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19/12/2012

CERIC Technologies participe au voyage présidentiel en Algérie

CERIC Technologies a été sélectionné parmi une trentaine de sociétés composant la délégation des chefs d’entreprise accompagnant le Président de la République en Algérie ces 19 et 20 décembre 2012, ce qui est représentatif du lien économique de longue date entre CERIC Technologies et ce pays.
A ce titre, CERIC Technologies participera au forum économique franco-algérien avec les ministres français et algériens (à noter la présence de Mr. Abdelmadjid TEBBOUNE, Ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme).
Jean-Jacques WAGNER , Directeur Général de CERIC Technologies a déclaré : « Le domaine de la construction est un des secteurs les plus dynamiques en Algérie, et un secteur où les acteurs privés ont montré leur capacité à entreprendre, à investir et à créer des emplois.
CERIC Technologies, en tant que partenaire historique et leader en Algérie dans le domaine des matériaux de construction en terre cuite, se tient à la disposition des autorités algériennes, et des entrepreneurs privés algériens qui nous font confiance depuis plus de 40 ans, pour stimuler une évolution des normes constructives vers des matériaux répondant mieux aux nouveaux standards écologiques (isolation), structurels (sismique), sécurité (pare-feu dans le collectif public), et économiques (rapidité de pose). »
Source Ceric Technologies

La liste complète de la délégation de François Hollande à Alger :
Ministres :
M. Laurent FABIUS, Ministre des affaires étrangères
M. Manuel VALLS, Ministre de l’intérieur
Mme Nicole BRICQ, Ministre du commerce extérieur
M. Arnaud MONTEBOURG, Ministre du redressement productif
M. Jean-Yves LE DRIAN, Ministre de la défense
M. Stéphane LE FOLL, Ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt
Mme Yamina BENGUIGUI, Ministre déléguée auprès du ministre des affaires étrangères, chargée de la francophonie
M. Kader ARIF, Ministre délégué auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants
Mme Hélène CONWAY-MOURET, Ministre déléguée aux Français de l’étranger
Parlementaires et élus locaux : 
M. Jean-Pierre RAFFARIN, Ancien Premier ministre, Sénateur de la Vienne, Vice-président du Sénat, chargé d’une mission sur les investissements en Algérie
Mme Elisabeth GUIGOU, Ancienne ministre, Députée de Seine-Saint-Denis, Présidente de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale
M. Michel VAUZELLE, Ancien ministre, Député des Bouches-du-Rhône, Vice-président de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale, chargé d’une mission sur la Méditerranée
M. Daniel VAILLANT, Ancien ministre, Député de Paris
M. Patrick MENNUCCI, Député des Bouches-du-Rhône, Président du groupe d’amitié France-Algérie de l’Assemblée nationale
M. Pouria AMIRSHAHI, Député représentant les Français établis hors de France
M. Razzi HAMMADI, Député de la Seine-Saint-Denis
Mme Bariza KHIARI, Sénatrice de Paris, Vice-présidente du Sénat
M. Jean-Pierre CHEVENEMENT, Ancien ministre, Sénateur du Territoire de Belfort, Président de l’Association France-Algérie
M. Claude DOMEIZEL, Sénateur des Alpes-de-Haute-Provence, Président du Groupe d’amitié France-Algérie du Sénat
Mme Hélène MANDROUX, Maire de Montpellier, ville jumelée avec Tlemcen
Milieu culturel :
M. Anouar BENMALEK, Ecrivain
M. Djamel BENSALAH, Réalisateur
DJUR-DJURA, Chanteuse
M. Kad MERAD, Comédien
M. Bernard MURAT, Metteur en scène
M. Benjamin STORA, Universitaire, historien
Mme Zahia ZIOUANI, Chef d’orchestre
Monde associatif :
M. Georges MORIN, Président du réseau français de coopération décentralisée avec l’Algérie, au sein des Cités Unies France
M. Jean-Louis VIELAJUS, Délégué général du Comité français pour la solidarité internationale Chefs d’entreprises
Energie :
M. Philippe BARRIL, Vice-président exécutif de Technip
M. Jean-Louis CHAUSSADE, Directeur général exécutif de Suez Environnement
M. Ricardo CORDOBA, Président Directeur Général de GE Electric
M. Yves-Louis DARRICARRERE, Membre du comité exécutif de Total, Président de Total Upstream
M. Jean-Marie DAUGER, Directeur général adjoint de GDF-Suez, Président du Conseil de chefs d’entreprise France-Algérie
M. Jacques GERAULT, Directeur des Affaires publiques d’Areva
M. Michel SABATIER, Directeur de Midisun
M. Robert VINCENT, Président directeur général de Vincent Industrie
Transports :
M. Habib FEKIH, Président d’Airbus Moyen-Orient Afrique du Nord, Président d’Airbus Corporate Jets
M. Patrick GRUAU, Président Directeur Général de GRUAU
M. Jean-Pierre BERTRAND, Directeur général délégué de Colas Rail
M. Philippe DELLEUR, Président directeur général d’Alstom International
M. Jean-Christophe KUGLER, Directeur de la Région Euromed de Renault
M. Meziane IDJEROUIDENE, Aigle Azur
M. Pierre MONGIN, Président directeur général de la RATP
M. Jacques SAADÉ, Président directeur général de CMA-CGM
M. Reynald SEZNEC, Président directeur général de Thalès International
M. Jean SOUCHAL, Président du directoire de Pomagalski
Bâtiments et Travaux Publics :
M. René CAMART , Président du directoire de La pierre de France
M. Christian COMBES, Directeur du développement grand international, Eiffage Travaux Publics
M. Laurent FAYAT, Président Directeur général de Razel
Mme Ouarda KARRAÏ, Directrice développement chez Bouygues Construction
M. Bruno LAFONT, Président directeur général de Lafarge
Mme Agnès LENOIR, Président directeur général d’Actiplast
M. Olivier-Marie RACINE, Président directeur général de Bouygues Bâtiment International
Mme Isabelle SCHLUMBERGER, Directrice générale commerce et développement, J.C. Decaux
M. Christian TERRASSOUX, Président directeur général de Pitch Promotion
M. Jean-Jacques WAGNER, Directeur général de Ceric Technologies
Santé :
M. Jean-Marc CHALOT, Président directeur général de Peters Surgical
M. Arnaud GOBET, Président d’Innothera
M. Antoine ORTOLI, Senior vice-president, Opérations pharmaceutiques intercontinentales, Sanofi Aventis
M. Frédéric VAILLANT, Président directeur général de Medasys
Agro-alimentaire : -
M. Christian COUILLEAU, Groupe Even
M. Marc GILLAUX, SWING
M. Bertrand PIGNOLET, Directeur général de Tecnoma
M. Armel REMINIAC, Groupe Emeraude SFPI
M. Benoît RIGAL, Gérant de France Exportea
M. Emmanuel VALLENTIN-DULAC, Directeur général de SH Biaugeaud
Technologie de l’Information et de la Communication :
M. Jean-François BEUZE, Président directeur général de Sifaris
M. Nicolas DALLERY, Président de Thomson Broadcast
Mme Nathalie MARTHE-BISMUTH, Directrice générale d’IGN France-International
M. Stéphane RICHARD, Président directeur général de France Telecom Orange

MEDEF International : -
M. Thierry COURTAIGNE, Vice-président, directeur général du Medef International

Wienerberger annonce la mise en place d'une nouvelle organisation




Directoire resserré à deux membres pour Wienerberger:
Les contrats de Heimo Scheuch et Willy Van Riet comme membres du Directoires sont prolongés de cinq ans.Johann Windisch va quitter  le Directoire de Wienerberger  et assumer la responsabilité de la Division Briques et Tuiles en Europe.

Wienerberger AG a annoncé le 13 Décembre  la réorganisation de sa structure organisationnelle. Cet ajustement reflète la nouvelle structure de la société  qui fait suite à la reprise de Pipelife et permet par cette organisation resserrée de gagner en efficacité.  L’acquisition en Mai 2012 de Pipelife marque la transformation du groupe, qui  de leader mondial de la production de briques devient un acteur de solutions avancées pour la  construction lui permettant de profiter d’un large éventail de possibilité de croissance.

La structure organisationnelle a été ajusté pour tenir compte de cette évolution :
Les zones présentant des  dynamiques de marché et des facteurs de croissance analogues ont été regroupées en trois divisions:
-         Briques et  tuiles Europe,
-         Conduits et pavés
-         Amérique du Nord  Europe.

Cette structure en 3 Divisions  a également été ancrée dans l'organisation de Wienerberger et, dans la même étape, le Directoire a été ramené de trois à deux membres.
Johann Windisch quitte le directoire de Wienerberger AG, à sa propre demande et prendra la responsabilité opérationnelle de la division briques et tuiles en Europe. Il sera accompagné par Christof Domenig (ancien Directeur exécutif Europe de l'Ouest) en tant que Directeur des Opérations et Directeur général adjoint et par Gerhard Hanke (ancien responsable du contrôle corporate) en tant que CFO. La division briques et tuiles Europe sera placée sous une direction unifiée avec une équipe expérimentée, qui devrait conduire à une meilleure utilisation des ressources disponibles et à l'optimisation des processus.

