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28/02/2017

Eric Lebeau est nommé directeur commercial d’Imerys Toiture

Le fabricant de tuiles et de produits de couverture et de façade Imerys Toiture annonce cette nomination suite au départ en retraite de Jean-Noël Robelin.

A partir du 1er mars prochain, la direction commerciale d’Imerys Toiture change de tête. Jean-Noël Robelin, actuel titulaire du poste, part en retraite et cède sa place à Eric Lebeau. Agé de 54 ans, Eric Lebeau a effectué l’essentiel de sa carrière chez cet industriel, qu’il a rejoint en 1986. Après 17 ans en tant que Responsable de Secteur, fonction qu’il a exercé sur trois régions différentes, il a été successivement directeur régional des ventes Rhône-Alpes, puis directeur national des ventes, poste qu’il occupait depuis 2012.

Il pilotera les orientations stratégiques sur les cinq activités de l’entreprise : tuile, bardage, solaire, services et accessoires fonctionnels.

Source Le Moniteur par Pierre Pichère

27/02/2017

TERREAL VA-T-IL CHOISIR DE MUSCLER ROUMAZIÈRES ?


Laurent Musy, P-DG de Terreal, avait fait hier le déplacement du siège

Le P-DG était hier en Charente limousine. Au préfet et à quelques élus, il a indiqué que le site était sur les rangs pour un projet de développement.

Il en a trop dit ou pas assez. Et a même un peu regretté l’indiscrétion. Laurent Musy, le P-DG de Terreal, en visite hier après-midi à l’usine de Roumazières où il recevait le préfet Pierre N’Gahane et quelques élus du territoire, a annoncé que le fabricant de tuiles pourrait à court terme doper son entité charentaise. "Nous avons envie de rester une industrie leader, indique-t-il. Roumazières est notre usine la plus importante, elle est stratégique et fondamentale, même si la baisse d’activité nous contraint à recourir à du chômage partiel trois mois par an. Pour accompagner notre développement, nous pourrions être amenés à investir ici de manière satisfaisante."

De quoi mettre l’eau à la bouche du représentant de l’État et des décideurs de Charente limousine. "Si vous nous en dites plus, cela pourrait être un argument pour vous accompagner", tente le préfet. Raté. Laurent Musy répond que le sujet est "bien trop prématuré" et que d’ailleurs, "ça ne se fera peut-être pas ici". Roumazières est en concurrence avec d’autres sites du groupe.
Deux autres, selon nos informations, répartis parmi les différentes tuileries du groupe, en Occitanie, en Bourgogne-Franche-Comté, en Normandie ou en Ile-de-France. Il s’agirait d’une unité de fabrication de tuiles spéciales, destinées à un marché qui ne serait pas forcément national. L’activité, quel que soit le site retenu, ne démarrerait pas avant 2019 ou 2020.

"Plus de polyvalence" à l’horizon 2020

Frappé par la crise du marché (-40% en dix ans), la tuilerie ne fonctionne actuellement que 9 mois par an.

À ce propos, Bruno Hocde, le directeur de l’usine de Roumazières, est tout aussi prudent que son patron. "Nous avons des atouts à faire valoir. Nous aimerions bien évidemment être retenus, mais les réflexions n’en sont qu’au tout début. Nous ne pouvons rien annoncer pour ne pas donner de faux espoirs aux gens."
Rien annoncer encore, c’est aussi le mot d’ordre quant aux suppressions de postes pour l’heure toujours fortement envisagées à Roumazières dans les trois ans. "Nous souhaitons axer davantage sur la polyvalence pour ne pas avoir à remplacer tous les départs à la retraite, dit Laurent Musy. Nous devons réfléchir à d’autres fonctionnements pour réagir autrement que par du chômage partiel aux baisses d’activité." Soixante-dix salariés feront valoir leurs droits à la retraite d’ici à 2020. La grande majorité d’entre eux ne sera a priori pas remplacée.
Pour autant, le tuilier historique reste confiant en son avenir sur ses terres d’argile historiques de Charente limousine. Le groupe a obtenu l’an dernier l’autorisation d’exploiter de nouvelles carrières et prospecte désormais du côté du nord de la Dordogne, de la Vienne et de l’Indre. Ses carrières actuelles lui offrent six ans de visibilité à Roumazières. Laurent Musy a l’ambition de faire grimper ce chiffre à vingt ans.

Source La Charente Libre par Benoît CAURETTE

TERREAL mécène de SNL Essonne pour la création d'un logement d'insertion

TERREAL a offert les tuiles nécessaires à la réfection du toit d’un bâtiment rénové par Solidarités Nouvelles pour le Logement en Essonne (SNL Essonne). La réhabilitation de ce T4 permettra de loger une famille en difficulté et de lui apporter tout le confort essentiel à sa réinsertion.

SNL Essonne a pour mission de créer des logements très sociaux et de les louer à des personnes en difficultés. L’association a ainsi fait l'acquisition d’un bâtiment présentant une surface habitable de 72 m² à Villebon auprès d’un propriétaire engagé. La maison a été entièrement réhabilitée grâce aux subventions et mécénats dont SNL a pu bénéficier pour y accueillir une famille. Parmi eux, TERREAL a effectué un don de 5 palettes de tuiles Côtes de Nuits (soit environ 1500 tuiles) et d’accessoires (faitages avec rabats, chatières, rives à rabat) pour rénover la toiture.

TERREAL mène une politique de mécénat en faveur de l’accès au logement et de la sauvegarde du patrimoine. Cette action est au cœur de nos convictions, notre volonté étant d'apporter une contribution durable à notre environnement, pour le bien-être collectif et le confort de vie.

Source Terreal

26/02/2017

Fimec Technologies devient Alfi Technologies

Le groupe Materials Technologies fédère ses différentes activités sous la nouvelle marque Alfi Technolies pour rationaliser ses activités et se développer dans l’intralogistique.

Le groupe et ses filiales, Fimec Technologies, ACC Technologies, Adler Technologies et Chaudronnerie Savoyarde portent désormais la marque Alfi Technologies. En complément des solutions dédiées à la fabrication de matériaux de construction (béton, terre cuite, isolation et plaques), le groupe s’appuie sur son savoir-faire dans le domaine de la manutention de charges de grandes dimensions pour proposer des solutions dédiées à l’intralogistique, notamment dans les industries aéronautiques, pneumatiques et papier.

Sur le marché de la logistique et des centres de tri express postaux, Alfi Technologies capitalise sur son expérience dans le déchargement automatisé avec ses basculeurs de la gamme U-Care, lancée en 2014, qui permettent d’augmenter le nombre de colis traités par heure tout en respectant l’intégrité des colis. "Une réelle avancée en terme d’ergonomie pour les opérateurs", explique Pierre Audic, responsable développement Transport et Logistique. Soutenu par la BPI, Alfi Technologies pèse aujourd’hui 40 millions d’euros de chiffre d’affaires dont un tiers dans le domaine de l’intralogistique, axe de développement du groupe.

Source Stratégie ligistique par GILLES SOLARD    

25/02/2017

ALGERIE Achouat (Taher) : Redémarrage de la briqueterie

Après un arrêt de quatre mis à profit pour la rénovation des équipements de l’ancienne entreprise publique reprise par l’opérateur Alcodimex, la briqueterie d’El Achouat, dans la commune de Taher (wilaya de Jijel), a redémarré il y a un mois.

Cette reprise permettra d’injecter dans le circuit de la construction 150 000 tonnes par an de produits rouges, jusque-là essentiellement achetés dans d’autres wilayas du pays.

Reprise dans le cadre de la privatisation des entreprises publiques, l’usine a bénéficié d’une rénovation réalisée par les entreprises Ipa Group (Italie) et Ceratec (Belgique), pour un coût de 15 millions d’euros, financés en partie par la BEA et les fonds propres pour 760 millions de dinars.

L’usine, qui emploie actuellement 130 personnes et qui a généré 300 emplois indirects, bénéficie d’une étude pour son extension afin d’installer une deuxième briqueterie de 200 000 tonnes/an.

Source El Watan par Fodil S.

