Pages

09/07/2017

Cleia wins two orders in Argentina and Spain

Cleia, the French plant engineering company, has been entrusted with two new projects in South America and Europe. Cleia is building a turnkey plant for manufacturing masonry bricks in Argentina and revamping a roofing tile production plant operated by the Spanish customer Tejas Borja for firing on H-type setters.

Tecnocer brick plant, Argentina

Cleia will construct this new brick plant for the production of T6 and T9 hollow clay bricks, for which there is a strong demand on the market in this region of Patagonia.

The modern production line will include clay preparation and shaping equipment including Pelerin machines, a cutting line and a Sirocco rapid dryer. Moreover, a Tradifast kiln and kiln cars made of refractories will be installed. In addition, robot-controlled handling circuits for loading and unloading of the kiln cars and a packaging line for strapping stacks of bricks on pallets.

This custom-designed modern unit will be installed in an existing building. The production rate was jointly defined by Cleia and the customer’s engineers.

Tejas Borja roofing tile plant, Spain

This modernization project is accompanied by a major technological change, from mass-firing to uniform firing of roofing tiles on H-type setters.

The optimum product quality will be achieved with a longitudinal shuttle system with self-centering H-setters, a unique Cleia design. This very compact circuit is particularly suitable for the modernization of existing units. The handling principle allows high precision and reliability and guarantees a long lifetime of the H-setters thanks to careful handling.

The refurbishment of the kiln will include the installation of a new roof and the installation of high-performance gas burners. Two robotized stations for the dry unloading and for the packaging, will round off the Cleia supplies and services. This new handling equipment will give the customer the flexibility of operation required for the production of new roofing tiles intended for export markets.

Source Ziegelindustrie International

08/07/2017

Inauguration du séchoir à briques de Bouloc

En 1886, la fabrication de briques était une activité majeure pour la commune. De ce passé, il ne reste qu'un séchoir. La mairie, le CAUE et l'Atelier d'Architecture itinérant proposent son inauguration et des animations autour du patrimoine et de la coconstruction, le dimanche 25 juin de 11 heures à 18 heures. Au programme : 11 h 30 apéritif inaugural, sont invités les donateurs, la population et les élus ; 12 h 30 pique-nique repas partagé (apporter l'entrée, boisons et les couverts, les chasseurs assurent les chevreuils). À partir de 14 heures : contes autour de la brique rouge animés par l'association APOIRC, exposition sur l'histoire des briqueteries de Bouloc et du séchoir animée par l'association ARHB, balade du séchoir vers le centre historique commentée par le CAUE et des animations autour d'une réalisation contemporaine des vieilles briques et tuiles, la fabrication de mobilier à partir de matériaux de réemploi et exposition des travaux de la caravane de l'Atelier d'Architecture itinérant. Tout public, gratuit, sur inscriptions auprès de la mairie : communication@mairie-bouloc.fr

Le séchoir à briques de Bouloc datant de 1842, il représente la mémoire économique de son passé. Il existait trois séchoirs et plusieurs briqueteries (quatre importantes et plusieurs petites). La municipalité en plus de sauver ce patrimoine architectural, souhaite lui redonner un rôle important car orienté vers le lien social. Sa position géographique centrale permet d'envisager des usages multiples et variés : lieux pour fêter les anniversaires des enfants, des réunions entre amis, des activités culturelles ou simplement passer un moment ; créer un espace intergénérationnel, faire de ce lieu «le troisième lieu» des Boulocains, un endroit libre et gratuit. La zone du séchoir grande de 2400 m² permet en outre de préserver une zone verte.

Source La Dépêche du Midi

07/07/2017

Cycle Terre : « démonstrateur industriel pour la ville durable »

Le projet Cycle Terre, développé par Grand Paris Aménagement, présidé par Thierry Lajoie, la Ville de Sevran et le bureau d’études Antea Goupe, a été désigné lauréat de l’appel à projets « démonstrateurs industriels pour la ville durable » des ministères de la Cohésion des Territoires et de la Transition Ecologique et Solidaire.
Il devient ainsi l’un des 23 démonstrateurs de la ville durable " qui contribue à la réputation, l’attractivité et la compétitivité des territoires en matière de savoir-faire de haut niveau dans les métiers et les technologies de la ville durable. Le projet bénéficiera d’un soutien des services des deux ministères pour le montage de l’opération et sa mise en œuvre ".
Le projet Cycle Terre consiste à " utiliser la terre comme matériau de construction de la ville et de réutiliser les terres excavées dans le cadre de la création du Grand Paris Express pour en faire de nouveaux matériaux de constructions utilisables à proximité immédiate des chantiers du réseau de transports. La première expérimentation de Cycle Terre verra le jour à proximité de l’emplacement de la future gare Sevran-Livry de la ligne 16. Les terres extraites pour la réalisation de cette gare seront d’abord triées en fonction de leur composition, puis réutilisées pour créer quatre type de matériaux (brique, panneaux d’argile, terre allégée, enduits). Ces nouveaux matériaux alimenteront l’opération d’aménagement " Sevran Terre d’Avenir ".
Cycle Terre permettra de " limiter l’impact et l’empreinte écologiques de deux projets majeurs pour le territoire (le réseau de transport et le projet d’aménagement urbain), tout en assurant la disponibilité de matériaux de construction, dans un contexte de raréfaction des ressources. Le projet s’inscrit dans une logique d’économie circulaire et permet d’optimiser l’utilisation des ressources naturelles, limiter les déchets générés tout en créant de la valeur économique, sociale et environnementale ".
Plusieurs partenaires sont engagés dans ce projet impulsé par Grand Paris Aménagement : la ville de Sevran, " qui vise à créer une filière de matériaux en terre " ; quatre laboratoires de recherche (Laboratoire IFFSTAR, CraTERRE, Amaco et Sciences Po Paris) ; un cabinet d’architecture (Joly et Loiret Architectes) ; le promoteur immobilier Quartus et un organisme de formation (Compétences Emploi). Le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) et la Société du Grand Paris " en sont également partie prenante ".
Le projet Cycle Terre ambitionne " de devenir le premier exemple d’utilisation de la terre à l’échelle d’une opération d’aménagement et de créer des synergies vers un nouveau système productif entre les acteurs de la construction et de la gestion de matériaux. Il est candidat à l’appel à projets européen " Urban innovative Actions " ".

 Source Immoweek par Valérie Garnier

06/07/2017

TUILE HP 10 HUGUENOT D’IMERYS TOITURE PARTICIPE À LA REVALORISATION DE LA GRANDE HALLE DE GERLAND À LYON

S’inscrivant dans le développement et le renouveau du quartier de Lyon Gerland (7ème), la reconversion de la Grande Halle en immeuble tertiaire fait suite à un appel d’offres lancé par EDF en 2013 pour délocaliser des bureaux jusque là situés à Villeurbanne. Portée par la foncière immobilière Gecina, la conception du projet a été confiée conjointement à D3 Architectes et à l’agence Reichen Robert & Associés qui ont imaginé un ensemble homogène dans le plus pur respect de ce patrimoine industriel. Estampillé « bâtiment historique à préserver » par la ville de Lyon, la toiture de l’ancienne halle de stockage a fait l’objet d’une attention particulière, raison pour laquelle la tuile HP 10 Huguenot d’IMERYS Toiture a été retenue.

Une réalisation où le neuf et l’ancien se marient harmonieusement

D’une surface totale de 21.360 m2, l’ensemble conçu par D3 Architectes et l’agence Reichen Robert & Associés se compose de trois bâtiments réunis dont la Grande Halle constitue le cœur :

• deux bâtiments neufs, situés de part et d’autre de la Grande Halle, destinés aux bureaux,

• l’ancienne halle de stockage avec sa double nef. Conservée dans son volume d’origine, elle est dédiée aux services tels que restaurant d’entreprise d’une capacité de 270 places dans la nef nord, salles de réunion mutualisées ouvertes au public, hall d’accueil, café connecté et espaces de détente (cafétéria d’étage, bibliothèque…).

