Pages

19/02/2017

CERITHERM et DIREXA ENGINEERING vous proposent un nouveau concept de four tunnel basse consommation: le four SK

L’EQUIPEMENT DE DEMAIN POUR PRODUIRE MIEUX, PRODUIRE PLUS,CONSOMMER MOINS, POLLUER MOINS…
PRODUIRE DIFFEREMMENT POUR PREPARER L’AVENIR
Le four SK est un four tunnel destiné à la cuisson de produits en céramique.
Sa particularité réside dans le fait que la charge n’est plus embarquée sur des wagons ni supportée et entraînée par des dispositifs traversant les parois.
Le four SK est une solution flexible destinée à l’usage des industriels de tout secteur d’activité.
Les avantages du four SK

  • Une étanchéité parfaite du tunnel de l’entrée à la sortie des produits
  • La possibilité de gérer des atmosphères particulières
  • Une isolation identique et efficace des quatre faces du tunnel : voûte, sole, parois latérales
  • Aucune masse parasite à réchauffer et à refroidir autre que les produits et leurs supports
  • Aucune partie mécanique à préserver de la température de cuisson
  • Aucune limite de largeur

Les bénéfices du four SK pour les clients

  • Réduction de la consommation d’énergie
  • Flexibilité des cycles de cuisson : cadences, types de traitements thermiques
  • Gain en précision de cuisson
  • Amélioration de la qualité des produits finis, diminution du taux de rebut
  • Gain de productivité, rentabilité produit
  • Réduction des encours
  • Possibilité de cycles courts : l’équipement n’est plus limitant
  • Rentabilité accrue de l’outil de production

Source Ceritherm

18/02/2017

A La Rochelle, les chercheurs offrent une nouvelle carrière aux déchets de béton

Dans le cadre d’un appel d’offres de l’Ademe sur les «Déchets du BTP», les chercheurs du laboratoire des Sciences de l’ingénieur pour l’environnement de l’université de La Rochelle (Charente-Maritime) ont, durant 30 mois, étudié la réactivité des bétons concassés destinés aux travaux routiers. Ils ont observé des différences d’évolution dans le temps, notamment en termes de portance.

Un programme, baptisé Recyment, a permis aux chercheurs d’étudier durant 30 mois la réactivité des bétons concassés destinés aux travaux routiers.

Les expérimentations se sont déroulées au sein de Planète Recyclage, un site du groupe Charier et situé à La Rochelle-La Pallice. Spécialisé dans le recyclage des matériaux de déconstruction issus des chantiers du BTP, le centre de 2 ha collecte 40 000 t de produits par an, dont 38 000 t de béton. «Les matériaux sont triés, préparés avant d’être revendus à des entreprises de travaux publics. Nous touchons également les professionnels du bâtiment, les paysagistes et les particuliers avec nos matériaux décoratifs issus du concassage des tuiles et briques», détaille Cédric Couilleau, directeur de Planète Recyclage, et associé à l’expérimentation.

Une portance plus importante

 «L’objectif de ce programme baptisé Recyment était de comparer les résultats avec ceux des matériaux de références issus des carrières», précise Cédric Couilleau. Et les résultats sont surprenants: «La portance, le jour de concassage, est similaire entre les deux types de matériaux. Par contre, après 3 et 8 mois, on note une amélioration plus importante de la portance pour les graves recyclés que pour les produits de carrière», constate le responsable de Planète Recyclage qui poursuit: «Cette découverte nous laisse envisager de revoir, à terme, l’épaisseur des couches de fondation et d’assises des routes».

L’expérience a même démontré qu’avec un ajout de terre cuite, environ 15%, les performances mécaniques des matériaux recyclés s’en trouvaient multipliées. «Reste à comprendre pourquoi», souligne Cédric Couilleau.

Des frais en moins

Quoi qu’il en soit, les différents acteurs de cette expérimentation s’accordent pour dire que «les graves recyclés ne sont pas des sous-produits». Et si leur intérêt écologique n’est pas plus à démontrer, ils peuvent même présenter un impact économique intéressant. «Nous sommes sur un prix équivalent à celui des matériaux de carrière. Mais, pour les entreprises situées loin de ces dernières comme sur La Rochelle ou Bordeaux par exemple, nous évitons les frais de transport», concluent les responsables de l’étude qui vont désormais compléter leur étude et compte bien faire changer les mentalités…


Source LE MONITEUR.FR par Jean-Sébastien Thomas

17/02/2017

Centrafrique : Des artères de Bangui transformées en briqueterie

Certaines avenues et rues de la capitale centrafricaine sont jonchées de briques de construction de maison. Cette situation est déplorée par certains habitants et les autorités administratives.

En cette période de saison sèche, des centrafricains de toutes catégories d’âge fabriquent des briques pour combler leurs économies. Après une investigation du RJDH, des artères de la capitale sont transformées en briqueterie avec des conséquences sur la circulation et la dégradation routière.

Sur la fabrication de briques le long des voies de communication, Gervais Vidrakpadi l’un des briquetiers en se justifiant a expliqué que c’est une activité génératrice de revenus et par manque d’espace, les avenues sont utilisées comme aire de séchage des briques. « Nous étalons nos briques sur les voies publiques parce que nous n’avons pas d’espaces dans nos concessions», a-t-il-dit.

Pour la municipalité, l’occupation de ces artères par les briquetiers occasionne des accidents de circulation. Interrogé par le RJDH, Mme Francette Makake, Maire du 6e arrondissement de la ville de Bangui a déploré la fabrication anarchique de briques sur les infrastructures publiques. Elle a demandé « aux fabricants de ne pas étaler leurs briques sur les voies publiques car cela créé souvent des accidents de routes » avant de les demander « de faire cela dans leurs concessions».

Pour mettre un terme à cette pratique anarchique qui dégrade les voies de communication et les canalisations, Mr Samson Manguesazon, conseiller municipal à la mairie du 6e arrondissement de Bangui, a rapporté que le Maire de Bangui appliquera l’Arrêté municipal portant interdiction de la fabrication des briques dans la capitale.


Source le Journal de Bangui par RJDH

ALGERIE: Deux lignes Sabo à la briqueterie BGO de Touggourt

Dans le cadre de son nouveau projet basé en Algérie, la briqueterie BGO Touggourt dirigée par M.Sadoudi Laid, a de nouveau fait appel à Sabo pour moderniser son parc machines. Le client était à la recherche d’une solution technique qui incluait la mise en place de deux lignes de production, chacune de 800 T/j, à installer dans un espace de fabrication très limité.

Sabo, qui propose des solutions d’usines clés en main pour l’industrie de la terre cuite, a démarré la première phase de travaux en octobre 2016. Le projet sera complété dans un deuxième temps pour amener la production de briques à 1 600 tonnes/jour.

Séchoir et four
Pour réaliser ce projet, Sabo a livré un séchoir rapide doté de 64 balancelles, de 6 m de large et d’1,1 m de long. Le séchoir a été paramétré pour s’adapter à l’espace restreint mais l’utilisation des robots est restée identique.

Le wagon de four de 6,8 m de large et 4,2 m de long peut empiler 18 paquets pour une hauteur totale de 1,8 m. Pour répondre aux objectifs de production, le temps de poussée est d’environ 12 m pour la brique B08 et un peu moins de 10 min pour la brique B12. Le four mesure 150 mètres de long, assure un temps de cuisson suffisant et permet de conserver les tuiles à l’intérieur du four afin de garantir une bonne cuisson tout au long du processus.

Le système de récupération d’énergie a été redessiné en tenant compte du tunnel du four mais également de l’air sous les wagons et au niveau de la voûte du four. Cela assure une meilleure consommation de l’énergie mais aussi une économie d’énergie pour le client.

La zone d’emballage a également été reconfigurée pour s’adapter aux trois lignes de dépilage dont deux qui créent des paquets cerclés comprenant des trous pour pouvoir être manipulés par les chariots élévateurs. La troisième ligne permet de fournir des produits en vrac.
Après un mois de mise en production, le projet a donné un résultat assez satisfaisant en réalisant près de 70 % des objectifs prévus dans le contrat, et en travaillant avec deux postes/jour au lieu de trois.

Source Industrie Céramique et Verrière

16/02/2017

Exposition Marseille: "Entrée en matière"

À l’occasion de l’exposition Entrée en matière, Voyons Voir se retourne sur sept années de résidences artistiques menées au sein du Centre Richebois (1), et regarde en même temps vers l’avenir par le scellement d’une collaboration qui se poursuivra désormais sur les cimaises de la nouvelle salle d’exposition inaugurée la semaine dernière sur les hauteurs de l’Estaque…

...

