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27/02/2018

Une PME familiale française de céramique sans plan social depuis... 1850 !

Jean-Baptiste Henry, 39 ans, a repris la PME familiale de céramique pour la table, fondée en 1850. L'entreprise emploie 200 personnes, presque toutes en CDI. Ce patron se bat pour vendre à l'export ses produits 100% "made in France" et préserver l'emploi.

Jean-Baptiste Henry, 39 ans, incarne la sixième génération à la tête de l'entreprise familiale de céramique pour la table 100% "made in France", basée à Marcigny, en Bourgogne. En ces temps de mondialisation, l'inquiétude pointe dans les ateliers de l'usine qui se transmet de père en fils depuis 1850.

"En tant que chef d'entreprise, c'est un souci permanent de se dire qu'il faut assez de chiffre d'affaires pour qu'il y ait du boulot… On a besoin que l'entreprise soit rentable. Il y a 200 familles qui ont du boulot ici. C'est ma responsabilité", explique l'ingénieur centralien, qui réalise 80% de son chiffre d'affaires à l'export.

"On n'entend jamais parler d'une baisse des effectifs"

Pour Christian, trente-cinq ans de maison, il est important que ce soit une entreprise familiale : "Quand il y a des actionnaires à l'extérieur, ils ne voient que le profit... Plus que l'emploi ! Parfois, les années moyennes, il peut se passer des choses désagréables qui ne se passent pas quand c'est une entreprise familiale. Même quand il y a une baisse de commandes, on n'entend jamais parler d'une baisse des effectifs."

"C'est du travail qui est resté manuel. Il n'y a rien de mécanique. Au moins, on a le toucher... On sait ce qu'on fait", explique Anthony, formé dans l'usine où presque tous les salariés sont en CDI. Depuis 1850, Jean-Baptiste Henry et sa famille n'ont jamais fait de plan social. Et pour préserver l'emploi, ce patron se bat pour vendre à l'export son art de la table "made in France", tout particulièrement en Chne.

Source FranceTV Info

26/02/2018

Matériaux, les professionnels ont la parole : la terre cuite

Quelles sont les priorités pour 2018 ? Les réponses apportées face au développement durable ou à la densification urbaine ? Quels sont les grands projets de R & D ? Ces questions ont été posées par « Le Moniteur » aux représentants de fédérations des quatre principaux matériaux structurels que sont le bois, le métal, le béton, et les tuiles et briques. Aujourd’hui, Pierre Jonnard, président de la Fédération française des tuiles et briques.

Pierre Jonnard, président d'Imerys Terre Cuite et de la Fédération Française des Tuiles et Briques (FFTB)

Priorités 2018
La filière veut faire valoir ses atouts : des produits de construction à longue durée de vie, fabriqués en France, mis en oeuvre localement par des professionnels qualifiés, pour des logements abordables, confortables, performants et esthétiques.

Innovations
Des projets de R & D sur les produits et process sont menés actuellement avec plusieurs ambitions : la consommation d’énergie (près de 40 % de baisse en vingt ans), les émissions de gaz à effet de serre (- 35 % sur le même temps), le recours aux énergies renouvelables, l’étude de dépôts d’argile renouvelable se déposant dans les ports et canaux en vue de leur valorisation dans l’industrie des matériaux de construction en terre cuite. Des améliorations du point de vue thermique se poursuivent également.

L’ergonomie des produits n’est pas en reste. Outre la pose à joints minces, qui économise l’eau et le mortier, génère moins de déchets et de manutention, c’est la pose collée qui facilite le travail des maçons sur les chantiers de maison individuelle.

Développement durable
La filière reste très attachée à une approche multicritère des impacts environnementaux. Elle prend en compte dans ses constructions la biodiversité, l’épuisement des ressources, la pollution de l’air… L’enveloppe du bâti garde toute son importance et l’approche en coût global confirme les bénéfices de la brique et de la tuile terre cuite au regard du cycle de vie du bâtiment : moins de consommation, d’entretien, de renouvellement d’équipements.

Urbanisation et densification
Contrairement aux idées reçues, la densification est bien conciliable avec l’habitat individuel. Les solutions BIMBY (Build in my BackYard), reposant sur la division de parcelles construites pour produire de l’habitat individuel, sont un exemple d’approche pour concilier enjeux environnementaux et aspiration légitime des Français à un habitat choisi, porteur de lien social.

Source LE MONITEUR.FR par Stéphanie Obadia

4ème édition du concours La Tuile Terre Cuite

Tous les deux ans, la Fédération Française des Tuiles et Briques organise le Grand Prix La Tuile Terre Cuite Architendance en partenariat avec le RMA, Réseau des Maisons de l’Architecture. Jusqu’au 30 juin 2018.

Ouvert à tous les architectes exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France, ce concours récompense les projets qui utilisent la tuile terre cuite dans des réalisations innovantes et inattendues.

Trois critères sont pris en compte par le jury :
– L’innovation dans l’utilisation de la tuile terre cuite
– La modernité du geste architectural
– L’originalité dans le traitement du toit

Le concours récompense des projets dans trois catégories :
– Logement individuel
– Habitat collectif
– Equipement / Bâtiment tertiaire

Le jury, présidé par un architecte membre du RMA, sera composé de lauréats des éditions 2012, 2014 et 2016, d’un représentant des fabricants de la filière terre cuite, d’un journaliste spécialisé et d’un enseignant.

Deux Trophées sont attribués par catégorie aux premier et second lauréats. Le jury peut attribuer un Grand Prix toutes catégories confondues. Un prix des étudiants en école d’architecture et un prix du public via un vote sur les réseaux sociaux complètent ce palmarès.

Calendrier
– Janvier 2018 : ouverture des inscriptions
– 30 juin 2018 : clôture pour la remise des dossiers de participation
– Septembre 2018 : délibération du jury
– Novembre 2018 : remise des prix

Inscriptions en ligne sur http://www.latuileterrecuite.com/grand-prix-architendance/

La remise des prix aura lieu dans le cadre de la Biennale du RMA à Paris en novembre 2018. Les sept projets récompensés (3 par catégories + prix spécial du jury) seront également présentés dans la revue Terre d’Architecture (10 000 ex) et bénéficieront d’un relais sur les différents sites et réseaux sociaux de la filière et dans l’ensemble de sa communication média.

Source Chroniques Architectures

25/02/2018

LA DERNIÈRE TUILE FATALE À LA BRIQUETERIE D’ABZAC

Roland Malmanche, actionnaire de la SA familiale, ne peut cacher son émotion de voir disparaître la tuilerie.

Ouverte en 1840, la tuilerie briqueterie Malmanche à Abzac vit ses dernières heures. Fin d’une saga familiale qui va laisser douze personnes sur le carreau.

Plus une tuile n’est sortie du four à gaz de près de 100 mètres de long depuis le mois d’août dernier. Des dizaines de palettes attendent que des clients les emportent sur un chantier. La tuilerie Malmanche, entreprise familiale créée en 1840 par Émile Malmanche dans le hameau de Chardat à Abzac, vit ses dernières heures. Emportant avec elle ses douze derniers salariés, qui étaient encore vingt-trois il y a dix ans. Une sacrée tuile pour Abzac et ses 500 habitants.

"On a enclenché une procédure de licenciement...

Il ne reste plus que trois des douze salariés, le temps de vendre le stock aux clients.

Source La Charente Libre par François GOUBAULT

Première exposition de l’année au Centre céramique

La première exposition de l’année du Centre céramique contemporaine de la Borne met la brique à l’honneur dans des œuvres d’art d’artistes bornois, mais aussi du Nord.

Samedi 03 Février, s'est ouverte la première exposition de l'année au Centre de céramique contemporaine de La Borne. Son titre, De briques, un matériau à l'œuvre, fait référence à la première fonction de la brique, un matériau de construction avant tout.

Cette exposition est née dans le Nord, de la volonté de l'association le Non-lieu, qui souhaite mettre en valeur le patrimoine industriel du nord par le biais d'événements culturels.

