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20/11/2016

9 chantiers remarquables du patrimoine

La remise des prix du concours « Architecture & Patrimoine » de Maisons Paysannes de France vient de se dérouler au Salon International du Patrimoine Culturel. Cette 31ème édition récompense 4 prix dans la catégorie Bâti ancien, 2 prix attribués dans la catégorie Bâti contemporain et 3 coups de cœur : de magnifiques réalisations portées par des passionnés.
Les 9 chantiers sont à découvrir ici…
Soutenu par la Fondation du patrimoine, le ministère de la Culture et de la Communication, le Groupe Terreal et l’Agence Patrice Besse, ce concours annuel couronne les travaux de réhabilitation et/ou d’extension effectués dans les règles de l’art c’est-à-dire en respectant l’architecture originelle, les savoir-faire locaux, en utilisant les matériaux éco-responsables et de proximité. Il récompense également les constructions contemporaines harmonieusement intégrées à leur environnement bâti et paysager.
Le jury est composé d’experts, d’architectes, d’universitaires, de membres de la Fondation du patrimoine, du groupe Terreal, de l’agence Patrice Besse et des services des Patrimoines de l’Etat.

Source Batijournal

19/11/2016

Afghanistan: les ouvriers de la brique esclaves à vie

En Afghanistan, certains sont milliardaires alors que d’autres ne pourront jamais sortir de la pauvreté, à l’image de ceux qui travaillent dans les briqueteries. Du lever du jour au coucher du soleil, Dil Agha travaille dans un four à briques à la périphérie de Kaboul, la capitale afghane. Pourtant, il restera endetté jusqu'à la fin de sa vie. Il ne pourra jamais rembourser au propriétaire du four le prêt de quelques milliers de dollars que celui-ci lui accordé pour une urgence familiale. Des dettes que ses enfants devront assumer même après à sa mort.

Le sort de la famille de Dil Agha âgé de 23 ans est le même que celui des membres de centaines de familles afghanes qui vivent dans conditions incroyablement difficiles. Ne pouvant jamais échapper à leurs dettes, ils restent pauvres pendant des générations, fournissant à leurs patrons une main-d’œuvre constante à moindre coût. La Commission afghane indépendante des droits de la personne (AIHRC) n’hésitent pas à les définir comme les «esclaves du 21e siècle».

Rafiullah Baidar, le porte-parole de l'AIHRC, l’affirme aux journalistes d’Associated Press: «Ils sont comme des prisonniers, mais cette situation est une violation complète de leurs droits humains» les plus élémentaires, comme l’accès à l'éducation ou aux soins de santé et à des conditions de travail décentes. Car peu éduqués, peu formés et mal soignés, ils ne peuvent pratiquement jamais échapper à leurs conditions.
Pourtant, au cours des quinze dernières années, l'Afghanistan, pour combattre l’insurrection talibane et reconstruire le pays après des décennies de conflit, a reçu plusieurs milliards de dollars d'aides des Etats-Unis. Et plus de 70 pays se sont réunis à Bruxelles en octobre et se sont engagés à donner treize milliards d'euros pour couvrir les besoins de financement du pays durant les quatre prochaines années. En contrepartie des fonds accordés, l'Afghanistan doit mettre en œuvre un certain nombre de réformes politiques, économiques et sociales.

Neuf photos de Rahmat Gul datées d’octobre 2016 illustrent ce propos.
Alors que les fours à briques
rapportent à leurs propriétaires des millions de dollars par an, la loi ne fait rien pour améliorer la situation de personnes surendettées. Et le gouvernement ne veut pas intervenir par peur de se mettre à dos les riches prêteurs. Aucune solution n’est cherchée, aucune proposition n’est faite pour améliorer leur sort. Le vide juridique permet aux propriétaires de continuer cette pratique sans être inquiétés.
La plupart des travailleurs dans les briqueteries

viennent des villages pauvres de la province orientale de Nangarhar (à l’Est). Près de 80% des enfants des briquetiers travaillent aussi. Certains d’entre eux ont à peine 5 ans, alors que la loi interdit aux enfants de moins de 14 ans de travailler. La plupart d’entre eux n’ont aucune protection médicale, pourtant certains souffrent des maladies respiratoires, d’une croissance osseuse altérée et d’arthrite.
Mais comme le déclare l’Organisation internationale du travail (OIT),
interdire le travail des enfants dans les briqueteries s’avère très difficile, car «cela ne ferait que détériorer les conditions de vie des personnes concernées en reléguant ces pratiques dans la clandestinité». Les parents sont dépendants du revenu de leurs enfants pour pouvoir rembourser la dette qui les maintient dans la servitude.
Le propriétaire du four vient aussi de la région de Nangarhar.

Il a prêté de l’argent à tous ceux qui en avaient besoin puis a offert des emplois pendant la saison chaude (avril à octobre) afin que ses employés puissent rembourser leurs prêts. Mais le salaire dépend de la productivité. Il ne dépasse pas 15 à 23 dollars par jour.
Quand les briquetiers retournent dans leurs villages en hiver,
leur patron leur fait des avances sur salaires afin qu'ils puissent acheter suffisamment de nourriture et se chauffer pendant les mois d'hiver. Mais résultat, quand ils reviennent travailler au printemps, ils doivent encore plus d’argent.
En réalité, la situation est encore plus complexe.
Le terrain occupé par les 442 briqueteries de Kaboul est détenu par les oligarques et les anciens chefs de guerre afghans. Et ils se moquent de respecter les lois. A Deh Sabz, au nord-est de Kaboul, les 350 fours du district produisent en moyenne 700.000 briques par mois, soit 245 millions de briques pour les six mois que dure la saison. Avant cuisson, les briques coûtent 7,5 dollars les 1.000, mais une fois cuites, elles valent 48 dollars les 1.000. Un immense profit pour les seigneurs de la guerre.

Le seul organisme de réglementation
à s’occuper des fours des briqueteries est l'Agence nationale de protection de l’environnement et cet organisme s’occupe donc logiquement… de protéger l'environnement et seulement cela. Si les fours ont été déplacés hors de la ville pour lutter contre la pollution de l’air, pour Dil Agha, c’est le cadet de ses soucis.
Il y a quatre ans,
Dil et ses frères ont emprunté 6.100 dollars pour pouvoir payer un traitement médical à leur grand-mère et à une de leur sœur qui s’était cassé la jambe. Ils n’ont pour l’instant réussi à rembourser que 1.500 dollars. «Mon petit-fils n'a pas d'avenir. Quand il sera grand, il sera obligé de faire des briques pour m’aider à rembourser… Si je n’étais pas endetté, je pourrais l’envoyer à l'école et son avenir ne serait pas déjà gâché», précise la grand-mère.
Alifa a 65 ans.
Elle travaille dans un four de Deh Sabz pour aider son mari Gul Asgher et son fils de 28 ans Anwarullah qui doit rembourser un prêt de 1000 dollars. Elle a sept autres enfants et 12 petits-enfants. «Nous
n'avons rien. Nous avons tant de problèmes au milieu de cette boue et cette poussière», dit-elle. Nader, un ancien officier de l’armée afghane, devrait toucher une retraite de militaire. Mais en Afghanistan, un des pays les plus corrompus au monde, il faut payer un bakchich pour la toucher.
Source Geopolis par Laurent Filippi

KELLER: L’Iran est et reste passionnant

« L’Iran est et reste passionnant », voici comment résume le collaborateur KELLER Renzo Ronchetti ses impressions de la Confair 2016 à Téhéran. Le directeur commercial régional de Morando-Rieter s'est rendu en Iran et a répondu aux questions de clients intéressés sur le stand du partenaire commercial de KELLER Sepahan Machine Torabi.

