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08/05/2016

TECAUMA: un véritable savoir-faire reconnu en manutention de produits céramiques (terres cuites)


LA SOCIÉTÉ
Le métier de TECAUMA est la conception, la fabrication, l'assemblage et la mise en route de lignes de production automatique et d'équipements de manutentions pour différents secteurs d'activités et principalement le bois, la menuiserie industrielle, la terre cuite, le béton et l'agroalimentaire.
Fort de ces diversifications et d'un savoir-faire reconnu, TECAUMA a la capacité de proposer des lignes ou équipements pour d'autres secteurs d'activités.
TECAUMA possède aussi une réelle expertise en cellules robotisées qui lui a déjà permis de mettre en oeuvre ces solutions dans de nombreux secteurs d'activités avec des contraintes de cadence et de précision très élevées.
L'ensemble des solutions développées par TECAUMA répond efficacement à des problématiques de production, de productivité, d'ergonomie et de sécurité.
Dès la conception, les contraintes de maintenance des équipements sont intégrées dans la réflexion et assurent aux clients, l'intégration de composants de marques notoirement connues et des coûts d'entretien limités.
L'ORGANISATION
Le Système de Management Qualité de TECAUMA est certifié AFAQ ISO 9001.
L'entreprise TECAUMA a un effectif de 65 personnes, qui se consacrent pour moitié à l'ingénierie et pour moitié à la réalisation.
Dès la phase de consultation, TECAUMA établit une offre détaillée et précise des équipements qu'elle conseille et qui répond intégralement aux spécificités techniques du produit à manutentionner et aux performances attendues par le client.
Les équipements sont ensuite réalisés selon le cahier des charges établi lors de la consultation. De la commande à la mise en production, l'un de nos chefs de projet devient l'interlocuteur unique du client. Il lui assure une qualité de prestations, une réactivité et un respect des délais qui sont les valeurs essentielles de l'entreprise.
Tous nos équipements sont montés et essayés dans nos halls d'assemblage d'une surface de 6 000 m². Une réception interne avec le client garantit la conformité et la qualité des projets avant livraison. Après livraison, notre service après-vente réactif répond efficacement à vos besoins de pièces de rechange, maintenance et dépannage.
Pour vous assurer cette qualité de prestation, TECAUMA s'appuie sur : Une équipe de techniciens et d'ingénieurs expérimentés, Une capacité d'adaptation pour proposer à ses clients, des solutions sur mesure, Un Service Après-Vente reconnu pour son efficacité.
PLUS DE 30 ANNÉES D'EXPÉRIENCE...

Fondée en 1977, par M. Gérard HERBRETEAU, l'entreprise a toujours cultivé une diversification dans les secteurs d'activités lui permettant ainsi d'apprendre, et de se constituer un véritable savoir-faire dans la manutention et les process de ses clients. TECAUMA possède aujourd'hui un large parc installé dans de nombreux secteurs d'activités en France et à l'étranger. Ces lignes et équipements sont largement reconnus pour leur fiabilité et leurs performances.
Pour conforter sa position, TECAUMA innove dans de nouveaux équipements pour anticiper les évolutions des produits et les process de fabrication. De nombreux brevets ont déja été déposés.
En France et à l'étranger, TECAUMA est l'acteur de nombreux projets de référence qui permettent de proposer à ses clients des solutions largement éprouvées.

Source TECAUMA

07/05/2016

Par de là le mur... la brique

C'est le plus vieux matériau de construction mis au point par l'homme.
S'il a ses inconditionnels, il est aussi parfois considéré comme trop standard
par les puristes contemporains, surtout dans sa version rouge orangé des plus communes dans nos contrées et adulée du secteur clé sur porte. Mais en réalité ce petit parallélépipède d'argile est bien plus que cela.
"Il y a de l'alchimie dans la brique, le feu transformant la terre et l'eau en un matériau plus durable que la pierre. Grâce à lui, une matière première tendre et éphémère, la boue, devient dure, éternelle et belle", écrit l'historien de l'art Dan Cruickshank en avant-propos d'un ouvrage des éditions Phaidon.
Celui-ci rend hommage à ce module de maçonnerie qui, assemblé, donne naissance, depuis la nuit des temps, à de somptueux bâtiments : des thermes de Caracalla, à Rome, bâtis en 216 avant notre ère aux oeuvres très novatrices d'architectes d'aujourd'hui tels que Peter Zumthor ou Frank Gehry, en passant par de nombreux ouvrages devenus icônes du XXe siècle et signés Mies van der Rohe, Frank Lloyd Wright ou encore Alvar Aalto.
Au fil des pages, le lecteur découvre que l'expressivité de la brique est sans limite et que la répétition de cet élément à l'infini génère des volumes graphiques et texturés, magnifiés par les jeux d'ombre et de lumière. Pour le plaisir des yeux.

Brique, par William Hall, Phaidon, 224 pages. www.phaidon.com
Source Week End par Fanny Bouvry

06/05/2016

MAROC - MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION : UN PREMIER TRIMESTRE DÉCEVANT