Pour Jacques Gelez et Olivier Charles de D3 Architectes, l’un des enjeux de ce projet était de créer, « avec trois entités différentes, un ensemble homogène notamment d’un point de vue fonctionnel. Pour cela, un principe de circulation bouclée a été mis en œuvre en créant des passerelles qui connectent la Grande Halle réhabilitée aux bâtiments neufs ». Cette unité se retrouve également dans la volumétrie « car la 5ème façade a été traitée comme un ruban continu qui monte et descend ». Le PLU de Lyon imposant de gommer toutes les émergences techniques des toitures, ces dernières ont été particulièrement soignées en intégrant dans des volumes en sous-pente tous les éléments techniques, ce que seule la pente des toits permet. Cette volonté de cohérence a également motivé le choix des matériaux et des couleurs. Comme l’indique Jacques Gelez, « les façades des bâtiments neufs ont ainsi été travaillées en relation avec la pierre dorée du bâti ancien. De même, en choisissant la tuile HP 10 Huguenot coloris Gris Quartz, la chromatique de la toiture s’approche au plus près de la couleur gris clair des toitures zinc des bâtiments neufs ».

La Tuile HP 10 Huguenot pour conjuguer reflet d’un passé industriel & modernité

Bâtiment historique à préserver, la Grande Halle a fait l’objet d’une étude patrimoniale réalisée par Cécile Remond, architecte du patrimoine. Parmi les contraintes imposées, il fallait « conserver les façades et les volumes des toitures identiques à l’existant et respecter l’identité industrielle du site, ce qui impliquait de mettre en place une toiture de tuiles en terre cuite à emboîtement. La tuile d’IMERYS Toiture répondait à ces critères ».

S’en est suivie une mobilisation de l’équipe prescription d’IMERYS Toiture qui par l’intermédiaire de l’entreprise Vaganay, en charge du lot charpente bois/couverture, a proposé différents modèles (H10, Alpha 10, HP 10).

C’est lors d’une visite au salon Batimat 2015 que D3 Architectes découvre la tuile à pureau plat HP 10 Huguenot présentée en avant-première sur le stand d’IMERYS Toiture. Son « coloris gris quartz, un peu argenté, permettait d’assurer une uniformité avec les toitures zinc des bâtiments neufs ». Après vérification de la disponibilité et des délais de fabrication de la tuile, prenant en compte les temps de réalisation de la Grande Halle, le modèle est validé par l’ensemble des acteurs du projet. Jacques Gelez ajoute « la forme de la tuile HP 10 Huguenot, son côté abstrait qui n’était pas un motif traditionnel type canal ou à rayure conférait une touche contemporaine à la toiture. De plus, sa grande taille, à l’échelle du bâtiment contribuait au respect du caractère industriel du site ».

Ce sont ainsi 2.000 m2 de tuiles HP 10 Huguenot coloris Gris Quartz d’IMERYS Toiture qui ont été posées par l’entreprise Vaganay sur la toiture traditionnelle à deux pentes de la Grande Halle.

Affichant des chiffres de performance énergétique bien inférieurs à ceux exigés par la RT 2012 et la RT relative au bâtiment existant, la Grande Halle a obtenu, à sa livraison en avril 2017, les certifications NF HQE Bâtiments Tertiaires et Breeam, toutes deux au niveau excellent. Labellisée Biodiversity, cette réalisation s’est également vu décerner la certification BBCA (Bâtiment Bas Carbone).
www.imerys-toiture.com

Source Batipresse

05/07/2017

Ces panneaux solaires qui ne gâchent plus le paysage

Une entreprise italienne fabrique des tuiles photovoltaïques qui ressemblent à la perfection à la terre cuite, à la pierre et au bois.

Pour les bâtiments classés et dans les centres historiques qui parsèment l'Europe, obtenir la permission d'installer un toit photovoltaïque peut s'avérer compliqué. Souvent draconiennes, les contraintes esthétiques protégeant la vue constituent souvent des obstacles infranchissables… à moins que les cellules solaires ne se rendent invisibles.
Plus d'un ont essayé de camoufler les panneaux solaires avec des matières semblables à celles utilisées pour couvrir les toits, paver ou habiller des murs aveugles. Tesla, l'entreprise d'Elon Musk, a par exemple mis au point des bardeaux constitués de strates de verre. De tels produits sont plus ou moins invisibles de la rue, mais à partir d'une certaine hauteur il est possible de voir les cellules noires - une option inenvisageable pour certains lieux, tels les fameux toits parisiens.

Conçues pour les centres historiques

Dyaqua, une petite entreprise familiale de Vicence, en Italie, a développé une tuile photovoltaïque qui ne ressemble à aucune autre sur le marché: Invisible Solar. Succès immédiat.
Dyaqua insert les cellules photovoltaïques dans un composé polymère qui mimique des matériaux de construction tels que la pierre ou le bois, de sorte qu'elles deviennent totalement invisibles à l'œil nu.
«Depuis que la production a démarré, il y a quelques mois, nous n'arrivons pas à honorer toutes les commandes. Elles viennent non seulement d'Italie, mais également de France, d'Espagne et des États-Unis», déclare Giovanni Quagliato. Cet artiste né à Vicence, auteur d'œuvres en résine époxy, a découvert le secret pour donner une apparence totalement naturelle aux composés polymères, tout en maintenant leur transparence à la lumière.

Transformé, le composé peut ressembler à n'importe quel matériau de construction: terre cuite, pierre, ciment ou bois. Non-toxique et recyclable, fabriqué pour supporter des charges statiques élevées, il résiste également aux agents atmosphériques et aux solvants chimiques. «Tout est question de densité», explique Giovanni Quagliato. «Elle doit être suffisante pour tromper l'œil, mais pas trop, pour ne pas bloquer les rayons du soleil». Il y a quelques années, il a lancé une ligne de production de lampes LED, appelées Medea, basées sur la même technologie. Puis il a créé les systèmes photovoltaïques de la ligne Dyaqua, lancée en collaboration avec l'Agence nationale italienne pour les nouvelles technologies, l'énergie et le développement économique durable.
«Afin d'accélérer la fabrication et de répondre au rythme de la demande, il nous faudrait inventer une machine qui intègre ou replace le travail manuel»

Giovanni Quagliato, inventeur de la tuile Dyaqua

«Le principe reste le même mais contrairement aux lampes, qui doivent irradier la lumière de l'intérieur vers l'extérieur, les tuiles photovoltaïques font pénétrer les rayons du soleil, à travers leur matière transparente, jusqu'aux cellules solaires», détaille l'artiste. Mettre cette théorie en pratique n'a cependant pas été une tâche facile. Des années de travail acharné ont été nécessaires pour atteindre la concentration idéale. L'efficacité du prototype a ensuite été testée par un organisme scientifique indépendant. Les essais ont mis en lumière une performance impressionnante de 70 watts-crête par mètre carré, soit la moitié d'un module photovoltaïque classique.
Invisible Solar est commercialisé au prix de 7 euros par watt, contre 1 à 2 euros pour les modules standards. «Il faut garder à l'esprit que ces produits fabriqués main sont conçus spécifiquement pour les centres historiques, où les tuiles, même ordinaires, peuvent coûter de 1 à 7 euros», ajoute-t-il.
Fabriquées main, les tuiles «Invisible Solar» sont conçues spécifiquement pour les centres historiques.
Pour le moment, Dyaqua survit grâce à la production de lampes LED. Les produits photovoltaïques ne sont pas financièrement viables car ils requièrent une dose exorbitante de travail manuel. Aucune machine ne s'est encore montrée capable de remplacer la précision de la main de l'homme pour appliquer des couches de résine de densité variable sur et sous les cellules photovoltaïques, avec la courbe qui sied à la tuile parfaite. Créer des surfaces plates ressemblant à la pierre ou au ciment s'avère plus simple, mais reste une opération délicate, sans comparaison possible avec la production industrielle de tuiles ou de panneaux solaires ordinaires.
«Afin d'accélérer la fabrication et de répondre au rythme de la demande, il nous faudrait inventer une machine qui intègre ou replace le travail manuel», commente Giovanni Quagliato. C'est le seul moyen pour mettre en place une production de masse qui contribue à réduire les coûts et à améliorer la compétitivité du produit par rapport à ses concurrents, tels que Solar Roof de Tesla.
Mais Dyaqua ne dispose pas de fonds à investir dans une telle machine. Pour en acheter une, Matteo et Elisa, les enfants de Giovanni Quagliato, ont lancé sur IndieGoGo une campagne de crowdfunding visant à lever 20.000 dollars. «Invisible Solar répond à mon rêve d'un monde sain», confie Matteo. «Un monde où la technologie est en harmonie avec nos paysages».
http://www.dyaqua.it

Source Le Figaro par Elena Comelli, Corriere Innovazione, Italie

04/07/2017

@Wienerberger France Réseaux sociaux : les nouvelles pages de sa stratégie digitale

Après une année 2016 riche du lancement de 4 nouvelles applications et une présence déjà forte sur la plate-forme You Tube, Wienerberger France renforce encore sa stratégie digitale avec le déploiement de sa présence sur les réseaux sociaux Facebook, Linkedin ou encore Pinterest. Un triptyque que Wienerberger a retenu afin d’accroître encore le dialogue, l’échange et les services pour l’ensemble des acteurs du monde de la construction, qu’il s’agisse des particuliers, des architectes ou plus largement des professionnels.

