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20/05/2012

Tecauma appuie son développement sur l’axe tradition-innovation


L’expérience de Tecauma en manutention automatique de produits céramiques remonte à l’origine de la société, créée en 1977. Depuis, l’en­­treprise vendéenne a su développer des lignes de manutention, devenues des standards dans la profession, tels que chargeurs de séchoir, empileurs, dépileurs, palettiseurs… Elles ont été reproduites à de multiples exemplaires, en France, en Europe, et le monde entier (Maghreb, Amérique du sud, Asie…).
Ces équipements ont sans cesse été améliorés par l’intégration des dernières évolutions technologiques, telles que courroies crantées, motorisations brushless, roboti­que, etc. Par exemple, elles ont été largement employées lors de la réalisation en 2009, de l’unité de production de briques rectifiées de Bouyer-Leroux en Vendée.
Répondre aux demandes particulières

À côté des grands standards, Tecauma a également répondu à des demandes particulières faisant appel à l’innovation. C’est le cas de la fabrication de tuiles plates estampées, réalisée pour Terreal. Plus récemment, l’empilage par robots de la majorité des produits de parement de la briqueterie Bouisset en est un autre exemple.
Parmi les produits phares de Tecauma, le coupeur de briques de structure, de parement, ou de tuiles, démontre tout son savoir-faire en terme d’innovation. Une de ses plus intéressantes réalisations est un coupeur de tuiles canal filées, capable de produire tous les modèles de la tuilerie Malmanche.

Fort de ces expériences, Tecauma continue de proposer ses équipements pour l’industrie cérami­que, en particulier sur le marché français.
Philippe Verdier, ingénieur technico-commercial, en charge de l’activité céramique chez Tecauma depuis plus de dix ans, a pu proposer de nouveaux équipements tels que des pinces de manutention pour Imerys ou deux coupeurs de briques pour Terreal. Une ligne de sciage de produits de parement a également parfaitement répondu aux attentes du client.
Tecauma a aussi des savoir-faire dans d’autres secteurs d’activité, liés également à la construction, mais restera dans les prochaines années un fournisseur fidèle de l’industrie céramique.
30 ans d’expérience à l’export

Les lignes de manutentions automatiques réalisées depuis 30 ans par Tecauma dans le monde entier, en particulier au Maghreb (110 instal­lations réparties sur 50 sites en Algérie), ont fait la renommée de la marque et permettent à l’entreprise de proposer des équipements standard qui ont fait leurs preuves sur des produits qui n’ont plus de secret pour l’entreprise.
Selon Philippe Breillac, président de la société, « l’intérêt des matériels standard est de proposer des équipements à prix avantageux, dans un délai court et avec une qualité et un résultat assurés : une fois installés, nos équipements produisent immédiatement, et nécessitent peu d’entretien. » Et d’ajouter : « Les briques fabriquées au Maghreb, telles que la brique huit trous et 12 trous en Algérie, sont bien maîtrisées par l’entreprise qui a su s’adapter à toutes les problématiques dues aux produits pour proposer sur catalogue tous les équipements de manutentions adaptés à l’Algérie mais aussi au Maroc, à la Tunisie, poursuit-il. Et une fois équipé de matériels Tecauma, vous pouvez compter sur l’entreprise pour assurer la fourniture des pièces de rechange grâce à un service après-vente réactif et des prix négociés du fait des quantités de composants achetés par Tecauma au quotidien, » conclut Philippe Breillac.
Représentée au Maghreb par Spritech

Depuis le 1er juillet dernier, Tecauma a choisi la société Spritech pour représenter sa marque au Maghreb. Laurent Le Roy, créateur de Spritech, fort d’une expérience réussie au Maghreb dans le domaine de la briqueterie, se déplace tous les mois pour visiter les clients et apporter réponses à leurs besoins en équipements et pièces de rechange, en étroite collaboration avec Tecauma.
Toutes ces démarches ont permis à Tecauma de revenir en direct sur le marché algérien en toute indépendance pour suivre les matériels existants mais également pour en proposer d’autres : c’est ainsi que la Briqueterie Mansouri, située à Batna, et client historique de l’entreprise, a confié à Tecauma la réalisation d’un dépileur automatique et d’un paquettiseur, après avoir visité les équipements standards installés chez Brimatec à M’Sila.

19/05/2012

Cameroun : Où sont les matériaux locaux ?


Construire un logement ou un bâtiment public avec des matériaux importés n’est pas aisé parce qu’ils coûtent cher. Leur coût élevé est également un obstacle à la mise en œuvre de la politique gouvernementale de multiplication des logements sociaux (à coûts modérés), compte tenu du faible pouvoir d’achat de la majorité des Camerounais. En outre, l’utilisation des matériaux importés fait sortir d’importantes devises dont le pays a besoin et contribue à déséquilibrer davantage la balance commerciale déjà déficitaire même dans son volet concernant les matériaux de construction, avec son corollaire qui est d’entretenir la dépendance du Cameroun vis-à-vis de l’extérieur. C’est pour inverser cette tendance que le chef de l’Etat a créé en 1990 la Mission de promotion des matériaux locaux (Mipromalo) dont le but est notamment de valoriser l’emploi des matériaux fabriqués localement en vue de réduire les coûts de réalisation des équipements nationaux. Par matériaux locaux, il faut comprendre, d’après Uphie Chinje Melo, directeur de la Mipromalo, les matériaux dont la fabrication intègre au moins 70% de la matière première prélevée dans notre environnement.

Mais, en dépit de l’abondante disponibilité de ces matières premières (argile pour produire des briques cuites, pierres de taille, terre latéritique pour fabriquer des blocs de terre comprimée, sable de granulométrie et autres agrégats pour tuiles en micro béton et carreaux en granulats ciment, bois aux essences variées, etc.), force est de reconnaître que plusieurs années après l’avènement de la Mipromalo, les résultats sont largement en deçà des attentes, en dehors de quelques cas isolés.