24/02/2017

Algérie : les matériaux de construction subissent l'effet de l'austérité

En Algérie, même les importations de matériaux de construction sont soumises à l’austérité à laquelle s’astreint le pays avec l’effondrement des cours du pétrole. Les importations algériennes de matériaux de construction notamment de ciment, d’acier, de fer et de céramique, ont enregistré une baisse en valeur de 18,1% en 2016.
Les chiffres ont été révélés par le Centre national de l'informatique et des statistiques (CNIS) affilié aux Douanes algériennes. Pour l'année 2016, l'Algérie n'aura importé que 2,1 milliards de dollars contre une valeur de 2,57 milliards de dollars une année plus tôt.

Dans le détail, la baisse en valeur est le résultat de la conjugaison d'une chute de plusieurs types de matériaux. Ainsi, l'importation de ciment a connu une chute de 35,45%, passant de 474,3 millions de dollars en 2015 contre 306,1 millions de dollars en 2016.

Chute en quantité et en valeur
Les importations de fer et d'acier ont reculé à 1,4 millions de dollars en 2016 contre 1,17 millions de dollars soit une baisse de 16,23% d'une année à l'autre. De plus, le bois de construction et ses dérivés ont connu une baisse 12,35% confortée par un recul de sa facture passée de 642,08 millions de dollars en 2015 pour se retrouver à 562,7 millions de dollars.

Cette baisse en valeur a entraîné dans son sillage, une baisse en quantité moins marquée. De 11, 11 millions de tonnes entre janvier et décembre 2016, la quantité de matériaux importées pour la construction, n'a été que de 9,8 millions de tonnes au cours de la même période en 2016 soit une chute de 11,74%. Conséquence d'une baisse dans certains types de matériaux et timide hausse dans d'autres.

Austérité oblige...
Là aussi, la baisse dans les importations de ciment s'est fait ressentir. De 6,6 millions de tonnes en 2015, les quantités importées de ciment se sont chiffrées à 4,8 millions de tonnes soit une baisse de 27,41%. Il faut cependant voir dans cette baisse les mesures de limitation de l'importation du ciment par les autorités algériennes via un système rigoureux de quotas.

Par contre, le bois affiche une hausse de 6,21% en un an, en passant de 49.544 tonnes en 2015 à 52.621 tonnes en 2016. Tendance à l'opposé pour le fer et l'acier, avec une chute de 10,4% passant de 3,03 millions de tonnes à 2,71 millions de tonnes d'une année à l'autre.

Cette double chute de la courbe d'indicateurs des matériaux de construction s'explique par la baisse des cours mondiaux de pétrole, principal ressource économique du pays maghrébin (97% des recettes d'Etat).

Affectée par cet effondrement des cours comme la plupart des pays pétroliers, l'Algérie a adopté des mesures d'austérité parmi lesquelles l'obligation pour les entreprises de BTP de s'approvisionner sur le marché local plutôt que d'importer des matériaux, désormais soumis à des quotas.

Source  La Tribune Afrique 

23/02/2017

Salon BePositive : 22 solutions innovantes en lice pour les Awards

Près de 30 000 professionnels sont attendus au salon BePositive, qui ouvrira ses portes le 8 mars prochain à Lyon.

À cette occasion, les visiteurs pourront notamment découvrir les lauréats des BePositive Awards, récompensés dans quatre catégories de solution : EnR & territoires, Energies dans le bâtiment, Flam’expo et Bâtiment & Aménagement. Vingt-deux produits et services sont actuellement en lice pour tenter de remporter l’un des prix.

Catégorie Énergies dans le bâtiment

Pour la catégorie EnR & territoires, quatre candidats ont été retenus par le jury de sélection, à l’instar d’Imerys TC (Rhône) et sa tuile Alpha Solaire, qui intègre des cellules photovoltaïques à une tuile terre cuite. D’autre part, la batterie Stock-R, présentée par Systovi (Loire-Atlantique), stocke la chaleur issue de l’énergie solaire afin d’apporter du chauffage en journée ou en soirée.

Source Batiweb

22/02/2017

USA Hebron Brick becomes employee-owned business

The employees of Hebron Brick Co. became business owners last month when the company adopted an ESOP, or employee stock ownership plan.

The manufacturer of clay brick and concrete blocks became 100 percent employee-owned Jan. 10 thanks to a collaboration between the business, First International Bank and Trust and the Bank of North Dakota.

The move was made to ensure the North Dakota company remains "viable for generations to come," said CEO Rodney Paseka.

"We believe providing ownership as an employee benefit will lead to greater employee satisfaction, better retention and greater customer service," added President Jeff Laliberte.

Hebron Brick was founded in 1904 in Hebron, N.D. Today, the company owns nine locations in North Dakota, South Dakota and Minnesota.

Source INFORUM

Malaysia: Fire breaks out at clay-brick maker Kia Lim’s factory

BATU PAHAT: A fire broke out on Friday morning at one of the factories belonging to a subsidiary of Johor-based clay brick manufacturer Kia Lim Bhd.

The company said in a filing with Bursa Malaysia that no personnel was injured in the 6am incident that took place at the factory’s buildings, which housed machinery for firing materials and storage, firing material for transportation, feeding system and tunnel kiln.

Kia Lim said at the time of the filing it was unable to ascertain the extent of the damage and financial loss the company.

“KLB is looking into ascertaining the actual extent and quantum of the damage caused by the fire together with the insurers and other relevant parties,” the company said.

Kia Lim’s share price rose 3.5 sen to close at 48.5 sen last Friday.

Source The Sundaily

Guy Quémerais, quarante ans de service chez Terreal, cela méritait une petite fête entre collègues

«Guitou», comme le nomment ses amis, qu'ils soient du monde du travail, du rugby, des Gauvois, ou les Villeneuvois qui l'ont vu grandir, vient de faire valoir ses droits à la retraite à compter du 1er février, quarante ans et cinq mois aux labos de l'entreprise Guiraud frères puis du groupe Terréal.

Embauché le 23 août 1976 après une rencontre fortuite sur les terrains de rugby avec Charles Guiraud qui lui a tendu la main. Un pan de vie, une page se tourne et pour cela tous ses collègues de travail, actifs, retraités, cadres et directeurs étaient réunis, ce vendredi, autour d'un «pot» et d'un buffet amical et superbement décoré, Guy est capable de faire des yeux à un chat, pour anecdote tous ses copains villeneuvois le surnomment «Mac Gyver», référence à la célèbre série télévisée.

Une soirée réussie avec l'aide de sa proche famille : Martine son épouse, Pauline sa fille, qui avaient concocté des pâtisseries d'enfer ; Claude son «frérot», son clone de bricoleur mais aussi docteur es'pizza ; Rosemonde, Grégory et Geneviève les petites mains au grand cœur. Guy remercie les quatre-vingt-dix personnes qui se sont associées à cet événement, il nous a confié sa joie d'avoir partagé ce grand moment d'humanité et de fraternité. Il rappelle qu'une centaine de stagiaires sont venus recueillir ses précieux conseils, notamment une jeune Mexicaine qui depuis son pays, au téléphone, vient de lui souhaiter bonne retraite.

Guy, profite de ta nouvelle vie, enseigne à Liam, ton petit-fils, les rudiments de la vie.

Source La Dépêche du Midi

21/02/2017

Braas Monier appoints Georg Harrasser

The Braas Monier Building Group has appointed Georg Harrasser (50), currently Chief Operating Officer (COO) at Braas Monier, as its Chief Executive Officer (CEO).

He succeeds Pierre-Marie De Leener, who has held the CEO position on an interim basis since January 2016 and will henceforth focus on his role as Chairman of the Board of Directors of Braas Monier. Together with Matthew Russell, Chief Financial Officer (CFO), Georg Harrasser will form the senior management at Braas Monier.

Georg Harrasser has also been appointed as a member of the Board of Directors. The Board of Directors thus now consists of eight members, including the Chairman of the Board of Directors.