« Le stand a connu une haute fréquentation tout au long du salon, il existe un grand intérêt pour nos solutions relatives à l’industrie de la terre cuite," poursuit M. Ronchetti. « Si le développement positif du pays s'instaure, nous aurons certainement une ou plusieurs commandes dans un proche avenir. Notre projet actuel est une excellente référence et me réjouis d’ores et déjà des nouveaux défis sur ce marché si grand et si passionnant. »

Source Keller

18/11/2016

EXPOSITION, Terre de Paris, de la matière au matériau, Jusqu'au 8 janvier 2017, au Pavillon de l'Arsenal

A première vue, ces briques entreposées sur des palettes en bois ont l’air banales. Erreur : elles sont très spéciales. Et c’est pour cela qu’elles trônent dans le Pavillon de l’Arsenal, à Paris, qui présente jusqu’au 8 janvier une «exposition-exploration» autour du potentiel des «terres de Paris et de sa région» comme matériau de construction. Ces pavés beiges et granuleux sont la première série de briques extrudées en terre crue francilienne. Elles ont été produites cet été par la briqueterie d’Allonne, à moins de 70 km de Paris, à partir de terres excavées sur un chantier immobilier à Quincy-sous-Sénart (Essonne). Quelque 15 m3 de matière argileuse a priori inexploitable (car la réglementation considère les déblais souterrains comme des déchets) ont permis de fabriquer près de 8 000 briques. «Ce matériau est plein de vertus», s’enthousiasme l’architecte Paul-Emmanuel Loiret, commissaire scientifique de l’exposition avec son confrère et associé Serge Joly.
«Intellectuel»
La terre crue affiche un très faible bilan carbone, quatre fois inférieur à celui du béton, grâce à
l’utilisation de déblais locaux, peu transformés, sans additifs (chaux ou ciment) et non cuits (peu de consommation d’énergie). Biodégradable et recyclable à l’infini, elle est «100% saine» et sans COV, ces composés organiques volatiles émis par les vernis ou plastiques qui polluent l’air intérieur. Elle permet de réguler l’humidité et la température au sein des édifices. «Et les maçons nous disent que quand ils travaillent en terre, ils trouvent cela valorisant. L’intérêt est aussi intellectuel et social», ajoute Loiret. Qui rappelle qu’une grande partie du centre de Lyon est construite en terre crue, comme un tiers de l’habitat humain dans le monde. «Ceci dit, ce n’est pas un matériau isolant et il n’a pas les mêmes caractéristiques mécaniques que le béton. On ne peut pas construire au-delà de quatre ou cinq étages. La terre n’a pas vocation à remplacer le bois, le béton ou l’acier, mais à se marier à eux.» Dans l’idée de redécouvrir les vertus de ce matériau ancestral, il n’est point question de retour en arrière. Au contraire, recherches et innovations se multiplient. L’expo présente des échantillons extraits du sous-sol parisien et des exemples de ce qu’on peut en faire : enduits, briques, matériaux de remplissage, pisé (béton d’argile compacté)… Elle montre aussi que de plus en plus d’architectes réalisent des projets en terre, en cherchant à ne pas y ajouter de ciment ni de chaux. La maison-manifeste de l’Autrichien Martin Rauch a été construite, des fondations au toit, avec de la terre excavée sur place. Le Chinois Wang Shu, prix Pritzker 2012, l’a employée dans le bâtiment d’un campus, à Hangzhou. L’agence Joly & Loiret l’a fait pour la maison du Parc naturel régional du Gâtinais, à Milly-la-Forêt (Essonne), en 2013. Et a proposé une tour de 40 mètres à l’enveloppe en terre, sorte de totem tellurique, sur le site de la gare Masséna, à Paris, pour l’appel à projet «Réinventer Paris». Elle a été recalée.
Pharaonique
Mais Joly et Loiret en sont convaincus : le grand retour de la construction en terre en France n’est
qu’une question de temps. «Les professionnels s’y intéressent. Si la volonté politique est au rendez-vous, on va y arriver. Le potentiel est énorme», estime Joly. Tout l’enjeu est de mettre en place la réglementation adéquate et de construire une filière, avec une économie tenant la route. Ce qui serait réaliste car, Joly l’assure, les constructions mixtes béton / terre «ne seraient pas plus chères que d’autres». D’autant que stocker la terre, comme on le fait aujourd’hui dans des carrières ou sur d’anciens terrains agricoles, prend une place folle et coûte «jusqu’à 500 euros la tonne». A l’horizon 2030, les volumes cumulés de terres inertes extraites en Ile-de-France tourneront autour de 400 millions. Pharaonique, «deux fois la hauteur de la tour Eiffel, illustre Serge Joly. Sachant qu’on peut construire un logement avec environ 100 tonnes de terre, on pourrait en bâtir un million en réutilisant ne serait-ce qu’un quart de ces volumes». Jolie équation.
Source Libération par Coralie Schaub

17/11/2016

Le groupe Bouyer Leroux, sponsor de Jean Le Cam sur le Vendée Globe 2016

Le Groupe Bouyer Leroux a conclu un partenariat avec le skipper Jean Le Cam dans le cadre de son projet participatif et collaboratif « Yes we cam ».
Le N°1 français des matériaux de construction en terre cuite l’accompagne sur son 60 pieds « Finistère – Mer Vent – Ensemble pour l’innovation » sur le Vendée Globe dont le départ a été donné aux Sables d’Olonne le dimanche 6 novembre 2016.
Le Groupe Bouyer Leroux est présent à travers sa marque phare bio’bric et ses filiales Thébault, SPPF, FLO et son réseau d’installateurs WIZEO fermetures.
Suivez la course de Jean Le Cam sur son site et le site de bio'bric.

Source Bouyer Leroux

16/11/2016

LE (PETIT) PRIX DU HARCÈLEMENT

Un ex-cadre commercial d’une société alsacienne spécialisée dans la fabrique de tuiles et de briques vient d’obtenir la condamnation de son ancien employeur pour harcèlement moral.
Claude Wroblewski revient de loin. Cet habitant de Seichamps de 56 ans est carrément un survivant. Le 7 mai 2011, il s’est mis une corde autour du cou. Bien décidé à en finir. « J’habite à côté d’un centre équestre et je dois la vie à des chevaux qui se sont mis à hennir. Cela a alerté mon voisin qui est venu me décrocher », raconte, au bord des larmes, le quinquagénaire qui est marié et père de deux enfants.
Selon lui, sa tentative de suicide est la conséquence directe de quatre années de harcèlement moral subi au boulot. Il était cadre commercial dans une société alsacienne spécialisée dans la fabrique de tuiles et de briques. Son supérieur hiérarchique lui aurait fait vivre un enfer.
Claude Wroblewski l’accuse de lui avoir mis une pression de tous les instants. En lui envoyant des mails incessants. A toute heure du jour et de la nuit. Y compris les week-ends et durant les vacances. Le quinquagénaire affirme aussi avoir été poussé à bout par des propos humiliants et des critiques permanentes.
Après avoir essayé de mettre fin à se jours, il a été hospitalisé durant de longs mois dans une unité psychiatrique puis en maison de convalescence. Il a ensuite tenté de reprendre son activité professionnelle. Mais a fait une rechute dans la dépression en septembre 2012. Depuis, il n’a plus été en mesure de revenir dans la vie active. Déclaré inapte par le médecin du travail en 2014, il a été licencié dans la foulée.
Victoire en appel Il s’est alors tourné vers la justice. Il a attaqué son employeur devant le conseil des prud’hommes d’Haguenau. L’entreprise alsacienne s’est défendue en soutenant qu’il n’y avait « aucun lien objectif » entre la tentative de suicide intervenue en dehors des horaires et du lieu de travail et l’activité professionnelle de son employé.
Elle a, de plus, soutenu qu’elle n’était pas restée indifférente à la situation de son salarié. D’une part, une enquête interne a été diligentée Après sa tentative de pendaison pour savoir s’il y avait eu ou non harcèlement. D’autre part, des mesures ont été prises pour qu’il ne soit plus sous l’autorité du même supérieur hiérarchique.
Ces arguments ont convaincu les prud’hommes qui ont débouté l’ex-cadre commercial de Seichamps. Mais ce dernier a saisi la Cour d’appel de Colmar. Et celle-ci lui a donné raison il y a quelques jours. Elle a estimé qu’il y avait bien eu harcèlement moral et que l’entreprise avait eu sa part de responsabilité en ne mettant pas en place « des mesures de prévention ».
« C’est un soulagement. Je respire enfin. C’était très important pour moi d’être reconnu comme victime de harcèlement », réagit Claude Wroblewski. Un bémol toutefois. Il réclamait 650. 000 € d’indemnisation et la Cour d’appel ne lui a accordé que 10. 000 €. « C’est peu. Car on m’a quand même volé mes 10 dernières années de travail, celles sur lesquelles je pouvais asseoir ma retraite », soupire l’ex-cadre commercial dont la vie professionnelle ne s’est jamais remise de cette affaire.
Source L'Est Républicain par Christophe GOBIN

