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28/08/2013

135 millions d'euros pour la rénovation thermique de logements

Ce sont 95.000 primes que l'Etat distribuera d'ici à 2015 à des ménages souhaitant lancer des travaux de rénovation thermique pour leur logement principal. Explications en détail.

"Il est créé un Fonds de soutien à la rénovation énergétique de l'habitat (FSREH), doté de 135 millions d'euros, qui a pour objet d'aider les ménages propriétaires occupants sous plafonds de ressources à mener à bien des travaux améliorant la performance énergétique de leur logement" principal, c'est en ces termes que le texte d'une convention passée entre l'Etat et l'Agence de services, annonce la distribution de prime pour la rénovation thermique.
En effet, 95.000 seront données à des ménages qui souhaitent effectuer des "des travaux relevant d'au moins deux catégories parmi l'isolation des murs, des toitures ou des parois vitrées ou l'installation d'équipements de production d'énergie, de chauffage ou d'eau chaude sanitaire performants", précise le texte publié au journal officiel. Les financements s'appliqueront aux chantiers de logements de plus de deux ans qui seront portés par des professionnels.
De prochaines annonces le 5 septembre
Selon le texte, 23 millions d'euros seront débloqués cette année, puis 69 millions en 2014 et 43 millions en 2015. Sur l'enveloppe totale, 128,5 millions d'euros correspondront au versement de la prime, 6 millions aux coûts de gestion du FSREH et 500.000 euros pour l'évaluation du dispositif. La prime pourra être cumulée avec le crédit d'impôts développement durable, qui représente 262 millions d'euros. Quant aux conditions d'attribution des primes, elles seront indiquées dans un décret. Néanmoins, la ministre du Logement avait laissé entendre en mars que les plafonds de ressources de 25.000 euros par an pour une personne seule, 35.000 euros pour un couple et 50.000 euros pour un couple avec deux enfants devraient être retenus. Elle avait également ajouté que la prime pourrait atteindre 3.000 euros pour les ménages les plus précaires.
Mais ce n'est pas tout, le sujet de la rénovation thermique devrait également faire partie des dossiers importants de la rentrée puisque le ministre de l'Ecologie et de l'énergie Philippe Martin a souligné dans un entretien accordé au Nouvel Observateur qu'il ferait le 5 septembre avec Cécile Duflot "des annonces fortes" en la matière. Cependant, il ne s'est pas prononcé sur la baisse de la TVA à 5% sur les travaux de rénovation tant attendue par le secteur. Réponse dans quinze jours donc.

Source Batiactu

27/08/2013

Wienerberger : UBS abaisse sa recommandation

UBS a abaissé de "achat" à "neutre" sa recommandation sur le groupe autrichien de matériaux de construction Wienerberger, après le beau parcours récent de l’action (+66% depuis le début de l’année). L’objectif de cours est cependant ajusté de 10 à 11 euros.

26/08/2013

Les professionnels du bardage et de la vêture isolée ont un nouveau syndicat

Les professionnels du bardage et de la vêture isolée ont un nouveau syndicat Créé en juin 2013, le Syndicat national des bardages et vêtures isolées (SNBVI) est un syndicat qui a pour but unique le regroupement de l'ensemble des professionnels du secteur de la vêture, du bardage et, plus généralement, de l'isolation thermique par l'extérieur, en vue de leur représentation. Il veille à la défense des droits et des intérêts matériels, moraux, collectifs ou individuels de ses syndiqués, notamment auprès de toute autorité, syndicat, pouvoirs publics...

Présidé par Thierry Leverrier, P-DG de Carea, ce syndicat professionnel fait la promotion des systèmes de bardages et vêtures pour l'isolation thermique par l'extérieur (ITE). Il compte Carea, Eternit, Fundermax, Wienerberger, Trespa, Terreal, Vetisol, Rockwool, James Hardie, Umicore parmi ses adhérents.

Source Batijournal

25/08/2013

Réduction de la consommation d’énergie : nouveaux développements de Ceric Technologies

L’importance du facteur énergétique est au cœur des préoccupations et des développements actuels réalisés par Ceric Technologies. La société explore plusieurs voies: les combustibles alternatifs n’entrant pas dans les quotas de CO2, l’amélioration de l’efficacité énergétique de ses équipements et l’isolation thermique. Cette priorité donnée à la réduction de la consommation énergétique se retrouve dans l’ensemble de la gamme (une modification de la buse et des hélices de sortie d’un groupe d’étirage Pelerin a par exemple permis de réduire sa consommation d’énergie électrique de 10 %). Mais c’est sur les fours et les séchoirs que les efforts se concentrent.
Cuisson: isolation des fours
Les caractéristiques des fours, en termes d’isolation et de rendement thermique, sont sans cesse améliorées. L’isolation des panneaux est optimisée en fonction des zones de températures pour des performances énergétiques exceptionnelles et l’étanchéité des fours (enveloppe en acier avec des panneaux soudés…) reste le meilleur moyen de conserver leur performance à l’optimum.
Énergies alternatives: biogaz et sciure de bois
Des développements récents sur des combustibles alternatifs autorisent l’utilisation de nouvelles énergies (gaz pauvre, biogaz, sciure de bois…). Le biogaz est une énergie renouvelable non fossile issue de la fermentation de matières organiques (animales ou végétales) et qui peut être produite dans les centres d’enfouissements techniques (CET). Essentiellement composé de méthane, de dioxyde de carbone, d’eau et d’autres gaz dans des proportions moindres, son pouvoir calorifique dépend de la concentration en méthane et varie donc de 4 à 7 kWh par Nm3. Ceric Technologies exploite un savoir-faire éprouvé dans l’installation de lignes de cuisson biénergie biogaz/gaz naturel. Composée de panoplies biogaz pour l’alimentation des zones de cuisson, de brûleurs Jet et de tuyères biénergies, cette solution flexible permet une gestion automatisée de la biénergie. Aucune intervention humaine n’est nécessaire pour le changement de combustible et la cuisson est garantie même en cas de défaut d’alimentation d’un des combustibles.Plus économique (le coût énergétique du biogaz est bien inférieur à celui du gaz naturel), plus écologique (utilisation d’énergie non fossile), l’utilisation du biogaz représente une alternative fiable à l’utilisation de combustibles fossiles. Cette solution est adaptable aux nouvelles installations et aux installations existantes.
La sciure de bois, ou encore les écorces et copeaux, les pellets ou autres déchets végétaux, constituent un combustible dont le bilan CO2 est neutre pour l’environnement, la quantité de CO2 dégagée lors de la combustion étant égale à la quantité absorbée lors de la croissance de l’arbre. Le pouvoir calorifique de la sciure dépend de son taux d’humidité, taux qui peut varier énormément.
Ceric Technologies a mis au point une centrale de cuisson qui fonctionne avec tous les types de sciures humides, sans séchage préalable. Un criblage de la sciure est nécessaire pour écarter les grains supérieurs à 5 mm avant de la déposer sur un convoyeur à chaîne installé à proximité du four. Il alimente des vis sans fin reliées aux centrales de cuisson. Chaque centrale, régulée automatiquement, envoie un mélange d’air et de sciure pulsé jusqu’aux tuyères installées sur le four. Ce dernier est équipé d’un dispositif d’obturation automatique des puits de chauffe afin d’éviter les remontées de gaz chaud vers les équipements de cuisson et une possible inflammation de la sciure.
En s’appuyant sur cette expérience de la combustion de matières non fossiles, Ceric Technologies explore de nouvelles voies et évalue d’autres sources exploitables.
Équipements de cuisson: le ThermoBooster
Les efforts de Ceric Technologies se sont aussi portés sur les équipements de fours, soit pour améliorer encore le rendement des équipements de chauffe (tuyères à impulsions gaz, brûleurs Jet…) ou les rendre compatibles avec l’utilisation d’énergies alternatives, soit pour optimiser les échanges thermiques lors de la cuisson des produits. Le recyclage des fumées, dans un premier temps, puis le brassage haute température se sont alors imposés comme des solutions efficaces pour réduire les consommations d’énergie.
En créant le ThermoBooster, Ceric Technologies a développé une solution pour optimiser les flux au sein du four et homogénéiser la température entre ses différentes sections. L’amélioration des échanges thermiques permet de réduire la différence de température entre le haut et le bas du wagon et améliore l’homogénéité de température du début à la fin du four. Cet équipement breveté de brassage d’air haute température présente la particularité de fonctionner à l’intérieur même du four, de 200° à 850°C. Il ne requiert pas l’installation de conduits d’air externes, souvent endommagés par des phénomènes de corrosion difficilement contrôlables. Son efficacité permet de réduire le nombre de brûleurs au niveau de la zone de pré chauffage et, par conséquent, les opérations de maintenance. Une nouvelle conception de la turbine a permis d’augmenter de 15 % l’efficacité aéraulique de l’ensemble.
Séchoirs
Les efforts de Ceric Technologies se sont portés sur l’isolation des séchoirs (utilisation possible de panneaux isolants), la récupération des calories du four et leur exploitation pour le séchage et l’introduction d’équipements de brassage d’air innovants qui optimisent le séchage et réduisent la consommation d’énergie.