Enfin, présentée par Arnaud Vasseux, Table Séon #1 déroge à la règle puisque l’œuvre a été réalisée lors de sa résidence à la Tuilerie Monier réalisée en 2014 sur l’invitation de Voyons Voir. Arnaud Vasseux y poursuivait son exploration des matériaux et des différents processus qui engendrent une forme (sculpturale) au sein d’une usine qui travaille donc exclusivement avec l’argile, matériau à prise lente dans lequel l’histoire de la forme se raconte et laisse l’empreinte de son processus. C’est précisément d’une trace que l’artiste tente de se saisir, de maintenir et de restituer, celle de l’ouvrier qui trie les tuiles non conformes et qui se saisit de la plaque pour les extraire, laissant s’imprégner le geste qui entérine l’exclusion. Sur ces nouveaux chemins, quelle chance d’y croiser celui qui par nature est en marge, qui par nature est différent, qui par nature est exclu (au moins symboliquement) : l’artiste.
Céline Ghisleri

(1) Centre de réadaptation professionnelle Richebois
Entrée en matières, avec vue imprenable : jusqu’au 29/03 au Centre Richebois (80 impasse Richebois, 16e). Rens. : 04 91 09 48 00 / http://www.voyonsvoir.org

Source Marsactu

15/02/2017

Matériaux de construction/ Bourgogne Franche-Comté : enfin un scénario de croissance optimiste !

Ce n'était pas arrivé depuis 2008. La filière Carrières et matériaux de construction en Bourgogne Franche-Comté devrait renouer avec une tendance à la hausse en 2017 selon une étude du Pôle interministériel de prospective et d'anticipation des mutations économiques réalisée en 2015 par l'Union nationale des industries de carrière et matériaux de construction Bourgogne Franche-Comté (Unicem).

Cinq ans après la parution du Livre Blanc 2030 de la filière, des quatre scénarios examinés, il apparaît qu'une croissance économique n'est pas suffisante sans politique industrielle forte pour accompagner la filière. Le scénario le plus prévisible en 2017 devrait en effet ressembler au scénario n°3 de l'étude :

Reprise de la demande économique, mais :


  • Commande publique atone (pendant la campagne présidentielle),
  • Politique environnementale forte et hausse du coût du CO2,
  • Diminution de l'accès à la ressource, notamment les carrières de granulats. 
  • En termes d'emploi, l'embellie prévue en 2017 devrait générer la création d'emplois en Bourgogne Franche-Comté, liée à la fois à une légère croissance et à la mise en place de nouveaux métiers dans le cadre de l'économie circulaire. 


12 propositions d'actions présentées en Bourgogne Franche-Comté 

Le 23 février prochain, l'Unicem présentera aux pouvoirs publics un premier bilan des actions déjà mises en œuvre pour préserver la filière et préparer les conditions d'une reprise de la croissance. Et ce n'est pas tout. Douze propositions d'actions seront proposées dont plusieurs concernent la région Bourgogne Franche-Comté.

Source: Macommuneinfo

14/02/2017

Social Housing becomes a firm focus for Wienerberger

In a bid to support government targets to help with the sustainable supply of best value social housing, Wienerberger has announced a significant investment into this sector across the UK.

The outlay sees the manufacturer venturing into the social housing sector, with the appointment of a new social housing team. Heading up the division is John Harris, national sales manager, who offers a wealth of product and regional knowledge as a result of 30 years’ industry experience, 15 of which are with Wienerberger’s Sandtoft Roof Tiles.

Working with Mr Harris, business development manager John Christopher, and business development manager Mark Mayatt also join the team. Mr Christopher will be utilising his 25 years’ experience to assist in providing technical expertise across social housing in the North and Midlands. Mr Mayatt is based in London and brings 30 years’ experience in the sector – providing the new team with national coverage.

Discussing the impact that the new investment will have on the sector, Mr Christopher said: “Quality social housing design and provision is vital to ensure we are offering the best long term value to both providers and their customers/tenants. By setting up a specialist arm, Wienerberger is working to address this and act as a consultant for the sector. We want to set a newbuild standard that focuses on improving quality of the built environment and the lives of social housing tenants.

“Creating a social team of specialists is key to making this happen and compliments our existing efforts to deliver a more sustainable and accessible future for housing, via innovations such our industry acclaimed e4 house. Our new team will take time to really understand the needs of this industry, by working in partnership with associations to deliver long-term value and assurance - helping to deliver a new vision for social housing.”

Source Buildersmerchantsnews

13/02/2017

Xavier Janin nouveau directeur général France d’Eternit France

Xavier Janin a rejoint Eternit France, filiale du groupe ETEX. Il est nommé au poste de directeur Toiture Etex Europe de l'Ouest et Directeur Général Eternit France. Il a en charge d’impulser une nouvelle dynamique à ce spécialiste des produits de toiture en fibro-ciment. Eternit, dont le nom est presque centenaire, est un spécialiste des produits de couverture, de bardage et d’autres produits pour le bâtiment, tous en fibro-ciment.

Xavier Janin, ingénieur de Centrale Paris, a débuté sa carrière chez Dalkia, puis comme consultant chez McKinsey. Il a ensuite rejoint le groupe Lafarge, où il a assumé un poste de directeur régional des ventes, et découvert les métiers de la couverture à cette occasion. Il a ensuite donné un tournant international à sa carrière en prenant en charge successivement en Inde puis en Malaisie le développement de Braas-Monier, la nouvelle société issue de Lafarge Couverture, et ce pendant plus de 6 ans.
Il a ensuite pris la responsabilité commerciale de la zone Europe du sud pour Armstrong Ceilings, spécialiste des plafonds acoustiques.
Il a quitté les domaines du toit et du plafond pour rejoindre Xylem, un spécialiste de la gestion de l’eau.

Chez Eternit France, Xavier Janin va devoir relevé le défi d’accélérer la croissance de la société, dans le contexte d’un marché de la couverture qui a été relativement déprimé ces dernières années, à l’image du marché du bâtiment. S’ajoute à cela le fait que la part de l’amélioration-entretien, autrement dit la rénovation, ne sera pas la partie la plus dynamique du marché en 2017 (cf. chiffres de la FFB).

Néanmoins Xavier Janin fait preuve d’optimisme et de volontarisme. « Avec une équipe de direction renforcée, Eternit France est au cœur de la nouvelle division toiture récemment créée au sein du groupe Etex. Avec l'ambition dès 2017, d'améliorer notre offre de services clients, d'apporter de nouveaux produits et de proposer des solutions de toiture complètes, Eternit France veut conforter sa position de leader sur les marchés agricoles et résidentiels. Cet objectif s'appuie sur la stratégie et les valeurs du groupe Etex... »

A propos d’Eternit 

Membre du Groupe Belge ETEX, ETERNIT France développe des systèmes de construction innovants et performants pour la toiture, la façade et l'aménagement intérieur. Au travers de ses différentes gammes, ETERNIT France apporte des solutions à l'ensemble des marchés, résidentiel, tertiaire, agricole et travaux publics, en veillant à adapter ses produits et solutions aux particularités de chacun. 

Source Batiweb

LINGL AU SALON BATIMATEC 2017 – UN DES SALONS LES PLUS IMPORTANTS DANS CETTE ANNÉE


L’entreprise allemande Hans LINGL Anlagenbau und Verfahrenstechnik GmbH & Co. KG sera présente avec ses produits et sa nouvelle filiale de service „SARL Lingl Algeria“ au salon BATIMATEC de cette année du 23 au 27 avril 2017. LINGL est l’un des premiers fabricants de machines et d’installations d’envergure internationale et propose des solutions et un savoir-faire très développé autour de la chaîne de valorisation de la production céramique.


Le thème principal de LINGL au salon sera des projets avec des machines et des installations ainsi que des solutions techniques développées spécialement pour l’industrie algérienne de la céramique du bâtiment. Celles-ci comprennent notamment des concepts d’installation innovateurs pour la production efficace des briques comme par exemple réalisé dans la Briqueterie Tidjelabine récemment inaugurée. L’usine compte parmi les plus grandes lignes de production installées en Algérie et est équipée d’un séchoir rapide en forme de U séchant les briques en seulement 3 heures. Ce concept d’usine mis en pratique pour la première fois est peu encombrant et très économique – toutes les machines de manutention sont centralisées de sorte que toute la production peut être contrôlée par deux personnes pour l’essentiel.


