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19/05/2017

De nouvelles utilisations pour la tuile terre cuite

Pour la troisième édition du concours La tuileterrecuite Architendance, les fabricants de tuile terre cuite de la FFTB (Fédération française des tuiles et briques) ont lancé un challenge de taille aux architectures : « mettre en avant la tuile de façon inattendue et originale en couverture ou façade ». Au final, sur les 81 dossiers envoyés, 7 ont été désignés lauréats par un jury de spécialistes. Tour d’horizon des projets les plus innovants et ambitieux.

« Les projets récompensés cette année ont un trait commun : ce qui a séduit l’ensemble du jury, c’est l’affirmation d’un geste architectural fort, engagé et qui soit en même temps un gage d’intégration dans un site et donc histoire », indiquait Dominique Tessier, président du jury, à l’occasion de la cérémonie de remise de prix du concours La tuileterrecuite Architendance.

« Cette édition 2016 illustre l’engagement des architectes français à réinventer les usages de la tuile et à tirer partie de toutes les possibilités offertes par la toiture en pente. Les lauréats ont su réinventer cette forme pour tirer partie de tous ses avantages », renchérissait Pierre Jonnard, Président de la FFTB.

Au total, 7 architectes ont été récompensés leurs visions respectives autour du lien : entre paysage et sensibilité d’un lieu, entre présent et passé, ou encore entre les individus. « La terre cuite n’a pas fini de créer des lieux porteurs du bien vivre chez soi et du mieux vivre ensemble », commente Pierre Jonnard.

Des maisons individuelles originales…

Dans la catégorie maison individuelle, c’est Jaouen Pitois, architecte au sein du Laboratoire architectures et paysage, qui a obtenu le premier prix ainsi que le prix des étudiants pour sa « maison dans la pente ». Saluée pour son intégration parfaite à la topographie montagnarde, elle dispose d’une toiture à double pente en tuile anthracite.

En seconde position, SML (Clémence Eliard et Marc Sirvin) et Laurent Malraux se sont également illustrés en proposant une extension pixellisée de tuiles émaillées pour une maison individuelle à Viroflay (78). « Pour cette nouvelle partie de la maison, nous avons imaginé cette peau, comme une réinterprétation de la toiture traditionnelle », indiquent les architectes. Sur ce projet, rien n’a été laissé au hasard : le dessin formé par les tuiles a même été longuement préparé afin que les ouvertures s’y intègrent harmonieusement.

 …aux logements collectifs…

Pour les logements collectifs, c’est Augustin Faucheur qui est parvenu à se distinguer de ses concurrents en proposant la création de 20 logements intermédiaires H&E dans le Val d’Oise. « Notre volonté était de créer un ensemble contemporain facile à vivre qui s’intègre parfaitement dans cette zone pavillonnaire peu dense et assez végétale », explique le lauréat. Dans ce sens, l’architecte a utilisé des briques claires pour habiller les façades des bâtiments et des tuiles plates de teinte sombre pour souligner leur modernité.

L’Agence Taillandier architectes associés a, de son côté, remporté le deuxième prix grâce à ses Villas Florentine (Haute-Garonne), qui combinent maisons individuelles et appartements. « Le tissu urbain environnant est constitué de maisons individuelles ayant une toiture tuile traditionnelle à deux pentes. Le programme Villas Florentine réinterprète cette volumétrie pour l’inscrire dans un projet plus contemporain », raconte l’architecte Pierre-Louis Taillandier.

 …en passant par le tertiaire

Pour la troisième catégorie, « tertiaire », l’Agence architecture Philippe Prost a su retenir l’attention du jury en proposant de créer un Centre d’interprétation de l’habitat et du paysage minier dans le Pas-de-Calais. « Conserver l’histoire d’un lieu, c’est aussi savoir le transformer : ainsi, afin de s’intégrer à la cité, ce bâtiment neuf s’inspire et réinterprète la typologie de ces bâtiments du quotidien. Les murs de refend se retrouvent sous la forme de failles vitrées continues du sol au plafond et la tuile vernissée a été choisir comme matériau pour rappeler la brique omniprésente localement, tout en se différenciant par la couleur et les reflets de l’émail », explique Philippe Prost, architecte.

Son confrère, Patrick Mauger, a quant à lui reçu le deuxième prix pour l’extension et la restructuration des locaux de recherche de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour (64). Ainsi, le bâtiment se dote de façades constituées par des bandeaux horizontaux recouverts de quelques 25 000 tuiles entrecoupées de perforations. « Ce projet offre aux usagers un lieu de vie qui prolonge l’immersion dans la nature tout en apportant des solutions en terme de développement durable grâce au choix de matériaux bio-sourcés et éco-responsables », détaille l’architecte.

Enfin, BQ+A été récompensé du Grand prix spécial du jury pour sa maison de santé à Vézelay (Yonne). Un programme de grande qualité que Pierre Jonnard n’a pas hésité à qualifier de « leçon d’architecture ».

Source Cyberarchi  par Clément Guillaume 

18/05/2017

Charente : 3ème jour de grève chez Terreal à Roumazières-Loubert

A Roumazières-Loubert en Charente, des salariés du site Terreal, le leader français de la fabrication de tuiles, sont en grève depuis la semaine dernière. Ils réclament une augmentation générale des salaires notamment pour compenser des périodes récurrentes de chômage technique.


Terreal possède 15 usines en France, celle de Roumazières en Charente est la plus importante du groupe qui emploie près de 400 personnes en Charente. Les syndicats agissent actuellement dans le cadre des négociations salariales annuelles mais leurs revendications restent insatisaites. Ils souhaitent des augmentations générales, et non individuelles, pour tous les salariés.

"On refuse les mesures individuelles car pour nous, on considère qu'elles ne sont pas distribuées équitablement." affirme Laurent Delias, délégué CGT deTerreal.

Au troisième jour de grève, une vingtaine de salariés est présente à l'entrée du site pour filtrer le passage des camions mais l'usine n'est pas bloquée.

Source France 3 par Christine Hinckel

Construire en terre cuite permet de gagner des m² grâce au bonus de COS

La FFTB a interrogé le cabinet Pouget Consultants sur la pertinence de la brique terre cuite au regard des dispositions réglementaires relatives aux critères du label E+C- permettant aux bâtiments exemplaires de bénéficier d'’un bonus de COS jusqu’à 30%.

Les résultats obtenus font apparaître que quels que soient l’énergie utilisée ou le type de bâtiment, la maçonnerie en briques terre cuite permet d’atteindre les critères du bonus de constructibilité :
jusqu’à 30% de surfaces en plus autorisées par rapport aux documents d’urbanisme;
et un gain supplémentaire de surface habitable (au minimum 3% de plus) grâce à la performance thermique de la brique terre cuite en comparaison avec une solution en maçonnerie courante.
Bonus de COS : c'est oui avec la brique !

Aussi bien en maison individuelle qu’en logement collectif, la brique terre cuite permet de remplir les critères de l’excellence énergétique et environnementale (voir tableau). « Sur un immeuble à usage collectif de 2000 m2 SHAB soit 34 logements comme dans la configuration de l’étude, la brique terre cuite permet de gagner 60 m2 supplémentaires, en plus du bonus de COS. C’est l’équivalent d’un 3 pièces en plus créé grâce à la performance thermique intrinsèque de la brique terre cuite » souligne Isabelle Dorgeret, Secrétaire Générale de la FFTB.
L’étude a été réalisée en janvier 2017 sur 8 zones climatiques, avec des briques de 20 cm à R=1 m2.K/W (alors qu’il existe sur le marché des briques à plus haute résistance thermique). « Dans la mesure où les futures exigences réglementaires s’inspireront de l’observatoire du label « E+C-», ces résultats sont de bon augure pour la maçonnerie en briques terre cuite ! » ajoute-t-elle avant de rappeler que plus de 1 logement sur 3 a été construit en briques terre cuite en France en 2015 (chiffres BatiEtudes). « Ces résultats renforcent encore les atouts de notre produit et donnent une nouvelle raison de choisir la brique terre cuite pour construire tout type de logements » conclut Isabelle Dorgeret.