15/11/2016

MONIER- Toiture méridionale

Le propriétaire du Domaine de la Coquillade, dans le Luberon, a souhaté réhabiliter une partie de cet ancien hameau pour ouvrir 35 chambres supplémentaires à son hôtel de charme 5 étoiles.

La tuile Canal Midi Patinée de Monier s’est imposée comme la meilleure réponse face aux besoins spécifiques : fiabilité, performance et esthétique, la toiture devant s’intégrer parfaitement dans un environnement d’exception, au cœur d’une exploitation viticole.
Cette tuile se bonifie lentement comme dans les chais qu’elle couvre.
Fabriquée dans la nouvelle tuilerie de Limoux, la Canal midi Patinée est une tuile de rénovation de haute tradition et disponible dans 3 teintes différentes (Nuances du sud, Toits de récup et Ambre), qui associées à l’effet lichen, font d’elle une reproduction parfaite d’une tuile de récupération.
Sa structuration et ses irrégularités rappellent le travail des tuiliers d’autrefois et restituent avec harmonie les toitures en canal traditionnelles, comme le souhaitait le propriétaire. Monier cultive son héritage dans le respect des traditions.

  • Durée du chantier : 2 ans
  • Surface : 1500 m2
  • Maître d’ouvrage : Agence AT HOME (84)
  • Couvreur : Entreprise Renault Francis SAS (13)

14/11/2016

Mur et acrotère 100 % Terre Cuite, Wienerberger Porotherm signe une nouvelle innovation avec sa brique à bancher BàB 20

Multifonction, la nouvelle brique à bancher BàB 20 de Porotherm permet de réaliser, tant en maison individuelle qu’en bâtiment collectif ou tertiaire, des acrotères hauts ou bas en bordure de toiture terrasse, des murs séparatifs de logements, de refend porteurs, de soubassement ou de clôtures, mais aussi des meneaux en façade...
Découverte d’une petite surdouée.
Brique à bancher BàB 20 Porotherm : une réponse aux multiples avantages
En phase avec son marché et à l’écoute des attentes des constructeurs et des maçons, Wienerberger Porotherm leur apporte, avec sa nouvelle brique à bancher, une solution aux nombreux avantages.
Tout d’abord, mentionnons que la BàB 20 Porotherm s’utilise pour la réalisation d’acrotères en béton armé conformes à la réglementation sismique (selon DTA du CSTB 16/14-701), grâce aux réservations béton (150 mm entre chaque cloison) et aux gorges de ferraillage prévues à cet effet.
Avec la brique à bancher BàB 20, les façades terre cuite s’avèrent 100 % homogènes, évitant ainsi tout risque de fissuration des enduits extérieurs, pour une véritable garantie d’amélioration du rendu esthétique.
Associée à une planelle isolée en about de plancher de dernier niveau, elle limite de facto les ponts thermiques pour garantir un confort optimal. Exclusivité, la brique à bancher BàB 20 Porotherm peut recevoir un isolant de 20 mm d’épaisseur entre ses cloisons externes ; pour une véritable réponse à la problématique du pont thermique de plancher haut en présence d’un acrotère.
De plus, la BàB 20 Porotherm permet de réaliser une maçonnerie à joint continu (béton continu entre toutes les briques), grâce à ses boutisses amovibles (sur les côtés). Une solution qui s’accompagne d’une amélioration de l’étanchéité à l’air comme de l’acoustique de la maçonnerie, conformément aux exigences des bureaux d’études.
Enfin, la brique à bancher BàB 20 de Wienerberger Porotherm peut être utilisée comme élément coffrant, dispensant de l’utilisation de lourdes banches et de moyens de levage sur chantier, pour un budget allégé. Toujours dans l’optique d’une compétitivité optimale, elle accroît la rapidité et donc la productivité sur chantier, grâce à son grand format (6,6 briques/m2), aux repères de coupe et à un poids de 15 kg.

  • Brique rectifiée pour pose en Maçonnerie Roulée®
  • Dimensions en mm (L x l x h) : 500 x 200 x 299
  • Poids unitaire : 15,5 kg
  • Nombre de pièces par m2 : 6,6
  • Distribution par les négoces en matériaux

Brickmaker Wienerberger reports 11 pct increase in core profit

Wienerberger reported an 11 percent increase in third-quarter core profit, driven by accelerating demand in Europe and North America, it said on Wednesday.
Adjusted earnings before interest, tax, depreciation and amortisation (EBITDA) improved to 124.3 million euros ($140 million), the group said in a statement on Wednesday. Analysts polled by Reuters had expected 122 million euros on average.
"We are well on track, despite the challenging market environment for our Eastern European infrastructure business," said Chief Executive Heimo Scheuch.
"The strong performance of our plastic pipe business in the Nordic markets as well as growth in our brick business in Europe, the USA and Canada were among the main factors accounting for the positive development."
In Britain -- Wienerberger's largest single market, contributing 10 percent of annual group sales -- the vote against remaining in the EU had no substantial short-term impact on the market and projects continue to be implemented as planned, Wienerberger said in its third-quarter report.
The world's largest brickmaker confirmed its 2016 target of adjusted operating earnings before interest, tax, depreciation and amortisation and negative foreign exchange effects of 395 million euros.
($1 = 0.8886 euros) (Reporting by Kirsti Knolle; Editing by Christian Schmollinger and Louise Heavens)

Source Reuters

13/11/2016

Lancement du label Eco Clay Build sur TECNARGILLA 2016

L’édition Tecnargilla 2016 a été l’occasion pour Cleia de présenter ses nouvelles solutions d'unités de production modernes et soucieuses de l’environnement.

CLEIA a lancé avec succès le label Eco Clay Build qui regroupe l'ensemble des technologies et innovations visant à réduire les consommations énergétiques et à mieux préserver les ressources naturelles.
Les solutions Eco Clay Build s'inscrivent au centre des projets développés par CLEIA :
- Préparation et optimisation des mélanges - Laboratoire 4C
- Séchoir Energy ΔT
- Four Deforcet
- Cuisson Biomasse
- Thermobooster

Source Cleia

RUSSIA - Turkish investor to build powerful brick plant in Penza

Today, the Penza region governor, Ivan Belozertsev, discussed the terms of putting the brick plant in the “Otvel” technological park in operation with the delegation from Turkey.
As Construction.RU has been told by the regional press office, the corresponding agreement was achieved in 2013. Thus, a new brick plant, with the capacity of 40 m bricks a year, is planned to be built in the region.
The parties agreed that 90% of the new company’s shares will belong to the Turkish enterprise, and the other 10% - to the Russian partner.
A land plot for the project is allotted on the territory of the “Otvel” industrial park, engineering communications and asphalt roads have already been laid, a license for clay digging has been received.
The work was temporarily frozen because of flare-up between Russia and Turkey. Now the project implementation resumed.
The construction of the plant is to start in March-April of 2017, in 2018 it is expected to be put in operation.

