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19/01/2012

Bardage en tuiles: une alternative économique et esthétique pour l'isolation par l'extérieur!


Prolonger la toiture avec le bardage Parce que l'isolation par l'extérieur est plus performante que celle par l'intérieur, elle constitue une solution d'avenir. Pour protéger l'isolant, on opte en général pour un bardage bois, mais rien n'empêche de choisir un bardage en tuiles, tout du moins dans le nord de la France (difficile de faire un bardage avec des tuiles canal !). Étant donné la variété des tuiles, la solution offre de multiples possibilités esthétiques. De plus, elle est économique puisque, selon la FFTB, le prix se situe dans une fourchette comprise entre 55 et 130 € le m2 (pose comprise, hors isolant).
Source Coté Maison

L’indice du coût de la construction toujours en hausse

Au troisième trimestre 2011, l’ICC a augmenté, passant de 1.593 à 1.624. L’augmentation sur un an est ainsi de 6,84 %.

L’INSEE (Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques) a publié les indices du coût de la construction (ICC) pour le troisième trimestre de l’année 2011 : il s’établit à 1.624 alors qu’il était de 1.593 au trimestre précédent. En glissement annuel, l’indice augmente de 6,84 % après une hausse de 5,01 % au deuxième trimestre 2011. Il dépasse donc son niveau le plus haut - 1.594 points - niveau qui avait été atteint au troisième trimestre 2008.

Rappelons que l’ICC est un indice référence 100, au quatrième trimestre 1953, date de sa création. Il mesure l’évolution des prix de construction des bâtiments neufs à usage principal d’habitation non communautaire en France métropolitaine. Le champ couvert par l’ICC est très large et comprend trois grands types de constructions : le logement individuel pur, l’individuel groupé (lotissement) et les logements collectifs. Il est calculé par l’INSEE par des méthodes économétriques dites « hédoniques » qui permettent de calculer un prix en fonction des caractéristiques de la construction observées dans l’enquête « prix de revient des logements neufs ». L’enquête permet de retracer l’évolution des prix de la construction à travers le suivi de 500 dossiers représentant, selon les trimestres, entre 7.000 et 8.000 logements neufs.

Depuis la loi des services à la personne du 26 juillet 2005, l’ICC ne sert plus de référence à la révision des loyers en cours de bail dans le parc locatif privé. Il a été remplacé par l’indice de référence des loyers (IRL), qui est désormais fondé sur l’indice des prix à la consommation (hors tabac et hors loyers). Toutefois, l’indice du coût de la construction sert de référence pour la révision de certains loyers commerciaux, aux côtés de l’indice des loyers commerciaux.
Source Batiactu

18/01/2012

Artisanat : la Capeb prédit une année 2012 difficile

Après une année 2011 plutôt satisfaisante, l'activité de l'artisanat du bâtiment devrait à nouveau plonger "dans le rouge" en 2012, affirme le président de la Capeb.

"Après deux années de baisse d'activité, 2011 a renoué avec la croissance (+2,5% en volume) mais 2012 devrait être à nouveau dans le rouge avec une baisse d'environ 1% par rapport à l'an dernier à cause d'un second semestre qui sera en fort recul", a déclaré Patrick Liébus.

Selon le président de la Capeb, "le niveau de l'activité de l'année 2011, comparable à celui du début des années 2000, n'a toutefois pas permis d'effacer les effets de la crise de 2008".

Le syndicat patronal, représentant l'artisanat du bâtiment (380.000 entreprises et 1 million d'actifs pour un chiffre d'affaires de 77 milliards d'euros), craint même une nouvelle chute d'activité comprise entre "2% et 4%" en 2013 en raison "de l'application des plans de rigueur" décidés par le gouvernement.

En 2012, le secteur de l'artisanat du bâtiment devrait perdre entre 2.000 et 3.000 emplois, selon la Capeb. Le 21 décembre dernier, les principales organisations professionnelles du bâtiment avaient annoncé au moins 35.000 suppressions d'emplois (y compris les intérimaires) pour l'ensemble du secteur en 2012.

Voulant placer, comme Cantona, le logement et le bâtiment au centre des campagnes présidentielle et législative, la Capeb vient de publier un "Livre blanc" avant d'inviter les candidats "potentiellement éligibles" à rencontrer ses dirigeants "en tête à tête".

Les candidats à l'élection présidentielle, ou leurs représentants, seront aussi invités à s'exprimer sur les idées contenues dans ce "Livre Blanc" lors de l'assemblée générale de la Capeb les 11 et 12 avril au Palais des Congrès de Paris.

Craignant l'instauration d'une TVA sociale, la Capeb réclame notamment "le maintien de la TVA à taux réduit", déjà augmenté récemment de 5,5% à 7%. A ce sujet, M. Liébus rencontrera jeudi la ministre du Budget Valérie Pécresse.

La Capeb continue également de réclamer l'exclusion du bâtiment du champ du régime de l'auto-entrepreneur qui se développe et lui fait concurrence sans supporter les mêmes charges."Nous voulons être des nageurs de combat, pas des scaphandriers avec des semelles de plomb", a conclu M. Liébus.
Source : batirama.com / AFP

SABO burners by Cerabud Poland

At the beginning of 2010, SABO reconstructed successfully a new gas firing zone for the factory of CERABUD SA (CRH Group) in Poland. The new firing zone was designed to fire up to 200 tons/day of Polish brick and thermo block.
The project involved the installation of SABO gas pre fire burners and normal gas SABO burners.
The process of installation lasted only 5 days and the change of old heavy oil burners with the new SABO gas pre fire burners and SABO normal gas burners was done without the Kiln to be stopped. After one week of the operation the kiln achieved 100% of the designed capacity.
In this way the change has been performed with the minimum possible disruption of the production process. This sort period was achieved thanks to good cooperation and the efforts of factory staff and management.
Source Sabo

17/01/2012

BigMat : La franchise de matériaux du batiment guide ses clients

Le réseau de magasins BigMat accompagne les professionnels et les bricoleurs en leur offrant trois nouveaux guides thématiques pour leurs projets de construction ou de rénovation. Conçus pour apporter des solutions et des conseils dans le choix des produits et leur mise en œuvre, ils se déclinent dans 3 univers : l’extérieur et la décoration, l’isolation et les éco-matériaux.

Le guide aménagement extérieur et décoration

Six grands thèmes sont traités dans ce premier volume de 72 pages : les entrées, les clôtures, les allées, les terrasses, les piscines et la décoration. Chaque famille thématique est identifiée par un code couleur et illustrée de photos et de schémas de mise en œuvre. On y trouve des petits plus associés à certains articles et les conseils du professionnel.
Le guide isolation

Tout est expliqué dans ce guide de 72 pages : la règlementation, la fiscalité, la démarche éco-constructeur, les solutions produits, l’isolation de la toiture, des murs, des sols, les cloisons, l’acoustique, le calepinage, les accessoires, … Pour les techniques de pose, schémas et visuels sont là pour guider la compréhension.
Le guide eco-matériaux

C’est la deuxième édition de ce guide qui confirme l’intérêt des consommateurs aux problématiques environnementales. Sur ses 44 pages, il propose des solutions « éco » pour le gros œuvre, le second œuvre et l’équipement (de la toiture aux cloisons, des ossatures bois aux isolants alternatifs en passant par les énergies renouvelables). Il permet aussi de comprendre et décrypter la majorité des labels et certifications en vigueur.

A propos de BigMat
BigMat est un réseau de négoce de matériaux et équipements pour la construction et la rénovation. Créé en 1981, il se développe en France sous la forme de coopératives (et non de franchises). Le réseau compte 111 adhérents et 338 points de vente. L’enseigne est présente en Belgique, Espagne, Italie et République Tchèque et totalise 823 points de vente en Europe.
Source AC Franchise

16/01/2012

Règles techniques : développement des bâtiments basse consommation

Pour 2012, le programme du BTP est chargé. D’autant qu’il pourrait être significativement remanié en fonction du résultat des prochaines échéances électorales. Lemoniteur.fr vous propose de retrouver chaque jour un des dix dossiers identifiés. Aujourd’hui : les règles techniques.

Le 31 décembre prochain, la réglementation thermique 2005 disparaîtra et laissera totalement la place à la RT 2012. Cette dernière est déjà applicable pour les bâtiments tertiaires et les logements en zones Anru depuis le 28 octobre dernier. Mais le 1er janvier 2013, son application sera généralisée et, avec elle, la banalisation des bâtiments à basse consommation (BBC) dont la consommation n’excède pas 50 kWhep/m2.an. Architecture bioclimatique, isolation thermique par l’extérieur et recours aux énergies renouvelables figurent parmi les solutions privilégiées pour atteindre ce nouvel objectif de confort d’hiver et d’été réunis. Etape suivante du relèvement des exigences thermiques : les bâtiments à énergie positive (Bepos) obligatoires en 2020.

