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09/12/2017

La FFTB fournit 40 000 briques pour une exposition aux Beaux-Arts

La FFTB fournit 40 000 briques pour une exposition aux Beaux-ArtsPour célébrer ses 200 ans, l’Ecole des Beaux-Arts de Paris organise jusqu’au 22 décembre 2017, l’exposition « Per Kirkeby, sculptures en brique 1966-2016 ». A cette occasion, la Fédération Française Tuiles et Briques, a fourni près de 40 000 briques pleines pour la réalisation de 12 sculptures. Ce sont ainsi près de 100 tonnes de terre cuite qui ont été utilisées pour donner vie à ce projet « monumental ».

L’artiste danois, Per Kirkeby est à l’honneur d’une exposition organisée à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris à l’occasion des 200 ans de l’établissement. Baptisée « Per Kirkeby, sculptures en brique 1966-2016 », l’exposition présente 12 pièces en brique imaginées par l’artiste : une construction monumentale, un groupe de trois sculptures planes et un ensemble de huit stèles.

La Fédération Française de Tuiles & Briques a participé à ce projet « monumental » en fournissant 12 000 briques pleines, soit près de 100 tonnes de terre cuite.

« C’est la première fois qu’une exposition est dédiée aux sculptures en briques de Per Kirkeby et c’est une grande fierté pour nous d’avoir permis qu’une installation d’une telle envergure soit présenté au public », a déclaré le président de la FFTB, Pierre Jonnard.

Nouveaux usages pour la brique

« Ces œuvres mettent en valeur la terre cuite qui est un des plus anciens matériaux de construction de l’histoire humaine et qui a su innover pour continuer à inspirer les architectes, y compris dans des réalisations extrêmement contemporaines. Il est, de plus, ici magnifié par un artiste de renom », a poursuivi M. Jonnard.

« Il n’y a pas d’ouvrage ou d’œuvre réussies sans la rencontre singulière entre un matériau, un créateur et les savoir-faire des metteurs en œuvre. Peut-être est-ce ce qui fait aussi la réussite de ce projet, c’est la rencontre de passionnés de la terre cuite », a-t-il ajouté.

Il y a quelques semaines, la tuile terre cuite a lancé une campagne pour séduire un plus grand nombre d’architectes. C’est au tour aujourd’hui de la brique de s’ouvrir à un public plus large.

« Apporter du sens, s’ouvrir sur des expressions nouvelles, transmettre et partager avec le plus grand nombre la beauté de la terre cuite y compris dans des usages inhabituels pour nous… ce sont des valeurs partagées par nos entreprises », a conclu Pierre Jonnard.

Source Batiweb

08/12/2017

Filière minérale de construction : Pistes d’actions pour les pouvoirs publics

Des pistes d’actions à mener par la filière, ses membres et ses partenaires (entreprises, fédérations, pouvoirs publics) sont identifiées avec pour objectif de favoriser l’activité économique de la filière en France à horizon 2030. Dix-neuf pistes d’action sont présentées, dont une sélection est mise en avant dans cette synthèse.

Améliorer l’accès à la ressource minérale et maîtriser sa consommation
L’accès à la ressource minérale est un enjeu majeur de la filière, en particulier en cas de reprise économique. Les actions suivantes sont de nature à améliorer l’accès à la ressource :

  • améliorer l’acceptabilité sociale des carrières auprès des riverains ;
  • poursuivre et étendre les actions d’information envers le public ;
  • renforcer les démarches de concertation avec les riverains et les pouvoirs locaux, tout en limitant les
  • nuisances.

L’objectif est d’éviter le phénomène NIMBY12 en attirant l’attention sur l’intérêt des carrières pour l’activité économique locale, sur la qualité des pratiques d’exploitation et de remise en état et sur les efforts entrepris pour maîtriser les nuisances. Les entreprises doivent parallèlement faire évoluer leurs procédés et leurs produits pour consommer moins de matière première (éco-conception), pour substituer des matières vierges par des matières recyclées ou des matières alternatives et pour diminuer les pertes de matière en optimisant
l’exploitation du gisement.

Connaître et comprendre les impacts environnementaux, sociauxet économiques pour orienter l’innovation et valoriser les produits
La capacité de la filière à optimiser et à valoriser les performances environnementales, sociales et économiques de ses procédés et de ses produits est déterminante pour le maintien de sa compétitivité internationale et vis-à-vis des produits alternatifs. Il est dès lors nécessaire de pouvoir mesurer les impacts, dans des systèmes parfoiscomplexes (impact à la production des matériaux, à l’usage de l’ouvrage sur une longue durée de vie, à la fin devie) afin de comprendre leurs origines et de les diminuer en anticipant les évolutions réglementaires et celles dela concurrence.
Les impacts majeurs à prendre en compte sont les impacts environnementaux (type ACV), sociaux (emploi, sécurité, nuisances) et économiques (production, mise en œuvre, entretien) tout au long du cycle de vie de
l’ouvrage, en tenant compte de la durée de vie et de l’entretien. L’utilisation de la maquette numérique (Building Information Modelling) favorisera la diffusion de l’information sur les caractéristiques des produits et leurs pointsforts comparés à d’autres produits.

Valoriser les offres vertueuses sur le plan environnemental, socialet économique
L’évolution vers des produits et des ouvrages plus vertueux sur le plan environnemental, social et économiquedoit être valorisée par les pouvoirs publics à travers leurs critères de sélections des offres.

12 Cf. note 2. Pipame - Marché actuel et offre de la filière minérale de construction et évaluation à échéance 2030 - Synthèse 19

Faire connaître les possibilités d’aides à l’innovation, améliorer l’accès au marché et diminuer l’incertitude réglementaire pourdynamiser le processus d’innovation et d’investissement
Une évolution favorable de la filière à horizon 2030 passe par des efforts accrus de R & D et d’innovation, à la fois pour améliorer la valeur d’usage des produits et pour répondre aux enjeux environnementaux et sociaux.

Dynamiser l’innovation passe par une plus grande mise en valeur des possibilités déjà offertes d’aides à
l’innovation et par le maintien des centres techniques industriels (CTI).
Par ailleurs, réduire l’incertitude sur les
évolutions réglementaires et sur les procédures de reconnaissance des matériaux et techniques de construction innovants serait de nature à favoriser l’innovation et à stimuler l’investissement dans une industrie caractérisée par des longues durées d’amortissement.
Pipame - Marché actuel et offre de la filière minérale de construction et évaluation à échéance 2030 - Synthèse 20

Source Entreprises.gouv.fr

07/12/2017

Matériaux de construction: reprise de l'activité en 2017

L'activité des industries de carrières et de matériaux de construction a redémarré en 2017, avec une hausse attendue de 3% pour les granulats et de 5% pour le béton sur l'ensemble de l'année, ont indiqué vendredi les industriels du secteur.

L'Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (UNICEM) a par ailleurs tablé sur "une consolidation de l'activité en 2018", dans un communiqué.

De même source, "la reprise a été vigoureuse au cours de la première moitié de l'année avec une progression de 4,4% pour les granulats et 6% pour le béton prêt à l'emploi".

L'activité a par la suite marqué le pas au troisième trimestre, notamment dans les granulats. "Les volumes ont stagné par rapport au trimestre précédent bien qu'ils restent plus élevés sur un an".

Les données disponibles pour le 4ème trimestre "corrigent cette tendance et sur l'ensemble de l'année, la progression de l'activité devrait être un peu plus élevée que prévu".

Pour l'UNICEM, les indicateurs d'activité et les carnets de commande demeurent bien orientés dans le segment du bâtiment et des travaux publics, augurant d'une consolidation de l'activité des matériaux de construction en 2018.

L’hiver s’autorise à sortir de la grisaille et partage ses envies de douceur en harmonie sucrée et fleurie.
Grâce à cette "conjoncture plus favorable" des travaux publics en 2018, les volumes de granulats produits pourraient croître de 3,5% tandis que la croissance des livraisons de béton prêt à l'emploi pourrait se modérer à 4%, "en raison d'une dynamique constructive moins vigoureuse qu'en 2017", souligne l'association professionnelle.

