ces derniers en fonction des conditions météos.

Répondant aux besoins d’informations en temps réel des professionnels, IMERYS Toiture les aide ainsi de façon simple à sécuriser et à optimiser leurs interventions en fonction des conditions météo tout en leur permettant d’être alertés en cas de risques d’intempéries.

Météo PROS : une utilisation intuitive

Une fois l’application téléchargée, l’accès sécurisé s’effectue simplement à l’aide des identifiants et codes d’accès habituels utilisés sur www.imerys-toiture.com ou en créant directement un compte sur Météo PROS. Dès lors, l’artisan peut utiliser l’outil sur plusieurs appareils (tablettes, smartphones…) et retrouver toutes ses informations.

Après connexion et validation de son profil, il suffit simplement au professionnel de :

• renseigner ses chantiers (nom de projet, localisation par saisie ou géolocalisation, descriptif, téléphone d’un contact sur place…),

• personnaliser ses seuils d’alerte selon 4 critères pour chaque chantier en cours et à venir, en fonction de ses habitudes d’intervention (pluie en mm de précipitation, vitesse du vent, risque de neige, plages de températures).

Il peut alors voir facilement sur l’écran d’accueil les prévisions météo heure par heure à 7 jours de ses prochaines réalisations, la tendance pour les 14 jours suivants et être alerté dès J-2 par notification en cas de prévision supérieure à ses seuils de vigilance pour chacun de ses chantiers.

Pratique, une timeline permet de naviguer heure par heure sur la journée en cours, de visualiser d’un coup d’œil les alertes si l’une des variables dépasse les seuils définis et de vérifier la météo sur le reste de la semaine. Grâce à une actualisation toutes les 6 heures à J-1 et toutes les heures le jour J, l’artisan dispose ainsi d’une information en temps réel la plus fiable possible.

Directement depuis l’application, l’artisan peut enfin appeler son client, lancer un itinéraire, partager le chantier avec un collaborateur ou encore synchroniser les agendas de Météo PROS et de son smartphone.

Avec Météo PROS et sa gestion des alertes développée spécifiquement pour la profession, IMERYS Toiture simplifie la surveillance météo des chantiers, de la planification à l’intervention. Inédit, ce nouveau service deviendra vite indispensable à tous les professionnels pour prendre les bonnes décisions en terme d’organisation, et ce dès le début de leurs chantiers.

Source Batipresse

23/04/2017

Pour une sécurité sociale du logement

Le 31 janvier 2017, Jean-Luc Mélenchon participait à la présentation du rapport de la Fondation Abbé Pierre sur le mal-logement.

Il a développé ses propositions sur ce sujet et a en particulier proposé la création d’une véritable «sécurité sociale du logement». Jean-Luc Mélenchon a décliné plusieurs de ses propositions : plan d’investissement de 18 milliards d’euros, construction de 200 000 logements par an, rénovation de 700 000 logements, taxation sur les transactions immobilières les plus élevées ainsi que sur l’héritage…

Plus généralement, il a appelé à prendre conscience que le problème principal du mal-logement était le non-partage des richesses et qu’on ne pouvait tolérer que 2 000 personnes meurent chaque année dans la rue alors que notre pays est plus riche qu’il ne l’a jamais été.

Source JLM2017

VISITEZ ETC FRANCE AU 20E SALON BATIMATEC À ALGER DU 23 AU 27 AVRIL 2017 (STAND AS35). VOIR NEWS.

Forte de nombreuses réalisations à travers le monde et d’une équipe technique et commerciale expérimentée issue du plus grand groupe français dans le domaine, Expertises et Technologies Céramique France (ETC France) est un acteur majeur dans la conception, la réalisation, la mise en route et le suivi de briqueteries et tuileries clés en main.

L’ensemble des collaborateurs de la société et ses partenaires s’appuie sur des valeurs tournées autour de fabrications fiables et de qualités reconnus par ses clients historiques mais aussi récents.