Autre révolution technique en marche pour le bâtiment, la mise en accessibilité des établissements recevant du public pour les personnes atteintes par tout type de handicap. Il ne reste désormais que trois ans pour mettre près de 75 % des établissements recevant du public (ERP) en conformité avec la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances.

Et aussi...

La qualité de l’air intérieur est une préoccupation qui monte en puissance. L’étiquetage relatif à l’émission de produits volatils est obligatoire depuis le 1er janvier pour les nouveaux produits de construction et de décoration utilisés à l’intérieur des locaux. Pour les produits mis sur le marché avant le 1er janvier 2012, l’étiquetage sera obligatoire à partir du 1er septembre 2013.
Source LeMoniteur.fr

Lybie, un pays à reconstruire

La Lybie va entamer un vaste programme de reconstruction avec des besoins en infrastructures, habitations, réseaux et autres évalués à 200 milliards de dollars sur les dix ans à venir. Une véritable opportunité pour les entreprises qui parviendront à s’inscrire dans une logique de coopération avec le secteur privé local.

Les opportunités sont nombreuses et concernent différents secteurs tels que le pétrole, la santé, l'eau, l'aménagement urbain, l'électricité, les télécommunications, les transports, la formation... Ubifrance qui travaille à l’implantation des entreprises françaises à l’étranger propose son aide aux PME et grands groupes qui veulent réussir leur retour sur ce marché de 6,3 millions d’habitants.
Source France BTP

15/01/2012

CERIC Technologies participe à MOSBUILD 2012

La 18ème édition de ce salon international, la plus importante manifestation commerciale en Russie, se tiendra en 2012 du 2 au 5 avril.

L'équipe Ceric Technologies sera heureuse de vous accueillir sur son stand et de vous fournir toutes les informations que vous pourrez souhaiter.

Complétez en ligne le formulaire d'enregistrement pour obtention de votre "Ticket visiteur" .
Veuillez noter qu'un enregistrement n'est valable que pour une personne .
Après inscription, un "code visiteur" vous sera adressé par mail, que vous devrez présenter au bureau d'enregistrement en ligne du salon. Il vous sera alors remis un badge visiteur, valable pendant toute la durée du salon.

Retour sur MOSBUILD 2011:
Avec une fréquentation en progression de 25 % par rapport à la précédente édition, soit 125 000 visiteurs au lieu de 98.000, MOSBUILD 2011 a été couronnée de succès. Les visiteurs ont pu rencontrer 2.272 exposants venant de 44 pays différents.

Tratidionnellement tournée vers les sociétés à la réputation établie, la clientèle russe était nombreuse sur le stand de CERIC, qui jouit de plusieurs dizaines d'années d'expérience sur ce marché. Ils ont pu découvrir en avant-première, en plus de solutions particulièrement adaptées au marché russe, la toute nouvelle mouleuse PELERIN® type 750 ER. Fruit de la politique d'innovation menée par CERIC, elle apporte des solutions concrètes pour améliorer encore la dés-aération de la pâte, augmenter le débit de production et simplifier les opérations de maintenance.

L'équipe commerciale de CERIC présente sur le stand, Guergana Haratchereva, responsable du marché Europe de l'Est, Anna Pogonina, représentante de CERIC au bureau de Moscou, et Patrick Hébrard, Président de la société, ont eu le plaisir de rencontrer des visiteurs dont les projets étaient concrets et bien préparés. Ces nombreux contacts ont conforté la société dans son développement en Russie où un nouveau bureau a été ouvert fin 2010.

Les spécialistes considèrent aujourd'hui que l'économie de la Russie s'est déjà remise de la crise: on s'attend donc à une reprise dans le secteur de la construction dans les mois qui viennent. Ce secteur sera d'ailleurs stimulé par des projets tels que le sommet de l'APEC à Vladivostok en 2012, les jeux olympiques d'hiver en 2014, qui se tiendront à Sotchi, ville bordant la mer Noire à proximité du massif du Caucase, ou encore la construction des infrastructures (stades, hôtels, ...) requises pour la coupe du monde de la FIFA en 2018.
Dans ce contexte CERIC est optimiste et mise sur ce marché appelé à progresser. La société renforce donc ses équipes dédiées au marché russe en privilégiant une réelle proximité avec ses clients.
Source CERIC TECHNOLOGIES

14/01/2012

Mixité des matériaux et équipements techniques pour immeuble polyvalent

Les trois immeubles qui constituent la parcelle sont disposés en U et orientés vers la future place de Francfort, laquelle ouvre le quartier de la Part-Dieu vers l'est de la ville.
D'une superficie d'environ 17 600 m2 de shon sur huit étages, ils assurent la transition entre | la gare et le quartier Villette. Lire la suite


* Les bardeaux de terre cuite qui figuraient sur les premières esquisses des architectes.
* La forme arrondie en couverture a imposé la fixation des bardeaux des derniers niveaux sur une ossature renforcée.
* La verrière de l'atrium intègre un damier de capteurs photovoltaïques biverre sur une superficie de 82 m2, produisant plus de 8500 kWh/an.
* 65 m2 de capteurs solaires thermiques, installés sur l'aile occupée par les logements du foyer, assurent le préchauffage de l'eau chaude sanitaire du restaurant et du foyer à hauteur de 32% des besoins.
* D'une superficie de 300 m2, de petits jardins ont été créés sur les terrasses donnant sur l'atrium.



Appelé Terramundi, situé dans le quartier de la Part-Dieu à Lyon, ce projet a la particularité de combiner les matériaux et les équipements techniques pour assurer les meilleures performances sur le plan des consommations d’énergie et du confort des occupants.

Projet Haute qualité environnementale (HQE), le nouveau siège social de l'Opac du Rhône (69), dans le nouveau quartier de la Part-Dieu à Lyon, est original à plus d'un titre. Tout d'abord dans sa conception : « Nous avons pris le parti de ne rien imposer à la maîtrise d'œuvre à partir du moment où le bâtiment correspondait à nos engagements environnementaux. Nous voulions une opération en phase avec son temps, qui développe des techniques environnementales sans qu'elles soient expérimentales. Bref du concret », explique Eric Perron, directeur du développement immobilier de Grand Lyon Habitat.
Mixité des fonctions

Autre originalité portée par la maîtrise d'ouvrage, la mixité des fonctions et des équipements (crèches, bureaux, logements, restaurants...) : «C'est ce qui est, à mon sens, le plus emblématique de ce bâtiment ». De son côté, le cabinet d'architecture HTVS, lauréat du concours, souligne, à propos de cet ouvrage singulier : « L'image qui s'est imposée est celle d'un noyau qui, lorsqu'il s'ouvre, laisse percevoir son cœur. Les deux coques revêtues de terre cuite constituent le noyau initial accueillant le siège de l'Opac du Grand Lyon et les logements ; le cœur dégagé, à l'architecture faite de transparence et de brillance, accueille les équipements publics et des bureaux. »

De fait, cet ensemble constitué de trois bâtiments est doté de deux ailes symétriques et indépendantes, qui se démarquent largement de l'ensemble : le siège de l'OPAC investit l'aile Ouest sur six étages. L'aile Est, elle, est occupée par le foyer de la Maison d'accueil des jeunes ouvriers (Majo), soit 193 logements pour 233 jeunes travailleurs. Ces deux entités s'unissent autour d'une cour couverte d'une grande verrière cintrée. Composé de terrasses en gradins fleuris, cet atrium constitue un jardin intérieur de 300 m² qui participe à la régulation de l'humidité de l'air. A cet ensemble s'ajoutent une cafeteria, une crèche et près de 3 500 m² de bureaux locatifs. De plus, une salle de sport municipale dédiée aux arts martiaux s'encastre dans un parking souterrain public de 400 places réparti sur les cinq niveaux du sous-sol.
Bardage terre cuite

Enveloppe ou équipement, sur le plan technique, la mixité est aussi au rendez-vous. Ainsi les parois sont isolées par l'extérieur, induisant le traitement des ponts thermiques au niveau des dalles et des refends. L'atrium central vitré, orienté plein sud, joue le rôle d'espace tampon avec récupération des apports solaires. De part et d'autre en façade et couverture, les bâtiments sont habillés d'une peau en bardage de terre cuite. Celle-ci, par son inertie, contribue à renforcer les propriétés thermiques de l'ensemble. Au chapitre esthétique, l'habillage en couverture et façade avec le même matériau a permis de donner une identité forte au projet : «Avec la brique naturelle, cet immeuble revendique la notion de matériaux », explique Eric Perron. Techniquement, hormis un calpinage précis, les difficultés ont porté sur les inclinaisons et arrondis en façade, à la verticale comme à l'horizontale, et y compris aux angles. En couverture, les bardeaux au niveau du dernier étage ont été fixés sur une ossature renforcée. L'étanchéité du bâtiment étant assurée par la toiture-terrasse.
Plafond chauffant rafraîchissant