Pour remédier à cette situation, une circulaire du Premier ministre, chef du gouvernement, signée le 12 mars 2007, demandait instamment aux maîtres d’ouvrage et maîtres d’ouvrage délégués « de veiller à ce que la construction des bâtiments publics jusqu’à R+1 soit désormais faite en matériaux locaux ». Lesquels doivent être disponibles et produits localement, poursuit le document, qui ajoute que les dossiers d’appel d’offres (DAO) y relatifs, préparés par les soins des maîtres d’ouvrage et maîtres d’ouvrage délégués, en relation avec les services compétents du ministère des Travaux publics, doivent indiquer entre autres les spécifications techniques des matériaux locaux à utiliser dans ces constructions.

Cinq ans après la signature de cette circulaire d’une actualité brûlante en raison de la tendance haussière des coûts des matériaux de construction importés, le bilan de sa mise en œuvre est pour le moins négatif, alors même que les pouvoirs publics ont formé des contrôleurs dans tous les départements du pays pour pouvoir suivre la réalisation des projets avec des matériaux locaux. Qu’est-ce qui fait problème ? Pourquoi les maîtres d’ouvrage et maîtres d’ouvrage délégués chargés d’attribuer les marchés publics n’incluent-ils pas dans les DAO l’utilisation des matériaux locaux par les adjudicataires ? Les capacités de production actuelles de ces matériaux peuvent-elles satisfaire la forte demande observée chez les particuliers ? Y a-t-il une main d’œuvre bien formée pour construire en matériaux locaux ? Quelles sont les nouvelles perspectives ouvertes par l’inauguration, le 28 avril dernier à Nkolbisson, Yaoundé, d’une usine semi-industrielle de production des briques cuites capable de mettre sur le marché jusqu’à 5 millions de briques par an ?
Source Cameroun Tribune par Rousseau-Joël FOUTE

18/05/2012

VM Materiaux : activité en repli au 1er trimestre


VM Matériaux enregistre pour les trois premiers mois de l’exercice 2012 un chiffre d’affaires de 163,7 M€ contre 171,3 M€ un an plus tôt, soit un repli de 4,5 % par rapport à la même période de l’exercice 2011.
Au terme de ce 1er trimestre, l’activité du Groupe est en repli de 4,5 % par rapport à la même période de l’exercice 2011 (-6,6 % à périmètre constant) en raison de plusieurs facteurs conjoncturels et climatiques.
Ainsi, au cours de ce 1er trimestre 2012 le secteur de la construction enregistre une baisse de 11% des mises en chantier de logements par rapport à la même période en 2011. Les activités Béton et Négoce, malgré des performances intéressantes en janvier, font ressortir une baisse de leur CA (respectivement -3,3 % et -4,2 % à périmètre courant) en raison de conditions climatiques rigoureuses en février.
Celles-ci ont entraîné l’arrêt total durant une dizaine de jours des activités de gros oeuvre sur les chantiers ainsi que la fermeture de l’ensemble des centrales à béton et de certains outils de production. Enfin, la menuiserie industrielle, spécialisée sur le marché de la rénovation, marque un repli de 12,4% en raison de la réduction des incitations fiscales sur ce segment.

Développement et perspectives
Après un 1er trimestre en retrait, le Groupe reste confiant dans ses fondamentaux et poursuit son développement avec une prise de participation complémentaire au sein de la société Havraise de Matériaux (HM Matériaux) en janvier 2012.
HM Matériaux a réalisé en 2011 un chiffre d’affaires de 33,9 M€ et était jusqu’à présent consolidée par intégration proportionnelle. Elle est désormais intégrée à 100% dans l’exploitation du Groupe.

Par ailleurs, VM Matériaux, dans le cadre de son activité menuiserie industrielle (Atlantem), a annoncé dernièrement le renforcement de son implantation au Canada avec l’acquisition de la société québécoise Fene-Tech, fabricant de portes et de menuiseries bois, PVC et hybride.

Cette acquisition, qui sera intégrée dans les comptes à partir du 1er avril 2012, s’inscrit pleinement dans sa stratégie de développement à l’international, déjà présent dans des activités de négoce dans les départements d’outre-mer.
Source : batirama.com

17/05/2012

La tuile au service de l’architecture


La fédération des tuiles et briques et le réseau des maisons de l’architecture viennent de signer un partenariat afin d’améliorer la réflexion autour de la culture architecturale.

« Notre objectif commun est de développer des échanges multiples, constructifs et fructueux autour de l’urbanisation, de l’évolution de l’habitat et du développement architectural », a expliqué, dans un communiqué, Benoît Hennaut, responsable de ce projet de partenariat à la Fédération des tuiles et briques et président du GIE Tuile Terre Cuite.

Le rapprochement des industriels de la FFTB avec les 35 maisons de l’architecture, via le réseau des maisons de l’architecture (RMA), vise à réfléchir sur le thème de la culture architecturale et de sa transmission vers tous les publics. L’autre objectif est de favoriser l’amélioration des produits de construction que constitue notamment la terre cuite.

L’ouverture du Centre technique des matériaux naturels de construction (CTMNC), le 4 mai dernier, a été la première action concrète de ce partenariat. Tous les laboratoires du centre ont été ouverts et en fonctionnement, y compris la soufflerie Moby Dyck II, dont les caractéristiques techniques permettent de reproduire des intempéries comme pluies et vents et de tester la résistance des matériaux face à ces agressions. « C’est une porte d’entrée avant de nouvelles actions communes, s’est félicité Cloud de Grandpré, président du RMA. Avec ce partenariat, nous souhaitons d’une part enrichir la formation technique afin de mieux appréhender les questions environnementales, et d’autre part développer les échanges entre nos professions, en y associant les écoles d’architecture, ainsi que les enseignants. »

Prochaine étape de cette nouvelle collaboration : la participation de la FFTB – le contenu reste à découvrir prochainement – aux premières 24 heures d’architecture, qui se dérouleront à Strasbourg, les 19 et 20 octobre 2012.
Source Batiactu

Claude Bernard-Chabrier, Directeur des projets et du développement industriel de Terreal


A l'origine, spécialiste de la fabrication de produits de construction en terre cuite, Terreal est devenu un leader sur le marché de l'enveloppe des bâtiments : toiture, structure et façade. 25 sites industriels dont 16 en France, 2700 collaborateurs dont 1900 en France. Le siège est à Suresnes (92), 3 sites de production en Charente.