Avec ses équipements fabriqués exclusivement en France et à partir d’au moins 90% de pièces issues de l’Union Européenne, ETC France assure à ses clients une durée de vie de ses lignes de production bien au-delà de la moyenne, généralement de plusieurs dizaines d’années, sans rénovation majeure.

L’innovation continue est également au cœur de ses priorités quotidiennes afin de proposer une large offre d’équipements à la pointe des techniques de process et des solutions sur-mesure encadrées par un service après-vente efficace et essentiel.

ETC France représente le savoir-faire à la française

Source ETC

22/04/2017

Algérie:Le 20ème Salon international du bâtiment "Batimatec" du 23 au 27 avril à Alger


La 20ème édition du Salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics (Batimatec 2017) se tiendra du 23 au 27 avril au Palais des expositions des Pins maritimes (Alger) avec la participation de quelque 1.300 exposants algériens et étrangers, a-t-on appris auprès des organisateurs.

Cette manifestation économique, co-organisée par la société Batimatec Expo et la SAFEX, regroupera les industriels, les producteurs et les concepteurs de produits, de matériaux et de procédés intéressant le bâtiment, la corporation des architectes et urbanistes, les investisseurs, les porteurs de projets ainsi que les financiers et les experts, indiquent les organisateurs dans un communiqué.

Batimatec 2017 intervient dans "un contexte difficile marqué par l'entame d'une nouvelle stratégie de développement économique où les secteurs de l'habitat, de la construction, des grandes infrastructures, de l'hydraulique et des travaux publics occupent une place prépondérante", relèvent les organisateurs.
Les conférences et les ateliers qui seront organisés en marge du salon aborderont plusieurs thématiques comme l'innovation, l'éco-construction, la sécurité industrielle, la formation aux métiers du bâtiment, l'industrie des ciments et la promotion des produits locaux.

Les organisateurs prévoient aussi de mettre en lumière les entreprises nationales (notamment les PME et les PMI) innovantes, qui proposent des produits conformes aux normes et standards internationaux et qui arrivent surtout à conquérir des marchés extérieurs.

L'objectif est de "répondre de manière judicieuse à l'ambition des pouvoirs publics de promouvoir de nouveaux secteurs de l'économie hors hydrocarbures", selon le P-dg de Batimatec Expo Raouf Stiti, cité dans le communiqué.

Source Maghrebemergent

La Brenne a perdu un patrimoine vivant: La Tuilerie de la Lorne qui perpétuait, depuis 1774 un vrai savoir-faire artisanal, a été mise en liquidation judiciaire.


Pascal Robin venait de lancer une gamme de carreaux à motifs médiévaux.

Pascal Robin était arrivé en Brenne au printemps 2011 avec la foi du charbonnier. Ce commercial reprenait un joyau de l'artisanat local, la Tuilerie de la Lorne, avec l'objectif de pérenniser un savoir-faire ancestral puisque le site du Ruffec-le-Château fonctionnait depuis 1774. Les tuiles et carreaux fabriqués avec une argile blanche provenant de Pouligny, ou plus orangée, extraite dans une carrière voisine, étaient cuits au feu de bois.

Il voulait développer une production auréolée du label Entreprise du patrimoine vivant, en se diversifiant. La création de nouveaux formats, de carrelages inédits, de plaques à pizza, de repose plats, de presse-papiers, lui amenait des clients supplémentaires. Encouragé par l'obtention d'un Ruban vert de l'agriculture, il visait également le haut de gamme en lançant des carreaux à motifs médiévaux.

" Tout le monde était bien content de trouver un pigeon "