Source Batiinfo

17/05/2017

TERREAL part sur les routes de France pour rencontrer et présenter sa gamme rénovation aux artisans couvreurs

TERREAL, le spécialiste des matériaux de construction en terre cuite, lance son premier roadshow ! Depuis le 2 mai et jusqu’au 30 juin prochain, un « camion showroom » TERREAL s’installera dans 32 villes du grand Nord et du centre de la France. Les professionnels de la couverture pourront ainsi rencontrer les experts TERREAL et découvrir les solutions de l’entreprise pour la rénovation des toitures autour de démonstrations produits, d’activités ludiques et d’échanges.

Pendant deux mois complets, le camion itinérant TERREAL sillonnera la France et s’installera chez les négoces partenaires des régions Normandie, Centre, Île-de-France et Bourgogne. A chaque étape, de 9h à 15h30, les artisans locaux découvriront ou redécouvriront la gamme rénovation de TERREAL, ses nouveaux produits et coloris.


Pour cela, des démonstrations produits via des vidéos et maquettes seront organisées toute la journée. Les professionnels pourront par ailleurs tester leur connaissance sur les tuiles TERREAL grâce à un quizz interactif et participer à un jeu d’adresse avec de nombreux cadeaux à gagner. Les experts TERREAL seront disponibles durant l’intégralité de l’opération pour échanger et répondre à toutes les questions des couvreurs.

Lors de ces rencontres privilégiées, les couvreurs iront à la découverte des nouveaux produits TERREAL dédiés à la rénovation :

Giverny PV Panaché d’automne

Le coloris Panaché d’automne a été spécialement créé pour la tuile Giverny PV. Il évoque le charme sobre des vieilles couvertures de tuiles plates. Sa composition discrète de gris, jaune et noir est faite d’éléments de coloration inaltérables. Cette tuile est compatible avec le coloris des tuiles plates Panaché d’automne et Vieilli Touraine pour finir les lucarnes.

Giverny PV est la seule petite tuile d’aspect plat à proposer des faibles pentes. Son étanchéité a été approuvé par Avis Technique. Elle est la seule véritable tuile petit moule à pureau variable (5 cm). Facile et ultra rapide à mettre en œuvre, elle est autant adapté aux nouvelles constructions qu’en rénovation.

TERREAL NRJ +


Ce système de sarking permet une isolation thermique pour les toitures inclinées. Il est caractérisé par la pose de panneaux isolants rigides au-dessus des chevrons ou des voliges. Le sarking assure une isolation sans pont thermique et protège la charpente des écarts de température (jour-nuit, été-hiver).

Rives universelles ornementées
TERREAL a développé une nouvelle gamme de rives à l’esthétique authentique et compatibles avec toutes les tuiles du marché. Elle permet une étanchéité optimale avec une place de recouvrement sur la tuile de 7.5 cm et une hauteur utile de rabat de 23.5 cm. Elle allie à la perfection la tradition des années 1900 et la performance de la modernité.

Et deux nouvelles tuiles plates :

Port-Royal


Une tuile plate à faible coût, authentique et esthétique. Avec son pureau brouillé et ses teintes subtilement, vieillies, la Port-Royal vient donner une identité unique à vos projets. Elle se décline en deux teintes : Longchamp et Sablé Bourgogne.

Eminence Bleu Irisé 

Cette tuile convient aussi bien aux toitures contemporaines qu’aux restaurations de belles demeures.

Produite en Île-de-France avec des argiles de la région, sa géométrie très régulière garantit des finitions parfaites.  Ses tenons encastrés facilitent sa pose et permettent un conditionnement stabilisé.

Source Wellcom

16/05/2017

bio'bric vient à la rencontre de ses clients dans toute la France

Les équipes bio’bric viennent cette année encore à la rencontre de leurs clients grâce à de nombreux « rendez-vous » organisés aux niveaux national, régional et local. L’objectif de ces rencontres est de présenter les dernières innovations de la marque.

Ce plan d’actions bien rythmé, qui a commencé en janvier et qui s’achèvera cet été, s’inscrit dans la continuité de l’opération « L’Esprit d’Equipe bio’bric » initiée l’année dernière. A travers ces moments de convivialité,  la marque ambitionne de toucher 3 300 clients. Toute l’équipe commerciale bio’bric, soit 60 personnes, est mobilisée pour faire de ces événements des succès.

12 rencontres autour d'évènements sportifs majeurs
70 clients privilégiés ont ainsi été invités à participer, ou le seront prochainement, à des événements sportifs aussi divers que forts en émotion : 3 matchs du championnat du monde  de handball à Nantes, un match de foot  Barcelone/Séville, les 2 demi-finales du Top 14  à Marseille, la finale du Top 14 au Stade de  France, le 3ème tour du tournoi de Roland  Garros, les 24h du Mans Auto et 3 sorties  en mer avec Jean le Cam sur son bateau  « Finistère Mer vent ».

9 carrefours de l'innovation organisés dans toute la France
Après Lille, Toulouse et Metz, six autres rencontres sont programmées à Rennes, Bordeaux, Marseille, Nantes, Montpellier et Lyon d’ici mi-juillet.

Ces Carrefours se déroulent en soirée dans des lieux prestigieux tels que le Centre Pompidou à Metz ou le stade des Lumières à Lyon.

Au programme, présentation des dernières  innovations (fix’bric en maison individuelle et la  bgv’costo th+ en collectif) appuyée par l’intervention de bureaux d’études thermiques locaux. Puis, la soirée se termine par un cocktail dinatoire.
Ces Carrefours permettent à bio’bric de passer des messages forts tout en créant des liens durables entre la marque et ses clients.

74 rendez vous de l'innovation organisés dans toute la France avec des négoces partenaires
Ces rendez-vous, qui ont lieu au sein même des agences, regroupent en  moyenne une trentaine de clients,  maçons et constructeurs locaux. Sur  certaines animations, le chiffre de 40  personnes a même été dépassé, signe  que le partenariat industriel-artisan- négoce fonctionne bien.
Ces rendez-vous sont l’occasion de  présenter les innovations à travers des  démonstrations, notamment fix’bric.
Cette nouvelle colle prête à l’emploi est destinée au  montage des produits de la
gamme bgv20 pour la réalisation de maisons individuelles jusque  R+1+combles.
Les Rendez-vous de l’Innovation se terminent autour d’un buffet, moment de  convivialité apprécié des clients et propice aux échanges.
Encore une année forte pour bio’bric qui souhaite maintenir un lien durable avec ses clients professionnels.
La marque phare du groupe Bouyer Leroux, bio’bric, est leader national sur les marchés des briques de mur, briques de cloisons et conduits de fumée en terre cuite.

Source Cécile Roux 

15/05/2017

Les ventes de maisons individuelles s’envolent, LCA-FFB aux anges

Les Constructeurs et aménageurs de la Fédération française du bâtiment (LCA-FFB) ont le sourire et le font savoir ! Après l’année particulièrement dynamique qu’a été 2016 sur le marché des maisons individuelles, la tendance se poursuit au premier trimestre 2017. Une bonne nouvelle qui doit beaucoup au contexte en place et notamment aux dispositifs d’aides accessibles aux ménages. Le point sur les chiffres.

Il semblerait décidément que le premier trimestre 2017 ait réussi à l’ensemble des acteurs du BTP. Entre les artisans, qui enregistrent une croissance d’activité de +1,5%, les matériaux (+2,4% pour les granulats, +5,1% pour le BPE en glissement annuel) et la construction elle-même (+15,5% de mises en chantier, notamment), tous les voyants sont au vert !

Une tendance confirmée ce 3 mai par LCA-FFB (les Constructeurs et aménageurs de la Fédération française du bâtiment), qui souligne également l’augmentation des ventes de maisons individuelles. En effet, l’indicateur Markemétron enregistre une croissance de 15,8% entre janvier et mars 2017 (par rapport au premier trimestre 2016).
Une conjoncture favorable mais…

« À fin mars 2017, le taux de croissance annuel affiche +19,5% soit 139 500 maisons vendues. Pour rappel, les ventes brutes de maisons individuelles en secteur diffus ont gagné 19,5% en 2016 (133 600 unités) et 13,7% en 2015, après quatre années de recul », détaille l’organisme.