Les contrats avec les Heimo Scheuch et Willy Van Riet prolongés de cinq ans.
Le Conseil de Surveillance a publié déjà toutes les autorisations nécessaires et aussi prolongé les contrats de CEO et CFO à Heimo Scheuch  et Willy Van Riet pour les cinq prochaines années. 
Heimo Scheuch et Willy Van Riet, en tant que membres du Directoire assureront la responsabilité des trois Divisions ainsi que celle du groupe Wienerberger.


Gestion unifiée pour la Division Briques et Tuiles Europe permet d’optimiser les processus et de mieux gérer les nouvelles opportunités de croissance
Lorsqu'on l'interroge sur la nouvelle structure, Heimo Scheuch répond : «Tout d'abord, je tiens à remercier Johann Windisch pour sa coopération consturctive et positive au sein du Directoire. La Division Briques et Tuiles Europe  rassemble certainement les plus forts enjeux pour Wienerberger  à l'heure actuelle et il est donc très important de la doter d’une direction expérimentée. Je suis heureux que, avec Johann Windisch, Gerhard Hanke et Christof Domenig, une équipe solide et expérimentée, prennent  la direction opérationnelle de cette Division.
La justification de ce changement d’organisation  est de créer une structure de gestion unifiée pour les différents groupes de produits et les régions qui nous permettront d'optimiser les processus et d’encore mieux profiter des opportunités de croissance. "
Wienerberger possède des positions fortes en briques, tuiles, pavés en béton et canalisations
Wienerberger est le premier producteur mondial de briques (Porotherm, Terca) et le leader du marché des tuiles en terre cuite (Koramic, Tondach) en Europe et en  pavés de béton (Semmelrock) dans le Centre-Est Europe. En ce qui concerne les systèmes de conduites (Steinzeug Keramo pour les canalisations terre cuite et  Pipelife pour les canalisation en plastique), la société est l'un des principaux fournisseurs en Europe.
En 2011, le Groupe Wienerberger a généré un chiffre d'affaire de  1 Milliard 915 Millions d’Euros et un EBITDA de 240 M € avec 226 usines.
Source Friedlnews

Tuilerie Barney à Cherves-Chatelars( 16) : une tuile de 1929 retrouve son créateur âgé de 100 ans

Camille Barnay avait 17 ans. C'est bien connu, on n'est jamais très sérieux à cet âge. Alors, « pour rigoler » et se divertir de son quotidien de tuilier, il avait pour habitude de graver les objets qu'il fabriquait de son nom. Autres temps, autres amusements…
De sa belle écriture, il inscrivait « Camille Barnay, Etamenat, Cherves-Chatelars », suivi de l'année du « forfait ». En 1929, il avait donc 17 ans et, parmi les 600 à 700 tuiles qu'il fabriquait chaque jour dans l'entreprise familiale, il prenait parfois le temps de laisser une trace.
Il y a quelques semaines, Guy Massuyau, viticulteur à la retraite, remaniait la toiture de sa maison, à Criteuil-la-Magdeleine (canton de Segonzac). Certaines d'entre elles sont encore en bon état, d'autres sont à remplacer. Sur une, il a remarqué une inscription. Après avoir gratté la mousse, il a découvert une « jolie écriture » : « Camille Barnay, Etamenat, Cherves-Chatelars, Chte, 1929 ».
Touché par ce signe de l'histoire, il se demande qui est ce Camille Bernay. « Sans trop croire qu'il était encore en vie, je me suis saisi de l'annuaire. Quand j'ai vu qu'il y avait un Camille Bernay [il s'arrête]… ça m'a fait quelque chose, relate-t-il, encore ému. Alors j'ai appelé. »
Au bout du fil, une femme, Marie-Louise Bernay. L'épouse de Camille Bernay depuis soixante-seize ans. Oui, oui, Camille est bien son mari. Il n'y a pas de doute, c'est bien lui qui a gravé cette tuile en 1929 alors qu'il travaillait avec son père, Martial, dans la tuilerie familiale. Oui, il est toujours de ce monde. D'ailleurs, il fêtera ses 101 ans en janvier.
La tuilerie est encore là, elle aussi. Derrière sa fenêtre, Camille, assis sur son fauteuil à roulettes offert pour ses 100 ans, contemple toujours l'usine en briques rouges située juste de l'autre côté de sa rue. Au mitan des années 1980, elle a été rachetée par une entreprise de Confolens qui a surtout été intéressée par les terres. Les fours n'ont jamais été rallumés.
Guy avait envie de rencontrer le créateur de cette tuile préservée par le poids des ans. Camille, lui, avait envie de revoir cette tuile. Par l'intermédiaire de « Sud Ouest », les deux hommes se sont rencontrés, et Guy a donné la tuile à Camille. Ému, le centenaire l'a chaleureusement remercié après avoir glissé ses doigts dans les rainures, là où ils étaient passés il y a quatre-vingt-trois ans. « C'était de la bonne camelote, la couleur n'a pas changé. On va la mettre dans mon cercueil », a-t-il plaisanté. En la voyant, les souvenirs sont remontés. « À l'époque, il n'y avait pas d'électricité, c'était un âne qui faisait tourner la turbine. La pâte sortait et on façonnait les tuiles avec un moule en fer ou sur la cuisse. Après, elles séchaient à l'air libre. Elles n'étaient pas fabriquées sous vide comme maintenant… », raconte le centenaire alerte.
L'objet historique rejoindra deux autres tuiles retrouvées et données par d'autres bricoleurs. L'une est également datée de 1929 et l'autre d'après-guerre, retrouvée dans l'île de Ré et signée de la main de Martial, « Bernay père et fils ».
Source Sud Ouest

18/12/2012

IMERYS : la cession de son activité structure à Bouyer Leroux bien accueillie par les milieux financiers

Les investisseurs ont bien accueilli jeudi l'offre ferme d'acquisition qu'Imerys a reçu pour son activité Imerys Structure de la part du groupe Bouyer Leroux. Le département qui intéresse le spécialiste de la terre cuite regroupe les activités de production de briques de murs et de cloisons d'Imerys ainsi que de conduits de cheminées.
Le groupe de spécialités minérales pour l'industrie examine actuellement l'offre qui lui a été remise pour une valeur d'entreprise proche d'une année de chiffre d'affaires d'Imerys Structure, soit 90 millions d'euros.
Imerys ne semble pas réticent à cette offre, le groupe a précisé qu'après consultation des instances représentatives du personnel ainsi que l'obtention des autorisations administratives requises, le projet pourrait aboutir dans le courant du premier semestre de l'année 2013.
Pour CM-CIC qui a renouvelé sa recommandation Accumuler avec un objectif de cours de 50 euros sur Imerys, tout actif qui ne parvient pas à générer une marge « cash » au moins égale à celle du groupe est impitoyablement externalisé.
L'analyste observe que la stratégie du groupe est clairement de préserver et de maximiser le cash flow.
Pour le broker, l'activité Briques, avait un problème de profitabilité qui plaçait Imerys devant un dilemme : soit, muscler ce métier, ce qui aurait impliqué d'investir une centaine de millions d'euros, soit céder cette activité.
L'occasion a fait le larron : l'approche de Bouyer-Leroux a amené la direction d'Imerys à opter pour la seconde solution.

Source Zonebourse

Entraînement serré pour les sapeurs sauveteurs à l'ancienne tuilerie Monier de Limoux

Ils sont sur toutes les grandes opérations de sauvetage ici en France et dans le monde. Ces soldats un peu particuliers de l'armée de terre appartiennent à l'unité d'instruction et d'intervention de la sécurité civile, ils étaient présents à Fukushima, pendant le séisme de 2010, en Haïti, après le tsunami Banda Aceh en Indonésie, ils sont de tous les cataclysmes pour sauver des vies dans des conditions extrêmes. Pour être opérationnel il faut s'entraîner, les sapeurs sauveteurs de Brignoles ,une centaine, ont choisi l'Aude et plus précisément Limoux, Lézignan et Sigean pour simuler: «Un tremblement de terre et le sauvetage de victimes ensevelies dans les décombres par des chiens et des équipes médicales sur place, un théâtre d'opération dans le cadre de la nouvelle réglementation européenne, qui devrait faciliter la coordination et l'organisation lorsque nous sommes en mission. À Limoux nous avons travaillé conjointement avec une équipe espagnole de 40 hommes» explique le tout jeune lieutenant François Pichot Duclos. Les sapeurs de Brignoles dans le Gard ont découvert l'Aude dans le cadre de la prévention des incendies à Lézignanen été.
Source La Dépêche

17/12/2012

Wienerberger/Rector : une alliance briques/béton pour relancer l’isolation intérieure


L’isolation thermique par l’intérieur n’a pas dit son dernier mot. Wienerberger France et Rector Lesage l’ont prouvé, le 6 décembre devant plus de 100 professionnels alsaciens réunis au casino de Ribeauvillé (Haut-Rhin).
« Grâce au travail conjoint de leurs équipes de recherche et développement, Rector Lesage et Wienerberger France ont finalisé une offre systémique qui conjugue la structure verticale et sa jonction horizontale ». Marc De Saint-Roman, directeur général adjoint de Rector Lesage, résume en ces termes la démarche technique et commerciale conjointe des deux industriels du gros œuvre, tous deux basés en Alsace : d’un côté, le spécialiste mulhousien de la préfabrication en béton armé à travers ses thermoprédalles ; de l’autre, Wieneberger France, basé à Achenheim (ouest de Strasbourg) pour ses briques de 20. Le système s’adresse prioritairement au logement collectif.