 « Nous sommes sur de la reconstitution historique et j'ai effectué de nombreuses recherches sur les produits utilisés du XIIe au XIVe siècles », expliquait, en juillet 2016, le propriétaire des terres cuites de la Lorne, en mesure de proposer une cinquantaine de modèles représentant des animaux, des personnages ou des décorations. Un travail vendu de 490 € le mètre carré pour une rosace à 850 € le mètre carré pour un beau carreau. Le créneau existait, mais son problème était de faire vivre cette entreprise de trois salariés qui avait des difficultés à joindre les deux bouts en raison, notamment, de la faible capacité de son four.
 « Nous avions été placés en redressement judiciaire en juin 2015, rappelle Pascal Robin. L'association Egée nous avait aidés à travailler sur les améliorations à apporter en terme de production, de prix de vente. Nos seize rotations annuelles n'étaient pas suffisantes, il aurait fallu une cuisson supplémentaire et déjà, j'avais dû licencier un employé. »
Malgré un carnet de commandes important, la fin de cette belle aventure était devenue inéluctable. « J'ai demandé, en vain, à la communauté de communes, qui avait aménagé le bâtiment, une baisse du loyer. J'ai également essayé de discuter avec le Parc, mais il ne s'est rien passé. Quand je suis arrivé, je n'étais pas de métier et tout le monde était bien content de trouver un pigeon. Les collectivités locales ne nous ont jamais fait appel pour un chantier et je me suis toujours retrouvé seul. A un moment, il faut savoir s'arrêter. »
Le destin d'une des dernières tuileries artisanales de l'Hexagone, qui accueillait régulièrement des visiteurs à l'occasion des opérations Secrets de fabrique, des Journées du patrimoine et des métiers d'art, des animations du Parc de Brenne et de l'Écomusée du Blanc, est maintenant entre les mains du syndic.
 « J'assure actuellement la transition, conclut Pascal Robin. Si un projet de relance se dessine et qu'on me consulte, je l'étudierai. Le potentiel existe, mais il faudrait investir sur l'ancien four pour que l'entreprise soit viable. »

réactions  " Tout a été mis en oeuvre pour sauver cette activité "

 Sébastien Lalange, responsable du Pôle développement local du PNR Brenne. « Cette situation est forcément très traumatisante pour M. Robin qui s'est beaucoup investi dans cet établissement, en lui consacrant énormément de temps, d'argent, d'énergie, mais il n'a pas de reproches à nous faire. Nous ne sommes pas des donneurs d'ordres par rapport aux entreprises qui interviennent sur les chantiers. Elles sont responsables de l'opération et même si on peut avoir des préférences pour un fournisseur, on se garde bien d'être prescripteur. Néanmoins, il y a plusieurs années, nous avions eu l'occasion de faire travailler son prédécesseur. La toiture de halle de la Maison du Parc a été réalisée avec des petites tuiles fabriquées à Ruffec. »

Guy Leroy, directeur de la Communauté de communes Brenne-Val de Creuse. « Il faut savoir que, pratiquement depuis le début, M. Robin ne payait pas le loyer de son crédit-bail. Nous faisions le mort en espérant que la situation s'arrange, mais il nous doit maintenant plus de 80.000 €. Il reproche aux collectivités locales de ne pas l'avoir fait travailler, mais il occupait plutôt une niche d'artisans et de particuliers, et en ce moment, nous n'avons pas d'intervention sur bâtiments couverts de tuiles. Nous avons pris du temps pour le rencontrer à plusieurs reprises et tout a été mis en œuvre pour sauver cette activité. Cette situation est regrettable et on ne souhaite surtout pas que le site soit démantelé. Avec le liquidateur, il faudrait trouver une solution pour faire repartir la production. »

Source La Nouvelle République par Jean-Michel Bonnin

21/04/2017

Point conjoncture : les matériaux de construction remontent la pente

Il y avait bien longtemps que l’Unicem (Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction) ne s’était pas montrée aussi optimiste ! Pourtant, au vu des résultats enregistrés par le secteur en février dernier, l’organisme semble avoir retrouvé le sourire. Et il y a de quoi : les permis de construire sont en hausse, les carnets de commandes des travaux publics et routiers se remplissent, tandis que la production de BPE et de granulats augmente également.

Les professionnels du secteur des matériaux de construction doivent pousser un « ouf » de soulagement ! Alors que 2016 avait été très inégale, le marché avait été frappé de plein fouet par une vague de froid en ce début d’année, conduisant à une baisse de production de béton prêt à l’emploi et de la livraison de granulats.

