Monier France, filiale française du groupe Braas Monier, organise la seconde édition du concours Black Tendance. Du 15 mars au 7 juillet 2017, architectes, constructeurs, entreprises de pose et promoteurs peuvent participer à ce concours qui vise à récompenser les meilleures créations utilisant la nouvelle couleur tendance : le noir. Meriem Dussart, directrice marketing et communication chez Monier France, nous en dit plus.
Deux ans après la première édition du concours Black Tendance, en 2015, qui avait rassemblé une centaine de participants, Monier, fort de ce succès et de son expérience, a décidé de lancer une seconde édition il y a un peu plus d’un mois.
Pourquoi le noir ?
« Aujourd’hui, les coloris foncés sont à la mode dans les architectures depuis 2-3 ans », constate Meriem Dussart, directrice marketing et communication chez Monier France. « On voit de plus en plus des façades blanches et des menuiseries noires et anthracite ». Une mode qui fait les affaires de Monier. « Notre offre est assez développée sur cette couleur-là, de l’entrée au haut de gamme. C’est l’occasion pour nous de nous démarquer de la concurrence, dont les concours sont souvent axés autour de la tradition et de l’histoire. Le notre est plus moderne ».
La raison invoquée de cette mode est que le noir se marie bien avec les crépis blancs actuels. « Dans le sud, et notamment à Bordeaux qui est en plein essor, on en voit de plus en plus, alors que le noir était traditionnellement réservé au Nord », explique-t-elle.
Organiser ce concours deux ans après le précédent n’est pas non plus un hasard de calendrier. « Il faut laisser au client le temps de réaliser sa maison, et nous évitons le rush qu’est l’organisation quasi permanente d’un concours ».
Comment fonctionne le concours ?
« Les participants prennent des photographies de l'ouvrage, puis s’inscrivent sur le site Black Tendance, nous soumettent les coordonnées et nous envoient les photographies. » Malgré l’utilisation de ces dernières, elle affirme qu’il ne s’agit pas d’un concours photo.
« L’idée est de voir comment sont constitués les ouvrages, pas de juger la qualité des photos. » Deux conditions, très simples : « il faut que la maison utilise une de nos 28 tuiles sombres, et seules les constructions et rénovation récentes de moins de 5 ans peuvent participer. »
Pour sa seconde édition, le concours recèle une petite nouveauté. « Le jury remarquera les dossiers qui s’inscrivent dans une démarche environnementale. Ce n’est bien sûr pas obligatoire, mais il s’agit d’un critère pris en compte, pour départager deux dossiers notamment. »
Le jury en question est constitué de neuf personnes. Comment sont-elles choisies ? « Nous avons décidé de mixer des personnes n’appartenant pas à Monier afin d’avoir un œil externe. Chaque membre du jury est différent : architecte, journaliste, couvreur, industriel, une personne partie vente, une autre partie technique, et une dernière communication. Les débats sont bien plus animés ! », confie Meriem Dussart.
Participer, oui, mais pourquoi ?
Si Pierre de Coubertin disait que l’important était de participer, il est difficile aujourd’hui de convaincre quelqu’un de participer à un concours de ce genre sans récompense valable à la clé. Lorsqu’on lui demande l’intérêt pour un participant, Meriem Dussart en expose la raison principale. « Au-delà des cadeaux, ce concours permet d’avoir une visibilité. Les gagnants sont fiers d’avoir un premier prix dans un concours qui récompense une belle architecture. Ce prix, ils peuvent l’afficher dans leur bureau, cela permet d’asseoir leur crédibilité, d’autant que Monier communique dans la presse et cite le gagnant, ce qui fait une excellente publicité. »
Le concours est divisé en deux catégories (maison individuelle vs collectif et tertiaire) et récompense 7 gagnants : 4 au niveau régional (Nord, Sud, Est et Ouest) et 3 au niveau national. De quoi faire plusieurs heureux, avec des week-ends de vacances à gagner ainsi que des drones, en plus du prestige de la victoire.