Francis Ligier, P-DG de Wienerberger France (à gauche), discute avec Marc de Saint-Roman, directeur général adjoint de Rector Lesage, et James Armindo, entrepreneur de gros œuvre 
Rupteurs intégrés
« Les performances des briques de 20 se sont multipliées par deux au cours des dix dernières années », argumente Denis Ruhlmann, attaché de prescription pour l’Est de la France de la filiale française du groupe autrichien, numéro 1 mondial de la terre cuite. Face à la forte croissance des logements collectifs à basse consommation associant le béton banché et l’isolation thermique par l’extérieur, Rector Lesage a réagi : « Pour atteindre le coefficient psi de 0,6 en rupture de pont thermique, le béton ne suffit pas. L’association avec la brique apporte une solution qui répond également aux exigences des réglementations parasismique et acoustique », se réjouit Maurice Ramstein, directeur marketing du groupe familial mulhousien. Le bureau d’études Pouget a confirmé les performances du système associant les deux produits, ouvrant ainsi la voie à l’homologation, en 2011, par le Centre scientifique et technique du Bâtiment (CSTB).
L’innovation répond à la tendance observée par Francis Lagier, P-DG de Wienerberger France : « Depuis quatre ans, l’économie revient au centre du débat sur la performance énergétique du bâtiment ». Ce constat pousse les industriels à chercher des solutions fiables et conformes aux habitudes des entreprises de gros œuvre. Représentant l’Union nationale des des techniciens et économistes de la construction à la table ronde animée par Le Moniteur le 6 décembre à Ribeauvillé, François Freyburger, d’Immobilière Services (Mulhouse), le confirme : « L’ITI va revenir ». Ingénieur thermicien chez EDA (Belfort), Laurent Mouge, qui a participé à la conception des moteurs de calcul de la réglementation thermique 2012, partage ce pronostic.
Sufaces optimisées
« Dans le quartier des Poteries à Strasbourg, nous prévoyons de passer en ITI un ensemble d’une soixantaine de logements répartis dans deux à trois immeubles programmés pour 2013 », annonce Philippe Woessner, directeur construction chez Promogim.
Les promoteurs se montrent d’autant plus intéressés que le système associant brique et béton optimise la surface habitable des logements.
Source LE MONITEUR.FR par  Laurent Miguet (Bureau de Strasbourg du Moniteur)

3e édition des Terroirs de TERREAL Le Prix Historique décerné à une entreprise des Yvelines

TERREAL, le spécialiste de l’enveloppe globale du bâtiment a organisé pour la troisième année consécutive le concours « Les Terroirs de TERREAL ». Cinq chantiers de rénovation illustrant la richesse des savoir-faire locaux mis au service de la préservation du patrimoine architectural français ont été récompensés jeudi 8 novembre 2012 à Paris. Olivier Pourrit, dirigeant de l’entreprise Histoire de Toit, a été honoré pour la dimension historique de son chantier réalisé à Gommecourt.
Une nouvelle fois, TERREAL, leader sur le marché des tuiles de patrimoine, réaffirme son engagement dans la sauvegarde du patrimoine et la valorisation de l’expertise des professionnels de la couverture.
Le Prix Historique attribué à l’entreprise Histoire de Toit située dans les Yvelines (78)
L’entreprise Histoire de Toit, dirigée par M. Olivier Pourrit, a reçu le Prix Historique pour la réalisation de la rénovation de la couverture de l’Eglise de Gommecourt dans les Yvelines (78).
En effet, la charpente et la toiture de cette église du 16e siècle, classée monument historique, étaient en très mauvais état.
Pour la toiture, un panachage de tuiles, de formats et coloris différents, a été mis en œuvre. On y retrouve un savant mélange composé de tuiles Eminence coloris Auteuil et Terre de Sienne, de tuiles Prieuré couleur Chaume et de tuiles Pommard Sablé Bourgogne et Sablé Champagne. Des finitions en cuivre complètent harmonieusement ce travail.
Les Terroirs 2012
Plusieurs dizaines de dossiers de grande qualité ont été examinés cette année par un jury composé de professionnels couvreurs et de spécialistes de la couverture TERREAL. De nombreux dossiers ont été nominés, parmi lesquels cinq d’entre eux se sont vus remettre un prix.
Attribués selon des critères de sélection portant sur la technicité, l’esthétique, le rendu global et le « côté historique » du chantier, ces prix honorifiques s’inscrivent dans une volonté de valoriser les travaux de rénovation effectués dans le cadre de chantiers patrimoniaux.
Source Wellcom

16/12/2012

TERREAL: Bientôt deux maisons "productrices d'énergie"

Initiatrice d'un projet dit "Habitat social positif" (HSP), l'entreprise Terreal qui fabrique des matériaux de construction en terre cuite, a signé hier la convention l'unissant avec ses quatorze partenaires, et en tout premier lieu avec la ville et Habitat Audois, qui traite le logement social. Concrètement, du projet HSP sortiront de terre sur la ZAC des Vallons du Griffoul, début 2013, une maison T3 de 72 m² et une maison T4 de 82 m². Ces bâtiments, conçus sous le label Bépos (bâtiment à énergie positive), ont pour objectif de produire autant, voire plus d'énergie qu'ils n'en consomment. L'entreprise Terreal a donc fortement investi dans la recherche afin de concevoir ces deux habitations modèles. Leur système photovoltaïque sous forme de panneaux installés sur la toiture, doit par exemple permettre "une autosuffisance pour le chauffage, l'éclairage et la production d'eau chaude sanitaire, avec une rentabilisation au bout de sept ans d'utilisation". Outre la réduction des émissions de gaz à effet de serre, les logements veulent "s'intégrer dans le paysage urbain local". Pour le chauffage, en plus de l'énergie solaire passive, qui résulte d'un fin calcul d'implantation du bâtiment et du dessin de ses ouvertures, un poêle à bois a été installé dans le séjour, à proximité d'une cloison en terre crue. L'énergie thermique est ainsi "stockée" durant l'hiver et contribue par ailleurs à réguler l'humidité de la maison. Le surinvestissement de départ de ces deux habitations Bépos se chiffrerait à "moins de 10 % d'une construction traditionnelle", sachant que la production photovoltaïque représenterait "15 % de surcoût". Mais ce type de construction ne peut atteindre ses objectifs attendus, sans que les locataires ne soient "les acteurs de la performance, à travers leur mode de consommation responsable". Concrètement, les habitants bénéficieront d'un accompagnement par l'entreprise Terreal à long terme, sur la meilleure façon d'habiter ces maisons de demain. En matière de construction, demain c'est dans huit ans : selon la loi du Grenelle de l'environnement signée en août 2009, tous les permis de construire d'habitations déposés fin 2020, devront avoir "une consommation d'énergie primaire inférieure à la quantité d'énergie renouvelable produite." "Ce projet nous a séduits, explique Robert Alric, le président d'Habitat audois. Mais il ne faudra pas en rester là. Dans notre politique du logement social, nous devrons reconduire cette opération sur notre territoire, puis sur tout le territoire national. Voilà ce qu'il faut espérer". Le maire Patrick Maugard espère d'avantage : "Commencé il y a un an suite à un coup de fil d'Hervé, (NDLR : Hervé Pérignon, le directeur du site de Terreal à Castelnaudary), ce partenariat exemplaire sera une vitrine magnifique, que nous allons exporter dans le monde entier".
Source Le Midi Libre