Source Russian Construction

12/11/2016

USA - Pine Hall Brick: One of NC's top private companies

MADISON — A local private company is being recognized as one of the largest businesses by revenue in the state of North Carolina.

Pine Hall Brick Company, which is headquartered in Winston-Salem and owns three plants in Madison, was named to the 2016 Grant Thornton North Carolina 100 on Oct. 24.
“We are honored to be included on this year’s Grant Thornton North Carolina 100 list,” said Fletcher Steele, president of Pine Hall Brick Company, in a release. “This award reaffirms our prominence in the marketplace and our commitment to the community. We are proud to be recognized as one of the largest privately held businesses in North Carolina.”
The Grant Thornton North Carolina 100 has been ranking the state's largest private companies by revenue in the most recent fiscal year since 1984. The NC 100 is a voluntary list that does not publicly trade stock.
The brick manufacturer ranked 76th on the list released in the October issue of Business North Carolina - up five spots from its 2015 ranking.
“We believe that reflects a continuing recovery in our economy, as well as a continuing demand for products like ours that have brought durability and aesthetic appeal to both commercial and residential projects for almost a century,” Steele added.
The company, founded in 1922, employs 254 workers between its Winston-Salem headquarters and its Fairmount, Georgia and Madison operations.
Pine Hall Brick is one of the biggest suppliers of clay pavers in the United States and has 150 distributors scattered across 38 different states. The company that has always been headquartered in Winston-Salem, originally began manufacturing brick in Pine Hall.
In 1936, the company moved to Madison and has since grown, including the 1996 construction of an automatic clay paver plant that uses robots to make clay brick pavers that are used around the country for residential patios and driveways.
In 2004, the company added a manufacturing facility in Fairmount. Four years later, after expanding their original plant, they added another facility in Fairmont that is known for its clay mixing system.
Pine Hall Brick Company face brick and pavers are made of just clay and water, making them compliant with EPA regulations.

Source Rockingham Now

11/11/2016

Ce que cachent les tuiles et les ardoises photovoltaïques d'Elon Musk

Elon Musk a présenté dans les studios d'Universal à Los Angeles (Californie) des tuiles et des ardoises photovoltaïques. Les toitures photovoltaïques conçues en quartz seront plus solides et mieux intégrées dans le paysage. Pas de précision en revanche sur le rendement... Mais si l'important, en fait, c'était la batterie ?
Faire suivre aux toitures photovoltaïques la même évolution que les voitures électriques, c’est l’ambition du charismatique dirigeant de Tesla, Elon Musk. Les voitures électriques sont devenues belles grâce aux modèles Tesla, et c’est à présent grâce aux « tuiles » et « ardoises » photovoltaïques de Solar City qu’Elon Musk compte révolutionner le monde du photovoltaïque, en rendant ces nouveaux toits plus beaux que les modèles classiques.
Selon lui, les modules qu’il a présentés vendredi à Hollywood dans les studios d’Universal à Los Angeles sont aussi bien plus solides que leur équivalent classique, et inusables ! Ils sont réalisés en quartz et permettent aussi une meilleure isolation. Le coût sera quant à lui compétitif, si l’on prend en compte le coût du toit, et de celui de l’électricité produite. Aucune précision n'a cependant été donnée sur le rendement de conversion de l’énergie solaire en électricité. L’installation de telles toitures commencera l’année prochaine selon Elon Musk.
A Hollywood, Elon Musk a présenté quatre modèles. Soit de gauche à droite sur l'image : "Textured Glass Tile", "Slate Glass Tile", "Tuscan Glass Tile", et "Smooth Glass Tile".
Tesla n’est toutefois pas le premier à proposer une telle technologie destinée à mieux intégrer les technologies photovoltaïques au bâti. Le français Imerys indique sur son site vendre et installer des tuiles photovoltaïques depuis 2002. En juin, plusieurs sites d’informations, dont BFM Business, se sont fait le relais de la présentation par la PME italienne Dyaqua de tuiles solaires qui ressemblent à s’y méprendre à des tuiles traditionnelles en terre cuite. La PME se destine notamment à la rénovation de monuments historiques.
Powerwall 2, une batterie deux fois plus puissante
Elon Musk a également présenté une deuxième version de la batterie murale Powerwall commercialisée par Tesla, qui peut stocker l’électricité générée par ces nouveaux toits photovoltaïques, et la restituer le soir. La Powerwall 2 est dotée d’une plus grande capacité de stockage (13,5 kWh) et d’une puissance de 5 kW, et de 7 kW en pic. Elle est commercialisée 5500 dollars. Ces deux annonces ont lieu alors que Tesla et Solar City sont en voie de fusionner. Dans un communiqué le 21 juin, Tesla avait motivé le rachat de Solar City, déficitaire, en expliquant qu’il lui permettrait de devenir "la seule société verticalement intégrée fournissant des produits énergétiques de bout en bout". Vendredi, il justifiait d’autant plus ce rachat, qui devrait bientôt être validé par les actionnaires et dont le coût pourrait monter à 2,6 milliards de dollars, en présentant ces innovations technologiques.
Source Industrie-Techno

10/11/2016

12ème édition des Trophées Aléonard : tradition respectée avec le savoir-faire des artisans couvreurs de nouveau au diapason

Véritable institution séculaire, la tuilerie Aléonard du Groupe Wienerberger, constitue la référence française en matière de fabrication de tuiles plates en terre cuite. A l’origine de la tuile « Monuments Historiques » et reconnue « Entreprise du Patrimoine Vivant », la tuilerie Aléonard met chaque année à l’honneur depuis 12 ans déjà, le savoir-faire et la créativité des artisans couvreurs au travers d’un concours international.
Une fois de plus, l’édition 2016 confirme la dynamique de ce concours et l’implication des artisans avec un nombre croissant de dossiers (49 cette année) en lice dans les cinq catégories : Monuments Classés, inscrits ou non classés/ Rénovation/ 1er Chantier/ Construction Neuve/ Internationale).
Soulignons également que le Jury 2016 a été impressionné par la qualité et le nombre de candidatures présentées. Ainsi, la Catégorie Internationale est-elle de retour et cette année encore la richesse des candidatures a conduit le Jury a décerné un Prix Spécial du Jury pour une réalisation particulièrement émérite.
Enfin, première d’une longue tradition à venir, les Trophées Aléonard rendent, cette année également, hommage aux Architectes des Bâtiments de France et du Patrimoine, en récompensant l’architecte ayant conduit les travaux du projet lauréat Monument Historique.
Rendez-vous annuel consacrant l’expertise des artisans couvreurs, c’est au Domaine de Rebetz à Chaumont-en-Vexin (60), que la cérémonie officielle des Trophées Aléonard 2016 s’est tenue, en présence de nombreuses entreprises de couverture et d’Architectes du Patrimoine.
Le Jury de l’édition 2016 se composait de :

  • Thierry LEYNET, Architecte du Patrimoine
  • Guillaume TROUVE, Architecte du Patrimoine
  • Jean-Marc CADET, Entreprise Bernard Battais
  • Franck DEMEILLIERS, Entreprise Demeilliers et Fils
  • Brice-Alexandre ROBOAM, Journaliste, Bois Mag - Toiture - Artisan et Bois
  • Francis LAGIER, CEO Wienerberger France
  • Christophe BROCHET, Chef produit Tuiles
  • Pascal SPYCHALA, Directeur Régional des Ventes
  • Gilles WUTHRICH, Directeur Projets et Marketing Tuiles