Source Ouest France

BREVET IMERYS TC :PANNEAU DE COUVERTURE D’UN MUR COMPRENANT SUR SA FACE ARRIERE DEUX COTES SAILLANTS ET DEUX COTES CREUX

Panneau de couverture prévu pour être fixé verticalement sur une structure d'accrochage liée à un mur (10), comprenant une face avant (2) destinée à s'ajuster avec les faces avant d'autres panneaux pour former une surface extérieure de couverture du mur, la face avant étant rectangulaire, ce panneau comporte une face arrière de forme rectangulaire sensiblement identique, décalée latéralement dans les directions de deux côtés adjacents pour former sur chacun de ces côtés une languette (4), et sur chacun des deux autres côtés un creux latéral (16).


  • Signet FR3040184 (A1) 
  • Inventeur(s) MARTINAT ERIC [FR]; TAVERNIER LUC [FR]; DUBOST DANIEL [FR]; PRUDHOMME VINCENT [FR] +
  • Demandeur(s) IMERYS TC [FR] +
  • Numéro de demande FR20150057806 20150819 



06/12/2017

Le bâti sous pression de la thermique à Batimat

Afin de répondre aux exigences des réglementations sur l’isolation thermique du bâti, les industriels n’ont cessé d’améliorer solutions sans provoquer de rupture technologique.

De la première réglementation thermique de 1974 (RT 1974) qui imposait aux bâtiments neufs d’habitation une isolation des parois et une régulation des systèmes de chauffage à la RT 2012 et au bâtiment basse consommation qui obligent les habitations neuves à consommer au maximum 50 kWhep/m2/an, la consommation énergétique des constructions neuves a été divisée par 3.

Cette dernière impose également d’autres contraintes comme le contrôle de la perméabilité à l’air des habitations neuves et l’étanchéité des bâtiments. Elle a suscité une évolution technologique et industrielle significative pour toutes les filières du bâti et des produits courants voire aussi communs que le bloc béton ou la brique ont su se renouveler pour répondre aux nouveaux besoins.

Le label E+C-, lancé en novembre 2016 et préfigurant la future RT 2020 avec des bâtiments « bas carbone », constitue une nouvelle étape pour les industriels qui devront innover avec des produits à faible impact en CO2.

Trois évolutions majeures pour la brique


La brique a répondu à ces enjeux avec trois évolutions majeures : l’augmentation de sa résistance thermique intrinsèque (entre 1975 et 2010, elle a été multipliée par 3 pour les briques de 20 cm de large), l’amélioration du traitement des points singuliers avec le développement de solutions constructives globales et, pour les maçonneries rectifiées, l’apparition de la pose collée permettant de diminuer les ponts thermiques.

Les industriels ont innové avec une réflexion globale pour proposer un système constructif d’un bon rapport qualité prix.

Le Monomur à isolation répartie a aussi évolué avec l’intégration d’un isolant (laine minérale ou polyuréthane) dans ses alvéoles pour atteindre des lambdas plus élevés. Certains ne nécessitant pas d’isolation supplémentaire grâce à leur haute inertie thermique avec R = 5,51 m².K/W pour une brique d’épaisseur 42.

Enfin, le produit révolutionnaire du secteur est sans conteste le liant colle polyuréthane. Adapté exclusivement aux briques rectifiées, ce système génère un gain de temps certain sur chantier (pas de mortier ou de mortier-colle à préparer) et permet le montage par temps froid.

L’épaisseur des joints étant considérée comme négligeable, ce procédé permet de revendiquer des valeurs de résistance thermique au moins équivalentes à l’utilisation d’une pose à joint mince.


Le bloc béton a fait sa mue


Le fameux parpaing a aussi énormément évolué et, si l’objectif n’est pas de se passer d’isolation, il a fait des progrès en termes de résistance thermique intrinsèque avec notamment la naissance des blocs de granulats légers (ardoise expansée, schiste, de pouzzolane, pierre ponce) mais aussi de végétaux remplaçant une partie des granulats.

En contrepartie, ils offrent une résistance mécanique inférieure. Le dernier né est le bloc à base de miscanthus développé par Calcia et Alkern avec une résistance thermique de R=0.7 m2.k/W (contre 0.2 pour les blocs traditionnels). Ce développement s’inscrit dans la volonté globale de la filière d’intégrer des produits bio-sourcés mais également des déchets d’autres industries dans une logique d’économie circulaire.

L’adjonction d’un isolant polystyrène ou minéral dans les alvéoles offre un excellent compromis entre résistance thermique et mécanique, ces blocs pouvant atteindre une résistance thermique de 2,5 m2.K/W.

La tendance semble être au 100 % minéral avec le lancement récent de deux produits isolants à base cimentaire : Air’Bloc de Calcia et d’Airium de LafargeHolcim. Air’Bloc est un bloc rectifié, qui complété de l’isolant Air’Mousse, offre une résistance thermique multipliée par 5 par rapport aux blocs traditionnels, soit R=1.04 m2.K/W.

Dotée un coefficient thermique de 0,042 W/m.k, la mousse Airium permet de produire des blocs avec une résistance thermique R=1 avec des blocs de granulats standards et supérieure à R=1,7 avec des granulats légers.

Trois questions à Didier Brosse, président de l’UMGO-FFB (Union de la Maçonnerie et du gros-œuvre)

 
Quels commentaires pouvez-vous faire sur les évolutions des produits maçonnés ?

Didier Brosse: Je dirais que l’essentiel des évolutions que nous avons connues ces dernières années découlent des exigences réglementaires et de l’amélioration des conditions de travail. Il n’y a pas eu de rupture technologique. Les entreprises se sont adaptées en préservant leurs savoir-faire et leur valeur ajoutée. A l’UMGO, nous y sommes particulièrement attentifs.

La filière béton a exprimé ses inquiétudes face au nouveau label énergie carbone E+C-. Qu’en pensez-vous ?

Lorsque les premières orientations ont été présentées l’année passée, nous avons vite senti que les solutions minérales n’étaient pas valorisées... Maintenant que nous en savons plus sur le label, nous sommes un peu rassurés car ses exigences sont progressives et ne disqualifient pas – a priori - nos solutions constructives.

Au niveau énergétique, nous serons un cran au-dessus de la RT2012. Il faudra donc renforcer la vigilance sur la mise en œuvre, les interfaces avec les autres corps d’état, la performance globale du bâti… Quant à l’enjeu « carbone », il mérite d’être affiné mais d’après nos échanges avec les fabricants, d’intenses efforts de recherche et développement sont entrepris pour réduire l’empreinte carbone des produits. Et les pistes prometteuses sont nombreuses !

Plus globalement, la nouvelle réglementation environnementale nécessitera que les entreprises de maçonnerie et de gros œuvre s’impliquent davantage dans la filière minérale et puissent en être de véritables ambassadrices. Nous y veillerons !

Quelles sont pour vous les enjeux de la filière aujourd’hui ?


Les enjeux sont nombreux mais la maquette numérique semble incontournable. On sent que l’attention des entreprises sur ce sujet s’est accrue. Elles s’interrogent sur son déploiement et sur les avantages qu’elles peuvent en tirer.

Par exemple, comment les problématiques de production en phase chantier pourraient être traitées dans la maquette numérique. Qui mieux que les entreprises peut y apporter des réponses ?

Marché : La brique à l’offensive

La part de marché de la brique cuite est passée en 10 ans, de 20,3 % en 2005 à 37,4 % en 2015 (source FFTB). Avec un logement sur trois construit en terre cuite, cette dernière a bouleversé le paysage et un marché qui était majoritairement détenu par le bloc béton. Elle a pratiquement multiplié ses parts de marché de la construction de logement collectif par 6 (5,4 % de PDM en 2005 contre 29,5 en 2015) et maintient ses positions sur le marché des maisons individuelles isolées en passant de 27,9 % en 2005 à 41,7 % en 2015.

