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04/04/2017

Enveloppe de tuiles plates Terreal récompensée par le prix Archi Design Club Award 2017

La Maison de la petite enfance de Lieusaint en Seine et Marne a été récompensée par le prix Archi Design Club Awards 2017 dans la catégorie « Enseignement petite enfance ».

Les sept maisons imbriquées en ossature bois sont enveloppées de tuiles plates qui descendent de la couverture à la façade. Les enveloppes d’écailles sont réalisées avec trois modèles de tuiles plates Terreal dans des teintes écorces d’arbre et des couleurs de feuillage automnal. 117 800 tuiles habillent 1 900m2 de toiture et de façade designé par Nomade Architectes.

Source Batijournal

03/04/2017

BOUYER LEROUX: bio’bric met à disposition ses briques de la gamme « collectif » au format BIM sur la plateforme BIM&CO

En avant-première, ouverture du catalogue bio’bric pour le marché du collectif sur la plateforme BIM & Co, lundi 27 mars 2017.
Dans le domaine du gros œuvre, Bouyer Leroux Terre Cuite avec sa marque bio’bric est le 1er industriel terre cuite à mettre à disposition des prescripteurs, des maîtres d’œuvre, des économistes et des entreprises des briques de structure au format BIM (Revit et IFC).
Comment ça marche ?
Tout simplement, il suffit de s’inscrire sur la plateforme, aller sur l’espace bio’bric en passant par la rubrique fabricant et télécharger les objets, en l’occurrence les briques bio’bric (brique et accessoires) de la gamme « logements collectifs »
« Avec le BIM, les prescriptions – analyses – contrôles - visualisation sont effectués très tôt dans l’étude d’un projet, permettant, ainsi une conception de meilleure qualité et la détection des problèmes avant la mise en chantier souligne Eric Vergès, Chef de produit Mur, en ajoutant on peut vérifier à tout moment que le produit prescrit est le bon puisqu’on télécharge la brique en 3D et ses caractéristiques techniques ».
bio’bric se « lance » et répond aux premières sollicitations et demandes... L’objectif est de faire évoluer ses objets à partir des premiers retours d’expériences des utilisateurs afin de répondre au mieux aux besoins de tous les acteurs.
La marque phare du groupe Bouyer Leroux, bio’bric, est leader national sur les marchés des briques de mur, briques de cloisons et conduits de fumée en terre cuite

Source Cécile Roux

02/04/2017

Les journées des métiers d'art : la tuilerie Royer à Soulaines

Les 31 mars, 1er et 2 avril 2017, les Journées Européennes des Métiers d’Art mettent en lumière les professionnels de votre territoire. Exemple en Champagne-Ardenne avec la tuilerie Royer à Soulaines-Dhuys, dans l'Aube.

A Soulaines, dans l'Aube, depuis 6 générations, on travaille l'argile suivant des techniques ancestrales. Une fabrication artisanale, traditionnelle, proche de la nature. La Tuilerie Royer participe aux journées européennes des métiers d'art, du 31 mars au 2 avril.

Extraction de la terre, séchage, cuisson, façonnage, vous découvrirez dans l'atelier les différentes étapes que necessite la réalisation d'une tuile. D'une simple boule d'argile, on peut créer une multitude de formes.

Des stages de poterie sont également proposés à la Tuilerie, pour découvrir les techniques de tournage, modelage, d'emaillage, de décoration ou encore de carreau médiéval (comptez entre 12€ l'heure jusqu'à 100 euros la journée et 400€ la semaine).

Source FR3

FOCUS CLEIA

CLEIA est une société d’ingénierie Française basée en Bourgogne, qui a construit sa réputation dans le secteur de la TERRE CUITE avec l'AUTOMATION comme cœur de métier.

Chiffres clés

  • Projets de 100 k€ à 25 M€
  • 55 années d’expérience
  • 600 références à l’international
  • 30 M€ de CA en 2016
  • 110 collaborateurs en France
  • 4 filiales dont 2 à l’export
  • 7300 m² d’atelier en Bourgogne
  • 1  laboratoire d’essai


Philosophie

  • But : Totale satisfaction Client
  • Levier : Innovation
  • Force : Compétence
  • Envergure : Internationale


CLEIA fait partie d'un solide groupe industriel doté d'une grande expérience internationale, qui réalise 150 M€ de chiffre d'affaire annuel avec plus de 650 collaborateurs en Europe.

Source CLEIA

01/04/2017

Des scientifiques veulent recycler les mégots de cigarettes en briques

On a trouvé une seconde vie, utile en plus, aux mégots de cigarettes.
Une équipe de scientifiques a découvert qu’utiliser les mégots de cigarettes dans la fabrication de briques en argile permet non seulement de recycler ces déchets, mais aussi de réduire l’énergie nécessaire pour cuire ces briques.
Près de 6 000 milliards de cigarettes sont produits chaque année sur la planète ce qui créé un vrai problème environnemental, a expliqué Abbas Mohajerani, maître de conférence en ingénierie à l’université RMIT de Melbourne, à Mashable Australie.
Les mégots et les filtres terminent souvent par terre dans les parcs ou les cours d’eau, et mettent des années à se dégrader, tout en diffusant leurs ingrédients chimiques dans la nature.
Mohajerani explique que son équipe a eu l’idée d’ajouter les mégots à la fabrication des briques pour régler ce problème des déchets, car les briques en argile sont parmi les matériaux de construction les plus utilisés, 1 000 milliards sont fabriqués chaque année.
Comme les filtres de cigarettes sont fabriqués à partir de matière organique, ils peuvent aussi permettre d’économiser de l’énergie pendant la "cuisson" des briques. "1 % de mégots économisent 9 % d’énergie requise pour la cuisson des briques", décrit-il. "Puisque c’est une matière organique, c’est une valeur calorifique, et donc une source d’énergie."
La qualité des briques fabriquées à partir d’1 % de mégots de cigarettes est tout aussi bonne, leur solidité et leur apparence est très similaire.
De plus, lors les mégots sont recyclés en briques, leurs ingrédients nocifs sont détruits ou paralysés : "Dans les briques en terre cuite, lorsqu’on fait le mélange de fabrication, on chauffe le tout à plus de 1 000 degrés."
Si cette méthode se développe à une échelle importante, Mohajerani avance que l’impact pourrait être significatif. "Si 2,5 % de la fabrication mondiale de briques contenait 1 % de mégots, nous pourrions éradiquer ce problème."
C’est maintenant à l’industrie et au gouvernement de passer à l’étape supérieure et de mettre en pratique cette solution. "Les mégots de cigarette sont un problème dans le monde entier, alors il faut bien commencer quelque part."
L'étude scientifique a été publiée dans le journal Waste Management. Adapté par Louise Wessbecher. Retrouvez la version originale sur Mashable.

Source Mashable France 24

31/03/2017

Industrie : ALFI Technologies invente l’usine virtuelle en 3D

A l’occasion de la semaine de l’industrie, découvrez ALFI Technologies (ex Matérials Technologies). Ce groupe, présidé par Yann Jaubert, est spécialisé dans l’ingénierie et la fabrication de lignes de manutention et solutions de production automatisée.

« En 2010, j’ai racheté le groupe Ceric en difficulté car je croyais en son potentiel et son expertise » évoque Yann Jaubert, le président de l'entreprise ALFI Technologies.
L’ingénieur assume lui-même le risque financier et remet l’ancienne filiale de Legris sur les rails. Le groupe comprend aujourd’hui quatre PME sur quatre sites industriels et emploie 200 personnes.

Le nouveau groupe a triplé son chiffre d’affaires (30 millions d’euros, dont 60 % à l’exportation) grâce à plusieurs innovations. « En matière d’intralogistique, nous faisons beaucoup de robotique. Par exemple nous avons mis au point Packtris, un robot qui s’inspire du jeu Tétris mais en trois dimensions. Le robot décide seul où il va poser les colis de taille différente sur la palette pour en faire un cube parfait » explique le pdg du groupe basé à Beaupréau-en-Mauges (Maine-et-Loire) près de Cholet.

ALFI est aussi un acteur de l’usine du futur, avec des maquettes numériques : « on peut se promener dans une usine virtuelle à l’échelle 1 avec un masque de réalité virtuelle » décrit le pdg.
Une innovation unique présentée mi-janvier dans le cadre d’une usine de laine de verre d’une surface de 2 000 m2 dans la réalité. « Le client a pu saisir un outil pour démonter un moteur, s’accroupir pour voir le dessous d’une machine, etc. » détaille Yann Jaubert.

Les aides de Bpifrance sont essentielles, car innover c’est risquer!

Des innovations soutenues par Bpifrance, qui a accordé un prêt à l’innovation taux zéro de 300 000 euros en 2013 pour développer le robot Packtris et un autre prêt à taux zéro de 400 000 euros en 2014 pour la fabrication de presses vibrantes pour le béton.

ALFI a intégré le réseau Excellence de Bpifrance ainsi que la deuxième promotion de l’accélérateur PME. « Les aides de Bpifrance son essentielles, car innover c’est risquer » estime Yann Jaubert.