Source Ceric Technologies

23/08/2013

Vietnam: Les stocks de matériaux de construction demeurent élevés

Le marasme du marché immobilier a engendré le stock d’invendus des matériaux de construction.
L’offre dépassant largement la demande, les stocks d’invendus restent importants au point que plusieurs entreprises sont au bord de la cessation de paiements, déplore l’Association des producteurs de matériaux de construction du Vietnam.
C’est actuellement la saison haute pour le secteur de la construction qui, ordinairement, voit une forte augmentation des ventes de matériaux de construction. Mais, cette année, les rues spécialisées de Hô Chi Minh-Ville comme Ly Thuong Kiêt et Tô Hiên Thành dans le 10 e arrondissement, ou encore l’axe Vo Van Kiêt, sont quasiment désertes. « La consommation de matériaux de construction est en recul de près de 50% », déplore Phuong Hông, propriétaire d’un magasin de la rue Hàm Tu Quan du 5 e arrondissement.
De même, selon le vice-président de l’Association des producteurs d’acier du Vietnam (VSA), Nguyên Tiên Nghi, les stocks d’acier invendus s’élevaient à 310.000 tonnes en avril dernier, soit 30.000 tonnes de plus que les mois précédents. La VSA estime que la production et le commerce de l’acier ont reculé de 5-6% en glissement annuel. Même si actuellement les aciéries ne fonctionnent qu’à la moitié de leur pleine capacité, l’offre d’acier pour la construction augmentera de 1,5 million de tonnes cette année alors que la demande s’est essoufflée, approfondissant le déséquilibre sur le marché. Les autres matériaux de construction sont dans une situation similaire. Selon le ministère de la Construction, la production de céramiques, de vitres et de briques ralentit du fait de la hausse des stocks.
Sur les quatre premiers mois, la production de carrelage s’est élevée à 23,4 millions de mètres carrés, soit en variation annuelle 65% de celle de 2012, la production nationale ayant été de 400 millions de mètres carrés. Même situation pour les briques de terre cuite, avec seulement 80% de la production de l’an dernier, et pour les briques en matériaux écologiques, avec 81%. La plus forte chute de production revient aux vitres avec seulement 17,4 millions de mètres carrés et un total national de 170 millions de mètres carrés. En revanche, les meilleurs résultats ont été obtenus par le ciment avec 17,5 millions de tonnes ce premier trimestre, dont 14,4 millions de tonnes commercialisées sur le marché domestique, et le solde, exporté. La cause principale avancée pour expliquer cette situation est le marasme du marché de l’immobilier.
De grands espoirs
Le président de la VSA, Trân Van Huynh, prévoit que les capacités de production de matériaux de construction continueront d’être supérieures aux besoins domestiques de 20-30% jusqu’en 2016. La seule issue donc pour liquider ces stocks est de renforcer les exportations. D’où les efforts pour exporter de 10 à 15 millions de tonnes de ciment, de 120 à 130 millions de mètres de carrelages..., pour un chiffre d’affaires à l’exportation estimé d’entre 1,5 et 2 milliards de dollars.
En ce qui concerne le marché domestique, les fabricants de matériaux de construction attendent une reprise du marché immobilier avec la circulaire de la Banque d’État du Vietnam (BEV) entré en vigueur ce 1er juin. Celle-ci fixe une enveloppe de 30.000 milliards de dôngs pour l’octroi de crédits immobiliers à 6% à 70% des ménages de revenu modeste afin d’accéder à la propriété, ainsi que pour financer le cycle d’exploitation de 30% des entreprises de construction.
À cette circulaire s’en ajoute une précédente du ministère de la Construction destinée à relancer les ventes de matériaux de construction fabriqués au Vietnam. Cette circulaire 09 en vigueur depuis le 15 janvier dernier impose aux projets immobiliers financés par des fonds publics l’emploi de matériaux de construction non cuits. Plus précisément, les ouvrages situés dans les centres urbains de troisième catégorie et au-dessus doivent employer 100% de matériaux de construction non cuits, et dans les autres régions administratives, 50%. Passé 2015, la totalité de ces ouvrages devra être exclusivement construite avec ces matériaux. Par ailleurs, s’agissant des ouvrages de neuf étages et plus et demeurant l’origine de leur financement, les matériaux non cuits devront représenter un minimum de 30% du volume total nécessaire jusqu’en 2015, puis de 50% par la suite.
Enfin, les entreprises de ce secteur ont proposé plusieurs mesures fiscales afin de faire face à leurs difficultés. Selon les producteurs d’acier, la baisse du taux de la TVA de 10% à 5% pendant une année contribuerait, selon eux, à relancer la consommation. Toutefois, le responsable du Département des matériaux de construction (ministère de la Construction), Lê Van Toi, a affirmé de la manière la plus explicite que les producteurs de matériaux de construction doivent se sauver par eux-mêmes. S’ils doivent donc envisager des mesures, ce sont plutôt de restructuration, de renouvellement de leurs technologies, de pratique d’économies, et de diversification de leurs gammes de produits... - VNA

Source Vietnam

22/08/2013

Comfort de Koramic, la solution pour l’isolation des toitures par l’extérieur

Dans l’habitat, 30% des déperditions énergétiques sont générées par une toiture mal isolée. Pour pallier à ce phénomène et permettre un meilleur confort de vie et des économies substantielles, Koramic lance COMFORT, la solution d’isolation des toitures par l’extérieur. COMFORT est un panneau à base de mousse polyuréthane, avec écran HPV intégré, qui permet, de par sa composition, une isolation performante en 160mm R=6, et une réduction importante des ponts thermiques.
Très résistant à la compression (10T/m²) et auto-portant, COMFORT est également respirant et hydrophobe grâce à l’écran de sous-toiture intégré. Il protège la structure de l’humidité, des moisissures et des nuisibles, et permet pendant sa mise en œuvre, de conserver le chantier hors eau. COMFORT contribue à la qualité de l’air ambiant car il ne contient ni COV, ni produit toxique.
Cette nouvelle solution peut être posée en neuf, ou en rénovation sur logement habité puisqu’elle est posée par l’extérieur. Les surfaces sous toit sont ainsi préservées, mais aussi optimisées puisque la pose de COMFORT n’impacte pas sur la surface habitable disponible.
Le panneau est composé de rainures et bouvetages en trapèze, ce qui permet une découpe simple et rapide.
COMFORT est disponible dans des épaisseurs de 50 à 180mm, et est complété par une large gamme d’accessoires de finition (pare vapeur, fixations, bandes d’étanchéité, adhésif double face et gamme Compriband pour murs et pignons).
ACERMI : LA CERTIFICATION POUR L’ISOLATION THERMIQUE La certification ACERMI (Association pour la CERtification des Matériaux Isolants) garantit que les isolants thermiques ont bien les performances techniques annoncées et adaptées à son usage dans la construction. Recourir a des isolants certifiés ACERMI, c’est faire le pari de la qualité d’une manière simple et lisible. C’est être sûr que les travaux d’isolation répondent parfaitement aux normes en vigueur. La certification permet également de postuler à une aide écologique (crédit d’impôt, subventions Anah, etc.).
Koramic Max - ACERMI N° 13/169/845 - Koramic Comfort, Koramic Eco - ACERMI N° 13/169/843

Source Batiactu

21/08/2013

Les CoDir du troisième millénaire: La dimension collective de la direction de l’entreprise

La période qui vient de s’écouler a beaucoup individualisé les succès et les trajectoires en se focalisant sur l’action d’un président ou d’un DRH. Il y a une évolution évidente, ces derniers temps, vers une dimension plus collective, qui est induite par la notion de comité de direction et qui est aussi plus représentative de notre environnement actuel.
Le fonctionnement des entreprises est de moins en moins dans le registre de l’homme providentiel, qu’il s’agisse d’un président ou d’une personnalité. La mutualisation des talents est une nécessité : la complexité de notre environnement, la surcharge de travail, la rapidité de l’information, la multiplicité des compétences à réunir pour piloter une entreprise font qu’une personne ne peut plus y arriver seule. Il devient impossible de synthétiser sur une personne unique la somme de connaissances, de compétences et de capacités de décision nécessaire pour piloter une entreprise.
Source Les CoDir du troisième millénaire d'après un entretien avec  Hervé Gastinel PDG de Terreal