L’inspiration terre cuite 2.0
Avec cette présence renforcée et active sur les réseaux sociaux, Wienerberger développe sa stratégie digitale pour être toujours au plus proche du particulier et des professionnels du bâtiment. Inspiration, expertise et savoir-faire seront au cœur des échanges sur l’ensemble des nouvelles pages @Wienerberger France sur les réseaux sociaux. Le leader mondial de la #TerreCuite souhaite ainsi créer une communauté pour inspirer, fédérer et échanger avec ses utilisateurs.

 Facebook : #Communauté
@Wienerberger France part à la rencontre des particuliers !
Facebook offre un point de contact réactif permettant de témoigner et de partager sur l’univers Wienerberger. Ce réseau social va fédérer progressivement une véritable communauté de “followers”, fiers de leur projet ou de leur réalisation conçue en produits Wienerberger.
Rendez-vous sur https://www.facebook.com/WienerbergerFR/ 

 Linkedin : #Professionnels
Sur Linkedin, @Wienerberger France accompagne plus particulièrement les professionnels en démontrant toute son expertise en mur, toiture et façade. Sa page Linkedin permet aussi de suivre et relayer toute l’actualité de l’industriel et du secteur de la construction. L’occasion aussi de découvrir la vie de l’entreprise et ses opportunités.
Rendez-vous sur https://www.linkedin.com/company/wienerbergerfr


Pinterest : #Inspiration
@Wienerberger France s’invite aussi sur Pinterest. Cette plate-forme aux visuels inspirants permettra de faire découvrir son univers aux architectes et particuliers pour nourrir leur créativité dans leurs futurs projets. L’exposition commence avec quatre nouveaux tableaux de réalisations :

  • Inspiration Lumière           
  • Inspiration Volume
  • Inspiration Graphique        
  • Inspiration Texture
Rendez-vous sur https://fr.pinterest.com/wienerbergerfr/

En ligne depuis le 1er juin, plusieurs publications sur ces différents réseaux sont d’ores et déjà disponibles pour vous informer des dernières actualités.

Source N Schilling

03/07/2017

TERREAL ouvre une nouvelle usine à Kluang en Malaisie

Une toute nouvelle usine vient d’ouvrir ses portes à Kluang en Malaisie. Nommée Kluang 3, cette nouvelle unité de production de 2700 m² fabrique la tuile Zen, une tuile minérale d’aspect plat.

Cet investissement de 2,4 millions d’euros répond à l’un des enjeux fixé dans la stratégie d’entreprise qui est de capter la croissance en Asie et de s’adapter à la demande du marché en proposant une tuile d’aspect plat.

Auparavant fabriquée chez un partenaire externe qui a cessé son activité en 2016, la tuile Zen prend dès lors un nouveau tournant. Sa production sera internalisée dans une usine dédiée. Le projet débute alors et en seulement un an, la première tuile Zen pressée à Kluang 3 voit le jour.

Avec cette nouvelle usine, TERREAL complète sa gamme de tuiles destinée au marché asiatique. En prenant en charge la fabrication de A à Z, le suivi de la qualité et l’adaptabilité à la demande des clients seront renforcés. La capacité de production va également être beaucoup plus importante puisqu’ 1,8 millions de pièces vont sortir chaque année de Kluang 3.

Source Terreal

02/07/2017

FOUR SK : four tunnel basse consommation.

CERITHERM et DIREXA ENGINEERING vous propose un nouveau concept de four tunnel basse consommation développé en partenariat avec Direxa Engineering et Seipia

L’EQUIPEMENT DE DEMAIN POUR PRODUIRE MIEUX, PRODUIRE PLUS,CONSOMMER MOINS, POLLUER MOINS…

PRODUIRE DIFFEREMMENT POUR PREPARER L’AVENIR

Le four SK est un four tunnel destiné à la cuisson de produits en céramique.

Sa particularité réside dans le fait que la charge n’est plus embarquée sur des wagons ni supportée et entraînée par des dispositifs traversant les parois.

Le four SK est une solution flexible destinée à l’usage des industriels de tout secteur d’activité.

Les avantages du four SK:

  1. Une étanchéité parfaite du tunnel de l’entrée à la sortie des produits
  2. La possibilité de gérer des atmosphères particulières
  3. Une isolation identique et efficace des quatre faces du tunnel : voûte, sole, parois latérales
  4. Aucune masse parasite à réchauffer et à refroidir autre que les produits et leurs supports
  5. Aucune partie mécanique à préserver de la température de cuisson
  6. Aucune limite de largeur

Les bénéfices du four SK pour les clients:
  1. Réduction de la consommation d’énergie
  2. Flexibilité des cycles de cuisson : cadences, types de traitements thermiques
  3. Gain en précision de cuisson
  4. Amélioration de la qualité des produits finis, diminution du taux de rebut
  5. Gain de productivité, rentabilité produit
  6. Réduction des encours
  7. Possibilité de cycles courts : l’équipement n’est plus limitant
  8. Rentabilité accrue de l’outil de production

01/07/2017

Vicat bichonne la carrière de Xeuilley

Vicat s’emploie depuis 2003 à préserver la biodiversité du site où se situe la carrière de Xeuilley actuellement en exploitation. Ce dernier accueille plusieurs espèces d’amphibiens protégées ou bien menacées.

Située en Meurthe et Moselle, au sud de Nancy, cette carrière de 350 ha exploite des calcaires marneux ainsi que de l’argile pour la cimenterie Vicat de Xeuilley. Riche en biodiversité, ce site offre un des
plus larges foyers de population d’amphibiens de la région. On dénombre ainsi 12 espèces dont deux protégées au niveau européen : le Triton crêté et le crapaud Sonneur à ventre jaune. Cette spécificité lui a valu le classement d’une partie du site au réseau Natura 2000 en 2004. A cela s’ajoutent deux espèces vulnérables : le Crapaud calamite et le Pélodyte ponctué.

Vicat a bénéficié en 2003 d’un renouvellement d’autorisation préfectorale et s’attèle depuis à concilier l’extraction des minéraux avec la préservation des amphibiens. Parmi les mesures prises par le cimentier, on citera la création de nouvelles mares ou le rajeunissement d’ornières. Le groupe privilégie également la remise en herbe, avec cahier des charges, des zones dès que l’exploitation en est achevée.

A savoir également, Vicat collabore depuis 2002 avec le Conservatoire des Espaces Naturels de Lorraine pour préserver la biodiversité du site et entretenir l’écosystème.

Source Construction Cayola

30/06/2017

Clay brick construction – supporting the green building imperative

Clay brick construction is increasingly being recognised as a vital component of green building in the ongoing quest to find solutions that eliminate or meaningfully reduce adverse impacts of development on the environment and its occupants.

These are the words of Musa Shangase, commercial director of leading brick manufacturer, Corobrik, who adds that there is an abundance of local and international research to support this premise.

“Green buildings share a number of positive attributes with clay brick masonry,” he said. “Possibly the most significant of these is superior thermal performance.”