Ce nouveau rebond ne doit cependant rien au hasard. En effet, si la Coface s’attend à une hausse des taux d’intérêt dans les mois à venir, les particuliers peuvent toujours bénéficier de nombreuses aides pour accéder à la propriété (et notamment du prêt à taux zéro) et de taux de TVA avantageux. Sans compter que la maison individuelle reste le logement préféré des Français, d’après Century 21 France.

Si l’optimisme est de mise pour le reste de l’année, une certaine appréhension subsiste du fait de l’élection présidentielle, dont l’échéance approche à grands pas. « Cette conjoncture immobilière favorable envoie à elle-seule le message que doivent retenir le futur hôte de l’Élysée et les futurs parlementaires : garder les dispositifs qui fonctionnent et porter toute l’attention sur les trop nombreux blocages, qui affectent les délais de production et renchérissent les coûts », prévient Patrick Vandromme, président de LCA-FFB.

Source Batiweb par Fabien Carré

Matériaux de construction : enfin le printemps !

Le premier trimestre 2017 s’inscrit sur une tendance très encourageante, de l’ordre de + 2,4 % sur un an pour les granulats et de + 5,1 % pour le béton prêt à l’emploi, annonce l’Unicem dans sa lettre mensuelle de conjoncture.

« Après deux premiers mois de l’année perturbés par les effets des intempéries hivernales, le mois de mars semble enfin dessiner la tendance conjoncturelle de fond pour ce début 2017 », se réjouit l’Unicem dans sa lettre mensuelle de conjoncture.

Ainsi, bien qu’en recul de 7,2 % par rapport au rebond de + 16,5 % de février, l’activité des granulats en mars s’inscrit à la hausse sur un an : + 4,7 % par rapport à mars 2016 (données cvs-cjo).

Au premier trimestre 2017, la production de granulats est ainsi en hausse de 2,4 % sur un an.

Du côté du béton prêt à l’emploi, le mouvement de reprise est encore plus net : la production enregistre une progression de + 11,2 % par rapport à mars de l’an dernier. L’activité du BPE s’est sensiblement raffermie entre le dernier trimestre de 2016 et le premier trimestre de 2017 (+ 1,8 %) et affiche désormais une hausse de + 5,1 % au regard du premier trimestre de 2016.

L’Unicem estime, selon des données provisoires, que le marché pourrait ressortir sur une tendance proche de + 2 % sur un an au cours du premier trimestre 2017. Il profite en effet de l’embellie dans le secteur de la construction : le solde d’opinions des entrepreneurs sur l’activité prévue se redresse ainsi sensiblement et les carnets de commandes semblent se regarnir, aussi bien dans le segment du gros oeuvre que celui du second oeuvre. Et les dernières données de la construction pour le premier trimestre 2017 confirment leur optimisme (progression des demandes d’autorisations pour les surfaces de locaux  de + 2,2 % sur un an, de +15,9 % sur un an pour les permis de construire des logements).

Dans le sillage des autres indicateurs de la construction, le climat des affaires semble également s’éclaircir sensiblement dans les travaux publics au premier trimestre 2017. Les perspectives d’activité retrouvent un solde inédit depuis avril 2007. Le gonflement récent des carnets de commandes relève désormais autant de la clientèle publique que privée.

Source  LE MONITEUR.FR

14/05/2017

Monier tombe dans l’escarcelle de Standard Industries et se rapproche de Siplast-Icopal

Le groupe allemand Braas Monier Building Groupe vient d’être racheté par la société américaine Standard Industries. Braas Monier est dans le trio de tête des fabricants de tuiles et de composants de toiture. Standard Industries va regrouper les activités de Braas Monier et d’ICOPAL, spécialiste des solutions pour toits plats, connu en France à travers sa marque Siplast. Cette opération devrait faire du nouveau groupe BMI un des plus grands fournisseurs industriels européens de solutions pour la toiture plate ou en pente.

L’opération de rachat du groupe Braas Monier par Standard Industries couvait depuis septembre 2016 et avait connu un coup d’accélérateur en décembre dernier. Elle est maintenant définitivement conclue depuis le 3 mai 2017. Elle permet à ce groupe, très implanté aux USA sur le marché de la toiture plate, entre autres, de se développer de façon significative en Europe.

La société déclare que « … Le nouveau nom pour les activités européennes de Standard Industries sera « Groupe BMI ». Le nouveau logo s’inspire aussi bien de l’héritage d’Icopal que de celui de Braas Monier, symbolisant leur futur désormais commun – les rendant ainsi plus forts ensemble. Les marques existantes d’Icopal et de Braas Monier resteront un élément essentiel de leurs activités réunies. Le siège du groupe se situera à Londres. » 


En France, la société Monier est l’héritière d’une longue tradition de tuiliers. L’histoire de ses trente dernières années est riche en rebondissements. Elle est d’abord connue pour être le dernier fabricant français des fameuses tuiles Redland, marque de tuiles en béton aujourd’hui disparue et remplacée par la gamme Mineral. Les tuiles Redland ont accompagné la croissance du marché de la maison individuelle en France, dans les années 60 et 70.

Accessoirement, grâce à la part de marché très importante qu’elles avaient conquise sur le marché de la M.I. à cette époque, les tuiles Redland ont contribué à la profonde restructuration du marché français de la tuile terre cuite. De plusieurs centaines de tuileries à la fin des années soixante, le marché tourne aujourd’hui à peine plus d’une cinquantaine de tuileries terre cuite et trois tuileries béton. Cette restructuration violente a accouché de tuileries modernes, bâties autour de nouveaux process de fabrication. Citons par exemple les supports individuels en H, des fours plus efficients, une très forte automatisation des chaînes de fabrication, une meilleure maîtrise des mélanges d’argiles etc.

Ces procédés ont permis d’améliorer considérablement la planéité des tuiles terre cuite et leur ont permis d’accéder au Graal des 10 tuiles au m2, clef d’accès au marché du neuf. La société Monier est en France l’héritière de cette histoire et la seule à conserver une double fabrication tuile terre cuite et tuile béton, dite Mineral.

Le rachat de Braas Monier par Standard Industries, le rapprochement avec Icopal-Siplast semble avoir un vrai sens industriel et devrait donner à Monier un second souffle, lui permettant de continuer à tenir sa place parmi les leaders de la tuile et des composants de toiture. Précisons que la marque Schiedel, fabricant de conduits de fumée métal et céramique est incluse dans le périmètre des activités concernées.

Georg Harrasser, P.D.G. de Braas Monier et futur président du groupe B.M.I conclut « Le Groupe BMI sera le fabricant leader européen de notre industrie, offrant à ses clients des solutions innovantes pour les toits en pente ainsi que pour les toits-terrasses. Nous disposons d’un large portefeuille de produits et de marques reconnus et appréciés qui seront développés grâce à des investissements réalisés par Standard Industries … Nos équipes sont vitales pour notre réussite. Nous croyons que ce sont les hommes et les femmes qui font la différence et c’est pourquoi nous voulons à la vois fidéliser et recruter les meilleurs. » À bon entendeur, salut !

Source Batiweb par Régis Bourdot 

BRIEF-Standard Industries launches squeeze-out at Braas Monier


* Says decided to exercise squeeze-out right at Braas Monier

* Says will acquire 687,331 Braas Monier shares not tendered in takeover offer

* Says squeeze-out price for Braas Monier 25.27 euros per share

* Says expects Braas Monier to be delisted shortlySource text: here Further company coverage

Source Reuters

13/05/2017

La CGT appelle Macron à renoncer à légiférer par ordonnance

La CGT a appelé "solennellement" Emmanuel Macron à renoncer à "imposer de nouveaux reculs sociaux" par ordonnance, à l'issue d'une réunion de sa direction. La CGT "appelle solennellement Emmanuel Macron à renoncer à imposer de nouveaux reculs sociaux par ordonnance ou 49-3", alors que le futur président prévoit de réformer le code du travail par ordonnances. Elle souligne que M. Macron "a été élu par défaut par une grande partie de ses électeurs". "Nombre d'entre eux ont combattu une loi portant son nom, une majorité s'est mobilisée pendant des mois contre la loi travail, largement inspirée et soutenue par Emmanuel Macron", ajoute la CGT.