Une œuvre monumentale à la briqueterie Bouisset à Albine

16 tonnes de terre, 200 mètres carrés au sol, plus de 1 000 pièces… Depuis plus de trois semaines, l'artiste plasticienne Dominique Ghesquière travaille dans les locaux de la briqueterie Bouisset à Albine, à la réalisation d'une œuvre monumentale. À savoir, un sol de plaques en terre cuite, reprenant l'idée d'un sol craquelé comme l'on peut en apercevoir au fond de certains lacs lorsqu'ils sont vidés. En effet, à partir de janvier, cet œuvre a vocation de recouvrir entièrement le sol de la salle principale d'un centre d'art situé sur une île au milieu d'un lac artificiel à Vassivières, près de Limoges.
«Un véritable challenge»
La rencontre entre cette artiste plasticienne originaire de Paris et l'entreprise Bouisset s'est faite par l'intermédiaire d'un employé de la société artiste lui aussi. «C'est un véritable challenge un produit aussi important. Réaliser des performances permet l'émergence de la créativité des entreprises, de mettre en œuvre des nouvelles techniques» explique Alain Bouisset, gérant de cette entreprise familiale existant depuis 1876, et qui, aujourd'hui est spécialisée dans des produits spécifiques haut de gamme (elle vient récemment de réaliser des tuiles romaines pour la rénovation du Palais des arts de Marseille). «C'est une technique que nous avons inventée avec Alain Bouisset et toute son équipe» explique l'artiste venu avec toute une équipe, qui découvre à l'occasion de ces travaux, la région. Un chantier tournant a été mis en place. Une grande plaque de terre teintée d'oxyde de manganèse pour la couleur, sèche progressivement sous une grande bâche. Elle est poussée et remplacée progressivement par une nouvelle plaque de terre moins sèche. La plaque finit par se craqueler de manière naturelle. Il s'agit alors de récupérer soigneusement ces «morceaux» de 5 cm d'épaisseur en les numérotant avant de les emmener au four industriel pour les cuire très attentivement. Par la suite, les 1 000 pièces stockées et classées partiront vers pour Vassivières en semi-remorque ou ce gigantesque «puzzle» en terre cuite sera recomposé.
Source La Dépêche

15/12/2012

Keller, Rieter, Novoceric et Morando pour la première fois au salon SIB de CASABLANCA

Du 21 au 25 novembre, les entreprises de la division KELLER se sont présentées pour la première fois sur le salon SIB à Casablanca. Cette participation au salon de la  construction phare du Maroc représente un plein succès pour les managers des services marketing et relations publiques.
«Même si notre stand n’a pas connu la même affluence qu’à la CERAMITEC, nous n’avons pas chômé cinq jours durant et nous avons répondu aux demandes de nombreux intéressés. Compte tenu du fait que ce salon regroupait des entreprises issues des branches de la construction les plus diverses, c’était un plein succès», comme le résume M. Brunk tout en ajoutant: «Il y a eu des discussions et des demandes de projet concrètes que nous devons maintenant traiter avec notre représentant Zaim Abdelkebir.»
Son collègue Renzo Ronchetti de MORANDO à Asti partage lui aussi cet avis que participer à ce salon en valait la peine. «Grâce à notre nouvelle représentation CENTEC, nous avons bien plus ouvert la porte du marché marocain. Nous avons entretenu nos anciens contacts et en avons lié de nouveaux, je pense donc que participer à ce salon en valait vraiment la peine pour les entreprises KELLER.»
Zaim Abdelkebir, représentant de longue date chez CENTEC à Casablanca pour KELLER, s’est également montré très satisfait: «Nous avons fait un premier pas ensemble, il s’agit à présent d’approfondir les contacts de la SIB 2012. Je me réjouis dès à présent d’une installation moderne produite par KELLER dans les années à venir qui contribuera à la modernisation de l’industrie marocaine des matériaux de construction. Le Royaume du Maroc est un pays moderne nord-africain pour qui des installations de production aussi efficaces que respectueuses de l’environnement et économes en énergie deviennent de plus en plus le point de mire.»
Source Keller 

14/12/2012

Terreal ferme son usine de Cabezón ( Espagne)


Terreal Espagne, connue à Cabezon de la Sal comme «La Tejera de las  Navas »,  ferme ses portes le 31 Décembre 2012. Ses 39 employés spécialisés dans la fabrication de briques de parement en terre cuite,  viendront grossir les rangs des chômeurs. Seulement dix resteront jusqu'à Juin 2013 pour finaliser les projets en cours.
L'entreprise, qui s’appelait auparavant Cerámica de Cabezón avait employé jusqu’à  60 personnes. Sa part de marché atteignait  11% en briques de parement qui étaient utilisées pour les façades d'Espagne durant le boom de la construction entre 2004 et 2006. La création de Cerámica de Cabezón  remonte à 1946. Dès sa création , la société se  consacre au développement de produits de construction en terre cuite avec des méthodes et technologies traditionnelles qu’elle n’a cessé de faire évoluer au fil des années pour intégrer les derniers progrès technologiques. La société a augmenté sa productivité dans un engagement continu d’innovation. Ainsi en 1991 Cerámica de Cabezón   a complètement transformé ses lignes de production en intégrant les dernières avancées de la technologie industrielle et notamment la robotique. Ce cycle prend fin à présent.

La société a proposé aux employés la possibilité de s'installer en France et de travailler pour un essai de trois mois à un salaire semblable à celui pratiqué jusqu’à présent.
Revuelta Enrique , l'un des salariés touché par la fermeture après  22 ans d’ancienneté,  a déclaré avec déception  « On nous a dit que tout était arrêté et qu’il n'y avait pas de porte de sortie. Nous étions là depuis de nombreuses années ».

Miguel Angel Alvarez est un des plus anciens dans l'entreprise. En mai de l'année prochaine il atteindra 31 années de travail à l’usine. «Depuis 2008 il nous  parlent de suspension de contrat de travail ou de licenciements.  Après plusieurs réunions, ils ont proposé des postes en France pour certains ».  Michel-Ange a refusé. Et il montre sa colère parce que «le gouvernement, comme le gouvernement de Cantabrie et la ville de Cabezon n’ont  pas été impliqué dans les négociations,  ni nous ont soutenu moralement et économiquement, comme cela s'est produit dans d'autres entreprises  d'autres communes." Il se montre cependant optimiste: «Ils vont peut-être revenir en 2013 pour réembaucher ».

La Tejera de las  Navas  est une  victime supplémentaire du secteur de la construction en Cantabrie. Les constructeurs Cantabres ont  déjà annoncé il ya quelques jours, aux autorités régionales qu’ avant la fin de l'année, près de 65% des entreprises fermeraient  ce qui provoquera de licenciement massif de 40 à 50% de la main-d'œuvre dans le secteur.
Cela signifie que des milliers de personnes seront  à la rue du jour au lendemain et des centaines de sociétés brisées. Ces personnes viendront s’ajouter aux 5912  licenciés suite à la fermeture de 1344 les entreprises au cours des quatre dernières années de crise.
Source Eldiarimontanes.es

Construction en Europe : un 9ème mois de baisse d’activité

Les derniers chiffres publiés par Eurostat révèlent que septembre aura été le neuvième mois consécutif de baisse de l’activité dans le secteur de la construction.
L’organisme statistique de la Commission européenne souligne une chute de 2,6 % de l’activité dans la zone Euro et de 5,8 % au niveau communautaire, au regard des résultats enregistrés en septembre 2011. C’est le secteur du bâtiment qui connaît le repli le plus important : - 3,2 % dans la zone Euro et - 6,5 % sur l’ensemble des Etats membres. D'un point de vue national, les plus fortes baisses sont à déplorer au Portugal, en Italie, en Pologne, en Slovaquie et au Royaume-Uni. Les croissances les plus notables sont, quant à elle, à mettre au crédit de la Suède (+ 4,5 %) et de l’Allemagne (+ 4 %).
Source France BTP

13/12/2012

La Séguinière. Bouyer-Leroux veut acquérir Imerys Structure

Le groupe Bouyer-Leroux (La Séguinière) et le groupe Imerys (Loire-Atlantique) ont entamé des négociations en vue de l’acquisition de l’activité Imerys Structure en France. Bouyer-Leroux, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 90 millions d’euros et qui emploie 370 collaborateurs, veut, selon un communiqué, prendre « une nouvelle ampleur nationale grâce à la complémentarité géographique des deux dispositifs industriels », et « développer une nouvelle activité de fabrication de produits de grands formats à partir du site de production de briques » actuellement exploité par Imerys Structure et sur lequel Bouyer-Leroux a prévu d’investir au 2e semestre 2013.
Imerys Structure compte 400 salariés et a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 95 millions d’euros en 2011. Avec sept usines, il est essentiellement présent dans le Sud de la France. Ce projet permettra à Bouyer-Leroux de devenir un des leaders de la brique de mur et de la brique de cloison en France, et de proposer à ses clients une gamme de produits et services plus larges sur l’ensemble du territoire national. Le groupe s’est engagé à conserver l’ensemble des effectifs, les deux activités étant complémentaires.
Source Ouest France

Le français SAINT-GOBAIN acquiert l'entreprise serbe de matériaux de façade KARBON


Le groupe français Saint-Gobain, l'un des leaders mondiaux de la production et distribution des matériaux de construction, a annoncé mercredi 14 Novembre avoir acquis l'entreprise serbe Karbon, pour un montant qui n'a pas été dévoilé.
L'acquisition de la compagnie privée Karbon située à Topola (centre), dont le chiffre d'affaires en 2011 était de 7 millions d'euros et qui emploie actuellement 84 personnes, permettra à Saint-Gobain de renforcer sa présence en Europe de l'est, a déclaré à la presse le directeur du groupe pour la Serbie, Milan Lukic.
Les matériaux pour façades produits dans l'usine de Topola seront destinés aux marchés serbe, hongrois, roumain, bulgare mais aussi à ceux des pays de l'ex-Yougoslavie, selon la même source.
Saint-Gobain, l'un des leaders mondiaux dans la production et distribution des matériaux de construction, est présent dans 64 pays et son chiffre d'affaires en 2011 a été de 42,1 milliards d'euros.
Le groupe est présent en Serbie depuis 2007 lorsqu'il a pris le contrôle d'une usine de matériaux de construction à Apatin (nord).
Source Fusacq