Une exposition collective et originale
« Le Nord c'est quoi ? Une terre d'argile, une terre de labeur », indique Olivier Muzellec, conférencier de l'association. En effet, pas de pierre ni de roche dans le Nord, mais de l'argile à l'affleurement du sol, avec laquelle sont construites sur place les maisons. « À Roubaix, on tisse le fil et la brique », poursuit le conférencier pour évoquer les murs des 350 usines construites en brique. Mais aussi les châteaux d'eau, les maisons d'ouvriers… Les artisans sont amenés à agencer les briques à la façon d'un patchwork. Vernissée, émaillée, « la brique fait œuvre ».

Cette exposition itinérante est le fruit d'une collaboration entre quatre structures partenaires : le Non-lieu, l'école d'art de Douai, le WCC-BF (une organisation non gouvernementale belge qui œuvre à la promotion de l'artisanat de création), et le Centre céramique contemporaine La Borne. En effet, pour mettre en avant cet élément du patrimoine, quoi de mieux que de s'adresser à ceux qui travaillent la terre : les céramistes.

C'est ainsi qu'est née cette exposition originale et collective, qui multiplie les styles et les inspirations, et réunit artistes bornois et artistes du Nord.

Pratique. Exposition jusqu'un au 13 mars. Ouverture tous les jours de 11 à 18 heures. Entrée libre.

Source Le Berry Républicain

24/02/2018

Aizenay - briqueterie de la Gombretière - Terres cuites, la briqueterie qui défie le temps

Jean-Paul Gauvrit (à gauche), en compagnie de trois de ses salariés. Ils enfournent très délicatement, selon des règles très précises, des carreaux d'argile, avant d'allumer les fours.

Du château de Chambord au Puy du Fou en passant par Dubaï, des artisans aux particuliers, la briqueterie de la Gombretière séduit tout le monde.

Elle semble éternelle. Comme si elle avait toujours été là. Et comme si elle était destinée à rester là encore de très nombreuses années. Plus de cent cinquante ans que la briqueterie de la Gombretière a élu domicile ici, qu'elle fabrique carreaux d'argile, tuiles et autres briques de couleur ocre ou rose, aux teintes fumées, résultat d'une cuisson au bois. Un emplacement qui ne doit rien au hasard.

Quand Pierre Gauvrit, chaufournier de son état, décide de s'installer là, en 1868, « il a de très bonnes raisons de le faire », résume Jean-Paul, l'un de ses descendants, 6e génération de Gauvrit à usiner des pièces d'argile. « La première raison, dit Jean-Paul, qui gère la briqueterie avec son frère Pascal, c'est la proximité de la forêt, qui permettait d'avoir du bois, le combustible nécessaire pour le four. » Et puis, il y a les gisements d'argile.

La présence de Pierre dans les murs
Parce qu'elle dispose toujours de ses gisements d'argile, même si elle en exploite de nouveaux, la briqueterie n'a jamais changé d'adresse. Et son métier est resté strictement le même. Comme un pied de nez au temps qui passe, aux technologies qui bouleversent la marche du monde.

Ici, à la Gombretière, on continue de façonner des pièces d'argile et de les cuire dans les antiques fours de la briqueterie. Tout semble d'époque, presque dans son « jus ». On ressent presque la présence de Pierre dans les murs.

C'est peut-être ce parfum d'éternité, d'authenticité, de sincérité, qui plaît tant aux clients. Car la briqueterie, 600 000 € de chiffre d'affaires bon an mal an, huit salariés, tourne à plein régime, ses fours ne désemplissent pas.

Trente à trente-cinq fois dans l'année, ils cuisent trente tonnes de produits divers. Des carreaux d'argile pour l'essentiel, « à près de 80 % », souligne Jean-Paul, plus que des briques ou des tuiles.

Des carreaux pour tout type de clients, artisans (carreleurs, maçons...) comme particuliers, ceux qui ont le goût des belles choses, « parfois une fibre écologique, et qui apprécient ce matériau incomparable, indémodable, chaleureux, et non standardisé », souligne Jean-Paul Gauvrit.

La briqueterie fait également autorité dans le monde assez fermé des monuments historiques, où l'on cherche à pérenniser des oeuvres qui, elles aussi, défient le temps et font partie du patrimoine.

Il y a quelques années, c'est le château de Chambord qui a fait appel à la briqueterie. Elle a fabriqué des dalles pour le château d'Angers ou celui de Fontainebleau, est intervenue pour le magnifique domaine de la Garenne Lemot, à Clisson.

Au Puy du Fou, on connaît bien aussi l'adresse de cette briqueterie. « On est intervenu plusieurs fois, pour le village XVIIIe, la forge de l'an 1000, la rénovation d'un four à pain », énumère Jean-Paul Gauvrit,

Plus récemment, c'est une boutique de prêt-à-porter de Dubaï qui a frappé à la porte de la briqueterie. Quasiment cinq mois de boulot pour un travail très fin et personnalisé, un beau contrat à la clé, mais surtout l'immense fierté d'exporter son travail et son savoir-faire dans les Émirats arabes.

Une belle fierté pour la petite briqueterie en bordure de la quatre voies. On n'a sans doute pas fini de voir flotter le panache de fumée noire au-dessus de la briqueterie d'Aizenay. 

Source Ouest France par Philippe Ecalle.

23/02/2018

Tuilerie de Blajan: Un but, redonner vie au patrimoine de la tuilerie

Après une année d'existence, l'association «Blajan Terre d'avenir» a dressé un premier bilan de son activité. Elle a pour objet de soutenir le projet municipal autour de la terre de Blajan. Son objectif est de faire revivre cette industrie qui a rayonné sur Blajan et aux alentours.

La présidente, Elisabeth Servant, présente le premier bilan de «Blajan Terre d'avenir».

Un projet de petit livre, faire revivre le musée

Un travail de collecte d'informations, d'anecdotes, de témoignages qui permettra à terme d'éditer un petit livre qui pourrait compléter l'information du musée de la tuile, reçoit un écho favorable auprès des habitants. Une convention établie avec la Municipalité lui permet de faire revivre justement le musée. Son action porte sur la vieille partie communale de la tuilerie, riche de l'histoire de cette industrie.

Un travail avec le CAUE (Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement )et l'appui technique du conseil départemental vont dans le sens d'une ébauche de projet, la priorité portant sur la mise hors eau et la sécurité des lieux. En préambule de cette réunion de bilan, le maire, Jean Bernard Castex, a présenté la situation de la tuilerie après sa fermeture, avec notamment les projets avancés d'Imérys , le propriétaire, d'installer du photovoltaïque sur les 15 hectares des anciennes carrières et sur les 15000 m2 de toiture des bâtiments. Ceux-ci devraient être cédés à la commune. Vice-président de la 5C (Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges),en charge du développement économique, Jean- Bernard Castex pose le problème de la collecte des taxes sur les réseaux qui selon le régime fiscal reviendrait à l'intercommunalité. Il souhaite une discussion en interne pour trouver une nécessaire répartition avec les communes. Le bureau de «Blajan Terre d'avenir» présidé par Elisabeth Servant a été renouvelé et est ainsi composé : Nicole Vincent, vice-présidente, Francis Bucciarelli, secrétaire, Geneviève Saint-Lèbe, secrétaire adjointe, Chantal Garson, trésorière et Alain Mennessier, trésorier-adjoint.

Source La Dépêche du Midi

22/02/2018

CERITHERM/ FOUR SK: L’EQUIPEMENT DE DEMAIN POUR PRODUIRE MIEUX, PRODUIRE PLUS,CONSOMMER MOINS, POLLUER MOINS… PRODUIRE DIFFEREMMENT POUR PREPARER L’AVENIR

CERITHERM et DIREXA ENGINEERING vous propose un nouveau concept de four tunnel basse consommation.

Le four SK est un four tunnel destiné à la cuisson de produits en céramique.

Sa particularité réside dans le fait que la charge n’est plus embarquée sur des wagons ni supportée et entraînée par des dispositifs traversant les parois.

Le four SK est une solution flexible destinée à l’usage des industriels de tout secteur d’activité.