La conception bioclimatique du bâtiment permet de combiner les dispositifs passifs et les équipements techniques éprouvés. Ainsi la surventilation nocturne des locaux assure en grande partie le confort d'été. La ventilation double flux à échangeur rotatif atteint un rendement d'échange supérieur à 70% entre l'air neuf et l'air extrait. Dans les espaces de bureaux, la maîtrise d'ouvrage a choisi un plafond rayonnant chauffant et rafraîchissant. Un système qui a été retenu car il assure « une bonne répartition de la chaleur ou du rafraîchissement sans l'inconfort acoustique d'une ventilation ». Les logements, eux, sont chauffés via des radiateurs à eau classiques, sachant que l'ensemble est relié au système de chauffage urbain. L'énergie solaire est également mise à contribution sous la forme de capteurs photovoltaïques sur la couverture de l'atrium – « L'électricité revendue à Edf compense la dépense énergétique de la mise en lumière du bâtiment le soir ». Et aussi sous la forme de panneaux solaires thermiques installés sur la toiture du bâtiment, ce qui assure 32% de la production d'eau chaude sanitaire du foyer.


FOCUS Fiche technique
Maître d'ouvrage : OPAC du Grand Lyon (69)
Cabinet d'architecture : HTVS Architecture (69)
Bureaux d'étude : Katene Bet Fluides (69) / Etamine Bet HQE (69)
Entreprise de façonnage et de pose de bardeaux : Somiroc (69) Raphat (69)
Technique : Terreal Maestral de largeur 30 et 40 cm x 1520 cm en teinte rouge orangé
Source Le Moniteur par Stéphane Miget

13/01/2012

Imerys : va investir sur des produits nouveaux et les pays émergents

Outre ses anticipations de résultats 2011, Imerys présente aujourd'hui, à la communauté financière, ses axes stratégiques pour les cinq ans à venir.

Imerys indique qu'un budget de 60 millions d'euros sera consacré à la Recherche & Développement en 2012. A l'horizon 2016, le Groupe pourrait ainsi réaliser un chiffre d'affaires additionnel de près de 700 millions d'euros en produits nouveaux. Ce montant est à comparer aux 200 millions d'euros de ventes réalisées en 2011 sur les produits lancés par Imerys au cours des cinq dernières années.

Imerys entend également poursuivre son développement dans les pays émergents où il réalise déjà près de 27 % de son chiffre d'affaires consolidé. L'Inde, la Chine et le Brésil, qui génèrent à eux trois plus de 400 millions d'euros d'ac tivité, sont des pays appelés à jouer un rôle moteur dans cette stratégie qui conjuguera "croissance interne, acquisitions et partenariats". De la même façon, le groupe déploiera des plateformes régionales de développement dans un certain nombre de pays ciblés.

Le Groupe maintiendra des critères stricts de retour sur investissement, en ciblant un taux de rentabilité interne supérieur à 15 % pour ses projets de développement internes et externes afin de conserver une structure financière solide.

Aucune prévision chiffré en termes de chiffre d'affaires ou de bénéfice, mais le groupe table sur une croissance organique "supérieure à celle du PIB mondial".
Source Challenges

Maisons neuves : les ventes en repli de -9%

Entre novembre 2010 et novembre 2011, le nombre de ventes brutes de maisons individuelles a chuté de 9%. Aucune région n’est épargnée.

Les constructeurs de l’échantillon représentatif de l’indicateur Markémétron pour le marché de la maison individuelle neuve en diffus ont enregistré une baisse de -9% de leurs ventes en novembre 2011 par rapport au mois de novembre 2010.

Toutefois, et contrairement à la saisonnalité courante de la courbe des ventes, le nombre de ventes des constructeurs de l’échantillon en novembre 2011 est supérieur de +4% à celui d’octobre 2011.

Sur les 12 derniers mois glissants, le nombre de ventes brutes en maisons individuelles diffus s’élève à environ 148 500 unités et, est en baisse de -10% par rapport aux 12 mois précédents.

Sur les trois derniers mois, le nombre de ventes brutes de maisons est en repli de -12% par rapport aux mois correspondants de l’année 2010.

Par région (et à titre tendanciel compte tenu du nombre de constructeurs participants par région) : sur les 12 derniers mois, le nombre de ventes de maisons individuelles est en repli sur toutes les régions.

Cette baisse est particulièrement forte sur les régions de l’Ouest (-22%) et sur le Languedoc-Roussillon (-19%).

Sur les 3 derniers mois, la conjoncture reste positive sur les régions Ile de France et PACA mais reste très négative sur les régions Est, Ouest et Languedoc-Roussillon !

N.B. Cet indicateur est calculé à partir des ventes brutes de maisons individuelles en diffus d’un échantillon de 307 constructeurs de maisons individuelles, pondéré pour être représentatif de la structure de l’offre par région et par taille constructeur (nombre de ventes annuelles).

Attention : La grille de pondération a été actualisée en Janvier 2011. L’extrapolation des résultats de l’échantillon représentatif des constructeurs au marché global de la maison individuelle en diffus suppose que les autres filières (qui représentent 38% du marché) aient connu une évolution identique.

Le décalage entre les ventes et les autorisations de construire est d’environ de 5 à 6 mois et de 6 à 9 mois avec les ouvertures de chantiers. De plus, pour obtenir le nombre de chantiers qui seront réellement ouverts, il faudra tenir compte d’un taux d’annulations de l’ordre de 15% pour l’année 2011. Les chiffres régionaux ne sont qu’indicatifs.
Source : batirama.com

12/01/2012

Nouvel emprunt obligataire pour Wienerberger, un coupon de 5% Publié le 11 janvier

Hier matin fut l’occasion de la présentation du nouvel emprunt obligataire d’une durée de trois ans et six mois émis par le groupe autrichien Wienerberger. Le prix d’émission s’élève à 101,25% et le rendement annuel à 4,614%.

La date de maturité de cette nouvelle obligation est fixée au 1er août 2015 tandis que le coupon fixe est pour sa part de 5%. Ce dernier est payable le 1 août de chaque année jusqu’à l’échéance finale, et pour la première fois le 1 août 2012 (coupon court).

Le groupe entend lever à l’occasion de cette émission obligataire, un minimum de 50 millions d’euros. Selon la demande, la taille de l’emprunt peut être augmentée jusqu’à 200 millions d’euros.

Reste à préciser que cet emprunt est noté « BB » auprès de l’Agence internationale de notation Standard & Poor’s, dans la catégorie « High Yield ». La perspective associée à la note est stable.

Avec ces fonds, Wienerberger entend augmenter ses réserves de liquidités, en ligne avec ses objectifs et sa stratégie financière. A savoir, maintenir notamment la forte structure en capitaux du groupe, ainsi que gérer de manière pro-active le profil de maturité de la dette du groupe.

Fondé en 1819 à Vienne, le groupe autrichien Wienerberger est aujourd’hui l’un des leaders mondiaux du marché de la brique. Présent dans 27 pays à travers 232 usines, le groupe emploie 11.900 personnes et commercialise des produits sous la gamme Porotherm, Terca et Koramic.

Au cours des neuf premiers mois de l’année, Wienerberger a dégagé un chiffre d’affaires en hausse de 16% à 1,555 milliard d’euros. Le bénéfice net s’élève pour sa part à 65 millions d’euros. Lors de l'exercice 2010, l’entreprise avait réalisé un chiffre d’affaires de l'ordre de 1,745 milliard d’euros.
Source Oblis

La météo soutiendra l'activité des artisans au 1er semestre

"Le 1er semestre 2012 devrait être convenable, surtout si le beau temps se maintient", estime Patrick Liebus, président de la Capeb. Il redoute au 2e semestre les "conséquences des plans de rigueur".
Lors de la présentation de ses voeux à la presse, Patrick Liebus, président de la Confédération de l'artisanat des petites entreprises du bâtiment, a estimé que l'artisanat du bâtiment devrait perdre à lui seul "au moins 10.000 emplois en 2012", à cause des différentes mesures des plans de rigueur du gouvernement.
Le 21 décembre, les principales organisations professionnelles du bâtiment avaient annoncé au moins 35.000 suppressions d'emplois (y compris les intérimaires) pour l'ensemble du secteur en 2012.