La demande a rebondi en début d’année du fait du décalage des précipitations, mais l’embellie s’est progressivement estompée. La multiplication des défaillances chez la clientèle a poussé les fabricants à lever le pied sur les prises de commandes.
Alors que le secteur des matériaux de construction a commencé l’année du bon pied, les choses se sont gâtées au fil des mois. «A l’entame de 2016, nous avons été surpris de recevoir des commandes beaucoup plus importantes que ce que nous avons budgété sur la base de 2015», explique le directeur d’une entreprise de béton préfabriqué. Il en a résulté un mois de janvier particulièrement porteur pour les industriels, tous produits confondus, ce que reflète bien l’augmentation des ventes de ciment de 12% sur la période, qui ne s’est toutefois pas transmise dans cette même proportion aux autres produits. Les industriels de la brique, des gravettes, du béton,… ne font état que d’une progression de la demande autour de 6% sur le premier mois de l’année. La bonne dynamique s’est poursuivie en février quoique à un rythme atténué. Les ventes de ciment se sont appréciées de près de 8% sur le mois. Mais mars a connu un tassement, absorbant quasiment toute la hausse engrangée depuis le début de l’année. Le premier trimestre devrait ainsi se solder par une hausse de 3% au plus pour la majorité des filières, selon les professionnels. Et l’horizon ne semble pas s’éclaircir dans l’immédiat ; les patrons rapportent un calme plat en avril.
Les marchés publics donnent du fil à retordre aux entrepreneurs
Les industriels sont unanimes à attribuer le sursaut de la consommation au décalage des précipitations en 2016. «Les mois de janvier et février n’ont pas connu de pluies contrairement à l’année d’avant, ce qui a permis aux chantiers de tourner à régime constant. Mais la donne a changé par la suite», insiste Mehdi Maachi, vice-président de l’Association marocaine de l’industrie du béton (AMIB). Au-delà, il ressort que plusieurs opérateurs ont volontairement ralenti leurs ventes en raison des défaillances des clients. «Plusieurs acheteurs que nous avons fournis en janvier n’ont pas été en mesure d’honorer leur dette, ce qui nous a poussés à lever le pied sur la prise de commandes», illustre un industriel. Notons à ce titre que le spécialiste du renseignement commercial Inforisk a recensé 1 714 défaillances pour le seul premier trimestre, soit une hausse d’environ 15% par rapport à la même période de l’année passée.
Bien évidemment, ce problème de défaillances est à lier à l’atonie persistante des ventes des promoteurs immobiliers (www.lavieeco.com). Le tableau n’est guère plus reluisant côté entreprises de BTP, du fait de la baisse de régime des marchés publics, sujets en plus à des lourdeurs administratives engendrées par le nouveau découpage régional, ainsi que le rapportent les professionnels. S’ajoute à cela la persistance des retards de paiement de l’administration. Ce briquetier explique ainsi avoir du mal à se faire payer par son client, une entreprise de BTP qui a réalisé les travaux de gros œuvre d’une école publique. «Le comble est que cet établissement a ouvert ses portes durant cette rentrée scolaire», confie-t-il. Il reste l’auto-construction. Mais outre la forte fluctuation de ce marché, les professionnels insistent sur le fait qu’il échappe dans sa majeure partie au circuit formel, les clients préférant recourir au noir pour faire des économies.
Tout cela étant, il faut préciser que le rebond de la demande au début de l’année n’a concerné que les produits de gros œuvres, ce qui exclut donc les matériaux de finition. Et pour cause, ce sont essentiellement les mises en chantier qui ont stimulé la demande. Or, celles-ci n’induisent une demande de produits de finition que 9 mois plus tard en moyenne, le temps que les chantiers avancent.
Dans ce contexte, les industriels de la céramique rapportent par exemple une baisse des volumes vendus de 7 à 8% sur le premier trimestre.
Les industriels prudents sur les mois à venir
Pourtant, «les opérateurs ont concédé des baisses de prix allant jusqu’à 7% pour stimuler la demande et faire face à la concurrence des importations en s’aidant de l’allègement du coût de l’énergie», insiste Mohsine Lazrak, président de l’Association professionnelle des industries céramiques (APIC). Mais cet effort sur les tarifs n’a eu en bout de course pour effet que d’enfoncer le chiffre d’affaires du secteur de 10%.
A préciser que les céramistes sont loin d’être une exception dans leur effort sur les tarifs puisque les industriels du béton qui sont en surcapacité de 30 à 40% ont appliqué dans l’ensemble une baisse des prix de 3% sur le seul premier trimestre, ce qui ressort une baisse cumulée de 25% depuis 2007, selon les professionnels. Les prix de l’acier (fil machine et rond à béton) restent tout autant orientés à la baisse après avoir reculé de plus de 10% en 2015, apprend-on auprès du sidérurgiste Sonasid.
Pour les mois à venir, peu d’industriels acceptent de se livrer au jeu des pronostics. Seule certitude qui se dégage, 2016 sera difficile pour le secteur, mais elle est aussi une année charnière avec la mise sur rails du contrat de performance du secteur des matériaux de construction (voir encadré).
Contrat de performance : des solutions à la carte pour chaque secteur Le contrat de performance signé ces derniers jours par le ministère de l’industrie et 5 filières des matériaux de construction (préfabriqué, céramique, marbre, acier et ciment) mettra en place des solutions à la carte pour remédier aux problémes spécifiques à chaque secteur. Par exemple, l’industrie céramique qui se défend mal sur les marchés à l’export du fait de la lourdeur du coût local de l’énergie devrait bénéficier d’un appui pour se mettre au gaz naturel, entre autres mesures. Un opérateur est même en train de migrer vers cette source d’énergie. La démarche est tout aussi fine s’agissant de l’industrie du béton préfabriqué dont les opérateurs ont été divisés en trois grands groupes (grandes, moyennes et petites entreprises) qui bénéficieront chacun de soutiens ciblés (mise à disposition d’un foncier locatif, appui à l’innovation et à la normalisation, agrégation…). Les attentes de l’Exécutif vis-à-vis de toutes ces filières sont toutes aussi précises et au-delà des 28000 emplois que devra induire le contrat de performance d’ici 2020, chaque secteur s’engage sur un volume de créations déterminé.
Source La Vie Eco

05/05/2016

Le ciment, trop polluant ? Deux Français inventent une argile aussi solide que du béton

Alors que 100 tonnes de ciment se coulent chaque seconde sur la planète, l'ingénieur Daniel Hoffman et le PDG de l'entreprise vendéenne Argilus Julien Blanchard ont mis au point un procédé qui permettra de produire, dès 2017, un matériau de construction au bilan carbone très allégé.

Ils ont trouvé une façon de rendre l’argile aussi solide que du béton. En Vendée, à Chaillé-sous-les-Ormeaux, l’ingénieur Daniel Hoffman et le PDG de l'entreprise Argilus Julien Blanchard ont mis au point un procédé inédit baptisé HP2A (Haute performance activation alcaline), qui permettra de produire un matériau de construction au bilan carbone très allégé.
Contrairement au ciment classique, qui nécessite de brûler du calcaire dans un four à 1 300°, et dont une tonne produite génère autant de CO2, leur argile n’est pas obtenue par cuisson. Résultat, sa fabrication produit 20 fois moins de dioxyde de carbone, soit 50 kg seulement pour une tonne.
Autre avantage sur le ciment traditionnel : le "ciment argileux" est recyclable jusqu'à 40 ans après son utilisation, après quoi il peut servir de liant pour fabriquer du béton.
Quelle est la recette de ce produit apparemment avant-gardiste ? Ses deux fondateurs restent évasifs sur la question. Il tiennent à protéger leur invention, pour laquelle ils ont déposé un onéreux brevet à l’échelle mondiale, se contentant d’expliquer que leur matériau est fabriqué "essentiellement à base d’argile, à laquelle on ajoute une série de molécules issues de matières premières que l’on trouve partout et à moindre coût".
Surtout, les deux associés ont annoncé que ce ciment "argileux" permettra de fabriquer du béton plus simplement que ne l'est le ciment classique (calcaire), qui ne peut qu’être mélangé avec du sable noble (provenant de rivières, de plages ou de carrières).
Leur matériau, lui, peut former du béton en association avec de l’eau et n'importe quel sable, mais aussi des matières végétales telles que le chanvre ou des agrégats de construction.
Ainsi, plus besoin d’importer du sable afin d’alimenter la production d’un béton assez solide pour les constructions immobilières. Grâce au HP2A, on pourrait directement se servir dans les déserts, dont le sable était jusqu'alors considéré comme impropre pour les travaux publics.
Une alternative prometteuse, alors que 100 tonnes de ciment se coulent chaque seconde sur la planète, et que l'industrie bétonnière a déjà grignoté le sable d'au moins 75 % des plages du monde. Pour la construction d'une maison de taille moyenne, pas moins de 200 tonnes de sable sont nécessaires, et plus de 30 000 pour un seul kilomètre d'autoroute !
Les fondateurs avancent aussi que leur ciment argileux est plus souple que son homologue traditionnel, ce qui pourrait faciliter la construction d'arrondis, notamment pour les trottoirs, les bancs publics, la structure interne des panneaux anti-feu ou les bandes de séparation des autoroutes.
Dernier atout de cette découverte : son coût de production, légèrement inférieur à celui du ciment classique. Un argument qui intéresse d'ores et déjà Total, Michelin et Airbus, qui ont décidé de soutenir le développement et la commercialisation du produit de la PME vendéenne. Ce ciment novateur sera produit à partir de début 2017 et devrait arriver sur le marché au second trimestre de la même année.
Source We Demain par Lara Charmeil