Pour elle, "considérer qu'il s'agirait là uniquement d'un vote d'adhésion et un blanc-seing à son programme, comme il l'a fait, jusqu'aux derniers instants de sa campagne, aux risques de renforcer le FN, serait irresponsable", insiste le syndicat. Estimant que "les leçons du 21 avril 2002 n'ont pas été retenues", avec la montée du Front national depuis cette date, la CGT invite le futur gouvernement et les parlementaires à être "conscients de la lourde responsabilité de leurs actes et des politiques qu'ils mettront en œuvre" car "ne pas stopper celles qui ont conduit à une telle situation nous condamnerait à la revivre". Dans ce contexte, elle invite les salariés à se syndiquer "plus nombreux" et à se "mobiliser pour leurs revendications".

Source La Provence

Imerys Toiture lance la tuile photovoltaïque en céramique

C'est en quelque sorte la tuile anti-tuile. Pour éviter des problèmes d'étanchéité et de garantie à la pose de panneaux photovoltaïques sur la maison, Imerys Toiture a mis au point une tuile céramique, couverte de cellules photovoltaïques, dédiée au marché résidentiel individuel.
Au lieu de modifier la charpente pour installer une centrale électrique, la tuile Alpha Solaire s'intègre directement dans la toiture, idéalement lors de la construction, mais aussi en rénovation. « Elle se branche très facilement, c'est à la portée de n'importe quel couvreur », assure Olivier Lafore, directeur marketing. Elle se pose comme une tuile en terre cuite, par emboîtement.

Petite et maniable

Il faut prévoir environ 5 m2 pour une installation domestique, avec un surcoût par rapport à un panneau classique, «  mais moins de complications et de frais de pose », affirme-t-il. Il faut compter environ 2.800 euros pour un lot de 11 tuiles couvrant 2 m2, fourniture et pose comprises.
Imerys Toiture s'est mis au solaire dès 2002 avec un premier produit encastrable dans le toit, constitué de bandeaux d'un demi-mètre carré. Baptisé « Evolu'Kit », il connaît un regain commercial depuis 2012 à la faveur de la nouvelle réglementation sur l'autoproduction.

Mais la tuile Alpha Solaire, encore plus simple à installer car petite et maniable, donne un meilleur rendu esthétique avec ses plaques de 0,2 m2 attachées par deux, pour une puissance de 26 watts crête, et calquées sur les dimensions de la tuile Imerys Alpha 10. C'est la limite de cette innovation, disponible dans ce seul format. S'il est répandu en Rhône-Alpes et dans le Jura, « il existe en France pas moins de 70 modèles de tuiles selon l'architecture régionale », explique-t-il. Imerys compte décliner Alpha Solaire pour couvrir d'autres territoires.

Source  Les Echos par Léa Delpont


12/05/2017

TERREAL ROUMAZIÈRES-LOUBERT: LE MOUVEMENT DE GRÈVE A DÉBUTÉ CE JEUDI MATIN À LA TUILERIE TERREAL

Suite au préavis de mardi dernier et à l'appel des syndicats FO, CGT et CFDT, un piquet de grève s'est installé ce jeudi matin dès 8h à l'entrée de l'usine.

Les ouvriers déterminés et n'ayant pas obtenu satisfaction suite aux revendications des syndicats sur les NAO (négociations annuelles obligatoires) et sur l'ensemble des conditions de travail à l'usine de Roumazières ont filtré l'entrée des camions, des livreurs et des voitures particulières sans toutefois faire un blocage total.
"Nous allons faire des roulements pour que les salariés ne soient pas trop impactés au niveau de la fiche de paye ,par le mouvement qui pourrait s'éterniser dans le temps" soulignait sur place Bernard Gire responsable FO, en attente des reprises des négociations avec la direction.
Un huissier est venu constater le blocage de l'usine. Il n'y a pas de débordement mis à part l'énervement de quelques livreurs pas très contents d'être retardés dans leurs tournées de livraisons.

Source La Charente Libre

Le Terreal Tour sillonnera 32 villes dans la moitié Nord de la France

Pour faire connaître ses produits aux distributeurs et aux professionnels de la couverture, Terreal a imaginé un camion show-room.


Du 2 mai au 30 juin, Terreal prend la route. Le fabricant de tuiles entend faire connaître l’étendue de son offre aux distributeurs et aux couvreurs.

Le coloris Panaché d’automne de sa tuile Giverny PV, le système de sarking Terreal NRJ +, les rives universelles ornementées ainsi que les tuiles plates Port-Royal et Eminence bleu irisé… autant d’innovations que les pros découvriront dans le show-room embarqué dans le camion Terreal.

Installé chez les négoces partenaires de la marque en Normandie, en région Centre, en Ile-de-France et en Bourgogne, il s’arrêtera chaque jour dans une ville différente, de 9h à 15h30.

Vidéos et maquettes aideront les pros à s’approprier l’offre Terreal. Des experts répondront aux questions, et de nombreux cadeaux seront distribués. Un moment fort pour la marque.

Source Le Moniteur par Pierre Pichère



11/05/2017

Terreal : mouvement de grève à Lasbordes et Saint-Martin

Ils avaient demandé, lors des négociations annuelles obligatoires, une augmentation de 1 % de leurs salaires et 50 cts sur les tickets restaurant et ou paniers de journée qui leur ont été refusée. Les salariés de Terreal ont donc décidé d'un débrayage, à l'appel de l'intersyndicale Force ouvrière, CFDT et CGT laquelle refuse les explications mises en avant par la direction générale pour justifier sa position de ne pas leur accorder cette revalorisation salariale.
Les syndicats ont également fait connaître leur opposition totale à l'ouverture de négociations salariales individuelles ; toute augmentation devra être générale. En conséquence, un préavis de grève illimitée a été déposé, dès ce mardi, sur le site de Colomiers, suivi dès hier par les sites de Lasbordes et Saint-Martin-Lalande. Aujourd'hui, Roumazières, en Charente, devrait suivre le mouvement. Pour les syndicats «le coût d'un tel envoi aurait permis une avancée significative. La colère et l'incompréhension montent». Et d'appeler «tous les salariés à venir en dehors de leur temps de travail faire barrage à de tels agissements et de consacrer un peu de leur temps privé sans perte d'argent», exhorte l'intersyndicale qui estime que «seul un vrai élan de contestation fera bouger les choses».

Côté direction

Du côté de la direction lauragaise, Patrick Leblanc tient à apporter les précisions suivantes : «Les négociations syndicales ont eu lieu au siège social à Suresnes avec les quatre syndicats, FO, CGT, CFTC et CFDT, à l'issue desquelles des accords ont été signés, qui en fait vont au-delà des 1 % puisqu'il a été décidé d'augmenter les salaires de 0,85 % globalement, plus 0,25 % individuellement au mérite, soit pour les salariés concernés 1,10 % d'augmentation. La direction rappelle également les nombreuses avancées récemment mises en place telles que : 160 €/an pour la compensation du temps d'habillage, pas d'augmentation de la cotisation mutuelle depuis deux ans, un intéressement pour tous les salariés».

Source La Dépêche du Midi par G. K. avec G.B.


Bouyer Leroux veut convertir Rhône-Alpes à la brique

Roland Besnard et Pierre-Alexandre Cheminel Roland Besnard, président de Bouyer Leroux avec le nouveau directeur marketing et commercial, Pierre-Alexandre Cheminel. 

L’un des leaders nationaux des éléments de construction en terre cuite, Bouyer Leroux Terre Cuite, affirme ses ambitions en Rhône-Alpes. Il s’appuie sur les ex-sites ligériens d'Imerys Structure, repris en 2013 : Mably et Saint-Marcellin-en-Forez.