Disparition du Scellier et du PTZ dans l'ancien
Outre le passage de 5,5% à 7% de la TVA pour les travaux de rénovation-entretien depuis le 20 décembre, le secteur devrait être affecté par l'alourdissement de la fiscalité sur les plus-values des résidences secondaires ainsi que par la suppression du prêt à taux zéro (PTZ) pour le logement ancien, sans oublier la disparition programmée du Scellier.
Pour 2011, le secteur de l'artisanat du bâtiment, qui emploie près d'un million d'actifs dans 360.000 entreprises de moins de 20 salariés, devrait parvenir, grâce à une météo favorable au dernier trimestre, à une progression d'activité d'environ 2,2% par rapport à 2010.

TVA sociale : attention danger !
La Capeb, qui envisageait encore en octobre 2011, une croissance au mieux de 1,0% en 2012, présentera ses prévisions détaillées d'activité le 11 janvier. M. Liébus craint surtout l'instauration d'une TVA sociale qui risquerait d'entraîner une nouvelle augmentation du taux réduit de TVA.
"La mise en place de ce nouveau taux de 7% est compliquée, car les clients ne l'acceptent pas", souligne le le président de la Capeb. La Capeb se déclare toutefois soulagée par le fait que les travaux dans les logements de plus de deux ans, pour les devis acceptés par les deux parties et ayant fait l'objet d'un acompte encaissé avant le 20 décembre 2011, sont maintenus au taux de 5,5%, même si les travaux débutent en 2012. Le gouvernement avait initialement envisagé une application rétroactive au 15 novembre.
Source : batirama.com / AFP

11/01/2012

Imerys : l'actionnaire majoritaire pointe à 57% du capital

La société Belgian Securities, contrôlée au plus haut niveau par les familles Desmarais et Frère, a déclaré à l'AMF avoir franchi en hausse, le 5 janvier 2012, le seuil de 2/3 des droits de vote du groupe Imerys.

Ce franchissement de seuil résulte d'une diminution du nombre total de droits de vote du groupe Imerys. Les familles Desmarais et Frère ont déclaré détenir à cette date 57,03% du capital et 66,78% des droits de vote d'Imerys.
Source Boursier.com

U.S. Demand for Siding to Rebound Through 2015

Total residential demand, however, is projected to trail 2000 and 2005 numbers, according to The Freedonia Group.

America's demand for siding will rise 8.2% per year from 2010 to reach 906 million square meters in 2015, but the residential part of the business still will trail what demand was as far back as 2000, The Freedonia Group forecast today. Masonry and concrete--including brick, tile, and fiber cement--all will gain market share in coming years, while vinyl and wood will see slight declines, the Cleveland-based economic forecasting shop predicted.

The forecasts were made in terms of square meters because the U.S. numbers were part of a global forecast in which Freedonia predicted the siding market worldwide will grow 4.8% per year thorugh 2015 to over 5 billion square meters worth $87 billion.

The growth in U.S. demand follows a period in which housing starts have fallen nearly 80% since peaking in 2006. That in turn caused residential demand for siding to plunge nearly 50%, slumping to 451.5 million square meters in 2010 from 896.1 million square meters in 2005, Freedonia said. Meanwhile, the sputtering economy caused demand for siding on nonresidential projects to dip 22.5%, to 160.7 million square meters in 2010 from 196.9 million square meters five years earlier.

Counting on an inevitable rebound in home building, Freedonia predicted growth in siding demand for new residential building construction will rise 17% annually to hit 697 million square meters in 2015. "However, demand for siding for new residential building construction applications will still not reach the level obtained in 2005 or even in 2000" when demand stood at 730.2 million square meters, the company said. On the nonresidential side, Freedonia predicts 7% annual growth in demand.

The combined masonry and conrete category will rise to account for 42% of demand in 2015 from 37% in 2000, thanks primarily to increased desire for brick, tile, and fiber cement. Demand for vinyl is forecast to dip to 40% of the total from 42% five years previously, while wood will see a similar two-point drop to account for 10% of the market. Metal siding, at 7%, will account for virtually all of the rest.
Source Builder on line by Craig Webb

10/01/2012

L'obligation Wienerberger AG offre un rendement annuel de 4,9%

Le groupe autrichien Wienerberger est l’un des leaders mondiaux du marché de la brique. Au mois de juin dernier, le groupe plaçait avec succès un emprunt obligataire d’une taille de 100 millions d’euros, d'une durée de 7 ans et au coupon de 5,25%.

Quelques mois plus tard, l’obligation s’échange au-dessus de son prix d'émission (100,73%) aux alentours de 101,8%. Compte tenu d'une date de maturité fixée au 4 juillet 2018, le rendement annuel est porté en conséquence à 4,9%. Disponible en coupures de 1.000 euros, cette obligation bénéficie de la notation « BB » (perspective stable) auprès de l’Agence internationale de notation Standard & Poor's.

Présent dans 27 pays à travers 245 usines, Wienerberger emploie 11.900 personnes et commercialise des produits sous la gamme Porotherm, Terca et Koramic. Pour l’exercice annuel de 2010, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de l'ordre de 1,745 milliard d’euros (chiffres clés). La dette nette s’élevait pour sa part à 374,5 millions d’euros, soit un taux d’endettement de 14,8%.
Source Oblis

09/01/2012

LINGL achève une importante briqueterie en Grande-Bretagne

Au début de l’année, l’usine de Measham/Grande-Bretagne a été livrée en bonne et due forme par LINGL à la société Hanson Building Products PLC. Cette usine équipée de la technique la plus moderne est l’une des plus grandes fabriques de briques de parement en Europe, si ce n’est dans le monde.

Introduction
Avec cette nouvelle briqueterie, la société Hanson PLC, qui fait partie du groupe Heidelberg Cement, remplace une série d’usines surannées qui ont été fermées après sa mise en service. Pour Hanson, le nouvel édifice devait permettre une augmentation des capacités ainsi qu’une forte réduction des charges d’exploitation.

Avec une production de plus de 2 millions de briques par semaine (soit plus de 650 tonnes par jour) assurée par une seule équipe journalière et un personnel de seulement 30 personnes, cette usine établit réellement de nouvelles références.

Une usine ultramoderne dotée d'équipements et d’installations complexes et économes en énergie a été aménagée sur un terrain constructible en friche situé à environ 40 km de la grande ville anglaise de Birmingham. Le centre de production à Measham a été primé par le BCE (British Commitment to the Environment) pour la conception du bâtiment et l'intégration d'équipements et d’installations économes en énergie.

Production
Trois types de briques à pâte molle sont produits dans l’usine : briques moulées à la main, briques façonnées à la machine et briques Wasserstrich (moulées à l’eau), en couleur rougeâtre ou jaunâtre, avec de nombreux autres effets de surface optionnels. Au total, une gamme de 18 produits est fabriquée dans la nouvelle usine avec un facteur d’efficacité extrêmement élevé.

L’argile est préparée avec une installation de traitement des matières de la société Händle, et entreposée dans le hall de production pour être ensuite transportée vers la presse De Boer.

À partir de là et jusqu’à l’installation d’emballage des briques, LINGL a entièrement conçu, installé et mis en service l’usine.

Installation d’empilage
Après séchage dans l’une des 8 chambres du séchoir LINGL, les briques sont empilées par des robots. Pour l’installation d’empilage, LINGL a opté pour une solution toute nouvelle qui permet au client d’élever les empilements de cuisson directement sur des blocs viaducs avec des robots directement à côté du wagon de four tunnel. Après réception des supports de produits secs par 2 robots, les briques sèches sont groupées et réparties sur quatre lignes d’empilage distinctes puis, posées sur chant ou à plat, acheminées vers les 4 robots d’empilage. Enfin, ces briques ainsi prégroupées sont empilées directement sur les blocs viaducs de plancher par des doigts preneurs.

Dès que les empilements de cuisson sont élevés sur les 4 lignes d’empilage, ils sont posés avec les blocs de plancher sur les wagons de four à l’aide d’une pince de transfert de conception spéciale. Cette pince remplit deux fonctions : elle transfère les empilements sur blocs de plancher finis, et pour décharger les lignes d’empilage, revient avec les blocs viaducs de plancher vides et prélavés. Cette méthode garantit que les empilements soient élevés dans un milieu contrôlé et propre, et transférés au complet aux wagons de four – ce qui représente un avantage important quant aux effets souhaités sur les différentes formes de briques à pâte molle.

Cette installation d’empilage unique en son genre permet un empilage très précis ainsi qu’un entretien très efficace du parc de wagons de four tunnel, ce qui procure une grande stabilité aux empilements de cuisson et prolonge la durée de vie des précieux wagons de four.