En outre, LINGL présentera ses prestations de service élargies aux visiteurs du salon BATIMATEC. L’Algérie compte parmi les marchés les plus importants pour LINGL. C’est pour cette raison que l’entreprise a récemment étendu son réseau de service en fondant une filiale de service locale, „SARL Lingl Algeria“. L’accent sera mis sur l’approvisionnement rapide et facile des clients en pièces de rechange et d’usure ainsi que sur le traitement des interventions de service incluant entre autres la maintenance des robots et des installations, le dépannage et la formation.

Source LINGL

12/02/2017

TECAUMA: un véritable savoir-faire reconnu en manutention de produits céramiques (terres cuites)

LA SOCIÉTÉ

Le métier de TECAUMA est la conception, la fabrication, l'assemblage et la mise en route de lignes de production automatique et d'équipements de manutentions pour différents secteurs d'activités et principalement le bois, la menuiserie industrielle, la terre cuite, le béton et l'agroalimentaire.
Fort de ces diversifications et d'un savoir-faire reconnu, TECAUMA a la capacité de proposer des lignes ou équipements pour d'autres secteurs d'activités.
TECAUMA possède aussi une réelle expertise en cellules robotisées qui lui a déjà permis de mettre en oeuvre ces solutions dans de nombreux secteurs d'activités avec des contraintes de cadence et de précision très élevées.
L'ensemble des solutions développées par TECAUMA répond efficacement à des problématiques de production, de productivité, d'ergonomie et de sécurité.
Dès la conception, les contraintes de maintenance des équipements sont intégrées dans la réflexion et assurent aux clients, l'intégration de composants de marques notoirement connues et des coûts d'entretien limités.

L'ORGANISATION


Le Système de Management Qualité de TECAUMA est certifié AFAQ ISO 9001.
L'entreprise TECAUMA a un effectif de 65 personnes, qui se consacrent pour moitié à l'ingénierie et pour moitié à la réalisation.
Dès la phase de consultation, TECAUMA établit une offre détaillée et précise des équipements qu'elle conseille et qui répond intégralement aux spécificités techniques du produit à manutentionner et aux performances attendues par le client.
Les équipements sont ensuite réalisés selon le cahier des charges établi lors de la consultation. De la commande à la mise en production, l'un de nos chefs de projet devient l'interlocuteur unique du client. Il lui assure une qualité de prestations, une réactivité et un respect des délais qui sont les valeurs essentielles de l'entreprise.
Tous nos équipements sont montés et essayés dans nos halls d'assemblage d'une surface de 6 000 m². Une réception interne avec le client garantit la conformité et la qualité des projets avant livraison. Après livraison, notre service après-vente réactif répond efficacement à vos besoins de pièces de rechange, maintenance et dépannage.
Pour vous assurer cette qualité de prestation, TECAUMA s'appuie sur : Une équipe de techniciens et d'ingénieurs expérimentés, Une capacité d'adaptation pour proposer à ses clients, des solutions sur mesure, Un Service Après-Vente reconnu pour son efficacité.

PLUS DE 30 ANNÉES D'EXPÉRIENCE...

Fondée en 1977, par M. Gérard HERBRETEAU, l'entreprise a toujours cultivé une diversification dans les secteurs d'activités lui permettant ainsi d'apprendre, et de se constituer un véritable savoir-faire dans la manutention et les process de ses clients. TECAUMA possède aujourd'hui un large parc installé dans de nombreux secteurs d'activités en France et à l'étranger. Ces lignes et équipements sont largement reconnus pour leur fiabilité et leurs performances.
Pour conforter sa position, TECAUMA innove dans de nouveaux équipements pour anticiper les évolutions des produits et les process de fabrication. De nombreux brevets ont déja été déposés.

En France et à l'étranger, TECAUMA est l'acteur de nombreux projets de référence qui permettent de proposer à ses clients des solutions largement éprouvées.

Source TECAUMA
   

11/02/2017

Des briques écologiques pour lutter contre la déforestation au Sud-Kivu en RDC

Benjamin Kamulete, l’initiateur de la fabrication des briques écologiques, poste avec quelques jeunes qu'il a initiés dans la production des briques écologiques, à Bukavu, Sud-Kivu, 2 janvier 2017. (VOA/ Ernest Muhero)

Ce briques sont l’œuvre de l’organisation "Vision paysanne pour le développement " dont le coordonnateur Benjamin Kamulete a reçu fin 2016 le prix initiative climat à  la COP22 à Marrakech.
La frange de la société civile du Sud-Kivu dite environnementale appelle la population et l’Etat congolais à s’approprier cette innovation.

Il s’agit d’une alternative à la brique cuite produite en quantité industrielle au Sud-Kivu avec pour conséquence la destruction d’au moins 10 hectares de forêt chaque mois.

Des jeunes en train de fabriquer des briques écologiques, à Bukavu, Sud-Kivu, 2 janvier 2017. (VOA/ Ernest Muhero)

"Ce qu’il faut seulement reprocher à l’utilisation de la brique cuite, c’est le déboisement massif. Si vraiment nous avons quelque chose qui peut remplacer la brique cuite et qu’on nous propose une brique écologique, je pense que c’est à encourager. Il faut même demander au gouvernement d’encourager cette initiative", déclare l’ingénieur en bâtiment et travaux publics, Requin Balyahamwabo qui construit voilà plus de 20 ans des bâtisses à Bukavu.

Selon lui, le besoin de construction est encore énorme dans la ville mais la brique cuite utilisée à de sérieux inconvénients.

"Chez nous, il y a un grand taux de déforestation suite à la production des briques, c’est la raison pourquoi j’ai commencé ma lutte consistant à produire des briques écologiques afin de protéger la forêt congolaise", explique Benjamin Kamulete, l’initiateur de la fabrication des briques écologiques, seul lauréat Congolais du prix initiative climat à la COP 22 au Maroc explique son innovation.

"Ces briques écologiques, nous les produisons sans combustibles, sans couper le bois, sans utiliser des biches. La matière première, c’est l’argile. Nous utilisons les ressources que nous avons. L’ombrage et le soleil suffisent pour produire la brique écologique. Nous y ajoutons quelque ciment et un peu de sable", précise-t-il.

La société civile environnementale du Sud-Kivu envisage de vulgariser cette technologie.

"Nous allons vulgariser cette initiative car la forêt congolaise est menacée avec la flambée démographique. Il faut que les acteurs internationaux viennent à l’appui et en accompagnement parce que la forêt congolaise contribue globalement à la question de stabilisation climatique", déclare Josué Aruna, coordonnateur de la société civile environnementale.

Benjamin Kamulete reçoit le trophée initiative climat pendant la COP 22 au Maroc. Photo non datée.

Selon une étude de l’auteur de l’initiative, la production des briques cuites épargne au moins 200 arbres qui devraient être coupés par mois pour la fabrication des briques cuites. Elle contribue énormément à la réduction de taux de déforestation de10 hectares par mois.

M. Kamulete regrette cependant la faible motivation et le peu d’engagement de la jeunesse dans cette entreprise.

"Mon rêve est de voir toutes les maisons du monde construites désormais avec de la brique écologique", laisse-t-il entendre.

A ces jours, il produit une cinquantaine de briques par jour mais il estime avoir la capacité 500 avec suffisamment de moyens.

Source VOAfrique un reportage d’Ernest Muhero à Bukavu

10/02/2017

Australia - BORAL Bricks might expand in Augusta as Meridian

Bricks are fired in the kiln at the Boral Bricks plant in east Augusta in this file image. The company, which merged with another brick maker late last year, was renamed Meridian Brick last month.

Workers load a truck with bricks at the Boral Bricks facility in Augusta in this file image. The company merged with another brick manufacturer and was renamed Meridian Brick last month. STAFF/FILE
The recent merger between suburban Atlanta-based Boral Bricks and Charlotte, N.C.-based Forterra Brick could have resulted in the new company moving more than 65 white-collar jobs out of Augusta.

But on Wednesday, the chief executive of the merged company said the quality and stability of its Augusta employees caused the company to seek reductions in its “back office” operations in Charlotte instead.