Georg Harrasser started his career at Braas Monier in 1993 and has since held various positions in quality management, plant management and as Industrial Director for concrete and clay tiles as well as CEO positions at Monier Italy and Asia Pacific. Since 2013, he has been Regional President of the Group’s Central, Northern and Eastern European region. Georg Harrasser graduated from the Technical University Munich with degrees in Mechanical Engineering and Business Management.

Source Ziegelindustrie International

20/02/2017

BOUYER LEROUX: Une rencontre professionnelle et un nouveau souffle autour d’un grand match de rugby

Opti-solution a réuni 50 clients, bureaux d’étude, constructeurs de maisons individuelles, entreprises du bâtiment, négociants, dimanche dernier au Stade de France pour une présentation de ses nouveautés 2017, avant d’assister au match du Tournoi des 6 nations opposant l’équipe de France de rugby à celle d’Écosse.


Cette manifestation a été organisée, dans le salon Oxygène du Stade de France haut lieu de l’ovalie européenne. « Le rugby est un sport qui correspond bien aux valeurs de notre marque : coopération, engagement, proximité et convivialité » résume Cyrille Bocquel, Directeur de l’Activité Opti-solution.

Cette opération fut l’occasion d’insuffler un nouveau souffle et de présenter 3 innovations :

  • Innovation système : démonstration devant les clients du système Opti-fix, pour le montage de briques rectifiées. Cette nouvelle colle haute adhérence est prête à l’emploi. 
  • Innovation service : création de la fonction « commerciale sédentaire » qui permet d’offrir un meilleur soutien en complément à l’action des Responsables de secteur, et ainsi de proposer aux clients les solutions techniques et économiques les plus performantes.
  •  Innovation numérique : lancement d’une application originale et moderne qui sera accessible sur tous supports y compris smartphones et tablettes. Elle sera opérationnelle en avril 2017 et favorisera le partage d’informations, la mise en relation des acteurs et le développement des affaires. 


Suite à un début d’après-midi professionnel, les participants ont revêtu leurs habits de supporters pour prendre place dans les tribunes et apporter leur soutien à une équipe de France victorieuse. La journée s’est terminée au terme d’une troisième mi-temps qui aura permis de refaire le match et de célébrer cette première victoire du quinze de France dans le Tournoi des 6 nations 2017.

Source Cécile Roux

19/02/2017

CERITHERM et DIREXA ENGINEERING vous proposent un nouveau concept de four tunnel basse consommation: le four SK

L’EQUIPEMENT DE DEMAIN POUR PRODUIRE MIEUX, PRODUIRE PLUS,CONSOMMER MOINS, POLLUER MOINS…
PRODUIRE DIFFEREMMENT POUR PREPARER L’AVENIR
Le four SK est un four tunnel destiné à la cuisson de produits en céramique.
Sa particularité réside dans le fait que la charge n’est plus embarquée sur des wagons ni supportée et entraînée par des dispositifs traversant les parois.
Le four SK est une solution flexible destinée à l’usage des industriels de tout secteur d’activité.
Les avantages du four SK

  • Une étanchéité parfaite du tunnel de l’entrée à la sortie des produits
  • La possibilité de gérer des atmosphères particulières
  • Une isolation identique et efficace des quatre faces du tunnel : voûte, sole, parois latérales
  • Aucune masse parasite à réchauffer et à refroidir autre que les produits et leurs supports
  • Aucune partie mécanique à préserver de la température de cuisson
  • Aucune limite de largeur

Les bénéfices du four SK pour les clients

  • Réduction de la consommation d’énergie
  • Flexibilité des cycles de cuisson : cadences, types de traitements thermiques
  • Gain en précision de cuisson
  • Amélioration de la qualité des produits finis, diminution du taux de rebut
  • Gain de productivité, rentabilité produit
  • Réduction des encours
  • Possibilité de cycles courts : l’équipement n’est plus limitant
  • Rentabilité accrue de l’outil de production

Source Ceritherm

18/02/2017

A La Rochelle, les chercheurs offrent une nouvelle carrière aux déchets de béton

Dans le cadre d’un appel d’offres de l’Ademe sur les «Déchets du BTP», les chercheurs du laboratoire des Sciences de l’ingénieur pour l’environnement de l’université de La Rochelle (Charente-Maritime) ont, durant 30 mois, étudié la réactivité des bétons concassés destinés aux travaux routiers. Ils ont observé des différences d’évolution dans le temps, notamment en termes de portance.

Un programme, baptisé Recyment, a permis aux chercheurs d’étudier durant 30 mois la réactivité des bétons concassés destinés aux travaux routiers.

Les expérimentations se sont déroulées au sein de Planète Recyclage, un site du groupe Charier et situé à La Rochelle-La Pallice. Spécialisé dans le recyclage des matériaux de déconstruction issus des chantiers du BTP, le centre de 2 ha collecte 40 000 t de produits par an, dont 38 000 t de béton. «Les matériaux sont triés, préparés avant d’être revendus à des entreprises de travaux publics. Nous touchons également les professionnels du bâtiment, les paysagistes et les particuliers avec nos matériaux décoratifs issus du concassage des tuiles et briques», détaille Cédric Couilleau, directeur de Planète Recyclage, et associé à l’expérimentation.

Une portance plus importante

 «L’objectif de ce programme baptisé Recyment était de comparer les résultats avec ceux des matériaux de références issus des carrières», précise Cédric Couilleau. Et les résultats sont surprenants: «La portance, le jour de concassage, est similaire entre les deux types de matériaux. Par contre, après 3 et 8 mois, on note une amélioration plus importante de la portance pour les graves recyclés que pour les produits de carrière», constate le responsable de Planète Recyclage qui poursuit: «Cette découverte nous laisse envisager de revoir, à terme, l’épaisseur des couches de fondation et d’assises des routes».

L’expérience a même démontré qu’avec un ajout de terre cuite, environ 15%, les performances mécaniques des matériaux recyclés s’en trouvaient multipliées. «Reste à comprendre pourquoi», souligne Cédric Couilleau.

Des frais en moins

Quoi qu’il en soit, les différents acteurs de cette expérimentation s’accordent pour dire que «les graves recyclés ne sont pas des sous-produits». Et si leur intérêt écologique n’est pas plus à démontrer, ils peuvent même présenter un impact économique intéressant. «Nous sommes sur un prix équivalent à celui des matériaux de carrière. Mais, pour les entreprises situées loin de ces dernières comme sur La Rochelle ou Bordeaux par exemple, nous évitons les frais de transport», concluent les responsables de l’étude qui vont désormais compléter leur étude et compte bien faire changer les mentalités…


Source LE MONITEUR.FR par Jean-Sébastien Thomas

17/02/2017

Centrafrique : Des artères de Bangui transformées en briqueterie

Certaines avenues et rues de la capitale centrafricaine sont jonchées de briques de construction de maison. Cette situation est déplorée par certains habitants et les autorités administratives.

En cette période de saison sèche, des centrafricains de toutes catégories d’âge fabriquent des briques pour combler leurs économies. Après une investigation du RJDH, des artères de la capitale sont transformées en briqueterie avec des conséquences sur la circulation et la dégradation routière.

Sur la fabrication de briques le long des voies de communication, Gervais Vidrakpadi l’un des briquetiers en se justifiant a expliqué que c’est une activité génératrice de revenus et par manque d’espace, les avenues sont utilisées comme aire de séchage des briques. « Nous étalons nos briques sur les voies publiques parce que nous n’avons pas d’espaces dans nos concessions», a-t-il-dit.

Pour la municipalité, l’occupation de ces artères par les briquetiers occasionne des accidents de circulation. Interrogé par le RJDH, Mme Francette Makake, Maire du 6e arrondissement de la ville de Bangui a déploré la fabrication anarchique de briques sur les infrastructures publiques. Elle a demandé « aux fabricants de ne pas étaler leurs briques sur les voies publiques car cela créé souvent des accidents de routes » avant de les demander « de faire cela dans leurs concessions».

Pour mettre un terme à cette pratique anarchique qui dégrade les voies de communication et les canalisations, Mr Samson Manguesazon, conseiller municipal à la mairie du 6e arrondissement de Bangui, a rapporté que le Maire de Bangui appliquera l’Arrêté municipal portant interdiction de la fabrication des briques dans la capitale.