Les avantages du four SK

  • Une étanchéité parfaite du tunnel de l’entrée à la sortie des produits
  • La possibilité de gérer des atmosphères particulières
  • Une isolation identique et efficace des quatre faces du tunnel : voûte, sole, parois latérales
  • Aucune masse parasite à réchauffer et à refroidir autre que les produits et leurs supports
  • Aucune partie mécanique à préserver de la température de cuisson
  • Aucune limite de largeur

Les bénéfices du four SK pour les clients
  • Réduction de la consommation d’énergie
  • Flexibilité des cycles de cuisson : cadences, types de traitements thermiques
  • Gain en précision de cuisson
  • Amélioration de la qualité des produits finis, diminution du taux de rebut
  • Gain de productivité, rentabilité produit
  • Réduction des encours
  • Possibilité de cycles courts : l’équipement n’est plus limitant
  • Rentabilité accrue de l’outil de production

ALGERIE: Exploitation des gisements d’argile à Tougourt - L’environnement menacé

La remontée des eaux, une des conséquences de l’exploitation des gisements. 

Les gisements d’argile exploités anarchiquement et laissés à l’abandon ainsi que les immenses fumées dégagées par les usines de fabrication de briques et qui sont emportées par les vents en direction des deux agglomérations environnantes Blidet Omar et Timacine continuent à susciter les réactions des défenseurs de l’environnement et des habitants de la région de Touggourt. En effet, cette vingtaine de briqueteries implantées tout au long de la RN3 en allant vers Ouargla représentent un risque sur l’environnement. Primo, ces gisements creusés et laissés à l’abandon après leur exploitation ont donné naissance au phénomène de la remontée des eaux. Secundo, ils sont devenus de véritables pièges pour les troupeaux camelins qui tombent souvent dans ces excavations profondes. “L’exploitation de la zone est hors norme. Ces gisements d’argile exploités anarchiquement portent atteinte à l’environnement et provoquent de nouveau le problème de la remontée des eaux. De plus, l’extension se fait au détriment des superficies qui sont destinées à la culture phoenicicole.

Car de plus en plus elle se dirige vers les palmeraies considérées comme étant le barrage naturel contre les vents et un moyen de préservation du microclimat propre à l’oasis”, nous dira Tayeb Noui, ex-membre de l’APW. Et d’ajouter : “Ces gisements devraient être remblayés en sable de dunes. D’abord, pour éviter la remontée des eaux et sauver la faune de la région, surtout les chameaux, des risques des chutes, ensuite afin de permettre la régénération de ces gisements au bout d’un moment.” En plus de cet impact nuisible sur l’environnement, ces immenses fumées non filtrées dégagées par ces fabriques constituent un risque sur la santé des habitants de la région. Par conséquent, Blidet Omar et Timacine sont deux localités étant exposées à ce danger imminent qui peut être à l’origine d’apparition des maladies respiratoires et cancéreuses. “Ces fumées noirâtres qui se dirigent chaque jour en direction de Blidet Omar et Timacine sont immenses. C’est une véritable atteinte à la santé des citoyens de ces deux agglomérations. Pourtant, il existe des appareils spéciaux conçus pour le filtrage de ces fumées avant qu’elles ne soient dégagées dans la nature. Malheureusement, ces fabriques ne sont pas dotées de ces instruments”, nous expliquera M. Noui.
Pour remédier à ce problème, les habitants sollicitent l’intervention de la police des mines et exigent l’utilisation de l’appareillage conçu pour le filtrage de ces fumées dégagées par ces briqueteries.

Source Liberté Algérie par Ammar Dafeur

21/02/2018

Les tuiles photovoltaïque Imerys jugées sans risques

Après une enquête menée auprès d’assureurs et d’experts de la construction, la Commission prévention produits de l’Agence qualité construction a placé sous surveillance les systèmes photovoltaïques intégrés en toiture. Elle a toutefois révélé que les tuiles Imerys ne sont pas considérées à risques.

L’enquête de la Commission prévention produit (C2P) avait révélé plusieurs sinistres, notamment des incendies, en lien avec certains systèmes photovoltaïques. Après analyse, elle a décidé de maintenir sur la liste verte les tuiles PV d’Imerys Toiture.

Ces dernières ne font donc pas l’objet d’une mise en observation de la part de la commission et sont considérés comme technique courante prise en charge par les assureurs.

Développées en collaboration avec des couvreurs, les tuiles d’Imerys n’ont jamais fait l’objet d’un litige depuis 15 ans, début de commercialisation de la gamme.

Source Environnement Magazine


Tesla transforme 50 000 foyers australiens en centrale électrique

La firme d’Elon Musk a annoncé que des panneaux solaires et des batteries allaient être installés sur 50 000 maisons de l’Australie-Méridionale afin de les transformer en usine de production électrique.

Si les problèmes liés à l’électricité sont récurrents dans cette région, Tesla tente d’y apporter une solution à sa manière. L’an passé, ce dernier avait relevé le défi de construire et d’installer une batterie dans le pays en moins de 100 jours. D’ailleurs, celle-ci a déjà fait ses preuves durant le mois de décembre, en ne prenant que 140 millisecondes pour se mettre en action lors de la panne d’électricité d’une centrale voisine. Un record dont s’était satisfait le ministre de l’Énergie de l’Australie-Méridionale, Tom Koutsantonis. Néanmoins, Tesla ne s’arrête pas là puisque le groupe a annoncé dimanche qu’il allait équiper 50 000 foyers avec ses batteries Powerwall 2 et ses Tesla Roof.

Non seulement l’énergie sera utilisée pour alimenter les maisons dotées des produits de Tesla, mais elle servira aussi à fournir le réseau électrique durant les pannes. À ce titre, 50 000 foyers seront gratuitement équipés des panneaux solaires de 5 kW et de batteries Tesla Powerwall 2 de 13,5 kWh. D’ailleurs, les installations ont déjà commencé auprès de 1 100 logements sociaux chargés de participer à l’essai. D’une grande ampleur, le projet sera financé par la vente d’électricité supplémentaire, une subvention gouvernementale de 2 millions de dollars, mais aussi un prêt de 30 millions.

À ce sujet, le premier ministre de l’État, Jay Weatherill a déclaré : « Mon gouvernement a déjà livré la plus grosse batterie du monde et nous allons maintenant livrer la plus grande centrale électrique virtuelle au monde. Nous utiliserons les maisons des gens comme un moyen de générer de l’énergie pour le réseau sud-australien, les ménages participants bénéficiant d’économies importantes dans leurs factures d’énergie. Notre plan énergétique signifie que nous menons le monde dans les énergies renouvelables et maintenant nous facilitons l’autosuffisance de plus de foyers ». Selon des statistiques datant de 2016, 60% de l’électricité est issue du charbon contre 14% d’électricité propre. Les produits et les projets proposés par Tesla devraient permettre à la région de produire beaucoup plus d’énergie propre à long terme. Le nouveau projet devrait permettre de fournir 250 MW d’énergie solaire et 650 MWh de capacité de stockage.

D’ici 2022, la totalité des 50 000 installations devraient être mises en place.

Source Le Siecle Digital  par Louise Millon

Solar Roof Tiles Market : Replacement to Solar Panels Lowering Installation as well as Electricity Cost

Solar roof tiles or solar shingles also referred as photovoltaic shingles, are the solar panels designed to function as the conventional roofing materials while producing electricity. Solar roof tiles are built into the structure of the roof making them an inconspicuous choice for the homeowners. The tiles produce the renewable electricity same as solar panels and each tile is made up of photovoltaic (PV) cells. Solar roof tiles or solar shingles are the building- integrated photovoltaics (BIPV).

Solar shingles are smaller in size comparison to traditional solar panels and are comparable to traditional roofing shingles about 86 inches long by 12 inches wide and weigh 13 pounds per square foot. Each shingle can produce 13 to 63 watts of electricity. These tiles are usually less than an inch thick and a standard installation is 350 tiles which can be installed in any climate.