“We have a lot of long-term, tenured employees who know our business and our customers there in Augusta,” Meridian Brick LLC CEO Paul Samples said in a telephone interview . “We have a very stable workforce in Augusta. Once we find the right employee, that relationship usually lasts for decades.”

Under Boral, the company’s Augusta office on Doug Barnard Parkway oversaw all North American administrative operations, such as payroll, benefits and accounts payable and receivable. Forterra’s Charlotte office performed similar functions for that company.

Samples said the merged company, renamed Meridian last month, studied consolidating the offices in Roswell, Ga., but decided it was not worth disrupting the smooth-running local operation.

“We were very hesitant to unplug all that experience and rebuild it somewhere else,” said Samples, who started with the company more than 30 years ago as a customer service representative in the Augusta operations Boral acquired from Merry Brothers in 1981.

Samples said the Boral-Forterra merger, which creates North America’s largest brick manufacturer, could lead to additional employment in the Augusta administrative office as well as its east Augusta brick manufacturing plant, where 40 employees produce about 120 million clay bricks per year.

Brick production declined during the past recession as homebuilders shifting production to more “affordable” housing. However, Samples said the Augusta plant is so efficient compared to many of Meridan’s 27 sites in the U.S. and Canada that it might add a second shift, which would essentially double employment.

“I think we’ll see utilization of the Augusta operation increase,” Samples said.

Meridian also operates a Boral retail showroom on Belair Frontage Road. He said Boral signs at all company locations will be changed to Meridian in the coming months.

Source Augusta Chronicle by Reach Damon Cline

09/02/2017

Exposition : "Matériaux et savoir-faire de l'architecture traditionnelle du Tarn" à Albi

Derniers jours pour découvrir le Tarn à travers un autre regard... Exposition Matériaux et savoir-faire de l’architecture traditionnelle dans le Tarn au CAUE jusqu’au 10 février.

Franchissez la porte et découvrez le patrimoine tarnais à travers la variété de ses matériaux de construction et leur mise en œuvre ! Le pisé, les briques de terre crue, de terre cuite… les maisons en pan-debois et leur étonnant système constructif… la pierre et ses variétés de couleurs .. ; l’ardoise, utilisée en couverture, mais pas uniquement…
Autant d’ambiances et de tonalités issues des matériaux prélevés sur place qui caractérisent notre territoire et sa diversité.

Une exposition ouverte à tous, une sensibilisation pour petits et grands à ce qui nous entoure, à notre patrimoine et à notre territoire.
L’occasion de consulter également les ouvrages produits ou proposés par le Conseil d’Architecture d’urbanisme et de l’Environnement dont la mission première est la sensibilisation à la qualité architecturale et au cadre de vie.

Le CAUE et ses chargés de mission, architectes, urbanistes, paysagistes, conseiller en maîtrise de l’énergie seront heureux à cette occasion de vous accueillir et de vous présenter le programme annuel de manifestations et d’actions du CAUE organisées dans le cadre des 40 ans de la Loi sur l’architecture et de la naissance des CAUE.

• Exposition CAUE du Tarn - 1 rue de Jarlard, Albi. Entrée libre. Du lundi au vendredi, de 9h à 12h30 et de 14h à 18h. Samedi et Dimanche, de 14h à 18h. Visite libre tous les matins en semaine, de 9h à 12h.

Source : CAUE du Tarn -  Le Tarn Libre

La Ceramatech offre une perspective positive du marché

Cette année, KELLER a pour la première fois participé au salon Ceramatech de Moscou. Les visages satisfaits de tous les participants montrent que la décision prise de se plonger dès le début de l'année dans les préparatifs du salon de la capitale russe était la bonne.

« Nous nous sommes longtemps demandés si KELLER devait tourner le dos à la Mosbuild et plutôt se présenter à la Ceramatech dans le cadre du salon de construction OCM » explique Kim Bendick, le responsable des relations publiques du constructeur renommé de machines & installations basé à Ibbenbüren-Laggenbeck. « L’incroyable écho des quatre derniers jours est une preuve plus que convaincante que nous avons pris la bonne décision en choisissant de changer.  Le salon a offert une perspective positive du marché ! »

Les deux collègues du service commercial Torsten Bärtels et Björn Braukmann, responsables depuis des années du marché russe depuis Laggenbeck, partagent aussi cet avis. « Notre stand était toujours très fréquenté que ce soit par des clients de longue date ou par de nouveaux prospects du secteur de la terre cuite. Les notes d’entretiens de la Ceramatech 2017  contiennent diverses demandes pour des machines individuelles ainsi que des extensions d’usine, sans compter les nombreux compliments de clients satisfaits. Le creux de la vague semble surmonté, le marché russe se remet lentement en marche », se réjouit Torsten Bärtels.

Le directeur commercial régional est particulièrement fier que les usines réalisées par KELLER aient toujours produit en continu même en temps de crise économique. « Des spécialistes du secteur nous ont raconté que beaucoup d’usines d’autres fournisseurs ont dû fermer. Grâce à la haute qualité des produits issus de nos machines et installations ainsi qu’à l’excellent service fourni à nos clients russes par notre bureau de Moscou, elles ont toutefois réussi à bien surmonter les années de crise. Il n’y a pas meilleure publicité… », conclut T. Bärtels.

Source KELLER HCW

08/02/2017

Solumix conçoit une poudre isolante multi-usage

Fondée sur un brevet d’Air liquide, la poudre isolante multi-usage de Solumix a été mise au point dans les usines de l’industriel, en partenariat avec le laboratoire SPCTS de Limoges (Haute-Vienne). Sa formulation et son process, qui s’apparentent à la synthèse hydrothermale, phénomène observé lors de la cristallisation naturelle des minéraux, sont à l’origine de sa structure isolante autoporteuse, de sa forte adhérence à la brique et de sa résistance à la compression. "Solumix est léger, ininflammable et respirant.
L’opportunité
Solumix répond à la réglementation thermique RT 2012. Ne dégageant ni fumée ni gaz toxique, il résiste au feu, en accord avec les normes Euroclasses 2013.
Des débouchés sont possibles dans de multiples applications, notamment pour de nouvelles solutions de construction tout en un comme élément porteur isolant et de décoration", précise le cogérant Richard Gaignon.
Après deux ans de développement, il a créé en novembre 2013 avec Christophe Chaput, ingénieur céramiste comme lui, son entreprise au Palais-sur-Vienne (Haute-Vienne). Ils ont recruté en janvier un jeune diplômé de l’École nationale supérieure de céramique industrielle, chargé de la R&D, puis un ingénieur confirmé. Une levée de fonds de 600 000 euros doit permettre d’installer une ligne pilote en mai. Sont entrés au capital Aliad, un fonds d’investissement d’Air liquide, Grand Sud Ouest, filiale du Crédit agricole, Céric Technologies et le holding Orion Industrie des deux associés, qui détiennent 20% du capital. "Nous allons fabriquer des produits de démonstration en utilisant le bois, le métal et la brique. Une fois les certifications obtenues, nous vendrons la poudre aux fabricants de matériaux de construction qui l’intégreront à leur ligne de production, et nous fabriquerons aussi des produits façonnés avec des formes spéciales." L’ambition de Solumix dans cinq ans : 20 millions d’euros de chiffre d’affaires et un effectif de 15 à 20 salariés.
L’innovation
Solumix est un composant multifonctions (isolant, structurel, cohésif) qui se présente sous la forme d’une poudre 100% naturelle composée de silice, de chaux et d’eau. Incorporé à la brique, il renforce les propriétés de la terre cuite. Il permet aux briquetiers d’anticiper les nouvelles réglementations.
Source L'Usine Nouvelle par Corinne Mérigaud

07/02/2017

Systèmes de stockage d'électricité solaire : les solutions se multiplient

Avec l'arrivée prochaine du texte sur l'autoconsommation, les entreprises se placent sur ce marché qui doit exploser dans les prochaines années. Pour faire face à Tesla et à son Powerwall, des industriels européens fourbissent leurs armes, à l'image de Terreal ou de Solarwatt.

Les Français ont hâte de pouvoir consommer leur propre électricité, produite sur leur toiture. A en croire les sondages réalisés par OpinionWay pour Qualit'EnR ou Enerplan, 78 % des personnes interrogées souhaitent couvrir leurs besoins énergétiques par leurs propres moyens et 47 % d'entre elles sont prêtes à investir pour parvenir à l'autonomie totale (15 %) ou à un certain degré d'autonomie (32 %). André Joffre, président de Qualit'EnR, déclarait, voilà quelques jours : "L'autoconsommation est en cours d'examen au Sénat et à l'Assemblée nationale. On aura enfin un cadre juridique qui sortira ce statut du no man's land juridique où il se trouve". Une tendance forte qui entraîne un développement rapide de solutions de stockage domestique d'électricité.