12/12/2012

IMERYS : Réception d'une offre ferme pour l'acquisition d'Imerys Structure par Bouyer Leroux


Imerys a reçu une offre ferme d'acquisition de la part du groupe BOUYER LEROUX pour son activité Imerys Structure
Présent sur le marché français des matériaux de construction en terre cuite (briques de murs et de cloisons, conduits de cheminée), Imerys Structure contribue, depuis plusieurs décennies, à l'essor de ce mode constructif au travers d'une politique dynamique de développement industriel et commercial. Ses innovations améliorent les performances thermiques des constructions et répondent aux enjeux des Bâtiments Basse Consommation. Avec son dispositif industriel performant, composé de 7 usines essentiellement localisées dans le Sud de la France, Imerys Structure emploie 400 salariés et a réalisé un chiffre d'affaires d'environ 95 millions d'euros en 2011.
Société familiale créée en 1955, BOUYER LEROUX s'est développée au travers d'investissements internes et d'opérations de croissance externe pour devenir un acteur industriel reconnu pour la qualité et l'originalité de son offre de solutions destinées à la construction, la rénovation et l'amélioration de bâtiments éco- performants. L'entreprise, dont le capital est détenu par ses salariés depuis 1980, emploie aujourd'hui près de 370 collaborateurs et a réalisé un chiffre d'affaires de 90 millions d'euros au cours de l'exercice clos le 30 septembre 2012. Principalement implanté dans le Nord-Ouest de la France, BOUYER LEROUX a bâti de solides positions dans les produits de structure en terre cuite, un métier qui représente désormais près de75 % de son activité.
Le rapprochement envisagé permettrait de créer un leader des matériaux de structure en terre cuite en France, la complémentarité géographique des deux entités assurant un maillage industriel et commercial performant sur le plan national. Dans un contexte concurrentiel accru, l'intégration des deux activités, dotées d'une forte culture de satisfaction du client et de qualité des produits associée à une intégration minière et technologique, accroîtrait le potentiel de croissance, d'innovation et la compétitivité du nouvel ensemble. Imerys examine actuellement l'offre qui lui a été remise pour une valeur d'entreprise proche d'une année de chiffre d'affaires. Le projet sera notamment soumis à la consultation des instances représentatives du personnel ainsi qu'à l'obtention des autorisations administratives requises. Il pourrait aboutir dans le courant du premier semestre de l'année 2013.
Imerys Structure est l'un des deux départements d'Imerys TC, un leader français des matériaux de construction en terre cuite. Imerys Toiture (tuiles) et Imerys Structure (briques de murs et de cloisons, conduits de cheminée) apportent des solutions concrètes pour répondre aux enjeux environnementaux de demain et agissent pour un habitat toujours plus performant, économe, confortable et donc plus durable. Imerys TC fait partie de la branche Matériaux & Monolithiques du groupe Imerys.
Leader mondial des spécialités minérales pour l'industrie, Imerys valorise une gamme unique de minéraux pour apporter des fonctionnalités (résistance thermique et mécanique, conductivité, pouvoir couvrant, effet barrière, etc.), essentielles aux produits et procédés de production de ses clients. Composants minéraux, additifs fonctionnels, aides aux procédés ou produits finis, les solutions d'Imerys contribuent à la qualité d'un très grand nombre d'applications dans les biens de consommation, l'équipement industriel ou la construction. Conjuguant expertise, créativité et une écoute attentive de leurs clients, les équipes internationales du Groupe identifient en permanence de nouvelles applications et mettent au point des solutions à forte valeur ajoutée dans le respect d'une démarche déterminée de développement responsable. Ces atouts permettent à Imerys de se développer selon un modèle économique solide et profitable.
Source Zonebourse

Wienerberger (note BB) met fin à sa notation externe par Standard & Poors


Après une analyse approfondie, Wienerberger AG a décidé de mettre fin à sa notation d'entreprise par Standard & Poors («S & P»). La dernière note à long terme émis par S & P au début de Septembre a confirmé la cote de BB Wienerberger AG avec une perspective stable. La relation avec la société d’analyse financière Moody (qui note Wienerberger Ba2, avec perspective stable) reste maintenue. Les facteurs décisifs pour cette étape sont les considérations économiques et l'importance décroissante des notes pour les titres émis par la société.

Aucun effet négatif attendu sur le financement du Groupe

Willy Van Riet, directeur financier de Wienerberger AG, n'anticipe pas de changement dans la stratégie de financement du Groupe avec la  fin de la note S & P: «Notre stratégie de financement a mis l'accent depuis plusieurs années sur l’émission d’obligations régionales de petite taille et sur les prêts bancaires inférieurs à € 250 millions. Dans ce segment, les notations externes ne jouent pas un rôle majeur dans l'établissement des conditions ou sur le succès de l'émission. En fait, seulement huit des 62 émetteurs d'obligations en Autriche sont notés. Ces entreprises ont levé des fonds avec succès, sur des volumes importants et à de bonnes conditions, même sans notation. Si Wienerberger décide à l'avenir de placer plus d’obligations sur les marchés internationaux, les investisseurs peuvent toujours compter sur une notation par une agence réputée externe. Je n’attends donc pas d'effets négatifs sur l'accès de Wienerberger auxmarché des capitaux ou sur les  coûts de financement à l'avenir. "

Wienerberger a  des positions fortes en briques, tuiles, pavés en béton et canalisations

Wienerberger est le premier producteur mondial de briques (Porotherm, Terca) et le leader du marché des tuiles en terre cuite (Koramic, TONDACH) en Europe et en pavés de béton (Semmelrock) dans le centre-est de l'Europe. Dans les systèmes de conduites (Steinzeug Keramo-tubes et tuyaux en céramique Pipelife en plastique), Wienerberger est l'un des principaux fournisseurs en Europe. En 2011, le Groupe Wienerberger a généré des revenus de € 1.915 millions d'euros et l'EBITDA opérationnel de 240 M € avec 226 plantes.

Imerys acquiert les activités kaolin du britannique Goonvean

Le groupe de minéraux industriels Imerys a annoncé lundi 05 Novembre lors de la publication de ses résultats du troisième trimestre avoir signé un accord pour l'acquisition des activités kaolin de la société Goonvean, située en Cornouailles (Grande-Bretagne).
Aucun montant n'a été communiqué pour la transaction. "La nouvelle activité a réalisé un chiffre d'affaires annuel de l'ordre de 18 millions de livres sterling (22 millions d'euros) au cours du dernier exercice clos", précise Imerys dans son communiqué.
"En accédant à des réserves de grande qualité, le groupe renforce son potentiel de croissance dans des produits de spécialités essentiellement destinés aux marchés des minéraux de performance et des céramiques", commente le groupe, qui estime que "cette opération pérennise (s)es actifs dans la région.
Le kaolin est une argile blanche, utilisée par les papetiers pour donner au papier couché son aspect lisse et brillant.
Le groupe annonce également avoir "élargi son offre de minéraux en acquérant auprès du groupe Vale un gisement de bauxite réfractaire situé dans l'Etat de Pará" au Brésil.
"Ce minéral est essentiel à certaines applications réfractaires et abrasives", explique le groupe.
Imerys a publié lundi 05 Novembre un bénéfice net part du groupe en hausse de 4% à 239,8 millions d'euros sur les neuf premiers mois de l'année et a confirmé ses objectifs de rentabilité pour l'année en cours.
Source L'Expansion

11/12/2012

Jean-Jacques Wagner - nouveau directeur général de CERIC Technologies


Le nouveau Directeur Général de  CERIC Technologies ,  Jean-Jacques Wagner, a occupé plusieurs postes préalables au sein du Groupe Ceric.
De 2000 à 2003 il a travaillé comme directeur du développement chez Ceric Inc à Denver, puis en tant que Directeur Général de Keller-HCW en Allemagne (2003-2007) et enfin à la tête des filiales allemandes de Keyria ( Keller , Novoceric et Rieter)  de 2007 à 2008, durant les années de forte expansion internationale du groupe.

A la fin de l'année 2008, Jean-Jacques Wagner a quitté la société pour établir une nouvelle entreprise en Espagne, qui met  l'accent sur ​​les produits de décoration innovants et respectueux de l'environnement.
Jean Jacques Wagner a agi comme consultant et en tant que Président de son Conseil de Surveillance de la société CERIC TECHNOLOGIES qui a été créé en 2010 avec le soutien du Fonds d'investissement Pléiade Investissements.