La société coopérative Bouyer Leroux Terre Cuite, dont le siège social est situé à La Séguinière dans le Maine-et-Loire, a réuni les 20 et 21 avril derniers ses équipes commerciales de la marque Bio’bric à Lyon, un territoire considéré comme « une zone grise » où le béton est le matériau le plus utilisé en construction.

Depuis les salons de l’hôtel Marriott, Roland Besnard, son président, l’a clairement dit : « On veut rougir cette région Rhône-Alpes sur la maison individuelle et le collectif. » Premier fabricant français en parts de marché sur les briques avec plus de 50 % des volumes, Bouyer Leroux veut mettre à niveau le marché régional. Pour cela, le groupe peut s’appuyer sur « son principal atout local », le site de Mably dans la Loire

Deux projets développés à Saint-Marcellin-en-Forez

Cette usine a bénéficié en 2016 d’investissements pour développer sa réserve d’argile et améliorer la productivité de son four. Unité moderne, elle bénéficie d’un atout important en termes de coût de fonctionnement avec un équipement alimenté par le gaz et le bio gaz.

A Saint-Marcellin-en-Forez, la Scop a également investi (150.000 euros), dans deux dossiers : une brique d’argile crue qui devrait être expérimentée avec un architecte des Bouches-du-Rhône et surtout « un système constructif » qui dépassera le cadre régional et national. Adapté pour réduire les délais de construction et « répondre au manque de qualification du personnel de chantier », le produit est en cours de validation avec un major du BTP sur un site pilote en Ile-de-France.

Source Brefeco par Vincent Riberolles

10/05/2017

Terreal: la grogne syndicale gagne la Charente limousine

La tuilerie de Roumazières emploie un peu plus de 400 personnes, qui attendent l’issue des réunions avec la direction.

Après Lamirande d’Exideuil, Terreal à Roumazières s’apprête à faire face à un mouvement d’humeur des syndicats. En cause, les revalorisations salariales.

A l’appel des syndicats CGT, FO et CFDT, un préavis de grève a été lancé hier mardi par les responsables syndicaux, au sein de l’entreprise tuilière Terreal de Roumazières-Loubert. Un préavis qui pourrait déboucher sur une grève surprise illimitée, expliquent les deux responsables CGT et FO, Laurent Délias et Bernard Gire. Hier, les responsables négociaient avec la direction parisienne et des réunions internes ont eu lieu toute la journée.

L’appel a été lancé dans l’ensemble des quatorze usines du groupe Terreal. Certaines d’entre elles, notamment dans le Sud, sont déjà bloquées par les salariés. À Roumazières-Loubert, les salariés de Terreal qui travaillent sur les grosses unités sortent d’un mois de chômage technique. Ils ont repris le travail hier.

La cause, des revendications salariales, suite aux négociations annuelles obligatoires (NAO) qui ne satisfont pas l’ensemble des salariés du groupe. "On nous a proposé une augmentation annuelle de 0,80% pour tous les salariés et de 0,30% individuellement", précisent les responsables syndicaux. Avant d’ajouter: "C’est là-dessus que nous ne sommes pas d’accord. Nous refusons ces propositions même si après la réouverture des négociations, la semaine dernière, elles ont été retoquées à 0,85% et 0,20%, ce qui fait une augmentation totale de 1,05%. Cette répartition des pourcentages ne nous satisfait pas."

"Distribution à la tête du client"

Les représentants syndicaux souhaitent une revalorisation globale de 1%, avec des pourcentages confondus même si c’est moins que ce que propose la direction. "Nous pensons que c’est plus juste pour les salariés", glissent-ils. "Avec ce que nous propose la direction, le piège de la revalorisation individuelle va faire que l’argent ne sera pas redistribué forcément en fonction du mérite. Et nous craignons que la direction fasse du rattrapage salarial...", ajoutent-ils. Cette sorte de prime individuelle au mérite est faite pour récompenser les compétences. "Une distribution à la tête du client", dénoncent les syndicats.

Pour l’heure, chacun est dans l’expectative. Il n’y a pas de mouvement visible. "Et s’il devait y avoir un débrayage, il n’affecterait pas la sortie et la rentrée des camions dans l’usine. Nous devons tout d’abord informer l’ensemble des ouvriers sur les négociations", explique Laurent Délias.

Source La Charente Libre par Par Marie-Françoise CORMIER

La brique terre cuite face aux labels et réglementations

Devenu aujourd’hui le grand référentiel du bâtiment en France, le label E+C-, lancé le 17 novembre par Emmanuelle Cosse, vise à établir de nouveaux standards environnementaux pour les bâtiments neufs. La FFTB est allée demander à Pouget Consultants en janvier 2017 comment les maçonneries en terre cuite sauront tenir ces standards. Et voici les résultats de l’enquête…

Face aux standards environnementaux de plus en plus nombreux et exigeants, il est normal de voir tout le monde, professionnels comme particuliers, s’inquiéter des inévitables changements à venir. Faudra-t-il changer leurs méthodes de travail ? Les matériaux utilisés ? Rénover (parfois au prix fort) leur petit nid douillet ?

La brique en terre cuite, exploitée depuis des siècles, est aujourd’hui encore utilisée dans la construction (plus d’un tiers des logements neufs construits en 2015 étaient en briques de terre cuite). Mais est-elle pertinente, face à de nouveaux labels comme E+C- ? C’est la question que se posait la FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques).

Les résultats de l’enquête démontrent que la terre cuite permet un gain minimum de +3% de surface habitable, grâce à sa performance thermique. Et au mieux, une construction répondant aux standards E+C-, peut bénéficier d’un bonus de COS (Coefficient d’Occupation des Sols) allant jusqu’à +30% ! Oui, la brique en terre cuite est compatible avec les critères de l’excellence énergétique et environnementale et ce, quelque soit l’usage et l’énergie du bâtiment.

Pour aboutir à ces résultats, l’étude a été effectuée en janvier 2017 dans 8 zones climatiques différentes, avec des briques de 20 cm à R=1m2.K/W, ce qui est loin d’être le score de résistance thermique le plus élevé du marché.

L’étude a également fait en sorte de multiplier au maximum les variables : immeubles collectifs, logements individuels, utilisation de chauffage au gaz ou électrique, des isolants effectués pour tester l’efficacité de la brique en terre cuite. Qu’elle soit capable d’atteindre sans difficulté les critères du bonus de constructibilité est de bon augure pour la maçonnerie en terre cuite.

Source Batiweb

09/05/2017

Pesaro, trovato accordo per la Pica

PESARO Una fiamma che segna un nuovo inizio. Dopo oltre un mese di stop oggi sarà riacceso il primo forno alla Pica. Mesi di travaglio, fino al raggiungimento dell’accordo: l’affitto di ramo d’azienda alla Terreal, multinazionale francese, con l’obbligo irrevocabile d’acquisto. Lavoratori salvi, ma ancora nodi da sciogliere.

Un percorso iniziato con l’apertura della mobilità e il doloroso licenziamento di 85 dipendenti. A fine 2016 era stato presentata in Tribunale un’operazione di ricomposizione del debito secondo l’articolo 182 della legge fallimentare. Un atto propedeutico alla fusione con l'azienda di laterizi San Marco. Ma a fine febbraio la doccia fredda: invece di partire col progetto, si è presentato un problema con le banche. Gli istituti di credito non hanno accettato la ristrutturazione e il progetto è stato bloccato.

Qui il gruppo Terreal, che è già titolare della compagine San Marco, ha preso in mano la situazione. La multinazionale conta 22 stabilimenti nel mondo. Oggi, con un fatturato di 350 milioni di euro e circa 2.400 dipendenti nel mondo, Terreal è un gruppo chiave nella creazione di soluzioni innovative per l’edilizia.