ITE en toiture : solution rénovation

Le Pilier Intégra Réno est un rehausseur de charpente sur lequel vient se fixer un second plan de chevrons afin d'accueillir une troisième couche d'isolant. Disponible en deux hauteurs (80 et 120 mm), ce nouveau produit sous Avis technique complète la gamme Système Intégra Réno d'Isover en permettant d'atteindre des niveaux de performance thermique type BBC et même Bépos. Il améliore également le confort acoustique avec un affaiblissement acoustique aux bruits aériens Rw = 55 dB. www.isover.fr

Source Batijournal

20/08/2013

Wienerberger Numéro un mondial de la brique terre cuite et premier tuilier européen

Depuis la création de l’entreprise en 1819, le Groupe Wienerberger s’est mondialement développé au point de constituer aujourd’hui le tout premier producteur mondial de briques en terre cuite ; coté en bourse à Vienne, le Groupe Wienerberger affiche une présence dans 30 pays, 226 sites industriels et plus de 12.000 collaborateurs...
Si le Groupe a réalisé en 2012 un chiffre d’affaires de 2,356 milliards d’euros, il s’inscrit en France depuis 18 années dans une stratégie d’implantations historiques et pérennes, pour toujours plus de proximité avec ses partenaire...
Ainsi, depuis 1995, le groupe Wienerberger a déjà investi en France plus de 200 millions d’euros : rachats briqueteries et tuileries séculaires et reconnues pour leur savoir-faire, implantations de sites industriels ultra-modernes. Dirigé par Francis Lagier, le groupe Wienerberger occupe le marché français, avec 12 sites industriels et 900 collaborateurs, pour un chiffre d’affaires de 186 millions d’euros en 2012.
A la source d’innovations marquantes telles que la brique Monomur (1976), la tuile Panne Koramic (1980) qui demeure l’unique tuile très faible pente, la Maçonnerie Roulée® (1996), la Maçonnerie à joint vif pour la façade (2006) ou plus récemment le procédé de mise en œuvre DRYFIX®, Wienerberger agit résolument en précurseur de la filière, il est le premier détenteur en France de la certification Natureplus® (qui récompense les industriels utilisant un procédé respectueux de l’environnement).
Notons que Wienerberger s’est engagé depuis des années dans une stratégie de performance énergétique globale, préservant l’environnement. Cette politique (e4 pour énergie x économie x écologie x émotion) vise à offrir des solutions durables, à l’efficacité réelle et prouvée, dans chaque domaine et pour chaque utilisateur ; cela implique toutes les phases, de la fabrication de ses produits - pour l’ensemble de ses filiales -, à leur utilisation.
Wienerberger : les solutions terre cuite
Wienerberger SAS anticipe les attentes de l’ensemble des professionnels français du bâtiment en proposant quatre solutions reconnues : Solutions Mur avec les briques de structure et accessoires Porotherm, Solutions Toitures avec les tuiles et accessoires de toiture Koramic, Solutions Façade avec les briques apparentes Terca, le bardage ArGeTon, et les tuiles de bardage Koramic.
Solutions Mur
Porotherm : Des solutions innovantes et performantes facilitent l’accès aux réalisations RT 2012 et BEPOS grâce aux briques de srtuctures isolantes et accessoires techniques.

Solutions Toiture

Koramic : Des solutions esthétiques, durables et performantes pour tous styles régionaux. Les Tuiles terre cuite Koramic ont toutes les formes, toutes les couleurs pour des solutions toiture.
Aléonard : Des solutions traditionnelles et élégantes qui permettent de sublimer les toitures d’édifices historiques tels que les églises ou cathédrales, rénover d’ancienne bâtisses ou de réaliser des constructions neuves au caractère unique. Forte de cette expertise, la tuilerie a reçu en 2010 du Ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, le label EPV (Entreprise du Patrimoine vivant).
Solutions Façade et Pavage
Terca : Des solutions naturelles, inaltérables et esthétiques qui donnent du relief pour façade de briques apparentes et sols pavés.
Solutions Façade
Argeton et Argelite : Des solutions architecturales qui apportent créativité et performances thermiques durables grâce au bardage double peau et simple peau en terre cuite.
Koramic : Des solutions pour l’isolation avec une gamme de tuiles et accessoires dédiés facilitant la mise en œuvre.
Le groupe Wienerberger est aujourd’hui le 1er briquetier mondial et le 1er tuilier européen. Présent dans 30 pays, ses 226 usines emploient plus de 12.000 personnes à travers le monde. En France, 900 salariés travaillent dans les 12 usines de tuiles et briques détenues par le groupe. Le chiffre d’affaires en 2012 atteint 186 millions d’euros avec 4 marques reconnues : ArGeTon, KORAMIC, POROTHERM, TERCA pour les activités bardage terre cuite, tuiles en terre cuite, briques de structure et briques apparentes Wienerberger.
Pour toute information complémentaire, s’adresser à :
Wienerberger SAS 8, rue du Canal - Achenheim - 67087 Strasbourg Cedex 2 - Tél. 03 90 64 6464 - Fax 03 90 64 64 61 www.wienerberger.fr

Source N_Schilling

19/08/2013

Huit nouveaux points de vente pour BigMat

Le groupement bénéficie de l’opération de croissance externe réalisée par son adhérent Etellin Matériaux, acquéreur des agences Sogemat dans le Puy-de-Dôme et l’Allier.
Concentration dans le négoce matériaux en Auvergne : Etellin Matériaux (5 PDV, 26 M€ de CA) vient d'annoncer le rachat de la société Sogemat, forte de neuf points de vente dans le Puy-de-Dôme et l'Allier pour un chiffre d'affaires de 20 M€. Le passage de huit des neuf PDV Sogemat sous les couleurs de BigMat se fera début 2014, précise un communiqué de presse du groupement. Le nouvel ensemble représentera donc un réseau de 14 points de vente dont 13 sous enseigne BigMat, pour un CA de 46 M€.
Répondre à la concentration
L'ancien dirigeant de Sogemat Matériaux, Jérôme Darnat, va désormais occuper les fonctions de directeur général d'Etellin Matériaux. Il justifie le rapprochement entre les deux sociétés par "la concentration qui va continuer à s'amplifier" dans la filière négoce et par la volonté de "se rapprocher d'une enseigne performante et puissante" en termes de communication, marketing et référencement fournisseurs. Sogemat Matériaux était jusque là membre d'un autre groupement national d'indépendants, France Matériaux (187 PDV, 510 M€ de CA).
Une stratégie sur cinq ans
Cette opération vient en tout cas crédibiliser la stratégie présentée en novembre dernier par le président du directoire de l'enseigne, Joël Armary, visant à faire de BigMat le numéro 2 du marché français d'ici à 2017. L'un des axes de développement était le doublement du nombre de points de vente (336 à fin 2012) via l'arrivée de nouveaux adhérents et la croissance des sociétés déjà membres du groupement. Un objectif souvent jugé comme très (trop ?) ambitieux au sein de la profession. BigMat a récemment annoncé d'autres avancées dans la mise en oeuvre de sa stratégie dont le lancement de son groupement d'achat, gaBi, en complément de l'appartenance à la centrale Timolia.
Source Le Moniteur par Paul Falzon

18/08/2013

Cette année 2013 marque le retour de CERIC Technologies sur la zone Russie/CEI, Europe de l’Est.

En 2012, le succès de CERIC Technologies auprès de clients Biélorusses et Russes a démontré que le nom de Ceric Technologies était attaché à des notions de qualité, fiabilité et économies d’énergies. Fort de ces succès, CERIC Technologies a renforcé sa présence sur cette zone géographique en s’associant avec la société Russe, SALVENA, créée en 2010, par des anciens du Groupe CERIC. C’est maintenant une équipe consolidée de 7 personnes basées à Moscou et s’appuyant sur les bureaux techniques et ateliers situés en France au service de ce marché.
CERIC Technologies a participé depuis ce début d’année 2013 aux salons suivants :
o Sibbuild à Novossibirsk en Russie,
o Kievbuild à Kiev en Ukraine,
o Uzbuild à Tachkent en Ouzbékistan,
o Yugbuild à Kranosdar en Russie.
Cette présence sur ces salons a permis de renforcer des liens historiques avec de nombreux clients du Groupe CERIC dont la marque, le savoir-faire et l’héritage technique appartiennent à CERIC Technologies.
Ces salons ont aussi été l’occasion de nombreux nouveaux contacts avec des investisseurs désireux, eux aussi, d’acquérir de la haute technologie CERIC, synonyme de performance industrielle. CERIC Technologies a ainsi pu présenter ses derniers développements techniques tant sur les machines de traitement des argiles, comme, par exemple, le nouveau groupe d’étirage DEMETER, que sur les process thermiques et les économies d’énergie (ex : thermoboosters) ou son tout nouveau système de supervision informatique (Diapason).
C’est dans ce cadre, et fort de cette dynamique que CERIC Technologies participera prochainement au salon Mosbuild à Moscou du 2 au 5 avril 2012 où notre équipe Franco-Russe sera ravie de vous accueillir. Source Ceric Technologies on Facebook