La construction bois reste stable avec 7,8 % de PDM en 2016 contre 7,4 % en 2015 (chiffres Codifab). Si le secteur de la maison individuelle en secteur diffus et groupé a observé un recul de 7 %, les bâtiments non résidentiels neufs ont observé une progression du bois avec une PDM passant de 12 à 17% (+5 %) entre 2014 et 2016.

L’acier affirme son ancrage dans le bâtiment industriel et tertiaire avec 80 % de part de marché (source ConstruirAcier). Dans le logement collectif, il reste minoritaire avec 1 à 2 % de PDM (mais 10 % si on inclut les bacs acier) seulement et une présence marginale en maison individuelle.

La filière béton (préfabrication et béton prêt-à-l’emploi) qui a pâti de la prise de marché des autres composants de la construction représente 50 % de parts de marchés en maisons individuelles isolées et collectives (murs extérieurs). En logement collectif, le béton pèse encore 70 %. Sur les planchers, le béton domine avec 99 % en logements collectifs et 94 % en maisons individuelles.

Source Batirama

Nibra® tile DS5 (interlocking tile)

With only 6 tiles per square metre, it is not just unusually cost-effective to lay, but is also the ecological and architectural alternative to fibre cement and bitumen corrugated sheet roofing and to many other roofing materials.

Weighing only about 6.6 kg, the large DS 5 clay roofing tile presents no challenge either when laying or to static strength.


Technical specifications

  • Length: ~ 59,3 cm
  • Width: ~ 37,6 cm
  • Exposure lenght: ~ 44,0 - 50,4cm
  • Exposure width: ~ 32,4 cm
  • Requirement: ~ 6,0 tiles/m²
  • Weight: ~ 6,6 kg
  • Minimum roof slope: 22°



The following colours are available:


05/12/2017

8ème édition des Terroirs de TERREAL : l’entreprise Michel Cordonnier reçoit le prix Coup de Cœur dans la catégorie Patrimoine Historique pour la rénovation de la couverture d’une maison au cœur de Paris

La 8ème cérémonie des « Terroirs de TERREAL » organisée par le leader du marché des tuiles de patrimoine en France, TERREAL, s’est tenue le 9 novembre dernier à Paris.
Véritable temps fort pour la sauvegarde de l’héritage architectural français, le concours met à l’honneur sept professionnels de la couverture et leurs réalisations.

La SAS Michel Cordonnier, basée dans l’Essonne, a reçu le prix Coup de Cœur du Jury dans la catégorie Patrimoine Historique pour la rénovation de ce pavillon situé villa Beauséjour au cœur du 16ème  arrondissement de Paris.

Cette maison russe traditionnelle, initialement construite pour l’exposition universelle, a vu sa couverture restaurée avec un panachage de tuiles émaillés 4 couleurs Montchanin Losangée afin de garder l’aspect d’origine de ce bâtiment classé. Cette bâtisse présente de nombreux points singuliers traités dans les règles de l’art tel que les arêtiers, les noues…

Les Terroirs de TERREAL, un concours pour mettre en valeur le patrimoine architectural français

 Attribués par un jury de professionnels du Patrimoine, selon des critères de sélection portant sur la technicité, l’esthétique et le respect du patrimoine architectural local, les prix Terroirs de TERREAL s’inscrivent dans une volonté constante de valoriser les travaux de réhabilitation des toits patrimoniaux de nos régions et les professionnels qui les réalisent.

Le concours Terroirs de TERREAL s’inscrit dans la démarche du Groupe de développement de produits dédiés à la rénovation dans le respect des traditions architecturales de chaque région, tels que les gammes de tuiles Pommard (déclinaisons multiples), Bastide (Sud-Ouest et Périgord) ou encore Canalaverou (côte Atlantique).

Il fait aussi écho à l’engagement RSE du Groupe qui consiste notamment à accompagner les communautés et les territoires à travers la protection de la ruralité et de l’identité de nos régions. Ainsi, avec ses tuiles de tradition et l’expertise des couvreurs, TERREAL contribue à la sauvegarde de la richesse de notre patrimoine.

Retour en détails et en images sur cette soirée unique et sur ces beaux chantiers qui reflètent le savoir-faire des artisans français, notre Histoire ainsi que nos régions : salle de presse Terreal.

A propos de TERREAL

Inspiré par plus de 150 ans de savoir-faire dans les matériaux de construction en terre cuite, TERREAL crée des solutions innovantes pour l’enveloppe du bâtiment. A travers 4 activités (couverture, structure, façade, décoration), 22 sites de production dans le monde dont 16 en France, plus de 2 400 collaborateurs et 350 millions d’euros de chiffre d’affaires, TERREAL contribue à l’amélioration de l’Habitat en accompagnant ses clients dans la création de projets, porteurs de bien-être pour les hommes et de respect pour l’environnement.

En révélant au quotidien toute la beauté de la terre cuite dans chaque réalisation, TERREAL fait rejaillir son énergie au service de ses partenaires et de leur imagination.

Source Wellcom

"Une vie, une usine" : tuilier à Roumazières

Roumazières-Loubert, en Charente, a fondé sa renommée sur ses produits céramiques, grâce au développement de quatre tuileries-briqueteries industrielles, qui ont bénéficié de la qualité de l'argile locale et se sont livrées à une féroce concurrence. Quinze personnes ont témoigné de leur vie de travail dans ces entreprises, entre les années 1950 et nos jours.

Film réalisé en 2017 par Réel Factory, pour la Région Nouvelle-Aquitaine, dans le cadre de l'inventaire des mémoires ouvrières. Entretien mené par Willy Paroche, de l'association ARÉAS. Durée 07:04.<iframe frameborder="0" width="480" height="270" src="//www.dailymotion.com/embed/video/x5h9lgf" allowfullscreen></iframe>

Luc Vrignaud parle de sa carrière à la Tuilerie Monier de Roumazières, où il a été manœuvre, empileur, employé aux presses et, enfin, cuiseur. Il décrit le four tunnel, doté de 36 wagons et long de plus de 100 mètres. Il détaille les différentes opérations nécessaires pour la fabrication d'une tuile, depuis le travail de carrière, le malaxage, le passage à la presse, au séchoir, puis au four, jusqu'à la palettisation. Toutes ces opérations, manuelles à son arrivée dans l'entreprise, ont été entièrement automatisées.


Les tuileries briqueteries de Roumazières-Loubert, une histoire industrielle
La présence d'importants gisements d'argile propre à la fabrication de produits céramiques a entraîné l'installation, à Roumazières et ses environs proches, de nombreuses tuileries-briqueteries artisanales au 19e siècle. Quatre entreprises industrielles, nées à la limite des 19e et 20e siècles, ont su profiter des innovations et s'adapter à la demande, pour se développer et s'imposer à l'échelle nationale.

L'une d'entre elles a la particularité d'avoir été fondée en tant que société coopérative, en 1907, à l'initiative d'un prêtre. Les autres (dont une sur la commune de Genouillac) étaient, à l'origine, des entreprises familiales. Par le jeu de regroupements successifs, deux de ces sociétés, qui appartiennent désormais aux groupes Terreal et Monier, poursuivent la fabrication de tuiles et autres produits céramiques à Roumazières. Les années 1980-1990 ont marqué un tournant crucial dans l'organisation du travail dans ces sociétés, qui employaient alors un total de 700 personnes pour une population de 3 000 habitants.

Un savoir-faire ancestral, une culture de métier
La fabrication de produits céramiques est fortement ancrée dans la mémoire des habitants de Roumazières-Loubert. Plusieurs générations d'ouvriers se sont souvent succédé au sein des familles, et les tours de main ont été transmis dès le plus jeune âge.