Trophée Aléonard - Premier Chantier
Cette catégorie récompense les entreprises réalisant pour la première fois une couverture en tuiles Aléonard.
C’est Jean-Sébastien Pascal de l’entreprise éponyme basée à Mont-Saint-Sulpice (89) qui remporte cette catégorie pour sa parfaite maîtrise dans la réalisation d’une tourelle de 100 m2 avec des tuiles Saint-Vincent coloris rouge poivré et rouge obscur. Le Jury a tenu à récompenser le superbe travail mené sur la charpente, tout comme le gironnage parfait des tuiles ainsi que la maîtrise de la mise en œuvre.
Trophée Aléonard - Construction Neuve
Cette catégorie récompense les entreprises réalisant une couverture en tuiles Aléonard sur un bâtiment neuf.
Le Trophée Aléonard 2016 Catégorie « Neuf » est décerné à l’Entreprise Ducy basée au Torquenne (14). Sous la conduite de Conseillers du Patrimoine (Yves Lescroard et Rendu Guillain de Normex à Pont l’Evêque - 14), cette construction neuve à colombages a séduit le Jury avec une toiture réalisée en deux formats de tuiles Patrimoine (14 x 25 et 15 x 26) conjuguée à un savant panachage de 3 coloris (rouge de mars, vert lichen et ocré lichen). Légion sont les critères ayant marqué positivement le Jury : de l’abergement soigné de cheminées aux arêtiers fermés et raccords sur pénétration, l’exécution des noues fermées et pénétrations au raccord avec tavaillon…
Trophée Aléonard - Rénovation
Cette catégorie récompense les entreprises réalisant des chantiers de rénovation de toitures, en tuiles Aléonard, sur tous types de bâtiments (sauf Monuments Historiques classés ou non classés).
C’est l’Entreprise Martinenghi à Ornans (25) qui décroche le Trophée Aléonard 2016 catégorie Rénovation, pour l’excellence de son travail de réhabilitation d’une ancienne toiture en chaume de 323 m2. Réalisée en tuiles Patrimoine format 16 x 27 déclinée en 3 coloris (ocré lichen, vert lichen et noir de vigne), cette rénovation démontre toute l’expertise de l’entreprise Martinenghi avec de superbes traitements d’arêtiers tuiles tranchées approche et contre approche avec noquets cuivre, mais aussi le raccord entre partie gironnée et toiture, traité comme un arêtier. De plus, le superbe travail du faîtage cuivre et du doublis en tuiles émaillées a également fortement été apprécié du Jury, tout comme la ventilation basse réalisée sous bavette et haute exécutée en châtière zinc. Une maîtrise totale aussi bien technique qu’ esthétique que, le Jury tenait à saluer.
Trophée Aléonard - Monuments Historiques
Cette catégorie récompense les entreprises qui réalisent un chantier remarquable en tuiles Aléonard dans la catégorie des bâtiments inscrits ou classés ou non-inscrits et supervisés par un Architecte du Patrimoine.
Lauréat 2016
SARL Contet & Bourrote basée à Flagey-Les-Auxonne (21) pour la rénovation de l’Eglise de Saint-Etienne Neublans - Abergement (39).

Sous la houlette de l’Architecte du Patrimoine, Simon Buri (Sombernon - 21), l’Entreprise Contet & Bourrote a conquis le Jury pour cette rénovation de 548 m2 de toiture réalisée de mains de maître. En effet, les jurés ont été sensibles à la restauration brillamment réussie de la toiture de l’église de Saint-Etienne de Neublans-Abergement et notamment à la finition des arêtiers et des faîtières avec crêtes de coq ; une excellence qui se retrouve aussi sur le traitement des noues fermées et la réalisation de la tourelle ainsi que des finitions en plomb. De plus, le subtil panachage harmonieux des 4 coloris (rouge de mars, vieilli naturel, brun flammé, noir de vigne et vert lichen) de tuiles MH et le jeu des 3 formats sélectionnés (17 x 27, 17 x 28, 17 x 30) ont fini de convaincre qu’il s’agissait-là du lauréat 2016.
Trophée Aléonard - Aléonard Internationale
Cette catégorie récompense des projets remarquables, en neuf ou en rénovation, d’entreprises internationales.
Les membres du Jury ont été séduits par ce projet original. Signé de l’architecte Caan Architecten Gent, cet espace commercial et ces appartements proposent une toiture de 200 m2 réalisée par l’Entreprise Buyle Kurt, en tuiles Patrimoine 16 x 27 coloris noir vigne, noir vigne intense et vert lichen. Le mariage réussi des Tuiles Aléonard et de la brique Terca, signe ici une superbe réalisation contemporaine, où le panachage réussi des teintes assure la continuité entre la toiture en tuiles et les murs en briques. Soulignons que le Jury a aussi été sensible aux parfaits raccords des profils métalliques entre tuiles et grandes baies vitrées.
Prix spécial du Jury 2016
Avec un nombre de dossiers MH de qualité particulièrement important pour l’édition 2016, le Jury a pris la décision de couronner également d’un prix spécial cette catégorie. Ainsi l’Entreprise Catherine Emmanuel basée à Formentin (14), sous la conduite des Architectes des Bâtiments de France Beaunay et Turquety, obtient le Prix Spécial du Jury pour la rénovation de 400 m2 de toiture en tuiles Monuments Historiques 14 x 24, coloris rouge flammé, ocre rose et ocré lichen. Le Jury a tenu à récompenser la perfection d’un panachage équilibré et très compliqué de 2 coloris clairs avec une teinte rouge, mais aussi la superbe exécution du pigeonnier comme des arêtiers encastrés et des ouvrages en plomb.