Source BPI France

30/03/2017

Le long de la N7 - Fayol, l'anti-start-up de Tain-l'Hermitage

De l'eau, de la terre, du vent et du feu. Ça pourrait être un slogan publicitaire, mais il s'agit de la recette ? à peine simplifiée ? de l'un des fleurons de Tain-l'Hermitage, dans la Drôme. La maison Fayol fabrique des fours à bois à partir d'une terre blanche, extraite des carrières de Larnage, à quelques kilomètres, depuis 1840. Les premières traces de l'utilisation du site comme carrière d'argile kaolinique remontent à avant l'époque romaine. Quant aux ateliers de la maison Fayol, ils ne semblent pas avoir bougé depuis le XIXe siècle. Les machines se sont un peu perfectionnées, mais les gestes n'ont pas changé.

Éviter les catastrophes

« Venez voir ma cave à fromages », insiste Jean Pivard, le patron qui a repris l'entreprise endormie il y a 30 ans. Elle ne produisait alors plus que des briques réfractaires. Jean Pivard fait coulisser la grande porte en tôle et dévoile un entrepôt grillagé où sèchent à l'air libre des milliers de pièces façonnées cette semaine. Le mistral, qui s'engouffre sous la toiture et se faufile entre les formes en terre, fait partie de la recette.

De l'eau, de la terre, du vent et du feu. En apparence, tout est simple. En réalité, le moindre écart de méthode peut entraîner des catastrophes en série. Une quantité d'eau mal dosée, deux degrés de trop ou un séchage imparfait feront exploser les pièces à la cuisson. Une fois séchées, elles seront...

Source Boursorama

29/03/2017

TECAUMA réalise une ligne de conditionnement ultra-moderne pour TERREAL

TERREAL a fait confiance à TECAUMA pour la réalisation d'une ligne robotisée de déchargement des supports de cuisson et préparation des paquets (« poutres ») de tuiles et accessoires en terre cuite.

Cette ligne ultra-moderne, intégrant quatre robots synchronisés, a été implantée au début de l'année au sein de l'usine TERREAL de Roumazières-Loubert (Charente).

TERREAL se dote d'un plan stratégique ambitieux. Sa vision est d'être une entreprise plus innovante, plus internationale et plus compétitive. Pour atteindre cette croissance, elle poursuit plusieurs axes au niveau industriel dont la modernisation de ses usines.

La stratégie est en marche et l'automatisation dépilage de la ligne UD6.2 à Roumazières-Loubert en est l'illustration. D'autres projets d'investissements pour moderniser ses équipements sont d'ailleurs en cours dans le groupe.

La ligne installée par TECAUMA permet une grande flexibilité dans le changement de produits, puisqu'elle gère jusqu'à 40 références de produits différents, et le changement d'outils est automatique. Cette ligne assure une cadence de 2500 produits / heure.

Ce projet a permis la suppression des risques de troubles musculo-squelettiques liés aux manutentions manuelles des produits, par l'automatisation du processus de conditionnement des accessoires. Il a aussi apporté une plus grande flexibilité dans l'organisation de la production, grâce à l'automatisation du changement de produits.

Cliquez ici pour consulter l'article dans son intégralité. 

Source Terreal

28/03/2017

Suisse: Sur le marché de la tuile solaire, Freesuns veut sa place au soleil

La jeune entreprise de Colombier lance une gamme de tuiles photovoltaïques avec la volonté de démocratiser l’énergie solaire.

C’est en étant obligé de changer la toiture devenue vétuste de sa maison que John Morello a trouvé l’illumination. Cet ingénieur australien, installé à Colombier-sur-Morges depuis 2014, a imaginé et conçu de ses propres mains des tuiles photovoltaïques capables de couvrir l’intégralité de son toit. Il vit désormais avec 4000 de ces modules au-dessus de la tête et ceux-ci répondent à tous ses besoins en électricité.

«La particularité de ces tuiles réside dans leur grande adaptabilité. Ce sont des petites pièces, donc elles permettent de contourner les obstacles, comme une cheminée par exemple. Elles peuvent recouvrir 100% de la surface d’un toit», révèle John Morello qui, après avoir constaté les résultats probants de son invention, s’est associé avec son voisin Sébastien Tornassat, un industriel expérimenté, pour la commercialiser. «C’est une opportunité fantastique», estime ce dernier.

Résistance améliorée

Chaque mètre carré de ces tuiles photovoltaïques peut produire jusqu’à 136 watts par heure (Wh). Compte tenu de la grande surface du toit de John Morello (184 m2), celui-ci bénéficie d’une quantité d’énergie impressionnante. «Certains jours, l’installation m’a fourni 37 kilowatts par heure au total alors que la maison en nécessite 20. Et nous sommes en hiver!» se félicite le père de famille.

«La performance est énorme, assure Sébastien Tornassat. Nous travaillons aussi sur une gamme supérieure (ndlr: 170 Wh/m2) qui permettrait de fournir l’intégralité des besoins annuels en électricité d’un foyer.»

Du côté de Swissolar, association réunissant les professionnels de l’énergie solaire en Suisse, on tempère. «Les tuiles solaires, ça n’est pas nouveau. Il y a plusieurs autres entreprises suisses qui en proposent, comme Solaire Suisse ou Panotron, dévoile David Stickelberger, directeur. Jusqu’ici, c’est une petite niche et la durée de vie de ces produits est controversée à cause des nombreux connecteurs entre les pièces.»

Le défi des prix

«Nos tuiles sont trois à quatre fois plus résistantes que ce qui se fait déjà, promet pourtant John Morello. Nous avons posé une double couche de verre trempé sur le produit.»

«Jusqu’à présent, les tuiles photovoltaïques coûtent plus cher que des panneaux standards», poursuit David Stickelberger, persuadé que les tuiles solaires peuvent constituer une «nouvelle dynamique» même s’il émet quelques réserves.

Les deux compères de Colombier-sur-Morges se lancent justement le défi de remédier au prix rédhibitoire. «Nous avons la volonté, dans un avenir proche, de rendre l’énergie solaire accessible à tout le monde. Elle ne doit pas être réservée à une élite», affirme Sébastien Tornassat. Pour se procurer le produit, fabriqué en Chine mais garanti de qualité suisse, il faut pourtant débourser la somme de 350 francs pour chaque mètre carré, sans compter la pose. «Nous serons bientôt plus agressifs sur le marché.»

Un potentiel à étudier

Christophe Ballif, professeur à l’EPFL et spécialiste de l’énergie photovoltaïque, est quant à lui intrigué par le potentiel énergétique de ces nouvelles tuiles solaires. «J’aimerais bien pouvoir les tester dans les laboratoires du CSEM (ndlr: Centre suisse d’électronique et de microtechnique) à Neuchâtel et voir s’il y a des choses à améliorer. Mais d’une manière globale, le concept des tuiles est intéressant. Elles possèdent aussi un intérêt esthétique, elles s’intègrent mieux à la toiture et en conservent l’esprit», signale le physicien.

«Il y a plein de bâtiments dans la région qui devront changer leur toiture prochainement. Nous allons entamer des discussions pour proposer notre produit. Nous visons des bâtiments administratifs, des salles polyvalentes ou même des crèches, livre Sébastien Tornassat. Nous sommes prêts et confiants!» (24 heures)

Source 24 heures CH

27/03/2017

Bilan 2016 Wienerberger : stabilité des activités monde et France

Rencontre du 22 mars 2017 avec Francis Lagier,  Président Wienerberger SAS 

Sur un marché mondial toujours tendu, le Groupe Wienerberger (14.800 personnes) confirme la stabilité de son chiffre d’affaires 2016. En effet, avec un réseau dense de 198 sites de production dans les 30 pays où il officie, le Groupe a consolidé un chiffre d’affaires de 2,974 milliards d’euros (vs 2,972 pour 2015).

Une donnée qui se traduit par une activité industrielle soutenue, comme en attestent les produits Wienerberger commercialisés en 2016 : ceux-ci ont, à titre d’exemple, permis de construire 160.000 maisons, couvrir 288.000 toits et réaliser 630.000 kilomètres de canalisations… D’ailleurs 2016 n’a pas non plus failli à la règle Groupe avec 1 % du CA consacré à la R&D ainsi que dans des projets orientés vers l’avenir.

Précisons enfin que, sur un secteur du bâtiment toujours en peine de retrouver son dynamisme, la filiale France, Wienerberger SAS, avec ses 4 marques reconnues (Argeton, Koramic, Porotherm, Terca) et ses 800 collaborateurs, stabilise également son chiffre d’affaires à 177 millions d’euros.

Wienerberger : expertise d’un leader et stratégie de développement

Fidèle à son credo d’innovation au service de la performance et de la qualité, Wienerberger développe et conçoit des solutions complètes et reconnues pour leur qualité. Son savoir-faire, à l’origine d’avancées majeures, s’illustre au travers de réponses performantes pour les murs, la couverture et la façade.

Un succès qui se confirme aujourd’hui : en 2016, plus de 20 % des maisons individuelles réalisées en briques rectifiées Porotherm ont été mises en œuvre à l’aide de la maçonnerie Dryfix®. Cette innovation Wienerberger est un liant mono-composant en mousse à prise ultrarapide, présentée en cartouches de 0,75 litre. Dryfix® revendique une croissance constante depuis son introduction sur le marché en 2010. Précisons que l’engouement pour cette technique de mise en œuvre révolutionnaire répond parfaitement aux attentes des maçons, de plus en plus nombreux à la privilégier à la maçonnerie à joints minces.

