Pages

29/03/2016

CLEIA reprend CERIC

La société d'ingénierie française CLEIA, nouvellement associée à son partenaire belge CERATEC, vient de finaliser le rachat de CERIC Technologies.

Cette consolidation stratégique du secteur de l’ingénierie pour les industriels des matériaux de construction, renforce CLEIA dans sa position parmi les leaders mondiaux pour la fourniture d’usines clé en main.
• CERIC est une marque reconnue dans les métiers de la céramique. Ses technologies d’avant-garde ont largement contribué au développement des produits en terre cuite dans le monde.

• PELERIN filiale historique de CERIC pour la fabrication des machines de traitement des matières premières, est intégrée dans cette reprise, en partenariat avec Groupe BMI.
Les complémentarités et les synergies issues de cette reprise permettent à CLEIA d’élargir son offre sur les marchés nationaux et internationaux, afin de satisfaire pleinement ses clients et prospects.

PELERIN continuera à proposer l’ensemble de sa gamme en association et avec l'expertise de Groupe BMI pour les projets neufs ou de modernisation, ainsi que toutes les pièces d’usure et de rechange.
CLEIA assurera la continuité de CERIC pour la totalité des activités de service et l'ensemble du process industriel:
- Séchoirs
- Fours et wagons de fours
- Manutentions automatiques
- Informatique industrielle
Grâce à un modèle de développement solide, et à des innovations majeures, CLEIA regroupe désormais un ensemble de savoir-faire et d’expertises unique dans la profession.
Avec plus de 50 années d’expérience industrielle, et des filiales au plus près de ses marchés en Europe et au Maghreb, CLEIA totalise une base installée de plus de 600 références à travers le monde.

Source CLEIA

Le Groupe BOUYER LEROUX s’organise autour de quatre pôles

Le Groupe BOUYER LEROUX, N°1 français des matériaux de construction en terre cuite (briques de murs et de cloisons, conduits de cheminée, tuiles et faîtières) concrétise une nouvelle étape dans le développement de son Pôle Fermetures pour l’habitat avec l’acquisition de la société Fermetures Loire Océan (chiffre d’affaires : 10 millions € ; 47 salariés).

Le Groupe est aujourd’hui organisé autour de 4 pôles, il emploie 900 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires d’environ 185 millions d’euros.

Source Batijournal

28/03/2016

Une brique aux performances revues

Opti-solution vient de mettre au point sa nouvelle brique de construction Optibric PV TH. Réalisée en terre cuite, elle présente une résistance thermique élevée, en faisant un produit adapté aux constructions recherchant la performance énergétique.
Une solution de brique facile à poser
La construction s’offre désormais de multiples techniques pour ériger les murs. Les solutions traditionnelles participent à cette évolution avec la mise au point de matériaux du BTP toujours plus performants. C’est le cas de la brique qui s’est renouvelée depuis quelques années. Aujourd’hui, elle affiche des qualités élevées, contribuant à l’amélioration des bâtis.
Parmi les offres disponibles figure l’Optibric PV TH de Opti-solution. Le fabricant a créé ce nouveau matériau présentant un format plus imposant que la brique traditionnelle. Ainsi, elle affiche une dimension de 560 x 200 x 274 mm, nécessitant seulement 6,5 briques au m². Sa pose est alors rapide, réalisée à joints minces.
La performance thermique en point fort
Cette brique adaptée pour la réalisation de murs porteurs affiche aussi d’excellents résultats thermiques, avec un R de 1,20 m².K/W. Cela équivaut à une performance 5 fois plus élevée qu’un bloc de granulats courants. Sa mise en œuvre permet alors de réduire les besoins en isolants, que ce soit au niveau des murs comme des combles.
Cette efficacité influe également sur le Bbio, avec un gain moyen de 8 à 9,5 % selon la zone de construction. La nouvelle solution Optibric PV TH d’Opti-solution est disponible dès à présent, pour renforcer le gain énergétique de toutes les réalisations.

Source ETI Construction

27/03/2016

Bosc-Roger-en-Roumois : l’association Poterie, briques et tuiles du Roumois installée dans la maison de la terre

Bosc-Roger-en-Roumois : l’association Poterie, briques et tuiles du Roumois installée dans la maison de la terre
Les participants à l’AG de l’association autour de Françoise Guilluy
L’association Poterie, briques et tuiles du Roumois (APBTR) a tenu son assemblée générale vendredi au foyer d’automne. 2015 a été marquée par l’inauguration de la maison de la terre, gérée par l’APBTR, a rappelé la présidente Françoise Guilluy. Un spectacle en plein air y a retracé l’histoire de la poterie locale.
L’association, qui compte 58 adhérents, participe à de nombreuses manifestations et ateliers. Elle continuera à le faire cette année.
Elle prendra part aux Orties folies à la Haye-de-Routot le 17 avril, et au Circuit des potiers, en juillet-août.
INFOS PRATIQUES: Association ATPBR, tél. 02 35 81 03 50.

Source Paris Normandie

26/03/2016

Skate – a new low-energy tunnel kiln

Interview with Christophe Aubertot, Direxa Engineering, LLC
At ceramitec 2015, Direxa Engineering, LLC, USA, and its French R&D partner Ceritherm presented an innovative concept for a low-energy tunnel kiln with the name Skate Kiln. With this new concept, products are no longer loaded onto cars for firing and nor are they supported and transported by means of mechanisms that move through kiln like in roller hearth kilns for instance. We spoke to Christophe Aubertot, Managing Director at Direxa engineering, LLC, about the advantages of the new firing technology.
Please briefly explain your new concept and operating principle of the kiln!
The basic principle of this kiln is that the “firing chamber” has four fixed sides: two walls, a roof and a bottom (hearth). The products, their supports and the moving media are all housed completely in the “firing chamber” so that all three are always at the same temperature. In addition, the weight of the product supports and moving media is drastically reduced compared to traditional technology with kiln cars: it typically represents 8 to 10 % of the product weight as opposed to 50 to 100 % of the product weight...
Direxa Engineering, LLC:   www.direxa.com
Ceritherm:  www.ceritherm.com