Un vocabulaire spécifique est utilisé par les ouvriers, qui parlent par exemple de « travail sur le vert » pour évoquer le modelage, c'est-à-dire le travail de la tuile fraîche encore humide, puis qualifient de « demi-sec » le produit après son passage au séchoir et, enfin, de « sec » le produit après cuisson.

Je suis né les pieds dans l’argile.
Le modeleur moulait à la main les tuiles à douille, les lanternes, des pommes de pin…
À l’époque, il n’y avait pas de thermomètre et il fallait avoir de l'expérience pour surveiller la cuisson à l’œil.

La rivalité entre les usines
De l'avis des témoins, il n'y avait pas de problèmes entre les ouvriers des différentes sociétés, cependant, on ne passait pas d’une usine à l'autre, on faisait sa carrière dans la même. Mais les directions se « faisaient la guerre », chacune essayant de faire mieux que les autres. Les luttes concernaient notamment l’acquisition de terrains argileux, qui impliquait des enjeux à long terme.

Souvent, les membres d'une famille travaillaient dans la même usine.

Il y avait une émulation fantastique entre les entreprises, à se piquer les idées, des cadres jusqu'aux ouvriers.

Des conditions de travail très rudes jusqu’aux années 1980
Au sein des tuileries-briqueteries, différents corps de métier exerçaient pour effectuer la maintenance ; menuisiers, électriciens, mécaniciens… Cependant, la majorité du personnel était employée à la fabrication même des tuiles, qui comprenait surtout de la manutention. Aux presses, pour le façonnage, les attrapeurs qui récupéraient les tuiles faisaient un métier dangereux, répétitif et physique. Malgré la pénibilité, les accidents n’étaient pas nombreux, on déplorait surtout des brûlures.

Le travail reconnu comme le plus pénible était celui du four, qui consistait à remplir, puis vider après cuisson, les fours Hoffmann. Chaque ouvrier y brassait 15 tonnes de produits par jour, pour la mise en palettes, dans des chaleurs allant jusqu'à 70 degrés. Ces hommes, appelés « bagnards » par certains, embauchaient à 2 h du matin et débauchaient à 7 h. Ils étaient torse nu, été comme hiver. Rémunérés à la tâche, ils n’avaient pas d’horaires et, malgré la difficulté du travail, n'étaient pas plus payés que les autres. Le four ne s'arrêtant pas, les cuiseurs travaillaient aussi le week-end.

Pour donner aux tuiles une apparence vieillie, du manganèse en poudre a été employé à partir des années 1960, soit en teintant la terre dans la masse, soit en peignant la tuile. Le noir du manganèse, indélébile, se glissait partout et le personnel ressortait de l’usine couvert de noir.

Dans les années 1970, le service maintenance était très important, car le coût des pièces détachées était très élevé, donc on réparait les pièces en interne et le travail constituait à fabriquer des petites pièces mécaniques et à faire l’entretien des machines.
La presse se manœuvrait à deux, d’un côté le plaqueur mettait la galette de terre et de l’autre côté l’attrapeur faisait la découpe de la tuile, enlevait les bavures. Et quand la presse avançait, il attrapait la tuile avec ses mains, la décollait et la posait derrière lui sur une chaîne.
Les produits étaient empilés dans le four Hoffmann et les ouvriers devaient déplacer le feu pour la chauffe, avec des marmites [distributeurs de poudre de charbon] sur le four. Ils devaient entrer dans le couloir, à une température de 60-70°, pour sortir les produits à l'extérieur.
Ils s'emballaient le corps dans du papier pour que le manganèse et l’huile ne traversent pas leurs vêtements.

La fabrication des tuiles, au début des années 1950 à Roumazières (Charente) : de l'extraction de l'argile dans la carrière de Châteauplat jusqu'aux stocks présentés devant les ateliers de l'usine, sans oublier « l'ultramoderne presse à cinq pans ».

Le recours à des travailleurs étrangers
Les premières générations de tuiliers, originaires de Charente, étaient souvent ouvriers-paysans. Après la Première Guerre mondiale et ses nombreux morts, la main-d’œuvre fit défaut dans les tuileries de Roumazières. Les employeurs, qui avaient des difficultés à trouver du personnel pour les postes de manutentionnaires et d'enfourneurs, ont alors fait intervenir des travailleurs étrangers : Italiens, Espagnols, Portugais, Marocains, Algériens et Turcs. Les Français occupaient plutôt des postes aux services
mécaniques et transport.

De nombreux Portugais ont été embauchés dans les années 1970. Ces travailleurs, qui n'avaient pas la charge de fermes comme leurs collègues français, acceptaient les heures supplémentaires pour décharger les camions, ce qui provoquait quelques tensions avec les ouvriers charentais. Au fil du temps, les ouvriers issus de ces différentes vagues d’immigration s'intégrèrent totalement avec la population locale. Des relations privilégiées ont même été créées avec la ville de Chaves, dans le Nord du Portugal, où existe aussi une culture de la céramique.

Les femmes dans les tuileries
Certains postes étaient traditionnellement occupés par des femmes, comme celui de l'ébarbage dans les années 1930 : aidées par des enfants, elles enlevaient les ébarbures sur les côtés des tuiles qui sortaient de la presse. Elles étaient aussi chargées du graissage des moules.

Je me souviens des éclaboussures de gas-oil à la presse, sur mon visage, jusque dans les cheveux qui étaient sales et imprégnés de cette odeur, mes yeux me piquaient. L’odeur me suivait jusqu’à la maison, c’était très dur de s’en débarrasser.
Les femmes qui attrapaient les tuiles après la presse étaient appelées « attrapeuses ». D'autres étaient au bout du tapis pour charger les tuiles sortant du séchoir sur les chariots et à destination de l'enfourneur. Les femmes attrapeuses étaient rémunérées à la tâche, elles travaillaient et étaient payées par équipe de deux. Leur journée commençait à 7 h et finissait à 17 h ; elles ne faisaient pas partie des équipes de nuit. Les femmes étaient aussi nombreuses dans des ateliers consacrés à la fabrication d’ornements de toitures, où une part de créativité était requise. La fermeture de ces ateliers et l’automatisation des tâches ont entraîné, dans les années 1970-1980, la raréfaction, sinon la suppression, de postes de femmes dans les tuileries.

Des ouvrières attrapeuses s’étaient mobilisées pour obtenir le même salaire que les hommes.

Le rôle social et fédérateur du sport

Les usines jouaient un rôle de première importance dans les activités sportives et culturelles de la commune. Il y avait un club de foot TBF et un club de rugby de CMPR, le « Club de la terre cuite ». Être un bon joueur était un atout pour intégrer les usines locales. Le comité des fêtes organisait un tournoi inter-usines.
Il y avait aussi un club de solex, de tennis, de karting et de formule 3. Chaque club était tacitement réservé aux membres de l’usine qui le finançait. Il existait alors un fort paternalisme et un vrai sentiment d’appartenance, quasi familiale, pour les employés.

Pour pouvoir faire un tennis, il fallait être copine d’une enfant de cadre.
Les responsables du foot étaient des cadres des usines.
Il y avait un attachement, c’était plus qu’un travail.

Les transformations des années 1980-1990
La modernisation de l’outil de production s’est surtout faite dans le but d’optimiser les cadences. Le plus grand changement a été l’installation de fours tunnels - des fours à gaz automatiques - pour remplacer les fours Hoffmann. Une autre étape a été la modernisation de la manutention des produits : avec la circulation des wagons et le système de mise en palette, l’ouvrier ne touchait plus la tuile durant tout le processus. De nos jours, tout est automatique.