Source le Journal de Bangui par RJDH

ALGERIE: Deux lignes Sabo à la briqueterie BGO de Touggourt

Dans le cadre de son nouveau projet basé en Algérie, la briqueterie BGO Touggourt dirigée par M.Sadoudi Laid, a de nouveau fait appel à Sabo pour moderniser son parc machines. Le client était à la recherche d’une solution technique qui incluait la mise en place de deux lignes de production, chacune de 800 T/j, à installer dans un espace de fabrication très limité.

Sabo, qui propose des solutions d’usines clés en main pour l’industrie de la terre cuite, a démarré la première phase de travaux en octobre 2016. Le projet sera complété dans un deuxième temps pour amener la production de briques à 1 600 tonnes/jour.

Séchoir et four
Pour réaliser ce projet, Sabo a livré un séchoir rapide doté de 64 balancelles, de 6 m de large et d’1,1 m de long. Le séchoir a été paramétré pour s’adapter à l’espace restreint mais l’utilisation des robots est restée identique.

Le wagon de four de 6,8 m de large et 4,2 m de long peut empiler 18 paquets pour une hauteur totale de 1,8 m. Pour répondre aux objectifs de production, le temps de poussée est d’environ 12 m pour la brique B08 et un peu moins de 10 min pour la brique B12. Le four mesure 150 mètres de long, assure un temps de cuisson suffisant et permet de conserver les tuiles à l’intérieur du four afin de garantir une bonne cuisson tout au long du processus.

Le système de récupération d’énergie a été redessiné en tenant compte du tunnel du four mais également de l’air sous les wagons et au niveau de la voûte du four. Cela assure une meilleure consommation de l’énergie mais aussi une économie d’énergie pour le client.

La zone d’emballage a également été reconfigurée pour s’adapter aux trois lignes de dépilage dont deux qui créent des paquets cerclés comprenant des trous pour pouvoir être manipulés par les chariots élévateurs. La troisième ligne permet de fournir des produits en vrac.
Après un mois de mise en production, le projet a donné un résultat assez satisfaisant en réalisant près de 70 % des objectifs prévus dans le contrat, et en travaillant avec deux postes/jour au lieu de trois.

Source Industrie Céramique et Verrière

16/02/2017

Exposition Marseille: "Entrée en matière"

À l’occasion de l’exposition Entrée en matière, Voyons Voir se retourne sur sept années de résidences artistiques menées au sein du Centre Richebois (1), et regarde en même temps vers l’avenir par le scellement d’une collaboration qui se poursuivra désormais sur les cimaises de la nouvelle salle d’exposition inaugurée la semaine dernière sur les hauteurs de l’Estaque…

...

Enfin, présentée par Arnaud Vasseux, Table Séon #1 déroge à la règle puisque l’œuvre a été réalisée lors de sa résidence à la Tuilerie Monier réalisée en 2014 sur l’invitation de Voyons Voir. Arnaud Vasseux y poursuivait son exploration des matériaux et des différents processus qui engendrent une forme (sculpturale) au sein d’une usine qui travaille donc exclusivement avec l’argile, matériau à prise lente dans lequel l’histoire de la forme se raconte et laisse l’empreinte de son processus. C’est précisément d’une trace que l’artiste tente de se saisir, de maintenir et de restituer, celle de l’ouvrier qui trie les tuiles non conformes et qui se saisit de la plaque pour les extraire, laissant s’imprégner le geste qui entérine l’exclusion. Sur ces nouveaux chemins, quelle chance d’y croiser celui qui par nature est en marge, qui par nature est différent, qui par nature est exclu (au moins symboliquement) : l’artiste.
Céline Ghisleri

(1) Centre de réadaptation professionnelle Richebois
Entrée en matières, avec vue imprenable : jusqu’au 29/03 au Centre Richebois (80 impasse Richebois, 16e). Rens. : 04 91 09 48 00 / http://www.voyonsvoir.org

Source Marsactu

15/02/2017

Matériaux de construction/ Bourgogne Franche-Comté : enfin un scénario de croissance optimiste !

Ce n'était pas arrivé depuis 2008. La filière Carrières et matériaux de construction en Bourgogne Franche-Comté devrait renouer avec une tendance à la hausse en 2017 selon une étude du Pôle interministériel de prospective et d'anticipation des mutations économiques réalisée en 2015 par l'Union nationale des industries de carrière et matériaux de construction Bourgogne Franche-Comté (Unicem).

Cinq ans après la parution du Livre Blanc 2030 de la filière, des quatre scénarios examinés, il apparaît qu'une croissance économique n'est pas suffisante sans politique industrielle forte pour accompagner la filière. Le scénario le plus prévisible en 2017 devrait en effet ressembler au scénario n°3 de l'étude :

Reprise de la demande économique, mais :


  • Commande publique atone (pendant la campagne présidentielle),
  • Politique environnementale forte et hausse du coût du CO2,
  • Diminution de l'accès à la ressource, notamment les carrières de granulats. 
  • En termes d'emploi, l'embellie prévue en 2017 devrait générer la création d'emplois en Bourgogne Franche-Comté, liée à la fois à une légère croissance et à la mise en place de nouveaux métiers dans le cadre de l'économie circulaire. 


12 propositions d'actions présentées en Bourgogne Franche-Comté 

Le 23 février prochain, l'Unicem présentera aux pouvoirs publics un premier bilan des actions déjà mises en œuvre pour préserver la filière et préparer les conditions d'une reprise de la croissance. Et ce n'est pas tout. Douze propositions d'actions seront proposées dont plusieurs concernent la région Bourgogne Franche-Comté.

Source: Macommuneinfo

14/02/2017

Social Housing becomes a firm focus for Wienerberger

In a bid to support government targets to help with the sustainable supply of best value social housing, Wienerberger has announced a significant investment into this sector across the UK.

The outlay sees the manufacturer venturing into the social housing sector, with the appointment of a new social housing team. Heading up the division is John Harris, national sales manager, who offers a wealth of product and regional knowledge as a result of 30 years’ industry experience, 15 of which are with Wienerberger’s Sandtoft Roof Tiles.

Working with Mr Harris, business development manager John Christopher, and business development manager Mark Mayatt also join the team. Mr Christopher will be utilising his 25 years’ experience to assist in providing technical expertise across social housing in the North and Midlands. Mr Mayatt is based in London and brings 30 years’ experience in the sector – providing the new team with national coverage.

Discussing the impact that the new investment will have on the sector, Mr Christopher said: “Quality social housing design and provision is vital to ensure we are offering the best long term value to both providers and their customers/tenants. By setting up a specialist arm, Wienerberger is working to address this and act as a consultant for the sector. We want to set a newbuild standard that focuses on improving quality of the built environment and the lives of social housing tenants.

“Creating a social team of specialists is key to making this happen and compliments our existing efforts to deliver a more sustainable and accessible future for housing, via innovations such our industry acclaimed e4 house. Our new team will take time to really understand the needs of this industry, by working in partnership with associations to deliver long-term value and assurance - helping to deliver a new vision for social housing.”

Source Buildersmerchantsnews

13/02/2017

Xavier Janin nouveau directeur général France d’Eternit France

Xavier Janin a rejoint Eternit France, filiale du groupe ETEX. Il est nommé au poste de directeur Toiture Etex Europe de l'Ouest et Directeur Général Eternit France. Il a en charge d’impulser une nouvelle dynamique à ce spécialiste des produits de toiture en fibro-ciment. Eternit, dont le nom est presque centenaire, est un spécialiste des produits de couverture, de bardage et d’autres produits pour le bâtiment, tous en fibro-ciment.

Xavier Janin, ingénieur de Centrale Paris, a débuté sa carrière chez Dalkia, puis comme consultant chez McKinsey. Il a ensuite rejoint le groupe Lafarge, où il a assumé un poste de directeur régional des ventes, et découvert les métiers de la couverture à cette occasion. Il a ensuite donné un tournant international à sa carrière en prenant en charge successivement en Inde puis en Malaisie le développement de Braas-Monier, la nouvelle société issue de Lafarge Couverture, et ce pendant plus de 6 ans.
Il a ensuite pris la responsabilité commerciale de la zone Europe du sud pour Armstrong Ceilings, spécialiste des plafonds acoustiques.
Il a quitté les domaines du toit et du plafond pour rejoindre Xylem, un spécialiste de la gestion de l’eau.