Request For Free Sample Of The Report @ www.xpodenceresearch.com/Request-Sample/105805

The amount of electricity produced will depend on the various factors which include duration of the time for which tiles are exposed to sunlight, the efficiency rating of the solar tiles and orientation and angle of the roof. The electricity generated can be stored in solar battery storage system for future use. However, the price of the solar tiles is high compare to the solar panels but installing the solar tiles will add the value to the house. According to the Energy Saving Trust, installation of the solar tiles can increase the house price by as much as 10%.

Increasing demand for the tiles in new building properties for better energy efficiency is expected to enhance the industry growth over the forecast period. Furthermore, solar shingles also offer the huge opportunity for re-roof the property to the home owners for enhanced energy efficiency.

Easy installation along with the sleek appearance of the solar roof tiles is anticipated to impact the market demand in a positive manner. Moreover, high installation cost and lower efficiency of the solar tiles is projected to restrain the industry. However, the installation prices will fall as the homeowners grow more accustomed to own PV products such as solar shingles, hence providing the opportunity to increase the industry share.

Additionally, the UK government Feed-in Tariff scheme has also encouraged the property owners to re-roof their property. The tariff scheme is split into two set of payments which include Generation Tariff and Export Tariff. The scheme has stimulated the demand across the region as the people earn the money for every kWh of electricity generated through the solar shingles and also on the extra kWh of electricity fed to the National Grid.

Obtain Report Details @ www.xpodenceresearch.com/Reports/Solar-Roof-Tiles-Market

Key manufacturers in the industry include SolarCity (Tesla, Inc.), CertainTeed (Saint-Gobain), Solarcentury, SolarShingle Canada, Atlantis Energy Systems, Forward Labs and SunTegra Solar Reef Systems. In January 2018, Tesla, Inc. the company announced that the company is ramping up the production of solar tiles product at their Buffalo Gigafactory in New York and also stated to begin the installations for their customers.

Source OpenPR

20/02/2018

Construction : un aérogel rend les briques simples ultra-isolantes

Des chercheurs suisses de l’Empa ont mis au point un aérogel pour garnir les briques qui permet de les rendre ultra-isolantes pour des épaisseurs de mur inférieures à 20cm.

Depuis quelques années, la brique d’argile s’est offert une seconde jeunesse dans le bâtiment grâce à l’apparition de briques dites monomur qui offrent de très bonnes performances d’isolation pour des bâtiments bioclimatiques. Très épaisses (entre 30 et 50 cm), elles présentent une structure alvéolaire qui stocke de l’air assurant fraîcheur en été, isolation en hiver et ne retenant pas l’humidité. Pour réduire cette épaisseur, ces briques sont à présent souvent garnies directement d’un isolant, naturel ou non (laine de verre, perlite, polystyrène…) préservant leurs performances mais diminuant leur taille.

Des chercheurs suisses du Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche (Empa) ont mis au point un aérogel qui bat largement toutes ces garnitures. Leurs travaux ont été publiés dans Energy Procedia. Les aérogels, généralement basés sur des silicates dont 98-99 % du volume est assuré par la présence de bulles d’air de taille nanométrique, sont des matériaux d’isolation récents dans le secteur du bâtiment. C’est cette présence d’air qui en fait d’excellents isolants. Mais ils ont d’autre atouts : perméables à la vapeur, recyclables, non toxiques et non inflammables. Bref, tous les atouts d’un isolant idéal.

Des performances inégalées
L’aérogel fabriqué par les scientifiques suisses a déjà fait ses preuves intégré à un enduit isolant testé en 2012 et commercialisé en 2013 et qui avait permis la rénovation de bâtiments historiques en préservant leur apparence. Cette fois, ils ont conçu leur aérogel sous une forme pâteuse qui permet de remplir les alvéoles des briques. Une fois dans les briques, l’aérogel se joint à l’argile des briques qui peuvent être manipulées normalement. Les briques ainsi créées ont été baptisées Aerobricks. Des tests pour évaluer la conductivité thermique de ces briques ont révélé des performances inégalées : pour atteindre la même isolation qu’un mur d’Aerobricks de 16,5 cm, il faudrait un mur de 26,3 cm de briques emplies de perlite et plus d’un mètre pour un mur de briques simples (voir photo). Autant dire que cet aérogel pourrait offrir une véritable cure d’amincissement aux murs en briques isolantes. Le hic ? La production de l’aérogel est pour l’instant trop coûteuse pour que les Aerobricks soient compétitives (plus de 400€ supplémentaires par mètre carré !). Cependant, les chercheurs espèrent que les prix chutent drastiquement à moyen terme permettant à cette brique d’entrer sur le marché.

Source Techniques de l'ingénieur par Sophie Hoguin

Le groupe Italien Cunial investit 3,3 millions dans sa filiale Israélienne Artile

Le groupe Cunial investit dans les tuiles en Israël. 
La société de Possagno, à travers sa filiale Cunial Antonio Ilca S.p.A., a réalisé une augmentation de capital dans la filiale israélienne Artile Roof ltd d'une valeur de 3,3 millions d'euros. L'argent qui servira à soutenir le plan de développement industriel et commercial va permettre à Artile Roof Ltd de produire plus de 15 millions de tuiles par an dans l'usine du désert du Néguev.

Les nouvelles ressources, selon une note du groupe, visent à soutenir les investissements techniques pour améliorer l'efficacité de la production du four dans le but d'augmenter la production de 25% du nombre de pièces produites annuellement et, deuxièmement, de financer l'augmentation du fonds de roulement de l'entreprise à la lumière d'une politique commerciale plus incisive visant à augmenter les taux de ventes à l'exportation.

Cunial Antonio Ilca S.p.A.  fait partie des six sociétés qui, en 1998, ont décidé de fusionner en une seule entité, Industrie Cotto Possagno S.p.A. - Aujourd'hui la plus grande entreprise italienne dans la production de tuiles en terre cuite. La famille Cunial détient la majorité relative du groupe avec 41% du capital.

L'augmentation de capital a été signée par Cunial Antonio Ilca S.p.A. à hauteur de  51% conjointement à la société de finances publiques Simest pour  49%.  Simest, constitue avec  SACE, le hub italien pour les exportations et l'internationalisation. La présence de Simest dans l'opération est significative, puisque c'était cette société du Groupe Cassa Depositi e Prestiti qui a soutenu Cunial Antonio Ilca S.p.A. dans les premières étapes de la croissance de Artile Roof Ltd, avec une première entrée dans le capital de la société israélienne en 2005 avec environ 1,5 million d'euros.

Source Venetoeconomia

19/02/2018

Terreal : Alexis de Nervaux nommé directeur de la Transformation digitale et IT Groupe

Le spécialiste des matériaux de construction en terre cuite vient de créer une direction de la Transformation digitale. Alexis de Nervaux est le premier à en assumer la responsabilité.

Alexis de Nervaux, premier directeur de la Transformation digitale chez Terreal

Accélérer sa transformation digitale avec une approche plus holistique (globale, intégrée, transversale…) et systématique. Tel est l’objectif de Terreal  en nommant Alexis de Nervaux à la tête de la nouvelle direction de la Transformation digitale et IT Groupe.

Titulaire d’un Master of Science – Internet Business & Technologies de l’Université d’Etat de San Francisco aux Etats-Unis, Alexis de Nervaux était auparavant Chief Digital Officer et Directeur IT de Saint-Gobain Abrasifs, après avoir occupé différents postes relatifs à  la transformation digitale chez Saint-Gobain entre 2008 et 2015.

Membre du Comité de Direction du Groupe (il reportera directement à Laurent Musy, PDG du Groupe Terreal), Alexis de Nervaux assurera le développement et la mise en œuvre de la stratégie digitale de Terreal  en définissant, avec le service Ressources Humaines, la gestion des ressources et des compétences associées. Il aura également pour mission le pilotage de  la transformation digitale et la mise en place de nouvelles méthodes de travail ainsi que la supervision de la direction des Services Informatiques (DSI).

Sa nomination intervient quelques jours après celle de Julien Chnebierk en tant que directeur de la Stratégie.

Source Le Moniteur par Yannick Le Goff

Matériaux: Bouyer Leroux va effacer sa facture électrique

Le fabricant de produits de terre cuite investira 60 millions d'euros d'ici à 2025. Usines et anciennes carrières seront couvertes de panneaux solaires et l'énergie biomasse sera généralisée.