Lire l'article sur Ziegelindustrie International Février 2016

Poterie de BAVENT : 10e anniversaire du salon Belle brocante à la Poterie

Le manoir sera exceptionnellement ouvert au public. Un atelier poterie est prévu pour les enfants. Le manoir sera exceptionnellement ouvert au public. Un atelier poterie est prévu pour les enfants.
Le salon Belle brocante et métiers d'art aura lieu tout le week-end de Pâques, à la Poterie du Mesnil de Bavent, soit les 26, 27 et 28 mars.
Savoir-faire
Cet événement est créé afin de montrer le savoir-faire du personnel de la poterie, mais aussi de tous les métiers d'art qui s'y retrouvent, chaque année. Ils sont de la région et d'ailleurs. Des antiquaires présentant des oeuvres spéciales et rares s'y retrouvent.
Dominique Kay Mouat, l'organisatrice appelle cela « l'artisanat des temps passés ». Les chineurs et collectionneurs pourront dénicher des meubles, des tableaux, des bibelots, des bijoux, des vieux papiers, des cartes postales...
Plus de 30 exposants
Pendant ces trois jours, plus de 30 exposants seront installés dans les différentes alcôves du bâtiment. Ils expliqueront leur métier, fabriqueront, mais aussi donneront des conseils sur le travail des vieux objets. Le public pourra ainsi découvrir ou redécouvrir des métiers rares.
L'artisanat
Dix métiers d'artisanat seront représentés : le métal, la terre, le bois, le cuir, le verre, mais aussi la tapisserie, la vannerie d'art.
Les potiers, estampeuses, modeleuses de la Poterie seront présents afin de faire découvrir leur métier.
Les enfants pourront s'initier à la poterie, le dimanche après-midi seulement.
La musique sera de la fête avec Drum Truck, qui proposera, dimanche, de 14 h à 17 h, un atelier percussion dans un camion aménagé.
Samedi 26, dimanche 27 et lundi 28 mars, de 10 h à 18 h, Poterie de Bavent. Petite restauration sur place avec salon de thé. Parking gratuit, entrée par l'usine Terréal, route de Troarn. Atelier modelage enfants : 10 h à 12 h et 14 h à 16 h. Prix d'entrée : 2 € par personne, gratuit pour les moins de 16 ans. Renseignements au 02 31 84 82 41.

Source Ouest France

25/03/2016

BOUYER LEROUX: Au pays de Bray, le projet de carrière et de briquetterie industrielle inquiète

A Forges-les-Eaux et dans 5 autres communes, les questions sont nombreuses. Des sondages, des acquisitions de terre agricoles indiquent bien qu'un projet de carrière se met en place.

Les craintes sont nombreuses:
Des carrières, des navettes de camions, une briquetterie industrielle dans le bocage du pays de Bray. Le projet marquera le paysage. C'est celui d'une société française " Bouyer Leroux terre cuite" basée à Cholet. Elle compte 9 sites en France.
Plusieurs associations du pays de Bray interpellent les élus. Les habitants s'inquiètent des nuisances, de la baisse du prix de leurs maisons. Le tourisme vert est l'un des attraits du pays de Bray. Entre développement économique et défense de l'environnement, le débat est vif.
Que deviendront les carrières quand elles ne seront plus exploitées ? C'est aussi une question des riverains.
Intervenants :

  • Madeleine Bourdier, association "non aux carrières et briqueteries en Bray"
  • Olivier Delamare, agriculteur à Sommery
  • Christophe Marsille, président de l'association "non aux carrières et briqueteries en Bray"

Source France 3 Normandie par Sylvie Callier

24/03/2016

Incendie à la tuilerie-briqueterie d'Amance

Un incendie d’origine accidentelle s’est déclaré dans la nuit de vendredi à samedi à la tuilerie-briqueterie d’Amance qui vient tout juste de reprendre son activité.

Un incendie s’est déclaré vers 2h00, dans la nuit de vendredi à samedi à la tuilerie-briqueterie d’Amance. Le feu a endommagé la pièce où se trouve le séchoir et une partie du bâtiment de stockage des matières sèches.
Le feu serait d’origine accidentelle, lié à une pièce défectueuse.
Les trois salariés de l’entreprise pourront tout de même continuer à travailler.
Reprise d’activité en janvier dernier
Cet incendie intervient seulement un mois et demi après la reprise d’activité de la société.
Après un arrêt de la production de tuiles et de briques en 2010 et le rachat en 2015 par la Sarl Tuilerie-briqueterie Saint-Martin d’Amance avait repris son activité en janvier dernier, après de gros travaux de remise en état du four.
Source L'Est Eclair par Aymée Daubigny

23/03/2016

Nolay : dans les coulisses de l’entreprise Cleia

Le site de la société Cleia comprend trois halls de montages bien distincts. 7 000 m² de bâtiment sont disponibles. L’activité reste irrégulière, car elle dépend du carnet de commandes. Lorsque l’activité est importante, les trois halls peuvent même ne pas être suffisants.

Cleia est en train d’assembler un transbordeur qui servira à déplacer les wagons d’un four. Celui-ci sera ensuite démonté
Le site de la société Cleia comprend trois halls de montages bien distincts. 7 000 m² de bâtiment sont disponibles. L’activité reste irrégulière, car elle dépend du carnet de commandes. Lorsque l’activité est importante, les trois halls peuvent même ne pas être suffisants.
Cleia emploie une vingtaine de salariés au sein de son bureau d’études. Ingénieurs et projeteurs 3D se chargent de la modélisation complète des usines.
Le site de la société Cleia comprend trois halls de montages bien distincts. 7 000 m² de bâtiment sont disponibles. L’activité reste irrégulière, car elle dépend du carnet de commandes. Lorsque l’activité est importante, les trois halls peuvent même ne pas être suffisants.
L’entreprise nolaytoise, qui construit des usines de tuilerie de A à Z, a ouvert les portes de ses halls au Bien public. La société, qui a affiché un chiffre d’affaires de 30 millions d’euros en 2015, espère bien poursuivre sa croissance. Déjà très présente en Afrique du Nord, elle souhaite se lancer à la conquête d’un marché à fort potentiel en 2016. La cible ? L’Iran et ses 80 millions d’habitants. Cleia y sera présente à l’occasion d’un salon en avril à Téhéran.
Source Le Bien Public Photo Thibault SIMONNET

TERREAL fait évoluer son organisation commerciale

Afin d’accroître l’efficacité commerciale de TERREAL et la croissance de ses ventes sur toutes ses gammes de produits, Jean-Baptiste Fayet, Directeur Commercial et Marketing France, réorganise ses équipes.
Effective depuis le 1er mars 2016, cette nouvelle organisation s’articulera autour de cinq directions.

Sous la responsabilité de Jean-Baptiste Fayet, la direction commerciale de TERREAL a pour mission principale de développer l’offre afin de renforcer la satisfaction clients. Elle est composée de 5 entités :
– Une direction nationale des ventes.
– Une direction grands comptes / prescription.
– Une direction marketing.
– Une direction de l’export.
– Une direction de la supply chain.

Jean-Baptiste Fayet est diplômé en Civil and Environmental Engineering à la Massachusetts Institute of Technology (1999 – 2000). Auparavant, il a suivi une formation à l’Ecole Nationale des Ponts Et Chaussées (1997 – 1999) ainsi qu’à l’Ecole Polytechnique (1994 -1997). Il débute sa carrière professionnelle en 2000 au sein du Boston Consulting Group à Paris en tant que Senior Associate Consultant. En 2002, il rejoint TERREAL en qualité de Directeur Général Asie, basé à Kuala Lumpur en Malaisie, poste qu’il occupe pendant 10 ans. Il dirige les filiales de TERREAL en Malaisie, Singapour, Indonésie et Chine. Il retourne en France en 2012 afin d’assurer la Direction Nationale des Ventes de TERREAL. Il exerce ensuite les fonctions de Directeur Commercial Couverture en 2013. Jean-Baptiste Fayet est aujourd’hui Directeur Commercial et Marketing France de TERREAL pour les 3 activités (Couverture, Gros Œuvre Décoration, Façade). 