Sur quelles compétences pensez-vous que Germe impacte le plus les managers ?
La qualité d'écoute et la prise en compte des différences pour mieux assurer la cohérence de la direction d'entreprise. Cela permet au manager de bien mieux comprendre les enjeux de son entreprise et de faire le lien entre sa direction et ses collaborateurs. C'est aussi un bon moyen d'élargir sa culture générale grâce à des thèmes qui sortent du quotidien et traités par de vrais experts.

Quelle est votre vision du manager de 2015 ?
Dans un monde qui bouge très vite, avec des frontières qui explosent, avec un périmètre de l'entreprise appelé à bouger régulièrement, avec des personnes qui elles aussi sont appelées à changer souvent, le manager devra être adaptable, imaginatif, curieux... et particulièrement tenace !


Savoir prendre des risques, de L'ENSMA à TBF
« Même si je voyage à l’autre bout du monde sans aucun problème, je suis très attaché à mes racines, je souhaitais donc rester dans la région », explique Claude-Bernard Chabrier, directeur technique de TBF (Tuilerie briqueterie française) à Roumazières-Loubert en Charente, son département natal. Après s’être posé la question de savoir dans quel type d’activité il aurait le plus de chance de trouver du travail dans le Sud-Ouest, Claude-Bernard Chabrier a choisi la mécanique. «Depuis mon plus jeune âge, je voulais être ingénieur mais je ne savais pas dans quel domaine. A l’époque, on parlait d’industrie, de technologie, et l’ingénieur était quelqu’un qui pouvait créer quelque chose.» Après une maîtrise à l’université dans ce domaine, il se dirige vers l’Ensma, l’une des écoles qui acceptaient de prendre des élèves avec un diplôme d’université. En troisième année, il s’est spécialisé dans les matériaux et l’automatisme, «une formation qui m’a énormément servi lorsqu’à TBF on m’a confié la partie concernant le moulage». Claude-Bernard Chabrier sort de l’Ensma en 1978.« A cette époque, les jeunes ingénieurs n’avaient pas de problème pour trouver du travail. J’ai envoyé des CV un peu partout et en particulier à Michel Maury- Laribière qui était président de l’Union patronale de la Charente et patron de TBF. Lorsqu’il m’a proposé de travailler dans son entreprise, je me suis d’abord demandé ce que je pourrais y faire. Mais après avoir visité l’usine équipée d’automates programmables, j’ai été tout de suite séduit et, vingt ans après, je suis toujours là.» Après avoir gravi tous les échelons, Claude-Bernard Chabrier est aujourd’hui chargé de la direction technique. Il y a trois ans, on lui a demandé de monter une usine en Malaisie. « J’ai pris ma valise et je suis parti.» Une décision que peu de jeunes ingénieurs semblent prêts à prendre puisque la majorité d’entre eux refusent de quitter leur pays. C’est néanmoins un jeune diplômé de l’Ensma, recruté par Claude-Bernard Chabrier qui avait apprécié son travail effectué lors d’un premier stage au sein de TBF
, qui, depuis deux ans, suit la construction de l’usine en Malaisie.« Le diplôme d’ingénieur est une base solide sur laquelle on peut s’appuyer. L’Ecole nous donne la capacité d’apprendre. A la sortie, il faut notamment s’habituer à assumer des responsabilités.» Selon Claude-Bernard Chabrier, contrairement à un grand groupe où la hiérarchie pèse lourd, une petite entreprise permet de «s’exprimer totalement, même si c’est également plus risqué .
Un ingénieur doit d’abord être un fonceur qui doit savoir prendre des décisions, trouver des solutions et donner l’occasion aux autres de s’épanouir .»

Resource efficiency in the clay brick and tile industry – a brilliant contribution to securing the future supply of raw materials


In response to the global shortage of raw materials, the ­German government has issued a national resource efficiency programme. The extraction of raw materials is to be severely restricted. Conversely, resource efficiency is to be increased by means of recycling. Against this background, the talk begins by taking the famous broader view beyond the horizon. What is the situation with resource efficiency in other parts of the world?

Irrespective of any ranking, one thing is certain: bricks have been made from clay for over 6 000 years and clay is a fossil resource. Clay is formed by weathering, erosion, transport and sedimentation over millions of years in geological periods. With a global clay consumption of around 430 mill. t per year, it is also clear that the reserves of clay are dwindling – it is only a question of time. At first glance it may seem that we do not need to worry about this too much, after all there is enough clay in Germany. But the impression is misleading. Really good clay is already scarce today. In respect of regional raw material reserves, a crucial factor is that the best, that is the surface-near clays have already been exhausted by the brickworks. The extent to which the clay brick and tile industry has been affected is consequently documented by the rising volume of externally supplied clays and the strong dependence on nationally operating clay suppliers.

What could recycling solutions look like? What other possibilities are there to reduce the consumption of natural resources while maintaining the same economic performance? ­According to current research projects, the use of finely ground broken bricks presents one technically feasible option.

In the paper, supplementing the above option, another approach is presented. This concerns the exploitation of alternative clay potential produced in mineral washing of non-metallic minerals. The potential volume of material is so huge that the entire amount could not even be absorbed by the clay brick and tile industry. A study of the Deutsche Roh­stoffagentur (DERA – German Mineral Resources Agency) in 2010 showed that a large part of this washing sludge is potentially suitable for use in the clay brick and tile industry. The grain size ranges of these substances fit almost perfectly into the grain size range of common brick bodies. And the mineral composition does not look too bad either, so that use of these materials appears possible in the production of both clay masonry bricks and roofing tiles.

But here too there is a limiting factor: more than 90% of the washing sludge is currently landfilled and can therefore not be used in the clay brick and tile industry. Less than 10% of the washing slurries are dewatered on filter presses so that they could be used in the form of filter cake. What we urgently need therefore are filter presses instead of sludge landfills. It is important: the filter presses must be in the vicinity of the brickworks. After all resource efficiency should not be bought with bulk transport.

Suddenly a potential of regionally available raw materials is opened up, of which we had no longer dared to dream. That really would be a brilliant contribution to the assured supply of raw materials.

EurGeol Dr. Lutz Krakow, ClayServer GmbH, Ostercappeln-Venne, Germany

16/05/2012

La FFTB organise, en partenariat avec le Réseau des Maisons d'Architectes (RMA), le 1er Grand Prix de la Tuile Terre Cuite Architendance.