Chez Eternit France, Xavier Janin va devoir relevé le défi d’accélérer la croissance de la société, dans le contexte d’un marché de la couverture qui a été relativement déprimé ces dernières années, à l’image du marché du bâtiment. S’ajoute à cela le fait que la part de l’amélioration-entretien, autrement dit la rénovation, ne sera pas la partie la plus dynamique du marché en 2017 (cf. chiffres de la FFB).

Néanmoins Xavier Janin fait preuve d’optimisme et de volontarisme. « Avec une équipe de direction renforcée, Eternit France est au cœur de la nouvelle division toiture récemment créée au sein du groupe Etex. Avec l'ambition dès 2017, d'améliorer notre offre de services clients, d'apporter de nouveaux produits et de proposer des solutions de toiture complètes, Eternit France veut conforter sa position de leader sur les marchés agricoles et résidentiels. Cet objectif s'appuie sur la stratégie et les valeurs du groupe Etex... »

A propos d’Eternit 

Membre du Groupe Belge ETEX, ETERNIT France développe des systèmes de construction innovants et performants pour la toiture, la façade et l'aménagement intérieur. Au travers de ses différentes gammes, ETERNIT France apporte des solutions à l'ensemble des marchés, résidentiel, tertiaire, agricole et travaux publics, en veillant à adapter ses produits et solutions aux particularités de chacun. 

Source Batiweb

LINGL AU SALON BATIMATEC 2017 – UN DES SALONS LES PLUS IMPORTANTS DANS CETTE ANNÉE


L’entreprise allemande Hans LINGL Anlagenbau und Verfahrenstechnik GmbH & Co. KG sera présente avec ses produits et sa nouvelle filiale de service „SARL Lingl Algeria“ au salon BATIMATEC de cette année du 23 au 27 avril 2017. LINGL est l’un des premiers fabricants de machines et d’installations d’envergure internationale et propose des solutions et un savoir-faire très développé autour de la chaîne de valorisation de la production céramique.


Le thème principal de LINGL au salon sera des projets avec des machines et des installations ainsi que des solutions techniques développées spécialement pour l’industrie algérienne de la céramique du bâtiment. Celles-ci comprennent notamment des concepts d’installation innovateurs pour la production efficace des briques comme par exemple réalisé dans la Briqueterie Tidjelabine récemment inaugurée. L’usine compte parmi les plus grandes lignes de production installées en Algérie et est équipée d’un séchoir rapide en forme de U séchant les briques en seulement 3 heures. Ce concept d’usine mis en pratique pour la première fois est peu encombrant et très économique – toutes les machines de manutention sont centralisées de sorte que toute la production peut être contrôlée par deux personnes pour l’essentiel.


En outre, LINGL présentera ses prestations de service élargies aux visiteurs du salon BATIMATEC. L’Algérie compte parmi les marchés les plus importants pour LINGL. C’est pour cette raison que l’entreprise a récemment étendu son réseau de service en fondant une filiale de service locale, „SARL Lingl Algeria“. L’accent sera mis sur l’approvisionnement rapide et facile des clients en pièces de rechange et d’usure ainsi que sur le traitement des interventions de service incluant entre autres la maintenance des robots et des installations, le dépannage et la formation.

Source LINGL

12/02/2017

TECAUMA: un véritable savoir-faire reconnu en manutention de produits céramiques (terres cuites)

LA SOCIÉTÉ

Le métier de TECAUMA est la conception, la fabrication, l'assemblage et la mise en route de lignes de production automatique et d'équipements de manutentions pour différents secteurs d'activités et principalement le bois, la menuiserie industrielle, la terre cuite, le béton et l'agroalimentaire.
Fort de ces diversifications et d'un savoir-faire reconnu, TECAUMA a la capacité de proposer des lignes ou équipements pour d'autres secteurs d'activités.
TECAUMA possède aussi une réelle expertise en cellules robotisées qui lui a déjà permis de mettre en oeuvre ces solutions dans de nombreux secteurs d'activités avec des contraintes de cadence et de précision très élevées.
L'ensemble des solutions développées par TECAUMA répond efficacement à des problématiques de production, de productivité, d'ergonomie et de sécurité.
Dès la conception, les contraintes de maintenance des équipements sont intégrées dans la réflexion et assurent aux clients, l'intégration de composants de marques notoirement connues et des coûts d'entretien limités.

L'ORGANISATION


Le Système de Management Qualité de TECAUMA est certifié AFAQ ISO 9001.
L'entreprise TECAUMA a un effectif de 65 personnes, qui se consacrent pour moitié à l'ingénierie et pour moitié à la réalisation.
Dès la phase de consultation, TECAUMA établit une offre détaillée et précise des équipements qu'elle conseille et qui répond intégralement aux spécificités techniques du produit à manutentionner et aux performances attendues par le client.
Les équipements sont ensuite réalisés selon le cahier des charges établi lors de la consultation. De la commande à la mise en production, l'un de nos chefs de projet devient l'interlocuteur unique du client. Il lui assure une qualité de prestations, une réactivité et un respect des délais qui sont les valeurs essentielles de l'entreprise.
Tous nos équipements sont montés et essayés dans nos halls d'assemblage d'une surface de 6 000 m². Une réception interne avec le client garantit la conformité et la qualité des projets avant livraison. Après livraison, notre service après-vente réactif répond efficacement à vos besoins de pièces de rechange, maintenance et dépannage.
Pour vous assurer cette qualité de prestation, TECAUMA s'appuie sur : Une équipe de techniciens et d'ingénieurs expérimentés, Une capacité d'adaptation pour proposer à ses clients, des solutions sur mesure, Un Service Après-Vente reconnu pour son efficacité.

PLUS DE 30 ANNÉES D'EXPÉRIENCE...

Fondée en 1977, par M. Gérard HERBRETEAU, l'entreprise a toujours cultivé une diversification dans les secteurs d'activités lui permettant ainsi d'apprendre, et de se constituer un véritable savoir-faire dans la manutention et les process de ses clients. TECAUMA possède aujourd'hui un large parc installé dans de nombreux secteurs d'activités en France et à l'étranger. Ces lignes et équipements sont largement reconnus pour leur fiabilité et leurs performances.
Pour conforter sa position, TECAUMA innove dans de nouveaux équipements pour anticiper les évolutions des produits et les process de fabrication. De nombreux brevets ont déja été déposés.

En France et à l'étranger, TECAUMA est l'acteur de nombreux projets de référence qui permettent de proposer à ses clients des solutions largement éprouvées.

Source TECAUMA
   

11/02/2017

Des briques écologiques pour lutter contre la déforestation au Sud-Kivu en RDC

Benjamin Kamulete, l’initiateur de la fabrication des briques écologiques, poste avec quelques jeunes qu'il a initiés dans la production des briques écologiques, à Bukavu, Sud-Kivu, 2 janvier 2017. (VOA/ Ernest Muhero)

Ce briques sont l’œuvre de l’organisation "Vision paysanne pour le développement " dont le coordonnateur Benjamin Kamulete a reçu fin 2016 le prix initiative climat à  la COP22 à Marrakech.
La frange de la société civile du Sud-Kivu dite environnementale appelle la population et l’Etat congolais à s’approprier cette innovation.

Il s’agit d’une alternative à la brique cuite produite en quantité industrielle au Sud-Kivu avec pour conséquence la destruction d’au moins 10 hectares de forêt chaque mois.

Des jeunes en train de fabriquer des briques écologiques, à Bukavu, Sud-Kivu, 2 janvier 2017. (VOA/ Ernest Muhero)

"Ce qu’il faut seulement reprocher à l’utilisation de la brique cuite, c’est le déboisement massif. Si vraiment nous avons quelque chose qui peut remplacer la brique cuite et qu’on nous propose une brique écologique, je pense que c’est à encourager. Il faut même demander au gouvernement d’encourager cette initiative", déclare l’ingénieur en bâtiment et travaux publics, Requin Balyahamwabo qui construit voilà plus de 20 ans des bâtisses à Bukavu.