Avec l’automatisation de la production, de nombreux postes ont disparu, comme celui de doubleur qui
consistait à mettre les tuiles par deux pour l’empileur, qui les mettait dans un wagon et qui lui aussi a disparu. Les ouvriers sont devenus des surveillants de postes, veillant à la qualité du produit et au bon fonctionnement de la machine. On parle d’ailleurs désormais d’opérateurs pour qualifier les travailleurs de l’usine, et non plus d’ouvriers. Les postes ont évolué au gré du développement de différents secteurs : maintenance électrique et mécanique, magasin de pièces, contrôle qualité, logistique, planification, ressources humaines et achat.
Dans la carrière, les wagonnets et les pelles mécaniques ont été remplacés par des engins et des camions. De nombreuses tâches sont aussi désormais réalisées par des entreprises extérieures, comme l’ensemble du service d’entretien (plomberie, électricité etc.), l'extraction de la terre et la partie transport.

Tous ces changements ont eu pour principale conséquence de diminuer les effectifs. Dans ces mêmes années, les ventes se sont effectuées en dehors du bassin de production, et même à l’export, en Belgique et en Espagne. Ce qui a eu pour conséquence une diversification de la production. C’est aussi la période durant laquelle, par le jeu de fusions, deux usines sur les quatre ont disparu. Les deux entreprises restantes sont devenues les filiales de grands groupes.

Source Inventaire Poitou Charente

04/12/2017

IMERYS - La recette du succès de la tuilerie de Wardrecques

Depuis 1901, on produit ici des tuiles. L’usine s’est depuis modernisée. Elle appartient aujourd’hui au groupe Imérys. Zoom sur la production d’une tuile.

Les tuiles sont conditionnées, prêtes à être stockées.
 
Il faut environ trois jours pour fabriquer une tuile. Tout commence juste de l’autre côté du canal, à Blaringhem, où, stockée après avoir été extraite de la carrière, l’argile de surface (on l’obtient jusqu’à dix mètres creusés) est amenée sur le site, chauffé au gaz. C’est alors que le mélange est fait grâce à un circuit de tapis roulants.

Sable, différents types de terre. «  Il s’agit là d’obtenir la taille de grain qui va bien  », explique Guillaume Azzopardi. Le mélange est remalaxé pour en expulser l’air et améliorer ainsi la qualité mécanique de la tuile, sa résistance. Les pains de terre sont pressés (à 14 ou 15 bars pour les spécialistes) et les moules donnent leur forme définitive aux tuiles. Les pièces sont séchées 24 heures avant d’être colorées grâce à la réaction des adjuvants à une certaine température.

Parcours du combattant
Puis c’est la cuisson, durant 24 heures à nouveau, avec une montée à 1 050 degrés. Les contrôles qualité achèvent le parcours du combattant de nos tuiles avant qu’elles ne finissent en palettes.

En dates
1901 : le site sort sa première tuile en terre cuite. Avant cela, il s’agissait d’une sucrerie-distillerie, mise en service dès 1868. La S.A. des Tuileries de Wardrecques est créée en 1905.

1940-44 : l’usine est pillée par les nazis, réquisitionnée ; elle sert de dépôt d’armes et de logement. Sa reconstruction sera lancée de 1944 à 1950.

1965 : un bâtiment est aménagé en séchoir.

1983 : les Comptoirs Tuiliers du Nord (CTN) déposent le bilan, puis sont repris par Huguenot Fenal. Imérys Toiture rachète en 1987 et lance une vague d’automatisation.

2009 : l’usine est rénovée et modernisée à 80 % puis lance de nouveaux produits à partir de 2011 après s’être recentrée sur les tuiles.

Source  La Voix Du Nord

Italian-made bricks for Australian conditions

Drawing on its European heritage, the San Selmo brick range from Austral Bricks offers three new collections to the Australian market.

Manufactured in Italy using traditional kiln-firing techniques, these high-quality clay bricks combine curated colour palettes with an elegant selection of textures and finishes.

The range comprises three distinctive brick collections – San Selmo Reclaimed, San Selmo Smoked and San Selmo Corso.

San Selmo Reclaimed bricks feature a beautiful tactile surface inspired by recycled bricks, are kiln-fired in Italy, and are available in three sizes – solid, facing and corner-facing.

The second collection is San Selmo Smoked. These bricks offer a subtle tonal palette designed specifically for contemporary architectural projects. The range is characterised by an elegant and carefully graduated selection of colours – from the pale hues of Grey Cashmere and Cloudy Silver through to the steely blue-greys of Wild Storm and Opaque Slate. The San Selmo Smoked collection is designed for external use in residential or commercial projects.

Finally, there is San Selmo Corso, a range of elegant clay bricks available in smooth raw finish or the tactile textured finish. Made to order in Italy, the sleek new-format shape is twice the standard brick length. San Selmo Corso colelction comes in six carefully curated colours, from the moody charcoal of Piave, to the dove grey Livenza and the pristine ivory of Brenta.

Source ARCHITECTUREAU

03/12/2017

Des briques en terre cuite géantes pour un immeuble de bureaux lillois

Réalisation du "Doge", à Lomme, près de Lille, deux bâtiments de bureaux et d'activités d'environ 5.100 m², livrés en juin 2017, l'architecte Paolo Tarabusi 

TERRE CUITE. Pour la réalisation du "Doge", à Lomme (Nord), deux bâtiments de bureaux et d'activités d'environ 5.100 m², l'architecte Paolo Tarabusi a exploité quelque 1.500 éléments de grande hauteur en terre cuite.

Au cœur de la ZAC de la Haute Deûle, à Lomme près de Lille, deux bâtiments de bureaux, R+4 et R+2 formant le "Doge", livrés en juin 2017, surprennent par une architecture inattendue. Les façades imaginées par l'Atelier Tarabusi sont, en effet, rythmées par 1.500 éléments de grande hauteur en terre cuite séparés un à un par des vitrages. Cette réalisation a d'ailleurs reçu un prix Duo@work cette année. Concours pour lequel Batiactu était membre du jury.

Un "chantier de longue haleine"

"Ce travail de longue haleine, pour ce bâtiment de bureaux et d'activités qui accueillera des start-up, a démarré début 2016, nous explique Paolo Tarabusi. Les premières phases de travaux se sont traduites par une collaboration étroite entre la maîtrise d'œuvre (architecte et BET) et le fabricant du principal élément de façade, en l'occurrence la brique monolithe Terreal. Le chantier a pu aboutir, par la suite, grâce à l'implication des entreprises concernées par la mise en œuvre et la réalisation de l'ouvrage, principalement Rabot-Dutilleul Construction, Kbane et PMN pour le lot façade."

Source Batiactu par Sébastien Chabas

02/12/2017

BREVET ETEX/ A METHOD TO PROVIDE A CONCRETE TILE

A method to provide a concrete tile is provided, which method comprising the steps of - Providing a concrete tile body; - Coating at least one surface of said concrete tile body with a cementitious coating layer, by applying a cementitious slurry to the body by means of a rotating disc application device; - Drying and hardening of the coated concrete tile.


  • Signet WO2017064086 (A1)  
  • Inventeur(s) SCHACHINGER INGO [DE] +
  • Demandeur(s) ETEX HOLDING GMBH [DE] +
  • Numéro de demande WO2016EP74388 20161012 


Source Espacenet

01/12/2017

A BATIMAT, IMERYS TOITURE A PRÉSENTÉ SES NOUVELLES COLLECTIONS DE TUILES TERRE CUITE ET D’ACCESSOIRES POUR LES TOITURES ET FAÇADES

Embellir et protéger la toiture et le bâti dans son ensemble, telle est l’une des volontés affirmées d’IMERYS Toiture au salon Batimat. En enrichissant son offre avec une gamme complète d’écrans de sous-toiture et de pare-pluie dédiée à la performance du bâti, IMERYS Toiture se positionne comme l’expert incontournable du toit et des façades.

Cet événement est également l’occasion pour le leader français de la tuile terre cuite de mettre en avant toute son expertise solutions dans les domaines de la toiture, des façades et des ENR grâce à ses univers de prédilection : tuiles, bardage, solaire, services, accessoires fonctionnels et composants métalliques de la gamme ProfImo avec ses trois marques emblématiques AQUAZ (solutions d’eaux pluviales), FAZER (profils pour les façades) et NEOPLIS (pliage à façon).