Pourtant, avec l’arrivée de février, c’est toute l’activité qui semble avoir renoué avec la croissance ! Dans son dernier rapport, l’Unicem note en effet que « les livraisons de granulats se sont raffermies de +9,8% par rapport à janvier et de +7,6% par rapport à janvier de 2016 ». De quoi éveiller l’optimisme de l’organisme, malgré la baisse globale des livraisons de granulats sur les deux premiers mois de l’année (-1,3%).

En parallèle, le BPE renoue, lui aussi, avec la croissance : +14,1% par rapport à janvier, et +13,2% par rapport à février 2016. « Ce redressement permet là aussi de compenser partiellement le repli de janvier et, sur les trois mois allant de décembre à février, la tendance de l’activité ressort à +0,3% par rapport au trimestre précédent et à +1% comparé à la même période d’il y a un an », commente l’Unicem.

Malgré la baisse d’activité globale enregistrée sur les deux premiers mois 2017 (-1%), l’Union reste malgré tout confiante quant au « retour vers une trajectoire de croissance » comme ce fut le cas l’année dernière.

Tous les voyants au vert pour le BTP

En parallèle, l’Unicem rappelle que « le climat des affaires est resté stable » dans le secteur du bâtiment. Face à ce constat, les entrepreneurs sont également plus nombreux à attendre un redressement de leur activité.

« Si les carnets de commandes sont jugés un peu moins garnis en mars, leur niveau s’est stabilisé à 7 mois d’activité (compte tenu des effectifs actuels), soit un niveau supérieur à la moyenne de long terme (5,5 mois). Les dernières données sur la construction confirment un niveau plutôt soutenu de l’activité », précise l’organisme.

Même dynamique du côté des mises en chantier de logements neufs, qui ont augmenté de +8,6% entre décembre et février comparé à la même période l’année précédente. Dans le même temps, les permis, quant à eux, progressent de +15,5%. Sur un an, on recense ainsi 463 400 autorisations (+14,4%) et 387 000 logements débutés (+13%).

Enfin, les travaux publics, après une période hivernale particulièrement mal vécue, voient également ses carnets de commandes se regarnir « sous l’effet de la montée en charge du projet du Grand Paris mais aussi de certains chantiers liés aux infrastructures de transport ou au plan de relance autoroutier ».

Une conjoncture globalement favorable, donc, qui a mené la Commission économique de l’Unicem à « confirm[er] ses perspectives de croissance de la production des matériaux de construction en 2017, à +2% pour les granulats et à +3% pour le BPE ». De bonnes nouvelles en perspectives !

Source Batiweb

20/04/2017

Changes in Board of Directors at Braas Monier Building Group

* Change in the board of directors at Braas Monier Building Group S.A.; structure to be be adapted to the new shareholder structure following the closing of Standard Industries takeover offer for Braas Monier

* Board members Emmanuelle Picard, Francis Carpenter, Guy Harles snd Werner Paschke have resigned from board with effect as of today

* Pierre-Marie de leener, chairman of board, has resigned from board with effect of March 28, 2017

* By way of co-optation, Matthew Russell, CFO of Braas Monier, David J. Millstone and David S. Winter, Co-CEOs of Standard Industries, Tony Robson, Executive Chairman of Icopal, John F. Rebele, CFO of Standard Industries and Jason I. Pollack, General Counsel at Standard Industries, have been appointed to the Board with effect as of today

* Today's newly appointed board members as well as Georg Harrasser, who was co-opted into board already with effect as of Nov. 9, 2016, have been appointed on a temporary basis until AGM on May 10, 2017 Source text for Eikon: Further company coverage: (Gdynia Newsroom)

Source Reuters

19/04/2017

Présidentielle 2017 : la filière terre cuite veut un pacte pour la construction

Lutte contre l'étalement urbain, prise en compte de la durée de vie des matériaux ou de proximité de lieu de production, la Fédération Française des Tuiles et Briques ne manque pas d'idées à soumettre aux candidats à l'élection présidentielle. Comme nombre d'autres filières, elle a publié un Livre blanc rassemblant ses propositions.La Fédération Française des Tuiles et Briques (FFTB) plaide pour une relance du bâtiment en France. Dans un livre blanc, intitulé "Construction de logements : pour un nouveau pacte social français", Pierre Jonnard, son président, évoque l'ensemble des propositions de la filière terre cuite, qui souhaite participer au débat actuel et à la réflexion sur la politique de l'urbanisme.