Source N. Schilling Communication

09/11/2016

7ème édition du concours Terroirs de TERREAL

Le 3 novembre 2016, TERREAL a organisé la 7ème cérémonie des Terroirs de TERREAL, au Musée des Arts Forains à Paris.
6 professionnels de la couverture ont été récompensés pour leurs travaux de préservation du patrimoine architectural français, valeur à laquelle TERREAL est profondément attachée.
Retour en détails et en images sur cette soirée unique et sur ces beaux chantiers qui reflètent le savoir-faire des artisans français, notre Histoire ainsi que nos régions.
Attribués par un jury de professionnels du Patrimoine, selon des critères de sélection portant sur la technicité, l’esthétique et le respect du patrimoine architectural local, les prix Terroirs de TERREAL s’inscrivent dans une volonté constante de valoriser les travaux de réhabilitation des toits patrimoniaux de nos régions et les professionnels qui les réalisent.
Pour la seconde année consécutive, TERREAL s’est associé à Maison Paysanne de France, association nationale reconnue d’utilité publique pour la sauvegarde du patrimoine rural bâti et paysager, et décerné le Prix de la Maison Paysanne pour récompenser une rénovation exemplaire de toits du patrimoine rural.
Le concours Terroirs de TERREAL s’inscrit dans la démarche du Groupe de développement de produits dédiés à la rénovation tels que la gamme de tuiles Monuments Historiques, la Canal Origine ou la toute récente Port Royal et il fait écho à l’engagement du Groupe dans des actions de mécénat, à l’instar de la rénovation de l’Abbaye de Lagrasse.
6 Professionnels de la couverture récompensés pour leurs travaux de préservation du patrimoine français
Pour la 7e année consécutive, TERREAL, n°1 sur le marché des tuiles de patrimoine en France, récompense les professionnels de la couverture à l’occasion de la cérémonie des « Terroirs de TERREAL » tenue le 3 novembre 2016 à Paris. Véritable temps fort pour la sauvegarde de l’héritage architectural français, le concours met à l’honneur six professionnels de la couverture et leurs réalisations. Retour en détails et en images sur cette soirée unique et ces beaux chantiers qui reflètent le savoir-faire des artisans français, notre Histoire ainsi que nos régions.
LE COUP DE CŒUR DU JURY
Entreprise FOUASSIER à Amboise (37)
Le jury a tenu à consacrer son coup de cœur au très beau travail de préservation du patrimoine à l’entreprise Fouassier sur la rénovation d’une closerie en tuiles plates Monuments Historiques dans la Vallée de la Cisse (41).
Les experts ont salué la mise en œuvre du panachage 4 couleurs sur cette closerie d’un fief en partie troglodytique réalisé avec les tuiles Matignon de la gamme Monuments Historiques : Rouge Saumon (30%), Brun Violet (15%), Ocre Orangé (25%), Rouge Naturel (30%)
PRIX DEMEURES DE CARACTÈRE
Entreprise TOITURES PINONAISES à Soissons (02)
La société TOITURES PINONAISES a été saluée pour avoir démontré son savoir-faire sur une maison bourgeoise en pierres de taille et briques de 1927 à Moulin-sous-Touvent dans l’Oise.
Pour ce chantier, l’objectif était de trouver une tuile se mariant avec le coloris de la brique rouge typique de la région afin de garder l’authenticité de la demeure ; le choix s’est alors porté sur la tuile Sologne Vieux Pays (17x27) à pureau brouillé et son coloris Vieille Terre rappelant l’aspect des vieilles tuiles de pays.
De nombreux points singuliers ont été traités dans le respect des règles de l’art, on peut ainsi souligner le travail de finition réalisé sur les faîtages scellés en crête de coq, les noues fermées ou encore sur les arêtiers scellés.
LE PRIX DE LA MAISON PAYSANNE
Entreprise Americo Dos Santos à Garancières (78)
Le travail de rénovation effectué sur les 1500 m² de toiture de l’annexe du château de Rosay (78) datant de 1615 a été apprécié par le jury.
Effectué en tuiles plates Monuments Historiques la couverture a reçu un soin particulier sur la mise en œuvre avec un panachage de 4 couleurs s’intégrant parfaitement dans le paysage du château de Rosay.
Le bâtiment a également reçu un travail de précision au niveau des lucarnes ainsi qu’à la réalisation des faîtages en crête de coq et aux rives.
PRIX DU PATRIMOINE HISTORIQUE : 2 LAURÉATS EX-AEQUO
Entreprise VAGANAY SAS à Solaize (69)
La rénovation de la couverture de l’ancien hôpital Débrousse à Lyon (69), datant de 1909 et depuis réhabilité en logements collectifs, constitue un excellent exemple de savoir-faire. Le travail de l’entreprise Vaganay SAS a été salué pour la réalisation des 3400 m² de tuiles Côte de Nuits PV coloris Brun.
Le jury a notamment tenu à souligner la parfaite intégration de la tuile avec son environnement et avec la façade de ce bâtiment prestigieux. Il a également félicité le travail réalisé sur les noues ouvertes relevant d’une mise en œuvre traditionnelle bien connue des couvreurs.
Entreprise SAS CATELIN YVAN à Moulins-la-Marche (61)
La rénovation de la couverture du château d’Auguaise (61), datant du 17ème siècle, constitue un excellent exemple de savoir-faire. En effet, l’entreprise SAS Yvan Catelin a été félicitée pour la très belle mise en œuvre des 500 m² de tuiles plates, avec un panachage de 2 tuiles et 3 coloris ; Prieuré Pourpre (20%), Prieuré Rouge Ancien (20%) et Pommard Panaché d’Automne (60%).
Au-delà des finitions réalisées sur les faîtages scellés en crête de coq, sur les noues et sur les arêtiers scellés, le jury a tenu à souligner le travail et la finesse des différentes lucarnes comme les lucarnes arrondies (type gerbières), les lucarnes bipan ou encore les mini lucarnes type œil de bœuf.
À noter également la parfaite harmonie du panachage des tuiles avec le coloris des briquettes en façade.
PRIX DU TERROIRS DU SUD

Entreprise C.B.G.P GERBOURD PIERRE à Bourg-de-Péage (26)
L’entreprise C.B.G.P Gerbourd Pierre a été récompensée pour la rénovation de la couverture de l’église Saint-Domnin à Lamastre (07), datant du 10ème siècle. Le travail de rénovation sur les 830m² de couverture constitue un excellent exemple de préservation du patrimoine. Rénové en tuiles Languedocienne Vieux Pays, coloris Panaché Foncé, la couverture retrouve ainsi son rôle d’étanchéité tout en s’intégrant parfaitement dans le paysage de la commune.
Nous remercions les très nombreux participants d’avoir envoyé leur dossier de réalisation, de grande qualité cette année encore, et d’avoir ainsi contribué au succès de cette septième édition des Terroirs TERREAL. Nous vous donnons rendez-vous l’année prochaine pour une nouvelle édition en espérant vous compter encore plus nombreux !

Source Terreal

08/11/2016

Chagny - Chez Terreal, des robots pour éviter la tuile

Entièrement automatisée, la dernière usine de Terreal s’appuie sur la technologie (broyage, tri optique, méthanisation…) pour répondre aux nouveaux standards qualitatifs et environnementaux.

Un contrôle visuel permet de détecter la moindre modification de forme ou de couleur. Photo: Pascal Guittet
Chagny 2 déploie ses 38 000 mètres carrés en lisière de la forêt bourguignonne. Ici, le fabricant français de produits de construction en terre cuite – 22 sites dans le monde dont 16 en France, 350 millions d’euros de chiffre d’affaires – exploite depuis 2007 « la tuilerie la plus moderne d’Europe », affirme le directeur des deux sites de Chagny, Jean-Sébastien Besset. Terreal a investi 85?millions d’euros dans cette usine automatisée, comme un contrepoint au site historique, distant de cinq kilomètres. L’usine des Tuileries bourguignonnes de Chagny, fondées en 1881, est toujours exploitée par le groupe au cœur de ce village de Saône-et-Loire. Une implantation choisie pour la terre argileuse de la commune, située non loin des vignobles de Chassagne-Montrachet.
D’ici à 2020, le groupe aspire à répliquer ce modèle pour disposer d’usines « sûres, pérennes, modernisées, avec des réserves d’argiles de vingt ans minimum », énumère son directeur industriel, Yvan Fernon. Depuis 2015, Chagny 2 cuit ses tuiles au biogaz issu de l’usine de méthanisation attenante, dont Terreal est le plus gros client. En recourant à la méthanisation pour 30% des besoins en énergie du site, « nous faisons le bon pari, estime Yvan Fernon. Le biogaz issu des déchets ne compte pas dans les émissions de CO2. »
La modernité des installations n’empêche pas un bruit assourdissant de se répandre dans l’usine, auquel s’ajoutent les sirènes signalant le passage de matériels ou un dysfonctionnement. Pour fabriquer chaque année 30?millions de tuiles de deux modèles différents et une gamme de 60 accessoires déclinés en dix coloris, telles des rives et des faîtières, 89 personnes se relaient 24,heures sur 24 et 7 jours sur 7, car « on ne peut pas facilement interrompre un four », précise le directeur technique, Pierre Basic.
Des capteurs remplacent les sonneurs
Une carrière située derrière l’usine approvisionne en terre la chaîne de production. Dès la première étape du process, Terreal se différencie sur le marché, grâce à son broyeur pendulaire. Après le concassage de la terre, cette machine la transforme en une poudre fine comme de la farine, qui donne aux tuiles fabriquées ici une finesse de grain plus proche de la faïence que de la terre cuite. La terre est ensuite mélangée à des adjuvants, dont 1% de manganèse pour assombrir les tuiles, dans un rapeur ressemblant à un gros presse-purée. Le mélange est compacté dans une mouleuse qui produit un long ruban, découpé en galettes. Certains de ces rectangles de terre pesant environ 4 kilogrammes sont enduits de microsable pour en vieillir l’aspect.
Les galettes sont ensuite façonnées dans une presse, puis les modèles colorés passent par une zone d’engobe, où ils sont pigmentés. « Il faut ensuite abaisser l’humidité », souligne Jean-Sébastien Besset. Les tuiles pressées transitent donc par un séchoir avant d’entrer dans un four de 180 mètres de longueur. La progressivité de la montée en température jusqu’à plus de 1000 degrés, tout comme la descente, est cruciale.
En sortie de four, sur un convoyeur, des roues positionnent précisément les tuiles avant leur passage sous des caméras et un capteur de son. « Nous pouvons désormais reconnaître automatiquement une tuile qui n’est pas conforme ! », ajoute Jean-Sébastien Besset. Ces capteurs remplacent les sonneurs de tuiles qui partout ailleurs contrôlent encore la conformité à l’oreille. « Un son aigu est signe de conformité, un son grave signale un défaut », explique le directeur. En bout de chaîne, toute la phase de conditionnement est robotisée. Ces nouveautés interviennent « dans un marché de la terre cuite saturé, d’où la nécessité d’accroître les débouchés à l’export », selon Yvan Fernon. De nouveaux horizons pour les tuileries de Chagny…
Source L'Usine Nouvelle par FRANCK STASSI