Particulièrement performantes et adaptées aux spécificités de chaque marché, les solutions techniques Wienerberger s’avèrent de plus en plus plébiscitées par les prescripteurs et les entreprises de l’Hexagone. Depuis 2013, Wienerberger leur dédie deux gammes empruntes de la même exigence de performances pour la réalisation de tous leurs projets, en maison individuelle comme en bâtiment collectif. Ainsi, si l’offre CITIbric® se destine à la construction de logements collectifs avec isolation par l’intérieur, HOMEbric® a été spécialement pensée pour atteindre le meilleur rapport coût/performance du marché de la maison individuelle, en maçonnerie isolante de type a.

2016 aura également été l’occasion pour Wienerberger de compléter son offre structure globale, avec une nouvelle innovation : la brique à bancher BàB 20. Cette réponse hautes performances à coût maitrisé signée Wienerberger garantit homogénéité de façade, rendu esthétique, pérennité de l’ouvrage... Une solution qui permet de réaliser, tant en maison individuelle qu’en bâtiment collectif ou tertiaire, des acrotères hauts ou bas en bordure de toiture terrasse, des murs séparatifs de logements, de refend porteurs, de soubassement ou de clôtures, mais aussi des meneaux en façade...

Si depuis 1995 en France Wienerberger a déjà investi plus de 200 millions d’euros pour des unités production ultra-modernes et des rachats de briqueteries et tuileries séculaires, l’industriel accompagne sa stratégie par le déploiement de nouveaux produits parfaitement adaptés à la pluralité des styles architecturaux.

Ainsi pour la couverture, Koramic renforce sa présence dans l’ouest, avec une équipe élargit et une gamme adaptée aux spécificités régionales, notamment grâce au développement des accessoires Kanal 10 et à l’innovation Bellus pour les régions ardoises.

De même, la créativité Wienerberger s’exprime pour les toitures plus contemporaines à travers le développement de nouveaux coloris pour la tuile Actua, Noir Titane et Gris Titane et du nouveau coloris blanc émaillé pour la tuile plate 301.

Pour toujours plus de possibilités, Koramic sort une nouvelle tuile grand moule aux lignes pures et modernes, la Nueva. Tuile à pureau plat variable, la Nueva est disponible en trois coloris dont un ardoisé et un titane, et s’avère économique (9 ½ au m²). Destinées aux pentes minimales de 45 %, la Nueva propose des faîtages adaptés à chaque région ainsi qu’une gamme complète de tuiles à rabats en accessoires, chatières et tuiles à douille.

Argemax, du nouveau côté façade pour un style épuré et contemporain

Côté façade aussi, Wienerberger fait l’actualité. À travers sa nouvelle marque Argemax, Wienerberger élargit ses propositions de solutions bardage grâce à une offre fibro-ciment pour des formats plus grands et de nouveaux coloris. S’appuyant sur un partenariat exclusif en France avec SVK Wienerberger répond à une forte demande client tout en respectant la même exigence qualité que ses produits terre cuite. Bénéficiant d’une garantie de 10 ans, cette nouvelle offre se décline en 4 gammes Decoboard, Puro Plus, Colormat et Ornimat. Ornimat, très haut de gamme avec 3 couches de peinture polyuréthane, est un produit exclusif Wienerberger, seul industriel à proposer ce type de produit sur le marché français.

À chaque gamme sa spécificité, Argemax propose ainsi ses panneaux de bardages (dim. 3085 x 1235 mm, 2535 x 1235 mm) avec des possibilités dès 50 m² de personnalisation dans le nuancier RAL, mat ou métallisées, du sur-mesure complet en teintes et formats disponibles selon les gammes.

Pour une façade tout en longueur !

Wienerberger propose deux nouvelles collections exclusives de briques de parement baptisées Linaqua et Imperium.

Linaqua, avec un nouveau format linéaire (256 L x 90 l x 43 mm h), est disponible dans une palette de couleurs explicites : rouge, violet, jaune et étouffé. Haut de gamme, elle est produite de façon artisanale dans un four circulaire. Avec son aspect incomparable et sa palette de couleurs, la brique de parement Linaqua constitue le must absolu pour les maîtres d’ouvrage à la recherche de solutions pour exprimer toute leur créativité au travers de constructions à l’architecture et à l’allure particulièrement expressives. Moulées-main, les briques Linaqua doivent leur aspect caractéristique à un processus de production spécifique, dans lequel l’utilisation de l’eau joue un rôle capital. Ce traitement permet à la couleur pure de l’argile de ressortir jusqu’en surface, donnant ainsi, durant la cuisson, naissance à une très large palette de teintes intenses.

L’innovante série de briques de parement Imperium Terca est constituée de briques de base pleines de teinte brun-gris revêtues d’une couche de chaux, ce qui leur confère une allure saisissante. Cette série se décline en 8 teintes du blanc au gris, avec pour chacune, une légère réminiscence de la couleur de base d’origine au niveau des angles. Proposée en format romain fin (238 x 90 x 40 mm), la série Imperium forme l’interprétation contemporaine de l’idéal de beauté classique.

Zoom : l’architecture terre cuite sur le devant de la scène

Récompenses et réalisations

La terre cuite est un matériau aux possibilités infinies et 2016 a été une année riche en réalisations d’exception pour Wienerberger, qu’il s’agisse de références en tuiles comme en briques terre cuite. Terca et Aléonard ont été mises à l’honneur à travers des récompenses comme l’ArchiDesignclub pour Maison de la solidarité à Beauvais ; le Grand Prix « La tuile Terre cuite Architendance » (FFTB) Catégorie tertiaire pour la Cité des électriciens et pour l’Université de Pau et des Pays de l’Adour où une tuile Aléonard a été développée sur mesure par les équipes de Pontigny pour répondre à la créativité de l’architecte.

Supports d’inspiration

Afin de promouvoir l’infini des possibles de la terre cuite, soulignons que Wienerberger propose des supports d’inspiration inédits, comme le magazine Inspiration tuiles terre cuite, ou encore Architectum magazine international avec sa nouvelle version digitale pour encore plus de projets, d’interviews, de vidéos...

Enfin, en droite ligne de cette philosophie, rappelons que les candidatures au concours biennal d’envergure mondiale Wienerberger Brick Awards sont ouvertes jusqu’à fin avril, tout comme celles des traditionnels Trophées Aléonard.

Wienerberger : de nouveaux services 

Porotherm Wienerberger vient d’ouvrir son nouveau centre de formation agréée à Pont-de-Vaux. Les différents modules proposés offrent une vision complète du métier grâce à la complémentarité du concept théorie/pratique. Dotés de matériels récents pour les cours, les stagiaires pourront aussi s’exercer sur des différentes maquettes afin de traiter tous les types de maçonnerie et toutes leurs spécificités.

Côté prescription cette fois, Wienerberger confirme la disponibilité de ses bibliothèques d’objets “murs” (Porotherm) pour le BIM disponible à partir du mercredi 22 mars 2017 sur le site Polantis.

Le succès de son application Texture Generator, disponible en ligne sur wienerberger.fr montre également l’intérêt des architectes pour cet accompagnement sur mesure.


Wienerberger : développement durable 

Partenariat ONF, argile de chantier, palettes consignées

En matière de développement durable, Wienerberger s’est engagé de longue date avec une politique de performance énergétique globale (baptisée “e4” pour énergie, écologie, économie, émotion), préservant l’environnement dans toutes les phases de production, de la fabrication à l’utilisation de ses produits.

Privilégiant des distances de transport réduites en limitant par là-même son empreinte carbone, Wienerberger signe régulièrement des conventions et mène des travaux en partenariat avec l’ONF, en faveur de la protection de l’environnement comme de la conservation d’espèces et de biotopes d’intérêt particulier. Citons entre autres, les + de 60.000 arbres plantés entre 2015 et 2016 sur les 34 hectares de terrain converti en forêt à proximité du site de Durtal (49), la signature d’une convention entre Wienerberger et un maître d’ouvrage, pour que des espèces protégées menacées (crapaud vert et lézard des murailles) puissent être déplacées durant la campagne de travaux prévue sur le site industriel d’Achenheim où une zone d’espèces protégées est préservée.

Dans le même esprit d’environnement respecté et d’économie circulaire, Wienerberger utilise parfois, dans ses process, des argiles provenant des chantiers à proximité de ses sites ; la dernière référence marquante date de 2016, où 64.000 tonnes d’argiles ont été intégrées au process, dont la moitié provenait du seul chantier du CHU de Hautepierre à Strasbourg.

Développement durable toujours, Wienerberger renforce son engagement en accompagnant les entreprises dans la gestion de leurs déchets. À titre d’information, on considère au niveau France que 60 millions de palettes sont perdues par an, soit l’équivalent de 6.000 m3 de bois détruits par jour ouvrable alors qu’une palette consignée peut effectuer jusqu’à 10 rotations en conservant toutes ses performances.

Ainsi, après avoir ouvert la voix du secteur dans la consignation des palettes de la gamme Porotherm, Wienerberger étendra à partir du 1er mai 2017 la consignation aux palettes des tuiles et accessoires Koramic. Wienerberger accompagne ce lancement d’une documentation spéciale et propose au réseau de distribution une affiche de sensibilisation à destination des couvreurs, porté par un message fort : « Pour la planète adoptons la palette attitude. »

Enfin, Wienerberger confirme tout l’intérêt de la brique terre cuite, excellent compromis entre la performance thermique et la performance environnementale. Avec 99 % de ses productions opérées en France et distribuées en moyenne à 250 km autour de ses usines, précisons que Wienerberger a également équipé les trois quarts de ses briqueteries d’échangeur thermique. D’ailleurs, Wienerberger utilise désormais 40 % d’énergie renouvelable et a économisé 42 % d’émission CO2 en 30 ans ! Des facteurs clés pour Wienerberger, lui permettant de respecter les seuils carbones présagés dans les projets de la RE2018.