Première priorité : faire reconnaître la durabilité du matériau. "En tant qu'industriels, nous alertons les pouvoirs publics sur l'importance de mieux prendre en considération la durabilité au sens de 'durée de vie' si nous voulons lutter contre l'obsolescence programmée dans un secteur aussi important que le logement. Favorisons des bâtiments à longue durée de vie (supérieure à 200 ans)", déclarent les membres de la FFTB. Ils souhaitent donc que soit imposée, pour tout affichage environnemental, une indication de la durée de vie estimée du produit, et que des facilités soient accordées à l'assurance des ouvrages comportant des produits réutilisés. Toujours dans cette optique de durabilité, la FFTB soumet l'idée de "compléter les garanties légales fournies par une garantie relative aux produits de construction structuraux assurant qu'ils conservent au cours de leur vie, leurs caractéristiques essentielles", en termes de résistance mécanique ou thermique, et qu'ils ne limitent pas la durée de vie de l'ouvrage lui-même. Elle évoque même la création d'un label "bâtiment géosourcé renouvelable" à l'image du biosourcé, qui reconnaîtrait le caractère renouvelable de l'argile. De même, les membres de la filière terre cuite veulent introduire dans la loi et dans les appels d'offres publics, un critère de durée de vie et d'aptitude au recyclage pour les produits de construction. A l'échelle des bâtiments, dont ils souhaitent que l'analyse du cycle de vie se fasse sur des périodes "réalistes", ils proposent de favoriser la conservation des ouvrages en partie ou en totalité pour une conversion d'usage, plutôt qu'une démolition pure et simple.



Dans un autre chapitre, le président de la fédération insiste sur la valorisation d'une production industrielle locale : "Nos usines sont présentes dans les territoires sur plusieurs décennies. Elles sont engagées au quotidien avec les acteurs locaux, les élus bien sûr, mais aussi les associations sportives, culturelles et naturellement le tissu économique créé avec nos fournisseurs, sous-traitants, clients". La FFTB revendique 100.000 emplois induits, qu'il s'agisse de maçons, couvreurs, charpentiers ou plâtriers. Selon la filière terre cuite, des symbioses industrielles locales pourraient être encouragées, notamment avec le développement attendu du biogaz comme source de chaleur, notamment en renforçant des soutiens financiers ou en consolidant le tarif d'achat (quelle que soit la taille de l'installation de méthanisation). Elle espère également que soit favorisée la valorisation de déchets locaux, qu'ils soient organiques ou qu'ils proviennent du bâtiment, en réduisant les délais d'instruction des dossiers ICPE ou en mettant en place un guichet unique. Pour soutenir l'attractivité des territoires, la filière appelle de ses vœux la création d'un label de typicité ou d'authenticité des nouvelles constructions dans des zones conservées. Elle insiste sur l'introduction d'un critère de "perception" de cette qualité architecturale pour des projets de promotion, lotissement et aménagement. Le but : encourager l'utilisation de matériaux de construction locaux par le biais des règlements d'urbanisme.