Vérification planéité produit usine Boyyer Leroux

La fabrication de briques, tuiles et autres produits en terre cuite est une activité gourmande en énergie. Bouyer Leroux, numéro un français du secteur, a décidé d'investir 60 millions d'euros, d'ici à 2025, pour réduire son empreinte carbone. Le groupe coopératif, basé près de Cholet, veut en premier lieu « effacer » l'énergie électrique consommée par les neuf usines de son pôle terre cuite, lesquelles consomment 57 gigawattheures par an. L'ambition du groupe est de compenser l'intégralité de ses besoins par la production photovoltaïque. 35 millions d'euros seront engagés dans l'installation de panneaux solaires sur les toitures de ses bâtiments et sur ses anciennes carrières d'argile.

Coques de tournesol
Parallèlement, l'industriel prévoit une enveloppe de 25 millions d'euros pour porter de 40 % à 90 % la part de la biomasse dans l'énergie thermique nécessaire à la fabrication de briques. Dans les années à venir, trois foyers biomasse supplémentaires, fonctionnant au bois de recyclage, viendront chauffer cinq séchoirs de briques tandis que seront généralisés les « biocombustibles » pour les fours de cuisson tels les sciures de bois, les coques de tournesol, les coproduits de céréales, etc.

Ce programme d'énergie renouvelable est déjà engagé. Bouyer Leroux dispose depuis quelques semaines à Mably (Loire) d'une unité de cogénération d'électricité et de chaleur, un investissement de 3 millions d'euros effectué en lien avec Dalkia. Le groupe valorise aussi du biogaz sur deux de ses sites dont son siège de La Séguinière, près de Cholet (Maine-et-Loire).

Menuiserie
L'investissement industriel n'est pas en reste. Porté par un haut niveau d'activité dans la construction, Bouyer Leroux programme cette année 12,5 millions d'euros sur différentes usines. Le pôle terre cuite va en absorber 6,5 millions d'euros dont 2 millions d'euros pour l'usine de Colomiers, en Haute-Garonne. Le reste de l'enveloppe ira aux autres entités du groupe, en particulier à la branche menuiserie. Sa filiale SPPF, qui fabrique notamment des portes de garage et des volets, sera étendue de 2.400 mètres carrés et dotée d'une nouvelle ligne.

L'industriel, qui emploie 900 salariés au total, vise 200 millions d'euros sur l'exercice en cours contre 185 millions en 2017. Après l'absorption de la branche terre cuite d'Imerys, en 2013, puis les bétons Robert Thébault en 2015, Bouyer Leroux guette d'autres possibilités de croissance externe en jetant son dévolu « sur des entreprises industrielles offrant une complémentarité de gamme et de couverture géographique », précise le PDG, Roland Besnard.

Source Les Echos par Emmanuel Guimard

18/02/2018

Des étudiants en design d'Yzeure ont travaillé avec l’argile de la carrière de Bomplein, à Couzon

L’École supérieure de design et métiers d’art d’Yzeure a fait travailler onze de ses élèves avec une matière première boubonnaise.

Que peut-on faire avec l’argile de Bomplein à Couzon, à part des briques et des tuiles ? Plein de choses, ont prouvé la dizaine d’étudiants yzeuriens en première année d’arts appliqués design de produit.

Ils ont malaxé, pressé, cuit, réduit en poudre, mouillé, mélangé avec du sel, du sucre, des fibres végétales, du bichromate de potassium et de la gomme arabique… La terre argileuse de la carrière de Bomplein à Couzon en a connu des transformations, lors des expérimentations des étudiants en 1 re année de diplôme supérieur des arts appliqués design de Produit (DSAA design), à l'École supérieure de design et métiers d'art d'Auvergne à Yzeure.


Source La Montagne

17/02/2018

Les Poteries d'Albi à pleins pots

Depuis cinq générations, les Poteries d'Albi perpétuent la tradition en réalisant à la main et avec toujours autant de passion des céramiques pour le jardin et la maison.

L'histoire de la poterie d'Albi commence en 1891 avec la famille Bergeal qui produit tuiles et briques et participe, entre autres, à la fabrication des éléments de patrimoine de la fameuse ville rouge. En 1919, 1959 et 1962, la maison passe de père en fils tout en conservant ses trésors d'artisanat. En 1978, les parents de Lore, actuelle propriétaire, continuent de développer l'activité et créent la marque telle qu'elle existe aujourd'hui. Et en 1997, leur fille y ajoute la marque Clair de terre, une ligne de céramiques tournées vers la couleur et les formes originales. En 2015, Lore reprend le flambeau familial et réunit les deux marques au sein d'une même entreprise en conservant les équipes déjà formées.

Transmettre le savoir-faire aux générations suivantes
En France, rares sont les entreprises potières qui fabriquent encore à la main de manière traditionnelle. Elles ne sont plus que quelques-unes et les Poteries d'Albi sont de celles-ci. Lore Camillo est fière de cette particularité et la revendique haut et fort. Tout au long de sa fabrication, un pot sera manipulé plus de vingt fois : préparation de la terre, tournage, nettoyage, émaillage, cuisson... toutes les étapes sont réglées comme du papier à musique et il suffit de visiter l'usine pour voir à quel point l'équipe travaille de concert et dans une parfaite harmonie. Lore passe au milieu de l'équipe avec un petit mot encourageant pour chacun. Les tourneurs ont une grande dextérité. Ici, nul besoin de reprendre les pots tournés dans une opération appelée tournassage, comme on le fait dans d'autres ateliers. Les formes sont parfaites dès le début. L'expérience étant la clé de toute réussite, Lore cherche toujours à former des tourneurs, même jeunes, pour conserver ce savoir-faire et le transmettre aux générations suivantes.

A ce titre et bien d'autres, les Poteries d'Albi ont obtenu en 2013 le label Entreprise du patrimoine vivant, une distinction décernée aux établissements détenant un savoir-faire rare, renommé ou ancestral, et qui offre une reconnaissance méritée à tous ceux qui travaillent dans les ateliers.

Parmi eux, Wael Sahle, un réfugié syrien qui était potier à Damas avant la guerre. Après un passage par la Jordanie avec sa famille, le voilà arrivé en France, dans le Tarn. Sans travail mais pour ne pas perdre la main, il achète de la terre aux Poteries d'Albi et vient régulièrement y faire cuire ses créations. Lore repère son travail à la sortie d'un four. Elle est séduite par le savoir-faire de cet homme qui a dirigé un atelier dans son pays. Depuis, Wael a rejoint l'entreprise où ses compétences ont enrichi la collection de céramiques. Collection qui profite pleinement de deux tendances du moment : le végétal, qui s'installe en maître à l'intérieur, et le jardin dit de pots, joyeuse alternative aux massifs de nos grands-parents.

Source Le Parisien

16/02/2018

CERATEC - Ligne de production pour des murs préfabriqués : Verbo

Verbo, la nouvelle unité de production de murs préfabriqués complètement automatisée, a été entièrement développée et construite par Ceratec.

L'unité de production est composée de 2 parties:

1. La machine qui construit les murs
Les murs sont érigés avec des briques préalablement rectifiées, pour une très grande précision.
La construction se fait à l'aide d'un robot qui dépile d'abord les briques et les place sur une bande de transport pour former une ligne complète. Une fois la ligne terminée, une couche de colle est appliquée sur la partie supérieure des briques. Ce processus se répète jusqu'à ce qu'un mur complet soit érigé.


2.    La cabine de découpe
Pour garantir la précision des murs terminés, l'excdent de matériau est découpé à l'aide de scies à double jet d'eau. Cette découpe peut se faire tant dans la longueur du mur que pour des ouvertures pour pouvoir placer des fenêtres ou des portes.
De plus, Ceratec a également développé l'ensemble du réseau logistique: la logistique entre les différentes unités de production ainsi que la gestion logistique de la zone tampon avec un camion spécialement adapté prêt à être livré sur le chantier.