Source N SCHILLING

26/03/2017

TERREAL/ Bavent: Une partie du personnel de Terreal en grève


Jeudi 23 mars 2017, une dizaine d'employés de l'usine Terreal à Bavent ont monté un piquet de grève.


Une dizaine d'employés de la tuilerie ont fait grève concernant leurs conditions de travail.

Une poignée de salariés était en grève hier jeudi 23 mars 2017 à la tuilerie Terreal de Bavent (Calvados), afin de faire entendre leurs revendications sur les conditions de travail et le respect des accords passés en janvier.

Selon les grévistes, les équipes tournent sur un four au lieu des deux et le temps de travail est en cause, passant d’un 5 – 8 à un 4 – 8. « Nous devons faire plus de nuits, 16 h par mois, mais nous ne sommes payés que 5 h au tarif de nuit » explique Sliman Malem, délégué syndical CGT. « Ils ne respectent pas les cycles, on nous fait venir pendant les jours de repos. Je leur demande de respecter les accords, mais il ne se passe rien. Nous voulons également une revalorisation des salaires des employés aux accessoires ».

Toujours selon les grévistes, les conditions de travail se sont dégradées au fil du temps avec les départs en retraite sans réembauche.

On nous demande de plus en plus de polyvalence sur un fonctionnement qui nous paraît aberrant : les employés à la fabrication de tuiles sont déplacés aux accessoires et ceux de la maintenance à la fabrication pour pallier aux postes vacants. Jusque-là, nous ne disions rien, nous bossons, nous bossons… mais là, cela ne devient plus possible.
Pas d’incidence sur la production
Du côté de la direction, on considère cette action comme « un moyen pour les syndicats de se faire entendre, à quelques semaines du renouvellement des élections professionnels au sein de l’entreprise » selon Jean-Luc Regnier, directeur du pôle tuiles de l’usine.

Cette action de grève n’a pas eu d’incidence sur la production de l’usine, puisqu’elle ne concernait qu’une petite partie des salariés de l’entreprise qui en compte une centaine.

Source Le Pays d'Auge par Nicolas Mouchel

VISITEZ LE STAND ETC FRANCE AU 20E SALON BATIMATEC À ALGER DU 23 AU 27 AVRIL 2017.

Forte de nombreuses réalisations à travers le monde et d’une équipe technique et commerciale expérimentée issue du plus grand groupe français dans le domaine, Expertises et Technologies Céramique France (ETC France) est un acteur majeur dans la conception, la réalisation, la mise en route et le suivi de briqueteries et tuileries clés en main.

L’ensemble des collaborateurs de la société et ses partenaires s’appuie sur des valeurs tournées autour de fabrications fiables et de qualités reconnus par ses clients historiques mais aussi récents.

Avec ses équipements fabriqués exclusivement en France et à partir d’au moins 90% de pièces issues de l’Union Européenne, ETC France assure à ses clients une durée de vie de ses lignes de production bien au-delà de la moyenne, généralement de plusieurs dizaines d’années, sans rénovation majeure.

L’innovation continue est également au cœur de ses priorités quotidiennes afin de proposer une large offre d’équipements à la pointe des techniques de process et des solutions sur-mesure encadrées par un service après-vente efficace et essentiel.

Source ETC 

25/03/2017

ALGERIE: Le bâtiment sous la menace de la rupture d’approvisionnement en matières premières

Le 2e Salon des matériaux de construction de la wilaya de Boumerdès, qui se tient du 14 au 17 mars à la Maison de l’environnement, a mis à nu l’épineux problème de l’approvisionnement en matières premières dans l’industrie des matériaux de construction.


C’est le cas, par exemple, de l’argile nécessaire à la briqueterie de Tidjelabine. Le représentant de cette dernière nous a fait part de l’inquiétude des travailleurs face à la menace de «fermeture de l’usine d’ici une année si le ministère de l’Industrie et des Mines n’accorde pas une autorisation d’extraction d’argile pour l’approvisionner en cette matière première». Par ailleurs, le président de la Chambre de commerce de Boumerdès, M. Khadraoui, organisateur du Salon, relève le manque de sérieux de certains représentants des organismes du secteur public, comme les Impôts qui arborent toujours une attitude attentiste.

Le système bancaire algérien et le grand retard dans la mise en place du «ebank», ainsi que de prestations à la hauteur de la demande sont un autre souci dont les opérateurs se plaignent. Le problème des mentalités bloquant le développement est encore tenace. Pourtant, l’objectif déclaré de ce Salon est de «créer une synergie intersectorielle», selon les termes du président de la Chambre.

La cinquantaine d’entreprises présentes à cette manifestation avec des produits aussi variés que la boulonnerie, le plastique, l’aluminium, les treillis, les produits rouges, la faïence, le verre, mais aussi des prestataires de services comme les banques, l’ANDI, l’OPGI et la Casnos démontrent surtout que chaque secteur doit d’abord effectuer sa mise à niveau aux exigences de l’économie de marché, avant de prétendre à s’associer à des actions de partenariat.

Il s’agit pour M. Khadraoui de mettre «en adéquation le programme de l’Etat en besoin de matériaux avec les projets réels sous forme de mutualisation à travers des groupements». La sensibilisation des entrepreneurs pour l’achat des produits locaux est presque inexistante, pourtant, cette mission incombe à la Chambre de commerce. Mais comment cette dernière pourrait-elle s’acquitter de cette tâche quand elle a pour siège une cave où elle y a reçu un ambassadeur ?

Les Chambres de commerce doivent reprendre leur véritable rôle loin des arcanes bureaucratiques inhibitrices et pouvoir exercer leur dynamisme sur le terrain en accompagnant les commerçants et même les jeunes entrepreneurs qui présentent de nouveaux projets où il est question, par exemple, de procédés de construction avec la brique ou d’autres matériaux moins dangereux que le béton, surtout dans les régions à fortes activités séismiques. Le type d’aménagement et le respect de l’environnement doivent être inscrits comme préoccupations majeures pour éviter les cités-dortoirs ou les rassemblements urbains producteurs de fléaux sociaux.

Source El Watan

Albert ou le patrimoine modèle réduit

Albert Parisato vient de fêter ses 84 ans. Il faut le croire, car il ne les fait pas. Albert a passé toute sa carrière professionnelle dans le bâtiment. Mais pas dans le gros œuvre, car Albert est avant tout un artiste. C'est lui qui a construit et décoré la piscine de l'Hôtel de l'Opéra. Il a travaillé de ses mains toute une vie et n'a pas, visiblement, l'intention d'en rester là.

Depuis 25 ans qu'il est à la retraite, Albert s'est consacré à faire renaître, en modèle réduit et à l'échelle, quelques bâtiments emblématiques de la région. Le pigeonnier de Beaumont-de-Lomagne, celui de Molière, le château de La Réole (avec sa cour intérieure et sa galerie), l'église de Ramonville, le château de Loubens et même le château de Chenonceaux ! Tout est respecté matériaux (marbre, pierre et surtout brique rose) tout est réel et à l'échelle.

«Avec une brique rose du bâtiment j'en fais 1000 petites», explique Albert Parisato.» Je fais aussi les tuiles, le marbre. En ce moment je termine le pigeonnier de Ramonville-Saint-Agne : 4600 briques.»

Quarante-cinq productions et d'autres à venir qui occupent largement sa retraite. «J'ai même eu des Suisses, des Chiliens, des Boliviens et des Japonais qui sont venus voir mon travail. Je crois que cela leur a plu», poursuit-il.

Albert a gardé l'œil de l'artiste et n'a certainement pas fini de faire vivre ses œuvres dans son jardin.

Source La Dépêche du Midi par Pierre Datchary


24/03/2017

BATIMATEC 2016, cap sur le développement durable

Le salon du bâtiment et des matériaux de construction Batimatec, n'a pas perdu sa cote auprès des professionnels du secteur malgré la conjoncture économique actuelle. L’ouverture de la 19ème édition le 3 mai dernier a été marquée par un nombre plus élevé d'exposants nationaux et étrangers, un nombre de visiteurs croissant au fil des jours mais surtout par un intérêt clairement affiché pour la performance environnementale et énergétique.

Que ce soit dans les procédés et matériaux de construction ou équipements pour différentes industries, de réelles actions pragmatiques et opérationnelles se mettent en place.

Équipements

Du coté des exposants étrangers, c’est la pompe à chaleur à gaz (GHP) de la marque Toyota qui s’annonce comme la solution énergétique la plus innovante. Le directeur Afrique de l’entreprise Edergen, installateur de GHP, Rédha Tachi explique que la GHP est un système intégré de production d’énergie, elle permet de produire le chaud, le froid et eau chaude sanitaire, de plus elle est alimentée au gaz naturel qui est une source d’énergie propre.

"Aujourd’hui nous proposons la climatisation à gaz. Cet équipement trouve largement sa place sur le marché Algérien, prochainement nous allons inaugurer une promotion immobilière de villas à Tiksraine, ce promoteur a opté pour cette solution. L’évolution dans la conception du bâtiment est basée aujourd’hui sur l’économie d’énergie, le rendement et le faible cout d’exploitation qui est l’un des avantages majeurs de la GHP", précise-t-il.