04/05/2016

Matériaux de construction : un premier trimestre mitigé

Selon les chiffres de la conjoncture des matériaux de construction publiés par l'Unicem, le redressement amorcé fin 2015 s'est ralenti au premier trimestre 2016. Cependant, si la reprise semble encore hésitante, les signaux encourageants se multiplient du côté du bâtiment.
Après une légère reprise du marché des matériaux amorcée à l'automne 2015, le premier trimestre 2016 enregistre un ralentissement de l'activité. Dans sa note publiée le 25 avril, l'Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem), révèle que l'activité de livraison de granulats s'est quasiment stabilisée sur le premier trimestre, avec un recul de 0,6 % par rapport au trimestre précédent et de 0,2 % par rapport au premier trimestre 2015. Même constat pour le béton prêt à l'emploi (BPE) qui enregistre un repli de 0,5 % au premier trimestre 2016 par rapport au trimestre précédent mais progresse de 0,6 % sur un an. En revanche, du côté des autres matériaux (ciment, tuiles, briques…), la note de conjoncture estime que "la tendance à l'amélioration est perceptible depuis la fin de l'été 2015".
Des signaux positifs pour 2016 dans le bâtiment
Du côté du bâtiment, les signaux sont encourageants et pourraient contribuer à redynamiser la demande des matériaux de construction dans les mois à venir, juge l'Unicem. En effet, la fédération s'appuie sur les résultats de l'enquête mensuelle réalisée par l'Insee en avril auprès des professionnels du secteur, qui montrent que les perspectives d'activité affichent un net redressement. Et même si les carnets de commandes sont jugés encore peu garnis, ils se sont en revanche étoffés dans le gros œuvre.

A souligner également que selon les chiffres de la construction, publiés fin févier, les mises en chantier ont grimpé de 1,9%, entre décembre 2015 et février 2016. Une tendance particulièrement marquée pour le logement collectif, avec une hausse des permis de 10,2% et des ouvertures de chantier qui progressent de 3,7%, note l'Unicem.
Des prévisions de commandes optimistes pour les travaux publics
Du côté de l'artisanat du bâtiment, l'activité semble repartir également, note l'Unicem, rappelant qu'après quatre années de recul, le secteur a renoué avec une croissance de 1% au premier trimestre 2016, selon les données révélées récemment par la Capeb. La fédération prend aussi en compte la reprise du marché immobilier, soutenue par des conditions de prêts et des incitations attractives, et qui devrait être favorable au secteur bâtiment.
Enfin, la note de conjoncture révèle que l'activité dans les travaux publics "peine à se redresser". Même si les marchés conclus sont un peu plus dynamiques, une enquête de la Banque de France menée en avril révèle que les carnets de commandes restent insuffisants. Cependant, l'étude donne des prévisions optimistes. En effet, le raffermissement de l'activité constaté au premier trimestre devrait se poursuivre au deuxième trimestre.

Source Batiactu

03/05/2016

La tuile, une réussite made in France

Les fabricants français de tuiles exposent leurs produits à la Foire de Paris, qui s'est ouverte vendredi 29 avril. Un secteur qui s'est imposé à l'international.
Véritable réussite made in France, la tuile n'est plus reléguée aux toits, mais orne également les façades. Les tuiles s'adaptent à tous les styles : du très traditionnel au plus contemporain. "En dehors des qualités esthétiques, la tuile est un bon moyen d'isolation thermique", nous renseigne l'architecte Marc Sirvin.
871 millions d'euros de chiffre d'affaires
Ce matériau remonte à la haute Antiquité. De fabrication manuelle à l'époque, la tuile est conçue de façon industrielle depuis les années 30. Aujourd'hui, la France est l'un des premiers exportateurs de tuiles au monde, rapportant 871 millions d'euros de chiffre d'affaires et faisant travailler plus de 80 entreprises.

Parmi ces entreprises : Terreal, l'un des leaders mondiaux du secteur, situé à Bavent (Calvados). L'usine s'est construite autour d'une grande carrière d'argile grise, matière première indispensable. Pour la couleur, elle est mélangée à de l'argile rouge.

800 000 tonnes de tuiles sont produites dans l'usine chaque année. Elles serviront à couvrir les toits français ou seront expédiées à l'étranger.

Source FranceTV Info

ALGERIE-BATIMATEC 2016, cap sur le développement durable

Le salon du bâtiment et des matériaux de construction Batimatec, n'a pas perdu sa cote auprès des professionnels du secteur malgré la conjoncture économique actuelle. L’ouverture de la 19ème édition le 3 mai dernier a été marquée par un nombre plus élevé d'exposants nationaux et étrangers, un nombre de visiteurs croissant au fil des jours mais surtout par un intérêt clairement affiché pour la performance environnementale et énergétique.
Que ce soit dans les procédés et matériaux de construction ou équipements pour différentes industries, de réelles actions pragmatiques et opérationnelles se mettent en place.
Équipements
Du coté des exposants étrangers, c’est la pompe à chaleur à gaz (GHP) de la marque Toyota qui s’annonce comme la solution énergétique la plus innovante. Le directeur Afrique de l’entreprise Edergen, installateur de GHP, Rédha Tachi explique que la GHP est un système intégré de production d’énergie, elle permet de produire le chaud, le froid et eau chaude sanitaire, de plus elle est alimentée au gaz naturel qui est une source d’énergie propre.
"Aujourd’hui nous proposons la climatisation à gaz. Cet équipement trouve largement sa place sur le marché Algérien, prochainement nous allons inaugurer une promotion immobilière de villas à Tiksraine, ce promoteur a opté pour cette solution. L’évolution dans la conception du bâtiment est basée aujourd’hui sur l’économie d’énergie, le rendement et le faible cout d’exploitation qui est l’un des avantages majeurs de la GHP", précise-t-il.
En effet les avantages d’une GHP sont multiples. Elle permet de réduire les émissions de CO2 (40% d’économie de CO2). La GHP garde la puissance constante même à températures extrêmes. Chaque GHP installée à la place d’une chaudière traditionnelle à gaz de même capacité permet une économie de CO2 de 40%. Le directeur Afrique de cette entreprise Rédha Tachi, souligne qu’il y a un réel intérêt de la part des industriels Algériens. "Notre activité s’est largement étendue, on nous sollicite de tout le territoire national. Nos clients sont des PME, de grande entreprise mais aussi des tertiaire et collectivité à forte consommation d’énergie", affirme-t-il.
Processus et matériaux de construction
Du coté des entreprises Algériennes, la briqueterie Bouras a opté pour l’utilisation de matériaux naturels et non polluants à savoir l’argile. Son slogan "de la terre, de l’eau du feu et du talent pour bâtir", explique clairement que l’entreprise favorise les démarches environnementales.
"Nous somme une entreprise spécialisée dans la transformation de produits rouges à savoir l’argile pour la production de brique. nous produisons la brique naturelle c'est-à-dire s
ans aucun ajout chimique. Certains ajouts notamment les colorants ont un impact négatif sur l’environnement et aussi sur la santé des travailleurs dans l’usine". "Ce choix a été une initiative de l’entreprise depuis sa création en 1989 à Sétif », précise Imad Zahouane chargé de communication au sein du groupe.
Ce responsable explique que le processus de fabrication de brique pour cette briqueterie est écologique. Après son extraction dans des argilières, l’argile est laissée reposer entre une année et deux ans, pendant cette période l’argile se purifie en dégageant tous les acides qu’elle contient. Vient ensuite le broyage et le malaxage le séchage et enfin la cuisson. Pour cette dernière étape Imad Zahouane explique que pour obtenir une brique rouge, il existe d’autres alternatives que d’aller vers les produits chimiques. "Au moment de la cuisson nous utilisant une température ambiante nous permettant d’obtenir la couleur rouge de manière naturelle".
Ceci dit il ne manque pas de préciser que l’implication de l’entreprise dans la préservation de l’environnement ne semble pas intéresser l’acheteur local le prix demeure son premier atout.
Néanmoins le produit de la briqueterie Bouras, parvient à s’internationaliser grâce à son processus et le respect des normes en vigueur.
Le groupe industriel des ciments d’Algérie (GICA) explore aussi des voies qui permettront de réduire l’impacte environnemental de cette industrie. Dans ce sens la station de granulats de Boussaada (M’sila) a doté récemment son unité de quatre dépoussiéreurs à air avec des convoyeurs entièrement capotés.
Pour sa part le directeur général de la cimenterie de Sour El Ghozlane, Brahim Bibi, a indiqué dans un communiqué de presse, que l’usine a connu des rénovations en début d’année et l’installation d’un filtre à manche qui ne dégage pas de poussière polluante pour l’environnement. La nouvelle édition du Batimatec a aussi consacré dans son programme de conférences un volet pour l’environnement notamment l’éco- construction. Cette conférence qui se tiendra demain abordera plusieurs thèmes notamment ; le verre et l’économie d’énergie, les solutions Schneider Electric pour le résidentiel et petit tertiaire, présentation des projets de Pôle- Eco construction d’Oran et de Sétif…etc.
Source Huffpost Algérie par Latifa abada