De nouvelles tuiles pour embellir les toits et les façades

Gamme DESIGN : un nouveau souffle pour une inspiration sans limite

Depuis toujours, l’innovation est inscrite dans l’ADN d’IMERYS Toiture qui investit en permanence pour proposer des solutions globales et personnalisées. Cet engagement s’illustre une nouvelle fois avec la gamme DESIGN dévoilée en exclusivité sur Batimat.

Réunissant toute l’expertise d’IMERYS Toiture au service des créations architecturales contemporaines, la gamme DESIGN offre aux prescripteurs la possibilité de laisser libre cours à leur inspiration autour de 6 modèles de tuiles déjà reconnus pour leur esthétique à l’avant-garde. Les designs épurés des tuiles HP 10 Huguenot et de l’Alpha 10 Ste Foy, les formes géométriques de la Diamant et de la Rhôna 10 ou les lignes courbes des tuiles H10 et Omega 10, chacun pourra repousser les limites de la créativité.

Pour composer leur propre partition et créer des bâtiments uniques, les architectes trouveront dans la gamme DESIGN :

une richesse CHROMATIQUE de 6 nuances tendances aux finitions soignées (Gris, Serac, Vieilli Masse, Argentique, Ardoisé, Noir Brillant). Ces dégradés de teintes contemporaines allant du noir absolu au gris silencieux invitent à transcender la matière par la couleur.
une PERSONNALISATION inédite grâce à l’intégration, avec une parfaite tenue dans le temps, de motifs sérigraphiés conçus en collaboration avec le designer Berrux & Co. Pour donner du caractère à la façade ou à la toiture, 6 motifs sont disponibles en standard (Floral, Camouflage, Cubique, Circulaire, Spirale, Goutte) et applicables dans toutes les couleurs sur les tuiles à pureau plat (HP 10 Huguenot et Beauvoise Huguenot). IMERYS Toiture offre également la possibilité aux prescripteurs d’aller encore plus loin et d’imprimer leur touche personnelle en sérigraphiant leurs propres dessins, sur demande selon faisabilité.
une variation LUMINEUSE avec l’intégration parfaite de LEDs dans les tuiles pour souligner et illuminer la façade à la tombée de la nuit. Grâce à un perçage spécialement conçu pour offrir un rendu esthétique optimal, l’étanchéité entre la LED et la tuile est assurée et permet de garantir la durabilité de l’installation. Composé de tuiles percées, de LEDs et de toute la connectique, chaque kit est étudié sur-mesure en étroite collaboration avec le Bureau d’Etudes d’IMERYS Toiture. Pratique, ce système de LEDs peut être piloté depuis un smartphone via l’application mobile LED Magic Color, disponible sur AppStore et Google Play. Les lignes de LEDs étant indépendantes, il est alors possible de définir pour chacune une intensité lumineuse et un rythme d’éclairage et jouer avec la lumière.
un choix de FINITION composé d’encadrements de fenêtre sur-mesure et d’accessoires d’évacuation d’eaux pluviales dont la forme carrée s’inscrit dans la tendance géométrique et épurée de l’architecture contemporaine. Pour finaliser harmonieusement les réalisations architecturales jusqu’au bout des angles, les accessoires et encadrements sont disponibles en zinc, cuivre et zinc patiné ou aluminium laqué et se déclinent dans toutes les teintes RAL.
Volumes, matières, coloris, lumière, avec sa nouvelle gamme DESIGN, IMERYS Toiture donne la possibilité aux prescripteurs de magnifier sans limite leurs réalisations et offre une nouvelle perspective aux créations architecturales.

Sélection PATRIMOINE : la signature d’une toiture d’exception

Répondant parfaitement aux projets de rénovation de demeures de caractères, maisons en pierre ou monuments historiques, quelles que soient les régions, la Sélection Patrimoine d’IMERYS Toiture rassemble des gammes complètes de tuiles et d’accessoires pour des restaurations authentiques et soignées de grande qualité.

A l’esthétique adaptée à l’architecture régionale, la Sélection Patrimoine se compose de tuiles plates, tuiles canal, petit moule et de tuiles faiblement galbées aux marques régionales fortes : Sainte Foy, Gélis, Huguenot, Poudenx, Doyet, Phalempin, Sans.

Parmi elles, la tuile CANAL 50 Restauration est désormais proposée en coloris Ventoux. A l’aspect vieilli et patiné avec des effets de lichens, elle est particulièrement adaptée à l’architecture régionale du Sud de la France. Son camaïeu original et ses aspérités recréent à merveille l’aspect des vieilles toitures d’antan brossées par le mistral et la tramontane. Elle convient à tout type de pose.

Pour une finition jusque dans les moindres détails, la Sélection Patrimoine intègre une large collection d’accessoires terre cuite ou métalliques tels que frontons, faitières, abouts de rive, poinçons, mais aussi d’ornementation (girouettes, œil de bœuf) et de finition (frises, gouttières en cuivre).

Les nouveaux accessoires de la gamme TECTYS

Avec des produits techniques et innovants qui permettent d’assurer l’ensemble des fonctions de la toiture, IMERYS Toiture possède une large gamme d’accessoires fonctionnels qui conjugue fiabilité, durabilité et style.

Garantir l’étanchéité de la toiture étant indispensable pour protéger la construction contre toutes les infiltrations d’eau au fil du temps, IMERYS Toiture complète sa gamme dédiée à l’étanchéité (gamme de solins, abergements…) avec trois nouvelles solutions :

NOOK®, la 1ère noue autoporteuse conforme aux DTU Série 40

D’une grande fiabilité, la NOOK® d’IMERYS Toiture canalise et assure l’évacuation des eaux pluviales à l’égout entre deux pans de toiture. De par sa conception conforme aux DTU 40/21 et 40/211, elle garantit une parfaite étanchéité entre les éléments de couverture et le métal grâce à un relevé de 25 mm et un retour de 15 mm. Pour une étanchéité optimale, l’emboîtement entre chaque noue s’effectue via un recouvrement de 15 cm, sans soudure. Autoportante, elle est également facile et rapide à installer grâce à l’absence de fond de noue et à des trous oblons de préfixation, par vis ou pointe directement sur le liteau, qui acceptent les dilatations.

A la conception robuste et durable, NOOK® est disponible en 2 ml de longueur, avec des développés de 40 et 50 cm, dans une multitude de finitions : acier galvanisé laqué (rouge, sable, brun, ardoise), zinc naturel ou prépatiné, alu-zinc et cuivre.

FLEXEO®, une bande d’étanchéité universelle renforcée

Destinée à assurer l’étanchéité pour le traitement des points singuliers de la toiture, FLEXEO® est une bande souple en PIB (Polyisobutylène) armé d’un treillis en aluminium lui assurant une extrême résistance. Présente sur toute la sous-face de la bande, une couche de butyle garantit une parfaite adhérence du produit qui épouse ainsi parfaitement les formes du support. FLEXEO® résiste durablement aux U.V. et aux fortes variations de températures (de -40 à +90°C).

De par ses caractéristiques exceptionnelles, la bande d’étanchéité est garantie 30 ans.

Avec un excellent taux de marouflage de 60% en longueur et de 15% en largeur, FLEXEO® s’installe rapidement et facilement, sa pose ne nécessitant pas de soudures ni d’outillage spécifique. Disponible en deux largeurs (300 et 450 mm), elle est proposée en trois coloris (rouge, gris, ardoise) pour s’intégrer harmonieusement à la toiture.

ALTKA®, une bande d’étanchéité universelle

Prête à l’emploi, ALTKA® est une bande solin souple universelle qui permet de réaliser l’étanchéité entre tous types de tuiles et à différents points singuliers du toit (raccords mur/toiture…) sans outillage particulier.