Selon lui, le besoin de construction est encore énorme dans la ville mais la brique cuite utilisée à de sérieux inconvénients.

"Chez nous, il y a un grand taux de déforestation suite à la production des briques, c’est la raison pourquoi j’ai commencé ma lutte consistant à produire des briques écologiques afin de protéger la forêt congolaise", explique Benjamin Kamulete, l’initiateur de la fabrication des briques écologiques, seul lauréat Congolais du prix initiative climat à la COP 22 au Maroc explique son innovation.

"Ces briques écologiques, nous les produisons sans combustibles, sans couper le bois, sans utiliser des biches. La matière première, c’est l’argile. Nous utilisons les ressources que nous avons. L’ombrage et le soleil suffisent pour produire la brique écologique. Nous y ajoutons quelque ciment et un peu de sable", précise-t-il.

La société civile environnementale du Sud-Kivu envisage de vulgariser cette technologie.

"Nous allons vulgariser cette initiative car la forêt congolaise est menacée avec la flambée démographique. Il faut que les acteurs internationaux viennent à l’appui et en accompagnement parce que la forêt congolaise contribue globalement à la question de stabilisation climatique", déclare Josué Aruna, coordonnateur de la société civile environnementale.

Benjamin Kamulete reçoit le trophée initiative climat pendant la COP 22 au Maroc. Photo non datée.

Selon une étude de l’auteur de l’initiative, la production des briques cuites épargne au moins 200 arbres qui devraient être coupés par mois pour la fabrication des briques cuites. Elle contribue énormément à la réduction de taux de déforestation de10 hectares par mois.

M. Kamulete regrette cependant la faible motivation et le peu d’engagement de la jeunesse dans cette entreprise.

"Mon rêve est de voir toutes les maisons du monde construites désormais avec de la brique écologique", laisse-t-il entendre.

A ces jours, il produit une cinquantaine de briques par jour mais il estime avoir la capacité 500 avec suffisamment de moyens.

Source VOAfrique un reportage d’Ernest Muhero à Bukavu

10/02/2017

Australia - BORAL Bricks might expand in Augusta as Meridian

Bricks are fired in the kiln at the Boral Bricks plant in east Augusta in this file image. The company, which merged with another brick maker late last year, was renamed Meridian Brick last month.

Workers load a truck with bricks at the Boral Bricks facility in Augusta in this file image. The company merged with another brick manufacturer and was renamed Meridian Brick last month. STAFF/FILE
The recent merger between suburban Atlanta-based Boral Bricks and Charlotte, N.C.-based Forterra Brick could have resulted in the new company moving more than 65 white-collar jobs out of Augusta.

But on Wednesday, the chief executive of the merged company said the quality and stability of its Augusta employees caused the company to seek reductions in its “back office” operations in Charlotte instead.

“We have a lot of long-term, tenured employees who know our business and our customers there in Augusta,” Meridian Brick LLC CEO Paul Samples said in a telephone interview . “We have a very stable workforce in Augusta. Once we find the right employee, that relationship usually lasts for decades.”

Under Boral, the company’s Augusta office on Doug Barnard Parkway oversaw all North American administrative operations, such as payroll, benefits and accounts payable and receivable. Forterra’s Charlotte office performed similar functions for that company.

Samples said the merged company, renamed Meridian last month, studied consolidating the offices in Roswell, Ga., but decided it was not worth disrupting the smooth-running local operation.

“We were very hesitant to unplug all that experience and rebuild it somewhere else,” said Samples, who started with the company more than 30 years ago as a customer service representative in the Augusta operations Boral acquired from Merry Brothers in 1981.

Samples said the Boral-Forterra merger, which creates North America’s largest brick manufacturer, could lead to additional employment in the Augusta administrative office as well as its east Augusta brick manufacturing plant, where 40 employees produce about 120 million clay bricks per year.

Brick production declined during the past recession as homebuilders shifting production to more “affordable” housing. However, Samples said the Augusta plant is so efficient compared to many of Meridan’s 27 sites in the U.S. and Canada that it might add a second shift, which would essentially double employment.

“I think we’ll see utilization of the Augusta operation increase,” Samples said.

Meridian also operates a Boral retail showroom on Belair Frontage Road. He said Boral signs at all company locations will be changed to Meridian in the coming months.

Source Augusta Chronicle by Reach Damon Cline

09/02/2017

Exposition : "Matériaux et savoir-faire de l'architecture traditionnelle du Tarn" à Albi

Derniers jours pour découvrir le Tarn à travers un autre regard... Exposition Matériaux et savoir-faire de l’architecture traditionnelle dans le Tarn au CAUE jusqu’au 10 février.

Franchissez la porte et découvrez le patrimoine tarnais à travers la variété de ses matériaux de construction et leur mise en œuvre ! Le pisé, les briques de terre crue, de terre cuite… les maisons en pan-debois et leur étonnant système constructif… la pierre et ses variétés de couleurs .. ; l’ardoise, utilisée en couverture, mais pas uniquement…
Autant d’ambiances et de tonalités issues des matériaux prélevés sur place qui caractérisent notre territoire et sa diversité.

Une exposition ouverte à tous, une sensibilisation pour petits et grands à ce qui nous entoure, à notre patrimoine et à notre territoire.
L’occasion de consulter également les ouvrages produits ou proposés par le Conseil d’Architecture d’urbanisme et de l’Environnement dont la mission première est la sensibilisation à la qualité architecturale et au cadre de vie.

Le CAUE et ses chargés de mission, architectes, urbanistes, paysagistes, conseiller en maîtrise de l’énergie seront heureux à cette occasion de vous accueillir et de vous présenter le programme annuel de manifestations et d’actions du CAUE organisées dans le cadre des 40 ans de la Loi sur l’architecture et de la naissance des CAUE.

• Exposition CAUE du Tarn - 1 rue de Jarlard, Albi. Entrée libre. Du lundi au vendredi, de 9h à 12h30 et de 14h à 18h. Samedi et Dimanche, de 14h à 18h. Visite libre tous les matins en semaine, de 9h à 12h.

Source : CAUE du Tarn -  Le Tarn Libre

La Ceramatech offre une perspective positive du marché

Cette année, KELLER a pour la première fois participé au salon Ceramatech de Moscou. Les visages satisfaits de tous les participants montrent que la décision prise de se plonger dès le début de l'année dans les préparatifs du salon de la capitale russe était la bonne.

« Nous nous sommes longtemps demandés si KELLER devait tourner le dos à la Mosbuild et plutôt se présenter à la Ceramatech dans le cadre du salon de construction OCM » explique Kim Bendick, le responsable des relations publiques du constructeur renommé de machines & installations basé à Ibbenbüren-Laggenbeck. « L’incroyable écho des quatre derniers jours est une preuve plus que convaincante que nous avons pris la bonne décision en choisissant de changer.  Le salon a offert une perspective positive du marché ! »

Les deux collègues du service commercial Torsten Bärtels et Björn Braukmann, responsables depuis des années du marché russe depuis Laggenbeck, partagent aussi cet avis. « Notre stand était toujours très fréquenté que ce soit par des clients de longue date ou par de nouveaux prospects du secteur de la terre cuite. Les notes d’entretiens de la Ceramatech 2017  contiennent diverses demandes pour des machines individuelles ainsi que des extensions d’usine, sans compter les nombreux compliments de clients satisfaits. Le creux de la vague semble surmonté, le marché russe se remet lentement en marche », se réjouit Torsten Bärtels.

Le directeur commercial régional est particulièrement fier que les usines réalisées par KELLER aient toujours produit en continu même en temps de crise économique. « Des spécialistes du secteur nous ont raconté que beaucoup d’usines d’autres fournisseurs ont dû fermer. Grâce à la haute qualité des produits issus de nos machines et installations ainsi qu’à l’excellent service fourni à nos clients russes par notre bureau de Moscou, elles ont toutefois réussi à bien surmonter les années de crise. Il n’y a pas meilleure publicité… », conclut T. Bärtels.