La direction nationale des ventes, dirigée par Fabrice Méli, comprend les régions commerciales Couverture et Gros-Œuvre Décoration.
Elle a pour mission le pilotage de la performance commerciale et la gestion nationale des grands comptes négoce.

Fabrice Méli est titulaire d’un BTS Action Commerciale (1993) et d’une Maîtrise de Marketing option Gestion PME-PMI (1996). Il a également suivi un cycle certifiant Cegos « Formation des chefs de vente » (2008). Il a débuté sa carrière professionnelle chez Teisseire (1997-1999) en tant que Chef de secteur (38, 73 et 05) avant de rejoindre TERREAL en 2000 au poste de Délégué Commercial (38, 73 et 74). En 2008, il devient Directeur Régional des Ventes pour la région Centre-Est. 

Dirigée par Jean-Michel Jezierski, la direction grands comptes / prescription regroupe au sein d’une même équipe l’ensemble des Prescripteurs et des Ingénieurs d’Affaires Façade (IAF) et aura comme but de développer l’approche de prescription sur l’enveloppe du bâtiment. Elle cible principalement les grands comptes constructeurs de maisons individuelles et promoteurs nationaux, les prescripteurs et les entreprises de bardage.

Footballeur professionnel, Jean-Michel Jezierski a auparavant travaillé chez Pillaud Matériaux, un négoce de matériaux, pendant 4 ans. Il intègre TERREAL en septembre 2001 comme Délégué Commercial pour la Champagne (51, 08 et 10) et couvre l’ensemble des activités du Groupe. Fin 2007, il devient Directeur Régional Nord-Est (de Dunkerque à Besançon), également pour toutes les activités de TERREAL. Il est promu Directeur National Grands Comptes en septembre 2014. 

La direction marketing, dirigée par Eric Risser, a pour mission de faire évoluer l’offre Terreal via une accélération du rythme des lancements de nouveaux produits et services. Elle vise également à accentuer les opérations de communication et de promotion à travers la mise en œuvre de plans d’actions marketing en étroite collaboration avec la distribution. Enfin, la digitalisation de l’approche commerciale, marketing et technique, est également un enjeu majeur de cette nouvelle organisation.

Titulaire d’une double formation technique et marketing : ingénieur (spécialité thermique-énergétique) obtenu à Polytech’Nantes et troisième cycle à l’EM Lyon en management de la technologie et de l’innovation, Eric Risser débute sa carrière chez Saint-Gobain Weber durant 6 ans comme chef de produit « mortiers techniques » puis intègre en 2002 le groupe Lafarge pour y exercer durant 6 ans des responsabilités marketing et commerciales au sein de l’entité Lafarge Granulats Seine Nord. En 2008, il rejoint TERREAL pour y piloter le marketing de l’activité Gros-œuvre Décoration et devient Directeur commercial et marketing de cette activité en 2013. 

Sous la responsabilité de Julien Dubuisson, la direction de l’export pilote l’activité export des produits issus des usines de Terreal en France vers l’ensemble des pays où le groupe est commercialement présent, pour les activités Couverture et Façade.

Julien Dubuisson a auparavant occupé les postes d’Export Manager chez Renault Truck (2000) et de Business Engineer North Africa chez Bridgeston(2006). En 2009, il intègre Akzo Nobel en tant que Global Key AccountManager, puis en tant que Business Manager West Europe (2012). Il rejoint TERREAL en mai 2015 au poste d’Export Manager. 

Dirigée par Karine Thaury, la direction de la supply chain couvre le service clients France et export, la logistique, le transport et la planification.

Diplômée d’un DEA de chimie appliquée (ENSCP, 1997) et d’un mastère Intelligence Marketing (HEC, 1998), Karine Thaury a débuté sa carrière dans le conseil en management chez PricewaterhouseCoopers (1999), puis chez Saint-Gobain TERREAL (2002). En 2003, elle prend la direction du service clients France et export, avant d’être nommée Directrice Supply Chain France en 2010. 

 Organigramme de la nouvelle organisation commerciale France de TERREAL:



Source: Terreal Wellcom.fr

22/03/2016

TECAUMA: un véritable savoir-faire reconnu en manutention de produits céramiques (terres cuites)

LA SOCIÉTÉ
Le métier de TECAUMA est la conception, la fabrication, l'assemblage et la mise en route de lignes de production automatique et d'équipements de manutentions pour différents secteurs d'activités et principalement le bois, la menuiserie industrielle, la terre cuite, le béton et l'agroalimentaire.
Fort de ces diversifications et d'un savoir-faire reconnu, TECAUMA a la capacité de proposer des lignes ou équipements pour d'autres secteurs d'activités.
TECAUMA possède aussi une réelle expertise en cellules robotisées qui lui a déjà permis de mettre en oeuvre ces solutions dans de nombreux secteurs d'activités avec des contraintes de cadence et de précision très élevées.
L'ensemble des solutions développées par TECAUMA répond efficacement à des problématiques de production, de productivité, d'ergonomie et de sécurité.
Dès la conception, les contraintes de maintenance des équipements sont intégrées dans la réflexion et assurent aux clients, l'intégration de composants de marques notoirement connues et des coûts d'entretien limités.
L'ORGANISATION
Le Système de Management Qualité de TECAUMA est certifié AFAQ ISO 9001.
L'entreprise TECAUMA a un effectif de 65 personnes, qui se consacrent pour moitié à l'ingénierie et pour moitié à la réalisation.
Dès la phase de consultation, TECAUMA établit une offre détaillée et précise des équipements qu'elle conseille et qui répond intégralement aux spécificités techniques du produit à manutentionner et aux performances attendues par le client.
Les équipements sont ensuite réalisés selon le cahier des charges établi lors de la consultation. De la commande à la mise en production, l'un de nos chefs de projet devient l'interlocuteur unique du client. Il lui assure une qualité de prestations, une réactivité et un respect des délais qui sont les valeurs essentielles de l'entreprise.
Tous nos équipements sont montés et essayés dans nos halls d'assemblage d'une surface de 6 000 m². Une réception interne avec le client garantit la conformité et la qualité des projets avant livraison. Après livraison, notre service après-vente réactif répond efficacement à vos besoins de pièces de rechange, maintenance et dépannage.
Pour vous assurer cette qualité de prestation, TECAUMA s'appuie sur : Une équipe de techniciens et d'ingénieurs expérimentés, Une capacité d'adaptation pour proposer à ses clients, des solutions sur mesure, Un Service Après-Vente reconnu pour son efficacité.
PLUS DE 30 ANNÉES D'EXPÉRIENCE...

Fondée en 1977, par M. Gérard HERBRETEAU, l'entreprise a toujours cultivé une diversification dans les secteurs d'activités lui permettant ainsi d'apprendre, et de se constituer un véritable savoir-faire dans la manutention et les process de ses clients. TECAUMA possède aujourd'hui un large parc installé dans de nombreux secteurs d'activités en France et à l'étranger. Ces lignes et équipements sont largement reconnus pour leur fiabilité et leurs performances.
Pour conforter sa position, TECAUMA innove dans de nouveaux équipements pour anticiper les évolutions des produits et les process de fabrication. De nombreux brevets ont déja été déposés.
En France et à l'étranger, TECAUMA est l'acteur de nombreux projets de référence qui permettent de proposer à ses clients des solutions largement éprouvées.