02/05/2016

WIENERBERGER - CLIMAmur® et DRYFIX® : le nouveau couple qui va faire sensation

Wienerberger, premier briquetier mondial, réussi avec succès l’association de deux de ses innovations, la brique CLIMAmur® et le procédé DRYFIX®, pour encore plus d’efficacité. Confirmée par l’obtention de l’Avis Technique (16/15-722), cette association permet de combiner les qualités d’isolation et d’inertie de CLIMAmur® avec la rapidité et le confort de pose de DRYFIX®.

Des performances thermiques optimisées
La brique terre cuite CLIMAmur® et le liant de mise en œuvre DRYFIX® répondent idéalement aux multiples exigences chantier, avec, en constante, une grande compétitivité et un confort de pose optimal pour des chantiers pouvant être réalisés jusqu’à - 5 °C.
• Présenté en cartouches de 0,75 litre, DRYFIX®, liant mono-composant en mousse à prise ultrarapide, est dédié au collage horizontal des briques rectifiées Porotherm ; DRYFIX® s’impose pour sa compétitivité sur chantier, comme pour ses qualités d’amélioration des conditions de travail et de respect de l’environnement. Doté d’une force adhésive extrêmement élevée, il assure la réalisation de murs porteurs, de tous types de bâtiments allant jusqu’à R+1+comble. Rapide et simple à utiliser, rappelons que DRYFIX® génère un gain de temps d’environ 50 % par rapport à une maçonnerie réalisée à la truelle et de 30 % pour une Maçonnerie Roulée®.

• Solution à la fois auto-porteuse et auto-isolante, la brique CLIMAmur® ne nécessite aucun doublage d’isolant supplémentaire grâce à sa haute inertie thermique. L’alliance de la terre cuite (100 % naturelle) et la laine de roche (100 % minérale) de la gamme CLIMAmur® contribue à la qualité de l’air pour un habitat sain, sans moisissures, avec une isolation minérale protégée durablement et une température stable pour un agréable confort hiver comme été. Parfaitement conforme à la RT 2012 et anticipant les standards prévus pour l’habitat à énergie positive (Bepos), Wienerberger décline une gamme complète CLIMAmur® en 30, 36 et 42 cm de large.
CLIMAmur® et DRYFIX® affichent de hautes performances thermiques innovantes
CLIMAmur® 30 - R = 4.05 m².K/W
CLIMAmur® 36 - R = 4.88 m².K/W
CLIMAmur® 42 - R = 5.71 m².K/W
Enfin, soulignons que l’association CLIMAmur®/DRYFIX® est possible en zone sismique, il convient simplement d’appliquer 4 cordons de liant DRYFIX® au lieu des 2 cordons habituels.
L’obtention de cet Avis Technique confirme une nouvelle fois la stratégie d’engagement de Wienerberger visant toujours plus de confort, de qualité et de compétitivité.
Fondé à Vienne en 1819, Wienerberger est aujourd’hui le 1er briquetier mondial et le 1er tuilier européen. La terre cuite, matériau sain, économique et écologique, répond idéalement aux projets de constructions à haute performance énergétique. Matériaux écoresponsables, les briques et tuiles terres cuites ont une durée de vie minimum de 100 ans. Présent dans 30 pays, ses 204 usines emploient plus de 14800 personnes à travers le monde. En France, 830 salariés travaillent dans les 10 usines de tuiles et briques détenues par le groupe. Le chiffre d’affaires en 2014 atteint 178 millions d’euros avec 4 marques reconnues : Argeton - Solutions façade, Koramic - Solutions toiture et façade, Porotherm - Solutions mur et Terca - Solutions façade.
Pour toute information complémentaire, s’adresser à : Wienerberger SAS - 8, rue du Canal - Achenheim - 67087 Strasbourg Cedex 2 Tél. 03 90 64 64 64 - Fax 03 90 64 64 61 - www.wienerberger.fr

Source N-Schilling

01/05/2016

New technology to slash brick costs

Sydney company Brickworks is planning to introduce a revolutionary new technology to Western Australia it believes will cut the cost of manufacturing bricks by 30 per cent.

The building products group announced today it had entered into an exclusive agreement with Colorado-based Direxa Engineering for the use of its skate-kiln technology.

The skate-kiln technology removes the need for kiln cars when manufacturing bricks, and has the potential to lower both the capital cost of building a new plant and brick manufacturing costs by 30 per cent.

“Brickworks has an exclusive agreement to utilise this skate kiln technology in certain markets in Australia, with Western Australia having been identified as a priority for deployment,” Brickworks said in a statement.

“Initial planning is under way for the construction of a new plant utilising this technology in WA, with a target commissioning date in the first quarter of the 2018 financial year.”
Brickworks also announced today that its Auswest Timbers business had recently completed the purchase of the previously closed Whittakers timber mill in Greenbushes.
Auswest will use the low-cost mill to process smaller-sized jarrah logs, and will transfer operations from the company’s Deanmill site.