En 1975, Jean-Jacques Wagner a obtenu un diplôme en génie mécanique de l'Ecole Centrale et en 1984 et une maîtrise en administration des affaires de l'INSEAD (1984). Avant de rejoindre CERIC, il a occupé plusieurs postes à la tête de succursales étrangères de la société française Alstom au Moyen-Orient, et en tant que président de la division d'ingénierie de fabrication de neige de culture de l'entreprise York aux Etats-Unis.

Jean-Jacques Wagner est un membre fondateur et ancien président de l'ECTS (European Ceramics Technology Association).

Source Ziegelindustrie International

BigMat veut doubler ses points de vente en 5 ans

L’enseigne de négoces de matériaux indépendants lance un projet stratégique à l’horizon 2017 qui vise notamment à doubler le nombre de points de vente… Ambitieux !
Ce plan quinquennal s’articule autours d’axes majeurs : une approche innovante des points de vente, une activité et une offre produit mieux définies en collaboration avec les partenaires industriels, adossées à une expertise techniques et conseil renforcés.
A terme, l’enseigne souhaite donner une nouvelle impulsion au marché du négoce de matériaux et doubler le nombre de points de vente d’ici 2017, soit 600 au total.
Joël Armary, Président du Directoire de BigMat France indique : « BigMat est une enseigne forte et saine, il est important de lui conférer une dimension qui correspond d’une part, à l’engagement de ses adhérents, mais aussi de répondre à une demande très ciblée des clients qu’ils soient professionnels ou particuliers.
Notre objectif, ambitieux et réaliste, doit nous conduire à devenir l’enseigne préférée des professionnels et le modèle d’une nouvelle génération de réseau d’indépendants dans l’univers du bâtiment et du négoce de matériaux. »
Un nouveau concept de points de ventes
La priorité sera donnée en 2013 à un nouveau concept de points de vente reposant sur l’innovation produit, l’expertise technique et normative et le développement durable, couvrant toutes les spécialités des projets de construction ou de rénovation : gros-oeuvre, second-oeuvre, menuiserie/bois/charpente, chauffage, carrelage, sanitaire, équipement industriel et environnement extérieur.
Concernant la stratégie de référencement, l’enseigne s’attachera à développer le meilleur rapport/qualité prix, à intégrer davantage de produits innovants toujours dans le respect des normes techniques et environnementales en vigueur.
Enfin, l’enseigne a pour objectif d’intensifier son maillage régional, reposant sur la croissance interne des adhérents et externe.
A cet effet, BigMat réorganise sa carte des régions autour de sept zones géographiques : Ile de France/Centre, Est, Centre Est, Sud Est, Centre Ouest, Sud Ouest, Nord/ Normandie.
Le négoce, premier canal de distribution
Ce plan stratégique s’est appuyé sur deux constats. Le premier fut posé fin 2011, après avoir mené une étude interne approfondie auprès des 110 adhérents du groupement : une volonté affirmée de développer le réseau en adéquation avec les attentes des clients.
Le second, repose sur une étude marché BigMat-IPSOS réalisée auprès de 800 entreprises et 2000 ménages en avril 2012.
L’étude dresse un panorama de la clientèle du marché de la distribution des matériaux de construction, ou de rénovation (toutes enseignes et toutes catégories confondues) : perception, attitudes, comportements, affinités et nouvelles attentes.
Plus de 80 % des entreprises interrogées affirment que leurs clients (artisans ou particuliers) sont de plus en plus demandeurs de conseils techniques, une majorité est à la recherche de produits innovants ou liés au développement durable.
Globalement, les négoces constituent le premier canal de distribution pour toutes les catégories, sauf deux : l’électricité et la plomberie. Cependant, ils totalisent une pénétration respective de 33% et 36%. Elle est ultra-dominante pour le Gros-oeuvre, l’Isolation, la Couverture, la Plâtrerie et le Bois/Panneau.
Les GSB n’atteignent 25% de fréquentation que sur les catégories Finition et Plomberie, restant très loin derrière les négoces. Les industriels n’atteignent 20% que sur l’Outillage. La catégorie Carrelage très disputée entre les distributeurs spécialisés et les négoces (42% versus 58%) et la pénétration des coopératives d’artisans est la plus significative pour le Carrelage, Plomberie et TP.
En savoir plus
Créée en 1981, BigMat est aujourd’hui la première enseigne européenne de négociants de matériaux indépendants. BigMat compte en France 109 adhérents et 336 points de vente, pour un chiffre d’affaires de 1,2 milliard d’euros (2011).
L'enseigne est présente en Belgique, Espagne, Italie et République Tchèque, avec 820 points de vente en Europe, pour un chiffre d'affaires cumulé de 2,4 milliard d'euros.
Source : batirama.com

10/12/2012

3e édition des Terroirs de TERREAL Le Prix de la création décerné à une entreprise de la Sarthe (72)

TERREAL, le spécialiste de l’enveloppe globale du bâtiment a organisé pour la troisième année consécutive le concours « Les Terroirs de TERREAL ». Cinq chantiers de rénovation illustrant la richesse des savoir-faire locaux mis au service de la préservation du patrimoine architectural français ont été récompensés jeudi 8 novembre 2012 à Paris. Frédéric Pineau, dirigeant de l’entreprise Pineau Charpente, a été honoré pour la dimension créative de son chantier réalisé à Sillé-le-Guillaume.
Une nouvelle fois, TERREAL, leader sur le marché des tuiles de patrimoine, réaffirme son engagement dans la sauvegarde du patrimoine et la valorisation de l’expertise des professionnels de la couverture.
Le Prix de la Création attribué à l’entreprise Pineau Charpente située Saint-Rémy-de-Sillé dans la Sarthe (72)
L’entreprise Pineau Charpente, dirigée par M. Frédéric Pineau, a reçu le Prix de la Création pour la rénovation de la couverture d’une maison individuelle à Sillé-le-Guillaume dans la Sarthe (72), sur environ 300 m² de toiture.
Ce prix récompense la combinaison esthétique et la complexité technique des travaux due à la complète transformation de la maison. Une tourelle ainsi qu’une extension en ossature bois ont été ajoutées à la maison initiale.
Le choix d’un panachage harmonieux de quatre coloris différents en tuiles Rustique (Mesnil, Sablé Normand, Sablé Champagne et Chaumière) confère à la toiture son homogénéité esthétique.
Les Terroirs 2012
Plusieurs dizaines de dossiers de grande qualité ont été examinés cette année par un jury composé de professionnels couvreurs et de spécialistes dela couverture TERREAL. De nombreux dossiers ont été nominés, parmi lesquels cinq d’entre eux se sont vus remettre un prix.
Attribués selon des critères de sélection portant sur la technicité, l’esthétique, le rendu global et le « côté historique » du chantier, ces prix honorifiques s’inscrivent dans une volonté de valoriser les travaux de rénovation effectués dans le cadre de chantiers patrimoniaux.
L’histoire des Terroirs
« Les Terroirs de TERREAL » ont été créés en 2010 pour valoriser les plus beaux chantiers de rénovation, les couvreurs, leur expertise et leur créativité. Ouvert à tous les professionnels de la couverture soucieux de transmettre et de protéger notre patrimoine, le concours récompense au niveau national la qualité des savoir-faire régionaux, la pertinence des choix techniques et la finalisation de chantiers originaux.
Source Wellcom

09/12/2012

«DE TERRE ET D'ARGILE» L'architecture de terre sur la voie de la modernité en Algérie