Source TECAUMA

21/03/2016

TERREAL poursuit son engagement dans le réseau 100 chances 100 emplois

Lutter contre les discriminations, favoriser la diversité et l’insertion, telle est l’ambition portée par le réseau 100 chances 100 emplois*. Né en 2004 et expérimenté pour la première fois à Chalon-sur-Saône, ce dispositif est aujourd’hui présent dans 25 villes de France. En 2016, TERREAL renouvelle son engagement auprès de l’association, notre site de Roumazières devenant l’entreprise pilote pour la ville d’Angoulême.

Les objectifs du dispositif 100 chances 100 emplois sont d’accompagner les jeunes dans leur projet professionnel en les aidant à le définir au mieux et en leur donnant tous les conseils utiles permettant de s’insérer dans la vie active. Ainsi, les acteurs publics, les acteurs de l’emploi et les entreprises collaborent ensemble dans une démarche commune d’insertion.
Plusieurs étapes rythment le programme : les candidats sont repérés via des structures associatives ou d’aide à la recherche d’emploi (Missions locales, Pôle Emploi…). Ils sont ensuite sélectionnés puis mobilisés pour participer à différents ateliers. Les entreprises partenaires sont présentes à deux moments : lors de la simulation d’entretiens d’embauche et lors de la découverte des entreprises du bassin d’emploi. C’est à cette occasion que le 11 février dernier, une dizaine de jeunes sont venus découvrir l’usine de Roumazières. L’entreprise est également impliquée dans un processus de parrainage. TERREAL parraine ainsi deux jeunes, via l’implication d’Estelle Jourdain, Responsable ressources humaines et Jean Bonheme, Responsable ressources humaines adjoint. Les deux filleuls accompagnés cette année sont intéressés par les métiers de l’électricité et du marketing. Le principe ? Le parrain suit son filleul durant toute sa recherche et l’aiguille dans son projet professionnel.
A Chagny, c’est Claire Borey, Responsable ressources humaines, qui, après 2 années d’investissement en tant que coordinatrice / pilote du dispositif sur le bassin de Chalon-Sur-Saône, passe le flambeau. Le 12 février dernier, elle a remis le Trophée, symbole de l’engagement, à Aurélie Zimmermann, responsable d’agence Start People. Par ailleurs, Timothée Jaeckin, Responsable ressources humaines du siège et du Pôle Tuiles Nord, participe au réseau 100 chances 100 emplois de l’agglomération du Mont Valérien (Suresnes, Rueil-Malmaison et Nanterre) en Île-de-France.
A travers cet engagement dans le réseau 100 chances, 100 emplois, TERREAL réaffirme ainsi son ancrage dans le développement des territoires.
*Le programme 100 chances 100 emplois porte sur 4 objectifs : insérer des jeunes adultes (18 – 30 ans) dans le monde professionnel en les accompagnant jusqu’à l’emploi durable, lutter contre les discriminations, favoriser la diversité, innover dans une démarche portée par les entreprises.

Source Terreal

20/03/2016

MONIER: MAISON SURÉLEVÉE AVEC AMÉNAGEMENT DES COMBLES

La société Phénix Évolution (groupe Geoxia) publie la vidéo d’un chantier de surélévation de maison avec aménagement des combles. Une technique impressionnante et pourtant maîtrisée depuis de nombreuses années par l’entreprise. Le couple à l’origine de la demande a ainsi pu gagner près de 100 m² de surface habitable, tout en restant chez lui durant les travaux.

ADAPTER POUR MIEUX ÉVOLUER
Trouver la maison idéale, au bon endroit et avec une surface adaptée n’est pas toujours facile. De plus, les besoins et les habitudes peuvent évoluer avec le temps.
M. et Mme TURMEL ont été confrontés à cette difficulté et ont choisi de faire appel à Phenix Evolution pour leur apporter une solution adaptée. L’aménagement des combles avec surélévation qui leur a été proposé a permis de gagner près de 100 m² de surface habitable, d’améliorer l’esthétique et aussi la performance de l’habitation. En effet, les techniques d’isolation thermique par l’extérieur offrent la possibilité d’isoler son pavillon sans toucher à la structure de la maison.
Ce chantier situé à Collégien (Seine et Marne) a été suivi dans son intégralité par Damien ANDRES, Responsable d’agence Phénix Evolution.
LES SOLUTIONS MONIER
TUILE MINÉRAL DOUBLE ROMANE

Cette référence aux qualités indéniables, connue et reconnue pour son excellent rapport qualité-prix, fêtera ses 50 ans en 2016 ! Le coloris Brun apporte ici une touche plus contemporaine à la construction, tout en garantissant sa bonne intégration dans le paysage local.
ISOLATION THERMIQUE PAR L’EXTÉRIEUR
Un toit mal isolé peut être responsable de plus de 30% des déperditions énergétiques dans une maison.
En cas de combles déjà aménagés, la solution Clima Comfort développée par Monier permet
d’augmenter le confort thermique de sa maison tout en restant chez soi pendant toute la durée des travaux. Fait à base de mousse en Résol, c’est le produit tout en un le plus performant du marché.

Source MONIER

19/03/2016

BOUYER LEROUX: Palettes consignées sur toute la France

Depuis toujours, Bouyer Leroux Terre cuite est attentif aux évolutions et répond naturellement aux exigences de développement durable aussi bien à travers ses produits que son process de fabrication.

Une nouvelle mesure concernant la gestion des déchets est opérationnelle depuis mai sur toute la France : une démarche globale de consigne des palettes pour ses deux marques : bio’bric et Opti-solution.
Ce service de consignation des palettes concerne les briques de mur et leurs accessoires.