Si le concours Black Tendance continue de rencontrer du succès, Monier n’exclut pas d’en organiser d’autres du même genre à l’avenir.
Source Batiweb
Deux ans après la première édition du concours Black Tendance, en 2015, qui avait rassemblé une centaine de participants, Monier, fort de ce succès et de son expérience, a décidé de lancer une seconde édition il y a un peu plus d’un mois.
Pourquoi le noir ?
« Aujourd’hui, les coloris foncés sont à la mode dans les architectures depuis 2-3 ans », constate Meriem Dussart, directrice marketing et communication chez Monier France. « On voit de plus en plus des façades blanches et des menuiseries noires et anthracite ». Une mode qui fait les affaires de Monier. « Notre offre est assez développée sur cette couleur-là, de l’entrée au haut de gamme. C’est l’occasion pour nous de nous démarquer de la concurrence, dont les concours sont souvent axés autour de la tradition et de l’histoire. Le notre est plus moderne ».
La raison invoquée de cette mode est que le noir se marie bien avec les crépis blancs actuels. « Dans le sud, et notamment à Bordeaux qui est en plein essor, on en voit de plus en plus, alors que le noir était traditionnellement réservé au Nord », explique-t-elle.
Organiser ce concours deux ans après le précédent n’est pas non plus un hasard de calendrier. « Il faut laisser au client le temps de réaliser sa maison, et nous évitons le rush qu’est l’organisation quasi permanente d’un concours ».
Comment fonctionne le concours ?
« Les participants prennent des photographies de l'ouvrage, puis s’inscrivent sur le site Black Tendance, nous soumettent les coordonnées et nous envoient les photographies. » Malgré l’utilisation de ces dernières, elle affirme qu’il ne s’agit pas d’un concours photo.
« L’idée est de voir comment sont constitués les ouvrages, pas de juger la qualité des photos. » Deux conditions, très simples : « il faut que la maison utilise une de nos 28 tuiles sombres, et seules les constructions et rénovation récentes de moins de 5 ans peuvent participer. »
Pour sa seconde édition, le concours recèle une petite nouveauté. « Le jury remarquera les dossiers qui s’inscrivent dans une démarche environnementale. Ce n’est bien sûr pas obligatoire, mais il s’agit d’un critère pris en compte, pour départager deux dossiers notamment. »
Le jury en question est constitué de neuf personnes. Comment sont-elles choisies ? « Nous avons décidé de mixer des personnes n’appartenant pas à Monier afin d’avoir un œil externe. Chaque membre du jury est différent : architecte, journaliste, couvreur, industriel, une personne partie vente, une autre partie technique, et une dernière communication. Les débats sont bien plus animés ! », confie Meriem Dussart.
Participer, oui, mais pourquoi ?
Si Pierre de Coubertin disait que l’important était de participer, il est difficile aujourd’hui de convaincre quelqu’un de participer à un concours de ce genre sans récompense valable à la clé. Lorsqu’on lui demande l’intérêt pour un participant, Meriem Dussart en expose la raison principale. « Au-delà des cadeaux, ce concours permet d’avoir une visibilité. Les gagnants sont fiers d’avoir un premier prix dans un concours qui récompense une belle architecture. Ce prix, ils peuvent l’afficher dans leur bureau, cela permet d’asseoir leur crédibilité, d’autant que Monier communique dans la presse et cite le gagnant, ce qui fait une excellente publicité. »
Le concours est divisé en deux catégories (maison individuelle vs collectif et tertiaire) et récompense 7 gagnants : 4 au niveau régional (Nord, Sud, Est et Ouest) et 3 au niveau national. De quoi faire plusieurs heureux, avec des week-ends de vacances à gagner ainsi que des drones, en plus du prestige de la victoire.
Si le concours Black Tendance continue de rencontrer du succès, Monier n’exclut pas d’en organiser d’autres du même genre à l’avenir.
Source Batiweb
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