En effet les avantages d’une GHP sont multiples. Elle permet de réduire les émissions de CO2 (40% d’économie de CO2). La GHP garde la puissance constante même à températures extrêmes. Chaque GHP installée à la place d’une chaudière traditionnelle à gaz de même capacité permet une économie de CO2 de 40%.
Le directeur Afrique de cette entreprise Rédha Tachi, souligne qu’il y a un réel intérêt de la part des industriels Algériens. "Notre activité s’est largement étendue, on nous sollicite de tout le territoire national. Nos clients sont des PME, de grande entreprise mais aussi des tertiaire et collectivité à forte consommation d’énergie", affirme-t-il.

Processus et matériaux de construction

Du coté des entreprises Algériennes, la briqueterie Bouras a opté pour l’utilisation de matériaux naturels et non polluants à savoir l’argile. Son slogan "de la terre, de l’eau du feu et du talent pour bâtir", explique clairement que l’entreprise favorise les démarches environnementales.

"Nous somme une entreprise spécialisée dans la transformation de produits rouges à savoir l’argile pour la production de brique. nous produisons la brique naturelle c'est-à-dire sans aucun ajout chimique. Certains ajouts notamment les colorants ont un impact négatif sur l’environnement et aussi sur la santé des travailleurs dans l’usine".

"Ce choix a été une initiative de l’entreprise depuis sa création en 1989 à Sétif », précise Imad Zahouane chargé de communication au sein du groupe.

Ce responsable explique que le processus de fabrication de brique pour cette briqueterie est écologique. Après son extraction dans des argilières, l’argile est laissée reposer entre une année et deux ans, pendant cette période l’argile se purifie en dégageant tous les acides qu’elle contient. Vient ensuite le broyage et le malaxage le séchage et enfin la cuisson.
Pour cette dernière étape Imad Zahouane explique que pour obtenir une brique rouge, il existe d’autres alternatives que d’aller vers les produits chimiques. "Au moment de la cuisson nous utilisant une température ambiante nous permettant d’obtenir la couleur rouge de manière naturelle".

Ceci dit il ne manque pas de préciser que l’implication de l’entreprise dans la préservation de l’environnement ne semble pas intéresser l’acheteur local le prix demeure son premier atout.

Néanmoins le produit de la briqueterie Bouras, parvient à s’internationaliser grâce à son processus et le respect des normes en vigueur.

Le groupe industriel des ciments d’Algérie (GICA) explore aussi des voies qui permettront de réduire l’impacte environnemental de cette industrie. Dans ce sens la station de granulats de Boussaada (M’sila) a doté récemment son unité de quatre dépoussiéreurs à air avec des convoyeurs entièrement capotés.

Pour sa part le directeur général de la cimenterie de Sour El Ghozlane, Brahim Bibi, a indiqué dans un communiqué de presse, que l’usine a connu des rénovations en début d’année et l’installation d’un filtre à manche qui ne dégage pas de poussière polluante pour l’environnement.
La nouvelle édition du Batimatec a aussi consacré dans son programme de conférences un volet pour l’environnement notamment l’éco- construction. Cette conférence qui se tiendra demain abordera plusieurs thèmes notamment ; le verre et l’économie d’énergie, les solutions Schneider Electric pour le résidentiel et petit tertiaire, présentation des projets de Pôle- Eco construction d’Oran et de Sétif…etc.

Source Huffpost Algérie  par Latifa Abada

23/03/2017

Redland boosts tile manufacture with investment

Redland – the UK’s leading manufacturer and supplier of pitched roof systems – has announced that it is to build a new manufacturing line for its plain-tile appearance product, DuoPlain, and large-format concrete tiles and slates.

The multi-million pound investment will help secure supply of these products into a UK market that is currently experiencing huge demand and extensive lead times.

The new line, which will come on stream later this year, will be located at the company’s Shawell plant, its most centrally located facility. Work on the installation is underway, and a number of new skilled jobs will be created when production commences.

Georg Harrasser, CEO of the Braas Monier Building Group, Redland’s parent, said: “This is a significant investment at an important time in the UK housebuilding industry. The new line gives us not only increased capacity, but also increased flexibility, improving our ability to meet the growing UK market demands for specific roof tile formats. This flexibility will be welcomed by the market as a whole, which is experiencing long lead times for these high-growth products."

Andy Dennis, Country Manager UK & Ireland, added: “The drive to build more homes, fueled by Government targets and a generally buoyant housing market, has put enormous pressure on manufacturers like ourselves.

"The UK’s ability to build more homes is restricted by the availability of roof tiles and other construction materials. Demand currently outstrips supply, especially for large-format and plain-appearance tiles, which housebuilders have been increasingly adopting as their preferred formats.

"The new line at Shawell demonstrates not only a commitment to our customers and the industry, but also shows the confidence that the Braas Monier Building Group has in Redland. We will, as a result of this investment, be better placed to meet the challenges faced by the UK housebuilding industry.”

Source Specification online 

22/03/2017

Des carrés couverts de baguettes de terre cuite couleur brun chocolat pour habiller la Maison internationale de séjour ZAC Bédier à Paris

La ZAC Bédier compte 450 logements répartis en trois ensembles : une résidence étudiante, un foyer pour jeunes travailleurs et une résidence hôtelière à vocation sociale. Cette auberge de jeunesse atypique, imaginée par l’atelier Rolland & associés, présente une architecture légère malgré la taille conséquente du bâtiment.

Les architectes ont imaginé deux boîtes carrées couvertes de baguettes terre cuite Autan® XL Droplet de la gamme brise-soleil TERREAL qui se distinguent du bâtiment recouvert d’une peinture à finition métallisée posée au couteau. Un premier carré est comme en lévitation, porté par 4 colonnes blanches en biais. Le deuxième est encastré dans l’un des plots qui forment le bâtiment. Ces deux éléments en terre cuite viennent contraster le bâtiment pour surprendre les visiteurs.

« La terre cuite est un matériau très intemporel, noble, pérenne et qui a su évoluer. S’il est l’un des plus anciens matériaux de construction, on dispose désormais de nombreuses façons très contemporaines de le mettre en œuvre, qui correspondent à des usages et des besoins d’aujourd’hui » explique Jérôme de Croze, architecte associé de l’atelier Rolland & associés.

L’utilisation de la terre cuite entre le périphérique et les boulevards des maréchaux qui ceinturent Paris est en parfaite adéquation avec l’architecture style années 20 et 30 du lieu.

Maison internationale de séjour ZAC Bédier

  • Lieu : Paris 13ème
  • Architecte / Architect : Atelier Fréderic Rolland et associés / Fréderic Rolland and partners
  • Maitre d’ouvrage : Athénée (Groupe Gambetta) et Fac Habitat Installateur
  • Produit : Autan® XL Droplet
  • Couleur : Brun chocolat
  • © Olivier Brunet

21/03/2017

Les vibrations de la lumière

L’extension de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour utilise la tuile terre cuite émaillée en façade pour diffuser la bonne luminosité, mais également pour jouer avec les couleurs environnantes.

Un projet qui unit le passé à l’avenir

Bâtie dans les années 70 à la manière d’un campus américain (hors du centre-ville et bordée d’un parc), l’Université de Droit, Économie et Gestion de Pau et des Pays de l’Adour a exprimé le besoin de s’étendre. Le projet devait s’inspirer de l’architecture existante d’André Grésy, une personnalité qui a contribué à l’identité architecturale de Pau, tout en apportant une nouvelle approche respectueuse des exigences environnementales actuelles. La particularité de cette université réside dans son implantation au milieu de la nature, reliée par des sentiers piétonniers.

Patrick Mauger, architecte installé à Paris, sélectionné pour le projet, « aime comprendre un bâtiment existant pour l’emmener plus loin. C’est comme accompagner une personne dans la vie, il faut d’abord la comprendre avant de l’aider à avancer. » Il a remarqué ici que les bâtiments affichaient une forte horizontalité soulignée par des bandeaux recouverts de terre cuite. « Nous devions prendre en compte cet héritage. »

Conjuguer chaleur et lumière

Comme pour le reste de l’établissement, l’extension récente doit apporter une lumière suffisante aux étudiants et personnels tout en garantissant un grand confort du point de vue thermique. Les casquettes perforées imaginées par Patrick Mauger suivent le même angle que les “bandeaux” de terre cuite des bâtiments existants, avec des baies vitrées agrandies. La densité de perforations des casquettes, le jeu des pleins et des vides, varient selon l’orientation du bâtiment : plus denses au nord-est et nord-ouest, moins denses au sud, afin d’ajuster l’apport en lumière.

L’architecte souhaitait une dimension bien précise pour les tuiles - 10 x 20 centimètres - avec un grand choix de teintes. Un précédent partenariat avec Wienerberger avait répondu à toutes ses attentes (pour le projet des Halles technologiques, École Nationale Supérieure d’Arts et Métiers-ParisTech). Une nouvelle collaboration s’imposait donc naturellement.

Vibrer avec la terre cuite


Plusieurs arguments ont convaincu Patrick Mauger d’utiliser la terre cuite émaillée. Il est très sensible à « l’émaillage à l’ancienne qui évite l’aspect trop parfait, trop homogène. Si l’architecture du bâtiment est moderne, sa personnalité s’affirme avec ce jeu de tuiles émaillées de plusieurs couleurs. »

Les coloris (jaune, rouge et bleu) ont été choisis par rapport au bâti, bien sûr, mais également en fonction des arbres plantés lors du chantier, des Ginkgo Biloba. En effet, le vert de ses feuilles se transforme en orange puis jaune doré à l’automne. Les feuilles éparses répondent ainsi aux couleurs des tuiles, comme une ponctuation de la façade sur les pelouses.