Four et séchoir
Lingl a livré un séchoir constitué de 8 chambres doubles, qui a fait ses preuves du point de vue technique. Les chariots de séchoir sont chargés de palettes longues de 2 850 mm portant chacune 22 briques, soit plus de 3 600 briques par chariot. La durée moyenne de séchage est de 36 heures.

Grâce à la mise en œuvre du logiciel de commande « Expert » Lingl, les programmes de production hebdomadaires sont combinés aux quantités d’air rejeté de manière telle que la quantité d’air résiduelle inutilisée rejetée par le four soit réduite à un minimum.

Une fois le séchage terminé, les briques sont acheminées vers l’installation d’empilage par un transbordeur entièrement automatique.

Pour atteindre une production hebdomadaire de 2 millions briques, le four tunnel avec préchauffeur a été conçu avec une largeur de 8,4 m et une longueur de 178 m. Chaque wagon de four est chargé de 32 empilements de cuisson, ce qui représente une quantité totale d’environ 15 400 briques par wagon.

La durée de cuisson s’élève à 36 heures ; l’installation de cuisson est exploitée avec un air de combustion préchauffé, et un système de recirculation dans la zone froide permet d’optimiser les caractéristiques en matière de consommation d’énergie. De plus, le four est équipé de sorte à pouvoir utiliser des brûleurs réducteurs supplémentaires pour obtenir certains effets colorés.

Le système de régulation intégré Lingl S7 WinCC, très flexible, assure la régulation et la commande du four et du séchoir selon l’état le plus récent de la technique, et est en outre équipé d’un modem à grande vitesse pour la téléassistance.

Déchargement et emballage
Après la cuisson, un système de transport automatique déplace les wagons de four jusqu’au poste de déchargement où les briques et les blocs viaducs de plancher sont enlevés des wagons de four et mis à disposition par des robots pour le déchargement des couches.

À cet effet, les machines de déchargement haute performance LINGL développées pour les États-Unis ont servi de modèle pour la machine de déchargement et d’emballage, ce qui, en liaison avec le nouveau système de réception et de recyclage pour les blocs viaducs de plancher, fait de cette machine une innovation porteuse d’avenir.

La machine de déchargement est constituée de 4 lignes indépendantes sur lesquelles la pince de transfert place les paquets et les blocs viaducs de plancher. Les briques sont désempilées par couches et transférées à 4 lignes d’alignement indépendantes.

Ensuite, les blocs viaducs sont nettoyés et empilés sur les wagons de four, si bien qu’ils peuvent être ramenés à l’empileuse avec le système de transport des wagons de four.

Les briques sont écartées les unes des autres pour un contrôle visuel, puis regroupées pour préparer les paquets d’expédition.

L’objectif était de développer un système extrêmement simple et fiable à fort taux de rendement et faible besoin en personnel. Le résultat des efforts communs est une installation de déchargement qui travaille avec une fiabilité impressionnante et répond à toutes les exigences de Hanson.

Les briques sont cerclées d’un ruban de polyester. Ensuite, un automate enveloppe les paquets avec une housse élastique portant les inscriptions imprimées requises, si bien qu’est réalisé un paquet d’expédition extrêmement sûr et très bien protégé.

Résumé
Les équipes de LINGL et Hanson ont collaboré très étroitement lors du développement de chaque détail et pendant le réalisation, si bien que cet important projet s’est soldé par un véritable succès pour Lingl et Hanson.

L’installation a été conçue dans la perspective d’une deuxième phase d’expansion et permet donc soit un agrandissement du four et du séchoir existants, soit la construction d’un second four. Cette usine sera ainsi en mesure de produire des briques dans des quantités vraiment prodigieuses.

Avec l’achèvement couronné de succès de cette briqueterie à Measham, Lingl a ouvert de nouvelles voies dans la production de céramique de bâtiment.

Citation de Hanson :
« L’usine à Measham est la briqueterie le plus moderne d’Europe et souligne notre engagement pour l’avenir de l’industrie. En ce qui concerne les thèmes centraux que sont la durabilité et la qualité, l’usine a été construite sur un terrain constructible en friche, et présente comme particularité un processus de production entièrement mécanique à faible consommation d’énergie avec des déchets réduits à un minimum. En cas d’augmentation de la demande, il sera possible de produire 24 heures sur 24 dans l’usine. »

« Un jour, toutes les briques seront fabriquées de cette manière »
Source Lingl

BigMat prévoit 2,5 Md€ de CA en 2011

Lors de son congrès annuel, BigMat a annoncé un chiffre d’affaires prévisionnel de 2,5 Md€ pour l’exercice 2011. Le groupe s’est dit confiant pour les perspectives de croissance du marché de la construction en 2012 et 2013. Il envisage de s’implanter dans de nouveaux pays européens. L’enseigne est déjà présente en France, en Belgique, en Italie, en Espagne et en République tchèque.
Source Portailbéton

08/01/2012

CERIC Technologies participera au salon BATIMATEC 2012



Le prochain salon BATIMATEC se tiendra du 6 au 10 Mai 2012 au Palais des Expositions d'Alger.

CERIC TECHNOLOGIES se fera un plaisir de vous accueillir sur son stand.

Source CERIC TECHNOLOGIES

Surendetté, Lafarge doit céder ses cimenteries en Afrique du Sud

A la fin du troisième trimestre, la dette consolidée du cimentier français Lafarge, No 1 mondial, était de 14,3 milliards d'euros, rangée dans la catégorie dette spéculative par Standard & Poor's, Fitch et Moody's.

Aussi le cimentier devrait être contraint de céder ses activités sud africaines qui ont une capacité de production de 3 millions de tonnes de ciment par an et qui affichent des pertes financières. Selon Bloomberg, qui cite deux personnes proches du dossier, l’entité sud africaine, valorisée entre 700 et 800 millions $ pourrait être reprise par le groupe indien Aditya Birla Group.

Dans un contexte marqué par la hausse des prix des matières premières, les troubles politiques au Moyen-Orient et un effondrement de la construction aux Etats-Unis, en Espagne et en Grèce, Lafarge cherche à rétablir sa profitabilité par des cessions d’actifs, par des réductions de coûts et par l’augmentation de ses prix de vente.

Les cessions les plus récentes de Lafarge ont concerné des cimenteries et des centrales à béton situées aux Etats-Unis et cédées au groupe colombien Cementos Argos, et les activités Amérique latine et Europe de Lafarge Gypsum vendues à Etex Group.
Source Agenceecofin

07/01/2012

Area Franceram : chômage technique

Durant les fêtes, le moral ne devait pas être aux réjouissances pour les deux cents salariés d'Aera Franceram (ex-Cerabati), à Châteauroux. « La production de carrelages et céramiques est à l'arrêt depuis le 20 décembre et elle devrait reprendre fin janvier », expliquait hier un salarié, sous couvert d'anonymat.
Autre coup rude pour les salariés, « la chaîne de production des tuiles photovoltaïques serait à l'arrêt jusqu'au 31 mars ». Patrick Soidet, secrétaire général de la CFDT a confirmé l'information « tout le personnel est en chômage technique. Il y a eu beaucoup de promesses des investisseurs italiens mais aujourd'hui, la situation est préoccupante ». Denis Guignard, de l'union départementale CGT, explique être également « au courant de cette période de chômage partiel. Mais je n'en sais pas plus. »
Pourtant, Area Francera, leader français de la céramique, après avoir racheté Cerabati au groupe italien Marazzi en février 2010, fondait de grands espoirs pour que les tuiles photovoltaïques soient fabriquées à Châteauroux. Plus de 3 M€ ont été investis dans l'usine castelroussine qui avait eu la visite de son président, Francesco Borgomeo, et de Romano Prodi, ex-président du conseil italien, en juin dernier. Avec la promesse « d'une production annuelle de 700.000 panneaux ». On est loin du compte.
Source La Nouvelle République par Jacky Courtin

L’immeuble Terra Mundi à Lyon ou la réalité de la construction mixte

Suite au défi lancé par Grand Lyon Habitat pour la construction de l’immeuble Terra Mundi abritant le siège de l’OPAC, les architectes d’HTVS ont sollicité TERREAL, le spécialiste de l’enveloppe du bâtiment en terre cuite, pour la mise en œuvre de son bardeau Maestral®. C’est ainsi une structure composée de verre et de terre cuite qui s’est édifiée sur l’îlot Villette, bordant l’un des côtés de la future place de Francfort. Les mélanges de fonctions et de mixité sociale font sans conteste de ce lieu une innovation architecturale remarquable.