Brickworks also said its Austal Bricks subsidiary planned to re-open its Cardup plant, south of Byford.

“A refit to automate the currently mothballed Cardup plant is now underway and will deliver a significant improvement in product quality and a lower manufacturing cost, due in part to this site benefitting from on-site clay services,” it said.

The news came on the same day Brickworks posted its best-ever first-half revenue of $358 million, with profit up 82 per cent to $76.9 million for the six months to December.
However, while the company’s order book for operations on the east coast remains strong, it says conditions in WA are deteriorating as building activity drops off.
“After reaching record levels in 2015, detached housing approvals in WA have now passed the peak and are declining sharply,” Brickworks said.

“Improved volumes delivered a positive EBIT impact of $2.4 million. Significant volume increases in most east coast operations was partially offset by declines in WA.”

That being said, the company’s Bristile Roofing subsidiary experienced a pickup inactivity in the state during the first-half, despite the sluggish property market.

Brickworks reported a 9.8 per cent increase in EBIT to $98.8 million, and declared an interim dividend of 16 cents per share.
“Improved earnings were achieved on the back of an increase in sales volume and prices, and improved production efficiencies that enabled manufacturing costs to be well contained,” the company said.

Overall earnings were lower in WA, as a result of a reduction in market activity and increased competition.
“As a result, sales volume decreased compared to the prior corresponding period, despite a small decrease in average selling prices,” it said.
“Prices in this market are now lower than they were seven years ago.”
Managing director Lindsay Partridge said the strong result was also supported by the group’s success in combating the ongoing competition from alternative products.
“Our products are becoming increasingly popular in key market segments,” he said.
“For example, we have seen a significant increase in the use of face brick in high rise residential and commercial developments, on the back of our investment in high fashion and our strong links to the architectural community.”

However, Mr Partridge said further growth in sales volume would be limited by external constraints.
“Residential building activity is now at the highest level on record, driven by the major markets of Sydney and Melbourne,” he said.
“As a result, the industry has now effectively reached capacity in these markets due to bottlenecks caused by trade and product shortages.”
The group’s Austral Bricks business experienced strong price increases in all states except WA, while Austral Masonry and Austral Timbers suffered from strong competition in WA.
Brickworks closed 0.4 per cent lower to $15.68 each.

Source Businessnews

30/04/2016

Limoux: après dix ans de sommeil la Tuilerie revit à nouveau

L’après-midi artistique et musical, dans l’antre de l’ancienne entreprise, a constitué un avant-goût de la mutation que va connaître ce lieu emblématique du Limouxin.
La manifestation à laquelle, il a été donné d’assister ce vendredi a constitué certainement une première du genre, tant dans l’originalité que par les animations proposées.
La vieille Carcasse emplie de musique
En effet, faire revivre la vieille carcasse faite de briques rouges, gorgées par la poussière de prés d’un siècle de fabrication de tuiles, tient vraiment du singulier. Car cette imposante bâtisse qui a représenté durant le siècle dernier un des deux (avec Myrys) fleurons de l’industrie limouxine, possède un caractère atypique.
La manifestation du jour avait pour but de réveiller ce lieu endormi depuis 2005, date du transfert de la structure de production, route de Saint-Polycarpe. Pour l’occasion, une exposition de photos retraçant les différentes étapes de la vie de l’entreprise a été dressée intra-muros. Mais aussi, un grand nombre de tableaux, de sculptures et compressions qui ont été mis en valeur dans un symbolique dé- dale de murs et de colonnes. Une estrade où ont siégé une quinzaine de musiciens ainsi qu’une cantatrice ont démontré si besoin était la qualité d’une acoustique irréprochable.
La nostalgie des anciens
Pour rien au monde ils n’auraient raté ce rendez-vous fait de mille souvenirs, ils, ce sont les anciens employés de l’usine Messieurs Prades, Bergnes, Sarda, Arzens et bien d’autres qui durant des décennies ont œuvré dans des conditions difficiles (poussières, bruit, chaleur des fours) et dont le regard était ce vendredi souvent empreint d’émotions en retrouvant ce pan de leur passé professionnel. «Ce qui nous fait plaisir» dira l’un d’eux, «c’est que la tuilerie ne sera pas rasée et utilisée à d’autres fins».
Une avant-première
Les élus à l’origine du projet de la médiathèque ont souhaité la tenue de cette journée d’animation qui doit être perçue comme une revue d’effectif avant le début des travaux. Jacques Ferrier, l’architecte de la médiathèque était aussi au rendez-vous pour la plantation d’un arbre symbolique. Reste désormais à procéder au nettoyage en profondeur de l’immense structure avant le lancement des travaux qui devraient commencer en 2017.

Source L'Indépendant

29/04/2016

Le savoir-faire de TERREAL valorisé au Journal Télévisé de France 2

La terre cuite, l'usine Terreal de Bavent, les produits "made in France" traditionnels et innovants... C'est ce que vous pouvez découvrir en visionnant la vidéo du Journal Télévisé de 13h de France 2 du vendredi 29 avril.

Les savoir-faire du groupe Terreal sont présentés dans cette vidéo de 4 minutes avec un focus sur notre production et un zoom sur nos produits de bardage. On y voit l’exemple de la maison Monopoly où des tuiles Rully émaillées avec 4 coloris enveloppent la façade et la toiture de ce pavillon.
Grâce à l'engagement quotidien de nos collaboratrices et collaborateurs et à la confiance que nous témoigne nos clients et partenaires, notre groupe œuvre chaque jour à l'amélioration de l'habitat.
Visionnez la vidéo ci-dessous. Retrouvez-la également sur YouTube

Source Terreal

Fabienne Lelandais dit au revoir à Terreal / Saint-Martin-Lalande

Tout le monde avait le cœur gros vendredi soir à la maison du peuple ! 

Le petit peuple de Terréal était venu pour dire au revoir à Fabienne Lelandais, et malgré les airs de petite fête de ce pot de départ, l'émotion était palpable !
C'est en 2007 que Fabienne a intégré le site de Saint-Martin-Lalande au poste de coordinatrice de la sécurité pour plusieurs usines du Sud de la France.
Dès ce premier poste, elle a su séduire ses interlocuteurs par son efficacité et son pragmatisme ! Le maire, Guy Bondouy se souvient de la façon dont elle avait géré de main de maître il y a quelque temps les petits soucis rencontrés avec le lac de la Bretonne.

En octobre 2013, elle devient la première femme de l'histoire de Terréal à occuper le poste de responsable de production !
Une fierté pour l'usine de Saint-Martin-Lalande, et une chance pour les 70 personnes qui se retrouvent alors sous sa bienveillante autorité : «avec elle on peut bosser !» s'exclame un des membres de l'équipe de production.
Et un autre de rajouter : «Elle est à l'écoute, attentive, gentille, et a un grand sens de l'humour !». Il y a quelques semaines, elle donnait sa démission, et dans quelques jours, c'est dans une nouvelle entreprise de la région toulousaine que toutes ses qualités seront appréciées !
Source La Dépêche du Midi

28/04/2016

WIENERBERGER: Terre cuite apparente

Les grandes longueurs, la diversité des teintes et des aspects de ces briques terre cuite permettent de nombreuses possibilités créatives contemporaines en façade neuve ou en rénovation.