Ce jeu de couleurs juxtaposées aux vides des perforations apporte un mouvement aux bâtiments qui rappelle les peintures impressionnistes. La lumière criblée qui passe au travers des perforations voyage dans les pièces, à l’instar du Moulin de la Galette de Renoir. À ce propos, Patrick Mauger souligne que « l’histoire des arts s’invite toute seule dans un projet tel que celui-ci. »

Résultat : l’extension de l’UPPA a été primée en 2016 au Grand Prix “La Tuile Terre Cuite Architendance” dans la catégorie bâtiment tertiaire et figure dans l’annuel AMC 2016 des 100 bâtiments de l’année.


RÉSUMÉ

• Extension de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour par le cabinet Patrick Mauger Architecture.

• Chantier primé en 2016 au Grand Prix “La Tuile Terre Cuite Architendance” dans la catégorie bâtiment tertiaire - Réalisation publiée dans l’annuel AMC 2016 des 100 bâtiments de l’année.

• Les 25.500 tuiles terre cuite émaillées sur mesure créent un jeu de vides et de pleins sur la façade.

• Les effets de perforations sont plus ou moins denses selon l’orientation du bâtiment pour ajuster l’apport en lumière et en chaleur.


 ZOOM CHANTIER

• Extension de l’Université de Pau et des Pays de l’Adour.

• Architecte : Architecture Patrick Mauger (75).

• Produits : 25.500 tuiles terre cuite émaillées en trois couleurs : jaune, rouge, bleu.

• Entreprise de pose : Charpente Hourcade (64).

Source N Schilling

20/03/2017

Présidentielle : Mélenchon préconise une relance de 100 mds €

Durant le Forum « Réinvestissons la France » organisée par la FNTP, Jean-Luc Mélenchon, candidat du mouvement La France insoumise, a précisé les grandes lignes de son programme économique. Au-delà d’un plan de relance de 100 milliards d’euros d’investissements sur 5 ans, l’eurodéputé souhaite une « bifurcation du mode de production ».


Pour Jean-Luc Mélenchon, la relance économique et l’attractivité du territoire ne seront possibles qu’à condition d’y mettre les moyens. Ce qui commence par le déblocage d’une enveloppe de 100 milliards d’euros d’investissements sur la totalité du quinquennat. Mais au-delà des chiffres, c’est véritablement un changement de paradigme que propose le candidat de la France insoumise : « Le rôle de pilotage de l’Etat doit être réaffirmé : il nous faut renationaliser les énergies, les autoroutes, les filières industrielles. Et nous devons procéder à une bifurcation de notre mode de production, qui n’est plus tenable pour l’avenir de la planète ». Plus précisément, le but est de remettre dans le giron de l’Etat les énergies maritimes d’Alstom, et la branche éolienne d’Areva, parties chez la concurrence. Ce qui rejoint un autre axe programmatique : le développement de l’économie de la mer. M. Mélenchon souhaite également un moratoire sur les partenariats publics-privés, et insiste sur une sortie du nucléaire à l’horizon 2050. Quant à Notre-Dame-des-Landes, le verdict est simple : « il faut tout simplement laisser tomber le projet ».

Parmi les grandes lignes du programme de la France insoumise, on retiendra aussi la volonté de « donner aux collectivités territoriales la possibilité d’emprunter largement auprès de la Banque Publique d’Investissement (BPI) ». S’agissant des financements, M. Mélenchon plaide pour que ce soit le contribuable qui paye, et non l’usager, via une refonte du système fiscal. Enfin, l’ex-sénateur de l’Essonne envisage une loi-cadre de programmation économique et écologique, ainsi que la création d’une « Assemblée citoyenne de l’intervention populaire et du long terme » qui remplacerait le Sénat et le CESE (Conseil économique, social et environnemental), pour se pencher sur les questions impactant directement la société tout en représentant au mieux cette dernière.

Source Construction Cayola par Corentin Patrigeon

Présidentielle : la filière tuiles et briques s’adresse, à son tour, aux candidats

« Un nouveau pacte social pour le logement » : c’est ce que réclame la Fédération française tuiles et briques aux candidats à la présidentielle 2017 à travers la publication d’un livre blanc rappelant les grands enjeux de la construction pour l’économie française. Du bâtiment durable au développement de l’activité locale, tous les thèmes sont abordés dans ce document qui vise à interpeller les prétendants à la plus haute fonction politique.

À quelques mois des élections présidentielles, les acteurs du BTP se mobilisent pour adresser leurs attentes aux candidats. Ainsi, après la Filière Béton, le Syndicat des énergies renouvelables ou encore Syntec Ingénierie, c’est aujourd’hui au tour de la Fédération française tuiles et briques d’interpeller les postulants.

En effet, l’organisme vient tout juste de publier son livre blanc Construction de logements : pour un nouveau pacte social français, dans lequel il fait part de ses revendications, rappelant, au passage, la nécessité de remettre la construction au cœur de la campagne présidentielle.
La construction de logements, principale préoccupation de la FFTB


Car si l’emploi et la sécurité sont des thématiques préoccupantes pour les électeurs, celle du logement l’est tout autant. « Acheter son logement ou faire construire sa maison est un véritable projet de vie pour la majorité de nos concitoyens. C’est le lieu pour créer et protéger la famille et souvent le seul patrimoine que l’on se constitue et que l’on transmet à ses enfants », rappelle Pierre Jonnard, président de la FFTB.

Dans ce sens, l’organisme réclame plus « de logements qui durent », appelant à « lutter contre l’obsolescence programmée dans ce secteur ». La Fédération propose ainsi à ce que la durée de vie des produits manufacturés soit désormais affichée par souci de transparence vis-à-vis des consommateurs.

Autre thématique abordée par la FFTB : la valorisation de l’activité locale. « Favoriser l’utilisation de produits fabriqués et utilisés localement permet de lutter efficacement contre la désindustrialisation et la désertification de nos territoires. La FFTB préconise donc une meilleure prise en compte des critères locaux dans les appels d’offres publics, en intégrant, par exemple, des critères sur le transport ou les indications d’origines », indique Pierre Jonnard.

La Fédération rappelle également la nécessité de mettre en place « une urbanisation au service des citoyens ». « La FFTB souhaite encourager une politique de concertation afin que le point de vue des habitants sur le type de logements qui seront construits soit davantage pris en compte par les politiques urbaines », déclare le président de l’organisme.

Autant de mesures qui nécessiteront, quoi qu’il advienne, de « libérer le foncier afin d’encourager la densification des parcelles d’habitat individuel par la création de nouveaux logements ». Reste maintenant à savoir si les candidats à la présidentielle sauront se montrer réceptifs à toutes ces requêtes.

Source Batiweb

19/03/2017

TECAUMA concepteur de lignes de production automatiques

TECAUMA bénéficie d'un véritable savoir-faire reconnu en manutention de produits céramiques (terres cuites) ce qui lui permet de réaliser des équipements pour la production des briques, briques de parement, tuiles et accessoires.

Les lignes complètes de manutentions courantes intègrent coupeur, chargeur de séchoir, empileur, dépileur, paquettiseur et robot.

Elles sont réalisées et adaptées aux marchés français et internationaux (Europe de l'Est, Maghreb...).

Source TECAUMA

18/03/2017

Auch : Trois ans après, les anciens de la Tuilerie vont se retrouver

La tuile Romane (brevet L-D) a été la production phare de la Tuilerie durant une trentaine d'années. (Photo Pierre Dutil).
Presque quarante un ans après la fermeture définitive de la tuilerie certains de ses anciens employés veulent faire perdurer le souvenir de la plus importante entreprise industrielle d'Auch .
Au mois de juin 2014 quelques 70 anciens salariés de la Tuilerie Lartigue et Dumas s'étaient retrouvés , pour partager un repas convivial et évoquer de lointains souvenirs. Trois ans plus tard et après le succès rencontré, quelques amis ont décidé de renouveler cette amicale rencontre en dehors de toute structure associative.
Fondée en 1856 l'usine de la route de Pessan à Auch a employé, à elle seule, près de 400 salariés. Durant plus d'un siècle et, à l'exception de l'activité agricole, l'industrie de la céramique a été prédominante dans tout le département du Gers. Peu avant les années 1950 avec l'invention et le brevet de la tuile Romane , la société Lartigue et Dumas va connaître un essor et une renommée considérable dans tout le sud de la France et parfois au delà. Autour des années 1970 le groupe des anciens établissements Lartigue et Dumas associé aux tuileries Gilardoni Frères devint le premier producteur français de tuiles en terre cuite.
Aujourd'hui quelques éléments de bâtiments accolés à l'actuelle gendarmerie, demeurent les seuls vestiges visibles de cet ancien site industriel. Les nouveaux venus ignorent bien souvent qu'une grande usine a vécu à cet endroit là.
Aussi pour faire revivre quelques bons moments de ce riche passé industriel, ses véritables acteurs sont conviés à se retrouver autour d'un repas gascon traditionnel. Ces retrouvailles sont fixées à la fin du mois de mai ou de juin prochain en un lieu qui reste pour l'instant à préciser.
Pour une bonne organisation de ces retrouvailles et afin de déterminer le nombre de participants potentiel, les "organisateurs" demandent à toutes les personnes intéressées - ancien(ne) employé(e) ,conjoint(e) ou descendants - de se faire pré- inscrire dès maintenant en téléphonant aux numéros suivants : 05 62 63 36 73 ou 05 62 05 33 38 ou 05 62 63 18 36.
Source Le Journal du Gers

17/03/2017

ROUMAZIÈRES LOUBERT: LES ÉLÈVES INGÉNIEURS PLANCHENT CHEZ MONIER

L'école d'ingénieur d'Angoulême le CESI a engagé un partenariat avec la tuilerie Monier de Roumazières. Quatre vingt élèves de 2é année ont été reçus par le jeune directeur Emile Rocheteau,lui même ancien élève du CESI.