Source KELLER HCW

08/02/2017

Solumix conçoit une poudre isolante multi-usage

Fondée sur un brevet d’Air liquide, la poudre isolante multi-usage de Solumix a été mise au point dans les usines de l’industriel, en partenariat avec le laboratoire SPCTS de Limoges (Haute-Vienne). Sa formulation et son process, qui s’apparentent à la synthèse hydrothermale, phénomène observé lors de la cristallisation naturelle des minéraux, sont à l’origine de sa structure isolante autoporteuse, de sa forte adhérence à la brique et de sa résistance à la compression. "Solumix est léger, ininflammable et respirant.
L’opportunité
Solumix répond à la réglementation thermique RT 2012. Ne dégageant ni fumée ni gaz toxique, il résiste au feu, en accord avec les normes Euroclasses 2013.
Des débouchés sont possibles dans de multiples applications, notamment pour de nouvelles solutions de construction tout en un comme élément porteur isolant et de décoration", précise le cogérant Richard Gaignon.
Après deux ans de développement, il a créé en novembre 2013 avec Christophe Chaput, ingénieur céramiste comme lui, son entreprise au Palais-sur-Vienne (Haute-Vienne). Ils ont recruté en janvier un jeune diplômé de l’École nationale supérieure de céramique industrielle, chargé de la R&D, puis un ingénieur confirmé. Une levée de fonds de 600 000 euros doit permettre d’installer une ligne pilote en mai. Sont entrés au capital Aliad, un fonds d’investissement d’Air liquide, Grand Sud Ouest, filiale du Crédit agricole, Céric Technologies et le holding Orion Industrie des deux associés, qui détiennent 20% du capital. "Nous allons fabriquer des produits de démonstration en utilisant le bois, le métal et la brique. Une fois les certifications obtenues, nous vendrons la poudre aux fabricants de matériaux de construction qui l’intégreront à leur ligne de production, et nous fabriquerons aussi des produits façonnés avec des formes spéciales." L’ambition de Solumix dans cinq ans : 20 millions d’euros de chiffre d’affaires et un effectif de 15 à 20 salariés.
L’innovation
Solumix est un composant multifonctions (isolant, structurel, cohésif) qui se présente sous la forme d’une poudre 100% naturelle composée de silice, de chaux et d’eau. Incorporé à la brique, il renforce les propriétés de la terre cuite. Il permet aux briquetiers d’anticiper les nouvelles réglementations.
Source L'Usine Nouvelle par Corinne Mérigaud

07/02/2017

Systèmes de stockage d'électricité solaire : les solutions se multiplient

Avec l'arrivée prochaine du texte sur l'autoconsommation, les entreprises se placent sur ce marché qui doit exploser dans les prochaines années. Pour faire face à Tesla et à son Powerwall, des industriels européens fourbissent leurs armes, à l'image de Terreal ou de Solarwatt.

Les Français ont hâte de pouvoir consommer leur propre électricité, produite sur leur toiture. A en croire les sondages réalisés par OpinionWay pour Qualit'EnR ou Enerplan, 78 % des personnes interrogées souhaitent couvrir leurs besoins énergétiques par leurs propres moyens et 47 % d'entre elles sont prêtes à investir pour parvenir à l'autonomie totale (15 %) ou à un certain degré d'autonomie (32 %). André Joffre, président de Qualit'EnR, déclarait, voilà quelques jours : "L'autoconsommation est en cours d'examen au Sénat et à l'Assemblée nationale. On aura enfin un cadre juridique qui sortira ce statut du no man's land juridique où il se trouve". Une tendance forte qui entraîne un développement rapide de solutions de stockage domestique d'électricité.

Plusieurs industriels ont présenté, en 2015 et 2016, des systèmes destinés à pouvoir consommer en soirée, l'électricité photovoltaïque produite en journée. L'annonce de Tesla et de son Powerwall avait fait grand bruit. L'industriel américain propose aujourd'hui la version 2 de ce produit au design sobre et élégant, d'une capacité unitaire de 14 kWh (deux fois plus que la version 1), contre un chèque de 6.300 € (plus 1.650 € de pose). Un tarif finalement équivalent à ceux des solutions concurrentes, dont celle développée en Allemagne par Solarwatt : MyReserve.

Sylvia Lamaty, la directrice générale de Solarwatt France, détaille : "Cette unité de stockage électrique a bénéficié de la R&D interne, faite près de Cologne, pour développer le système de batterie". La technologie choisie ? Des modules lithium-ion, comme pour ses concurrents. En France, la société a déjà installé une dizaine de systèmes pilotes dans différentes régions (Dijon, Clermont-Ferrand, Toulouse, etc.) d'une capacité de 4,4 kWh, suffisant pour stocker l'énergie produite par des capteurs solaires de 3 kWc (soit 16 à 20 m² de panneaux). "L'objectif est de maximiser sa consommation d'électricité photovoltaïque produite", précise-t-elle. Pour y parvenir, le spécialiste allemand met l'accent sur le système de gestion, un composant critique dans le cas des batteries lithium-ion. "Il faut bien maîtriser cette technologie car c'est important pour la sécurité d'un équipement qui va finir chez les particuliers", souligne la directrice générale. De même, l'interface avec l'utilisateur final est comprise dans l'offre, apportant un outil de pilotage à distance (via smartphone ou tablette) ainsi qu'un outil de visualisation de la production, de la courbe de charge des batteries et de la consommation. La marque allemande promet un taux de couverture des consommations de l'ordre de 80 %, pour les installations les plus optimisées. "Sur des besoins électriques moyens de 4.500 kWh/an pour un ménage de quatre personnes, il sera possible de couvrir 3.800 kWh", avance Solarwatt.

Des systèmes aux capacités très variées


"Le modèle MR 500 est facilement installé, puisqu'une personne suffit avec une journée de travail au maximum", assure Sylvia Lamaty. Le boîtier, lui aussi design, mesure 1 mètre de haut sur 75 cm de large et 31 cm de profondeur, pour un poids total de 75 kg. Des chiffres supérieurs à ceux d'une autre solution de stockage, celle développée par Terreal, Storelio, dont le système tient dans un bloc de 60 cm de haut, par 53 cm de large et 28,4 cm de profondeur pour 55 à 65 kg de masse. Mais pour une bonne raison : les capacités sont, elles aussi, inférieures. Deux modèles sont ici proposés, la série 1000, d'une capacité de stockage de 1 kWh (pour une puissance photovoltaïque recommandée de seulement 1,5 kWc) ou de 2 kWh (pour 2,25 kWc de puissance PV). La société Terreal explique que le coffret mural compact contient tous les composants, pré-raccordés et pré-programmés en usine, et que la batterie lithium-FePO4, "couvrira en moyenne 50 % des besoins en électricité d'un foyer de quatre personnes".


Le tout est donc de bien dimensionner le système, selon la puissance de son installation en toiture et selon ses besoins en courant électrique. La directrice générale de Solarwatt explique : "Un configurateur oblige l'installateur à se poser les bonnes questions pour proposer une solution adaptée". Car la firme allemande propose un modèle supérieur, MR 800, d'une capacité de 8,8 kWh, destiné à stocker la production de centrales solaires de 9 kWc environ. Et ce modèle est modulaire, tout comme le Powerpack de Tesla, lui-même destiné au petit collectif ou aux bâtiments tertiaires. A l'autre extrémité, Solarwatt a déjà écoulé, principalement outre-Rhin, 2.000 unités d'un système de stockage plus réduit, de 2,2 kWh de capacité, qui ne couvre qu'en partie la demande d'autoconsommation d'une maison. Sylvia Lamaty espère que 200 systèmes MR 500 seront vendus en France en 2017, au prix unitaire d'environ 6.000 € (hors pose). La société privilégie un réseau d'installateurs formés, dont 40 ont déjà suivi la formation maison.