Les briques grandes longueurs se déclinent en cinq gammes :

  • Longilignes (6 teintes ; formats : 495 x 100 x 38 mm et 510 x 100 x 40 mm) ; 
  • Expressives (8 teintes ; 288 x 90 x 48 mm) ; 
  • Équilibrées (6 teintes ; 288 x 90 x 48 mm) ; 
  • Originelles (4 teintes ; 238 x 90 x 48 mm) ; 
  • Audacieuses (4 teintes ; 495 x 95 x 48 mm). 


Cette gamme est complétée d’une série de briques émaillées, en finitions lisse, moulée main ou structurée, nacrée, métallique ou brillante, dans 43 coloris et toute couleur Ral. Elles sont disponibles en longueur jusqu’à 240 mm et plaquettes jusqu’à 290 mm.

Source Batijournal

27/04/2016

TECAUMA: Rendez-vous au salon Batimatec Alger

TECAUMA vous donne rendez-vous au salon BATIMATEC Alger, le salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics, qui aura lieu du 3 au 7 mai 2016 au Palais des Expositions des Pins Maritimes d'Alger.
Rendez-vous sur le stand TECAUMA:
HALL AHAGGAR - PAVILLON FRANCE - STAND AS3
TECAUMA vous présentera ses équipements de manutention de produits céramiques : paquettiseurs de briques, coupeurs de tuiles, installations robotiques... Mais aussi sa force de proposition en remplacement de machines, et en renouvellement d'ancien matériel pour rendre vos usines plus performantes et réaliser des économies d'énergie.

  • Paquettiseur de briques
  • Robot de manutention de tuiles


Pour la partie menuiserie, TECAUMA mettra en avant ses systèmes de stockage dynamique de profilés (PVC, aluminium, acier...), comme le TEC'UP PR, qui permet d'optimiser l'espace en stockant en hauteur, et de gagner en productivité et en gestion du stock.

Source Tecauma

Les plus beaux bâtiments en brique

ARCHITECTURE. Après un premier ouvrage consacré au béton, William Hall revient sur un matériau vernaculaire et universel, la brique.
Dégradé de briques dans l’entrée de la teinturerie Hoechst AG,à Francfort, par Peter Behrens.
La brique est à la mode. Appréciée pour ses qualités isolantes et esthétiques, elle est recommandée par la municipalité de Londres dans ses préconisations urbanistiques. « Il y a même une pénurie de briques au Royaume-Uni », s’étonne William Hall. Ce retour de flamme n’est pas la seule raison qui l’a poussé à consacrer un fort beau livre à ce matériau ancestral. C’est aussi la rareté des ouvrages généralistes sur la question. Il n’en existait qu’un seul jusque-là, selon l’auteur britannique, par ailleurs designer dans l’édition.
Car la brique a longtemps souffert d’une image négative et polémique. En Angleterre, on la trouvait déprimante car associée au logement social. Elle était davantage employée par des bâtisseurs que par des architectes.
D’où l’idée de cet « essai visuel » pour un public non averti, mais amateur de belles demeures. Point d’interview de chercheurs ou de propos jargonnants (un glossaire permet toutefois de préciser certains termes techniques), mais des notules courtes et prodigues en anecdotes savoureuses sur les 180 édifices ici rassemblés. William Hall raconte ainsi que Napoléon souhaitait rapporter « dans le creux de sa main » l’église gothique Sainte-Anne, à Vilnius, en Lituanie (XVIe siècle). Ce qui ne l’a pas empêché de la transformer en écurie pour la cavalerie française…
Classée selon des catégories avant tout esthétiques, la sélection, magnifiquement illustrée, donne la part belle aux édifices colorés, comme en témoigne le dégradé kaléidoscopique de briques indigo et vermillon qui pare l’incroyable hall d’entrée de la teinturerie Hoechst AG, à Francfort, conçue par Peter Behrens (1924).
À l’image de la spectaculaire rampe hélicoïdale du minaret de Samarra, en Irak (851), les contraintes imposées par les six faces de ce pavé de terre crue ou cuite obligent également les architectes à être créatifs pour arrondir les angles de ce matériau aux multiples facettes.
Source La Croix par Stéphane Dreyfus

26/04/2016

Avec bio'bric, vivez dans une maison saine et économe en énergie

Avec bio'bric, vivez dans une maison saine et économe en énergie Une maison construite en briques bio'bric est naturellement respectueuse de la santé de ses occupants. La naturalité de la brique associée à la qualité de fabrication Bouyer Leroux en font le matériau idéal pour construire des bâtiments sains, performants et économiques.
Bio’bric dispose d’un fort pouvoir isolant. Grâce à son inertie, la brique agit aussi comme une climatisation naturelle réversible. Votre maison est aussi agréable en été qu’en hiver, et votre facture d’énergie s’en trouve réduite. La constitution de bio’bric est uniquement minérale : c’est donc zéro moisissure et un classement A+ pour la qualité de l’air intérieur. La recherche de la bonne isolation est avant tout un choix de bon sens qui allie performance thermique, coûts maîtrisés et pérennité. Des raisons qui font de la brique le matériau le plus utilisé dans les constructions de maisons basse consommation.
Bio’bric est un matériau à forte inertie thermique qui régule naturellement la température à l’intérieur de la maison : économies d’énergie en hiver par la récupération des apports solaires et confort en été par la fraîcheur préservée des bâtiments. Il existe deux types de briques : les briques à isolation rapportée (gamme bgv), et les briques à isolation répartie (gamme mono’mur ). Ces dernières ne nécessitent ni l’ajout d’un isolant ni celui d’une cloison de doublage.
Gamme bgv 20 bio’bric : l’offre la plus large de briques de mur de 20 cm
Dotées de résistances thermiques situées entre 0,75 et 1,50 m².K/W, elles permettent d’être conforme aux exigences économiques et réglementaires pour tous les projets, en maisons individuelles et en logements collectif.

bgv 20 bio’bric : Le plus thermique de la terre cuite
Les exigences de la RT 2012 demandent un bâti plus isolant afin de diminuer les besoins en terme de chauffage des logements. Les exigences ont évolué vers des murs de plus en plus performants thermiquement. La brique terre cuite présente cette qualité intrinsèque. Le gain thermique de la gamme bgv 20 équivaut à un ajout d’isolant de 2 à 3,5 cm d’isolant en plus par rapport au bloc creux de béton courant tradi suivant le type de bgv.
Des accessoires destinés à limiter les déperditions d’énergie au niveau des ouvertures et du plancher complètent la gamme des briques de mur. Quand on sait que les ponts thermiques (ouvertures, planchers, refends) représentent autour de 20 % des déperditions d’une maison, on voit tout l’intérêt de traiter le mur dans sa globalité. Bouyer Leroux répond ainsi à la réglementation thermique 2012 (visant à réduire la consommation énergétique des bâtiments).
Mur’max