L’entreprise Monier, leader mondial de l’expertise de toiture, du site de Roumazières , a décidé de regarder vers l’avenir, en se tournant vers la formation des élèves ingénieurs du CESI d’Angoulême. Un partenariat a été mis en place entre l'école d'ingénieurs et la tuilerie Monier. Ce qui a permis aux  élèves de travailler sur un projet inspiré de l’usine de fabrication de tuile de Roumazières. Ils ont été reçus dans les locaux de l'usine par le jeune directeur Emile Rocheteau qui leur a fait un exposé sur le site tuilier , sa production, son histoire et son fonctionnement.

Source la Charente Libre par Marie Françoise Cormier

16/03/2017

Carrière de Malpaire. Une nouvelle enquête publique

Une nouvelle enquête publique sur le projet de carrière en forêt de Malpaire est en cours. Elle se termine aujourd'hui.

En mars 2016, une première enquête publique concernant le projet de carrière en forêt de Malpaire avait été décidée par la préfecture de la Sarthe. La SAS Malpaire souhaitait y défricher 51 ha pour exploiter une carrière d'argile et de sable. Un projet qui avait connu de vives oppositions locales.

À l'issue du processus légal, Corinne Orzechowski, ancienne préfète de la Sarthe, avait indiqué, en fin d'année dernière, avoir refusé l'autorisation de « destruction des espèces protégées ». Ce qui ne signifiait pas l'abandon du projet.

"Très discrète"

Depuis le 22 février, une nouvelle enquête publique - « très discrète », selon un opposant - a été lancée. Au contraire de la précédente, le dossier n'est consultable que sur le site internet de la préfecture (rubrique : publications/consultations du public/dossiers 2017).

Un an plus tard, la demande de la SAS Malpaire, qui est accompagnée d'un diagnostic environnemental, n'a pas changé. Elle concerne : « Une dérogation pour la destruction, l'altération ou la dégradation de sites de reproduction ou d'aires de repos d'animaux, d'espèces animales protégées et la destruction de spécimens d'espèces animales protégées sur le site de la carrière de Malpaire. »

Cette nouvelle enquête publique se terminera mercredi 8 mars. Les éventuelles remarques peuvent être envoyées par mail ou par courrier.

Source Ouest France

15/03/2017

Les inscriptions au Brick Award 18 sont lancées

Avec ce concours biennal, Wienerberger récompense des bijoux d'architecture moderne et innovante érigés avec des matériaux en terre cuite. Pour cette huitième édition, tant les architectes que les journalistes et critiques en architecture sont invités à inscrire des projets via un outil en ligne.

Ces projets peuvent être inscrits dans 5 catégories:

  • Feeling at home (un foyer chaleureux);
  • Living together (vivre ensemble);
  • Working together (travailler ensemble);
  • Sharing public spaces (un espace public pour tous);
  • Building outside the box (sortir des sentiers battus).

Les produits en terre cuite doivent jouer un rôle de premier plan dans chaque projet introduit: blocs pour murs intérieurs, briques de parement, tuiles et/ou pavés en terre cuite. Le jury accordera une attention particulière à la manière dont les projets marient fonctionnalité, développement durable et efficience énergétique. Les projets doivent avoir été achevés en 2014 ou après. Les projets peuvent être introduits jusqu'au 20 avril 2017.

Un panel de journalistes et critiques en architecture réduira alors le nombre de candidatures à 50 projets qui seront nominés pour le Wienerberger Brick Award 2018 et qui seront repris dans l'ouvrage 'Brick 18', qui accompagne ce concours. Ensuite, un jury international d'architectes déterminera les lauréats dans chacune des cinq catégories, ainsi que le lauréat du Grand Prix. Celui qui remporte le Grand Prix du Brick Award repartira avec un chèque de 7.000 euros (incluant le prix par catégorie). Chacun des quatre autres lauréats par catégorie repartira quant à lui avec un chèque de 5.000 euros.

Source Je vais construire Le Vif

14/03/2017

Archi Design Club Awards 2017 : La Maison de la petite enfance primée

La Maison de la petite enfance, située à Lieusaint (Seine et Marne), a remporté le prix Archi Design Club Awards 2017, dans la catégorie « enseignement petite enfance » le 2 mars dernier.

Ce projet se compose d’une crèche familiale, d’un bureau médical pour le suivi des enfants et les visites d’admissions, d’un relais Assistantes Maternelles, d’un multi-accueil de 30 places et d’un lieu d’accueil enfants/parents.

Pour recouvrir les toits et les façades, le cabinet NOMADE Architectes a choisi des produits en terre cuite Terreal : les tuiles plates Eminence (coloris Auteuil), Prieuré (coloris Cendré) et Pommard (coloris Sablé Champagne). Grâce à ce panachage, le bâtiment se mêle harmonieusement au paysage existant dans un esprit contemporain.

Source Terreal

13/03/2017

Coup de froid pour les matériaux de construction en janvier

L’arrivée du froid et des intempéries en janvier est venue perturber les chantiers du BTP et la production du secteur des matériaux a annoncé lundi 6 mars l’Unicem. Avec des températures inférieures de 2 à 4°C aux normales sur une bonne partie du pays et plus de 20 jours de gel, les activités du granulat et du BPE ont de surcroît pâti des traditionnelles périodes de maintenance opérées en début d’année sur les installations.

Hiver glacial et conjoncture gelée pour les matériaux de construction en janvier. Dans un contexte climatique marqué par une forte offensive hivernale, les résultats de l’enquête rapide de l’Unicem (union nationale des industries de carrière et matériaux de construction) publiés le 6 mars traduisent une activité en net repli par rapport à décembre mais aussi au regard de janvier 2016.
Ainsi, les livraisons de granulats (326,6 Mt produites en 2016) auraient baissé de 6,7 % par rapport au mois précédent et de 6,8 % sur un an (données cvs-cjo). Ces replis sont comparables à ceux constatés en janvier 2009 et 2010, deux débuts d’année touchés par le même type d’intempéries. « Par ailleurs, les mois de janvier, plutôt modestes en termes d’activité, sont aussi souvent impactés par des opérations d’entretien sur les installations », note l’Unicem. La faiblesse de l’activité en janvier est donc plus imputable à des facteurs climatiques et saisonniers (froid, congés BTP, maintenance technique) qu’à une baisse de la demande.
Dans le secteur du béton prêt à l’emploi, la production – 35,6 Mm3 – a reculé de 8,6 % par rapport à décembre et de 11,4 % au regard de janvier 2016. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, cette baisse est comparable à celles constatées lors des périodes de froid plus marqué.
Du côté de l’indicateur des matériaux, la tendance haussière sur 2016 s’est confirmée avec une progression sur l’ensemble de l’année de près de + 1 %, le redressement ayant été plus marqué pour les activités du secteur du bâtiment que pour celles des travaux publics.
Source LE MONITEUR.FR

La FFTB décerne le prix du partenaire à Eiffage au hackathon #HackUrba

Eiffage a reçu pas moins de 3 prix lors du hackathon #HackUrba, imaginé et organisé par les ministères du Logement et de l’Environnement, du 24 au 26 février dernier au Tank à Paris.

Ce hackathon avait pour objectif de faire émerger des outils et services autour des projets de construction durable à partir de données numériques du Géoportail de l’urbanisme. Durant 72h, une centaine de participants ont imaginé, conçu et prototypé des solutions pour rendre plus accessible et mieux informer l’ensemble des acteurs sur les nouvelles opportunités et obligations en matière de construction durable.

En tant que partenaire de l’évènement, Eiffage - présent par l’intermédiaire de ses filiales Eiffage Energie Numérique et Eiffage Construction - a participé à la réflexion générale sur le monde numérique dédié à la ville durable. Ses équipes ont présenté un outil développé pour faciliter la construction de "la ville sur la ville".

Tetricité est une plateforme web destinée aux copropriétaires pour déterminer le potentiel d’élévation de leur bâtiment. Elle leur calcule une estimation du gain financier de ce projet, ainsi qu’une simulation en 3D des solutions de construction durable et de programmation. Elle met aussi en relation copropriétaires et promoteurs immobiliers.

Cet outil a valu à Eiffage le 1er prix du jury, le prix du partenaire FFTB (Fédération Française des Tuiles et Briques), le prix IGN (Institut national de l’information géographique et forestière) qui qualifie par ailleurs Eiffage à l’appel à projet IGNFab "Ville de demain, focus sur la mobilité et l’énergie".