Source Bouyer Leroux

18/03/2016

INDIA'S BOOMING CITIES BUILT FROM "BLOOD BRICKS" OF BONDED LABORERS

PONNERI, India (Thomson Reuters Foundation) - When police raided the brick kiln in southern India where Siriya Banchor had been conned into a life of bonded labor - along with hundreds of other poor, illiterate migrants - the 48-year-old seemed more bewildered than relieved.
Fumbling in the darkness of a windowless mud-and-brick room she had shared with her family for more than two months, Banchor stuffed her things into a sack, took her child's hand and emerged into the bright glare of the afternoon sun.
"I have two sets of clothes, two utensils and a little rice. We came with nothing, hoping to earn enough to pay back our loan," she said, stepping over piles of half-baked bricks to join other rescued workers waiting to board trucks that would take them to temporary lodgings.
"We are going back with nothing but at least the suffering will end," Banchor said as she stood amid the crowds at the kiln on the outskirts of Chennai.
In all, 564 brick kiln workers, including Banchor, were rescued last week by police and local authorities acting on a tip-off from an employee at the kiln. It was one of the largest such operations in India - shedding light on the huge number of laborers trafficked into servicing the country's booming construction industry, activists say.
"The scale and magnitude of the problem is massive," said Chandan Kumar, founder of "Blood Bricks" - a campaign launched two years ago to expose abuses in the construction sector.
"There are gross violations happening in many of these kilns, but the government does not have the resources or the capacity to inspect these places and check on the conditions under which workers are living, much of which amounts to modern day slavery."
BUILDING CITIES FROM BONDED LABOR
India is home to almost half the world's 36 million slaves, according to the 2015 Global Slavery Index, produced by the Australia-based Walk Free Foundation.
Many Indians are duped into offering themselves for work in farms, brothels, small shops and restaurants as security against a loan they have taken or a debt inherited from a relative.
This kind of exploitation is especially common in the construction sector, particularly in the unregulated areas of brickmaking and stone quarrying, experts say.
Yet construction is one of the most important sectors in the Indian economy, providing around 35 million jobs and contributing eight percent of the country's GDP.
With India's towns and cities projected to swell by an additional 404 million people by 2050, demand for infrastructure and services will continue to be voracious.
The government admits current levels of infrastructure are inadequate. In the urban housing sector alone, there is a shortage of 18.8 million "dwelling units", it says.
"There is definitely a link between the building you see coming up in the city and the pile of bricks lying outside the construction site which come from brick kilns employing bonded labor," said P.M. Nair, a leading expert on human trafficking and modern day slavery.
"When a contract is awarded, it includes labor cost but not even one percent is put aside for their welfare," said Nair, who is chair professor and research coordinator on human trafficking at the Tata Institute of Social Sciences in Mumbai.
TRAFFICKED AND DUPED
There are no official figures on the number of people employed to cut, shape and bake clay-fired bricks mostly by hand in India's tens of thousands of brick kilns.
According to a 2015 paper by the Centre for Science and Environment at least 10 million people work in kilns, many located on the edge of towns and cities making them easily accessible for urban builders.
In Ponneri, about 50 km (30 miles) from the coastal city Chennai, the capital of Tamil Nadu state, rescued workers at the Sri Lakshmi Ganapathi Brick Industries brick kiln described how they were brought here two months ago by agents.
The workers, all from the eastern Indian state of Odisha, said traffickers visited their villages, offering loans of 20,000 rupees ($300) in exchange for six months labor.
The trafficker then sold the debt to another "agent" who brought them in batches by train to Chennai.
"The agents who come to our villages spot the families in distress. They know when there has been an unforeseen expenditure and then offer the loans," said one worker, a young, bare-chested man who followed his uncle to the kiln.
"They come to us when we have hit rock bottom and have no choice but to agree to their terms."
UNCERTAIN FUTURE

The laborers, along with their children, said they worked 10 hours daily, slept in tiny rooms with their families, and had no access to clean water or toilets.
They were told they would be expected to work from January to June, before the monsoons usually strike, disrupting work.
Each family, some of them with elderly or pregnant women, was expected to produce at least 2,000 bricks daily. If they did not, less money would be deducted from their loan.
They said they received no official documentation of the loan and did not know how much of the debt they had cleared.
"Each family has a debt of up to 20,000 rupees($300). And they are being paid only 400 rupees ($6) per family every week, without being allowed to go home unless they paid the entire amount," said M Narayanan, revenue department official leading the raid.
A doctor working for the brick kiln owners, who was arrested along with five others, including site supervisors, told the Thomson Reuters Foundation he provided a steady supply of painkillers to ensure workers kept working.
A disregard for labor laws, impunity for agents and brick kiln owners and few alternatives for workers who are rescued made it difficult to break the cycle of exploitation, campaigners said.
"In most cases, the rescued laborers say they had no means to get the next meal and therefore no choice but to go with the agent," said Mathew Joji, a spokesman for International Justice Mission, a U.S.-based human rights group.
"Unless that ground reality changes, things will not improve for them even after rescue."
R Geeta of the Unorganised Workers Federation said rescue was often not the end of debt bondage. "With no monitoring, many of those rescued will get into second bondage or work for another employer in equally bad conditions," Geeta said.
For Banchor, there is little guarantee of a better life once she and her family return to their village.
"We are going home but our future is uncertain," she said as she jostled to board the bus out of the brick kiln.
Source REUTERS par ADNAN ABIDI

17/03/2016

Développer les matériaux de construction organiques pour profiter de leurs atouts

Les agrégats organiques appartiennent aux matériaux de construction mis en avant ces dernières années. Ils représentent en partie l’avenir, notamment liés aux démarches d’isolation. Le projet Isobio s’y intéresse plus particulièrement avec un objectif, renforcer les performances structurelles comme mécaniques.
Améliorer les performances des isolants
Les bio-agrégats commencent à progresser dans la construction et pourraient connaître une évolution encore plus marquée au cours des prochaines années. Le projet Isobio y travaille avec une idée, rendre les nouveaux isolants 20 % plus efficaces au niveau thermique, tout en réduisant leurs énergies grises de 50 % par rapport aux matériaux traditionnels. Le mode de fabrication devient alors primordial.
Pour viser ce résultat, plusieurs données sont à prendre en compte, entre éléments organiques et non organiques. Ainsi, les matériaux les plus souvent privilégiés pour l’isolation restent la paille et le chanvre, complétés par des résines et d’autres produits : les nanoparticules.
Les nanoparticules, intégrées aux nouveaux matériaux
Chaque élément joue un rôle primordial. Ainsi, les matériaux inorganiques ont pour effet de rendre le bio-agrégat plus résistant et solide. Reste que son alliance avec la fibre naturelle n’est pas toujours totale. Pour y remédier, d’autres composants tendant à être de plus en plus souvent employés, issus de la nanotechnologie. Celle-ci intervient sur les matériaux pour venir renforcer leurs propriétés lorsqu’ils sont mis en commun, notamment en obtenant un composé résistant, que ce soit au niveau structurel comme mécanique. Ces matériaux finis de dernière génération ont en même temps une autre ambition, celle d’améliorer la performance de chaque bâti. Ces produits ont en effet un atout majeur, celui d’être perspirants pour garantir la perméabilité à la vapeur d’eau. Une avancée importante qui devrait influer les prochaines innovations en matière d’isolation.

Source ETI Construction

16/03/2016

TERREAL FAIT DÉCOUVRIR SES MÉTIERS AUX FEMMES

Des salariées de l’entreprise Terreal sont venues expliquer leur métier aux invitées. À l’image de Natacha Raynaud.
Dans le cadre de la journée de la femme, la tuilerie de Roumazières a accueilli hier une trentaine de femmes en recherche d’emploi. Pour une découverte des différents métiers liés à la tuile.
Conjuguer les carrières au féminin et montrer que la tuile, ce n’est pas qu’un métier d’homme..." C’est sur ce thème que l’entreprise Terreal a ouvert hier son site de Roumazières aux femmes, dans le cadre de la journée de la femme.Chez l’industriel, "on veut casser les codes machistes". C’est Estelle Jourdain Richelot, la responsable des relations et ressources humaines (RRH) qui a mené l’opération avec son adjoint Jean Bonhème, en accueillant une trentaine de femmes en recherche d’emploi du bassin de Roumazières et des environs, autour d’un sympathique petit déjeuner-échanges. La mission locale Arc Charente, l’agence Pôle emploi...
Lire la suite sur la Charente Libre, article rédigé par Marie-Françoise CORMIER

15/03/2016

Etanchéité : assurer l’étanchéité à l’air des parois maçonnées

L’étanchéité à l’air est devenue un critère important et mesurable de la qualité du bâti. La méthode pour l’obtenir dépend étroitement du type de maçonnerie utilisée.