Grâce à sa sous-face revêtue intégralement d’un butyle de haute qualité, ALTKA® bénéficie d’une excellente adhérence sur tous les supports, y compris les surfaces humides ou grasses. Son taux de marouflage exceptionnel de 60% permet une mise en œuvre aisée et sûre sur toutes les tuiles même fortement galbées, une pose facilitée également par deux bandes polyéthylène retirables.

Garantie 10 ans, ALTKA® est proposée en rouleaux de 5 ml d’une largeur de 300 ou 450 mm, et disponible en deux coloris : rouge et ardoise.

Parmi les nouveaux accessoires fonctionnels de la gamme TECTYS à découvrir en avant-première sur le stand d’IMERYS Toiture figure également un kit de raccordement pour VMC afin de garantir une bonne ventilation de la toiture, essentielle à sa pérennité.

Des tuiles terre cuite aux accessoires fonctionnels, des collections bardage aux solutions ENR, des composants métalliques aux membranes techniques, sans oublier les services tels que MétéoPros (première application mobile de surveillance météo et d’organisation de chantier), IMERYS Toiture entend répondre à l’ensemble des besoins des professionnels en leur proposant des solutions innovantes et invitent les visiteurs du salon à porter un autre regard sur l’habitat de demain.

Source Batipresse

30/11/2017

BREVET TERREAL/ ELEMENT DE CONSTRUCTION ALVEOLAIRE POUR MUR A REGULATION THERMIQUE

L'invention concerne un élément de construction composite plat (1) présentant une hauteur d'étage pour la fabrication d'un mur de bâtiment, l'élément de construction comportant un parement extérieur (32) en céramique, un parement intérieur (31) en céramique et une couche intermédiaire d'isolant (12) agencée entre le parement extérieur et le parement intérieur, dans lequel au moins l'un du parement extérieur et du parement intérieur présente des alvéoles longitudinales (10, 11) s'étendant sur toute la hauteur du parement. L'utilisation de cet élément de construction composite permet de définir différents circuits de circulation d'air afin de produire une circulation d'air rafraichissant ou une circulation d'air réchauffant.


  • Signet FR3045685 (A1)  
  • Inventeur(s) MALE PHILIPPE [FR]; VINCENT PAUL [FR]; MORLE ESTELLE [FR]; RITZ EMMANUEL [FR]; CHAIGNEAU CEDRICK [FR] +
  • Demandeur(s) TERREAL [FR]; ECOLE NAT SUPERIEURE D'ARCHITECTURE DE LYON [FR]; AIA ASSOCIES [FR] +
  • Numéro de demande FR20150062562 20151216 



29/11/2017

MONTAREN La Tour dite “Sarrasine” lauréat du prix national « Architecture & Patrimoine »

Encore une bonne nouvelle pour le Gard, le lauréat du prix « Architecture & Patrimoine » de Maisons Paysannes de France est décerné sur notre département. Il s'agit de la Tour dite "Sarrasine" à Montaren.

Soutenu par la Fondation du patrimoine, le ministère de la Culture, le Groupe Terreal et l’Agence Patrice Besse, ce concours annuel couronne les travaux de réhabilitation et/ou d’extension effectués dans les règles de l’art c’est-à-dire en respectant l’architecture originelle, les savoir-faire locaux, en utilisant les matériaux éco-responsables et de proximité. Il récompense également les constructions contemporaines harmonieusement intégrées à leur environnement bâti et paysager.

Le jury composé d’experts, d’architectes, d’universitaires, de membres de la Fondation du patrimoine, du groupe Terreal, de l’agence Patrice Besse et des services des Patrimoines de l’Etat a donc récompensé pour cette 32ème édition du concours 7 lauréats "de magnifiques réalisations portées par des passionnés" dont la Tour dite "Sarrasine" à Montaren.

Cette tour dite «Sarrasine», a été largement remaniée au cours des siècles. Propriété de la famille Puget depuis 1908, elle a été acquise auprès de la succession en 2012 par Florence et Menelik Plojoux-Demierre (frère et sœur). Les études archéologiques menées sur le bâti en 2013, datent le rempart nord et la tour des XI et XIIèmes siècles. Si la tour a dû servir à l’origine de lieu de refuge et de stockage, elle a sans doute participé à un ensemble fortifié composé de plusieurs tours constituant le plus ancien château-fort de Montaren dont elle est aujourd’hui le seul vestige.

Travaux réalisés : 

Parti-pris contemporain pour la partie périphérique (côté Est) de la tour sarrasine, avec discrète passerelle bois entre le récent et l’ancien pour aménagement des espaces d’habitation
Traitement de la tour « aux petits points », avec des modes de chauffage (au sol) qui se font oublier, des installations électriques invisibles, des amenées et des sorties d’eau entièrement cachées
Murs réalisés à la chaux, avec sobriété
Abords de facture simple qui valorisent l’ensemble : les parties de bâtiment en mauvais état qui ont dû être détruites, ont laissé la place à l’aménagement d’un petit jardin environnemental d’aspect méditerranéen. Le grand pin parasol et les cyprès ont été conservés et valorisés.

Michèle Charron-Czabania, déléguée des Maisons paysannes du Gard : «La réalisation reflète une recherche de qualité, avec des choix qui peuvent surprendre pour les ajouts de bois, mais qui font la liaison entre l’ancien et le contemporain. L’appel à une archéologue généalogiste du bâti souligne l’importance que les porteurs du projet ont attaché à l’Histoire. Les matériaux choisis donnent à l’ensemble une faculté de transformation, pour le bois, et une pérennité pour les éléments pierre si soigneusement préservés.»

La remise des prix s'est déroulée le dimanche 5 novembre de 13h00 à 15h00 au Salon International du Patrimoine Culturel Carrousel du Louvre à Paris.

Source Objectif Gard par Abdel Samari 

28/11/2017

Les palettes bois sèment la discorde entre le négoce et des fabricants de tuiles

Alors que l’activité du négoce de bois et matériaux de construction repart, le président de la FNBM, alerte ses partenaires industriels de nouvelles difficultés rencontrées sur la gestion des palettes consignées.

La Fédération du négoce bois et matériaux (FNBM) a organisé son traditionnel déjeuner-rencontre de fin d’année avec ses partenaires industriels au pavillon Dauphine à Paris. Devant, une assemblée de quelque 150 personnes, Franck Bernigaud, président de la fédération a fait le bilan de cette année d’activité pour les distributeurs.

Le rythme annuel du chiffre d’affaires de la profession s’élève à 2,3 % dans l’activité matériaux de construction et  à + 1,6 % dans le négoce de bois. Une progression encore limitée de l’avis du responsable et surtout peu homogène sur le territoire, « certaines régions tardant encore à rejoindre cette dynamique de croissance ».

Le président souligne en effet que « l’enterrement des dispositifs fiscaux qui soutiennent l’isolation (comme le Crédit d'impôt transition énergétique) risque de pénaliser à terme l’élan de reprise qui a été notamment accompagné via le label « Negoce partenaire RGE » lancé par la profession l’an dernier.

 Comment récupérer les palettes en bois

Autre sujet qui fâche, outre celui de la récupération des déchets imposée par la loi de transition énergétique : la politique de consignation et de déconsignation des palettes transportant les matériaux mise en place par les industriels. Après les fabricants de blocs béton, les fabricants de tuiles ont à leur tour adopté cette gestion depuis le 1er janvier 2017.

Pour respecter le décret n°2016-288 du 10 mars 2016 relatif à la prévention et la gestion des déchets des industriels, les adhérents de la Fédération des tuiles et briques, ont mis en place une politique de palettes consignées et retournées chez le fabricant pour éviter qu’elles ne soient considérées comme des déchets et brûlées.

Imerys Toiture a le premier proposé ce service. « Nous sommes passés de 70 modèles de palettes à 3 aujourd’hui et avons revu toute nos outils d’emballage et modes de conditionnement » pour proposer des palettes plus stables et renforcées, indique Eric Lebeau, directeur commercial chez Imerys toiture, l’un des partenaires industriels de la FNBM.