Les modalités
Ce concours est ouvert à tous les architectes inscrits à l'ordre exerçant une activité indépendante ou en agence, domiciliés en France métropolitaine.
Le Grand Prix 2012 met en compétition des projets ou réalisations de moins de 3 ans utilisant des  tuiles terre cuite en couverture ou des tuiles terre cuite en couverture et en façade.

Les catégories
Le Grand Prix 2012 concerne 3 catégories de projets ou de réalisations :
• L' habitat Collectif         
• Le logement individuel          
• Les bâtiments tertaires

Les dotations
Deux prix seront descernés dans chacune de ces catégories rapportant respectivement aux vainqueurs 2 500 € pour le 1er et 1 500 € pour le 2nd.
Un Grand Prix sera également remis rapportant un prix de 3 000 €.        

Le Jury
Le jury sera présidé par un architecte membre du RMA et sera composé :
    * d'un représentant des industriels de la tuile terre cuite,
    * d’un journaliste spécialisé en architecture,
    * d'un enseignant dans une école d’architecture.

La remise des récompenses du Grand Prix aura lieu le 19 octobre 2012 à Strasbourg à l'ocasion de la soirée des palmarès des "24h de l'architecture" organisées par le RMA.         
Agenda
           
4 Mai 2012                  Ouverture des inscriptions au Grand Prix
31 Juillet 2012             Clôture des inscriptions au Grand Prix
31 Août 2012             Remise des dossiers de participation
Septembre 2012    Réunion et délibération du jury
15 Octobre 2012    Remise des prix à l'occasion de la soirée des 24 heures de l'architecture.

INSCRIVEZ-VOUS AVANT LE 31 JUILLET
Source La tuile terre cuite .com

CERIC Technologies expose à Carthage 2012


14 entreprises françaises exposeront au salon  professionnel de la construction et du bâtiment Carthage 2012,  du 16 au 20 Mai au Hall 2 à la foire El Kram. Des sociétés de constructions, des négociateurs de matériels de construction, des professionnels de l’aménagement et de la décoration, des industriels de l’aluminium, des experts en solutions énergétiques innovantes, présenteront leurs meilleures offres sur un espace de 200 m2. 

Le pavillon France est présent pour la 2ème fois consécutive au salon Carthage, l’opération est  organisée par CLASSE EXPORT et soutenue par le ministère délégué au commerce extérieur ( France).

 Le pavillon groupera cette année les sociétés françaises suivantes :
• WEDI : Négoce de matériel de construction      
• ER2I : Ingénierie de la construction          
• RHONE PLACAGE : Négoce de bois et fabrication de panneaux plaques
• AIRSOLAIRE : Vente et installation de solution d’énergie renouvelable, création et protection de l’énergie. Particuliers - professionnels.      
• GASCOGNE WOOD : Industrie de l'aménagement et de la décoration de l'habitat avec éléments bois (intérieur, extérieur et construction)      
• HYDROCALADE : Fabrication et négoce flexibles hydrauliques et accessoires divers hydrauliques.
• GUILLET : Fabrication d’outillage      
• DELTAMAT : Vente de Matériel de Carrière      
• DANI ALU : Conception, fabrication et commercialisation d’éléments de construction en aluminium
• CERIC TECHNOLOGIE : leader mondial en solutions et services destinés à la production des matériaux de construction en Terre Cuite
• ECOGAM : Création, développement, et commercialisation d’alternatives écologiques, équipement du foyer      
• PROFILMAR : Fabrication de portes et fenêtres en métal
• SMI : Transformation et commercialisation des matériaux isolants pour applications industrielles.
• AHEA : Editeur de logiciels pour l’ingénierie du bâtiment – Gamme des logiciels IAO pour la gestion des pièces écrites, pour Architectes, économistes de la construction, bureaux d’études.
   
Des rencontres acheteurs  entre opérateurs français et leurs homologues tunisiens, seront organisées en marge du salon afin de générer des partenariats gagnants-gagnants.
Un appel à partenariat est lancé du côté français, dans l’attente de réponse  du côté tunisien afin de saisir l’opportunité de faire naître une alliance sérieuse et solide et un vrai business dans le secteur de la construction et du bâtiment.

Immobilier neuf : Promoteurs et constructeurs tirent la sonnette d'alarme


Face à la dégradation de leurs marchés respectifs, la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) et l’Union des maisons françaises (UMF) ont décidé de faire front commun. Jeudi, pour la première fois, elles ont présenté en même temps leur bilan trimestriel, profitant de l’occasion pour rappeler au futur gouvernement l’urgence qu’il y a à « apporter une solution globale à la crise du logement ».
Une baisse qui ne fait que commencer

Sans surprise, les trois premiers mois de l’année se sont soldés par une accélération de la baisse des ventes de logements neufs, collectifs (-25 % dans toute la France, selon la FPI) comme individuels (-17 %, d’après l’UMF). Le mouvement touche l’ensemble du pays, même s’il est, pour l’heure, « plus marqué dans les marchés peu tendus que dans les zones tendues » du côté des promoteurs, et plus « particulièrement fort dans l’Ouest et le Languedoc-Roussillon » sur le segment des maisons individuelles.

L’aggravation constatée, là non plus pas de surprise, est due pour partie au « durcissement des conditions d’octroi de crédits par les banques depuis l’été 2011 », mais aussi à « la réduction drastique des dispositifs de soutien » - tant à l’investissement locatif (réduction de l’avantage fiscal offert par le dispositif Scellier) qu’à la l’accession à la propriété (reconfiguration du prêt à taux zéro, le PTZ+, maintenu dans le neuf mais avec des barèmes de remboursement moins avantageux). Pour ces mêmes raisons, mais aussi à cause des impératifs liés aux nouvelles normes de réglementation thermique et à la cherté du foncier, les professionnels ne cachent pas leur pessimisme pour les prochains mois. « A environnement inchangé », la FPI table sur un total de 75 000 à 80 000 ventes de logements neufs collectifs en 2012, au mieux, contre 103 000 l’année dernière – laquelle s’était déjà soldée par une chute de plus de 10 % des volumes de transaction. Le secteur retrouverait alors ses niveaux de l’année 2008, « qui avait déclenché le plan de relance », rappelle la fédération. Côté maisons, l’UMF prédit une année « particulièrement difficile », avec un volume compris entre 120 000 et 130 000 ventes, contre 148 500 en 2011. Le niveau atteint serait alors inférieur à celui de la crise de 2008/2009, « qui avait été jugulée dans le cadre du plan de relance avec le doublement du PTZ, qui avait dopé l’accession sociale ».
Pour une pérennisation des aides