Plusieurs industriels ont présenté, en 2015 et 2016, des systèmes destinés à pouvoir consommer en soirée, l'électricité photovoltaïque produite en journée. L'annonce de Tesla et de son Powerwall avait fait grand bruit. L'industriel américain propose aujourd'hui la version 2 de ce produit au design sobre et élégant, d'une capacité unitaire de 14 kWh (deux fois plus que la version 1), contre un chèque de 6.300 € (plus 1.650 € de pose). Un tarif finalement équivalent à ceux des solutions concurrentes, dont celle développée en Allemagne par Solarwatt : MyReserve.

Sylvia Lamaty, la directrice générale de Solarwatt France, détaille : "Cette unité de stockage électrique a bénéficié de la R&D interne, faite près de Cologne, pour développer le système de batterie". La technologie choisie ? Des modules lithium-ion, comme pour ses concurrents. En France, la société a déjà installé une dizaine de systèmes pilotes dans différentes régions (Dijon, Clermont-Ferrand, Toulouse, etc.) d'une capacité de 4,4 kWh, suffisant pour stocker l'énergie produite par des capteurs solaires de 3 kWc (soit 16 à 20 m² de panneaux). "L'objectif est de maximiser sa consommation d'électricité photovoltaïque produite", précise-t-elle. Pour y parvenir, le spécialiste allemand met l'accent sur le système de gestion, un composant critique dans le cas des batteries lithium-ion. "Il faut bien maîtriser cette technologie car c'est important pour la sécurité d'un équipement qui va finir chez les particuliers", souligne la directrice générale. De même, l'interface avec l'utilisateur final est comprise dans l'offre, apportant un outil de pilotage à distance (via smartphone ou tablette) ainsi qu'un outil de visualisation de la production, de la courbe de charge des batteries et de la consommation. La marque allemande promet un taux de couverture des consommations de l'ordre de 80 %, pour les installations les plus optimisées. "Sur des besoins électriques moyens de 4.500 kWh/an pour un ménage de quatre personnes, il sera possible de couvrir 3.800 kWh", avance Solarwatt.

Des systèmes aux capacités très variées


"Le modèle MR 500 est facilement installé, puisqu'une personne suffit avec une journée de travail au maximum", assure Sylvia Lamaty. Le boîtier, lui aussi design, mesure 1 mètre de haut sur 75 cm de large et 31 cm de profondeur, pour un poids total de 75 kg. Des chiffres supérieurs à ceux d'une autre solution de stockage, celle développée par Terreal, Storelio, dont le système tient dans un bloc de 60 cm de haut, par 53 cm de large et 28,4 cm de profondeur pour 55 à 65 kg de masse. Mais pour une bonne raison : les capacités sont, elles aussi, inférieures. Deux modèles sont ici proposés, la série 1000, d'une capacité de stockage de 1 kWh (pour une puissance photovoltaïque recommandée de seulement 1,5 kWc) ou de 2 kWh (pour 2,25 kWc de puissance PV). La société Terreal explique que le coffret mural compact contient tous les composants, pré-raccordés et pré-programmés en usine, et que la batterie lithium-FePO4, "couvrira en moyenne 50 % des besoins en électricité d'un foyer de quatre personnes".


Le tout est donc de bien dimensionner le système, selon la puissance de son installation en toiture et selon ses besoins en courant électrique. La directrice générale de Solarwatt explique : "Un configurateur oblige l'installateur à se poser les bonnes questions pour proposer une solution adaptée". Car la firme allemande propose un modèle supérieur, MR 800, d'une capacité de 8,8 kWh, destiné à stocker la production de centrales solaires de 9 kWc environ. Et ce modèle est modulaire, tout comme le Powerpack de Tesla, lui-même destiné au petit collectif ou aux bâtiments tertiaires. A l'autre extrémité, Solarwatt a déjà écoulé, principalement outre-Rhin, 2.000 unités d'un système de stockage plus réduit, de 2,2 kWh de capacité, qui ne couvre qu'en partie la demande d'autoconsommation d'une maison. Sylvia Lamaty espère que 200 systèmes MR 500 seront vendus en France en 2017, au prix unitaire d'environ 6.000 € (hors pose). La société privilégie un réseau d'installateurs formés, dont 40 ont déjà suivi la formation maison.

Côté durée de vie, les trois fabricants proposent une garantie de 10 ans sur les batteries, qui doivent être recyclables. Une période largement suffisante pour rentabiliser l'ensemble, à en croire la directrice générale de Solarwatt France : "La rentabilité sera rapide si les mesures d'encouragement à l'autoconsommation sont prises". Elle conclut : "La France est un marché très réglementé : nous attendons avec impatience le texte sur l'autoconsommation. Nous sommes dans les starting-blocks mais, pour l'heure, les conditions du marché ne sont pas encore clairement définies". Il est donc urgent d'attendre avant de se lancer dans cet investissement qui reste pour l'instant, l'apanage de quelques "early adopters". La preuve, le Powerwall 2 de Tesla, qui ne sera livré qu'à l'été 2017, est en pré-commande contre un chèque d'acompte de 450 €… Alors, le stockage d'électricité, phénomène de mode ou futur de la consommation ?

Source Batiactu par Grégoire Noble

06/02/2017

MONIER - CLIMA COMFORT, RECOMMANDÉ PAR LES PROFESSIONNELS DU BTP

La solution d'isolation de toiture par l'extérieur CLIMA COMFORT® a obtenu le label "Recommandé par les professionnels du BTP" lors de l'édition annuelle de l'Election des Produits du BTP. Cette distinction fait suite à une grande enquête menée auprès des entreprises et des prescripteurs de la construction. C'est un signe de reconnaissance pour Monier qui s'engage depuis des années pour des solutions d'isolation de toiture performantes.


A propos 


L' Election des Produits du BTP est organisée par SAGERET, en partenariat avec Fichiers-BTP et la SMABTP. Pour la 5ème année consécutive, l' Election des Produits du BTP vise à récompenser les produits et les matériaux les plus remarquables du bâtiment et des travaux publics. L'événement repose sur une grande consultation en ligne menée auprès des entreprises et des prescripteurs de la construction

Source Monier

05/02/2017

L’Ensil et l’Ensci fusionnent à Limoges, mais ça change quoi ?

Depuis le 1er janvier 2017, les écoles d’ingénieurs Ensil (Ecole nationale supérieure d’ingénieurs de Limoges) et Ensci, spécialisée en céramique industrielle, de Limoges, ne font plus qu’une. À la clé pour les étudiants, des cursus plus personnalisés, plus d’opportunités de stages, plus de passerelles entre spécialités… en attendant une formation ingénieur en apprentissage.

Les deux écoles d’ingénieurs de Limoges l’Ensil (Ecole nationale supérieure d’ingénieurs de Limoges) et l’Ensci, spécialisée en céramique industrielle), ont donné naissance, le 1er janvier 2017, à une nouvelle école d’ingénieurs Ensil-Ensci. Le rapprochement administratif et financier est effectif mais la fusion des deux entités n'entrera en vigueur pour les étudiants qu'à la rentrée. Cette fusion positionnera l’Ensil-Ensci comme l’une des plus importantes écoles d’ingénieurs de l’Hexagone avec 730 étudiants et 80 enseignants-chercheurs, la moyenne se situant entre 500 et 600 inscrits. Basée sur la technopole ESTER à Limoge (Haute-Vienne), l’école va offrir un cursus unique en cinq ans dans ses cinq spécialités : eau et environnement, électronique et télécommunications, matériaux, mécatronique et céramique industrielle.