17/08/2013

Etanchéité en toiture entre deux couches d'isolants

Destinée à la rénovation d'un toit par l'extérieur, la membrane Dasaplano 0,01 connect de pro clima garantit l'étanchéité de l'enveloppe du bâtiment sous une nouvelle surisolation constituée de panneaux rigides en fibres de bois. La nouvelle membrane bénéficie de la technologie pro clima connect. Grâce aux deux zones autocollantes intégrées, l'artisan peut coller les membranes entre elles, au niveau des chevauchements longitudinaux, en quelques gestes simples et sans rubans adhésifs supplémentaires. www.proclima.info

Source Batijournal

16/08/2013

TERREAL lance une gamme de tuiles plates d’exception pour préserver le patrimoine architectural français : Les Monuments Historiques

Un patrimoine architectural unique
La France, pays riche de traditions, a su préserver tout au long de son histoire le patrimoine de ses régions et en particulier leur architecture. Les paysages de nos terroirs sont largement empreints des matériaux de construction employés. La couverture représente la moitié de la surface extérieure d’un bâtiment et les couleurs ainsi que les formes des toitures sont des composantes majeures des paysages régionaux. Dans le métier de la couverture, la diversité des architectures régionales impose de fabriquer des matériaux issus de savoir faire traditionnels pour répondre aux besoins des architectes et bâtisseurs qui restaurent nos patrimoines historiques. C’est dans cet esprit que l’usine TERREAL de Montpon (Dordogne), existant depuis la fin du XIXème siècle, a développé son savoir-faire. Ancienne fabrique de briques transformée en tuilerie, elle est spécialisée dans la fabrication des tuiles plates. Forte de son expertise, la tuilerie de Montpon a élaboré une gamme unique et limitée de tuiles plates d’exceptions : « Les Monuments Historiques ».

Les Monuments Historiques : des tuiles plates en édition limitée pour préserver l’architecture de nos régions
Les tuiles plates Monuments Historiques de TERREAL sont un hommage de la terre cuite à la richesse patrimoniale de nos terroirs. La Pompadour, la Matignon et la Montespan sont des éditions limitées, principalement destinées à la restauration complète ou partielle des toitures des bâtiments anciens : manoirs, églises, vieilles fermes, demeures de caractère… Avec ses 3 formats, Matignon 17×26, Pompadour 18×27 et Montespan 20×29, les tuiles plates Monuments Historiques de TERREAL permettent aux professionnels de respecter les habitudes de pose de chaque chaque région, s’intègrent parfaitement dans les paysages locaux et en préservent l’identité. Épaisses, à pureau brouillé (de longueur inégale) et une texture finement érodée, les tuiles plates Monuments Historiques de TERREAL sont présentées en 9 nuances pour respecter l’identité de chaque bâtiment et mener un parfait travail de réfection. Les coloris des tuiles plates Monuments Historiques sont obtenus par sablage et poudrage et vitrifiés lors de la cuisson à près de 1 000°C. Cette large palette de coloris permet de créer de multiples combinaisons de panachages, qui mettront en valeur la construction en créant des effets de volume et de lumière, afin de respecter le patrimoine et les paysages de France. Les tuiles plates Monuments Historiques de TERREAL marient esthétique et savoir-faire tuilier et permettront aux architectes et bâtisseurs de préserver l’architecture de nos terroirs. Les prix fourni posé se situent entre 90 e HT /m² et 115 e HT /m².
TERREAL, un engagement durable dans la sauvegarde du patrimoine…
TERREAL, leader sur le marché des tuiles plates, réaffirme son engagement dans la sauvegarde du patrimoine et la valorisation de l’expertise des professionnels de la couverture couverture en proposant des gammes riches conjuguant esthétique et diversité sur la base d’un savoir faire tuilier séculaire. Conscient des enjeux liés au développement durable, l’engagement de TERREAL porte à la fois sur le choix du matériau terre cuite dont la durée de vie dépasse les 100 ans (FDES), sur les processus de fabrication utilisés et sur sa maîtrise des impacts environnementaux de l’activité de production. TERREAL regroupe en France les trois grandes marques de la terre cuite : Tuiles Lambert, TBF et Guiraud. Ces marques prestigieuses ont développé un ensemble de compétences, de capacité de production et de gammes de couverture en terre cuite permettant à TERREAL d’offrir à ses clients un service et un choix inégalés.

Source Wellcom.presse

13/08/2013

Francis Lagier devient président du CTMNC

Il succède à Sylvain Laval, Directeur Général des Carrières du Bassin Parisien et Président du SNROC, qui devient Vice Président du Centre technique de matériaux naturels de construction. Le CTMNC, membre du réseau CTI, a pour mission de réaliser pour les industriels et les metteurs en oeuvre, des travaux de recherches & développement d'intérêt général, des essais sur produits et/ ou ouvrages terre cuite, terre crue et pierre naturelle, et de participer aux travaux de normalisation. Agé de 45 ans, Francis Lagier est diplômé de l'Ecole des Mines de Nancy. Il commence sa carrière dans le groupe Lafarge où il acquiert pendant 15 ans une solide expérience pluridisciplinaire des matériaux de construction et du bâtiment. Il fut successivement ingénieur automaticien en système expert de conduite de four, responsable de production en cimenterie, directeur du développement du Ductal, directeur régional des ventes dans les régions Rhône-Alpes puis Nord-Ouest. Il sera ensuite directeur national des ventes Routes et Travaux Publics. En 2008, Francis Lagier rejoint Wienerberger SAS au poste de directeur général adjoint, avec pour première mission la fusion-absorption de Koramic SAS (tuiles) par Wienerberger SAS (briques) réalisée au 1er janvier 2009. En mai 2009, il est nommé directeur général de l'entreprise Wienerberger SAS, dont le siège social en France est à Achenheim (67). Parallèlement, il est Président de la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques) depuis juin 2011.

Source Batijournal

12/08/2013

SAMSE: recul des ventes semestrielles à données comparables.

Au 1er semestre, les ventes du groupe grenoblois SAMSE ont atteint 568,2 millions d'euros, soit + 0,8% en termes publiés, mais à données comparables, l'activité recul de 3,2%. La direction n'en affiche pas moins sa 'confiance' en l'avenir et en Bourse, le titre reste stable ce matin à 64 euros dans un volume d'échange actuellement limité à 16 titres.
Notons qu'à données publiées, les ventes avaient baissé de 2,7% au 1er trimestre, mais elles ont augmenté de 3,7% au 2ème trimestre.
Mais le groupe a réalisé des acquisitions récemment. A données comparables, sur l'ensemble du semestre, la branche Bricolage se contracte de 3,8% à 99 millions, le Négoce se contractant de 3,1% à 469,2 millions d'euros.
“Les mauvaises conditions climatiques du premier trimestre, un effet calendrier défavorable avec deux jours ouvrés de moins sur la période (-1,50%) et une conjoncture économique encore incertaine pénalisent les performances du groupe sur le semestre”, indique SAMSE.
En guise de perspectives, SAMSE indique que “compte tenu de ses fondamentaux et en raison du manque structurel de logements sur ses territoires, le groupe reste confiant quant au maintien du niveau de l'activité de ses marchés dans les mois à venir.”

Source Boursorama

11/08/2013

CERIC Technologies reconnue par OSEO EXCELLENCE : 2000 entrepreneurs qui vont de l'avant!

CERIC Technologies, fondée il y a plus de 50 ans par des ingénieurs en céramique, est le spécialiste mondial de solutions et de services clés en main pour la production de matériaux de construction en terre cuite. CERIC Technologies est un acteur majeur dans l'évolution de cette technique.

Elle développe et contrôle chacune des technologies nécessaires à cette activité :
  - La transformation des produits de façonnage matières premières,
  - La thermique industrielle : séchoirs, fours, brûleurs,
  - Les manutentions automatique et la robotique,
  - Les mesures, les automatismes et l’informatique industrielle pour la supervision des usines.

Basée à Paris, CERIC Technologies emploie plus de 110 personnes.
CERIC Technologies a également un réseau international avec des bureaux locaux/filiale (Algérie, République tchèque et Russie) ou des agents (Libye, Italie, Maroc, Asie, Russie, Tunisie) permettant de favoriser la proximité et l'adaptabilité avec ses clients à chaque étape d'un projet donné : termes d'assistance technique, service après-vente et pièces de rechange. CERIC Technologies a livrés et mis en service plus de 450 usines dans le monde.

CERIC Technologies s'appuie sur une longue tradition d'innovation, de maîtrise technologique, dans le but de tester des procédés et de nouveaux produits innovants à travers des projets de recherche, des processus et des produits innovants.