“Masonry construction has inherent high thermal mass. This enables a building to store heat and remain cooler for longer than lightweight structures. It deals efficiently with extremes of temperature in both summer and winter so that, regardless of how hot it becomes outside in the daytime or how much cooler it gets inside the house at  night, the interior remains comfortable.”

“This leads to lower life cycle operating costs in addition to being energy efficient, resource efficient and environmentally responsible,” he said.

Shangase cited the red-brick Britten Pears Archive in Suffolk, England as a fine example of a green building which has won numerous architectural awards including the Civic Trust Award for sustainable architecture for its ability to protect and preserve the fragile collection celebrating the work of the renowned composer, without using mechanical temperature control.

A case study prepared by the UK’s Brick Development Association said that the aim of the architects and the engineers, was to create a passive archive where the internal environment was controlled with minimal energy input. Because the structure required good thermal shielding, they felt that brick offered the ideal solution.

This thinking was reinforced by a study conducted by The University of Newcastle in Australia which measured how well the internal surface of various external walling systems responded to the external surface temperature under all weather parameters. It found that the insulated cavity brick module with its combination of thermal shielding and insulation layers performed best. The outer skin improved the overall performance while the thermal mass within the wall helped moderate the internal temperature.

The well insulated brick walls would play an important part in moderating the temperature as well as the relative humidity between the outside environment and the valuable objects inside the building.

“This was achieved through effective thermal shielding delivered by natural and sustainable clay brick masonry,” Shangase said.

These thermal benefits are also of huge value in the South African context with its extreme climatic conditions, Shangase said, but clay brick has many other benefits that support its green building credentials.

“Its material density provides a natural sound barrier facilitating quiet indoor environments and its mineral properties prevent the release of volatile organic compounds (VOCs) at levels which could impinge on indoor air quality. They also facilitate the absorption and release of moisture from the air to help keep humidity within a 40 to 60 percent level for healthy living. This, in turn, promotes comfort, wellness and productivity.”

He concluded, “There is no doubt that clay brick delivers enduring structural integrity, creating durable and secure buildings in line with the ongoing trend towards a more responsible and sustainable built environment.”

Source Engineering News

29/06/2017

Vous saurez tout sur la brique au Biennale Architecture Lyon !

A l’occasion du Biennale Architecture Lyon qui a débuté le 15 Juin  à La Sucrière de Lyon, un Atelier Matières à Construire (amaco) propose de découvrir la production de briques.

Le Biennale Architecture Lyon invite à débattre des processus de fabrication de l’architecture, de la ville et du paysage.

Lors de cet évènement, l’Atelier Matières à Construire, amaco, centre d’expérimentation transdisciplinaire qui vise à revaloriser les matières brutes élémentaires telles que le sable, l’eau, les fibres ou la terre ; anime des ateliers publics.

Parmi eux, le projet « Qui es-tu, brique ? » propose de faire découvrir l’univers de la brique de terre crue, de ses formes, de ses textures, de ses fonctions, de ses usages, de ses appareillages et de ses structures.

Des ateliers de production de briques sont organisés à cette occasion le 16, 17 et 18 juin prochain à La Sucrière, à Lyon.

Source Construction Cayola

28/06/2017

Brique terre cuite et label E+C- : mariage réussi, assure la FFTB

Une étude publiée par la Fédération française des tuiles et briques (FFTB) conclut que quels que soient l'énergie utilisée ou le type de logement, la maçonnerie en briques de terre cuite est une solution toute désignée dans le cadre du label énergie carbone (E+C-).

La Fédération française des tuiles et briques (FFTB) a missionné le cabinet Pouget consultants pour évaluer la performance de la brique terre cuite eu égard aux critères du label énergie carbone (E+C-). Et le résultat semble très favorable à la solution technique. "Quels que soient l'énergie utilisée ou le type de bâtiment (maison individuelle ou logements collectifs), la maçonnerie en briques terre cuite permet d'atteindre les critères du bonus de constructibilité", affirme en effet l'organisation professionnelle dans un communiqué de presse. Pour rappel, un bonus de constructibilité est donné à un bâtiment dit "exemplaire" sur le plan énergétique ou environnemental. Il peut aller jusqu'à +30% de surfaces autorisées par rapport aux documents d'urbanisme, dans un minimum de +3% de surface habitable.

Huit zones climatiques prises en compte


D'après l'arrêté du 12 octobre 2016, ces critères sont notamment ceux d'atteindre le niveau "carbone 2" du référentiel énergie carbone (E+C-), ou d'atteindre une consommation d'énergie primaire (CEP) de 20% inférieure aux standards de la réglementation thermique 2012. Dans ces deux cas, les solutions briques terre cuite sont "dans les clous". "Sur un immeuble à usage collectif de 2000 m² SHAB soit 34 logements comme dans la configuration de l'étude, la brique terre cuite permet de gagner 60 m² supplémentaires, en plus du bonus de COS. C'est l'équivalent d'un 3 pièces en plus créé grâce à la performance thermique intrinsèque de la brique terre cuite", affirme Isabelle Dorgeret, secrétaire générale de la FFTB, par communiqué de presse.

L'étude de Pouget consultants prend en compte huit zones climatiques. Mais aussi deux cas de systèmes énergétiques utilisés : gaz (auquel cas, en maison individuelle, 3m² de panneaux photovoltaïques sont posés pour satisfaire l'exigence sur la production en énergie renouvelable), et électricité.

Source Batiactu

27/06/2017

RE2018 : Préparons-nous ensemble à la nouvelle réglementation

TERREAL s’engage dans le plan d’expérimentation de la nouvelle réglementation environnementale RE2018. Notre entreprise s’implique en effet depuis plusieurs années dans les réglementations thermiques, à travers notamment l’obtention du label BEPOS Effinergie pour un habitat social à Castelnaudary.

La RE2018 a 2 objectifs principaux qui sont articulés autour du label E+C- : les bâtiments devront avoir un bilan énergétique positif (E+) et un bilan carbone faible (C-). TERREAL souhaite accompagner ses clients au quotidien en leur apportant une expertise dédiée sur cette réglementation et une offre produit adaptée à leur futurs chantiers RE2018. Dans cette optique, des présentation techniques, des réunions d’informations et des formations à la mise en œuvre de nos produits sont proposées.

De nombreuses solutions sont adaptées à l’obtention du label E+C-. Les systèmes constructifs Calibric participent à la sobriété des projets. La gamme de solutions de façade terre cuite en Isolation Thermique par l’Extérieur (ITE) permet quant à elle d’allier esthétique et isolation performante. L’autoconsommation est favorisée avec le système de production d’électricité photovoltaïque Solterre Micro PV et la solution de stockage d’énergie solaire Storelio. Tout un panel de solutions disponibles pour satisfaire aux exigences de cette nouvelle réglementation.

Pour vous accompagner, TERREAL a créé une vidéo pédagogique expliquant les grands points de la RE2018. Pour la visionner, cliquez ci-dessous ou rendez-vous sur la chaîne YouTube.

Source TERREAL

26/06/2017

LAURENT FISCHER DEVIENT DIRECTEUR GÉNÉRAL DU GROUPE BMI

Laurent Fischer devient Directeur Général du groupe BMI pour les activités de couverture et d’étanchéité du groupe en France, sous les marques Monier et Siplast.

Laurent Fischer, Directeur Général de Siplast, devient Directeur Général du groupe BMI (Braas Monier – Icopal) pour les activités de couverture et d’étanchéité du groupe en France, ayant la responsabilité opérationnelle des marques Monier et Siplast.
Ses fonctions couvriront aussi bien les toits en pente que les toitures-terrasses, tant pour les marchés résidentiels que non résidentiels.
« En associant nos deux marques fortes, en France, nous pourrons proposer à nos clients un large portefeuille de solutions pour la couverture et l’étanchéité en offrant des produits et des services dédiés aux toits en pentes et aux toits plats/terrasses, pour les marchés résidentiels comme non résidentiels. Demain, ceci permettra à nos clients de bénéficier d’une plateforme commerciale plus étendue grâce à notre présence plus forte sur le marché », a déclaré Laurent Fischer, Directeur Général de BMI France.