Les difficultés de ce projet:

La précision qui doit être garantie à tout moment
Le dimensionnement: chaque projet est différent
L'adaptation automatique est requise en fonction de l'épaisseur, de la hauteur et de la longueur
Ceratec a réussi à répondre à toutes ces exigences, grâce au développpement et à la construction des lignes de production par ses propres services, ainsi qu'à un logiciel spécialement conçu pour ce projet.


Source Ceratec

VERBO: 
La préparation


Les éléments de murs Verbo sont fabriqués sur mesure pour chaque chantier en fonction des plans architecturaux.

Disponible sur demande

Intégration du Lambdabloc®, la solution robuste de Ploegsteert pour les noeuds constructifs
Intégration de linteaux non portants en terre cuite
Découpes pour techniques diverses


La production

La production se fait en usine sous des conditions de gestion de processus optimales, et non à tous vents sur chantier.

Une machine à coller robotisée verticale colle les briques en terre cuite de Ploegsteert en éléments de mur à hauteur d'étage de max. 8,75 m de long.

Le collage se fait avec une colle PU à 2 composants. Nous utilisons à cet effet une brique en terre cuite de construction rapide calibrée (tolérance dimensionnelle < 0,2 mm).Tous les éléments requis (linteaux, blocs d'arasement en pied du mur, appuis de poutre, découpes ...) sont intégrés dans les éléments de murs en cours de production.

Notre scie à double jet d'eau de concept unique et de technique CNC autorise la découpe d'éléments de murs sous toutes les formes au millimètre près.

Livraison avec un dispositif de levage intégré dans le mur
Verbo transporte sur chantier les éléments de murs préfabriqués sur des box à chevalet, avec des semi-remorques.

Après installation, le dispositif est tout simplement retiré du mur et est retourné chez Verbo
Pas de souci d'emballage ni de gestion de palettes!

Montage rapide et économique


  • L'alignement sur la dalle en béton.
  • Positionnement de tirant-poussant
  • Le placement dans du mortier de liaison sans retrait
  • Mise à niveau à l'aide des étançons en traction et en pression
  • Le raccord des éléments de murs se fait avec du mortiercolle
  • Fondamentalement, vous avez seulement besoin d'une grue, de son grutier et de 2 monteurs. Aucune perte de temps pour le placement d'échafaudages!


Si vous le souhaitez, le placement de nos murs préfabriqués Verbo peut être sous-traité à un partenaire autorisé Verbo.

Avis sur l'action Cerinnov Group

Que pensez vous de la baisse de l'action Cerinnov Group suite au décalage de commande ? 

Est-ce une bonne occasion de rentrer dans ce groupe pour l'industrie 4.0 ?

Quel objectif à 1 an ?

La société avait déjà annoncé à la mi-octobre que ses objectifs annuels ne seraient pas atteints. Ce qui a aggravé la chute du cours amorcé vers le 11 septembre (11,79 €).
Confronté à des décalages de commandes, le groupe envisageait désormais un recul de ses revenus sur l'exercice, lequel devrait s'achever sur une perte. Le Revenu avait réagi en faisant vendre le titre.


Ce qui semble avoir pesé sur le cours récent, c'est l'annonce d'un retard de publication du chiffre d'affaires annuel, initialement attendu le 14 février et décalé au 26 février ; ce qui a suscité des craintes de mauvaise surprise chez certains investisseurs.
Le cours de Bourse avait réagi à cette annonce par une chute de l'ordre de 11 % lors des séances du 12, 13 et 14 février derniers ; il s'est ressaisi sur les deux dernières séances avec une hausse de l'ordre de 4,7 %, soit une baisse de 6, % sur cette semaine.


Nous ne sommes pas revenus sur le titre depuis ; mieux vaut attendre les annonces à venir lors de la publication du 26 février avant  de prendre une position.

Source Le Revenu

15/02/2018

Wienerberger - Flines-lez-Raches. Un ouvrier se fait arracher en partie le bras

Grave accident du travail chez Wienerberger à Flines-lez-Raches, près de Douai (Nord) ce jeudi 8 février 2018.

Un homme a eu le bras en partie arraché par une machine à Flines-lez-Rachges, près de Douai (Nord). 

Il était aux alentours de 12 h 45 ce jeudi 8 février 2018 lorsque les sapeurs-pompiers de Douai et Orchies sont intervenus aux établissements « Wienerberger » (fabricants de briques en terre cuite) à Flines-lez-Raches (Nord) pour un grave accident du travail.

Un homme de 57 ans a été en effet grièvement blessé : son bras a été en partie arraché par un rouleau de tapis roulant.

Les secouristes ont effectué les premiers soins sur la victime puis il a été transporté médicalisé au centre hospitalier de Lille, sous escorte de police.

Source Actu

VENDÉE : ARGIWEST REMPLACE LE CIMENT TROP POLLUANT PAR UN BÉTON ÉCOLO

Alors que la production de ciment pollue énormément à travers le monde, cette entreprise vendéenne a inventé un procédé d'avenir à faible empreinte carbone.

Et s’il était possible de remplacer le ciment trop polluant par de l’argile aussi dure que du béton ? C’est un processus révolutionnaire qu’ont inventé l’ingénieur David Hoffmann et le PDG de l’entreprise vendéenne Argilus Julien Blanchard : un matériau de construction résistant à l'empreinte carbone allégée.

Ce procédé inédit est un matériau fabriqué principalement à base d’argile et de liant HP2A, « issu de matières premières que l’on trouve partout et à moindre coût » expliquent-ils à We Demain. Une invention à propos de laquelle les créateurs restent évasifs. Car, David Hoffmann et Julien Blanchard ont déposé un onéreux brevet et ce à l’échelle mondiale. Le véritable intérêt de ce produit réside dans le fait que son empreinte écologique soit très faible. Alors que la fabrication de ciment nécessite de brûler du calcaire, et donc rejette beaucoup de carbone, ce nouveau matériau est plus propre. C’est ce qu’explique Julien Blanchard à Ouest France :

« Pour produire une tonne de notre liant HP2A, qui sert à fabriquer du béton, des colles ou du mortier, nous dégageons 150 à 200 kg de CO2 dans l’atmosphère contre une tonne chez d’autres fabricants. »

En pleine période d’accords sur le climat, la société tend à se décarboner et l’invention fait grand bruit. Emmanuel Macron lui-même avait été grandement emballé lors de sa visite de l’entreprise en août 2016 alors qu’il était ministre de l’Économie. Plus récemment, l’Europe lui a délivré le label scientifique « seal of excellence ». L’État français, quant à lui, a décidé d’accompagner Argiwest, via son Programme d’investissement d’avenir (PIA).

Résultat : après deux ans de travail, l’usine pilote HP2A va enfin voir le jour en Vendée. Dès l’été prochain, elle produira ses premières tonnes de béton sans ciment et plus respectueux de l’environnement.

L’entreprise vendéenne a même été choisie pour revaloriser les déblais du chantier de nouvelles lignes de métro dans le cadre du Grand Paris et les transformer en matériaux de construction grâce à la technologie HP2A. Une vitrine de premier plan pour la PME vendéenne d’autant plus quand on sait que le chantier du Grand Paris est à 100 milliards d’euros…

Il semblerait donc qu’Argiwest ait un bel avenir devant elle.

Source POSITIVR par Victoria Ouicher

14/02/2018

TECAUMA réalise une ligne de conditionnement ultra-moderne pour TERREAL

Terreal a fait confiance à Tecauma pour la réalisation d'une ligne robotisée de déchargement des supports de cuisson et préparation des paquets (« poutres ») de tuiles et accessoires en terre cuite.

Cette ligne ultra-moderne intégrant quatre robots synchronisés, a été implantée au début de l'année 2017 au sein de l'usine Terreal Roumazières-Loubert (Charente).

Terreal se dote d'un plan stratégique ambitieux. Sa vision est d'être une entreprise plus innovante, plus internationale et plus compétitive. Pour atteindre cette croissance, elle poursuit plusieurs axes au niveau industriel dont la modernisation de ses usines.