CERIC Technologies est impliquée dans l'innovation et l'amélioration continue de l'équipement et des procédés sortie, en partenariat avec ses clients dans le cadre de projets de co-développement.

CERIC Technologies (SAS)
Usines clés en main, ingénierie, équipements et services
http://www.ceric.com Adresse : 42 rue de Paradis 75010 PARIS (Ile-de-France)
Téléphone : +33 1 53 05 55 00
  • Année de reprise : 2010
  • Effectifs : 110
  • Chiffre d’affaires en € (expérience précédente) : 28 000 000
  • Part du chiffre d’affaires à l'export : 90
  • Pays d'export : Maroc, Tunisie, Ukraine, Perou, Belgique, Allemagne,  Federation De Russie, Algerie
  • Pays d'implantation : Algerie, République Tcheque
Source OSEO Excellence

09/08/2013

Le gouvernement Algérien lance une vaste opération de privatisation d’entreprises publiques

L’Algérie envisage de privatiser entre 150 et 200 petites et moyennes entreprises (PME) publiques d’ici à la fin de l’année, selon de nouveaux critères, a appris TSA de source proche du dossier. « L’inventaire est en cours mais nous avons déjà identifié entre 150 et 200 entreprises à privatiser.
C’est ce que nous appelons les actifs dormants », a précisé notre source. À la clé : créer et sauvegarder plusieurs dizaines de milliers d’emplois dans un secteur industriel public en déclin permanent depuis plusieurs années.
Plusieurs secteurs sont concernés par cette opération, la première du genre depuis plusieurs années : l’industrie manufacturière, le textile, les matériaux de construction, l’agroalimentaire... « Nous privilégions les secteurs où le partenaire peut apporter un plus en matière de technologie et de savoir-faire », a précisé notre source. « Nos usines souvent vieilles et obsolètes. Nous avons besoin de l’apport d’un partenaire pour les relancer et les développer », a-t-elle ajouté.
Pour le choix des partenaires, le gouvernement a introduit de nouveaux critères. « Ce n’est plus des privatisations comme dans le passé où des usines ont été entièrement vendues avec les assiettes foncières. Il s’agit de partenariats avec des opérateurs nationaux ou étrangers avec comme objectif de développer ces entreprises », selon notre source. La part des opérateurs privés nationaux peut atteindre 60% contre 40% pour l’État dans certains cas. « Dans d’autres cas, quand l’usine est à l’arrêt, l’opérateur national peut obtenir jusqu’à 99% des parts pour relancer l’activité », selon la même source.
Les opérateurs étrangers pourront être associés de 1 à 49%, selon leurs capacités financières et leurs ambitions en Algérie. « Il ne s’agit plus d’imposer au partenaire étranger d’être associé à hauteur de 49%, à prendre ou à laisser. Le partenaire étranger peut obtenir de 1 à 49% de parts. Mais il ne peut pas être majoritaire », a précisé notre source.
Dans le cadre de cette opération, le ministère de l’Industrie a lancé début juillet un « Appel à projet » destiné aux opérateurs algériens et étrangers, invités à s’associer avec des entreprises publiques algériennes dans 18 filières. « Cet appel est valable jusqu’à la fin de l’année. Ensuite, il y aura une sélection des partenaires sur des critères extrêmement objectifs. Les partenaires seront orientés et bénéficieront d’un accompagnement », précise notre source.
Source TSA Algérie par Samir Allam

08/08/2013

Chiffre d'affaires en baisse pour Lafarge

Lafarge vient de dévoiler ses résultats pour le deuxième trimestre 2013.
Le chiffre d'affaires du groupe s'inscrit en baisse de 3%, à 4,11 milliards d'euros. Cette "méforme" s'explique en partie par les mauvaises conditions météorologiques. Le résultat net par du Groupe s'établit à 201 millions d'euros (en 2012, il était de 39 millions d'euros). Lafarge dit maintenir ses objectifs de réduction de l'endettement net et de ses objectifs Performance et Innovation.

Source France BTP

07/08/2013

Point P veut économiser 25.000 tonnes de CO2

Filiale de Saint-Gobain Distribution Bâtiment, Point P a décidé de fédérer et d'accélérer ses initiatives en matière de transport responsable. Sous le label Évoluvert, ses actions englobent l'autoroute de la mer, le rail-route, la voie d'eau et des techniques routières sobres. Objectif : économiser 25.000 tonnes de CO2 à l'horizon 2017, soit l'équivalent de 45.000 camions en moins sur les routes !
70 véhicules GNV de 3,5 à 44 tonnes déployés © Point P
La démarche présentée fin juin par Max-Antoine Grolleron, directeur Transports du groupe Point P, leader sur le marché français du négoce de matériaux de construction, s'appuie sur une approche multimodale. Baptisée Évoluvert, elle couvre l'organisation amont et aval de ses dix enseignes*, depuis l'approvisionnement de 2.000 agences jusqu'à la livraison des clients, transit par trois plates-formes logistiques nationales compris. À Brie-Comte-Robert (77), Saint-Aignan (Nantes) et Clesud, lesquelles traitent 15 % des volumes qui, en majorité, font l'objet d'envois directs entre fournisseurs et points de vente.
Pour atteindre l'objectif fixé, "l'optimisation des plans de transport via notamment la centralisation des achats et l'utilisation de modes alternatifs à la route, et l'évolution technique de nos véhicules routiers" sont au cœur de la démarche. Point P est ainsi déjà client de l'autoroute de la mer Gijón-Montoir et du rail-route pour ses approvisionnements en carrelage depuis le Portugal, l'Espagne et l'Italie. Quant aux produits "Grand import", ils transitent pour l'essentiel par Le Havre, et empruntent le fleuve puis la route jusqu'à Brie-Comte-Robert (1.200 EVP par an). Point P est également pionnier en logistique urbaine fluviale à Paris avec l'approvisionnement de cinq agences bord à quai à l'aide de barges gréées (70.000 tonnes par an). "La voie d'eau sera renforcée avec l'utilisation du canal de l'Ourcq, et l'ouverture de deux nouvelles agences à Nanterre et à Gennevilliers", déclare Patrice Richard. Aussi le président du directoire du groupe fait-il part de son inquiétude auprès de la ville et de Ports de Paris "sur la pérennité des accès fluviaux et de ses points de vente le long de la voie d'eau"...
Au plan technique, l'emploi d'ensembles à double plancher offrant 30 % de capacité en plus est généralisé sur 60 % des flux routiers au départ des trois bases logistiques. "Notre flotte de 2.200 poids lourds est en outre bridée à 80 km/h et équipée d'informatique embarquée. Plus de la moitié de nos conducteurs, soit un millier, a déjà passé une formation éco-conduite", reprend Max-Antoine Grolleron. Après avoir testé des matériels hybrides sans succès du fait d'un surcoût d'exploitation de l'ordre de 27 % par rapport aux véhicules thermiques, un choix stratégique a été porté en faveur des motorisations GNV. Avec Iveco, GNVert, Labatut LVI et Berto comme partenaires, soixante-dix camions de ce type seront déployés d'ici 2017, la plupart en Île-de-France.
"Transport 100 % propre dans Paris intramuros d'ici 2017"
Après celui ouvert à Aulnay-sous-Bois, deux Centres de livraison clients (Clic) seront créés en Île-de-France en parallèle pour piloter et mutualiser les flux franciliens. "D'ici 2017, nos transports dans Paris intramuros seront 100 % propres, et une démarche analogue sera menée dans les principales villes de France", anticipe le directeur.
*Point P Matériaux de Construction, Cédéo, Dispano, SFIC, Asturienne, La Plate-forme du bâtiment, Brossette, PUM Plastiques, Point P TP et Décoceram
Source L'Antenne par Érick Demangeon