A propos de Laurent Fischer

Laurent Fischer, ingénieur Arts & Métiers et détenteur d’un MBA de l’Insead, connaît bien le secteur du bâtiment et du second œuvre puisqu’il a occupé des postes de direction chez des leaders du secteur, notamment AkzoNobel et Tarkett. Une belle expérience à l’international, notamment en Suisse et aux Etats-Unis, complète son cursus.
Père de quatre enfants, Laurent Fischer, 51 ans, pratique le piano, le football et le windsurf. Il a rejoint Siplast en décembre 2014 en tant que Directeur commercial France avant de devenir Directeur Général de Siplast en mai 2016.

A propos de Monier

Pionnier dans le développement de systèmes complets de toiture, Monier conçoit, dans les règles de l’art, une offre innovante : tuiles Terre Cuite et Béton, composants de toiture et isolation thermique par l’extérieur. Les professionnels Monier sont authentiques dans leurs relations, privilégiant l’accompagnement et l’écoute au plus proche de leurs clients. Monier, Complètement Toit.

A propos de Siplast

Depuis 60 ans, Siplast est le spécialiste de l’étanchéité bâtiment et génie civil et pionnier dans le domaine de l’éco-construction avec, notamment, la toiture-terrasse végétalisée ou les membranes dépolluantes. Siplast est également leader dans les domaines de la sous-toiture, de la couverture (bardeaux) et de l’insonorisation. L’innovation et la maîtrise de la fabrication de ses produits impliquent un souci constant de qualité - la société est certifiée ISO 9001 : 2008 - pour mettre à disposition de ses clients les meilleures solutions et un service basé sur la proximité. Siplast veille également à l’environnement, comme le classement ISO 14001 de son site de production de Mondoubleau le montre, mais aussi par l’invention de système pour la toiture terrasse végétalisée, la gestion des eaux pluviales en toiture ou ses membranes dépolluantes.

A propos du groupe BMI

Le groupe BMI, issu de l’association de Braas Monier et d’Icopal, est le plus grand fabricant de solutions de couverture et d’étanchéité pour le toit-terrasse et le toit en pente en Europe. Avec 152 sites de production et des activités en Europe, Asie et Afrique du Sud, l’entreprise dispose d’une expérience de 165 ans. Plus de 11 000 salariés incarnent des marques renommées telles que Braas, Bramac, Cobert, Coverland, Icopal, Klöber, Monier, Redland, Schiedel, Siplast, Vedag, Villas, Wierer et Wolfin auprès de leurs clients. Le siège du groupe se situe à Londres. Son chiffre d’affaires a excédé les deux milliards d’euros en 2016.

Source Monier

25/06/2017

Direxa Engineering: ingénierie spécialisée dans l’industrie des matériaux de construction

Direxa Engineering est une société d’ingénierie spécialisée dans l’industrie des matériaux de construction, avec également un savoir-faire dans l’industrie des Céramiques Techniques. Les 15 ingénieurs les plus expérimentés de Direxa Engineering ont une expérience de plus de 15 ans chacun dans ce métier, avec des réalisations qui ont fait leurs preuves dans diverses Industries de Matériaux de Construction.

En se basant sur l’expérience et les accomplissements des membres seniors de son équipe, on peut considérer que Direxa Engineering est le leader mondial pour la réalisation de lignes de production de produits de terre-cuite extrudés en dur (stiff extrusion).  De plus, Direxa Engineering a une quantité de références s’appliquant à toute la palette des produits de terre-cuite, produits de béton, utilisation de cendres-volantes dans différents matériaux de construction, etc.  Enfin, Direxa Engineering a de nombreuses connections avec d’autres sociétés d’ingénierie spécialisées dans différent domaines pour lui permettre de s’attaquer à presque tout projet dans l’Industrie des Matériaux de Construction.

Le “Business Model” de Direxa Engineering
Direxa Engineering se focalise autour de deux missions fondamentales:
L’activité d’ensemblier vendeur de solutions (en anglais : EPC, pour Engineering, Procurement and Construction). Cela signifie que nous n’avons pas d’ateliers propres pour fabriquer les équipements mais que nous forgeons des alliances avec des fournisseurs clés sur chaque marché et parfois pour un projet particulier.  Il faut cependant bien noter et retenir que Direxa Engineering conçoit intégralement, et construit sur site, ses propres fours et séchoirs.
L’activité de services au sens large, supportant les clients de façon exhaustive et soutenue: expertises d’usines, études de faisabilité, service après-vente, mises à niveau et travaux de rénovation, projets d’innovation (Direxa engineering entend devenir rapidement un leader de l’innovation dans son domaine), etc.  Une des conséquences de cette focalisation est que Direxa Engineering n’hésite jamais à établir une filiale locale où que ce soit si nécessaire, et privilégie toujours le recours à des fournisseurs locaux pour développer un service de proximité.

Cette stratégie confère à Direxa Engineering deux avantages majeurs:
Flexibilité importante et résilience face aux cycles économiques naturels
La capacité de travailler intensément et sans compromis dans le meilleur intérêt du client. Il n’y a aucune pression pour donner absolument du travail à ses propres ateliers de fabrication.  Le but de Direxa Engineering est d’étudier le problème propre et particulier du client et de trouver la meilleure solution adaptée, quelle qu’elle soit.  Ainsi Direxa Engineering peut vraiment travailler dans le meilleur intérêt du client en toutes circonstances
Il est clair que le “business model” de Direxa Engineering place le client au centre de son attention.  Le besoin du client est le point de départ de notre travail, la réponse adaptée à ce besoin est notre but ultime.

Le Territoire Géographique de Direxa Engineering

Bien que basé aux USA, Direxa Engineering entend étendre son activité sur l’ensemble du globe.  Les premiers exemples en sont le Brésil et l’Australie, où des filiales ont été créées, opérant avec la même philosophie que Direxa aux USA. La filiale brésilienne est appelée à servir l’ensemble du marché Sud-Américain.
Direxa Engineering poursuit activement des projets en Asie. La Chine est l’objet d’attentions particulières. Direxa Engineering prévoit d’y ouvrir bientôt une filiale ainsi qu’ en Afrique, au Moyen-Orient et en Inde.  Direxa Engineering étudie également des alliances stratégiques qui pourraient offrir des opportunités en Europe de l’Est et en Russie, voire même en Europe de l’Ouest.

Conclusion
Comme expliqué plus haut, le client est au cœur de l’attention portée par Direxa Engineering.  Le fait que JC Steele & Sons soit investisseur dans Direxa Engineering n’est pas anodin car cette société est un des exemples le plus fort de notre industrie, sinon le plus fort, de ce qu’est le service client et de comment se rendre indispensable à ses clients.  Direxa Engineering entend suivre cet exemple et développer la même proximité avec ses clients.  Qu’une société telle que JC Steele & Sons, référence de 120 ans dans la profession, ait investi dans Direxa Engineering est le meilleur sceau d’approbation que Direxa Engineering ait pu recevoir.

Source Direxa

Händle et ZMB Braun – solutions optimales pour l‘industrie tuiles et briques nord-africaine

P lus de 250 machines de la société Händle sont actuellement en service en Afrique du Nord. Environ 30 machines sont utilisées au Maroc et en Tunisie et 220 machines en Algérie, soit comme machines individuelles, soit comme lignes de production complètes. Rien qu‘en 2017, Händle effectuera la mise en service de cinq lignes de préparation et de façonnage complètes.

De même, la nouvelle série de filières de ZMB Braun pour briques creuses est accueillie par un nombre croissant de clients satisfaits. L‘intérêt des briquetiers algériens et celui des investisseurs pour une collaboration avec le groupe d’entreprises Händle – ZMB Braun ne cesse de croître en raison de l‘immense besoin de matériaux de construction en Algérie et du fait que des produits de briqueterie innovants tels que, par exemple, les briques porteuses, peuvent ouvrir de nouveaux débouchés.

Händle sera de nouveau présent cette année avec ZMB Braun au salon Batimec où la société présentera les toutes dernières innovations dans le domaine des filières et informera sur l‘ensemble de la gamme performante de produits et des services offerts. De plus, nos clients algériens profitent du renforcement de la présence de notre entreprise en Algérie : l‘écoute de la clientèle s‘est accrue et, par conséquent l‘assistance technique et commerciale est plus intense.