07/11/2016

Half-year results 2016 confirm Wienerberger‘s operational strength

In the first half of 2016, the Wienerberger Group generated a consolidated turnover of € 1468.9 mill. (HY 2015: € 1474.9 mill.), mainly as a result of constant sales volumes and slight price increases. Group revenues were impacted by negative foreign exchange effects. Standing at € 178.3 mill., the operating EBITDA fell slightly short of the previous year’s level. In addition, Wienerberger had significantly lower gains from real estate sales than in 2015. Adjusted for foreign exchange and real estate effects, Wienerberger recorded a 9 % organic increase in its operating EBITDA.
Revenue and earnings growth in Clay Building Materials Europe Division
In the first six months, the European brick business performed well throughout Eastern Europe, except for Russia. Wienerberger was able to significantly increase the sales of clay blocks and roofing tiles in the region at stable average prices. In contrast, widely diverging developments were seen in the countries of Western Europe. In Great Britain, demand slowed down in the run-up to the EU referendum. Taking account of this development, Wienerberger promptly initiated capacity adjustments. In Belgium the market trended downward from a very high level. At the same time, new residential construction in the Netherlands was marked by positive dynamics. Germany and France recorded favourable developments in the construction of new detached and semi-detached homes, which resulted in higher clay block sales. A trend to the contrary was seen in Italy and Switzerland, with construction activity in the detached and semi-detached home segment slowing down.
Altogether, the Clay Building Materials Europe Division accounted for a satisfactory € 818.2 mill. share in Group revenues (up 3 % on the previous year’s level). Operating EBITDA increased significantly in the reporting period by 11 % to € 124.8 mill.
Pipes & Pavers Europe: decline in revenues and operating EBITDA
The environment for the ceramic waste water pipe operations remained challenging, although a moderate increase in public-sector orders was seen in Germany in the second quarter. In Eastern Europe, tendering activity for infrastructure projects was down, as reflected in the results of the pipe operations. Therefore, the Division’s revenues dropped by 7 % to € 503.9 mill. and operating EBITDA decreased from € 56.6 mill. to € 52.9 mill.
Satisfactory development of the brick business in the USA and Canada
In North America, both the US brick business and the Canadian operations performed extremely well. The Division showed a positive operating performance and generated revenues of € 141.4 mill., up by 7 % on the previous year. However, the costs of the closure of one production site and gains from real estate sales that were significantly lower than in 2015 resulted in a drop in operating EBITDA from € 20.7 mill. to € 10.9 mill. in the reporting period.
Outlook and strategy
For the full year, Wienerberger predicts a slightly positive development in European residential construction, though with major regional differences. For the Pipes & Pavers Division, a continued, sound development in North-Western Europe in the second half of the year, subdued tendering activities in Eastern Europe, and a lower result from international project business is foreseen. Developments in the North American brick business should remain positive.
Wienerberger maintains its projections for 2016 and confirms its target of € 405 mill. operating EBITDA.
The Group aims to combat negative foreign currency effects by stepping up its optimization measures and cutting costs through more efficient processes in production, sales and administration. In highly volatile markets the Group is reacting promptly by adjusting its production capacities. At the same time, Wienerberger will continue to pursue its efforts to develop innovative, future-oriented and profitable products and services in the coming months.

Source Ziegelindustrie International

06/11/2016

Une des rares tuileries iséroises sauvée de la ruine

A Doissin, dans les Terres froides, Gérard Bertrand a été récompensé par la « Fondation du Patrimoine Aurhalpin » pour la restauration de la tuilerie de ses ancêtres
Cette ancestrale tuilerie du Nord-Isère est classée au patrimoine de l’Isère depuis 2008 et possède un label du conseil départemental en raison de l'intérêt patrimonial qu'elle présente et de l’originalité de sa construction ainsi que des anciens outils qu’elle contient. Elle vient d’être restaurée.
Dans ces bâtiments, les tuiles y étaient moulées à la main, et mises à sécher à l’air huit jours avant de passer au four. Celui-ci était chauffé avec des fagots de bois. Il en fallait environ 500 pour une cuisson de quatre jours et quatre nuits. Les tuiliers y faisaient une fournée par mois : ceci durant six mois de l’année, le reste du temps étant consacré à l’approvisionnement de l’argile et des fagots. 80 000 tuiles sortaient ainsi chaque année de cette petite entreprise familiale.
C’est en 2013, que Gérard Bertrand a hérité des bâtiments de la tuilerie de ses aïeux. Une partie du toit du hall de séchage des tuiles venait alors de s’effondrer. En partenariat avec le Département de l’Isère et l’association « Fondation du Patrimoine », il a décidé de sauver ce précieux et rare patrimoine d’un savoir-faire disparu. Son abnégation pour réhabiliter cette tuilerie lui a valu de recevoir le label de « La Fondation du patrimoine » en 2014.
En récompense de sa motivation et de son investissement, aussi bien en temps que financier, Gérard Bertrand vient d’obtenir le premier prix catégorie « réalisation », ainsi qu’un chèque d’accompagnement attribués par la « Fondation du patrimoine aurhalpin ». Cette dernière étant composée du conseil régional Auvergne Rhône Alpes, de la direction EDF Auvergne Rhône-Alpes et de la direction régionale Groupama. C’est au cours d’une cérémonie qui aura lieu le samedi 5 novembre 2016 à 10 h au sein de la tuilerie restaurée, que cette récompense lui sera remise.