06/08/2013

Saint-Gobain plonge au premier semestre, plombé par l’Europe

Le groupe français de matériaux de construction et de distribution Saint-Gobain a plongé au premier semestre avec un bénéfice net qui a fondu de 28,3%, plombé par l’Europe, mais table sur une amélioration en deuxième partie d’année pour atteindre ses objectifs.
Le PDG Pierre-André de Chalendar a assuré que le groupe avait atteint «son point bas» au premier semestre et confirmé l’objectif de «redressement du résultat d’exploitation» dans la deuxième partie de l’année, grâce à une «amélioration progressive» amorcée au deuxième trimestre.
Sur les six premiers mois de l’année, Saint-Gobain a vu son bénéfice dégringoler de 28,3% à 332 millions d’euros, largement en-dessous du consensus Bloomberg qui tablait sur 473 millions. Le chiffre d’affaires du groupe a également reculé de 3,8% à 20,78 milliards d’euros.
«La poursuite du redressement de la construction aux Etats-Unis et le retour à la croissance de nos activités dans les pays émergents n’ont pas suffi à compenser le ralentissement général de l’environnement économique européen», a constaté le PDG.
Le groupe a connu un «premier semestre particulièrement difficile», en raison notamment de «conditions météorologiques très défavorables», mais le deuxième trimestre a été marqué par «une stabilisation des tendances de fond sur les principaux marchés du groupe en Europe occidentale, et la poursuite de l’amélioration des conditions de marché dans les autres zones géographiques», a expliqué Saint-Gobain.
Le groupe tablait sur une hausse de ses activités en Asie et aux Etats-Unis pour compenser les pertes en Europe, où les ventes du groupe ont reculé de 6,3% en France et de 4,8% en Europe occidentale à données comparables.
Objectifs annuels confirmés
S’il souligne avoir finalement perçu «un début d’amélioration» en Europe grâce à l’Allemagne, au Royaume-Uni et à la Scandinavie, aux Etats-Unis et en Asie, les résultats n’ont pas été à la hauteur des espérances.
En Amérique du nord, les ventes ont en effet reculé de 2% à données comparables sur le premier semestre, une baisse attribuée aux produits extérieurs qui ont subi «le contrecoup d’un très fort démarrage en début d’année».
L’Asie a également reculé sur le semestre, malgré une hausse de 2,7% au deuxième trimestre.
Saint-Gobain table cependant sur une «poursuite de la reprise progressive de la construction résidentielle» aux Etats-Unis et sur «une amélioration» en Asie et dans les pays émergents au second semestre.
Aussi confirme-t-il ses objectifs pour l’ensemble de l’année et la poursuite de son programme d’économies de coûts pour dégager au second semestre «des économies supplémentaires de 160 millions d’euros».
«Le groupe s’est adapté à des conditions de marché difficiles en déployant le programme de réduction de coûts», a affirmé M. de Chalendar, qui a confirmé l’ambition du groupe de réduire ses coûts de 1,1 milliard d’euros à fin 2013 par rapport à 2011.
Le PDG a confirmé, par ailleurs, qu’il prévoit toujours une «conclusion» de la cession de sa filiale d’emballages en verre Verallia aux Etats-Unis au groupe Ardagh, malgré la décision annoncée début juillet de l’autorité américaine de la concurrence (FTC) d’entamer une procédure administrative contre cette vente pour 1,7 milliard de dollars.
«Nous travaillons avec Ardagh à résoudre les questions posées par le régulateur. Nous croyons que cette transaction est conforme aux normes de la concurrence», a insisté M. de Chalendar, lors d’une conférence de presse téléphonique.
Verallia North America est le deuxième producteur de bouteilles et de pots en verre aux Etats-Unis. Cette division représente un tiers de l’activité emballage de Saint-Gobai.

Source Libération

05/08/2013

Photovoltaïque : la nouvelle baisse des tarifs d'achat inquiète la filière

La CRE a communiqué au gouvernement les nouveaux tarifs d'achat de l'électricité photovoltaïque pour les petites installations. La baisse, qui s'appliquera aux systèmes dont la demande de raccordement au réseau sera déposée avant le 30 septembre, inquiète les professionnels de la filière qui estiment que le mode de calcul est inadapté.
Le Syndicat des énergies renouvelables et sa branche SOLER, n'ont pas tardé à réagir suite à la communication, par la Commission de régulation de l'énergie, des nouveaux coefficients de calcul des tarifs d'achat pour le courant électrique d'origine solaire. Car pour les nouvelles installations d'une puissance inférieure à 100 kW, dont la demande de raccordement au réseau sera déposée entre le 1er juillet et le 30 septembre 2013, les tarifs baisseront de -3,5 à -9,5 % (selon le type d'installation).
Un mode de calcul discuté par les professionnels
Rappelons que le mode de calcul des valeurs des coefficients S'N et V'N résulte du bilan des demandes de raccordement transmises par les gestionnaires de réseaux publics pour la période qui s'étend du 1er avril 2013 au 30 juin. La puissance crête cumulée est ainsi de 57,3 MW pour les installations souhaitant bénéficier du tarif d'intégration au bâti, et de 137,3 MW pour celles optant pour le tarif d'intégration simplifiée au bâti. Mais, selon le SER, ce mode de calcul reposant sur les demandes de raccordement effectuées au trimestre antérieur serait "totalement inapproprié : en effet, les demandes (…) ne reflètent pas la réalité du développement du parc dans les mois qui suivront, comme en témoigne le niveau de puissance des raccordements, toutes puissances confondues, observé au premier semestre 2013, environ 200 MW contre 765 MW pour le premier trimestre de l'année précédente".
Les membres de SER-SOLER demandent donc que le mode de calcul soit réévalué. "Malgré les mesures d'urgence prises par le gouvernement en début d'année pour revaloriser les tarifs, cette décroissance, calculée à partir d'un mauvais indicateur, paralyse, une fois encore, la filière. Une refonte complète du soutien public est vitale pour les entreprises du photovoltaïque", déclarent à ce propos Jean-Louis Bal (président du SER) et Arnaud Mine (président de SER-SOLER).

Source Batiactu

04/08/2013

CERIC Technologies inaugure ses nouveaux locaux

CERIC Technologies a inauguré ses nouveaux locaux, 42 rue de Paradis, le jeudi 27 juin 2013 sur le thème « CERIC 50 ans après ». Une nouvelle étape dans la croissance de CERIC puisque la surface des locaux a été doublée et permet ainsi d’intégrer de nouveaux collaborateurs et de servir toujours mieux ses clients.
Plus d’une centaine de personnes a répondu présent à cet événement : des clients et fournisseurs internationaux, de personnalités du monde la Terre Cuite, des partenaires politiques et financiers, la presse et d’anciens salariés CERIC.
Messieurs WAGNER, Directeur Général ,  HEBRARD, Président de CERIC Technologies et Monsieur POIRIER, Président de PLEIADE Investissement ont pu successivement saluer les invités lors d’allocutions présentant la situation de CERIC, son dynamisme, sa dimension internationale, ses dernières innovations et ses perspectives de développement.
L’occasion fut ensuite donnée à Monsieur MERIENNE, co-fondateur de CERIC, de retracer l’historique de la société, d’assurer de la transmission des valeurs – rappeler que CERIC Technologies est le seul héritier de CERIC. A l’issue de ce discours, le film « CERIC, 50 après » a pu être dévoilé. Ce film met, entre autre, l’accent sur les valeurs de CERIC, la notion de continuité et les innovations.
Cette inauguration a permis de fructueux échanges, de partager un moment convivial avec les différents invités et de souhaiter à CERIC Technologies cinquante aux autres belles années!

Source Ceric Technologies

03/08/2013

Algérie - La facture des importations de matériaux de construction en baisse de 2%

La facture des importations algériennes de matériaux de construction durant les cinq premiers mois de 2013 a atteint 1,38 milliard de dollars, en baisse de 2% par rapport à la même période en 2012, malgré une hausse des quantités importées, a-t-on appris auprès des Douanes algériennes.
Les importations des principaux matériaux de construction (ciments, bois et aciers) ont atteint 1,38 milliard de dollar les cinq premiers mois de l’année en cours contre 1,40 milliard de dollars, en baisse de 1,92%, précise le Centre national de l’informatique et des statistiques (Cnis) des Douanes.
Les quantités importées sont passées de 2,881 millions de tonnes durant les cinq premiers mois de 2012 à 3,799 millions de tonnes à la même période de 2013, soit une hausse de 31,8%, tirée principalement par les importations de ciments qui ont augmenté de plus de 101%.
En effet, les importations de ciments ont poursuivi leur tendance haussière entamée depuis 2012 où elles ont plus que doublé, puisque leur valeur est passée de 78,91 millions à 159,39 millions de dollars les cinq premiers mois de 2013, en hausse de près de 102%, selon les chiffres des douanes obtenus par l’APS.
Les quantités importées ont connu également une "forte hausse" de plus de 105%, passant de 870.127 tonnes à 1,791 million de tonnes durant la même période de comparaison, précise le centre.
La hausse s’explique par le lancement de nouveaux projets et la reprise des travaux dans les projets des secteurs du bâtiment et des travaux publics (BTPH) notamment depuis le début du printemps, qui inaugure la "période sèche" (avril à octobre), propice pour le lancement des chantiers de construction.
Par ailleurs, les importations de fer et d’acier destinés à la construction se sont chiffrées à 893,2 millions de dollars pour 1,360 million de tonnes durant les cinq premiers mois de 2013, contre 1,01 milliard de dollars, soit 1,420 million de tonnes à la même période l’année précédente, en baisse en valeur de plus de 11,7%.
Par ailleurs, la valeur des importations de bois s’est chiffrée à 325,73 millions de dollars (646.901 tonnes), contre 314,2 millions de dollars (590.613 tonnes) à la même période en 2012.
En 2012, les importations des matériaux de construction ont augmenté de près de 12% totalisant 2,89 milliards de dollars. Cette hausse a été tirée par les importations de ciments qui ont augmenté de 94,67% pour totaliser 244,4 millions de dollars.