Source Ziegelindustrie International

24/06/2017

TUNISIE: Poulina va investir 1 milliard de dinars dans les matériaux de construction

"Parmi nos axes de développement pour le futur, le secteur des matériaux de construction fait partie de nos nouvelles priorités", a annoncé M. Abdelwaheb Ben Ayed, fondateur et PDG de Poulina Group Holding (PGH), lors de la communication financière de la société qui se tient actuellement à son siège.

M. Ben Ayed souligne que son Groupe va répondre à une révolution du bâtiment que connaitra la Tunisie mais aussi l'Afrique vers laquelle les matériaux de construction, nouveau cheval de bataille de Poulina, seront exportés.  

"Nous avons mis en place un plan d'investissement de 1 milliard de dinars sur 10 ans", annonce M. Ben Ayed qui ajoutera que les chantiers sont lancés et les terrains sont en train d'être achetés. "Nous estimons que la première usine de fabrication de briques écologiques entrera en production en mai 2018. Une grande innovation qui révolutionnera le secteur de la construction en Tunisie", a-t-il précisé.

Source ILBoursa

23/06/2017

L’usine de méthanisation de Tiru en Saône-et-Loire cherche un débouché complémentaire

A plein régime depuis décembre 2015, l’usine de tri-méthanisation-compostage à Chagny (Saône-et-Loire) présente un premier bilan « conforme à ce qui était prévu lors de sa construction », indique son concepteur et exploitateur, le groupe Tiru, filiale d’EDF.
Toutefois, la première appréciation est : “Peut mieux faire”, si les usagers améliorent la qualité de tri de leurs ordures ménagères et si un débouché complémentaire, probablement le combustible solide de récupération, peut être trouvé.
Le point à l'occasion d’une visite organisée pour le bilan annuel de l'activité d'EDF Bourgogne-Franche-Comté, qui présente cette usine, l’une des quinze de ce type en France, comme une alternative aux énergies fossiles.

De la vapeur est injectée dans la matière organique issue des ordures ménagères, afin de la chauffer et provoquer la production de gaz dans le digesteur (silo au fond).

En choisissant l’option de la méthanisation, le Syndicat Mixte d’Etudes pour la valorisation des déchets ménagers (SMET 71) qui gère les ordures ménagères d’une grande partie de la Saône-et-Loire (320.000 habitants), voulait réduire la part d’enfouissement des ordures ménagères de son centre Sur les Bois à Chagny (Saône-et- Loire).

Préférée à la construction d’une usine d’incinération dont il fut sérieusement question au début des années 2000, l’usine de tri-méthanisation-compostage réalisée et exploitée par Tiru, une filiale d’EDF, montre ses premiers impacts sur le bilan 2016 du SMET 71. Avec un peu moins de 60.000 tonnes, le volume de déchets mis en décharge a diminué de 17,5%.

Ecocea - c’est son nom - a été dimensionnée pour traiter 73.000 tonnes d’ordures ménagères par an. Parce que les poubelles ne contiennent pas que des matières organiques (restes alimentaires, mouchoirs en papier, cotons, papiers et cartons), seulement la moitié sert de matière première à la fabrication de biogaz et de compost. Le reste est enfoui dans la décharge, juste à côté.


Philippe Testevuide, directeur technique, qui fait visiter l'usine toute l'année (36.000 visiteurs depuis son ouverture en juillet 2015), montre la matière organique prête à entrer en phase de méthanisation (à droite), débarrassée de tous les indésirables (à gauche). 

Intégralement vendus à l’usine Terreal de Chagny, les 2,4 millions de m3 de biométhane produits en 2016 - satisfont 30% des besoins de l’industriel, pour la fabrication de 10 millions de tuiles.

Les recettes de biométhane couvrent 58% du coût de fonctionnement annuel de l’usine qui s’élève à 4 millions d’€. Le compost - 27.000 tonnes en 2016 - est réservé à la coopérative agricole Bourgogne du Sud (4.000 adhérents) ; à 6 euros la tonne, en sortie d’usine, il ne représente que 5% du budget.

Le reste (37%) provient de la taxe sur les ordures ménagères et du revenu - très variable selon les cours - de la vente des métaux, retirés des déchets avant le lancement du process de méthanisation.

« La première année d’exploitation est satisfaisante, mais la performance de l’usine sera améliorée lorsque les usagers feront un effort supplémentaire de tri ; beaucoup d’habitants semblent avoir oublié que les canettes et les boîtes de conserve devaient civiquement être triées à la maison, dans le bac jaune ! », expliquait Landry Léonard, vice-président du syndicat de collecte lors de la visite organisée le 10 mai dernier, par EDF Bourgogne-Franche-Comté pour illustrer la diversification des métiers de l’électricien.

Des ajustements doivent aussi optimiser la production de biométhane, notamment pendant la fermeture estivale de l’usine de Terreal. Des aménagements permettront cette année d’injecter le biogaz dans le réseau de la ville.

L’exploitant et son donneur d’ordre vont également explorer une autre piste : celle des combustibles solides de récupération. Ils permettraient de valoriser les déchets résiduels qui partent aujourd’hui en décharge et de porter la part valorisable au-delà de 50% de la collecte.

La technique encore peu développée consiste à produire un combustible solide à fort pouvoir calorifique qui intéressent les cimenteries à partir de bois d’ameublement, résidus d’appareils électriques et plastiques broyés.

Trois tris successifs pour détecter les indésirables

Le premier tri des ordures ménagères est visuel ; l'agent repère les métaux et les plastiques indésirables et les ôte avec une pelle mécanique.

Les camions qui viennent déverser le contenu des poubelles dans un vaste hangar fermé contiennent en effet encore beaucoup de déchets que l’usine est incapable d’ingérer : des encombrants (600 tonnes/an), des appareils électriques et électroniques (0,5 tonnes/ an), des bouteilles de gaz, des pneus, dont la destination devrait être les déchetteries.

« On trouve aussi des bouteilles en plastique qui perturbent le bon fonctionnement des malaxeurs », ajoute Philippe Testevuide, directeur technique du site.

Aussi le premier travail, à la réception du contenu des poubelles, est un pré-tri manuel fastidieux : installé dans la cabine de son tractopelle, un agent repère visuellement les plus gros intrus. Ensuite, un tri mécanique, magnétique et par le courant de Foucault extrait aluminium, cuivre, fer, inox, revendus pour être recyclés.

Le mouvement des poubelles les uns contre les autres pendant 3 à 4 jours provoquent l'ouverture des sacs et une dégradation de la matière organique 

Un troisième et dernier tri des indésirables est effectué à la sortie des malaxeurs, les deux gros tubes rotatifs de 48 mètres de long qui en, en trois jours, réduisent les sacs poubelle et leur contenu en une matière grossièrement tamisée.

La matière organique fait ensuite un séjour dans deux digesteurs, des silos de grande hauteur où des bactéries en aérobie, en se nourrissant du digestat chauffé à une température de 50 degrés, fabriquent du biogaz.

Dans ces silos, en digérant la matière organique, sans oxygène et à une température de 50 degrés, les bactéries produisent du biogaz en 21 jours. 

Le biogaz est épuré pour obtenir du biométhane : on sépare les impuretés, l’eau et les autres gaz notamment le dioxyde de carbone. Puis il est filtré au travers de charbon actif et compressé dans un gros ballon avant d’être injecté dans le réseau de gaz naturel.

Dernière étape, la fabrication du compost. Mélangés à des déchets verts, le digestat (ce qui reste après production de biogaz), fermente et mature sous abri pendant 14 jours. 27.000 tonnes de compost ont ainsi été produites l’an dernier, et dispersées dans une cinquantaine d’exploitations en grandes cultures de Saône-et-Loire.


« La qualité agronomique (matière organique, azote, potassium, calcium, magnésium...) de ce compost est très au-dessus du seuil minimal exigé par la norme européenne NFU 44-051 », affirme le directeur du site qui dit que le produit est bien perçu par les agriculteurs.

Exemple de réussite d’un projet d’économie circulaire, l’usine de tri-méthanisation-compostage de Chagny n’est pas pour autant transposable telle quelle sur un autre territoire, estiment ses concepteurs.