La stratégie est en marche et l'automatisation dépilage de la ligne UD6.2 à Roumazières-Loubert en est l'illustration. D'autres projets d'investissements pour moderniser ses équipements sont d'ailleurs en cours dans le groupe.

La ligne installée par Tecauma permet une grande flexibilité dans le changement de produits, puisqu'elle gère jusqu'à 40 références de produits différents, et le changement d'outils est automatique. Cette ligne assure une cadence de 2500 produits / heure.

Ce projet a permis la suppression des risques de troubles musculo-squelettiques liés aux manutentions manuelles des produits, par l'automatisation du processus de conditionnement des accessoires. Il a aussi apporté une plus grande flexibilité dans l'organisation de la production, grâce à l'automatisation du changement de produits.

Source Tecauma

Green Building Material Market Quadruples by 2022 at a ~17% Of Whooping CAGR; Asserts MRFR

Market Highlights

Green Buildings are the structures that utilizes the resource efficient and environment friendly processes throughout the life cycle of the building. The market is driven by the increasing consumer awareness regarding energy efficiency and government supportive policies globally drives the market. Furthermore, the low maintenance cost, low operating cost and low water requirements the fueled the demand of the market. Health care industry by application contributes highest to the overall growth of the market. On the basis of region, North-America is the largest market both by value and volume. The Global Green Building Materials Market size was valued at around USD 158 Billion in 2015 and is expected to cross USD 245 Billion at CAGR of 17% by 2022.

Factors attributed to the growth of the market are increasing consumer awareness regarding energy efficiency and government supportive policies. There has been increased demand in the market due to low maintenance cost, low operating cost and low water requirements. The effective policies of the government for energy efficiency have fueled the growth of the market. Global green building materials market is expected to cross USD 245 billion at the end of the forecasted period and is expected to grow at CAGR of 17% from 2016 to 2022.

Prominent Players
Alumasc Group plc. (U.K.), Bauder Ltd. (U.K.), Wienerberger AG (Austria), Binderholz GmbH (Austria), Homasote Company (U.S.), CertainTeed Corporation (U.S.), LG Hausys Ltd. (South Korea), RedBuilt LLC (U.S.), PPG Industries, Inc. (U.S.), E. I. du Pont de Nemours and Company (U.S.), Forbo International SA (Switzerland), Kingspan Limited (U.K.), Lafarge Company (France), BASF SE (Germany), and Owens Corning (U.S.) are some of the prominent players at the forefront of competition in the global green building material market and are profiled in MRFR Analysis.

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Source Industry today

Le fabricant de machines allemand LINGL se déploie en dehors de la terre cuite

Après des temps difficiles, la société de Krumbach est en pleine mutation

Pour le directeur général Hugo Schneider, l'essor de l'industrie du bois joue un rôle qu'il ne faut pas sous-estimer pour la restructuration de Lingl.

386 employés sont employés actuellement à Krumbach par Hans Lingl Anlagenbau und Verfahrenstechnik GmbH et Co.KG., il y en a 550 dans le monde. Jusqu'à présent, les domaines de la terre cuite, de la céramique sanitaire et technique ainsi que de l'automatisation, de la mécanisation et de la robotique ont constitué les piliers de l'entreprise. Il y a eu des restructurations qui consolideront Lingl pour l'avenir, explique le directeur général Hugo Schneider. Le cœur de métier de l'entreprise basée à Krumbach est la fabrication de machines pour l'industrie de la terre cuite, Ve marché est très concurrentiel et en même temps en baisse. En 2017, la part des exportations avait chuté à 71% - et c'est exactement ce que la situation géopolitique actuelle illustre, et elle ne changera pas rapidement!

Depuis un an, la société SMB Maschinenbau GmbH, société anciennement basée à Vöhringen, est devenue  une filiale indépendante de Lingl. Lors du passage en liquidation judiciaire de SM, fabricant de machines et de matériel pour l'industrie du bois,  à la fin de janvier 2017, LINGL s'est décidé très rapidement.  En très peu de temps, le déménagement à Krumbach a eu lieu: début avril, la production y a débuté directement. L'activité principale de SMB est la production de lignes d'aboutage et la mécanisation technique. "SMB ouvre de nouvelles voies à des marchés complètement nouveaux", souligne Hugo Schneider. Il fallait comprendre ces marchés comme des marchés en mutation, poursuit-il. Mr  Schneider l'exprime ainsi: "Les marchés de vente changent également les produits et les segments".

Pour Lingl, SMB ouvre la possibilité d'offrir un portefeuille de produits entièrement nouveau, surtout dans d'autres pays, par exemple en Scandinavie ou en Amérique du Nord. Ajoutez à cela les nombreuses années d'expérience dans l'industrie de la céramique, sur lesquelles Lingl peut désormais s'appuyer - un avantage par rapport aux autres concurrents, en particulier en ce qui concerne la production de systèmes complets. Même si les ventes n'ont pas tout à fait répondu aux attentes de l'année dernière, il a été possible d'intégrer de nouveaux secteurs d'activité.

Le marché du bois est une industrie en plein essor et ne changera pas au cours des prochaines années. C'est comme ça que Hugo Schneider le voit. Les bois de construction deviennent de plus en plus performants. Grace à diverses techniques nouvelles les performances techniques et mécaniques sont atteintes qui n'auraient pas été possible dans le passé. Et c'est exactement la tendance que suit Lingl.

Lingl a également procédé à des  changements internes: La direction de la société est assurée par Laurenz Averbeck et Hugo Schneider tandis que depuis Décembre 2017 Karl Liedel (directeur des ventes) et Harald Gruber (Responsable des ressources humaines) ont pris des responsabilités plus large au comité de direction. Dans le même temps, il est prévu de procéder à des évolutions de l'encadrement dans les prochaines années.

Les axes de développement prioritaires ont été identifiés. Cela donne à chaque employé la possibilité de s'impliquer dans certains projets et de s'impliquer dans ceux-ci. Au troisième trimestre 2018, une entreprise pour l'innovation, la recherche et le développement va être fondée. Elle pourrait avoir son siège à Krumbach. L'objectif est d'acquérir un avantage concurrentiel sur le marché et de sécuriser les compétences par rapport à d'autres concurrents.

Cette année, l'entreprise de Krumbach fêtera ses 80 ans. Schneider est heureux de son développement. Mais la conjoncture ne permet pas de se reposer sur les lauriers acquis. Ou avec ses mots: "Rien n'est assez bien"

Source Augsbuger Allgemeine par Peter Wieser

13/02/2018

Julien Chnebierk est le nouveau directeur de la stratégue et du business development de Terreal

Le spécialiste des matériaux en terre cuite a fait appel à son ancien directeur général de la région Asie pour piloter son développement.

Julien Chnebierk est, depuis le 1er janvier 2018, le nouveau directeur de la stratégie et du business development de Terreal.

Il remplace Florence Petit et rejoint également le comité exécutif du groupe.

Dans l’entreprise depuis 1998, ce diplomé de l’Ecole des hautes études commerciales du Nord a exercé plusieurs fonctions, notamment en Asie, où il officiait encore récemment en tant que directeur général de la zone.

De retour dans l’Hexagone, il aura pour mission principale de piloter la réflexion stratégique de l’entreprise et de développer les projets de croissance.

Source Le Moniteur

Ceramitec 2018 – hot spot for the ceramics industry

In the run-up to ceramitec, the trade fair is again enjoying excellent popularity among exhibitors.
Over four days, some 600 exhibitors from around the globe will present their complete range of products and services: plants, machinery, equipment, processes and raw materials. All segments will be represented, ranging from classic ceramics to industrial ceramics to technical ceramics and powder metallurgy. As a trade show for equipment suppliers, ceramitec is the meeting point for leading manufacturers, users and scientists. Here, they meet, exchanging views and information. This creates synergies and makes new technologies and applications from the industry, research and development more widely known.

Four halls for ceramics
In 2018, ceramitec will take place in Halls A5, A6, B5 and B6 and can be reached via the East Entrance. Raw materials and additives, powder, production materials and ancillaries will be on display in Hall A6. Hall A5 will accommodate refractory materials, kiln furniture, kilns and equipment for kilns, and research. In Hall B6, visitors will find plants, machinery, and equipment for whitewares and refractory ceramics, technical ceramics and powder metallurgy, and finally, in Hall B5, plants, machinery, and equipment for heavy clay ceramics.