Malgré ces appels du pied aux pouvoirs publics, les deux fédérations professionnelles ne demandent pas la lune. Dans un entretien aux Echos, le président de la FPI, Marc Pigeon, qui animait ce matin sa dernière conférence de presse, explique plaider non « pas pour plus d’aides, mais pour une pérennisation d’aides nécessaires » au bon fonctionnement du secteur. On retrouve l’argument, souvent avancé par les différents corps de métiers de l’immobilier, en faveur d’une plus grande stabilité dans les dispositifs en place. Christian Louis-Victor, qui préside l’UMF, note de son côté que « les mesures logement ont pâti au cours des dernières années de trop grandes variations, avec des aides pro-cycliques en 2007 […], des aides conjoncturelles fortes en 2009 [qui étaient elles], contra-cycliques […] et enfin des coupes drastiques dans le cadre de la loi de Finances pour 2012 », avec un budget ramené de 2,6 milliards à 820 millions d’euros.

Enfin, reprenant l’appel déjà lancé début avril avec l’ensemble des acteurs de la construction de logements et la Fondation Abbé Pierre, la FPI et l’UMF ont estimé que le prochain Premier ministre devrait nommer « un ministre de plein droit, en charge du Logement et de l’Aménagement du territoire », et non un secrétaire d’Etat au Logement, comme Benoist Apparu, rattaché au ministère, l’a été jusqu’à sa promotion récente.
Source LaVieImmo.com par Emmanuel Salbayre

Terre cuite Française des résultats contrastés en 2010



Les performances économiques 2010 des 4 plus grandes entreprises Françaises de production de matériaux terre cuite montrent  des écarts de performance importants 2 ans après le début du repli du marché:

Source Société.com

 Source FFTB

15/05/2012

Standard & Poors assigns Monier Group 'B-' long-term rating; outlook stable



-- Luxembourg-registered building materials manufacturer Monier Group has decided to postpone the launch of its proposed EUR250 million senior secured notes due to unfavorable market conditions.
-- We are affirming our 'B-' long-term rating on Monier.
-- We are withdrawing our 'B-' and 'B+' issue ratings on Monier's proposed senior secured notes and super senior revolving credit facility, respectively.
-- Our stable outlook reflects our view of the group's current 'adequate' liquidity position, independent of the proposed bond refinancing.

Rating Action
On May 15, 2012, Standard & Poor's Ratings Services affirmed its 'B-' long-term corporate credit rating on Luxembourg-registered building materials manufacturer Monier Group (Monier). We also affirmed our 'B+' issue rating on the group's existing super senior revolving credit facility (RCF) of EUR150 million and 'B-' issue rating on the EUR650 million senior financing agreement (EUR683 million currently outstanding).
Following Monier's announced decision to postpone its bond placement, we have withdrawn our 'B-' issue rating on the proposed EUR250 million senior secured notes due 2019, which were to be issued by Monier Bond Finance & Co S.C.A. (Monier Bond Finance; not rated), an orphan special-purpose vehicle (SPV). We also withdrew our 'B+' issue rating on the proposed EUR150 million super senior RCF due 2017.

Rationale
The affirmation reflects our view that Monier's liquidity continues to be adequate under our criteria, despite the postponement of the proposed bond placement. This is because the company has no debt maturities over the next two years. Monier's liquidity is also supported by its substantial cash balance, which we consider to be more than sufficient to meet the operating cash needs of the business.

The ratings on Monier reflect our view of the group's 'highly leveraged' financial risk profile and 'fair' business risk profile. In our opinion, the main constraint on the ratings is the group's heavy debt burden. Standard & Poor's-adjusted total debt for Monier stood at EUR1.7 billion at year-end 2011.

Monier's year-end 2011 adjusted debt included:
-- EUR505 million of senior reinstated debt (net of surplus cash of EUR176 million);
-- EUR335 million of a purchaser's loan and EUR10 million of second-lien warrants, issued by Monier Holdings S.C.A. (not rated);
-- EUR594.1 million of Mandatorily Convertible Preference Equity Certificates (MCPECs), which we treat as debt under our criteria;
-- EUR285 million of debt adjustments, on our estimates, relating to operating leases and post-retirement pension obligations; and
-- EUR17 million of adjustments relating to finance leases, derivatives, local loans, and site restoration obligations.

For the financial year ended Dec. 31, 2011, we calculate the group's adjusted funds from operations (FFO) to debt to be about 5.8% (12.5% excluding the MCPECs and the purchaser's loan) and adjusted debt to EBITDA to be about 12.1x (5.6x excluding MCPECs and the purchaser's loan).In our view, continued difficult trading conditions in many of the markets in which Monier is active do not allow for significant organic deleveraging. Our base-case sector and issuer forecasts estimate a broadly flat performance in 2012.

Our assessment of Monier's 'fair' business risk profile includes our view of the industry's highly cyclical and capital-intensive nature, as well as the group's exposure to volatile input costs and significant exposure to the early-cyclical, and still-depressed residential end markets. In part, this is offset by Monier's solid market positions, a degree of product innovation, fair geographic diversity within Europe, and several credit-positive features of the industry. These features include a large share of renovation-led demand, high barriers to entry, the local nature of markets, and moderate substitution risks.

Monier's lenders assumed ownership of the business in 2009, when the group's debt was restructured. Since 2009, we understand the private equity groups Apollo Management International LLP, TowerBrook Capital Partners L.P, and York Capital Management, LLC (together ATY) have launched an offer to increase their stake to gain majority ownership. In line with our approach for other issuers owned by private equity investors, we assess Monier's financial policy as 'aggressive.'