Enfin, Pierre Jonnard, souhaite concilier l'aspiration des Français à la maison individuelle et une gestion raisonnée de l'urbanisation en périphérie des centres urbains : "La FFTB souhaite encourager une politique de concertation afin que le point de vue des habitants sur le type de logements qui seront construits soit davantage pris en compte par les politiques urbaines". Parmi les idées avancées par la fédération figure la redéfinition des liens et des rôles entre citoyens et autorités, sous la responsabilité des EPCI pour faire émerger des centralités structurant l'aire urbaine (SCOT, PDU, PLU). Elle propose également un nouveau statut renforçant les moyens des CAUE. Pour libérer du foncier, la filière estime nécessaire d'accélérer la mise à disposition des terrains publics et de lutter contre la rétention foncière en taxant davantage les terrains constructibles tout en allégeant la fiscalité sur les mutations à destination du logement. Elle suggère de différencier accès à la propriété et possession du terrain, notamment en faisant la promotion du "bail à construction" permettant à un preneur de faire une acquisition en deux temps (la construction puis la parcelle). La FFTB espère par-là densifier les zones pavillonnaires, également grâce à des modifications facilitées du PLU et des démarches de construction issues des divisions parcellaires. "A ce titre, l'approche BIMBY - Build in my backyard - est un réel activateur de la libération de foncier et de la création de nouveaux logements ou activités sur les terrains déjà bâtis", conclut le président.

Source Batiactu

18/04/2017

Imerys Toiture lance une application au service des professionnels de la toiture et de la façade

Il aura fallu à peine plus d’un an à Imerys Toiture, spécialiste des tuiles terre cuite, pour mettre au point une application répondant pleinement aux besoins des artisans du secteur. Développée avec ces derniers, Météo Pros propose à ses utilisateurs de surveiller très simplement les conditions climatiques auxquels sont soumis les chantiers, garantissant ainsi une organisation optimale des opérations. Les détails de ce nouvel outil numérique, qui sera disponible gratuitement dans les jours à venir.

Acteur incontournable des tuiles terre cuite en France, Imerys Toiture vient de franchir un nouveau cap dans sa politique de Recherche & Développement en présentant l’application mobile Météo Pros.

« Aujourd’hui, notre position fait que nous avons un engagement et une volonté de nous orienter sur des innovations autres que les produits pour pouvoir faciliter la vie quotidienne des couvreurs », indique Olivier Lafore, directeur marketing et communication au sein d’Imerys Toiture.

Un travail collaboratif avec les artisans

C’est justement dans le but de faciliter le travail des professionnels de la toiture et de la façade que le spécialiste de la tuile terre cuite a développé Météo Pros. La sortie de cette application résulte cependant d’un travail minutieux initié en janvier 2016, auquel ont été conviés des artisans afin d’identifier clairement leurs besoins pour y répondre au mieux.

Une pratique systématique pour Imerys Toiture, qui intègre constamment les professionnels dans sa stratégie de R&D « de façon à ce qu’ils puissent être acteurs et modifier, à leur échelle, les orientations que l’on prend, aussi bien sur les produits que sur les services », comme le précise Olivier Lafore.

Vers une maîtrise du temps optimisée

Ainsi, un peu plus d’un an après le lancement du projet, Météo Pros a finalement été soumise aux stores Android et Apple ce lundi 10 avril, pour une mise en téléchargement dans les prochains jours. Développée en partenariat avec Météo Groupe, l’application se présente comme un outil « de surveillance météo et d’organisation de chantier. »

Simple d’utilisation et particulièrement intuitive, elle propose aux utilisateurs de s’identifier pour renseigner toutes les informations relatives à leurs chantiers : nom du projet, localisation (par saisie ou géolocalisation), descriptif rapide et coordonnées d’un contact sur place.

« Pour chaque chantier [renseigné], l’artisan va avoir la possibilité de régler les niveaux des seuils d’alertes relatifs à la pluie, au vent, à a température ou à la neige. Il va ensuite avoir accès à son planning, sur lequel il va pouvoir gérer à la fois son planning de chantiers et avoir des alertes météos dans le cas du dépassement des seuils », détaille Olivier Lafore.


L’écran d’accueil affiche alors, en temps réel, les prévisions météorologiques des prochaines réalisations. Dans le cas où les seuils de vigilance seraient atteints, l’application envoie elle-même une notification à l’utilisateur dès J-2. L’information est ensuite actualisée « toutes les 6 heures à J-1 et toutes les heures le jour J », d’après Imerys Toiture.

« Directement depuis l’application, l’artisan peut enfin appeler son client, lancer un itinéraire, partager le chantier avec un collaborateur ou encore synchroniser les agendas de Météo Pros et de son smartphone », ajoute l’entreprise. Des fonctionnalités qui devraient, sans nul doute, convaincre les professionnels ciblés, même si aucun objectif de téléchargements n’a été communiqué à ce jour.