La nécessité d’adapter le process et ses débouchés au contexte local explique sans doute qu’il n’y a pas plus d’une quinzaine d’usines de ce type en France.

22/06/2017

DTU 40.23 - Couverture en tuiles plates de terre cuite

Retrouvez ci-dessous toutes les informations relatives au DTU 40.23 - Couverture en tuiles plates de terre cuite.

Domaine d’application

Le DTU 40.23 « Couverture en tuiles plates de terre cuite » donne les spécifications de mise en œuvre des couvertures en tuiles plates de terre cuite, aptes à couvrir tous les bâtiments, quelle que soit leur destination, situés en plaine (altitude inférieure ou égale à 900 m) et en France métropolitaine.

Le défaut de planitude générale des supports de liteaux ne doit pas dépasser 1/100 de la portée des liteaux, en tous points du support de la couverture.

La version en vigueur de ce DTU, à la publication de cette fiche, est celle de septembre 1996.

Matériaux visés

Les exigences que doivent respecter l’ensemble des composants nécessaires à la mise en œuvre d’une couverture en tuiles plates de terre cuite (tuiles, supports de couverture admissibles, fixations, mortiers, bandes métalliques, écran de sous-toiture, etc.) sont données dans le chapitre 3 de la partie 1 du DTU 40.23.

Mise en œuvre : l’essentiel

Selon la zone d’application (I, II ou III) et la situation du bâtiment (protégée, normale ou exposée), la pente minimale admissible (pour des rampants de longueur de projection inférieure ou égale à 8 m) devra être comprise entre 0,70 et 1,25 m/m, la longueur de recouvrement pouvant être supérieure ou égale à 7, 8 ou 9 cm selon les zones considérées.

Les divers cas sont rassemblés dans le tableau 1 du DTU 40.23. En cas de présence d’un écran de sous-toiture, les pentes minimales sont abaissées (tableau 2 du DTU 40.23).

La mise en œuvre peut s’envisager sur des liteaux :
bois : les tuiles doivent reposer sur trois appuis au minimum et être fixées à l’aide d’une pointe ou d’une agrafe à chaque intersection d’un chevron avec un liteau. Les dimensionnements des systèmes de fixation dépendent de l’épaisseur de l’élément à fixer ;
métalliques : les tuiles sont posées sur des cornières. L’épaisseur et la largeur des ailes dépendent de la portée et des charges.

La fixation des tuiles au support est réalisée par clouage ou crochet. Le dimensionnement se fera en fonction de la pente et de l’exposition au vent de la couverture ainsi que de la région de localisation de l’ouvrage considéré. Le tableau 5 du DTU 40.23 rassemble les diverses conditions.

Le DTU 40.23 traite également de la mise en œuvre des ouvrages particuliers, notamment :
l’égout : il peut être droit ou biais. Dans le premier cas, les tuiles doivent avoir la même inclinaison que les autres tuiles. Dans le second, les tuiles sont tranchées parallèlement à la ligne d’égout ;
le faîtage : dans le cas d’un faîtage droit, la ligne de faîte est recouverte à l’aide de faîtières à emboitement, à glissement ou disposées jointivement bout à bout. Leur fixation peut être réalisée soit au mortier, soit par clouage, pannetonnage ou crochetage, soit par tire-fond ;
les noues : elles sont en général réalisées comme des égouts biais. Elles sont mises en œuvre soit à l’aide d’éléments spéciaux ; soit à l’aide de double tranchis de tuiles ou noquets cachés entre la superposition des tuiles ;
les rives : lorsqu’elles sont de tête, elles peuvent dépasser du mur ou non. Dans le premier cas, le dernier rang de tête est recouvert d’une garniture métallique associée à une bande de solin. Dans le deuxième cas, les rives de tête sont constituées par des faîtières en terre cuite spéciales ou une garniture métallique.

Les rives peuvent aussi être latérales. Elles sont alors généralement mises en œuvre à l’aide :

  • de tuiles scellées entre elles ;
  • d'une bande ou de noquets métalliques ;
  • de tuiles ou demi-tuiles de rive à rabat.


Les écrans interposés entre le comble et la face interne des tuiles de couverture peuvent se présenter de différentes manières :

  • souple ;
  • en bois ou dérivé du bois ;
  • en terre cuite ;
  • en éléments porteurs en maçonnerie, préfabriqués ou non.


Selon l’occupation des combles, l’isolation thermique sera mise en œuvre en plancher de comble ou sous rampant.

Une ventilation de la sous-face des tuiles doit impérativement être assurée, soit par le volume des combles (isolation en plancher), soit par une lame d’air continue entre la sous-face de la couverture et son support.

N.B. : Cette fiche rapporte l’essentiel du DTU 40.23. Elle ne se substitue en aucun cas à ce document normatif. Pour tout complément souhaité sur ce type de mise en œuvre, consultez le DTU disponible auprès de l’AFNOR ou du CSTB.

Source Batirama.com  

21/06/2017

BELGIQUE: A 25 ans, Mathieu Guitoun se lance dans la fabrication artisanale de la brique de Hesbaye



La brique de Hesbaye, le fruit du travail de Mathieu Guitoun, jeune entrepreneur dynamique.

Mathieu Guitoun est un jeune entrepreneur. A 25 ans, il a décidé de devenir briquetier. Sa production est artisanale, celle d'une brique comme on la faisait jadis dans nos campagnes, la brique de Hesbaye.

Un rêve se réalise
A 25 ans, Mathieu Guitoun réalise son rêve, celui de travailler dans le secteur de la construction aux côtés de son père qui s'est spécialisé dans la rénovation de bâtiments anciens.  Il utilise un produit du terroir: la brique de Hesbaye. "C'est une brique 100% terre cuite.  C'est un produit du terroir car dans le temps, ils utilisaient la terre de terrassement pour fabriquer ces briques.  Cette brique a un potentiel au niveau de l'absorption de l'humidité, de la résistance, de l'aspect.  Certains bâtiments, comme celui-ci, à Jeneffe où nous travaillons, par exemple, datant d'avant 1800, prouvent qu'elle vieillit très bien", explique Khalile Guitoun, le père de Mathieu.

La brique de récupération devient rare et couteuse
Pour transformer les bâtiments, l'entreprise familiale achetait des lots de briques de récupération.  "Elles ont tendance à se raréfier, les prix ont donc eu tendance à flamber. Et lorsqu'on achetait plusieurs palettes, dans le lot, on constatait qu'au coeur de la palette, les briques étaient soient des morceaux qu'on ne savait pas réemployer, soit elles étaient mal cuites.  Donc, là, c'était un problème qualitatif".  De là est donc venue l'idée à Mathieu d'essayer d'en faire soi-même en respectant les traditions.

Le site de production est à Riemst
Mathieu est très débrouillard.  Il est parfait bilingue.  Son diplôme de comptable en poche, il a visité des briqueteries et a acheté une machine pour produire ses propres briques.  Depuis quelques mois, il s'est installé à Riemst où sa matière première est la terre de Hesbaye évidemment. "A partir du moment où la brique est pressée, on va la faire sécher de manière naturelle, à l'air libre dans les hangars.  Une fois que la brique est séchée, elle va être mise sur palette réfractaire pour être enfournée. Selon les saisons, ça varie entre quatre et huit semaines.  La cuisson se fait sur une durée de deux semaines.  Pendant ces deux semaines, on va atteindre un pic de 1080, 1100 degrés et puis on redescendra de manière contrôlée jusqu'à obtenir le produit fini", explique-t-il.

La demande est forte, le succès assuré
Nous avons rencontré Guy Bourguignon, architecte à Geer.  Pour cet architecte habitué à transformer d'anciens bâtiments, la brique de Hesbaye va connaître un nouveau départ avec cette initiative industrielle: "C'est un bon produit qui, à mon avis, va apporter quelque chose à toutes les rénovations qu'on pourra faire dans le futur.  Il faut voir au niveau marketing comment ça va être développé, quelle sera la demande, quelle sera la concurrence des gros groupes en fonction du prix de vente de la brique, mais je pense que c'est une brique qui va avoir du succès".

Moins d'un euro
En fonction du format et du modèle, le prix de la brique de Hesbaye se situe entre 45 et 70 centimes.