Il  gruppo ha portato avanti la trattativa di affitto di ramo d’azienda. E' stato quindi firmato l’accordo per sei mesi più tre, dopodichè ci sarà un’offerta irrevocabile d’acquisto. Si passerà tramite un’asta, ma si conta sull’offerta Terreal. Il futuro dei 73 lavoratori è nel gruppo francese. Non ci saranno licenziamenti e i posti di lavoro sono stati salvaguardati. Anche i 3 dipendenti del deposito di Roma passeranno alla multinazionale, salvo 3 lavoratori di un altro deposito.

Source Corriereadiatico

Bilan 2016 Wienerberger : stabilité des activités monde et France

Sur un marché mondial toujours tendu, le Groupe Wienerberger (14.800 personnes) confirme la stabilité de son chiffre d’affaires 2016. En effet, avec un réseau dense de 198 sites de production dans les 30 pays où il officie, le Groupe a consolidé un chiffre d’affaires de 2,974 milliards d’euros (vs 2,972 pour 2015).

Une donnée qui se traduit par une activité industrielle soutenue, comme en attestent les produits Wienerberger commercialisés en 2016 : ceux-ci ont, à titre d’exemple, permis de construire 160.000 maisons, couvrir 288.000 toits et réaliser 630.000 kilomètres de canalisations… D’ailleurs 2016 n’a pas non plus failli à la règle Groupe avec 1% du CA consacré à la R&D ainsi que dans des projets orientés vers l’avenir.

Précisons enfin que, sur un secteur du bâtiment toujours en peine de retrouver son dynamisme, la filiale France, Wienerberger SAS, avec ses 4 marques reconnues (Argeton, Koramic, Porotherm, Terca) et ses 800 collaborateurs, stabilise également son chiffre d’affaires à 177 millions d’euros.

Source Wienerberger

08/05/2017

Port-Royal : la nouvelle tuile plate de tradition de TERREAL

Vieille tuile de tradition produite en Ile-de-France avec des argiles de la région, la Port-Royal s’adapte parfaitement aux paysages de cette région.

Avec son pureau brouillé et ses teintes subtilement vieillies, Port-Royal donne une identité unique à tous les projets, que ce soit en rénovation, – notamment à proximité des bâtiments remarquables – ou en neuf pour que les toitures viennent s’intégrer dans la tradition architecturale locale.

Port-Royal réussit ainsi le pari technologique d’une tuile plate esthétique et authentique à faible coût dans le respect du bel ouvrage.

Cas chantier : Restauration de la toiture d’une église du 12ème siècle à Montalet-le-Bois (78)

Les 190 m² de la couverture de l’Eglise de Montalet-le-Bois dans les Yvelines, datant du 12ème siècle, ont récemment été rénovés avec près de 12 000 tuiles Port-Royal, coloris Longchamp.

Le choix de la tuile plate à mettre en oeuvre s’est naturellement porté sur Port-Royal. En effet, avec son pureau brouillé et son nez déstructuré, elle conserve l’aspect ancien du bâtiment et l’authenticité du patrimoine historique. Son coloris vieilli est lui aussi en parfaite harmonie avec les toits de la région.


Caractéristiques techniques

  • Dimensions hors-tout (cm) 17 x 26 x 1,2
  • Nombre de tuiles au m² 62 / 65 / 68
  • Poids unitaire (kg) 1,1
  • Pureau (cm) 9,5 | 9 | 8,5
  • Recouvrement (cm) 7 | 8 | 9
  • Liteaux (ml/m²) 10 | 11,1 | 11,6
  • Nombre de tuiles par palette 1008
  • Pente minimale théorique
  • En zone 1 situation protégée avec écran 60% / 31°


Source Wellcom

07/05/2017

ETC VOUS REMERCIE D'ÊTRE PASSÉ À SON STAND LORS 20IÈME SALON BATIMATEC À ALGER

Comme chaque année, ETC France a participé au 20ieme salon Batimatec  qui s'est déroulé du 23 au 27 Avril 2017 dernier à Alger

Son équipe a eu le plaisir de vous accueillir sur son stand pour vous présenter la société et apporter les réponses à vos projets de briqueteries ou tuileries.

Source ETC

Germany: Leipfinger Bader plans multimillion investments in 2017

The family-owned company Leipfinger Bader is looking ahead optimistically in 2017 and has announced multimillion investments.
A total of € 8.3 mill. are to be channelled into the three company sites in Lower Bavaria and the Upper Palatinate – with the objective of further improving the production of high-thermal-insulation Unipor clay masonry blocks. The highlight will be a specially developed recycling plant at the Puttenhausen site.

Up to now, the Coriso masonry blocks have been filled with Mineral insulating material at a special installation in Puttenhausen. Thanks to a new filling unit, this will also be possible in Vatersdorf too. This will increase production capacity.

At the Schönlind Brickworks, Leipfinger Bader has also taken over a production line for beam encasing elements, which are used for optimum embedding of storey ceiling slabs. Moreover, the Schönlind Brickworks has been comprehensively modernized since the takeover in 2014. Besides the installation of a grinding and unloading system, Leipfinger Bader envisages the installation of a photovoltaic system to increase utilization of renewable energies. Such a solar park has already been in operation at the Vatersdorf plant site since 2013.

Sustainability as a guiding principle

One of the most important projects in the year 2017 is the building of a recycling plant in Puttenhausen. With this project, the clay brick manufacturer is embarking on a venture that could change the industry permanently: “We are the first company to offer total recycling for the building material ‘clay brick’. This will enable a completely closed and environment-conserving raw materials cycle”, explains owner Thomas Bader. On the verge of completion is also the switchover at the company headquarters to an environment-friendly and reliable energy supply with natural gas.

Source Ziegelindustrie International

06/05/2017

International competition rewards outstanding brick architecture

For the eighth time now, the Wienerberger Brick Award in 2018 is honouring the most creative examples of modern and innovative brick architecture.

Ceramic products have to play an outstanding role in the submitted projects, from clay blocks through facing bricks and clay roofing tiles to pavers. Special attention is paid in the judging of the projects to the interplay of functionality, sustainability and energy efficiency.

The Brick Award is endowed with prize money of  7 000 euros for the grand prize winner (including category winner) and 5 000 euros for each of the remaining four category winners. The award comprises five categories:


  • Feeling at home
  • Living together
  • Working together
  • Sharing public spaces
  • Building outside the box


The fifth category is aimed at innovative concepts and ways of using brick, like, for example, the application of new construction technologies or the use of special, custom-made bricks and tiles.

Following expiry of the submission phase on 20 April 2017, an expert panel of architecture journalists and critics will narrow down the entries to 50 projects. An international jury of architects will then choose the five category winners and the winner of the grand prize. The ceremony for the presentation of the Brick Award will be held in Vienna in spring 2018. Coinciding with this, the accompanying Brick 18 book featuring all 50 nominated projects will be published.

Source Ziegelindustrie International

05/05/2017

Ceratec cherche 100 profils sur Tournai et Ploegsteert

L’entreprise technologique et d’ingénierie Ceratec ne cesse de se développer. Pour continuer à grandir, elle part à la recherche de 100 nouveaux collaborateurs pour ses sites dont Ploegsteert et Tournai. Une grande campagne de recrutement est lancée pour dénicher les talents qui pourront l’aider à maintenir son statut de fleuron.

Avec un chiffre d’affaires de 91 millions d’euros en 2016, grâce notamment à la croissance des commandes nationales et internationales dans les 4 divisions (automatisation, manutention et logistique, électrotechnique et industrie céramique technique) de l’entreprise, Ceratec veut continuer à grandir et à maintenir sa position dans le top des entreprises du secteur.

Source Nordeclair

04/05/2017

Construction: utiliser les matériaux récupérés dans les bâtiments pour reconstruire ailleurs

Un collectif belge a réalisé une plateforme pour réutiliser les matériaux récupérés dans les bâtiments vouées à la démolition.

Ce collectif belge du nom de Rotor a crée la plateforme Opalis.

Elle inventorie les matériaux de construction de seconde mains récupérés dans des bâtiments, des espaces voués à la démolition pour pouvoir les réutiliser.

Il s’invite dans les chantiers de démolition...Cela concerne aussi bien la robinetterie, les parquets que les cloisons mais aussi les faux plafonds et autres ornements.