Côté durée de vie, les trois fabricants proposent une garantie de 10 ans sur les batteries, qui doivent être recyclables. Une période largement suffisante pour rentabiliser l'ensemble, à en croire la directrice générale de Solarwatt France : "La rentabilité sera rapide si les mesures d'encouragement à l'autoconsommation sont prises". Elle conclut : "La France est un marché très réglementé : nous attendons avec impatience le texte sur l'autoconsommation. Nous sommes dans les starting-blocks mais, pour l'heure, les conditions du marché ne sont pas encore clairement définies". Il est donc urgent d'attendre avant de se lancer dans cet investissement qui reste pour l'instant, l'apanage de quelques "early adopters". La preuve, le Powerwall 2 de Tesla, qui ne sera livré qu'à l'été 2017, est en pré-commande contre un chèque d'acompte de 450 €… Alors, le stockage d'électricité, phénomène de mode ou futur de la consommation ?

Source Batiactu par Grégoire Noble

06/02/2017

MONIER - CLIMA COMFORT, RECOMMANDÉ PAR LES PROFESSIONNELS DU BTP

La solution d'isolation de toiture par l'extérieur CLIMA COMFORT® a obtenu le label "Recommandé par les professionnels du BTP" lors de l'édition annuelle de l'Election des Produits du BTP. Cette distinction fait suite à une grande enquête menée auprès des entreprises et des prescripteurs de la construction. C'est un signe de reconnaissance pour Monier qui s'engage depuis des années pour des solutions d'isolation de toiture performantes.


A propos 


L' Election des Produits du BTP est organisée par SAGERET, en partenariat avec Fichiers-BTP et la SMABTP. Pour la 5ème année consécutive, l' Election des Produits du BTP vise à récompenser les produits et les matériaux les plus remarquables du bâtiment et des travaux publics. L'événement repose sur une grande consultation en ligne menée auprès des entreprises et des prescripteurs de la construction

Source Monier

05/02/2017

L’Ensil et l’Ensci fusionnent à Limoges, mais ça change quoi ?

Depuis le 1er janvier 2017, les écoles d’ingénieurs Ensil (Ecole nationale supérieure d’ingénieurs de Limoges) et Ensci, spécialisée en céramique industrielle, de Limoges, ne font plus qu’une. À la clé pour les étudiants, des cursus plus personnalisés, plus d’opportunités de stages, plus de passerelles entre spécialités… en attendant une formation ingénieur en apprentissage.

Les deux écoles d’ingénieurs de Limoges l’Ensil (Ecole nationale supérieure d’ingénieurs de Limoges) et l’Ensci, spécialisée en céramique industrielle), ont donné naissance, le 1er janvier 2017, à une nouvelle école d’ingénieurs Ensil-Ensci. Le rapprochement administratif et financier est effectif mais la fusion des deux entités n'entrera en vigueur pour les étudiants qu'à la rentrée. Cette fusion positionnera l’Ensil-Ensci comme l’une des plus importantes écoles d’ingénieurs de l’Hexagone avec 730 étudiants et 80 enseignants-chercheurs, la moyenne se situant entre 500 et 600 inscrits. Basée sur la technopole ESTER à Limoge (Haute-Vienne), l’école va offrir un cursus unique en cinq ans dans ses cinq spécialités : eau et environnement, électronique et télécommunications, matériaux, mécatronique et céramique industrielle.

Un cursus unique et cinq spécialités

Ce rapprochement permet d’élargir le choix des cursus et de multiplier les synergies et passerelles entre ces disciplines. L’élève-ingénieur accédera plus facilement à des parcours individualisés et profitera d’une offre plus large en matière de stages et de mobilité internationale, ce que confirme le directeur Patrick Leprat. "Cette fusion permettra d’avoir une meilleure visibilité à Limoges, nous avions déjà une proximité géographique et des spécialités proches, à savoir matériaux à l’ENSIL et céramique industrielle à l’ENSCI qui relèvent du même laboratoire de recherche le SPCTS, même si les deux écoles forment des ingénieurs aux compétences différentes. Le second intérêt est de grossir et d’avoir une visibilité nationale et internationale. Pour les étudiants, l’école propose désormais cinq départements diplômants et la possibilité de développer davantage de compétences à l’interface de leur discipline, l’objectif étant qu’un étudiant d’un département puisse suivre un module d’un autre. Nous le faisions déjà l’ENSIL mais, avec cette fusion, nous allons accroître cette interdisciplinarité"

Des stages sur les cinq continents

La nouvelle école va également proposer une offre accrue en termes de mobilité internationale, en additionnant ces partenariats respectifs. "L’Ensci proposait déjà 30 à 40 possibilités de stages ou de formation d’un semestre à l’étranger et l’ENSIL en offrait une soixantaine. Aujourd’hui, les étudiants peuvent se rendre sur les cinq continents, promet le directeur. Enfin, à terme, l’objectif est d’accroître nos effectifs sur certains diplômes où des besoins forts existent au niveau des entreprises et de développer de nouvelles spécialités en formation initiale. Enfin, nous avons de très fortes demandes dans les secteurs de l’électronique et de la mécatronique pour former des ingénieurs en apprentissage, ce sera l’un de nos objectifs pour les trois ans à venir."

Source L'Usine Nouvelle par  CORINNE MÉRIGAUD 

04/02/2017

La collection " Pasquier " prend ses quartiers à la Fabrique

Retardée par les inondations, l’exposition de céramiques s’installe à la Fabrique Normant. La compagne du donateur a constaté l’avancée du chantier.
J'étais très émue quand je suis arrivée. Il aurait été tellement content. Michel Pasquier n'aurait gardé aucun souvenir du moment s'il avait pu le savourer. Et pourtant, après 25 années de passion pour les briques, tuiles et autres céramiques architecturales de toutes origines, nul doute que le lieu d'exposition qui est en train de voir le jour dans les murs de la Fabrique Normant aurait été du goût du collectionneur acharné. Sa compagne, Monique Leroux, était, elle, bien présente et aux premières loges mardi pour assister à la mise en place de l'exposition « cérabrique » que Michel Pasquier a léguée à la municipalité de Romorantin.
Depuis le mois de décembre, l'équipe du Musée de Sologne s'y affaire de manière quasiment permanente. A commencer par Julie Brossier-Duclos, la responsable de la collection, qui a inventorié et étiqueté l'ensemble des 7.000 pièces sur la propriété du collectionneur de Cour-Cheverny il y a quelques années.
" Toucher un autre public "
L'assistante de conservation romorantinaise a imaginé la muséographie du nouveau lieu, au gré des 150 m linéaires de vitrines spécialement conçues par la société Atelier Duo (Indre) pour accueillir les quelque 1.000 pièces machines et autres éléments décoratifs sélectionnés pour l'exposition permanente. Sans oublier les plus de 2.000 briques estampillées qui ont d'ores et déjà gagné le bas des vitrines de la Fabrique Normant. « Ça lui tenait vraiment à cœur qu'on puisse les voir », apprécie Monique Leroux en visitant les lieux. Et la compagne du collectionneur de prendre des nouvelles de telle ou telle céramique. A l'image de la « frise aux souris », que Michel Pasquier avait récupérée sur la maison de son concepteur Alexandre Bigot dans le Loir-et-Cher. « Certaines autres pièces sont parties à l'étranger, en Suisse ou aux États-Unis », explique Julie Brossier-Duclos engagée depuis le début du projet. « Moi ce qui me plaît, c'est que les personnes qui viendront ne sont pas là pour voir un musée. Elles viendront par exemple à un événement ou un concert, mais découvriront la collection par hasard. Ca va permettre de toucher un autre public », apprécie Monique Leroux, qui ne peut s'empêcher de faire le lien entre les pièces exposées et le lieu lui-même, le premier bâtiment Hennebique en béton armé, une histoire liée au céramiste Bigot. Retardée par les inondations du mois de juin, l'équipe du Musée de Sologne a encore du travail devant elle. Tête de lion Perrusson, épis de faîtage, reconstitution de fours à briques et autres presses à estampille seront présentés de manière « très didactique », avec quelques frises, éléments historiques et géographiques, volontairement grand public, explique Julie Brossier-Duclos, qui espère maintenant pouvoir lever le voile sur son exposition entre fin mars et début avril.
Source La Nouvelle République par Laurence Texier