Monier manufactures roofing tiles and related components and chimneys, which it mainly sells through builders' merchants. The company focuses primarily on the European and Asian markets, with 130 production sites in 33 countries. While Monier is exposed to the cyclical residential construction industry, it has substantial revenues (50%) from the renovation sector, which we view as being comparatively more stable.



Liquidity

We view Monier's liquidity as 'adequate' under our criteria. Reported cash on hand at end-December 2011 was EUR233 million, of which we believe about EUR50 million is required for operations and an additional EUR8 million is restricted. Monier currently has an undrawn EUR150 million super senior RCF, including EUR45 million maturing in 2012 and EUR105 million maturing in 2014.

Considering these sources along with positive FFO in financial 2012, we believe that Monier's liquidity sources can comfortably cover estimated cash uses by more than 1.5x, in the absence of any significant short-term financial maturities. Cash uses include capital expenditure, working capital movements, and potential moderate bolt-on acquisitions.

Monier currently has EUR683 million in senior reinstated debt outstanding, which matures in April 2015.

Monier's existing senior facilities have financial maintenance covenants prescribing, among other measures, maximum net debt to EBITDA and minimum EBITDA cash interest coverage. We calculate that Monier will have sufficient headroom under these covenants over the next 12 months.

Recovery analysis

The issue rating on Monier's EUR150 million existing super senior RCF is 'B+', two notches above the corporate credit rating (CCR). The recovery rating on this RCF is '1', reflecting our expectation of very high (90%-100%) recovery in the event of a payment default.

The issue rating on the EUR650 million reinstated senior facilities (of which EUR683 million currently outstanding) is 'B-', in line with the CCR on Monier. The recovery rating on these facilities is '4', reflecting our expectation of average (30%-50%) recovery in the event of a payment default.

We base our recovery prospects on our valuation of Monier as a going concern, underpinned by the value of its assets. We factor in a comprehensive asset security package available to the super senior and senior secured lenders. We believe that recovery prospects could be limited by the multijurisdictional exposure of the business.

The super senior RCF and the senior secured facilities share the same security package. Security is provided over the assets and share pledges of the entities generating at least 85% of EBITDA and total assets. Super senior lenders have a priority claim on enforcement (as per the intercreditor agreement in place).

Monier's assets are located in multiple countries, which in our view could lead to cross-jurisdictional issues and legal restrictions negatively affecting the ultimate value available for creditors in the event of reorganization. We assume that Monier's center of main interests is Germany, which accounted for about 25% of consolidated sales and EBITDA in full-year 2011.

To calculate recoveries, we simulate a hypothetical payment default scenario. We assume a combination of the following:
-- Modest performance in Germany and other Western European countries (Western Europe contributes 68% of revenues), with limited growth in Eastern Europe;
-- The group's weakened ability to pass on cost increases, such as for cement and energy, to its customers on account of flat-to-modest demand in most markets; and
-- The super senior RCF that is fully available on the path to default.

In our opinion, this scenario would lead to significant margin erosion, namely with an EBITDA margin of just less than 9% in the hypothetical year of default, which under these assumptions, we forecast to be 2015, triggered by the company's inability to refinance its EUR683 million reinstated debt.

Our valuation of the business as a going concern is supported by Monier's strong market positions, well-established brands, and geographic diversity, and is underpinned by the value of its total assets.

At the hypothetical point of default, the stressed enterprise value would be about EUR550 million and reduced by priority obligations of an estimated EUR80 million. These obligations comprise enforcement costs, as well as a proportion of unfunded pension liabilities, and the structurally senior bank debt of Monier's subsidiaries. We also assume that the super senior RCF will be used on the path to default. After deducting all these priority claims, we believe that the super senior lenders would recover 90%-100% of the principal and prepetition interest, with lenders of the senior secured reinstated debt achieving recoveries in the 30%-50% range.

Outlook
The stable outlook reflects our view of Monier's 'adequate' liquidity profile, independent of the previously proposed refinancing and its highly leveraged credit
Source London South East

La tuilerie de Blajan en danger


Ils tiennent à leurs emplois, à leur savoir -faire, à leur entreprise. Les 132 salariés de la tuilerie Imerys TC de Blajan sont venus le dire au siège national de la holding, à Paris, rue de l'Université qui ne s'attendait pas à une telle détermination. Ce fut, en tout cas, l'occasion pour le directeur des ressources humaines du groupe, Bernard Vilain, de mesurer l'attachement de ces hommes et de ces femmes au travail de qualité qu'ils fournissent, certains depuis 35 ans et la parfaite connaissance qu'ils ont du marché et des possibilités de leur site qu'Imerys veut délocaliser à Saint-Geours d'Auribat dans les Landes.

Leur maire, Jean-Bernard Castex, qui vit, lui, de l'agriculture, s'était joint au groupe. « Le départ de la tuilerie c'est la mort de Blajan, 450 habitants. Nous avons créé une épicerie multiservices, une agence communale postale, un café qui commence à faire restauration. Ils n'auront plus de clients ».

Ce qui le met plus en colère encore c'est que l'an passé il a facilité l'ouverture d'une autre carrière sur la commune pour alimenter l'usine. Il n'exclut pas des recours administratifs.

Les salariés conscients qu'ils ne produisent que des tuiles romanes, mettent en avant le peu de compétitivité des commerciaux qui ont perdu des parts de marché et l'absence d'investissements depuis des années sur leur site. Ils auraient permis et pourraient permettre une diversification de la production.

Au bout de deux heures d'entretien, les deux parties ont campé sur leur position.
Source La Dépêche par F.C.

Wienerberger présente le nouvel écran réfléchissant de la gamme KoraTech® spécial RT 2012


La gamme KoraTech® de KORAMIC, une marque du Groupe Wienerberger, 1er tuilier européen, se complète aujourd'hui avec l'arrivée d'un nouvel écran réfléchissant, le RF 180-AD, spécialement développé pour les exigences d'économies d'énergie dictées par la RT 2012.

Cet écran de sous-toiture HPV (hautement perméable à la vapeur d'eau) proposé par Koramic répond aux attentes des maîtres d'œuvre et couvreurs car cette nouvelle solution efficace et facile à mettre en œuvre minimise la consommation d'énergie de l'habitat et prône l'efficience énergétique et le confort d'été.