Les initiateurs du collectif ne sont pas tous architectes, on trouve aussi des chercheurs des journalistes des autodidactes.

Source Franceinter

03/05/2017

Monier lance la seconde édition de son concours Black Tendance

Monier France, filiale française du groupe Braas Monier, organise la seconde édition du concours Black Tendance. Du 15 mars au 7 juillet 2017, architectes, constructeurs, entreprises de pose et promoteurs peuvent participer à ce concours qui vise à récompenser les meilleures créations utilisant la nouvelle couleur tendance : le noir. Meriem Dussart, directrice marketing et communication chez Monier France, nous en dit plus.

Deux ans après la première édition du concours Black Tendance, en 2015, qui avait rassemblé une centaine de participants, Monier, fort de ce succès et de son expérience, a décidé de lancer une seconde édition il y a un peu plus d’un mois.

Pourquoi le noir ?

« Aujourd’hui, les coloris foncés sont à la mode dans les architectures depuis 2-3 ans », constate Meriem Dussart, directrice marketing et communication chez Monier France. « On voit de plus en plus des façades blanches et des menuiseries noires et anthracite ». Une mode qui fait les affaires de Monier. « Notre offre est assez développée sur cette couleur-là, de l’entrée au haut de gamme. C’est l’occasion pour nous de nous démarquer de la concurrence, dont les concours sont souvent axés autour de la tradition et de l’histoire. Le notre est plus moderne ».

La raison invoquée de cette mode est que le noir se marie bien avec les crépis blancs actuels. « Dans le sud, et notamment à Bordeaux qui est en plein essor, on en voit de plus en plus, alors que le noir était traditionnellement réservé au Nord », explique-t-elle.

Organiser ce concours deux ans après le précédent n’est pas non plus un hasard de calendrier. « Il faut laisser au client le temps de réaliser sa maison, et nous évitons le rush qu’est l’organisation quasi permanente d’un concours ».

Comment fonctionne le concours ?

« Les participants prennent des photographies de l'ouvrage, puis s’inscrivent sur le site Black Tendance, nous soumettent les coordonnées et nous envoient les photographies. » Malgré l’utilisation de ces dernières, elle affirme qu’il ne s’agit pas d’un concours photo.

« L’idée est de voir comment sont constitués les ouvrages, pas de juger la qualité des photos. » Deux conditions, très simples : « il faut que la maison utilise une de nos 28 tuiles sombres, et seules les constructions et rénovation récentes de moins de 5 ans peuvent participer. »

Pour sa seconde édition, le concours recèle une petite nouveauté. « Le jury remarquera les dossiers qui s’inscrivent dans une démarche environnementale. Ce n’est bien sûr pas obligatoire, mais il s’agit d’un critère pris en compte, pour départager deux dossiers notamment. »

Le jury en question est constitué de neuf personnes. Comment sont-elles choisies ? « Nous avons décidé de mixer des personnes n’appartenant pas à Monier afin d’avoir un œil externe. Chaque membre du jury est différent : architecte, journaliste, couvreur, industriel, une personne partie vente, une autre partie technique, et une dernière communication. Les débats sont bien plus animés ! », confie Meriem Dussart.

Participer, oui, mais pourquoi ?

Si Pierre de Coubertin disait que l’important était de participer, il est difficile aujourd’hui de convaincre quelqu’un de participer à un concours de ce genre sans récompense valable à la clé. Lorsqu’on lui demande l’intérêt pour un participant, Meriem Dussart en expose la raison principale. « Au-delà des cadeaux, ce concours permet d’avoir une visibilité. Les gagnants sont fiers d’avoir un premier prix dans un concours qui récompense une belle architecture. Ce prix, ils peuvent l’afficher dans leur bureau, cela permet d’asseoir leur crédibilité, d’autant que Monier communique dans la presse et cite le gagnant, ce qui fait une excellente publicité. »

Le concours est divisé en deux catégories (maison individuelle vs collectif et tertiaire) et récompense 7 gagnants : 4 au niveau régional (Nord, Sud, Est et Ouest) et 3 au niveau national. De quoi faire plusieurs heureux, avec des week-ends de vacances à gagner ainsi que des drones, en plus du prestige de la victoire.

Si le concours Black Tendance continue de rencontrer du succès, Monier n’exclut pas d’en organiser d’autres du même genre à l’avenir.

Source Batiweb

02/05/2017

Les pavés en terre cuite : un plaisir dans chaque jardin

Que vous aimiez le style rustique ou le look sobre, des pavés en terre cuite sur votre allée ou sur votre terrasse, ou autour de votre pièce d’eau ou de votre piscine, apportent toujours une petite touche de charme naturel aux abords de votre habitation. Mais il y a bien d’autres raisons encore pour lesquelles votre maison mérite des pavés en terre cuite.


100 % naturels

Les pavés en terre cuite sont un produit 100 % naturel, fabriqué à partir d’argile de qualité supérieure et renouvelable. Ils ne renferment pas de composants nocifs pour l’homme ni pour l’environnement. Vous pouvez donc les poser dans votre jardin l’esprit tranquille. Et cerise sur le gâteau : ils sont très naturels au toucher lorsque vous marchez pieds nus sur votre terrasse.

Durables

Les pavés sont cuits à des températures de ± 1.100°C, soit environ 100°C en plus que les briques de parement. Une fois cuits, ils sont parés pour vivre une existence durable : résistants à l’usure, aux conditions météo extrêmes et aux agents agressifs comme le sel de déneigement et les produits nettoyants. Avec leur durée de vie moyenne de 125 ans, ils durent plusieurs générations tout en conservant leur qualité. Et notamment de par leur longue durée de vie, ils se prêtent aussi à merveille à la réutilisation.

Couleurs inaltérables

Les pavés en terre cuite sont totalement exempts de colorants. Leur couleur résulte de la composition minérale de l’argile, ce qui la rend 100 % inaltérable. Teintés dans la masse, ils ne perdent jamais leur couleur d’origine. Une patine naturelle les embellit au fil des ans.

Faciles à entretenir

Des pavés en terre cuite correctement placés nécessitent très peu d’entretien. Il suffit de passer le nettoyeur haute pression une fois par an pour les conserver comme neufs. Vous avez ainsi tout le temps de profiter de votre terrasse.

Possibilités infinies

De par leur grande variété de couleurs et finitions, les pavés en terre cuite s’intègrent dans tous les styles, des plus classiques au plus modernes. Pour les amateurs de rustique, il existe par exemple des pavés « artisanaux » qui rappellent les véritables pavés de récupération hollandais. Et pour ceux qui aiment le style moderne, il y a des pavés aux lignes sobres. La grande palette de couleurs permet aussi de combiner plusieurs teintes. Formes arrondies et appareillages divers conféreront précisément l’aspect souhaité à votre jardin, terrasse ou allée.

Source Le Soir

01/05/2017

IMERYS TOITURE : LA PLUS LARGE GAMME DE TUILES FAIBLE PENTE CERTIFIÉES NF FP

IMERYS Toiture, le leader de la tuile terre cuite et spécialiste de solutions pour toits et façades intègre depuis toujours une démarche volontaire de certification de ses produits. C’est pourquoi, il a anticipé la suppression des DTA faibles pentes, effective depuis le 1er janvier 2017 pour les tuiles à emboîtement à relief relevant du DTU 40.21, remplacés par la certification NF Faible Pente. Aujourd’hui, IMERYS Toiture affiche ainsi la plus large gamme de tuiles faible pente.

12 tuiles certifiées NF Faible Pente

Soucieux de garantir la qualité et la sécurité de ses produits à l’ensemble de ses clients, professionnels comme particuliers, IMERYS Toiture a engagé une démarche volontaire concernant les tuiles à relief faiblement et fortement galbées.

Aujourd’hui, ce ne sont pas moins de 12 modèles qui bénéficient de la nouvelle certification NF Faible Pente, et ce sans aucune modification des pureaux de pose.