Une structure à la pointe de la technologie

La terre cuite étant un matériau des plus écologiques et pérennes, les architectes d’HTVS ont naturellement choisi d’utiliser le bardeau Maestral® de TERREAL pour couvrir la façade de ce bâtiment unique.

Cette solution, qui avait déjà fait ses preuves à la Cité Internationale de Lyon, est fixée à l’aide de pattes-agrafes spécifiques en tôle inox sur des profilés verticaux métalliques. Equipé de cales en mousse à cellules fermées venant amortir la tenue du produit, le Maestral® peut se poser à l’horizontale comme à la verticale.

Dans le but de protéger l’isolant extérieur et d’absorber le rayonnement solaire, ce bardeau à double paroi, répond parfaitement aux objectifs environnementaux tout en restant esthétique. En effet, ses bords et sa pièce d’angle arrondis adoucissent le rendu et ses profilés verticaux légèrement saillants orientent la lecture de la façade en rompant avec la traditionnelle linéarité du bardage. Par ailleurs, la forme courte de ces panneaux s’adapte précisément aux courbures horizontales des coques de l’immeuble, le rendant ainsi des plus atypiques.

Le second matériau essentiel à cette construction est le verre recouvrant le bloc central. Cette verrière cintrée est équipée d’un système de capteurs photovoltaïques biverre produisant de l’électricité et assurant le préchauffage de l’eau chaude sanitaire.

Un confort intérieur maîtrisé

Alliant autonomie et proximité, cette bâtisse est conçue comme une mine d’activités. Deux ailes symétriques et indépendantes se démarquent largement de cette construction :

Le siège de l’OPAC investit l’aile Ouest sur six étages.
L’aile Est est occupée le foyer de la Maison d’Accueil des Jeunes Ouvriers (MAJO) offre 193 logements pour 233 jeunes travailleurs.
Ces deux entités s’unissent autour d’une cour couverte d’une grande verrière cintrée. Cet atrium est composé de terrasses en gradins fleuris, constituant ainsi un jardin intérieur de 300 m² qui participe à la régulation de l’humidité de l’air. A cet ensemble s’ajoute une cafeteria, une crèche et près de 3 500 m² de bureaux locatifs.

De plus, une salle de sport municipale dédiée aux arts martiaux s’encastre dans un parking souterrain public de 400 places réparties sur les cinq niveaux du sous-sol.

La technologie est également mise au service du confort de tous en garantissant une économie d’entretien et de maintenance. En effet, une ventilation double flux à échangeur rotatif et un plafond rayonnant, chauffant et rafraîchissant, alimenté par des réseaux urbains de froid et de chauffage, ont été installés dans l’ensemble de la structure.

Au final, un bâtiment hors du commun s’est érigé sur ce lieu symbolique, mettant ainsi en avant la volonté de modernité à valeur positive très chère à la ville de Lyon.

L’intégralité du reportage relatif à ce chantier est à disposition sur demande.

A propos de Terreal

Fabricant de matériaux de construction en terre cuite, TERREAL propose des systèmes constructifs dans trois grands domaines d’expertise : la toiture (tuiles, cheminées et conduits de fumée, panneaux solaires, composants métalliques d’étanchéité), la structure (murs porteurs en briques) et la façade (vêtures, bardages en terre cuite et murs-manteau).
Spécialiste de l’enveloppe du bâtiment, TERREAL répond aux exigences du développement durable.

Le groupe TERREAL réalise 400 millions d’euros de chiffres d’affaires et compte 2.700 salariés dans le monde dont 1.900 en France. TERREAL possède 25 sites industriels en France, Italie, Espagne, USA, Malaisie et Indonésie.

Plus d’informations : www.terreal.com
Source AggloTV

06/01/2012

Emploi : le 1er janvier, la fin de l'eldorado belge ?

Les entreprises flamandes, comme ici Koramic à Aalbeke, craignent de ne plus attirer la main-d’oeuvre française. Pour les intérimaires, la situation est particulière.

Ils sont aujourd'hui 35 000 Français à travailler en Belgique sous l'avantageux statut de transfrontalier. Ils gagnent plus que dans l'Hexagone et payent leurs impôts en France où la note à l'État est moins salée qu'outre-Quiévrain. Pour eux, rien ne doit changer avant 2033. Mais au 1er janvier, les nouveaux embauchés vont devoir payer leurs impôts en Belgique. C'est l'inquiétude dans les entreprises belges (surtout en Flandre) qui craignent de ne plus attirer la main-d'oeuvre française.

Ici c'est le plein emploi. 4,2 % de chômage. Du boulot partout. Poussez une porte d'usine et un DRH souriant vous dira : « Bonjour, venez dans mon bureau. » Entrez dans une agence d'intérim et limite on vous demandera : « Que voulez-vous faire et à quel salaire ? » Pour se rendre dans ce « Texas », ni avion, ni décalage horaire, juste une vingtaine de minutes en voiture à partir de la grand-place de Lille. C'est la Flandre belge.

Aalbeke, cinq kilomètres de la frontière, dix de Menin, pas plus de Courtrai ou de Mouscron. Sur le parking de la tuilerie Koramic, une bonne proportion de plaques d'immatriculation françaises. « Sur 283 ouvriers, 100 exactement sont français », précise Michael Maertens, directeur de l'usine.

« Je suis là pour l'argent », justifie sans gêne chacun des ouvriers rencontrés. Ici, de jour, il touche 2 000 euros net par mois. Et il est payé au bas mot sur l'équivalent de 14 mensualités. « C'est simple, je gagne autant comme ouvrier à la chaîne que quand j'étais conducteur de ligne en France, avec cinq personnes sous ma responsabilité. Et même autant que ce que gagnait mon responsable de production avec 45 personnes à diriger », compare Emerson, Brésilien installé depuis dix ans à Wervicq, en France.

L'équation est simple : en Belgique, les salaires sont plus élevés, car les impôts le sont aussi. « Sur la base du même salaire brut, un Belge, chez nous, perçoit au final 1 500-1 600 euros par mois (contre 2 000 pour un Français) », explique le patron. « C'est vrai que c'était injuste et ça créait d'ailleurs quelques tensions. Mais on s'inquiète quand même de savoir si les Français vont continuer à venir travailler chez nous. »
Quatorze mois de salaire

Son responsable des ressources humaines le croit : « Il reste quand même bien des avantages à travailler en Belgique. La seule différence, c'est qu'on ne verra plus, comme aujourd'hui, des Français venir de loin (jusqu'à 100 km). » Et, à l'instar d'un président de club de foot qui ferait la cour pour attirer un Ballon d'or, les deux responsables de cette entreprise d'énumérer tous les avantages à venir travailler chez eux : « Les Français qui n'auront pas le statut (tous ceux embauchés à partir du 1er janvier) toucheront quand même les salaires sur 14 mois, les chèques repas, les primes. Ils auront toujours la moitié du transport remboursée. Nous, on recrute sans qualification et on forme entièrement sur place... »

Le responsable des ressources humaines - qui ne veut surtout pas être appelé « directeur » - met en avant la simplicité des rapports dans l'entreprise. « Chez nous, pas de "Monsieur". Je connais tout le monde, jusqu'à leur situation familiale. Le social, l'écoute, la bonne ambiance, c'est important. » D'une expression toute belge, le directeur résume : « Les gens viennent pour gagner leur croûte, c'est mieux quand il y a un peu de choco dessus. »

Pour continuer à attirer le Français, M. Maertens ne prévoit pas de hausse de salaire. « Vous savez, ils sont déjà indexés sur l'inflation... » Mais selon une enquête de Voka, le MEDEF flamand, les entreprises envisageraient, pour certaines, de délocaliser en France. Et si elles manquent de main-d'oeuvre, un tiers dit vouloir se fournir dans les pays de l'Est.

De toute façon, à la question « Les Français iront-ils toujours travailler en Belgique privés du statut de transfrontalier ? », la réponse est multifacteurs. Globalement, notre fort taux de chômage y serait plutôt favorable. Mais cela dépendra aussi des secteurs d'activité (lire ci-contre).

En tout cas, comme beaucoup de patrons flamands (plus que les Wallons moins confrontés à une pénurie de main-d'oeuvre), Michael Maertens sera très attentif à cette évolution. L'an dernier, sur 39 embauches, 90 % étaient des Français. « Et on va avoir besoin de recruter. La génération baby-boom part à la retraite. » •
Source La Voix du Nord PAR LAURENT DECOTTE PHOTOS S. MORTAGNE ET É. BRIDE

L'usine Stradal Paysages devient Marlux au 1 er janvier 2012

Au 1 er janvier, l'usine arthonnaise, Stradal Paysages, devient Marlux. Un changement de nom qui concerne une seule des deux usines arthonnaises, celle du Grand Houx, où sont fabriquées dalles, mobilier urbain, appuis de fenêtres. Cette nouvelle dénomination ne va affecter ni la production ni les emplois, mais permettre une meilleure visibilité de l'activité.