Classé E1Sd1TR3 selon le CSTB (homologation en cours), avec entraxe sur chevron maximal de 90 cm, le RF 180-AD affiche des performances d'émissivité de 0,38 ; soit 62% de réflexion thermique ! Il se positionne en allié incontournable de l'étanchéité à l'air des bâtiments, une vraie barrière en hiver pour conserver la chaleur à l'intérieur et, en été, pour la renvoyer à l'extérieur, contribuant ainsi au confort d'été.

Cet écran permet d'accéder aux pentes minimales, tout en protégeant les locaux sous-jacents contre les infiltrations d'eau accidentelles, la pénétration de neige poudreuse ou encore les entrées dans les combles d'animaux, sable, gros insectes...

Pré-équipé d'une bande adhésive double, pour le collage des lés et le renforcement de l'étanchéité à l'air, cet écran contribue à l'amélioration des qualités thermiques des isolants de combles puisqu'il empêche le vent de pénétrer dans l'isolant.

Cet écran de sous-toiture HPV réfléchissant, simple et facile à mettre en œuvre en pose directe sur isolant, se présente en rouleaux de 1,5 x 50 mètres (poids de 14 kg). Notons enfin que KoraTech® RF 180-AD affiche une résistance mécanique R3 et se complète de nouveaux accessoires pour assurer une étanchéité à l'air optimale.

14/05/2012

Les acteurs de la terre cuite protègent leur propriété intellectuelle

Vous trouverez ci-dessous la liste des principales demandes de brevet déposées par les industriels de la terre cuite depuis 2009:

Demandeur : Description Référence




1 IMERYS TC CONDUIT DE FUMEE EN TERRE CUITE AVEC DISPOSITIF DE FIXATION DU TUBE D'EVACUATION DE FUMEE FR2955342 (A1)
2 IMERYS TC ELEMENT D'ETANCHEITE POUR CHASSIS DE PANNEAUX ET SYSTEME CORRESPONDANT FR2923236 (A1)
3 IMERYS TC COMPOSITION DE MOUSSE DE CHAUX POUR ISOLATION THERMIQUE FR2927623 (A1)
4 IMERYS TC STRUCTURE DE CLOISON, NOTAMMENT DE CLOISON DE DOUBLAGE FR2946675 (A1)
5 IMERYS TC PROCEDE DE REALISATION D'UN ETAT DE SURFACE VIEILLI ET DESTRUCTURE FR2946277 (A1)
6 IMERYS TC STRUCTURE COMPORTANT UNE PREMIERE ET UNE SECONDE PAROIS SENSIBLEMENT VERTICALES, ECARTEES L'UNE DE L'AUTRE FR2937986 (A1)
7 IMERYS TC TUILE A EMBOITEMENT ET PROCEDE DE FABRICATION CORRESPONDANT FR2936264 (A1)
8 IMERYS TC STRUCTURE CONSTITUEE PAR L'ASSEMBLAGE D'AU MOINS DEUX ELEMENTS DE CONSTRUCTION FR2936263 (A1)
9 IMERYS TC ENSEMBLE COMPORTANT UNE PLANELLE FIXEE A UN ELEMENT SUPPORT, PAR EXEMPLE UN ELEMENT DE MACONNERIE FR2936266 (A1)
10 IMERYS TC DISPOSITIF DE SECHAGE D'UN PRODUIT EN CERAMIQUE,NOTAMMENT EN ARGILE FR2933174 (A1)
11 IMERYS TC STRUCTURE COMPORTANT UNE PREMIERE ET UNE SECONDE PAROIS ECARTEES L'UNE DE L'AUTRE FR2931178 (B1)
12 IMERYS TC FOUR TUNNEL FR2928447 (A1)
13 IMERYS TC PROCEDE DE REALISATION D'UNE TOITURE ET ELEMENT DE MESURE CORRESPONDANT FR2927918 (A1)
14 IMERYS TC BRULEUR, NOTAMMENT POUR FOUR DE CUISSON DE PRODUITS EN CERAMIQUE ET INSTALLATION CORRESPONDANTE. FR2926872 (A1)
15 IMERYS TC TUILE DE SURFACE CORRESPONDANT A PLUSIEURS FOIS LA SURFACE D'UNE TUILE STANDARD FR2923235 (A1)
16 IMERYS TC PLAFOND SUSPENDU FR2920798 (A1)
17 IMERYS TC ENTREVOUS LEGER A PAROI MINCE. FR2919317 (A1)
18 IMERYS TC ELEMENT DE CONSTRUCTION PREFABRIQUE FR2919319 (A1)




1 MONIER  TUILE POUR UNE SORTIE DE TOIT FR2927917 (A1)
2 MONIER PROCÉDÉ ET DISPOSITIF DE FABRICATION D'UN CORPS EN BÉTON EP2429788 (A1)
3 MONIER DISPOSITIF DE FIXATION DE TUILES DE FAITAGE EP2317024 (A1)
4 MONIER PROCÉDÉ ET DISPOSITIF PERMETTANT LA FABRICATION DE TUILES EP2197640 (A2)
5 MONIER BANDE DE REVÊTEMENT INFÉRIEURE EP2227388 (A1)
6 MONIER DISPOSITIF DE VENTILATION, NOTAMMENT POUR TOITS PENTUS EP2152982 (A1)
7 MONIER DISPOSITIF ET PROCÉDÉ DE FABRICATION D'UNE TUILE DOTÉE D'AU MOINS UNE BARRIÈRE À L'EAU EP2066484 (A1)
8 MONIER PROCÉDÉ AMÉLIORÉ POUR LA FABRICATION D'UN TUILE EN BÉTON ET MOULE RIGIDE POUR SA MISE EN OEUVRE EP2059374 (A1)
9 MONIER BANDE D'ÉTANCHÉITÉ DE FAÎTE WO2012041622 (A1)
10 MONIER BANDE DE BORDURE DE TOIT ENROULABLE COMPORTANT DEUX PARTIES WO2012041612 (A1)
11 MONIER PROCÉDÉ ET DISPOSITIF PERMETTANT LA FABRICATION DE TUILES WO2009034085 (A2)
12 MONIER BANDE DE SOUBASSEMENT DE TOIT DOTÉE DE COUCHES ADHÉSIVES MAGNÉTISÉES WO2011045197 (A1)
13 MONIER TUILE FAÎTIÈRE POURVUE D'UN PASSAGE WO2011036170 (A1)
14 MONIER PROCÉDÉ ET DISPOSITIF DE FABRICATION D'UN CORPS EN BÉTON WO2010130551 (A1)
15 MONIER APPAREIL ET PROCÉDÉ POUR PRODUIRE DES DALLES WO2009109082 (A1)
16 MONIER BANDE DE REVÊTEMENT INFÉRIEURE WO2009071418 (A1)