Un voyage visuel à travers la beauté des ksour d'Algérie à RIADH EL FETH
Une initiative pour sensibiliser les citadins et les futurs architectes sur la nécessité de rétablir ces modes de construction qui n'ont rien à envier aux méthodes dites modernes.
L'exposition «De terre et d'argile» dédiée aux architectures et techniques de construction traditionnelles et modernes en terre, s'est ouverte samedi à l'Esplanade Riadh el Feth à Alger et se tiendra jusqu'au 17 décembre prochain.
Yasmine Terki est architecte des monuments historiques et spécialiste des architectures et des constructions de terre auprès du ministère de la Culture. Après l'exposition «Terres d'Afrique et d'ailleurs» réalisée par ses soins, lors du 2ème Festival culturel panafricain, et notamment à l'occasion de «Tlemcen capitale de la culture islamique 2011», l'architecte aux mains incontestablement liées aux transformations minutieuses de la terre, nous revient avec ses lumineux projets et l'exposition «De terre et d'argile» sur Alger jusqu'au 17 décembre prochain. Parallèlement aussi à la première édition du Festival culturel international de promotion des architectures de terre «Archi'terre», qui se tiendra à Alger du 18 au 22 novembre avec un riche programme d'ateliers pratiques et de conférences destiné aux architectes et aux étudiants algériens en architecture et en génie civil, l'exposition «De terre et d'argile» vise incontestablement à faire découvrir et vulgariser les architectures de terre et leurs techniques au grand public afin de le sensibiliser à l'importance de ce patrimoine culturel et urbain. Une matière disponible, gratuite, écologique, modulable, renouvelable, la terre selon le bon sens est aussi capable de répondre aux normes de confort actuelles et c'est dans une même optique, que le public peut découvrir à Riadh El Feth, dans le hall de l'exposition, les spécificités surprenantes de l'architecture de terre regroupant toutes les méthodes utilisant la terre crue comme matériau de construction. Il existe, par ailleurs, plusieurs types.
Le pisé, le torchis, l'adobe et, plus récemment, la brique de terre comprimée. Des décorations murales en terre, réalisées par une vingtaine d'artisans africains et européens, parmi eux, des artisans algériens, nigérians, français et portugais afin de mettre en relief l'universalité des architectures de terre. Des jarres en terre crue et toute une variété de couleurs de sable sont également exposée dans le hall pour mettre en exergue la diversité de la terre. L'exposition est une occasion de mêler la peinture à la sculpture et d'offrir une panoplie de formes aux alliances des expressions artistiques utilisées généralement afin de meubler l'intérieur des habitations en terre. L'exposition permet également un voyage visuelle des ksour algériens à travers un diaporama proposant une série de photographies aériennes et terrestres de 13 ksour algériens figurant parmi les «ksour protégés d'Algérie», bâtis en terre ou en pierre capturés sous l'objectif de Kays Djilali. Les photos ont été prises dans le cadre de deux campagnes photographiques organisées par le ministère de la Culture en 2009 et 2011, reflétant le génie et la beauté architecturale des premiers bâtisseurs et qui répond parfaitement aux besoins naturels et pratiques de leurs régions comme le ksar de Kenadsa (Béchar), Chetma (Biskra), Amenthan (Batna) ou El Mihane (Illizi). D'autres parties de l'exposition sont destinées à montrer des techniques de construction en terre et à la découverte d'édifices ultramodernes réalisés partout dans le monde, selon ces méthodes. Plusieurs photographies de bâtisses à différents usages sont exposées afin de montrer l'aspect moderne et utilitaire des architectures de terre.

Un saut dans le temps et une découverte de projets futuristes, une simplicité et un accord entre les éléments de construction avec la nature dans une parfaite harmonie. A l'exemple des constructions en terre au Mexique, aux Etats-Unis, en Allemagne ou au Chili où se trouve d'ailleurs une université construite en torchis (murs de terre crue avec une ossature en bois). En outre, un espace de lecture contenant pas moins de 300 ouvrages relatifs aux architectures de terre et au patrimoine est mis à la disposition du public. Deux films documentaires intitulés Les révolutions de la terre et Les nouveaux habits de la terre du réalisateur français François Lebayon, seront projetés au public tout au long de l'exposition.

Une visite virtuelle et mirifique de l'oasis rouge, Timimoun (Adrar) réalisée grâce au scanner laser en trois dimensions est aussi proposée afin d'agrémenter la ballade des visiteurs. L'architecture de terre est en soi, une forme moderne déjà appliquée dans des pays développés, ce qui ne saurait alimenter l'idée reçue que les constructions de terre sont synonymes de terres pauvres, d'autant plus qu'il est plus de l'ordre du génie urbain de trouver ce genre d'architecture à base de matériaux les plus simples et les plus disponibles.

L'exposition se révèle donc comme une initiative pour sensibiliser les citadins et les futurs architectes sur la nécessité de rétablir ces modes de construction qui n'ont rien à envier aux méthodes dites modernes. Faire revivre des méthodes ancestrales et les réhabiliter sur le chemin de la modernité tout en sauvegardant et en épanouissant le patrimoine comme les ksour d'Algérie. Par ailleurs, envisager en vue des progrès à obtenir dans le domaine de l'architecture, la promotion de l'utilisation de ce type d'architecture étant donné ses avantages inégalables pour certaines régions, notamment au Sud.
Source L'Expression par Amine Aït Hadi

08/12/2012

TERREAL agit durablement aux côtés d’agriculteurs du Calvados

Le Groupe TERREAL, spécialiste de l’enveloppe globale du bâtiment, s’implique dans la vie économique et sociale des communes où il est implanté. Depuis 2007, il a signé une convention de mise à disposition avec la Société d’Aménagement Foncier et d’Etablissement Rural (SAFER) de Basse-Normandie dans le cadre de l’exploitation de sa carrière d’argile de Neuilly-la-Forêt dans le Calvados. Outre la création d’emplois et l’investissement engagé, TERREAL travaille au quotidien pour la protection de l’environnement et de l’économie locale.
Implantée à Neuilly la forêt, TERREAL exploite environ 40 000 tonnes d’argile par an depuis 1998. Afin que l’extraction de la matière première argileuse affecte peu l’environnement, TERREAL procède à l’exploitation par bandes et a signé une convention de mise à disposition des terrains avec la SAFER de Basse-Normandie pour l’utilisation des terres agricoles en attente et après extraction
L’action se déroule alors en trois étapes :
- Avant l’extraction de l’argile les terres sont cultivées
- TERREAL extrait l’argile par bande de terrain
- Très rapidement près extraction, les parcelles sont à nouveau remises en culture
Le retour à l’état d’origine du site comprend également la réintroduction de la faune et de la flore existantes. Les haies bocagères, symboles de la région, ont été reconstituées. Un petit bassin a été créé pour répondre à l’objectif de préservation des ressources en eau et pour les périodes de sécheresse.
Le processus d’extraction est donc une phase transitoire d’occupation de l’espace.
Au total, c’est un vaste terrain agricole de 28 ha qui est mis à dispositions de 3 agriculteurs par l’intermédiaire de la SAFER, dont 2 jeunes agriculteurs locaux qui ont pu trouver à proximité de leur siège d’exploitation les surfaces nécessaires à leur installation.
Les ambitions et les actions de TERREAL en matière de responsabilité sociétale et environnementale sont nombreuses et diverses. Les valeurs sont portées par chaque collaborateur au quotidien dans leurs rapports avec l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise, internes comme externes.
Source Wellcom

07/12/2012

Maisons individuelles : palmarès du Challenge UMF 2013

Encore une année faste en matière d'innovation dans le secteur de la maison individuelle. Les lauréats du Challenge de l'Union des maisons françaises 2013, qui se sont retrouvés cette année à Malte, ont en effet su, à la veille de l'application de la RT 2012, allier technicité et créativité dans leur projet. Résultats. Suivant
"Nous sommes à un tournant de notre profession. La RT 2012, qui entrera en application au 1er janvier 2013 pour la construction neuve, n'est pas une évolution mais une révolution", a affirmé Patrick Vandromme, vice président de l'Union des maisons françaises (UMF) et dirigeant de Maisons France Confort, en introduction du Challenge 2013 organisé cette année sur l'île de Malte.
Près d'une vingtaine de constructeurs ont ainsi participé à ce Challenge, avec la ferme intention de montrer ce qui se fait de mieux en matière de maison individuelle et dans le respect des nouvelles réglementations. Technicité et créativité étaient, comme d'habitude, au rendez-vous. Mais alors que la RT 2012 favorise plutôt les solutions au gaz, trois projets se sont distingués en réussissant à prouver qu'on pouvait aussi atteindre l'objectif avec un effet Joule. Autre fait marquant de ce Challenge, la montée en force de la rénovation, qui devient "un enjeu majeur de notre développement", comme l'a rappelé le président de l'UMF.
Suivre l'évolution des consommateurs
Si le secteur de la maison individuelle a souffert en 2012, avec une baisse des constructions de 18% annoncée par Caron Marketing, l'année 2013 risque d'être très difficile pour les constructeurs. Qui devraient profiter, en matière de ventes, d'un effet d'aubaine sur les dernières semaines de 2012, mais aussi d'un effet couperet en début d'année prochaine. Pourtant, l'heure n'était pas au découragement pour les dirigeants de l'UMF, pour qui l'entrée en vigueur de la RT 2012 pour le logement est un "rendez-vous de mise au point de la profession", selon les mots de Christian Louis-Victor, président de l'Union. Il a exhorté ses adhérents à "rester ouvert sur l'évolution des consommateurs", insistant que "nos clients, ce sont eux". Face aux difficultés qui s'annoncent, il les a aussi invités à "décider dans le doute mais [à] agir dans la conviction". Pour finir, il a rappelé l'importance "d'intégrer nos amis architectes" à leurs projets.
Source Batiactu

06/12/2012

La tuilerie Terreal de Saint-Martin sera fermée six semaines

Depuis le 24 novembre et jusqu'au 6 janvier, le site Terreal de Saint-Martin-Lalande est à l'arrêt. Seules les activités de logistique et de surveillance perdurent. «Sur les soixante-dix salariés, une quarantaine a été répartie sur Castelnaudary et Le Ségala où là aussi, on fabrique des tuiles ; les autres salariés sont en congés payés, d'autres en congés sans solde ou en récupération,», explique le délégué de la CFDT Djamal Fettoumi qui rappelle qu'un second four a été créé en 2005 parce que le marché était là sauf qu'aujourd'hui, ce n'est pas le cas. Le site a déjà fermé dix jours en mai, un mois en août et maintenant six semaines. Par ailleurs, depuis juillet, les CDD et intérimaires ne sont pas reconduits sauf pour des remplacements de malades. «Tout le monde s'adapte, on fait des efforts pour garder nos emplois, la direction joue sur ça et les ouvriers en pâtissent», souligne-t-il en rendant hommage à ses camarades et collègues : «On a toujours été flexible, on nous change les horaires. De son côté, la direction a fait des efforts pour que le travail ne s'arrête pas parce qu'elle nous sait motivés. En 2012, les emplois ont été préservés», relève M. Fettoumi.