Pour mesurer la perméabilité à l’air de l’enveloppe, la France a mis au point l’expression Q4paSurf en m3/(h.m²). Elle rapporte le taux de fuite sous une différence de 4 Pa, à la surface des parois déperditives au sens de la RT2012.
La RT2012 exige une valeur Q4paSurf ≤ 0,6 m3/(h.m²) en maison individuelle et ≤ 1 m3/(h.m²) en logements collectifs. Q4paSurf est une invention exclusivement française et il n’existe d’ailleurs aucune solution pour une mesure directe de cette grandeur.
Pour l’obtenir, il faut d’abord réaliser une mesure du ?50, la grandeur utilisée par toute l’Europe, sauf la France. Puis la convertir en Q4paSurf par un calcul.
Obtenir Q4paSurf ≤ 0,6 m3/(h.m²) n’est pas difficile
L’exigence de la RT2012 en matière d’étanchéité à l’air n’est pas très contraignante. Mais pour l’obtenir, il faut réfléchir. Toutes les traversées de parois extérieures doivent être traitées. Tous les points singuliers que constituent les limites entre deux ouvrages – entre la menuiserie des portes et fenêtres et la maçonnerie, par exemple – doivent l’être aussi.
Ensuite tout dépend du type de gros œuvre. Parmi les ouvrages en maçonnerie, seul le béton banché est étanche à l’air par nature. Tous les autres ouvrages maçonnés – blocs béton et toutes les parois de briques classiques ou monomur – doivent être étanchées, soit grâce à une membrane rapportée, soit à l’aide d’un enduit étanche à l’air posé sur la face intérieure ou à extérieure de la paroi traitée.

Solution 1 : Béton banché dans des coffrages perdus isolants

Il est possible de construire des maisons individuelles et des petits bâtiments, parfois jusqu’au R+2, en béton banché à l’aide des coffrages perdus isolants.
Une bonne dizaine de solutions sont disponibles sur le marché français. Le coffrage perdu en polystyrène, assurant à la fois une isolation thermique répartie – intérieure + extérieure – et le coffrage des parois en béton est apparu au milieu des années 80 en France.
Depuis trente ans, ces solutions se sont améliorées et offrent désormais des systèmes complets et suffisamment souples pour faire face à toutes les exigences architecturales. Il apparaît d’ailleurs régulièrement de nouvelles solutions.
Réseaux dissimulés
En fonction du plan de l’architecte, les fabricants livrent les accessoires et éléments de coffrage calepinés et repérés, de manière à minimiser les recoupages sur le chantier. A partir d’une dalle finie, ils sont empilés jusqu’à hauteur d’étage.
Le ferraillage est calculé en fonction du bâtiment et des conditions sismiques locales. Les réseaux, gaines électriques, canalisations de chauffage, sont passés dans le coffrage avant coulage. Leurs sorties sont aménagées et traitées pour résister à la pression du béton lors du coulage.
Le béton est coulé. Avec cette méthode, il est possible de construire un niveau par jour.
Intérêt : facilité de mise en œuvre, parfaite étanchéité à l’air et à l’eau de la paroi, dissimulation de toutes les canalisations, ­isolation thermique élevée, excellente performance sismique.

Solution 2 : Les enduits étanches à l’air

Une paroi maçonnée enduite sur une face est étanche à l’air. Les fabricants proposent des enduits spécifiques.
Lorsque la RT2012 est parue, apportant une obligation de mesure d’étanchéité à l’air, les maçons ont inventé quantité de recettes : remplissage des joints verticaux entre les blocs, enduit intérieur + enduit extérieur, etc. Sans se demander si une paroi maçonnée, hourdée et enduite selon les règles de l’Art n’apportait pas une performance d’étanchéité suffisante.
L’UMGO-FFB, le Cerib et le CTMNC ont fini par confier au laboratoire Ginger CEBTP, une campagne d’essais sur différents types de parois maçonnées pour en avoir le cœur net.
Le remplissage des joints est sans influence
Après avoir essayé diverses parois de briques et de blocs béton, la réponse est claire : si les parois extérieures maçonnées sont réalisées dans les règles de l’Art, leur défaut d’étanchéité à l’air ne représente en moyenne que 1% de la perméabilité à l’air d’une maison.
Le type de joints – épais ou minces – et le remplissage des joints verticaux sont sans effet sur le résultat final. Ceci dit, les industriels ont amélioré leurs formulations et proposent désor­mais des enduits intérieurs ou extérieurs plus élastiques. Ce qui minimise les rétractations et garantit une étanchéité à l’air plus fiable dans le temps.
Intérêt : solution parfaitement traditionnelle, en principe ­maîtrisée par toutes les entreprises de maçonnerie. Souple par ­nature, ce qui permet d’épouser à l’extérieur tous les contours d’une architecture même torturée.

Solution 3 : Mise en œuvre de membranes d’étanchéité à l’air

Les membranes destinées à l’étanchéité à l’air des parois maçonnées se posent exclusivement à l’intérieur et s’accompagnent le plus souvent d’une isolation thermique par l’intérieur.
Une membrane d’étanchéité à l’air se pose directement contre la face intérieure nue et froide d’une paroi maçonnée, par marouflage (collage d’une surface légère et souple sur une autre surface solide et rigide). Les membranes ne sont qu’un produit, important, au sein d’un système qui en comporte bien d’autres.
Il faut aussi une solution de collage des lés de membrane entre eux, en général des adhésifs double-face, toutes sortes d’accessoires pour traiter les points singuliers, notamment les traversées des membranes, souvent des œillets élastiques de différents diamètres, les angles rentrants et sortants, l’entourage des conduits, etc.
Il faut également une solution pour assurer l’étanchéité périphérique des membranes lors des jonctions avec d’autres matériaux ou avec les parois adjacentes.
Intégrer les réseaux dans le volume étanche à l’air
La pose des divers réseaux s’effectue dans le volume étanche pour minimiser les traversées de la membrane. Ce qui implique la pose d’une ossature supportant les plaques de plâtre et permettant la création d’un vide technique entre la membrane et les plaques de plâtre, laissant suffisamment d’espace pour passer les réseaux.
Même si cette ossature est principalement fixée au sol et au plafond, il faut quelques fixations au mur : à travers l’isolant thermique intérieur et à travers la membrane d’étanchéité à l’air. Les composants de fixations doivent assurer la rupture du pont thermique et permettre de reconstituer l’étanchéité à l’air de la membrane autour de la traversée.
Intérêt : ménage un vide technique pour les réseaux, assure une parfaite étanchéité à l’air et fait partie d’un système ­comportant tous les accessoires nécessaires. Limite : nul ne sait vraiment quelle sera la durée dans le temps de l’étanchéité à l’air ce ces membranes. La mise en œuvre est ­délicate et requiert beaucoup de soin et d’attention aux détails.