1 KORAMIC UTILISATION D'UN COMPOSE PHOSPHATE ET/OU PHOSPHONATE DANS UNE COMPOSITION D'ARGILES POUR PREVENIR OU LIMITER LA FORMATION DES EFFLORESCENCES SULFATEES FR2918056 (A1)
2 WIENERBERGER BLOC DE PAREMENT ISOLANT FR2966856 (A1)
3 WIENERBERGER TUILE ACCESSOIRE DE DERNIERE RANGEE FR2943703 (A1)
4 WIENERBERGER BLOC DE CONSTRUCTION A RANGEES D'ALVEOLES DEBOUCHANTES MULTIPLES FR2946065 (A1)
5 WIENERBERGER PALIER INSONORISANT POUR UN MUR CONSTRUIT DE CETTE FACON ET PROCEDE DE FABRICATION D'UN MUR EP2412881 (A1)




1 ERLUS COMPOSITE EN FIBRES DURCI PAR UNE REACTION CHIMIQUE EP2103578 (A2)
2 ERLUS TUILE DE RIVE EP2431548 (A2)
3 ERLUS AGENCEMENT D'ELEMENTS DE RECOUVREMENT DE TOIY UNE SOUS CONSTRUCTION DE TOIT EP2348167 (A2)
4 ERLUS CORPS DE FORMAGE D'UN REVETEMENT DE SURFACE PHOTOCATALYTIQUE ACTIF PURIFIANT L'AIR ET TRANSPARENT AINSI QUE SON PROCEDE DE FABRICATION EP2072118 (A2)
5 ERLUS CHEMINEE DOTEE D'UNE CONDUITE DE FUMEES EP2148136 (A1)




1 MOEDING TUILE EXTRUDEE, COUVERTURE DE TOIT ET PROCEDE DE FABRICATION D'UNE TUILE FR2940990 (A1)
2 MOEDING STRUCTURE EN PLAQUE SUSPENDUE WO2009019030 (A1)
3 MOEDING STRUCTURE DE FACADES EP2186966 (A2)




1 NELSKAMP COUVERTURE DE TOIT ET TUILE POUR COUVERTURE DE TOIT EP2169137 (A2)
2 NELSKAMP TULE NOTAMMENT TUILE DE TOIT EP2159850 (A1)
3 NELSKAMP DISPOSITIF DE SECURITE DESTINE A SECURISER DES ELEMENTS DE COUVERTURE POUR TOITS ET FACADES EP2161388 (A2)




1 TERREAL DISPOSITIF D'INTEGRATION DE PANNEAU SOLAIRE SUR UN TOIT, EN PARTICULIER POUR DU SOLAIRE PHOTOVOLTAIQUE. FR2918397 (A1)
2 TERREAL DISPOSITIF D'INTEGRATION DE PANNEAU SOLAIRE SUR UN TOIT FR2920800 (A1)
3 TERREAL TERMINAL DE SORTIE DE TOIT FR2957951 (A1)




1 CREATON DISPOSITIF POUR LA FIXATION D'ELEMENTS DE FACADE ET ELEMENT DE FACADE EP2404011 (A1)
2 CREATON DISPOSITIF POUR LA FIXATION D'ÉLÉMENTS DE FAÇADE ET ÉLÉMENT DE FAÇADE WO2010099848 (A1)




1 BOUYER LEROUX BLOC DE CONSTRUCTION ET STRUCTURE DE MUR OBTENUE PAR L'ASSEMBLAGE DE TELS BLOCS DE CONSTRUCTION FR2963368 (A1)

Terreal historique des restructurations juridiques


Les évolutions dans la structure des capitaux des sociétés nécessitent des véhicules juridiques différents. C’est ainsi que la création de nouvelles sociétés ou leur dissolution accompagnent les changements d’actionnaires où les changements dans les structures financières.
L’entreprise Terreal n’a pas échappé à la règle ces 10 dernières années.

La liste ci-dessous reprend les principales transformations de la structure juridique du groupe :

CLAY TILES FINANCING S.à.R.L. Luxembourg                Immatriculation            16-10-2002

CLAY TILES INVESTMENT S.à.R.L. Luxembourg             Immatriculation            16-10-2002

Cession par Saint Gobain à Carlyle et Eurazeo                                                            02-09-2003

Clay Tiles Management S.A. Luxembourg                               Immatriculation            03-10-2003

Clay Tiles Sponsors S.àr.l. Luxembourg                                  Immatriculation            03-10-2003

 

 

TERREAL INVESTISSEMENTS France                              Immatriculation            22-12-2004

TERREAL PARTICIPATIONS France                                  Immatriculation            22-12-2004

Cession par Carlyle et Eurazeo à LBO France                                                            01-08-2005

CLAY TILES FINANCING S.à.R.L. Luxembourg                Dissolution                   02-01-2006

Clay Tiles Sponsors S.àr.l. Luxembourg                                  Dissolution                   23-05-2006

Clay Tiles Management S.A. Luxembourg                               Dissolution                   23-10-2006

CLAY TILES INVESTMENT S.à.R.L. Luxembourg             Dissolution                   08-02-2007

 

 

CLAY TILES PARTICIPATIONS S.à.R.L Luxembourg       Immatriculation            22-05- 2009

Restructuration de la dette                                                                                          03-12-2009

 

TERREAL ESPAÑA DE CERAMICAS SA Espagne            Immatriculation            01-07-2011

TERREAL SL Espagne                                                          Immatriculation            01-06-2011

TERREAL PTE. LTD. Singapour                                           Immatriculation            04-05-20011
TERREAL NORTH AMERICA, LLC USA                          Immatriculation            30-12-2011
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