Des coûts de gestion pour les entreprises du négoce

Résultat : la palette peut être réutilisée 6 à 7 fois au prix d’une remise en état supportée par l’industriel, dans ses usines en partenariat avec un centre collecteur. Une politique industrielle vertueuse mais qui a des répercussions chez les négociants.

En effet, pour Franck Bernigaud, elle aurait dû faire l’objet d’une présentation et réflexion préalable, pour permettre une adaptation dans le temps des entreprises du négoce. C’est donc « un ras le bol général avec la gestion des déchets » que la FNBM exprime face à ses partenaires industriels.

« Ce sont des coûts de gestion (Ndlr : facturation de la palette consignée aux entreprises du bâtiment) pour nos entreprises, car on ne marge pas sur cette opération » indique Franck Bernigaud. C’est un chiffre d’affaires à marge zéro, pour un résultat nul, avec des frais de traitement importants surtout lorsqu’il faut récupérer les palettes sur le chantier chez certains clients. Un coût évalué à 2 à 3 euros de traitement par palette pour le négoce, selon le président.


De gauche à droite : Laurent Martin Saint Leon, délégué général de la FNBM, Hervé Biancarelli, président de la commission économique et Franck Bernigaud, président de la FNBM

Bientôt les palettes de ciment, enduits, poudres…

Outre les frais de gestion, les négociants doivent en effet assurer un service logistique en récupérant les palettes consignées et en les stockant en attendant leur reprise par l’industriel. De fait, Franck Bernigaud, indique pour sa part qu’il doit gérer 20 modèles de palettes de tuiles et de briques (formats différents) sur son parc de matériaux.

« 98 % des tuiles passent par les négoces » rappelle le président de la FNBM qui redoute que cette politique ne s’étende aux autres produits tels que le ciment ou les sacs d’enduits, les industriels de ces secteurs étant en réflexion sur le sujet, selon le responsable

La profession des négociants souhaite donc discuter d’un nouveau mode opératoire avec les fédérations des industriels, dont la Fédération des tuiles et briques. L’une des pistes pourrait être la mise place, avec l’aide des pouvoirs publics, d’un système d’écocontribution basé sur le principe pollueur-payeurs. Il permettrait de partager le coût de collecte et de traitement des palettes en impliquant toute la chaîne d’utilisateurs….

Source : batirama.com / Fabienne Leroy

Oloron : la mairie veut exploiter l’argile de Soeix pour créer des emplois

Sept trous d’une profondeur de dix mètres ont été effectués sur un terrain de Soeix. GC Conseil et la mairie souhaitent connaître la qualité de l’argile qui se trouve sur ce terrain. Des potiers béarnais tels qu’Hervé Billard ont été invités à se faire leur idée sur place.

En ce début de semaine, des prélèvements d’argile ont été effectués à Soeix. Le carrier Guillaume Costanzo et le maire d’Oloron veulent convaincre des professionnels de s’intéresser à cette matière première et espèrent ainsi créer un pôle économique local autour de la poterie.

Source La République des Pyrénées par Gildas Boënnec 

27/11/2017

MONIER - NOUVEAU CONDITIONNEMENT À L'USINE DE MARSEILLE

L’usine de Marseille est à l’écoute de ses clients et investit toujours plus pour les satisfaire.
Aujourd’hui, la tuilerie de Marseille renouvelle ses équipements et met en place un nouveau système de conditionnement. Un process robotisé qui permet maintenant de conditionner les tuiles par six. Les tuiles sont ainsi plus stables sur les palettes et assurent une meilleure sécurité lors de la manutention. Les petits paquets permettent surtout une répartition facilitée sur la toiture, une mise en oeuvre simplifiée, un gain de temps à la manutention et à la pose.

L'usine de Marseille produit les tuiles et accessoires suivants :


  • Romane 
  • Galleane® 10
  • Galleane® 10 Patinée 
  • Abeille 


Source Monier

Standard Industries nomme Calvin Mitchell au poste de directeur mondial de la communication

Standard Industries a annoncé que Calvin Mitchell avait rejoint la société au poste de directeur mondial de la communication, et qu'il dépendrait directement des co-PDG David Millstone et David Winter.

M. Mitchell possède plus de 25 années d'expérience dans la fourniture de conseils en communication stratégique auprès d'entreprises de haut niveau et de dirigeants gouvernementaux, ayant élaboré et exécuté des plans de communication stratégique à long terme, et occupé les fonctions de porte-parole auprès des médias.

M. Mitchell a précédemment occupé les postes de co-directeur mondial de la communication d'entreprise chez Credit Suisse, et de directeur mondial des affaires d'entreprise chez Thomson Reuters.
Il a également exercé plusieurs fonctions à responsabilité dans la communication auprès du gouvernement américain au sein du département d'État, du département du Trésor, de la Maison-Blanche, du Conseil de sécurité nationale, et de la Mission américaine auprès des Nations Unies.
Il a également occupé le poste de directeur de la communication au sein de la banque de la Réserve fédérale de New York, sous la direction de Timothy Geithner, pendant la crise financière.

À propos de Standard Industries Standard Industries est une société de portefeuille privée, internationale et diversifiée, qui possède des participations dans des sociétés de matériaux de construction, d'agrégats, ainsi que dans des sociétés connexes d'investissement dans les actions et l'immobilier.
Fondée en 1886, Standard Industries compte plus de 15 000 employés et intervient dans plus de 80 pays. Ses filiales d'exploitation incluent :

  • GAF, fabricant de toitures leader en Amérique du Nord ; 
  • Braas Monier Building Group, fabricant et fournisseur leader de toitures inclinées en Europe, dans certains pays asiatiques, et en Afrique du Sud ; 
  • Icopal, société européenne leader dans le secteur des toitures commerciales ; 
  • SGI, société d'agrégats et minière leader en Amérique du Nord, qui fournit des produits spécialisés au secteur nord-américain des matériaux de construction ; 
  • et Siplast, fournisseur de membranes bitumeuses modifiées haut de gamme et de produits d'étanchéité liquide pour les toitures.  


Source Le Lezard

26/11/2017

Wienerberger reduces profit forecast, shares tumble

Brickmaker Wienerberger (WBSV.VI) reduced its full-year core profit target by 2.5 percent after orders for international projects and demand in France fell short of expectations, sending its shares down more than 8 percent.

The Austrian company now expects earnings before interest, tax, depreciation and amortisation (EBITDA), adjusted for contributions from the sale of non-core assets and other effects, to reach 405 million euros (357.85 million pounds) in 2017, it said on Wednesday.

Previously it forecast 415 million euros.

The world’s largest brickmaker said that higher raw material costs, sinking demand for one- and two-family homes in Germany and repercussions of wet weather in the United States were also factors for the forecast adjustment.

Wienerberger shares fell as much as 8.9 percent in early trade to 19.80 euros.

The stock has gained more than 25 percent since the beginning of the year, outperforming the European construction index .SXOP, which is up nearly 10 percent.

Wienerberger reported a flat EBITDA of 125 million euros for the third quarter, whereas analysts had expected 139 million euros on average, according to Thomson Reuters data.

Revenue of 832 million euros also fell short of expectations for 871 million euros.

While the recovery expected for the third quarter did not materialise in certain fields of business, there was a reason to be optimistic in the longer term, Chief Executive Heimo Scheuch said in a statement. “In the medium and long term, we anticipate sustainable growth in new housing starts and in infrastructure spending,” Scheuch said. “This trend is already clearly visible in Eastern Europe.”

Wienerberger has been on a shopping spree in recent months, buying brickmakers in Austria, Germany, the U.S. and Romania and Belgian prewired conduits maker Preflex in its expand globally, spending a total of 85 million euros.

Source Reuters reporting by Kirsti Knolle, editing by Louise Heavens