Les Prix aurhalpins du patrimoine

Une initiative unique en France pour la valorisation du patrimoine dans toute sa diversité. Patrimoine matériel ou immatériel, rural ou urbain, archéologique ou contemporain, de propriétaires publics ou privés : c’est dans toute la diversité de la notion même de patrimoine que les Prix aurhalpins du patrimoine encouragent et récompensent les initiatives locales.
Ils existent depuis 1995, fondant le partenariat entre la délégation régionale d’EDF et Patrimoine Aurhalpin. Le Conseil régional de Rhône-Alpes s’y associe dès 1996. En 2002, c’est la création du Prix savoir-faire du Conseil régional. En 2003, le Trophée EDF voit le jour. En 2016, l’arrivée de Groupama Rhône-Alpes Auvergne permet la création du Prix patrimoine industriel et scientifique qui porte son nom. En 2016, Patrimoine rhônalpin devient Patrimoine Aurhalpin et part à la rencontre des acteurs de l’Auvergne-Rhône-Alpes. Les Prix deviennent les Prix aurhalpins du patrimoine.
Source L'Essor Nord-Isère

05/11/2016

Brique terre cuite de grande longueur, réinventer une matière ancestrale

Pour renforcer la linéarité de la façade ou jouer sur les formes et les couleurs, la brique de 40 cm s'adapte à toutes les envies. 100% naturelle, incombustible, durable et résistante aux agressions climatiques elle à tous les atouts ! Véritable source de créativité architecturale, elle permet une grande liberté au travers d'une gamme de teinte variées, dans des nuances contemporaines ou plus traditionnelles.
TERREAL a su une nouvelle fois saisir la beauté inaltérable de la terre cuite et la renouveler pour proposer un matériau souple, contemporain et unique. Avec sa gamme de brique grande longueur, Terreal met à votre disposition des produits esthétiques et modulables qui, tout en gardant leur identité unique, répondent aux besoins d'une architecture innovante, moderne et originale.
Après plus de 5 000 ans d'histoire, la brique reste à l'avant-garde de la modernité !
Légende photo : Groupe Scolaire Louise Michel, Aussonne (31) - Agence Danièle DAMON Architecte Felix Faure

Source Batiweb

04/11/2016

Des tuiles pour chaque région ? C’est l’offre d’Erlus

Erlus, fabricant de tuiles en terre cuite, propose pour chaque région des produits adaptés au climat et au style architectural typique. La société allemande commercialise ainsi des toitures naturelles « aux couleurs » de nos régions. La gamme développée offre une grande variété de formes et de coloris pour le neuf ou la rénovation. Elle se veut durable et résistante aux intempéries.
« Des toitures naturelles aux couleurs de nos terroirs », c’est ce que propose Erlus. La société allemande précise que les toits en terre cuite, très présents sur le territoire français, « jouent sur la diversité des formes et des coloris ». Ils permettent notamment de « valoriser durablement le patrimoine » et qu’ils sont une « valeur sûre » pour les architectes. Quelle résistance pour les tuiles en terre cuite ?
Pour qu'elle résiste au mieux aux intempéries, Erlus s’est proposé de développer une tuile en terre cuite adaptée au climat et au style architectural typique de chaque région. En Alsace et en Rhône-Alpes, on va ainsi retrouver des toitures en tuiles plates en coupe écaille « appréciées pour leur esthétique classique et valorisante ». Les régions Bourgogne, Centre, Ile-de-France et Picardie vont plutôt privilégier des tuiles plates en coupe droite dans un format économique.
Qu’elle soit en coupe écaille, pointue ou droite, la tuile plate Erlus, est destinée aux toitures « au charme indémodable ». Avec ses dimensions de 18 x 38 cm, elle est disponible en 10 coloris et offre « une grande créativité pour la conception de son toit ».
©Erlus - Tuile plate écaille

La tuile Erlus Hohlfalz SL permet de générer « un jeu particulier d’ombre et de lumière ». Très robuste, elle est économique puisque 11,5 pièces suffisent à couvrir 1m2. C’est l’une des tuiles les plus performantes de sa catégorie pour résister aux infiltrations d’eau grâce à son profil frontal et latéral. Elle est notamment utilisée dans les Flandres.
Pour le climat méditerranéen, Erlus propose une tuile aux couleurs terre et aux tons nuancés, et démontre « qu’une construction responsable et écologique peut s’allier à un design élégant ». Pour les régions Provence, Occitanie, Nouvelle-Aquitaine, Erlus propose des tuiles canal traditionnels et des tuiles romanes mécaniques Monaco, aux coloris rouge naturel, classique, umbra et rosso. Les tuiles à côtes petit format FALZ et GF complètent la gamme adaptée aux traditions du sud. Des tuiles polyvalentes
Pour une utilisation polyvalente, il y a la tuile Reform SL séduisante de par « la finesse de sa géométrie, son pureau variable et son format avantageux (12,5 pièces par m2) », précise Erlus. Cette tuile s’intègre à toutes les toitures traditionnelles et valorise les architectures les plus contemporaines. « La technicité spécifique des emboîtements de la tuile Reform SL lui confère une étanchéité optimale dans le cadre d‘une pose à joints droits ». Avec une pente nominale à 25°, elle est particulièrement adaptée aux climats pluvieux des régions Normandie et Ile-de-France.
©Erlus - Tuile Reform SL

Il y a aussi la gamme Linea traditionnelle dans le grand quart nord-est de la France mais mise en œuvre dans toutes les régions pour leur rendu « très contemporain ». Cette tuile à pureau plat en qualité klinker sans aucun silicone offre un « emboîtement particulièrement résistant à la pénétration des eaux pluviales et aux effets du vent ». Elle atteint ainsi la classe 4 de résistance à la grêle, donc reste fonctionnelle même dans la projection de grêlons d’un diamètre de 4 cm. Des tuiles selon les différents types de toiture
En région Rhône-Alpes on retrouve la tuile Erlus Forma, « élégante, ergonomique et fonctionnelle ». Facile et rapide à poser, elle s’adapte à toutes les longueurs de chevrons et convient aussi bien aux grandes toitures qu’aux petites surfaces. Légère, avec seulement dix pièces par m2, sa double onde douce est « idéale » en arêtier pour les toitures à quatre pans.
©Erlus - Tuile Forma

Pour les toits à faible pente à partir de 10° des régions Hauts-de-France et Grand Est, Erlus propose la tuile universelle et polyvalente E 58 SL. Ses atouts : un format avantageux (11,5 pièces pour 1m2) et un pureau variable de 3 cm. « Cette tuile remplace les anciennes tuiles existantes sans changer le lattis ou modifier la largeur du toit », dit la société.
La société présente enfin la tuile panne spéciale rénovation à savoir la tuile E 58 S « particulièrement appréciée pour la rénovation des petites surfaces ». Elle se caractérise par un pureau variable de 33,5 à 35,5 cm et dispose d’un jeu latéral de six millimètres. Prévoir de 13,9 à 14,9 tuiles par m2.
Autre option pour la rénovation en région Bourgogne Franche-Comté, Champagne-Ardenne, Picardie ainsi que dans le centre de la France, la tuile Erlus GF XXL qui permet d’obtenir un profil « aux lignes épurées et modernes ». Elle est également adaptée pour les constructions neuves.
Les tuiles Erlus sont disponibles chez les négoces de matériaux de construction.

Source Batiweb

03/11/2016

Shareholder backs Braas Monier in rejecting Standard Industries' offer

A shareholder of German roof tile maker Braas Monier (BMSA.DE) has supported the company's rejection of a takeover offer by U.S. group Standard Industries [GAFCO.UL], saying the bid significantly undervalued the German firm.
"(We) have identified Braas Monier as a company that is dramatically undervalued in the public equity market," shareholder Lucerne Capital Management, which holds 5 percent of Braas Monier's shares, said in a letter to the company's management board seen by Reuters.
In mid-September, family-owned Standard Industries made its offer of 25 euros ($27.30) in cash per share, valuing Braas at $2.1 billion including debt.
But the German group opposes the offer, saying it does not include a premium and significantly undervalues the company and its future prospects. It has called on its shareholders to reject the deal.
Lucerne said it saw the fair value of shares in Braas Monier at least 35 euros per share, adding it believed the company was able to achieve that value on a stand-alone basis.
Braas Monier shares traded at 26.34 euros at 0900 ET on Friday. ($1 = 0.9157 euros)
Source Reuters reporting by Arno Schuetze; Writing by Tina Bellon; Editing by Maria Sheahan