Les tuiles fortement galbées concernées par la certification NF Faible Pente sont l’OMEGA 10 Ste Foy, la PLEIN SUD Gélis, l’AQUITAINE Poudenx, la MEDIANE Plus, la MERIDIONALE Poudenx et la ROMANE Sans.

Parmi les tuiles faiblement galbées, citons, la STANDARD 9 Jacob, la DELTA 10 Ste Foy, la MARSEILLE Poudenx, la PV 13 Huguenot, la PANNE H2 et la RHÔNA 10 qui détient également un DTA Très Faible Pente.

Ces tuiles peuvent être posées jusqu’à 19 % de pente suivant les caractéristiques du chantier.

L’ALPHA 10 rejoint la gamme Faible Pente

A la ligne épurée, la tuile ALPHA 10 d’IMERYS Toiture est une tuile grand moule à pureau plat. Reconnue pour la qualité supérieure de l’argile Ste Foy qui lui confère une haute résistance mécanique et pour sa facilité de mise en œuvre, l’ALPHA 10 vient d’obtenir l’avis technique n° 5.1/17-2538 pour une pose jusqu’à 35 % de pente suivant les caractéristiques du chantier.

Avec l’obtention de cette nouvelle certification, IMERYS Toiture dispose de l’une des plus grandes gammes de tuiles aptes à être utilisées sur des couvertures Faible Pente. Des tuiles 100% françaises dont la haute qualité a permis à IMERYS Toiture d’être le premier fabricant français de tuiles à recevoir le label Origine France Garantie.

Source Batipresse

30/04/2017

What Are The Pros And Cons Of Tesla's New Solar Roof Tiles?

What are your thoughts on the new Tesla solar roof tiles? originally appeared on Quora: the place to gain and share knowledge, empowering people to learn from others and better understand the world.

Answer by Michael Barnard, low-carbon innovation analyst, on Quora:

I have a few thoughts about the new Tesla solar roof tiles:

Musk is exactly right that making solar panels look gorgeous and integral with the existing look and feel of homes is critical to the growth of home solar. People love their homes and obsess about them. Having multiple choices of very attractive tiles which look good longer and don’t fade is excellent. Tesla’s choices appear to be better than any existing solar tiles on the market.

Musk is right that in many places that the cost of the roof, plus the electricity it produces, plus the purported longevity of it, will make the overall cost of the solution cheaper than a normal roof and getting electricity from the grid. However, the roof itself is undoubtedly going to be quite a bit more expensive than a normal roof based, so amortization of the price is going to be critical somehow. But electricity prices vary widely across geographies, so it won’t make sense everywhere.

Musk’s suggestion that a third of energy will come from rooftop solar and two-thirds from the grid is off I think. Only about 25% of households are situated and oriented in ways that provide useful solar exposure according to the EIA or NREL (I forget which). I crunched the numbers and only large, detached, ranch-style, southern US homes could generate enough electricity to provide the full years needs. Office, condo and apartment buildings have a lower roof surface area compared to interior volume and usually have window washing, elevator mechanicals and/or HVAC on the roofs which diminishes available surface even more. Only big box stores, warehouses, casinos and the like have particularly high roof surface areas to interior volume ratios. It’s more likely that distributed solar will support only 10% of electrical demand. That’s good, but not 33%.

Musk glossed over the two electric cars in every garage scenario in the video when he was talking about demand. Normal patterns are for cars to be away from homes during peak solar periods and the PowerWalls hold less than 20% of a Tesla car’s battery and pump electricity way too slowly to charge a car. Basically, you still have to be plugged into the grid to charge your cars, which is fine, but the video downplayed that a lot. Like point three about the actual percent of electricity likely to be provided by rooftop solar, there’s an implicit overstatement in the video.

More urban densification is occurring globally. Fewer people are living in detached homes with big roofs as a percentage of people. The tiles are gorgeous, but the demographic for them is growing more slowly than the population. It’s kind of targeting a slow growth market, which is a challenge. Utility solar is a much faster growth market, as are automobiles.

I think the 2% degradation due to the decorativeness of the tiles might be an understatement. That 2% is likely when the sun is perfectly aligned at 90 degrees to the tiles where the peekaboo louvers allow the most light through. The sun will rarely be perfectly aligned and roofs are only coincidentally well aligned with the sun. I’d expect a higher degradation in actual use compared to normal solar panels. This might or might not be relevant.

Overall, it's a great product and an excellent addition to Tesla’s product suite, but it's not the game changer the cars and soon to be trucks are though in my opinion.

This question originally appeared on Quora - the place to gain and share knowledge, empowering people to learn from others and better understand the world. You can follow Quora on Twitter, Facebook, and Google+. More questions:

Tesla Powerwall 2 and Solar Roof Announcement: What is the estimated price for a Tesla solar roof?
Solar Energy: What is the future of solar energy?
Tesla: Why would investors give money to Tesla when it states that profit is not its primary goal?

Source Forbes

29/04/2017

La brique en Sologne se dévoile

Lauranne Stainier, devant le four de la tuilerie de Pont Long. 

L'association Les Amis des tuileries et briqueteries de Sologne (ATBS) a invité Lauranne Stainier, spécialiste de l'histoire de l'art, pour présenter vendredi 24 mars, une conférence sur l'histoire de la brique en Sologne.

Devant un public nombreux, Pierre Chirol, président de l'association ATBS, a introduit la conférence en rappelant l'objectif de l'association : dans un premier temps le rachat du site de la tuilerie de Pont Long de Ménestreau-en-Villette pour pouvoir y accéder, le protéger et étayer les structures de façon à pouvoir ensuite le restaurer. Puis faire vivre le site avec diverses activités telles que l'accueil des scolaires afin de leur expliquer ce que la brique représente dans le patrimoine de la Sologne et d'accueillir des spectacles sur le thème de la Sologne.

Puis Lauranne Stainier a captivé un auditoire nombreux en rappelant que l'utilisation de la brique remonte au XVe siècle, que ce nouveau matériau avait été choisi par les rois pour embellir l'architecture de leurs châteaux et se distinguer de l'art décoratif du nord de la France ou des décors ornementaux hollandais. Puis après un saut dans le temps, la conférencière a conduit le public au XIXe siècle, sous Napoléon III qui a redonné à la Sologne un essor agricole, sylvicole et économique. Les constructions de nombreux châteaux et des nouveaux villages ont nécessité beaucoup de briques d'où les nombreuses briqueteries et tuileries solognotes, faisant maintenant partie du patrimoine historique solognot.

Source La Nouvelle Republique

28/04/2017

WITH THE ACQUISITION OF SMB MASCHINENBAU GMBH, VÖHRINGEN, LINGL EXPANDS ITS CORE COMPETENCES IN THE MACHINERY AND PLANT ENGINEERING SECTOR

On 24 March 2017, Lingl Anlagenbau und Verfahrenstechnik GmbH & Co. KG (LINGL) acquired the know-how and the intangible assets of SMB Maschinenbau GmbH as part of an asset deal.

Based in Vöhringen, SMB is a regionally well-known and recognized company specialized in machinery and plant engineering for the timber processing industry.

With the acquisition of SMB, LINGL expands its core competences by adding another, new business segment to the group’s portfolio. On 3 April 2017, the newly-established SMB Maschinenbau GmbH & Co. KG headed by the Managing Director, Mr. Hugo Schneider, has started production with ten former employees of SMB at the LINGL headquarters in Krumbach.

A first major order placed by the Fruytier Group in Belgium is already in hand.

The acquisition of this sector will not only bring additional advantages for the in-house plant technology of LINGL but also generate additional sales potential.

Source LINGL

27/04/2017

BRIEF-Combined Icopal and Braas Monier business will operate under name "BMI Group"

Braas Monier Building Group SA:

* Standard Industries completes acquisition of Braas Monier to form global roofing leader

* Combined Icopal and Braas Monier business will operate under name "BMI Group"

* Tony Robson, Executive Chairman of Icopal, will become Executive Chairman of BMI Group

* Matthew Russell Chief Financial Officer (CFO) of Braas Monier, will become CFO of BMI Group Source text for Eikon: Further company coverage: (Gdynia Newsroom)

Source Reuters