Source Maghrebemergent

02/08/2013

VM Matériaux affiche un léger recul de 2.9% au premier semestre

Le groupe spécialisés dans la distribution de produits de matériaux affiche, à périmètre courant, une petite baisse de son activité au deuxième trimestre 2013, à 177.2 M€, malgré une dynamique initiée depuis le début de l'année qui devrait porter ses fruits dans les mois à venir.
A périmètre courant, l'activité au 1er semestre 2013 de
, à 338.3 M€. En détail, au 2e trimestre, le chiffre d'affaires s'élevait à 177.2 M€ (-4.1%%) et à 161.1 M€ au 1er trimestre (-1.6%).
Cependant, l'activité "Négoce de matériaux", qui perd malgré tout 3.6% sur ces six premiers mois (236.0 M€), profite des efforts de réorganisation menés depuis le 1er trimestre, ainsi qu'à des gains de parts de marché sur le segment des Travaux Publics, indique le groupe dans un communiqué.
La confiance est de mise
Quant à l'activité "Menuiserie industrielle", en progression de 1.2% sur ce semestre (68.6 M€), elle est tirée par ses produits de menuiserie en PVC et de fermeture, ainsi que par son positionnement sur le marché de la rénovation.
L'activité "Industrie du béton" est en repli de 4%, à 45.2 M€, notamment en raison d'une baisse des volumes dans un marché très concurrencé.
Toutefois, VM Matériaux "reste confiant dans ses fondamentaux", et compte sur la complémentarité de ses activités et sa politique d'innovation pour poursuivre sa progression.

Source Batiactu

Terreal/Labastide-d'Anjou. Une retraite bien méritée pour Georges Bergnes

Le clan des plus anciens commence à se raréfier à l’usine Terréal ! C’est ce qui s’est produit début Juillet, avec le départ de Georges Bergnes. Un départ qui a donné lieu à la traditionnelle réception d’au revoir, en présence de tous ses collègues de travail et des anciens. C’est en effet en juin 1972 que Georges avait pris ses fonctions à l’usine, qu’il a toujours exercées avec compétences et dévouement, doté d’un certain humour, il a tissé des liens de confiance avec eux. Nous lui souhaitons une bonne retraite en compagnie de son épouse Marie-Paule.
La Dépêche du Midi

01/08/2013

Imerys a connu un premier semestre difficile

Le groupe de minéraux industriels Imerys, qui vient de céder son activité terre cuite à Bouyer Leroux, affiche un recul de son chiffre d'affaires de 5,3 % au premier semestre de l'année. Mais pour la seconde partie de 2013, le groupe espère une amélioration.
Imerys a souffert au premier semestre de l'année : le chiffre d'affaires a baissé de 5,3 % en un an, passant de 1,986 Mrds € en 2012 à 1,881 Mrds € en 2013. Le résultat courant net est également en repli, à 155 M€ (-4 %). Cependant, Gilles Michel, p-dg du groupe de minéraux industriels, se montre rassurant : "La réactivité du groupe et les plans d'action mis en œuvre permettent à Imerys de bien résister dans un environnement économique difficile. Si les actions volontaristes de contrôle des coûts continuent de montrer leur efficacité, c'est aussi le résultat du positionnement de spécialités et de la diversification sectorielle et géographique". Par région, les ventes du groupe ont chuté au premier semestre en Europe (-4,9 %) et particulièrement en France (-8,9 %). Dans les pays émergents, le ralentissement a également été sensible (-8,1 %), tandis qu'en Amérique du Nord, il a été beaucoup moins marqué (-0,6 %).
Accroître la présence internationale
Pour expliquer les difficultés, Imerys évoque le ralentissement confirmé de l'économie mondiale, la récession prolongée de la zone Euro et la dépréciation de plusieurs devises comme le yen japonais, la roupie indienne, le réal brésilien et le rand sud-africain. Depuis le début de l'année, le groupe a réalisé plusieurs opérations pour assurer son développement et "accroître son exposition à des marchés porteurs" en étendant sa présence géographique. Au mois d'avril, l'entreprise a acquis un complexe industriel de production de proppants céramiques aux Etats-Unis. Il s'agit d'agents de soutènement de la roche utilisés dans l'exploitation de pétrole et de gaz "non conventionnels" (gaz de schiste). En Asie, Imerys a conclu d'autres acquisitions dans les matériaux réfractaires monolithiques : Indoporlen en Indonésie et Tokai Ceramics au Japon. Deux opérations qui lui permettent renforcer son dispositif commercial et industriel.
La cession de l'activité Structure à Bouyer Leroux, approuvée par l'autorité de la concurrence le 26 juillet dernier, "sera réalisée sur une base arrêtée au 1er mai 2013, pour une valeur d'entreprise fondée sur le chiffre d'affaires prévisionnel de l'année", précise un communiqué. La transaction devrait être finalisée dans le courant de l'automne prochain. Selon le groupe, les conditions économiques difficiles devraient perdurer au second semestre de l'année. C'est pourquoi, il poursuivra la mise en œuvre de mesures visant à préserver la marge opérationnelle et la génération de cash flow. Le résultat courant net de l'ensemble de l'année devrait se rapprocher de celui de l'exercice précédent. "Grâce à une situation financière toujours solide, le groupe dispose des ressources nécessaires pour poursuivre son plan de développement afin de bénéficier des opportunités de croissance d'un environnement en forte mutation", déclare Gilles Michel. La dette financière d'Imerys s'élève à plus d'un milliard d'euros, au même niveau qu'il y a un an ; elle représente 46,1 % des fonds propres de l'entreprise.

Source Batiactu

31/07/2013

5façades n°103 est paru

L'enveloppe du bâtiment est un élément primordial de sa pérennité et de son efficacité. Des techniques et des produits nouveaux lui confèrent de nouvelles fonctions cruciales pour améliorer le bilan global de la construction. Façade, couverture, étanchéité... Retrouvez, au sommaire de ce numéro, le gros plan sur la réalisation d'une école chauffée par ses élèves, passive et à énergie positive ; le dossier bimestriel consacré, cette fois, à un tour d'horizon sur l'intégration des protections solaires et ses multiples apports au confort et à la conception architecturale ; la rubrique Couverture dédiée à la tuile terre cuite grand moule ; la pose collée de revêtements céramiques et pierres naturelles en façade ; un premier reportage sur la place du verre dans l'hôpital de Marne-la-Vallée ; un deuxième sur la façade de verre et d'aluminium du bâtiment Printemps à Strasbourg ; sans oublier le zinc à Venise ; le bois en ITE ; ou encore, autrement concret, les nombreuses questions posées quant au prix de la construction par les économistes du secteur à l'occasion de leur 41e congrès les 29, 30 et 31 mai dernier à Rouen.
Bonne lecture Commandez ce numéro en cliquant ci-dessous:
http://www.kiosque21.com/magazine-5-facades/2630-5-facades-n103.html