Un cursus unique et cinq spécialités

Ce rapprochement permet d’élargir le choix des cursus et de multiplier les synergies et passerelles entre ces disciplines. L’élève-ingénieur accédera plus facilement à des parcours individualisés et profitera d’une offre plus large en matière de stages et de mobilité internationale, ce que confirme le directeur Patrick Leprat. "Cette fusion permettra d’avoir une meilleure visibilité à Limoges, nous avions déjà une proximité géographique et des spécialités proches, à savoir matériaux à l’ENSIL et céramique industrielle à l’ENSCI qui relèvent du même laboratoire de recherche le SPCTS, même si les deux écoles forment des ingénieurs aux compétences différentes. Le second intérêt est de grossir et d’avoir une visibilité nationale et internationale. Pour les étudiants, l’école propose désormais cinq départements diplômants et la possibilité de développer davantage de compétences à l’interface de leur discipline, l’objectif étant qu’un étudiant d’un département puisse suivre un module d’un autre. Nous le faisions déjà l’ENSIL mais, avec cette fusion, nous allons accroître cette interdisciplinarité"

Des stages sur les cinq continents

La nouvelle école va également proposer une offre accrue en termes de mobilité internationale, en additionnant ces partenariats respectifs. "L’Ensci proposait déjà 30 à 40 possibilités de stages ou de formation d’un semestre à l’étranger et l’ENSIL en offrait une soixantaine. Aujourd’hui, les étudiants peuvent se rendre sur les cinq continents, promet le directeur. Enfin, à terme, l’objectif est d’accroître nos effectifs sur certains diplômes où des besoins forts existent au niveau des entreprises et de développer de nouvelles spécialités en formation initiale. Enfin, nous avons de très fortes demandes dans les secteurs de l’électronique et de la mécatronique pour former des ingénieurs en apprentissage, ce sera l’un de nos objectifs pour les trois ans à venir."

Source L'Usine Nouvelle par  CORINNE MÉRIGAUD 

04/02/2017

La collection " Pasquier " prend ses quartiers à la Fabrique

Retardée par les inondations, l’exposition de céramiques s’installe à la Fabrique Normant. La compagne du donateur a constaté l’avancée du chantier.
J'étais très émue quand je suis arrivée. Il aurait été tellement content. Michel Pasquier n'aurait gardé aucun souvenir du moment s'il avait pu le savourer. Et pourtant, après 25 années de passion pour les briques, tuiles et autres céramiques architecturales de toutes origines, nul doute que le lieu d'exposition qui est en train de voir le jour dans les murs de la Fabrique Normant aurait été du goût du collectionneur acharné. Sa compagne, Monique Leroux, était, elle, bien présente et aux premières loges mardi pour assister à la mise en place de l'exposition « cérabrique » que Michel Pasquier a léguée à la municipalité de Romorantin.
Depuis le mois de décembre, l'équipe du Musée de Sologne s'y affaire de manière quasiment permanente. A commencer par Julie Brossier-Duclos, la responsable de la collection, qui a inventorié et étiqueté l'ensemble des 7.000 pièces sur la propriété du collectionneur de Cour-Cheverny il y a quelques années.
" Toucher un autre public "
L'assistante de conservation romorantinaise a imaginé la muséographie du nouveau lieu, au gré des 150 m linéaires de vitrines spécialement conçues par la société Atelier Duo (Indre) pour accueillir les quelque 1.000 pièces machines et autres éléments décoratifs sélectionnés pour l'exposition permanente. Sans oublier les plus de 2.000 briques estampillées qui ont d'ores et déjà gagné le bas des vitrines de la Fabrique Normant. « Ça lui tenait vraiment à cœur qu'on puisse les voir », apprécie Monique Leroux en visitant les lieux. Et la compagne du collectionneur de prendre des nouvelles de telle ou telle céramique. A l'image de la « frise aux souris », que Michel Pasquier avait récupérée sur la maison de son concepteur Alexandre Bigot dans le Loir-et-Cher. « Certaines autres pièces sont parties à l'étranger, en Suisse ou aux États-Unis », explique Julie Brossier-Duclos engagée depuis le début du projet. « Moi ce qui me plaît, c'est que les personnes qui viendront ne sont pas là pour voir un musée. Elles viendront par exemple à un événement ou un concert, mais découvriront la collection par hasard. Ca va permettre de toucher un autre public », apprécie Monique Leroux, qui ne peut s'empêcher de faire le lien entre les pièces exposées et le lieu lui-même, le premier bâtiment Hennebique en béton armé, une histoire liée au céramiste Bigot. Retardée par les inondations du mois de juin, l'équipe du Musée de Sologne a encore du travail devant elle. Tête de lion Perrusson, épis de faîtage, reconstitution de fours à briques et autres presses à estampille seront présentés de manière « très didactique », avec quelques frises, éléments historiques et géographiques, volontairement grand public, explique Julie Brossier-Duclos, qui espère maintenant pouvoir lever le voile sur son exposition entre fin mars et début avril.
Source La Nouvelle République par Laurence Texier

03/02/2017

AUSTRALIA: Boral, Forterra announce Meridian Brick as name of new joint venture


Leading brick manufacturers merge to increase distribution footprint and product offerings

Mineral Wells' two brick plants are becoming Meridian Brick, the result of a joint venture of Boral Bricks and Forterra Brick. The picture shows the east plant, located on N.E. 14th Avenue.
   
Mineral Wells' two brick plants are getting a new name and leadership.

Boral Bricks and Forterra Brick, leading manufacturers and suppliers of sustainable building products and construction materials, recently announced the name of their joint venture, Meridian Brick.

Serving both United States and Canadian markets, Meridian Brick builds on the two companies' histories of innovation while uniting the strength and passion of their personnel to deliver a broader range of high-quality products and solutions as well as superior services and support across a larger network.

The new name, suggested by Debbie Brady, director of sales for Forterra Brick and 32-year industry veteran, speaks to the new direction the joint venture will take toward both performance gains and cost reductions.

Meridian is defined as a circle of constant longitude passing through a given place on the earth's surface. With the definition in mind, Brady added, "Meridian represents the joining of two companies, their people and the promise they bring to the future."

The new logo conveys the cornerstone of two companies merging into a unified, diverse structure focused on elevating the new brand while also communicating to the market-at-large the influence the combined presence delivers.

Customers, suppliers and employees will benefit from a stronger company created to deliver value and ensure long-term success. Meridian Brick will offer expanded commercial and residential brick offerings through the formation of a greater, more responsive plant network. Additionally, as a result of improved utilization of freight and distribution channels, Meridian Brick will be positioned to better meet the needs of an evolving market.

"Meridian Brick is a company centered on taking care of customers and providing our employees an environment and the tools to achieve Zero Harm in the workplace," said Paul Samples, CEO of Meridian Brick. "Our goal is to continue to manufacture clay brick and supply other high-quality durable cladding and components. We will continue to provide the service and support for which Boral and Forterra are known. This is an exciting time, and we look forward to building the Meridian brand and promoting the attributes of brick that support our message: "Be Bold. Be Brick."

To learn more about Meridian Brick and its portfolio of innovative solutions, visit meridianbrick.com.

Source PRNewswire by DAVID MAY

02/02/2017

Matériaux : une légère reprise sans surprise

A fin 2016, les matériaux de construction finissent modestement l’année en raison d’un premier semestre difficile rythmés par les grèves et les intempéries. Les granulats stagnent tandis que le BPE progresse légèrement.

Au mois de décembre 2016, les livraison de granulats ont augmenté de 0,5% mais baissé de 1,1% sur un an. On perçoit néanmoins un légrer redressement avec une augmentation de 1,8% des volumes entre le 3ème et le 4ème trimestre et de 1,6% sur un an. Sur l’ensemble de l’année 2016, les granulats stagnent à -0,3%.

Le BPE s’en sort honorablement en progression de 1,1% entre novembre et décembre mais fléchit de 0,5% sur un an. L’activité se stabilise au 4ème trimestre (+0,2%) mais gagne +2% par rapport à 2015. Au total, la production de BPE aura progressé de 1,8% en 2016.

L’indicateur matériaux se redresse de 1% sur l’année 2016.

Source Construction Cayola

01/02/2017

Reprise des déchets du bâtiment: les distributeurs de matériaux veulent être accompagnés

Les distributeurs et négociants de matériaux de construction appellent les pouvoirs publics et les collectivités à "accompagner les entreprises" du secteur, contraints depuis le 1er janvier, de reprendre les déchets issus des matériaux et produits qu'ils vendent.

Dans une décision publiée mardi, le Conseil constitutionnel a rejeté un recours de la Confédération française du commerce de gros (CGI) contre cette nouvelle obligation, découlant de la loi sur la transition énergétique.

Or "rien n'est prévu à ce jour pour accompagner les entreprises de la distribution professionnelle au bâtiment" qui doivent s'y conformer, déplore jeudi dans un communiqué le Comité de liaison de la distribution professionnelle au bâtiment (CLAB).