Construite en 1970, l’usine a été inaugurée par Jacques Chirac alors Ministre de l’Industrie. En effet, à l’époque, l’usine possédait le plus grand four de cuisson d’Europe permettant la production journalière de 1.000 tonnes de briques creuses. En 1990, l’usine a été totalement transformée en tuilerie, spécialisée dans la production de tuiles Grands moules du Sud.
Situé entre Castelnaudary et Saint-Papoul, le site de Saint-Martin fait partie du pôle Tuiles Sud avec ceux du Ségala et de Castelnaudary.

Source La Dépêche du Midi

Les solutions Monomur BBC/RT 2012 : au-delà de la résistance thermique

Le monomur n’affiche pas les résistances thermiques les plus performantes dans le cadre de la construction BBC, et de la prochaine RT 2012. Pourtant il répond à ce critère et apporte d’autres qualités constructives.
Le marché du monomur a connu un ralentissement depuis 2009. «La mode de la performance ­thermique à tous crins a fait oublier des fondamentaux», regrette David Poulain, directeur marketing ­d’Imerys Structure.
Mais, aujour­d’hui «avec les premiers retours d’expérience de construction maisons BBC on lui redécouvre des vertus». Face à sa concurrente, l’isolation rapportée, «la simple résistance thermique n’est plus une valeur ajoutée. En revanche, le monomur et l’isolation répartie apportent cette valeur ajoutée puisqu’ils vont au delà des exigences de la RT2012». Première d’entre-elles : le confort d’été assuré par l’inertie thermique.
Pourtant, si cette notion «a un réel rôle d’économie d’énergie, elle n’est toujours pas prise en compte dans le bilan global des moteurs de calcul de la RT2012», rappelle Gérard Fouilloux, responsable marketing briques chez Wienerberger. Reste qu’un autre joue en faveur du monomur.
Une étanchéité à l’air performante. Alors que les maisons BBC/RT 2012 doivent bénéficier d’une étanchéité à l’air inférieure à 0,6 m3/(h.m2), le monomur sur ce terrain fait preuve d’excellence.
«Grâce aux accessoires, il se positionne comme un système parfaitement compatible», révèle Eric Risser, directeur marketing de l’activité gros-oeuvre et décoration chez Terral. «Le test de l’étanchéité à l’air sur ces maçonneries est avantagé par l’enduction au plâtre qui rebouche les trous éventuels. De façon régulière, quand nous réalisons des tests nous ­sommes bien en dessous des 0,6 m3/(h.m2), et plutôt proches des 0,3 voire des 0,2».
AVIS D'EXPERT: Hervé Pétard, responsable du développement de la brique au sein de la Fédération française des tuiles et briques.
« Un confort global en plus de la résistance thermique »
« Répondre avec du monomur en terre cuite, aux exigences du label BBC et très prochainement de la RT 2012, c’est tout à fait possible. Certes, avec une résistance thermique de la paroi de 3 ou de 3,3 m2.K/W, il faudra porter une attention particulière aux autres éléments d’ouvrage.
Mais le monomur n’oblige pas pour autant à prescrire des solutions délirantes. En épaisseur de 37,5 cm, il répond à la RT 2012. A fortiori, plus il sera épais, plus sa résistance thermique sera élevée, et plus il sera facile de s’inscrire dans les exigences RT 2012.
Certes, le monomur modifie les habitudes constructives, car, par rapport à l’isolation rapportée, il permet de réaliser deux opérations en une, à savoir le gros-œuvre et l’isolation. En outre, face aux nouvelles exigences de la RT 2012, il peut être séduisant de se dire que pour être conforme on va aller chercher une valeur de paroi de 4 ou de 5m2.K/W.
Mais opter pour l’isolation répartie c’est aussi un choix très fort. Le monomur est durable, apporte le confort d’été, et présente un intérêt sanitaire non négligeable puisqu’il ne dégage pas d’émissions de composés organiques volatils (COV) et ne favorise pas le développement des moisissures.
Alors, si on veut surisoler pour le confort d’hiver, on élude le monomur. Si on souhaite, la qualité de l’air, et le confort d’été, on choisit le monomur qui génère un confort global. Or malheureusement la tendance est forte aujourd’hui de limiter le débat à la seule résistance thermique».

Source Batirama

05/12/2012

Jean- Jacques Wagner, président du comité de surveillance de Ceric technologies, présente la plus grande extrudeuse du monde


Conçu à Soissons, Demeter est pour l’instant le plus grand des malaxeurs et mouleurs d’argile au monde!

Ceric technologies, un groupe français d’une centaine de salariés, dont le siège social est situé à Paris et la grande unité de production à Soissons, est une entreprise qui revient de loin. En 2009, Ceric (Centre d’études et de réalisations industrielles et commerciales), créé en 1960 par deux ingénieurs qui voulaient fabriquer et vendre des équipements dans le secteur des matériaux de construction en terre cuite, était en redressement judiciaire.
Un an plus tard, à trois ingénieurs qui opéraient auparavant dans l’entreprise en cessation de paiement (Patrick Hébrard, Thierry Petra et Laurent Toquet), le tribunal de commerce de Paris accordait la cession des sociétés Ceric et de ses filiales Halluméca et Pelerin, entreprise située à Soissons et fondée en 1901. Avec l’aide d’un fonds financier et des collectivités locales, les trois repreneurs créèrent le groupe Ceric technologies, relançant la marque Pelerin dans le secteur de la conception et de l’assemblage des équipements industriels valorisant les argiles, et réembauchant sur place à Soissons 27 personnes.
Aujourd’hui, le groupe Ceric technologies emploie une centaine de salariés dont 46 à Soissons. Pour conserver ses marges, quoique bien agressées par la crise, ses dirigeants n’ont pas voulu brader les prix mais « aller vers le haut en innovant », l’innovation étant considérée comme la garantie de survie du groupe.

Dix-huit mois de travail intense
Demeter est aujourd’hui l’expression de cette innovation. Cette machine géante forme un U à hauteur d’homme, long de huit mètres. « C’est un groupe d’étirage, pour le moment unique au monde, explique Patrick Hébrard, ingénieur céramiste qui préside Ceric technologies. Il pèse 40 tonnes. Il est composé d’un malaxeur horizontal et d’une mouleuse avec de nombreuses innovations. » Cette machine de marque Pelerin, qui doit à être livrée prochainement à Biskra en Algérie, servira à malaxer de l’argile et à la mouler en briques ou en tuiles. « Le diamètre de l’hélice de sortie du malaxeur est de 550 mm, renchérit Jean- Jacques Wagner, président du comité de surveillance de Ceric technologies. Il garantit un débit d’alimentation en argile en rapport avec les capacités de la mouleuse dont le débit maximum est de cent tonnes à l’heure. »
La nouvelle étireuse-mouleuse, fabriquée sous la marque Pelerin, dont le volume de malaxage est supérieur de 40 % à celui des machines classiques, s’adapte à tous les types d’argile dans le monde. Elle a été dévoilée et inaugurée le 25 octobre à Soissons, sur le site industriel de Ceric technologues où elle été conçue et assemblée. Sa fabrication a nécessité 5 400 heures de travail, dix-huit mois d’étude, d’usinage et d’assemblage, et mobilisé 300 000 € dans la recherche industrielle et les ajustages de pièces complexes (tout ceci avec le soutien d’Oséo).

Des embauches l’an prochain
Demeter sera vendue aux Algériens pour quelque 500 000 €. « C’est le début d’une nouvelle gamme de groupes d’étirage, explique le président Hébrard. Demeter est la plus grosse d’une série de machines de cinq diamètres différents. Nous pensons que nous allons en fabriquer une vingtaine par an. Depuis deux ans, nous sommes passés, dans le groupe, de 66 salariés à 110. C’est une forte croissance. Nous embaucherons une cinquantaine de personnes en 2013, dont la moitié à Soissons. » Le groupe Ceric technologies ne conçoit pas seulement des machines produisant des matériaux de construction. Il peut aussi livrer clefs en main une usine complète (des projets de plus de 10 M€). Or, le BTP ne va pas fort en France, donc Ceric Technologies a tout intérêt à redoubler de notoriété dans le monde, là où l’on construit beaucoup, comme au Maghreb. Il exporte à présent 80 % de ses nouvelles machines qui, parfois, équipent de nouvelles usines.

La Vidéo de l'inauguration