« Aujourd'hui Stradal appartient au groupe européen CRH, tout comme Marlux », explique Dominique Guyot, directeur du site arthonnais. « L'activité de Stradal se décompose en trois secteurs. L'activité paysage comme ici, l'activité VRD génie civil, et des activités spécialisées avec des infrastructures ferroviaires, du funéraire... », résume le directeur. « Nous, on vend du charme, du rêve, avec comme clients finaux les particuliers. Les autres usines vendent de la technique à des collectivités locales ». Dans un souci de simplification, sous le nom de Marlux, sera regroupé l'ensemble de l'activité paysage. Un changement qui concerne neuf usines, sur la quarantaine en France sous le nom Stradal.

60 emplois rattachés au site arthonnais

Ce changement ne va pas perturber le personnel, dont le transfert des contrats de travail va se faire automatiquement, avec la même convention collective. Il en est de même des fournisseurs et clients, prévenus en amont. « C'est plus la population locale qui va être surprise », indique Dominique Guyot. « L'histoire d'Arthon et du béton a débuté après guerre, avec Auguste Moreau, qui a commencé à produire des parpaings ». Au fil des ans, l'usine s'est agrandie, avec la fabrication de buses, bordures...

« Le nom Stradal est apparu en 1982, avec la création du deuxième site, ici, au Grand Houx. Stradal signifie, Société des terres rouges arthonnaises de dalles », précise le directeur. En 1989, le groupe Moreau vend ses deux usines arthonnaises au Ciments Français. Les deux sites passeront sous le giron de CRH en 2005.

Aujourd'hui, sur plus de 5 ha, le site comprend une plate-forme de stockage pour le Grand-Ouest, ainsi qu'une usine de production où 55 000 tonnes de produits sont fabriquées chaque année. « 60 personnes sont rattachées au site arthonnais, dont 40 à l'usine », souligne le directeur. Du personnel principalement d'Arthon et des communes limitrophes, et qui chaque jour met son savoir-faire, afin de poursuivre une belle histoire débutée après guerre.
Source Ouest France

05/01/2012

Création d’un poste de Responsable du Développement durable à la FFTB

La Fédération des tuiles et briques vient de créer un nouveau poste, celui de Responsable Environnement, confié à Thierry Voland.

A 47 ans, Thierry Voland devient le nouveau « Monsieur Environnement » de la Fédération française des Tuiles et Briques (FFTB). Il aura pour mission de défendre et promouvoir, tant au niveau français qu’européen, les intérêts de l’industrie de la terre cuite dans le domaine de la réglementation environnementale et du développement durable.

Cet ingénieur chimiste et diplômé en Management Global des Entreprises a passé de nombreuses années dans les secteurs de la chimie, céramique, matériaux et construction. Après 10 ans au sein de Efl Atochem, il entre, en 1999, au Centre Technique des Tuiles et Briques, devenu Centre Technique des Matériaux Naturels de Construction (CTMNC). Il y occupe successivement les postes de chef du laboratoire de physico-chimie, chef de services Tuiles & assurance Qualité et responsable de la veille jusqu’au début 2011. Cette même année, il était également directeur de la certification et de la qualité chez Cequami, organisme certificateur – filiale du CSTB – dédié à la maison individuelle.
Source Batiactu

Batimat s'installe aussi au Maroc en 2012

Le grand salon de la construction Batimat s’exporte au Maroc en organisant, au mois d’avril 2012, deux nouveaux événements : Batimat Maroc « Gros Œuvre-Menuiserie » et Batimat Maroc « Matériel de Chantier-Outillage » à l’Office des foires et expositions de Casablanca.

Batimat était déjà un salon international, qui avait rassemblé, lors de sa dernière édition à la Porte de Versailles à Paris, près de 2.300 exposants et plus de 350.000 visiteurs, dont 19 % d’étrangers. La marque s’exporte désormais vers un autre continent afin de rencontrer de nouveaux acteurs de la construction et de conquérir un nouveau visitorat. Batimat organisera donc deux salons au Maroc, du 4 au 7 avril 2012, à Casablanca : le premier, dédié au gros œuvre et à la menuiserie ; le second, au matériel de chantier et à l’outillage.

Ils seront l’occasion pour 15.000 visiteurs professionnels qualifiés de venir à la rencontre de 200 exposants par session, sur une surface de 10.000 m². Des rendez-vous d’affaires personnalisés seront organisés sur les stands en coopération avec la CFCIM (Chambre française de commerce et d’industrie du Maroc). Un programme de conférences aura lieu pendant chaque session, dont le cycle de deux jours « Batimat Green Building » consacré à l’environnement et au développement durable dans la construction.

Le Maroc, un eldorado pour la construction ?
Une campagne de promotion sera bientôt lancée au Maroc, mais également dans le reste du Maghreb et en Afrique de l’Ouest, afin de faire connaître les deux événements aux décideurs de la construction, aux entreprises du bâtiment et de la maîtrise d’ouvrage ainsi qu’aux fédérations et associations professionnelles. Le secteur du bâtiment est en croissance dans le royaume chérifien et présente un fort potentiel. De nombreux chantiers ont été initiés par l’Etat afin de répondre aux besoins de rénovation et de réhabilitation de bâtiments existants et de nouveaux édifices (isolation, efficacité énergétique, gestion intelligente des bâtiments, aménagements intérieurs et extérieurs, gestion des chantiers, sécurité et prévention, etc.). Des projets ont vu le jour afin d’accompagner l’émergence de 15 villes nouvelles et stations touristiques, la réhabilitation et la modernisation de villes telles que Tanger, la construction de vastes programmes de logements sociaux pour le remplacement de vieux bâtiments, et de forts développements d’infrastructures (autoroutes, ligne de TGV Tanger-Rabat-Casablanca en 2015, ligne de tramway, port Tanger-Med, modernisation des aéroports).

Tous ces chantiers ont été accompagnés par la mise en place d’une législation adaptée (code de l’urbanisme et de la construction, réglementation environnementale, mise en place de certifications, réglementation parasismique RPS2000 v. 2011, etc.). Un tel dynamisme a incité les organisateurs à planifier, d’ores et déjà, deux futurs événements en 2013 : un Batimat Maroc « Aménagement intérieur-extérieur » en avril, et un Batimat Maroc « Equipements techniques » en septembre ou octobre.
Source Batiactu

04/01/2012

IMERYS Terre Cuite, engagé dans l’éco-conduite, une initiative à la fois écologique, sécuritaire et citoyenne

Inscrit dans une véritable démarche de développement durable, IMERYS Terre Cuite a lancé depuis l’été 2010 le projet « Tous écoconducteurs ». Ce projet vise à sensibiliser les salariés possédant un véhicule de fonction à maîtriser leur consommation d’énergie et leur vitesse. L’ensemble des collaborateurs concernés est aujourd’hui formé et les premiers résultats en matière de baisse de consommation de carburant apparaissent significativement.
Leader sur le marché des tuiles et des briques en terre cuite, IMERYS Terre Cuite emploie aujourd’hui 200 collaborateurs possédant un véhicule de fonction, lesquels parcourent plus de 8 millions de kilomètres par an. Avec une moyenne de 130 g de CO2 rejetés dans l’atmosphère par kilomètre, cela représente un rejet annuel de 1 000 tonnes de CO2.
De ce constat frappant est né le projet « Tous éco-conducteurs », initié par la Direction des Ressources Humaines d’IMERYS Terre Cuite.
En quoi consiste ce projet ?
A l’été 2010, un organisme spécialisé dans la formation à la conduite automobile est intervenu pour mettre en place un test avec trois conducteurs adoptant trois conduites différentes : un premier parcours a été réalisé sans consigne, et un deuxième parcours avec consignes. Une baisse de la consommation de carburant de 10 à 15% est apparue dans le 2e cas.
Face à ces résultats sans appel, IMERYS Terre Cuite a officiellement lancé le projet ambitieux d’éco-conduite en septembre 2010 dont le principal objectif est de réduire la consommation de carburant à 0.7l/100kms, soit réaliser une économie de 1€ tous les 100 kms.
Quel bilan tirer un an après sa mise en place ?
Après les premiers mois de formation, une baisse de l’ordre de 0.5l/100 kms a été constatée chez les conducteurs. A l’échelle de l’entreprise, l’économie financière est de 50 000 € par an et au niveau de la planète, 96 tonnes de rejets annuels de CO2 sont évitées.
Au-delà de ces chiffres très encourageants, ce projet s’inscrit dans la volonté d’IMERYS Terre Cuite de développer chez ses collaborateurs une conscience écologique et citoyenne, de renforcer la dimension sécuritaire de la conduite et de s’engager plus globalement dans une démarche responsable.
Source Espacedatapresse

Matériaux de construction : Fitch rassure les entreprises

Les agences de notation ne sont pas seulement des oiseaux de mauvais augure. C’est ce que viennent rappeler les conclusions de Fitch en ce qui concerne les perspectives de crédit dans le secteur des matériaux de construction pour l’année 2012.