Le système mur’max constitue l’offre Premium de la gamme bio'bric. Sa performance thermique (R = 7,15 m2.K/W) permet de réaliser un bâti qui répond aux exigences d’isolation des maisons actuelles, et aussi de demain : maisons passive ou à énergie positive. D’une épaisseur de 42,5 cm hors enduit, mur’max est constitué de deux parois en terre cuite de 15 cm d’épaisseur entre lesquelles est disposé un isolant très performant de 120 mm d’épaisseur, l’isolant ainsi “encapsulé” est protégé de tous types d’agressions.
Brique plâtrière
Grâce à ses performances thermiques, acoustiques, mécaniques, de résistance au feu et à l’humidité, la cloison brique est à la solution qui répondra à tous vos projets Elle ne craint ni l’eau ni l’humidité et est donc particulièrement adaptée aux pièces humides telles que les salles de bain et les cuisines.
Elle est totalement incombustible et constitue, avec son enduit, le meilleur rempart au feu.
Elle répond parfaitement aux exigences de la réglementation acoustique.
Enfin, La cloison en briques supporte très bien les objets lourds tels que les meubles de cuisine dont l’accrochage ne nécessite pas l’utilisation de systèmes complexes et coûteux de fixation.
Conduit de fumée terre
Derrière le plaisir et le bien-être ressentis devant le crépitement d’un feu, se conjugue la satisfaction de profiter d’un mode de chauffage écologique et sûr dont la sécurité est garantie tant par le produit en lui-même que par la qualité de sa mise en œuvre.
Pourquoi choisir un conduit de fumée terre cuite ?
- Une solution économique 30 % moins chère fourni / posé qu'une solution préfabriquée.
- Un conduit Durable garanti 30 ans, très résistant à la corrosion et aux acides (classe 3) + FDES sur 100 ans.
- Une résistance au feu de cheminée à 1000° (G) et pour des températures de fumée très élevées (T600).
- Une construction saine avec tous les avantages naturels de la terre cuite.
BARDAGE
Bio’bric créée bio’bric façade : une nouvelle offre au service de votre créativité et de vos envies.
Association de la puissance industrielle de Bouyer Leroux et du talent artisanal de coloristes de premier plan, bio’bric façade est un nouvel atout qualitatif, performant et décoratif pour la façade d’aujourd’hui.
Des solutions pour laisser libre cours à la créativité

  • différentes longueurs et hauteurs disponibles - sur-mesure
  • grande variété de teintes (teintées masse, émaillées)
La promesse d’économies d’énergie
  • Isolation thermique par l’extérieur

Protection efficace contre l’humidité et les risques de condensation

  • système de façade ventilée
  • Esthétique durable
  • résistance aux UV,
  • résistance aux chocs (q3)
  • résistance au gel
  • Des économies d’énergie grâce à l’isolation thermique par l’extérieur

Mise en œuvre aisée :

  • possibilité de fixation sur ossatures primaires bois ou métal
  • possibilité de pose sur profil les métalliques ou liteaux bois
  • système d’accroche intègre au parement
  • emboitement entre parements offrant une souplesse de calepinage
  • Entretien sans contraintes
  • Facilite de remplacement en cas de casse

Tuile tégula

Les tuiles tégula se déclinent en une gamme complète de tuiles canal qui s’adaptera parfaitement à tous vos projets de construction neuve ou de rénovation. Grâce à leurs butées, les tégula46 et tégula50 restent en place quelles que soient les conditions climatiques. Toutes nos gammes disposent d’un large choix de coloris.
Notre Label Qualité Durable,
destiné aux constructeurs de maisons individuelles et maîtres d’œuvres partenaires de la marque bio'bric, permet d’assurer une qualité et des performances durables des bâtis. Ce label est délivré par Bureau veritas Certification, une fois le processus en place.


Source DKo

25/04/2016

ALGERIE: CLEIA ET CERIC SUR BATIMATEC 2016

Venez rencontrer vos interlocuteurs pour les technologies CLEIA et CERIC désormais réunis sur le salon BATIMATEC à Alger.
Retrouvez également les nouvelles forces opérationnelles pour l'ensemble de la gamme des machines Pelerin.
Avec notre société Claytec Service Algérie, l'ensemble des équipes de CLEIA se feront un plaisir de vous recevoir sur notre stand.
CLEIA - Stand AS10 - Pavillon France - Hall A3

Source CLEIA

Découverte du centre technique de matériaux naturels de construction

A quoi sert un centre technique dédié à la terre cuite et la pierre naturelle ? Visite du Centre technique des matériaux naturels de construction (CTMNC) situé à Clamart (92).
Construit en 1961, ce grand bâtiment en briques de 4500 m2, situé le long des lignes du tramway T6, abrite les équipes du Centre technique des matériaux naturels de construction (CTMNC).
Dédié exclusivement à la terre cuite pendant 50 ans, le Centre consacre, depuis 2007, 20 % de ses activités à la pierre naturelle (et donc 80 % à la terre cuite).
Le CCTB (Centre technique des tuiles et briques) a donc changé de nom en 2007 pour devenir le CTMNC. C’est aussi en 2007 qu’il s’est renforcé avec la création d’un laboratoire de 1000 m2 au sein du pôle de compétitivité céramique à Limoges.
Le Centre gère les deux départements (terre cuite et pierre naturelle), avec l’appui de 60 salariés répartis sur 3 sites : Clamart, Limoges et Paris dans le XVe arrondissement.
Ressources et financements
Comment vit un centre technique ? Un peu d’histoire tout d’abord… Les centres techniques industriels ont été créés après la seconde guerre mondiale par le ministère de l’Industrie. L’Etat souhaitait à ce moment mutualiser les activités de Recherche et Développement des fabricants pour les aider à relancer leur activité avec une offre de produits satisfaisante et suffisante pour faire face aux besoins de la reconstruction.
Une taxe affectée a donc été créée, les industriels concernés devant consacrer 4 pour mille de leur chiffre d’affaires au financement du centre technique (2 pour mille pour la pierre naturelle).
Sur un budget annuel de 7 millions d’euros pour le CTMNC, la taxe affectée fournit les 2/3 des ressources du centre technique. Le tiers restant provient de la vente de prestations (essais et services) du centre technique aux fabricants ou à d’autres partenaires ainsi que par le biais de projets de R&D collaboratifs.
Les activités du centre
Depuis 2007, le centre est placé sous la tutelle du Ministère de l’Ecologie, qui a récupéré dans son giron, le secteur des matières premières. La gestion du centre est contrôlée à la fois par les ministères de l’Ecologie et des Finances.
Le conseil d’administration du centre est présidé par les fabricants. Pierre Jonnard, Président de la Fédération française des Tuiles et Briques en est actuellement son Président,
Le CTMNC gère deux activités principales : les produits en terre cuite (principalement les tuiles et briques) ainsi que les roches ornementales et de construction.
Pour les tuiles et briques, l’activité concerne la matière première et le matériau (caractérisation, essais, études et recherches), les usines et le process de fabrication (qualité, certification, environnement) et la mise en œuvre des produits dans les ouvrages (murs, toitures, bâtiments).
Veille technologique et documentaire.. et de formation
Pour la pierre naturelle, le Centre s’occupe aussi du matériau pierre et de ses applications (construction, voierie, funéraire). Le Centre technique représente les professions dans toutes les activités de normalisation.
Le Centre assure également une mission de veille technologique et documentaire, et de formation pour les équipes des fabricants. La morosité des ventes des matériaux de construction depuis 5 ans a naturellement impacté le chiffre d’affaires de l’industrie de la terre cuite, et donc les ressources du centre technique.
« Nous devons travailler dans des budgets plus contraints et apprendre à articuler au mieux les activités commerciales et les activités de R&D » explique Bruno Martinet, directeur général du centre technique.
Source : batirama.com par Fabienne Leroy