More than 15 000 participants from over 90 countries are expected to attend the event with around 20 000 m² exhibition space over four halls.

ceramitec’s high proportion of foreign participants impressively demonstrates the trade show’s international importance. In 2015, the event boasted more than 373 international exhibitors. Over 60 % of the participants came from abroad.

High-calibre conference programme
Just like previous editions, ceramitec 2018 will be accompanied by a high-calibre conference programme. The ceramitec Forum in Hall A5 constitutes the platform for knowledge and know-how transfer, for research and development. Attendance at the specialist lectures and panel discussions is free of charge. All lectures are offered with simultaneous translation in German and English.

In addition, the Annual Meeting of the German Ceramic Society (Deutsche Keramische Gesellschaft – DKG) will be held parallel to the trade show for the first time. In the conference rooms above the exhibition halls, lectures on topics like ceramics in energy technology or Industry 4.0 are planned. Thanks to the DKG lecture programme, it will be possible to span a bridge between industry and science, also for the benefit of the visitors.

ceramitec www.ceramitec.com

Source Ziegelindustrie Interbational

12/02/2018

Le concours « La Tuile Terre Cuite Architendance » revient pour une 4ème édition

L’édition 2018 du Grand Prix « La Tuile Terre Cuite Architendance » vient d’être lancée !

Organisé tous les deux ans par la Fédération Française Tuiles et Briques, en partenariat avec le Réseau des Maisons de l’Architecture (RMA), le concours récompense des projets qui utilisent la tuile terre cuite dans des réalisations « innovantes et inattendus ».

Les projets présentés devront être innovants et inattendus. Ils devront également sublimer la tuile terre cuite.

Les réalisations seront sélectionnées selon trois critères : l’innovation dans l’utilisation de la tuile terre cuite, la modernité du geste architectural et l’originalité dans le traitement du toit.

Deux trophées par catégories

Trois catégories concourent : Logement individuel, Habitat collectif et Equipement / Bâtiment tertiaire.

Le jury, présidé par un architecte membre du RMA, sera composé de lauréats des éditions 2012, 2014 et 2016, d’un représentant des fabricants de la filière terre cuite, d’un journaliste spécialisé et d’un enseignant.

Deux trophées seront attribués par catégorie aux premier et second lauréats. Le jury pourra aussi attribuer un Grand Prix toutes catégories confondues. Viennent compléter ce palmarès, un prix des étudiants en école d’architecture et un prix du public via un vote sur les réseaux sociaux.

Les candidats ont jusqu’au 30 juin 2018 pour déposer leurs dossiers de participation. La délibération du jury aura lieu en septembre prochain. La cérémonie de remise des prix aura lieu dans le cadre de la Biennale du RMA à Paris au mois de novembre.

Les 7 projets récompensés seront présentés dans la revue Terre d’Architecture et bénéficieront d’un relai sur les différents sites et réseaux sociaux de la filière et dans l’ensemble de sa communication média.

Source Batiweb

Le Groupe BOUYER LEROUX : n°1 français des matériaux de construction en terre cuite (briques de murs et de cloisons, conduits de cheminée)

MISSION ET STRATÉGIE DU GROUPE BOUYER LEROUX


La mission du groupe Bouyer Leroux est d’être un industriel des matériaux de construction reconnu nationalement pour son dynamisme et sa contribution à la transition énergétique.

À cette fin, le groupe a l’ambition de se différencier par la qualité et l’originalité de son offre de solutions destinées à la construction et l’amélioration de bâtiments éco-performants, par le professionnalisme de ses collaboratrices et collaborateurs, et par la qualité de sa relation de proximité avec ses clients.

La stratégie du groupe Bouyer Leroux est celle d’un groupe industriel doté d’une culture positive, entrepreneuriale et responsable, qui vit avec son époque, investit sans relâche dans son potentiel humain et industriel, et qui se projette dans l’avenir en anticipant et en intégrant les évolutions sociétales, culturelles, réglementaires, technologiques, environnementales, macro-économiques.


Cette stratégie est « long-termiste » et considère une approche patiente et raisonnable de l’économie. Elle est à l’image d’un groupe industriel qui n’est pas essentiellement mobilisé sur l’amélioration de ses performances financières, la croissance à tout prix et le recours massif et risqué à l’endettement.

Elle prend en compte sereinement le caractère cyclique des marchés du BTP, et elle vise à une croissance équilibrée, durable et rentable des différentes activités du groupe.
Cette stratégie est définie en concertation avec les salariés-sociétaires.

Elle intègre une gestion optimale et exemplaire de toutes les ressources du groupe*, un management efficace des hommes et des projets, un développement planifié de solutions innovantes associant produits et services pour créer plus de valeur ajoutée pour les clients, les filiales du groupe, les collaboratrices et collaborateurs, et ainsi garantir sa pérennité, son attractivité et son indépendance. * le capital humain, les propriétés foncières, les matières premières, l’énergie, l’eau, l’outil industriel, les ressources financières, le temps.

Elle privilégie le développement du cœur de métier ou autour du cœur de métier, et peut nécessiter la réalisation d’opérations de croissance externe ciblées sur des entreprises industrielles présentant un niveau élevé d’intégration et offrant une complémentarité de gamme et de couverture géographique, une originalité et une qualité des systèmes et produits cohérentes avec celles du groupe.

Le groupe Bouyer Leroux prévoit un programme d’investissements de plus de 10 millions d’euros en 2018 parmi lesquels des investissements capacitaires sur SPPF et des investissements liés à l’innovation sur Thébault. Dans ce programme, 6,5 millions d’euros concernent le pôle « Terre cuite » où des investissements sont notamment prévus pour moderniser le site de Colomiers et améliorer les conditions de travail et sécurité sur l’ensemble des sites de production.


MISSION ET STRATÉGIE DE LA SCOP BOUYER LEROUX

La mission de la société Bouyer Leroux est de développer, de produire, de marketer sous la marque bio’bric, et de livrer dans des positions de leader compétitif des systèmes constructifs principalement à base de terre cuite, destinés à la construction de maisons individuelles, de bâtiments résidentiels et non résidentiels éco-performants.

Elle vise au développement durable et planifié de l’entreprise et considère un objectif de bilan carbone neutre à horizon 2025-2030. Les solutions (systèmes, produits, accessoires, services) commercialisés par la société Bouyer Leroux répondent à des critères précis constituant un standard de qualité bio’bric, à des performances (thermiques, acoustiques et mécaniques, sanitaires) conformes aux normes et réglementations en vigueur, à des caractéristiques d’originalité technique, d’ergonomie, de mise en œuvre simple et rapide, de gammes complètes, d’étanchéité et d’esthétique, de fiabilité technique dans le temps, de compétitivité.

Elle impose de positionner les clients, la qualité et l’environnement au centre des réflexions, des politiques et des projets de l’entreprise.
La croissance organique s’opère sur la base d’une politique sélective d’investissements privilégiant les investissements de développement, permettant d‘accéder à une croissance qualitative et robuste (niche, effet de gamme, nouveaux segments de marché, équilibre neuf / rénovation, etc.), d’accéder à un bilan carbone neutre, et d’améliorer les conditions de travail pour faire de Bouyer Leroux un industriel référent en Europe.

La culture d’entreprise coopérative centrée sur la performance opérationnelle et la satisfaction des clients, l’amélioration continue de la performance de l’entreprise en matière de compétitivité - productivité, de qualité des produits et services, de sécurité et d’environnement, le Marketing et l’Innovation plus forte dans les produits et les services, la motivation et la prise d’initiative des collaborateurs très bien formés, informés et managés, sont des éléments de différenciation et de dynamisme essentiels qui seront au cœur de la stratégie de la SCOP Bouyer Leroux et qui lui permettront de conforter dans les années à venir sa position de leader en France et de garantir la pérennité à long terme.

Source Cécile Roux/ Bouyer Leroux