Source : batirama.com / Pascal Poggi / © photo d'ouverture : The Energy Conservatory

14/03/2016

GB: Ibstock builds healthy rise in sales and profits

Ibstock PIC Demand for new housing helped the UK's largest and oldest brick manufacturer record a healthy rise in sales in the year it floated on the London Stock Exchange.
County brick maker Ibstock, valued at £770.5 million in its October listing, said group revenue for the 12 months to the end of December rose 10.6 per cent to £412.8 million, up from £373.2 million in 2014.
Adjusted profits for the period, taking acquisitions into account, rose 64.7 per cent from £65 million in 2014 to £107 million last year.
Wayne Sheppard, the chief executive of Ibstock, said: "Our 2015 results are particularly pleasing as they clearly show that despite the CRH disposal and subsequent IPO we maintained our focus and delivered excellent growth in sales, profitability and cash generation for our investors.
"While it is early in the year to have any real visibility, at this point our expectations for the full year remain unchanged despite a slower start for UK brick sales into the RMI [home improvement] market.
"Our major capital investment projects are progressing to plan and we anticipate another year of progress in 2016. The fundamentals supporting our business remain strong."
In December 2014 CRH, the building materials group, sold Ibstock Brick, as it was then known, to private equity giant Bain Capital for £414 million in cash and debt.
US clay business Glen-Gery and UK concrete product makers Forticrete and Supreme Concrete were also part of the sale.
Ibstock, which employs 350 people in Leicestershire, then floated in London raising £100 million.
The company used £80 million of the cash raised to refinance its banking facilities and pay down existing debts. The remaining £20 million funded the cost of the listing.
Mr Sheppard said Ibstock is thriving as a publicly quoted company.
He said: "The UK business, which accounts for about 81 per cent of the group, performed strongly in the year to December 31 2015. The improvement in revenue and profitability reflects a strong pricing environment for clay bricks and good pricing for other products."
As well as making clay bricks, Ibstock also manufactures brick components, concrete roof tiles, concrete substitutes for stone masonry and concrete fencing.
Ibstock has the capacity to make 780 billion bricks a year. This will increase by 100 million in the second half of 2017 – enough to build 15,000 detached homes and garages – when the company's new £50 million factory just outside Ibstock goes into production. The move will create 50 jobs.
Increased capacity could also help Ibstock grow its 40 per cent share of the UK brick making market.
Mr Sheppard said: "If no one else increases capacity [in the UK] then our market share, by implication, will potentially grow organically. We are really aiming the plant at imports as the UK currently imports 300-300 million bricks a year."
In a statement Ibstock said its Glen-Gery US business was also "performing strongly".
Mr Sheppard said this was due to "a combination of rising volumes and higher average prices" reflecting a "more favourable product mix".
Source Leicester Mercury par Lauren Mills

13/03/2016

Terreal refond son organisation commerciale

Depuis le 1er mars, l’organisation commerciale de Terreal France n’est plus structurée par activités. Désormais transversales, les différentes directions sont compétentes pour tous les métiers de l’entreprise
.
Jean-Baptiste Fayet, directeur commercial et marketing pour la France de Terreal
Harmoniser le fonctionnement des différentes activités de l’entreprise, mais aussi améliorer la visibilité de l’ensemble de l’offre. Tels sont les deux principaux objectifs de la nouvelle...
Lire la suite sur Le Moniteur article rédigé par Yannick Le Goff

12/03/2016

Projection d'acide au Centre européen de la Céramique à Limoges : deux salariés blessés

Deux salariés du Centre européen de la Céramique à Limoges ont été blessés après avoir reçu des projections de différents acides très puissants
.
Selon les pompiers, ces projections d'acide chlorhydrique, acide fluorhydrique et peut-être d'acide nitrique seraient dues à une mauvaise manipulation. Deux employés du laboratoire ont été blessés par ces projections. L'un à la nuque et aux mains, l'autre aux jambes. Ils ont été transportés au CHU de Limoges qui reste en contact avec le service des grands brûlés de Bordeaux.
Selon les pompiers, l'acide fluorhydrique est considéré comme l'acide le plus puissant du monde. Il peut continuer à brûler même si on n'est plus en contact avec. C'est pour cela que les deux salariés restent en observation.
Le mélange des trois acides a provoqué l'émanation de vapeurs extrêmement toxiques. Les 200 personnes présentes dans l'école du Centre européen de la céramique ont été évacuées. L'école reste fermée pour la journée.
La police et les pompiers sont sur place, ainsi que la cellule d'intervention chimique. Une vingtaine de pompiers spécialisés sont intervenus sur place avec des scaphandres oranges pour éviter tout contact avec les acides. Une vingtaine de litres des différents acides ont été récupérés et transportés dans des seaux avec des solvants "tampons" pour ensuite être retraités par des entreprises spécialisées.
Le Centre européen de la Céramique implanté à Esther Technopole regroupe à la fois des étudiants, des chercheurs et des techniciens.
Source France Bleu Limousin par Françoise Pain et Nathalie Col

MONIER: SALONS NORDBAT ET AQUIBAT 2016

Monier est présent pour l’édition 2016 des salons NORDBAT et AQUIBAT !
Exclusivement dédiés aux professionnels, ces deux évènements se sont progressivement imposés comme les salons régionaux de référence de la filière construction. A la fois lieux d’échange et de découverte de nouveaux produits, ils vous donneront l’occasion de rencontrer l’ensemble des acteurs de votre région.
Nos équipes seront heureuses de vous accueillir pour vous présenter les dernières innovations et nouveautés produits de Monier !
INFORMATIONS PRATIQUES:
AQUIBAT : HALL 1 – STAND J10
Du 16 au 18 mars au Parc des expositions de Bordeaux
www.aquibat.fr
NORDBAT : STAND O46
Du 23 au 25 mars au Grand Palais de Lille
www.nordbat.com