24/04/2016

Materials Technologies revisite les matériaux

Yann Jaubert, le fondateur de Materials Technologies, pose une nouvelle brique dans la construction de son groupe d'ingénierie des matériaux de construction, notamment d'isolation. Il y a quelques semaines, il a fait entrer dans son giron la société ACC, basée à Compiègne, spécialiste de la conception d'équipements pour la production de laine minérale (verre ou roche).
Historiquement, ACC Technologies conçoit les équipements de réception du « matelas » de fils de verre, en sortie du four, ainsi que les étuves permettant leur polymérisation. Une étape essentielle pour conférer à la laine l'élasticité suffisante pour une découpe précise, puis un conditionnement sous forme de panneaux ou de rouleaux.
Travaillant pour les grands noms du secteur tels que Rockwool, Knauf ou Isover, ACC Technologies fabrique aussi des scies, des massicots et des lignes de production de coquilles, par exemple, pour l'isolation des tuyaux.
« L'acquisition d'ACC nous permet de disposer d'une expertise sur l'ensemble de la chaîne de fabrication des laines de verre ou de roche », souligne Yann Jaubert. Jusqu'à présent, Materials Technologies proposait en effet un ensemble d'équipements pour le « bout froid », notamment pour toutes les opérations post-étuvage, le contrôle qualité, la coupe ou l'emballage.
Nouveaux outils

Très impliqué sur la question de la transition énergétique, Yann Jaubert estime que la révolution qui touche actuellement le bâtiment n'en est qu'à ses prémices. C'est pourquoi il veut faire évoluer à la fois les matériaux et leurs process de fabrication. Via sa filiale Adler Technologies, elle aussi basée dans l'Oise, le groupe a déjà mis au point de nouvelles générations de presses dédiées à la fabrication de parpaings à la fois plus légers et plus isolants. « Nous continuons de consacrer 7 % de notre chiffre d'affaires à la R&D. Cela nous permet de proposer des machines plus efficaces, y compris sur le plan énergétique. La consommation de nos étuves est par exemple inférieure de 20 % à celle d'une machine standard », poursuit le dirigeant.
Avec ACC, Materials Technologies a franchi la barre des 200 salariés. Il devrait réaliser 45 millions d'euros de chiffre d'affaires cette année, contre 35 millions en 2015.
Source Les Echos par Guillaume Roussange

23/04/2016

Tournai: Une construction en terre crue érigée par des architectes en herbe

Des étudiants architectes de Saint-Luc (re)découvrent la terre crue en réalisant, sur le site de l’école, à Ramegnies-Chin, un abri pour vélos et pour fumeurs avec ce matériau «oublié».
Un curieux bâtiment est en cours de finition à l’entrée de Saint-Luc, à Ramegnies-chin.
Il est en réalité constitué d’un seul mur en forme de «S» au-dessus duquel viendra prendre place prochainement une toiture en bois. Un ensemble constitué de deux préaux; l’un servira d’abri pour les vélos et l’autre sera réservé aux fumeurs qui pourront goûter à l’herbe à Nicot, les pieds et la tête bien au sec.
L’originalité du pavillon réside dans le fait qu’il est réalisé exclusivement au moyen de terre crue, si l’on excepte la base construite en briques.
La main-d’œuvre nécessaire à cette érection est exclusivement fournie par des étudiants en architecture.
L’abri a d’ailleurs été conçu par trois d’entre eux- Paul-Édouard Bacqueville, Jean Delepaul et Antoine Payen - qui répondaient à un concours lancé par la faculté (LOCI) dans le cadre de la semaine de la terre crue organisée à Saint-Luc. Le pari étant d’utiliser ce matériau quelque peu oublié dans nos régions - la terre battue - qui s’avère pourtant particulièrement intéressant sur le plan écologique.
Très concrètement, le double abri (d’environ 70 mètres carrés), réalisé sur le site de Saint-Luc, a été construit grâce à la technique du «pisé ».
Laquelle consiste à tasser (damer) de la terre crue par couches successives d’une dizaine de centimètres dans des coffrages similaires à ceux utilisés pour la construction de murs en béton.
Pour qu’elle tienne, cette terre doit impérativement contenir une certaine quantité d’argile, laquelle sert en réalité de liant au matériau. Dans le cas d’espèce, de l’argile a été ajoutée à la terre préalablement tamisée afin de renforcer la cohésion de l’ensemble.
Une fois couvert, l’ouvrage peut, sans problème, résister aux intempéries.
Pour s’en convaincre, il suffit d’observer le bon état de conservation des maisons réalisées depuis plusieurs années déjà sur l’Archéosite d’Aubechies.
Elles aussi réalisées avec de la terre crue mais selon la technique du torchis, cette fois. Le pavillon en cours de finition à Saint-Luc devrait se dresser longtemps encore sur le site car il restera en place après le déménagement de la faculté vers le centre de Tournai lors de la prochaine rentrée et profitera aux élèves des sections secondaires.
Source L'Avenir par Vincent DUBOIS

22/04/2016

Nolay : Cleia devient le leader français de son secteur

Avec la reprise de son concurrent national le mois dernier, Cleia, l’entreprise nolaytoise de construction d’usines de tuilerie, est devenue le leader français de son secteur.
L’entreprise Cleia à Nolay emploie une centaine de salariés.
Depuis la fin de l’année dernière, ça bouge à Nolay ! Après l’entrée dans son capital (à hauteur de 60 %) du groupe belge Ceratec en novembre, Cleia et ses 105 employés ont repris « l’ensemble des actifs de Ceric technologie », confirme Thierry Allanic, responsable de la communication de l’entreprise, qui fabrique notamment des usines de tuiles et de briques.
Un concurrent mis en liquidation puis racheté
« Notre concurrent était placé en liquidation judiciaire, et nous avons fait une offre de reprise globale d’un million d’euros pour récupérer Ceric et l’une de ses filiales, Pèlerin », confirme l’entreprise nolaytoise. Cet achat fait de Cleia le leader national des constructions d’usines de tuiles. Des anciens employés de Ceric sont également attendus dans les mois qui viennent : « Nous sommes en discussion avec une dizaine d’entre eux », explique Thierry Allanic. La PME, qui a ffichait un chiffre d’affaires de trente millions d’euros en 2015, franchit un nouveau palier dans son développement, après avoir accueilli le Belge Ceratec, trois fois plus gros (autour des 100 millions de chiffre d’affaires) dans son capital. Une présence qui ne « remet pas en cause l’indépendance de Cleia, et qui va nous permettre d’aller sur d’autres marchés que la tuilerie et la briqueterie, comme la robotique, les machines spéciales ou encore les systèmes de supervision d’usines. Les possibilités sont nombreuses », affirme l’entreprise, très présente en Afrique.
Source Le Bien Public par M.D. photo Thibault SIMONNET