Source Batiweb par Fabien Carré

17/04/2017

Isolation thermique intérieure (ITI) : la solution économique en construction

En totale adéquation avec les exigences de la RT 2012 et de la RT 2020 dans l’habitat collectif et la maison individuelle, l’ITI (isolation thermique intérieure) est synonyme de simplicité, de maîtrise des coûts et de performances optimales.


L’isolation thermique intérieure est à l’heure actuelle la mise en œuvre la plus utilisée sur le marché de la construction de logements et bâtiments en France. Pourquoi ? Tout simplement à cause de son mode constructif – association d’une paroi et d’un isolant à l’intérieur du bâtiment – mais aussi par ses réponses simples et efficace aux contraintes du marché.

ITI : un atout conformité

Avec des matériaux isolants de type a (comme la brique en terre cuite) et un isolant rapporté, l’isolation thermique par l’intérieur offre une structure qui respecte largement les exigences pour la suppression des ponts thermiques tout en répondant aux contraintes acoustiques, de résistance au feu et sismiques.

ITI : un dispositif économique

Ce mode d’isolation traditionnel contribue à réaliser des économies de coûts de construction substantielles par rapport à une isolation extérieure sur une structure coffrée, en combinant simplicité et rapidité de mise en œuvre.

Être performant :

ITI : pour allier performances et esthétique

Dans le cadre d’une ITI, l’isolation apportée au mur (en briques par exemple) et le bon traitement des ponts thermiques permettent une amélioration des consommations de chauffage.

De par son principe, l’isolant est à l’intérieur. L’ITI laisse donc une liberté de créativité totale en façade pour individualiser l’aspect du bâtiment selon les besoins ou les envies.

ITI : des solutions adaptées et maîtrisées

Adaptée à tous les projets de maison individuelle, logements collectifs, ou bâtiments tertiaires, une solution en ITI existe pour tous les projets, et ce quelle que soit la hauteur de la construction (R+4 ou R+5) et la complexité de la réalisation envisagée.

De plus, les acteurs de la construction, comme les bureaux d’études, les architectes et les entreprises ont une longue expérience de cette mise en œuvre ce qui assure un chantier mené dans les meilleures conditions et un accès garanti aux avantages de ce mode constructif.

Source LE MONITEUR.FR

16/04/2017

Wienerberger source renewable electricity from DONG Energy

UK building materials producer enters into partnership with global leader in offshore wind power

WIENERBERGER, one of the UK’s largest providers of building material solutions, have announced a partnership with DONG Energy, a global leader in offshore wind power.

The new relationship means all of Wienerberger’s UK sites will now be supplied with renewable electricity, demonstrating the company’s commitment to responsible sourcing and reducing the carbon footprint of its business activities.


DONG Energy supply renewable electricity from eight offshore wind farms in the UK, backed by Renewable Energy Guarantees of Origin (REGOs).

Last year the company announced it would supply renewable electricity at no additional premium, so that UK businesses can achieve their sustainability ambitions without commercial disadvantage.

The relationship will allow Wienerberger to reduce the environmental impact of their operations, which will, in turn, provide a direct benefit to customers – particularly those pursuing low embodied carbon options for the built environment.

Jeff Whittingham, managing director of DONG Energy Sales UK, commented: ‘DONG Energy are driving the transition to low-carbon energy systems in the UK, and we believe that businesses should have access to renewable electricity supply without incurring additional cost.

‘Naturally, we are delighted that Wienerberger share our ambition of creating this greener energy future. It’s exciting that one of the UK’s largest building material producers places such a strong emphasis on sustainability.’

Paul Stevenson, finance director at Wienerberger, commented: ‘Our procurement of renewable electricity is just one of many steps we are taking at Wienerberger to reduce our carbon footprint.

‘We’re pleased to be working with DONG Energy, a company which shares our values and is passionate about enabling a sustainable future.’

Source AGG NET