Source MONIER

11/03/2016

BioMason Makes Bricks From Bacteria Without Heat Or Clay

BioMason makes emissions free bricks
BioMason is a North Carolina startup company that manufactures bricks without heat or clay. About 8% of global carbon emissions come from making bricks, according to the company’s co-founder, Ginger Krieg Dosier, citing information from the EPA. The BioMason process not only creates no carbon emissions, it even re-uses the water needed to make its bricks.
Founded in 2012 by Dosier and her husband, Michael, the building-materials company grows bricks and masonry from scratch without the need for any heat. While traditional brick making requires heating clay in kilns at 2,000 degrees for several days — which releases massive amounts of carbon emissions into the atmosphere — BioMason injects sand with microorganisms to initiate a process like the one that creates coral. The technique takes four days. Once completed, the bricks are strong enough for use in houses, commercial buildings, and other structures.
If the whole thing sounds a little weird to you, Dosier understands. “I knocked on a lot of doors of scientists and microbiologists,” she says of her time spent researching BioMason’s brick-making method, “and they were kind enough to not tell me I was crazy.” Investors agreed. BioMason raised $2.8 million in seed funding, grants, and awards, most of it during 2013. The money included more than $500,000 from the Postcode Lottery Green Challenge, which featured a jury chaired by Richard Branson.
Dosier studied architecture at Auburn University then became a graduate student at the Cranbrook Academy of Art in Michigan. While working for an architectural firm in 2005, she was asked to explore green alternatives for building materials. When it came to brick and masonry, her searches came up empty. “That kind of stuck with me for a little while,” she says.
She thought coral might hold the answer. “I looked at how coral was able to make these incredible structural formations that could withstand water and erosion and began really researching how it was able to grow.” She asked scientists at Research Triangle Park in North Carolina if the process could be used to make bricks. It could be done, they said. It’s just that no one had ever tried it before.
“This required a rare combination of talents and areas of intelligence,” says Patrick Rand, professor of architecture at N.C. State, who advised Dosier on the project. “She sparked the whole process by imagining that biochemistry could do in days what geological processes have taken millennia to accomplish.” Dosier then assembled a team of employees that includes biologists, architects, engineers, and experts in fermentation.
BioMason sustainable bricksEvery bricks starts with sand packed into rectangular molds. The molds are then inoculated with bacteria, which wrap themselves around the grains of sand. With each bacteria covered grain of sand acting as a nucleus, calcium carbonate crystals begin to form around it. An irrigation system feeds the bricks nutrient rich water over the course of several days to facilitate the process. The crystals grow larger and larger, filling in the gaps between the grains of sand. After three to five days, the bricks are ready for use.
Sustainable building materials currently amount to a $36.1 billion industry. It is expected to grow by more than 10% annually until 2020, according to market researcher IBISWorld.
Finding customers is a daunting task. “The design and construction industry is a big dinosaur,” says Ihab Elzeyadi, a professor at the University of Oregon’s Ph.D. in architecture program. “It moves very slowly. It doesn’t embrace change very easily.” There are also building codes to be met and building inspectors to convince. While there are industry standards for traditional bricks and masonry, no such measures yet exist for biological products.
But Dosier says once potential customers see the results of durability testing performed by third-party labs, they’re convinced. The bricks have proved to be as durable as sandstone. They also can be made in many shapes and sizes. BioMason has licensing agreements with two US-based manufacturers of construction materials and is in talks with several more, including two European companies. Her bio-bricks are expected to be competitive with standard bricks by the time they hit the market in 2017.
Dosier is committed to finding ways to reduce greenhouse gas emissions. “I really wanted to pursue a different approach to how materials were made,” she says. “It just didn’t seem right for us to essentially extract material from the ground and then fire it with quite a large amount of fossil fuel just to make a hard product.” She says, “Our goal is to impact. It’s a global goal,” says Dosier. “We wanted to do what had never been done before, to push the boundaries. And instead of being ‘less bad,’ we wanted to completely redo it–the hard way.” Elon Musk couldn’t have said it any better.

Source Ecopreneurist

10/03/2016

YANN JAUBERT, PDG DE MATERIALS : LA TRANSFORMATION NUMÉRIQUE VA FAIRE DISPARAÎTRE LES TÂCHES DÉSHUMANISANTES

« Materials », l'entreprise de 200 salariés que dirige Yann Jaubert, 43 ans, Conseiller du commerce extérieur, installe des lignes de fabrication dans le monde entier : elle a notamment équipé les postes australiennes et allemandes. Capable de faire des usines virtuelles, l'entreprise est au cœur de la transformation numérique, avec des retombées très positives pour ses salariés.
Parlez-nous de votre société ?
Yann Jaubert - « Materials » est une entreprise dont le siège est basé dans le Maine-et-Loire. Nous sommes arrivés dans la région Rhône-Alpes il y a deux ans, suite à une implantation en Haute-Savoie. En 2013, nous avons racheté la « Chaudronnerie Savoyarde », un spécialiste de la conception et de la fabrication de moules pour presses et éléments préfabriqués en béton à démoulage immédiat ou différé.
Quel est précisément vote métier ?
Nous avons réussi à former un ensemble cohérent de sociétés spécialisées dans l'ingénierie et la fabrication de lignes de manutention et solutions de production automatisée. De ce fait, le groupe « Materials » a développé un savoir-faire unique sur les marchés des centres logistiques et de messageries, mais aussi des matériaux de construction, en l'occurrence des solutions de production) ; et enfin, des solutions pour l'industrie papetière, automobile, métallurgie.... À travers des solutions sur mesure de transitique et robotique.
Nous installons des lignes de production complètes partout dans le monde.
Votre cœur de métier est donc l'industrie ?
Oui. Je crois à l'industrie. Le déclin de l'industrie n'est pas une fatalité. Nous avons obtenu une taille critique pour nous projeter à l'international.
Le point commun des sociétés qui constituent « Materials » sont les bureaux d'études. Nous pouvons avoir des conceptions simultanées avec nos différents d'études. Notre objectif est de travailler en écosystème.
Enfin, nous réalisons 40 millions d'euros de chiffre d 'affaires avec 200 collaborateurs. Nous sommes très tournées vers l'international avec 70 % de ce chiffre d'affaires à l'export.
L'export est donc le moteur de votre entreprise ?
Oui. Notre marché est mondial et nous avons breveté un certain nombre d'équipements que les postes australiennes et allemandes, par exemple, nous ont achetés.
Nous avons trouvé des outils pour nous développer : nous sommes désormais capables de faire des usines virtuel à travers un prototypage virtuel.
Quelle est votre définition de l'Usine du Futur ?
Pour moi l'usine de Futur est agile, flexible, capable de produire des petites séries, proche de ce que veut le client, utilisant des technologies transverses et enfin, elle met, le client et le collaborateur, au centre...
Le client d'accord, on comprend, c'est évident, mais le collaborateur ?
L'Usine du Futur recèle pour moi un grand avantage : celui de faire disparaître les tâches déshumanisantes. En fait, je constate que la transformation numérique apporte un nouveau partage de la valeur. Quel est mon rôle, en fait. C'est de dire à mes salariés : je vous donne une direction, partagez ma vision, prenez des responsabilités. Pour avancer et pour être cohérents, il faut partager de la valeur, ce n'est pas possible autrement ; sinon, les nouvelles générations ne vont pas l'accepter.
J'avalise de mon côté les thèses de Thomas Pinketty sur le partage de la valeur : il faut réconcilier la France, les salariés avec les les patrons, il faut libérer l'entreprise. Et pour cela, la transformation numérique constitue un bel outil. C'est un élément majeur.
Dans les entreprises, les petites baronnies vont disparaître. L'entreprise va se libérer de son carcan, la libérant, lui donnant un engagement, un sens...
Quels éléments précis de transformation numérique avez-vous, vous-même, instauré au sein de votre entreprise ?
Pour nous, le réacteur est constitué par la gestion des plans de nos équipements qui suivent une chaîne numérique. Ce qui apporte une réduction des coûts d'intermédiation : mon objectif est d'arriver à zéro papier ! Cet objectif passe par la GED, la Gestion Electronique des Documents, englobant l'ensemble des processus.
La grande question qui se pose, les économistes étant divisés sur la question, est de savoir si la mutation numérique va créer ou supprimer des emplois ? Pour moi, pas de doute, elle va créer des emplois. Les salariés vont pouvoir créer de la valeur ajoutée et donc développer du chiffre d'affaires. Regardez le développement de « Materials »: nous connaissons une croissance de 15 % l'an et nous embauchons...
Source Lyon Entreprises par Dominique Largeron