Pourtant le distributeur est appelé à s'organiser "en lien avec les pouvoirs publics et les collectivités compétentes", fait-il valoir.

Ces professionnels appellent "les pouvoirs publics et les collectivités à la responsabilité à l'endroit d'entreprises qui se retrouveront parfois dans l'incapacité matérielle de répondre à l'obligation".
Ils leur demandent de "réunir localement l'ensemble des acteurs, publics et privés, concernés (...) afin d'identifier clairement les besoins et d'impliquer tous les maillons de la chaîne".

Car "alors que certaines déchèteries publiques se ferment progressivement aux déchets de construction", les distributeurs de matériaux, "laissés seuls face à cette nouvelle obligation", sont "tenus d'assumer dans certains cas, non seulement la collecte mais également la gestion des déchets jusqu'à leur site de traitement".

Or cette reprise des déchets soulève "d'importantes questions", relatives à "la nature des déchets à reprendre, aux conditions de prise en charge de certains d'entre eux, parfois dangereux, de sécurisation des sites de reprise et de préservation de la santé de leurs salariés".

Le CLAB étudie le dépôt d'un référé, afin d'obtenir la suspension de cette obligation.

Source Lefigaro.fr 

31/01/2017

Imerys Toiture met l’accent sur l’environnement

Les palettes en bois représentent une part importante des déchets de chantier avec environ 60 millions de palettes non réutilisées. Imerys Toiture, fabricant français de tuile terre cuite et spécialiste en solutions pour toits et façades, met en place, en 2017, les palettes en bois réutilisables consignées.

En effet, les livraisons aux distributeurs des tuiles Imerys se feront dorénavant sur des palettes consignées renforcées, ce qui participera à la sauvegarde de 9 100 tonnes de bois.

Source Bati-journal

30/01/2017

Bouyer Leroux - Bio’bric : des voeux qui se veulent optimistes....

Le 19 janvier dernier, Roland Besnard, Président du groupe Bouyer Leroux, a convié les principaux clients, les directions des négoces ainsi que les prescripteurs parisiens du Groupe à bord de la péniche Le Maxim’s au pied de la Tour Eiffel pour les traditionnels vœux : une soirée conviviale qui a réuni un peu plus de 210 personnes.
En première partie de soirée, les échanges ont porté autour des nouveautés 2017 et la présentation des solutions et produits innovants aussi bien pour la maison individuelle que pour le logement collectif. Pour ces deux segments de marché, les 2 nouveautés lancées lors du salon Artibat, ont été présentées : la colle prête à l’emploi fix’bric, pour le montage à sec des briques rectifiées en maison individuelle, et la bgv’costo th+, la dernière-née de la gamme bgv en collectif qui affiche une résistance thermique de 1,50 m².K/W.
Puis Roland Besnard est intervenu en commençant par présenter les bons indicateurs qui confirment la reprise du marché de la construction neuve. Extrait de son discours « À fin octobre 2016, les autorisations de construire ont bondi de 14.8 % et s’élèvent sur 12 mois glissants à 442 500 unités. Sur cette même période, les mises en chantier de logements neufs ont atteint 376 800 unités, soit une croissance de 10.4 % par rapport à l’année précédente. Autre indicateur important, l’évolution des parts de marché de la brique en terre cuite dans le neuf. En dix ans, entre 2005 et 2015, elle est passée de 27,9 % à 41,7 % en maison individuelle ! Mais la croissance la plus spectaculaire concerne le marché du collectif où la brique en terre cuite affiche aujourd’hui près de 30 % de parts de marché contre seulement 5,4 % il y a dix ans ». « Toutes nos équipes industrielles, logistiques et commerciales sont mobilisées pour le déploiement de notre standard de qualité bio’bric pour les produits et services » se félicite le Président. « Il va vous apporter encore plus de qualité, de fiabilité et de satisfaction et nous permettre de renforcer notre collaboration ». Et de conclure « mon regard est donc tourné vers l’avenir avec confiance, ambition et détermination».
Autre temps fort de la soirée : un rendez-vous vidéo avec Jean LE CAM. « Le skippeur fait une course magnifique » souligne Roland Besnard. « Toute l’équipe Bouyer Leroux est avec le Roi Jean. Nous lui souhaitons de finir dans le Top 5 ! »
Un cocktail dînatoire a clôturé la soirée.
La marque phare du groupe Bouyer Leroux, Bio’bric, est leader national sur les marchés des briques de mur, briques de cloisons et conduits de fumée en terre cuite.

Source Cécile Roux 

29/01/2017

Ibstock group revenue up 5% in 2016

Company issues trading update ahead of preliminary results announcement for year ended 31 December 2016

IBSTOCK plc, manufacturers of clay bricks and concrete products with operations in the UK and the US, say the Group continued to trade as anticipated with adjusted EBITDA in line with expectations and Group revenue up 5% for the year ended 31 December 2016.

According to the company’s latest trading update, revenue from clay and concrete products in the UK, which represents approximately 80% of Group revenue, was up 2% for the full year, compared with 2015, reflecting low single-digit volume growth for clay bricks and further volume and price growth in the concrete businesses.


Meanwhile, revenue in the US was up 18% (4% at constant exchange rates) for the full year, compared with 2015, principally reflecting a combination of higher average prices and the benefits from a more favourable product and end-use sector mix.

During 2016 the Group progressed with the construction of an additional clay brick factory in Leicestershire, which will expand Ibstock’s UK clay brick capacity by around 13%. This project is currently making good progress and will commission in the second half of this year.

Installation of a new concrete roof tile line at the Leighton Buzzard facility was completed within budget and commissioning commenced during August 2016, adding around 5% to UK concrete roof tile market capacity.

Ibstock will announce their preliminary results for the year ended 31 December 2016 on 7 March 2017.

Source AGG Net

28/01/2017

JAPON - KOYO SEIGA: La manufacture de tuiles Ibushi à Himeji

Koyo Seiga est une fabrique japonaise de tuiles traditionnelles Ibushi localisée dans le quartier de Funatsu, au nord-est de Himeji dans la région du Kansai. En céramique et de couleur argentée, les toits "Ibushikawara" témoignent de l'héritage architectural du Japon à l'ère des châteaux et des seigneurs féodaux.
La préfecture de Hyogo abrite le fameux château de Himeji, l’un des rares monuments fortifiés du Japon ayant survécu aux incendies et aux guerres. Les grands travaux de rénovation effectués entre avril 2010 et mars 2015 permettent désormais aux visiteurs de profiter à nouveau de la blancheur divine de ses murs et de ses tuiles Ibushi aux reflets argentés, éclatantes au soleil.

Aujourd'hui, il ne reste qu’une des quarante manufactures Ibushikawara que comptait la ville de Himeji. C'est donc à Koyo Seiga, petite entreprise de dix employés créée dans les années 1920, que la tâche de fabriquer les tuiles pour la restauration du château a été confiée. 75.000 tuiles sur les 80.000 qu'il compte au total ont ainsi été remplacées.

Entre les matériaux naturels et la fabrication qui prend un mois et demi, la conception des Ibushi n'est pas compétitive face à la concurrence industrielle. Par le passé, les maisons étaient construites pour tenir dans la durée et par tous les temps, afin d'être transmises de père en fils. De nos jours, il n’est plus utile de prévoir des tuiles pouvant résister plus d’un siècle ; les industrielles construites pour une vingtaine d’années semblent suffisantes à la majorité des Japonais. Et c’est sans même parler de la demande en chute libre.

Fabrication artisanale
Koyo Seiga fabrique toutes ses tuiles de manière artisanale à partir d'une argile sélectionnée avec soin et qui, mélangée avec de l’eau, devient une pâte prête à être moulée. Une fois la forme de la tuile réalisée, il faut compter deux semaines de repos avant la cuisson. Contrairement à la majorité des potiers qui chauffent leurs tuiles pendant un à deux jours, ici le processus de cuisson prend quatre jours, avec une température du four atteignant 1.165°C. Le refroidissement, lui aussi naturel, intervient en fin de fabrication.

La cuisson puis le refroidissement assurent l’oxydation de la surface, ce qui donne ainsi à la tuile cette couleur argentée naturelle censée durer plus de cinquante ans. Les toits traditionnels de châteaux et temples japonais ne sont donc pas peints.