Source RTBF

20/06/2017

La palette attitude Koramic renforce l'engagement Wienerberger

Après avoir ouvert la voie du secteur dès 2012 dans la consignation des palettes avec la gamme Porotherm, Wienerberger étend la consignation depuis le 2 mai 2017, sur l’ensemble de l’Hexagone, aux palettes des tuiles et accessoires Koramic. Une démarche écoresponsable poussée en faveur du respect de l’environnement que Wienerberger souhaite partager avec les professionnels distributeurs et poseurs sous la maxime : “Pour la planète adoptons la palette attitude”.

Palettes renforcées, environnement préservé, économie circulaire, le tryptique Wienerberger gagnant !

En France, alors qu’une palette consignée peut effectuer jusqu’à 10 rotations en conservant toutes ses performances, 60 millions de palettes sont perdues par an, soit l’équivalent de 6.000 m3 de bois détruits par jour ouvrable*.
Éco-responsable depuis l’origine, Wienerberger privilégie la réutilisation des palettes et renforce encore son accompagnement auprès des entreprises dans leur gestion de déchets. En effet, Wienerberger confirme son ancrage historique dans le développement durable en déployant la consignation des palettes pour tous les produits et accessoires terre cuite de sa marque Toiture Koramic.

Accompagnement du réseau de distribution et des artisans

Dans un souci d’accompagnement, depuis plus de cinq mois, Koramic informe et sensibilise ses partenaires distributeurs. Une communication sur mesure a été déployée avec les partenaires de la marque, complétée par une information et des rencontres régulières sur le terrain.
Afin de relayer l’information auprès des artisans, Koramic met également à la disposition des négociants un pack d’information composé d’une documentation détaillée et d’affiches.
Le retour des palettes peut être organisé soit par le distributeur luimême soit par Koramic, un formulaire de retour et de contact est alors disponible en un simple clic, via le formulaire PDF téléchargeable sur le site Internet de Wienerberger : www.paletteconsignewienerberger.fr

Les équipes commerciales, le service client et logistique sont aussi présents en back office pour répondre à toutes les questions et faciliter la mise en place de la consignation.
Des étiquettes sur les housses aident à distinguer ces nouvelles palettes ainsi que la flamme Wienerberger apposée sur les quatre côtés. Ces palettes à quatre entrées facilitent également la manutention sur chantier.
Autres informations d’importance mises en avant dans ce dispositif, les préconisations de l’Ademe sur les déchets bois et emballages non souillés.

Optimisation des palettes

Enfin, le développement de cette démarche a aussi été l’occasion pour Koramic de renforcer ses palettes : plus résistantes, elles garantissent de meilleurs gerbages et houssages, une manutention facilitée, une protection optimale des tuiles et bien entendu, une identification aisée (marquage intégré sur les quatre côtés). De quoi finir de convaincre tous les acteurs de la filière à adopter la “palette attitude”.

Source Wienerberger

19/06/2017

Une nouvelle tuile Grand Moule du Sud : l’Héritage Canal

TERREAL renforce son offre dédiée à la rénovation avec la nouvelle tuile de la gamme Grand Moule du Sud : l’Héritage Canal. Facile à poser sur tous les types de charpente, elle allie parfaitement l’élégance d’une tuile canal traditionnelle aux performances d’une tuile moderne, pour des toitures fidèles à l’architecture du sud de la France.

Unique sur le marché grâce à son esthétique canal accentuée et son fort jeu longitudinal et latéral, la tuile Héritage Canal habille tous les types de toitures, même à faible pente, en leur apportant authenticité et caractère. Son courant et ses 5 coloris redonnent une âme aux bâtis et réinventent l’esprit canal.

Source Terreal

18/06/2017

CERITHERM: Brûleurs CT100* et CT150* type « jet » avec contrôle de flamme

CERITHERM dispose d’une gamme de brûleurs gaz. Cette gamme répond aux contraintes de votre process de fabrication.

Leur design est un véritable atout : les brûleurs s’adaptent à tout type de configuration sans modifications de vos installations.

Pour une intégration optimale de ses brûleurs sur vos équipements, CERITHERM vous propose :

  • auditer vos installations,
  • mesurer votre consommation d’énergie,
  • vous accompagner dans la transition vers des énergies alternatives aux énergies fossiles.

CERITHERM est également en mesure de faire évoluer ses brûleurs pour répondre à vos besoins.

Brûleurs CT100* et CT150* type « jet » avec contrôle de flamme:

  • Puissance 100kW et 250kW
  • Consommation réduite en fonctionnement « petit feu »,
  • Parfaitement adaptés à un brassage intensif à basse température,
  • Vitesse de sortie configurable (jusqu’à 250m/s),
  • Ouvreaux démontables, nettoyables, réparables.
  • Compatibles biogaz, syngas,
  • Existent avec ouvreaux SiC.

ALFI TECHNOLOGIES: SOLUTIONS POUR L’INDUSTRIE DE LA TERRE CUITE

40 ans d’innovation dans la terre cuite

ALFI Technologies met à votre service plus de 40 années d’expérience et d’innovation et s’appuie sur 200 références de séchoirs ANJOU®, véritable référence du séchage rapide et 300 lignes de manutention construites dans le monde (tuiles et briques).

  • Automatisation
  • Augmentation de capacité
  • Fiabilité et robustesse dans le temps

Séchoir ANJOU est une marque déposée par ALFI Technologies

ALFI Technologies investit de façon continue en R&D et s’appuie sur des compétences en ingénieries multi-marchés adaptées à différents types de matériaux. La société s’enrichit de cette culture unique et d’une forte dimension internationale pour proposer des solutions clés en main à ses clients sur le marché de la terre cuite, plus précisément dans les fonctions connexes ou complémentaires au cœur du process (transitique produits, manutention de séchoir, équipements spécialisés…).
ALFI Technologies s’est positionnée en tant que partenaire des plus grands intégrateurs ou directement en tant qu’intégrateur.

Coupeurs
ALFI Technologies intègre plusieurs types de coupeurs permettant de traiter une large gamme de produits : briques, tuiles filées, blocs ou pavés. Le coupeur grande capacité présenté par ALFI Technologies...

Chargeurs
Chargeurs haute cadence Les chargeurs ALFI Technologies permettent l’alimentation à haute cadence du séchoir, quelle que soit la largeur et la structure des balancelles. Ils sont conçus pour préserver la qualité...

Séchoirs rapides ANJOU®
Séchoirs rapides ANJOU® ALFI Fimec, créateur du séchoir ANJOU®, séchoir rapide à balancelles, développe de nouvelles technologies pour des séchoirs plus compacts, plus rapides, moins consommateurs d’énergie. Ces séchoirs, équipés...

Déchargeurs
Déchargeurs de séchoir Les déchargeurs de séchoirs assurent aussi une fonction de pré-empilage. ALFI Technologies a développé deux catégories de déchargeurs. Des déchargeurs classiques : ils permettent d’évacuer les produits...

Empileurs
Empileurs haute performance Les empileurs ALFI Technologies chargent les wagons en empilant les produits directement dessus. Ils proposent deux types de chargement : sur la longueur du wagon, configuration classique sur la...

Equipements de wagons transbordeurs: roues et graisseurs
Roues de wagons Les roues fabriquées par ALFI Technologies (200, 240, 300 et 400 mm) sont forgées en acier avec une profondeur de trempe de la bande roulement et des joues...

Transitique wagons
Transitique de wagons transbordeurs et équipements au sol Les éléments de manutentions wagons, pour four ou séchoir, assurent un fonctionnement optimal de votre installation. ALFI Technologies développe des transbordeurs qui s’adaptent à...

Dépileurs, palettiseurs et paquetiseurs
Dépileurs, palettiseurs et paquettiseurs ALFI Technologies révolutionne les opérations de dépilage avec une solution polyvalente qui permet de déposer les paquets de briques directement sur un camion ou sur une...

Nettoyeurs de wagon
Nettoyeurs de wagon Les nettoyeurs dépoussiéreurs ALFI Technologies assurent les fonctions de dépoussiérage et d’évacuation des poussières et débris (casseaux) sur  le dessus du wagon et sous les fausses soles

Source ALFI Technologies