Fitch parie, en effet, sur une stabilité du crédit pour l’année à venir au niveau mondial. Mieux, l’agence estime que les entreprises de matériaux de construction vont débuter l’année avec des bilans nettement plus sains que ceux enregistrés à la la fin 2010.
Source France BTP

03/01/2012

La terre cuite, solution aux problèmes de qualité de l'air intérieur ?

La qualité de l’air intérieur est un enjeu d'intérêt croissant : composés organiques volatils, particules issues du chauffage domestique au bois, moisissures, sont autant de risques. La FFTB a donc décidé de mettre en avant les atouts des solutions en terre cuite pour la préservation de la qualité de l’atmosphère des bâtiments.

A partir du 1er janvier 2012, l’étiquetage de produits de construction et de décoration sera obligatoire afin d’informer le consommateur sur le degré d’émission de composés organiques volatils (COV) des matériaux. Il s’agit d’une première étape dans la lutte contre les pollutions de l’air intérieur des bâtiments. La Fédération Française des Tuiles et Briques (FFTB) a souhaité aller plus loin en mettant en avant les caractéristiques de ses produits. En effet, de constitution uniquement minérale (argile), les solutions « Terre Cuite » n’émettent aucun COV. Elles seront donc estampillées « A+ » sur l’étiquette mentionnant les « Emissions dans l’air intérieur ».

Si les COV contribuent à la dégradation de l’air intérieur, les moisissures s’avèrent également y participer. Environ 40 % des logements seraient touchés par la présence d’une ou plusieurs espèces de microorganismes allergènes ou toxicogènes (Alternaria, Cladosporium, Penicillium, Aspergillus, Fusarium, Botrytis, Trichoderma). Pour se développer, les moisissures nécessitent de l’humidité et des matières nutritives. Généralement, on les trouve sur des substrats contenant de la cellulose et de la lignine. Les solutions en terre cuite garantiraient pour leur part une absence de développement des microorganismes du fait de leur inertie thermique permettant d’éviter les zones froides et le phénomène de condensation. La FFTB précise que même en cas d’humidité accidentelle (infiltration, fuite), l’absence de matière nutritive empêcherait les moisissures de se développer. Il est toutefois possible qu’elles se développent tout de même sur des substrats inertes, en trouvant leur nourriture dans la poussière ou l’eau.

Les professionnels de la filiale ont décidé la mise en place d’une étiquette supplémentaire, indiquant l’absence de moisissure avec leurs produits. Une initiative qui leur est propre et qui s’inscrit dans la continuité des actions menées par la FFTB : récemment, l’organisation a coordonné la rédaction d’un Livre blanc « L’air c’est la vie : un enjeu sanitaire majeur » qui a été remis à l’Assemblée nationale en février 2011. Depuis le mois d’octobre 2011, la fédération a également rejoint le collectif « Allergies respiratoires : grande cause nationale 2012 ».
Source Batiactu

02/01/2012

TERREAL lance la Latitude 12 : une tuile qui allie esthétique traditionnelle et technicité moderne

Leader sur le marché des tuiles du Sud (55% du marché total des tuiles terre cuite en France), Terreal annonce l’arrivée de sa nouvelle tuile : la Latitude 12. Elaborée dans l’esprit canal, cette tuile respecte le patrimoine architectural du Grand Ouest Atlantique tout en proposant des fonctionnalités techniques répondant aux attentes de performance de mise en œuvre des professionnels.


Une esthétique au service des paysages du Grand Ouest Atlantique

Conçues pour les toitures de l’Ouest, tant en neuf qu’en rénovation, la tuile Latitude 12 se dessine avec la courbe et l’épaisseur propres aux tuiles traditionnelles des territoires atlantiques. Son ressaut vif restitue le rythme des tuiles canal de l’Atlantique et son nez tranché rappelle l’identité des vieilles tuiles en terre cuite. Ils en font la tuile idéale pour tous ceux qui veulent mettre en valeur l’architecture régionale.

De la Vendée jusque dans les Landes, en passant par la Gironde, le Pays-Basque et le Béarn, la Latitude 12 offre une palette de 5 coloris pour faire revivre les tons traditionnels et incontournables de la façade Atlantique et préserver ainsi le caractère de l’architecture locale.

Les qualités techniques de la Latitude 12 : l’assurance de la simplicité d’une tuile moderne

Fiable et robuste, la Latitude 12 se caractérise par un excellent rapport légèreté / résistance. Cette tuile est parfaitement dimensionnée et bénéficie des dernières avancées technologiques et des savoir-faire de Terreal. Les finitions techniques lui confèrent des performances inégalées sur tous les types de charpentes ainsi qu’une étanchéité des toitures, même à faible pente.

La Latitude 12 bénéficie d’un jeu latéral de 2 cm et d’un jeu longitudinal de 2 cm limitant les découpes et facilitant la pose, notamment en cas de faux équerrages. Elle dispose d’une gamme d’accessoires simplifiée pour une finition facile et 100% terre cuite. Sa palettisation à 180 tuiles permet de travailler sur les chantiers de rénovation les plus difficiles d’accès.

Les caractéristiques techniques de la Latitude 12 :
Dimensions hors tout 45,8 x 30 cm
Pureau longitudinal 37 – 39 cm = 2 cm de jeu
Pureau latéral 20 – 22 cm = 2 cm de jeu
Poids unitaire 3,9 kg
Nombre de tuiles par m² 12 (11,7 – 13,5)
Poids par m² 46,8 kg/m² à 12 tuiles au m²
Liteau 2,63 ml/m²
Nombre de m² par palette 14 m²
Lieu de production Roumazières-Louber

Source Wellcom

31/12/2011

Tuile Monier Innotech

La tuile Monier Innotech allie innovation, technologie et design.
Elle a été conçue pour s’adresser principalement aux architectes constructeurs de maisons individuelles et aux promoteurs immobiliers. D’un design contemporain, elle a le nez le plus fin de sa catégorie (10 au m²). Son pureau plat et ses emboîtements totalement invisibles donnent à la toiture un aspect esthétique. Les tuiles Innotech sont disponibles dans une gamme de couleurs riche, propice aux audaces créatives et stylistiques : elles existent en teintes unies (Amboise, Sarment, Terracotta, Graphie) et en teintes nuancées (Lauze, Palissandre, Vérone).

Grâce à la technologie des nouveaux revêtements « Novo » (teintes unies) et « Slurry Evolution 2 » (teintes nuancées), Innotech doit garder longtemps ses couleurs. La conception même de la tuile, avec une répartition homogène de la matière et un positionnement étudié des tenons et des renforts, apporte résistance, stabilité et rapidité de pose. Son profil et ses larges cannelures permettent une bonne circulation de l’eau de pluie tout en conférant une excellente étanchéité. Le système Innotech, qui associe les tuiles éponymes à des accessoires et composants, constitue une solution complète facilement adaptable à tous les besoins du marché du neuf.
Source Batiactu

30/12/2011

Avec Néoplate d'IMERYS, il suffit d'un geste pour poser trois tuiles

La NéoPlate se situe entre une tuile plate et une tuile à emboîtement. Développée et conçue au sein du Bureau d'Etudes et des laboratoires IMERYS Terre Cuite, ce modèle breveté permet de faciliter les chantiers. Une fois le premier rang posé, chaque tuile trouve sa place au-dessus des 2 tuiles inférieures et en un geste, trois tuiles sont posées Les grandes surfaces sont couvertes plus rapidement. Elle est autant adaptée pour le neuf que pour la rénovation et s'intègre à toutes les toitures, en apportant un cachet tuile plate. Avec son format 20/m2, elle est à l'aise sur tous les toits, sur toutes les pentes et s'adapte facilement à la plupart des configurations. Sa gamme d'accessoires est identique à celle de la Plate Pressée 17x27 Ste Foy, ce qui permet de solutionner tous les points singuliers de la couverture (rive biaise, noue fermée, etc.). La NéoPlate répond aux exigences des régions les plus pluvieuses et ventées avec ses doubles filets latéraux anti-siphonage, ses remontées transversales pour bloquer les remontées d'eau, et sa goutte d'eau inférieure.
Source Batijournal