Durant le processus de cuisson, la taille des tuiles réduit de 4%. Le maître tuilier doit alors bien calculer ses moulures ; pour un monument classé par exemple, une simple erreur de plus de cinq millimètres impliquerait de tout recommencer !

Pour ceux qui restent plus d'une journée sur Himeji, la visite de l'entreprise peut valoir le détour pour son savoir-faire artisanal. Néanmoins, pour avoir les explications en anglais, il est indispensable de réserver à l'avance.

De plus, il est possible de se faire fabriquer gratuitement une tuile avec son empreinte de main. Celle-ci est ensuite exposée dans la rue devant Koyo Seiga ; une manière originale de laisser sa trace dans l'histoire du Japon.

Cette fiche de visite a été réalisée dans le cadre d'un séjour organisé et financé par l'Office du Tourisme de la préfecture.

Source KAMPAÏ

27/01/2017

Terreal va exploiter une nouvelle carrière à Chagny

D’ici fin 2018, Terreal ouvrira une nouvelle carrière dans la forêt de Chagny. Elle servira à alimenter l’usine Chagny 1.

La future carrière va servir à alimenter l’usine Terreal Chagny 1 d’ici la fin 2018.

Aujourd’hui, toute la terre alimentant les deux usines de fabrication de briques et tuiles de Terreal de Chagny est extraite sur le même site, à proximité de l’usine Chagny 2. « Ce qui reste à exploiter n’est plus compatible pour Chagny 1 », indique Jean-Sébastien Besset, directeur des sites.

Il a donc fallu trouver une solution pour permettre la poursuite de l’activité de l’usine historique et cela passe par l’exploitation d’une nouvelle carrière.

Une dizaine d’années d’exploitation

« C’est une question de propriétés de la terre. Avec le broyeur plus récent de Chagny 2, nous arrivons à utiliser une plus grande variété de terre. Le matériel de Chagny 1 est plus ancien et ne permet pas de faire disparaître tous les éléments organiques », précise le directeur. D’où la nécessité de trouver de la nouvelle terre. La mise en route de la carrière ne se fera pas tout de suite. Aucune date n’est encore définie chez Terreal, mais l’année 2018 paraît le plus probable. Quant à la durée de l’exploitation, elle est également difficile à estimer. « Ce sera au moins une dizaine d’années », termine Jean-Sébastien Besset. Il y a une cinquantaine d’hectares sur la parcelle. L’entreprise a déjà lancé toutes les procédures légales (enquête publique…) nécessaires pour entamer le chantier.

Source le Journal de Saône et Loire par Grégory Jacob

26/01/2017

Votre toit est peut-être fait avec les tuiles d'Imerys Toiture

Créée en 1981 sur le site d'une ancienne briqueterie, au coeur du pays de Bray, l'usine a produit plus de 180 000 tonnes de tuiles l'an passé. Avec deux maîtres-mots : qualité et innovation.
De l'eau, de la terre, du feu... et un savoir-faire éprouvé. Voilà presque entièrement révélés, les secrets de fabrication de la tuile en terre cuite chez Imerys Toiture, à Saint-Germer-de-Fly. Créée en 1981 sur le site d'une ancienne briqueterie, l'usine est la plus importante unité du groupe, qui est le leader français du secteur (43 % de parts de marché). C'est ici, au coeur du pays de Bray, terre bénie des potiers et des briquetiers pour son argile, que sont sorties 186 000 t de tuiles labellisées « made in France » l'an passé.
« Ce qui fait notamment la réputation de nos produits c'est leur résistance aussi bien mécanique que contre le gel, contre lequel ils sont garantis trente ans. On est dans le produit durable, pas dans l'obsolescence programmée », sourit François Dupety, directeur d'exploitation. Les 165 salariés du site s'emploient à défendre ce savoir-faire dans un secteur du bâtiment qui fait grise mine. « Le nombre de constructions est en baisse, le marché de la rénovation aussi », fait observer le directeur.

Galbée dans le sud, à côtes dans le nord, plutôt plate dans le centre... On retrouve la tuile de Saint-Germer-de-Fly, commercialisée par les négociants en matériaux, sur tous les toits de France. Elle s'exporte aussi. « L'Angleterre, c'est ce qui nous sauve aujourd'hui, car ça continue de construire là-bas. Ça marche aussi au Benelux et ça se développe bien en Chine. Notre tuile y est apparentée à un produit de luxe. »

Elle se décline en dix modèles et dix teintes, grâce à des pigments ajoutés à l'argile et céramisés. Elle suit aussi les modes dictées par les architectes, friands en ce moment de la couleur « argentique » évoquant l'ardoise.

L'accès à la matière première, le nerf de la guerre

« C'est un produit ancestral, certes, mais qui demande d'innover sans cesse, à la fois sur les plans esthétique et pratique. On travaille en partenariat avec les couvreurs pour faire émerger les nouvelles idées et on a un laboratoire à Limoges (Vienne) qui teste les produits. »

Directeur d'exploitation, François Dupety est aussi un chercheur d'or du XXIe siècle. L'une de ses principales et constantes préoccupations est en effet d'assurer l'accès à la matière première, argile rouge et verte et sable. « Il faut au minimum trente ans de réserve exploitable, j'en ai dix-sept aujourd'hui ».

L'usine dispose de cinq sites d'extraction dans quatre communes du Pays de Bray (Saint-Germer-de-Fly, Blacourt, Espaubourg et enfin Ons-en-Bray depuis 2015), mais il faut anticiper la fin de vie de certaines carrières en cherchant de nouveaux gisements, pour assurer la pérennité de l'entreprise. Un travail de longue haleine : les terrains récemment achetés par la société ne pourront être exploités que si le feu vert de l'administration est donné, au terme d'une procédure qui pourrait durer jusqu'à dix ans. Il faudra notamment donner aux élus concernés et aux riverains de la future carrière toutes les garanties de bonne gestion des nuisances générées par son exploitation.

Source Le Parisien par Corinne Fourcin

25/01/2017

Un moucharabieh en terre cuite TERREAL pour rafraîchir une école

L’agence Danièle Damon Architecte a imaginé des façades sur rue ajourées pour la conception des trois bâtiments du groupe scolaire Louise Michel à Aussone (31).
187 m2 de moucharabiehs en briques ont été érigés. Les façades en briques perforées filtrent les rayons du soleil et habillent le sol intérieur d’un damier lumineux plus ou moins marqué au fil du jour.

Conseillée par TERREAL, l’agence d’architecture a sélectionné des briques longues (40 cm) pour jouer sur l’horizontalité et la perspective.
Les joints noirs et en retrait des pièces renforcent le relief et la matérialité de la terre cuite.
Une ossature métallique a été aménagée pour garantir la solidité du mur.
Les briques ont été installées selon la technique du double mur afin d’assurer une inertie parfaite et un confort thermique exceptionnel.

  • Architecte : Agence Danièle DAMON Architecte
  • Maitre d’ouvrage : Mairie d’Aussonne
  • Installateur : Briqueteur réunis
  • Photo : Felix Faure

24/01/2017

Sébastien Botella, responsable de production Imerys Toiture: « Avec l'argile, on ne s'ennuie pas »

Des tuiles, Sébastien Botella, 46 ans, ne connaissait pas grand-chose au milieu des années 1990.
« J'avais fait un peu de couverture avec mon beau-frère maçon », se souvient-il. Ne trouvant pas de travail dans sa Marne natale avec sa formation en électrotechnique, Sébastien Botella arrive, début 1996, à Saint-Germer-de-Fly, en même temps qu'une vingtaine de jeunes titulaires du BTS. Tous sont recrutés par Imerys Toiture pour accompagner le développement d'une nouvelle unité de fabrication. L'opérateur est aujourd'hui responsable de production, véritable bras droit du directeur de la tuilerie.

« On favorise beaucoup la promotion interne ici », souligne François Dupety. Les deux hommes partagent la même passion pour le produit qu'il fabrique. « On part d'une matière première pour arriver au produit fini, précise le directeur. On a la chance d'être présent à chaque étape de la chaîne de production, du broyage de l'argile à la cuisson en passant par le pressage et le séchage de la tuile. Ce n'est pas le cas quand vous travaillez dans l'automobile. » « Ce n'est pas une science exacte l'argile, ce n'est jamais pareil, on ne s'ennuie pas », confirme Sébastien Botella. Le responsable de production ne demande qu'à partager son enthousiasme : il recherche des apprentis pour en faire des mécaniciens « maison ».

Source Le Parisien>Oise