Source Batijournal

30/07/2013

Panneaux solaires : UE et Chine enterrent la hache de guerre

L'UE a trouvé une "solution amiable" avec Pékin sur l'importation de panneaux solaires, a annoncé samedi la Commission européenne.
La Commission européenne a annoncé samedi avoir conclu un "accord amiable" avec Pékin sur les importations de panneaux solaires chinois, un différend qui menaçait de se transformer en une guerre commerciale à part entière.
"Nous avons trouvé une solution amiable dans l'affaire des panneaux solaires UE-Chine qui va conduire à une nouvel équilibre sur le marché à un niveau durable de prix", a indiqué le commissaire européen chargé du Commerce Karel De Gucht dans un communiqué.
Cette percée intervient à un moment où Bruxelles et Pékin restent empêtrés dans une série de conflits sur d'autres produits allant des tubes en acier et des équipements de télécommunications au vin et à certains produits chimiques.
Les deux parties sont de grandes puissances commerciales, en même temps rivales et partenaires. Le total de leurs échanges l'an dernier a approché les 550 milliards de dollars (415 milliards d'euros), la balance penchant largement en faveur de la Chine.
Le gouvernement chinois a salué samedi l'accord sur les panneaux solaires. "La conclusion positive et constructive de nos négociations démontre pleinement, de part et d'autre, une attitude pragmatique et flexible, et une sagesse dans le règlement de ces différends", a déclaré Shen Danyang, porte-parole du ministère chinois du Commerce.
La Chine est également prête à "promouvoir davantage les échanges et la coopération avec la partie européenne dans le domaine de l'industrie photovoltaïque (solaire)", a ajouté M. Shen.
Le ministre allemand de l'Economie, Philipp Rösler, dont le pays s'était le plus opposé à des droits de douane antidumping, a également salué l'accord : "C'est une bonne chose qu'il y ait maintenant une proposition en vue d'un compromis. Nous avons toujours souligné, qu'une solution négociée était meilleure qu'un conflit, qui aurait été préjudiciable aux relations économiques. J'espère que cette dispute pourra maintenant vite se terminer à l'amiable".
Sans donner plus de détails, M. De Gucht a expliqué que "les deux parties avaient convenu d'un prix minimum pour les panneaux solaires chinois importés".
"Nous sommes convaincus que cet engagement de prix permettra de stabiliser le marché européen des panneaux solaires et d'éliminer le préjudice que les pratiques de dumping ont causé à l'industrie européenne".
Selon M. De Gucht, l'accord vise à "établir un équilibre entre deux éléments clés : éliminer le dumping préjudiciable constaté et assurer en même temps un approvisionnement stable en panneaux solaires sur le marché de l'UE".
Dans la pratique, cela signifie que les exportateurs chinois s'engagent à respecter un prix plancher et à ainsi supprimer "les effets préjudiciables du dumping".
Les détails de l'accord seront publiés ultérieurement, car il doit encore être officiellement approuvé par les Etats membres de l'UE, ajoute le communiqué.
Des sources diplomatiques ont toutefois déclaré que le prix minimum d'un panneau serait égal à 56 cents par watt qu'il est en mesure de produire.
Cette tarification s'appliquerait aux sept premiers gigawatts (Un gigawatt = 10 milliards de watts) de panneaux solaires importés et tout dépassement de ce quota serait frappé d'une taxe antidumping de 47,6%.
Le groupement d'entreprises européennes du secteur EU ProSun, qui avait saisi la justice en juin, a déclaré que ces chiffres étaient absurdes puisque les panneaux solaires chinois sont actuellement vendus à 59 cents par watt, tandis que la limitation à sept gigawatts donnerait à Pékin une part garantie du marché.
Les responsables de ProSun n'étaient pas disponibles dans l'immédiat samedi pour un commentaire.
Selon les chiffres chinois, la Chine a exporté en 2011 pour 35,8 milliards de dollars d'équipements solaires, dont plus de 60% vers l'UE, et a importé d'Europe pour 7,5 milliards de dollars d'équipements solaires et de matières premières.
En juin, après des mois de récriminations mutuelles, Bruxelles a imposé un droit de douane antidumping d'urgence de 11,8% sur les importations de panneaux solaires chinois, qui devait passer à 47% le 6 août faute d'accord entre les deux parties.
M. De Gucht avait expliqué cette mesure à l'époque par le fait que les panneaux solaires chinois sont vendus en Europe à un prix de près de 90% inférieur à leur coût, ce qui oblige les fabricants de l'UE à jeter l'éponge et à supprimer des milliers d'emplois.
La Chine avait proposé en juillet de plafonner ses exportations annuelles de composants solaires vers l'UE à dix gigawatts, à condition qu'ils soient dispensés de droits de douane ou taxés à un faible taux.

Source TV5Monde

29/07/2013

Imerys autorisé à céder son activité de briques terre cuite

L'Autorité de la concurrence autorise "sous conditions" le groupe de minéraux industriels à céder son activité de briques en terre cuite à la coopérative Bouyer Leroux.
L'Autorité de la concurrence, qui avait détecté en avril des "problèmes" lors d'un premier examen de l'opération, a finalement donné son feu vert, à condition que Bouyer Leroux cède 25.000 tonnes de briques de mur par an à ses concurrents en Aquitaine, "afin d'animer la compétition" dans cette région, a-t-elle indiqué dans un avis.
"La commercialisation de ces briques, dont le volume correspond à la part de marché de Bouyer Leroux en Aquitaine avant l'opération, permettra (...) aux opérateurs concurrents de se constituer une clientèle (et) leur laissera le temps de s'implanter durablement en ouvrant, le cas échéant, des sites de production", a indiqué l'Autorité.
En revanche, le gendarme de la concurrence a écarté des "risques d'atteinte à la concurrence relatifs aux briques de cloison dans le grand ouest de la France".En décembre dernier, Imerys avait annoncé l'existence d'une offre ferme de Bouyer Leroux pour reprendre Imerys Structure.
La vente devait se faire d'ici cet été. Le groupe n'avait pas précisé le montant de cette offre, mais avait indiqué qu'elle représentait une valeur d'entreprise proche d'une année de chiffre d'affaires des activités acquises. L'opération devrait donc avoisiner une centaine de millions d'euros.
Imerys TC est présent sur le marché français des briques de murs et de cloisons et autres conduits de cheminée. L'activité, qui est un des deux départements d'Imerys TC l'autre étant dédié aux tuiles en terre cuite, comprend 7 usines localisées essentiellement dans le sud de la France, et emploie 400 salariés.
Son acquéreur, Bouyer Leroux, est un ancien groupe familial créé en 1955, devenu une SCOP (société coopérative et participative) en 1980, et de taille à peu près équivalente.
Bouyer Leroux, détenu par ses salariés, emploie près de 370 collaborateurs et a réalisé un chiffre d'affaires de 90 millions d'euros durant son exercice clos fin septembre. Il est implanté principalement dans le nord-ouest du pays et réalise près des trois-quarts de son activité dans les produits de structure en terre cuite.
Source : batirama.com / AFP

28/07/2013

Bouyer-Leroux autorisé à acquérir Imerys TC sous conditions

Une position trop dominante sur la brique de mur en Aquitaine
Bouyer-Leroux devra vendre 25 000 tonnes de ces produits par an à ses concurrents à leur prix de revient pendant au moins 5 an.
L’Autorité de la concurrence a finalement donné son accord au rachat des actifs d’Imerys TC par la SCOP Bouyer-Leroux, créant le premier acteur de la brique en France. Seule condition : Bouyer-Leroux devra, sur la région Aquitaine, vendre à ses concurrents 25 000 tonnes de briques de cloison à leur prix de revient, pendant cinq ans minimum.
Sept mois après l'annonce par Bouyer-Leroux, alors numéro trois du marché français de la brique, de sa volonté d'acquérir le leader de son segment Imerys TC, l'opération vient de recevoir le feu vert de l'Autorité de la concurrence.
Ce délai a permis à l'Autorité de lever les risques d'atteinte à la concurrence qu'elle avait identifiés lors d'une première enquête, et qui l'avait poussés à exiger en avril 2013 un examen approfondi de cette opération. En effet, l'union de ces deux acteurs de la brique (respectivement numéro 3 et numero 1 du marché) faisait craindre à l'Autorité une situation de quasi-monopole sur les briques de cloison dans le grand Ouest de la France et une position très importante sur les briques de mur en Aquitaine.
La création d'un géant de la brique
De fait, le rapprochement des deux sociétés devrait créer un géant de la brique, pesant près de 50% sur ce segment et, en particulier, 22% sur celui des solutions constructives pour la maison individuelle, loin devant Terreal (actuel numéro deux du marché) et Wienerberger.
Le nouvel ensemble sera doté de dix sites de production dans l'Hexagone (y compris celle que Bouyer-Leroux est en train de bâtir en Seine-Maritime), plus de 750 salariés et un chiffre d'affaires cumulé de 185 M€. Une taille critique "indispensable", selon le PDG de Bouyer-Leroux, Roland Besnard, pour répondre aux besoins en R&D et faire face à la consolidation du marché en aval des industriels.
25 000 tonnes de briques de cloison à céder chaque année en Aquitaine
L'Autorité a cependant mis une condition à ce rachat qui entrainerait, selon elle, des problèmes de concurrence sur la brique de mur dans la région Aquitaine. "En raison des préférences régionales marquées des consommateurs", souligne son communiqué, "les briques de mur constituent un marché distinct des autres matériaux de construction de murs porteurs, et en particulier du bloc béton en Aquitaine." Hors sur ce territoire, selon l'Autorité, la réunion de Bouyer-Leroux et Imerys TC aurait conféré à la nouvelle entité des parts de marché telles qu'elle aurait pu augmenter ses prix de vente.
L'Autorité de la concurrence exige donc de Bouyer-Leroux qu'il vende à ses deux concurrents, ou à un grossiste actif auprès des réseaux de distribution et de négoce de la région, l'équivallent de 25 000 tonnes de briques par an, à leur prix de revient. Cette exigence courra sur cinq ans, renouvelable une fois. Ce volume correspond selon l'Autorité aux ventes de Bouyer-Leroux sur l'Aquitaine avant l'opération.
Cette condition devrait permettre aux concurrents de s'organiser pour se constituer une clientèle en Aquitaine, voire de créer leur propre site de production sur place.

Source Le Moniteur