Source Construction Cayola

12/03/2017

ALGERIE: Interview de Raouf Stiti, PDG de Batimatec Expo

La prochaine édition du salon algérien Batimatec se tiendra à Alger, du 23 au 27 avril 2017.
À cette occasion, nous avons interrogé Raouf Stiti qui a été récemment nommé PDG de la société Batimatec Expo, l’organisateur du salon, au sein duquel les secteurs de la céramique et de la terre cuite sont particulièrement bien représentés.

Vous venez d’être nommé PDG de la société Batimatec Expo, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
« Permettez-moi tout d’abord de vous remercier de me donner l’occasion de me présenter à vos lecteurs. Je suis informaticien de formation, issu du secteur de l’industrie des matériaux de construction. Je suis âgé de 50 ans et père de cinq enfants. Étant l’aîné de ma famille, j’ai toujours été très proche de mon père, cimentier de métier et l’un des fondateurs du salon Batimatec, que j’ai suivi de près tout au long de sa carrière professionnelle. Si bien que dès mon enfance, j’ai usé mes fonds de culottes dans les cimenteries et les briqueteries où mon père travaillait. Mais c’est surtout dans les briqueteries que j’aimais passer mon temps libre. J’étais impressionné par exemple en regardant le boudin d’argile défiler à travers le gueulard de la mouleuse pour être coupé, puis empilé sur des claies… etc. J’aimais toucher cette matière argileuse de mes mains, cela réveillait en moi cet instinct d’origine paysanne. L’homme n’est-il pas viscéralement rattaché à la terre ! En tous les cas, je pense que le métier de briquetier reste, malgré la modernisation technologique, imprégné d’un cachet assez rustique ».

Quel est votre parcours professionnel ?
« Inévitablement, j’ai débuté ma carrière professionnelle dans les briqueteries, où j’ai commencé en tant que chargé d’études, dans une firme relevant du secteur public, qui était chargée du développement de nouveaux projets de briqueteries. Ma connaissance du terrain m’a permis d’évoluer assez rapidement dans les responsabilités. Je suis donc devenu, au bout d’une année, sous-directeur technique. Lorsque le gouvernement de l’époque a annoncé sa volonté de privatiser le secteur, j’ai préféré rester dans le public. J’ai donc anticipé sur le cours des événements en quittant cette firme en 1998 pour aller travailler dans un Centre technologique relevant de l’industrie des matériaux de construction (Cetim). Ce prestigieux centre rayonne depuis plus de trois décennies sur le secteur des matériaux de construction.

« Nous allons mettre en place un espace dédié aux matériaux et procédés de construction innovants »

Il est doté du plus grand laboratoire au niveau du pays, d’un bureau d’études en géologie et mines et d’un centre de documentation et d’information qui est dépositaire de toutes les études techniques menées dans le cadre de l’industrialisation du pays depuis l’indépendance. Ma plus grande fierté a été lorsque, en tant que responsable assurance qualité des laboratoires, j’ai fait partie de l’équipe qui a réussi l’accréditation ISO 1725 par le Cofrac. C’était en l’an 2000 et nous étions les premiers en Algérie à réussir cet exploit. En 2009 j’ai rejoint la société Batimatec Expo dont j’étais membre fondateur et actionnaire. J’ai travaillé sous la direction de mon père qui était le PDG de la société jusqu’à juin 2016, date à laquelle j’ai été élu par le Conseil d’administration au poste de premier responsable exécutif de la firme ».

En quoi consiste exactement la société Batimatec Expo, quelles sont ses activités, combien de personnes emploie-t-elle ? Gérez-vous d’autres salons que Batimatec ?
« Batimatec Expo est un des principaux leaders à l’échelle nationale spécialisés dans l’événementiel. Ses activités principales sont orientées vers la prestation de services en relation avec l’organisation et la gestion de foires et salons et toute autre manifestation à caractère économique, scientifique et culturel. La société emploie en moyenne 20 personnes à titre permanent. Cet effectif est renforcé occasionnellement durant les salons. Il peut atteindre 80 personnes. Par ailleurs, la société s’entoure à tout moment et en toutes circonstances de consultants choisis parmi les meilleurs spécialistes de la branche d’activité à l’échelle nationale. Aussi, grâce à un réseau de sous-traitance très efficace, Batimatec Expo arrive à externaliser certaines de ses fonctions et à participer de ce fait à l’essor économique de son environnement. Les principaux salons organisés par Batimatec Expo sont le salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics Batimatec, en partenariat avec la Société algérienne des foires et exportations (Safex), le salon Alger industries en partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie de Provence Côte d’Azur et Cadefa, le salon Setifbat (régional) en partenariat avec la Safex et la ville de Sétif.
Batimatec Expo entretient une relation continue avec les professionnels de la construction, les industriels et particulièrement la corporation des architectes, en organisant régulièrement des séminaires ou rencontres thématiques, sur des sujets choisis en relation avec les préoccupations de l’heure ».


En tant que nouveau PDG de la société Batimatec Expo, quelles sont vos priorités sur le plan stratégique et quels sont vos premiers chantiers et vos premières décisions ?
« Étant donné que j’ai toujours participé aux décisions dans la société, je ne peux qu’être le garant d’une continuité. La culture d’entreprise, que les fondateurs de la firme ont instaurée dès le départ, véhicule des valeurs universelles nobles. Nos collaborateurs s’identifient parfaitement à cela et n’hésitent guère à adhérer à ces principes.
Sur le plan stratégique, nous comptons travailler davantage à l’amélioration de notre image à l’international ; améliorer le management ; développer l’activité (salons & événements /nouveaux créneaux dans le domaine de la communication). Concrètement, plusieurs chantiers seront lancés dès le début de l’année 2017, le plus important consistera en la mise en place d’un système de management qualité ISO 9001.
En cette occasion, je vous accorde la primauté en vous annonçant la tenue, en novembre 2017, du premier salon international consacré à la prévention des risques professionnels et de la sécurité industrielle que nous comptons organiser à Alger ».

Batimatec 2017 se tiendra à des dates un peu plus avancées dans le calendrier que les années précédentes, quelles en sont les raisons ?
« En effet, cette édition connaîtra un glissement d’une dizaine de jours par rapport à l’édition précédente. Nous avons pris l’habitude de programmer le Batimatec en début du mois de mai, mais pour des raisons liées au calendrier des manifestations du Palais des expositions d’Alger, qui tient rigoureusement compte de toutes les échéances socio-économiques du pays, nous avons décidé d’un commun accord, que la meilleure date pour la tenue de notre salon serait celle du 23 au 27 avril 2017. À noter que tous nos partenaires nationaux et internationaux ont accueilli favorablement cette nouvelle date ».

Comment se présente cette prochaine édition 2017 de votre salon ? Quelles seront cette année ses nouveautés ?
« Depuis quelques années le salon occupe la totalité des espaces d’exposition disponibles dans le palais des expositions d’Alger. La Safex, propriétaire des lieux et coorganisateur du salon a entamé des aménagements, notamment au niveau des parkings. Nous constatons une amélioration des flux de circulation et une optimisation des capacités d’accueil des véhicules. À noter que le Palais est desservi depuis quelque temps par le tramway qui passe à proximité. Nous nous attendons donc à plus de visiteurs pour cette édition. Pour ce qui est du nombre d’exposants, nous avons amélioré la sectorisation, ce qui nous permettra d’optimiser les surfaces d’expositions de manière à endiguer la demande de plus en plus croissante d’exposants.
Parmi les nouveautés de cette année : étant donné que le thème phare sera consacré à l’innovation, nous comptons mettre en place un espace dédié aux matériaux et procédés de construction innovants. Il est prévu autour de cela un riche programme de communications. Un concours de la meilleure innovation pour la PME sera organisé à cette occasion.
D’autres espaces thématiques (architectes ; médias ; business…) seront implantés à travers l’exposition, pour permettre aux professionnels, exposants et visiteurs de se rencontrer et d’échanger dans une zone neutre en dehors de leurs stands ».

Comment se porte actuellement le secteur de la construction en Algérie et notamment celui des tuiles et briques ?
« Depuis plus d’une décennie la commande publique en logements et infrastructures/équipements de base n’a cessé d’être exprimée par les pouvoirs publics algériens. Je me permets de reprendre les propos d’un haut responsable du secteur de l’habitat, selon lequel l’Algérie est actuellement le premier donneur d’ordres au niveau du bassin méditerranéen. Outre l’ambitieux programme de logements en cours, d’innombrables projets structurants sont lancés à travers le territoire national : aéroports ; ports ; ouvrages d’art… etc. C’est vous dire que le secteur de la construction demeure encore assez stable.
Par ailleurs, il est évident que tous ces projets de construction engendrent une demande accrue en matériaux de construction. Partant du fait que cette demande doit être soutenue essentiellement par un tissu industriel existant dans le pays, l’État algérien encourage les industriels nationaux à l’investissement dans la production des matériaux de construction.
Pour ce qui est des produits rouges, je dirais qu’au regard du nombre impressionnant de projets mis en production depuis ces cinq dernières années, le marché algérien représente aujourd’hui, à mon avis, un véritable Eldorado (du moins au niveau régional) pour les fournisseurs d’équipements de briqueteries. Certains équipementiers ont même réalisé de véritables performances en termes de volumes d’affaires sur le sol algérien. Pour exemple, Equipceramic, qui ne cache pas sa satisfaction à ce propos, allant même jusqu’à communiquer largement lors de sa participation au Salon Batimatec 2016 sur son bilan (très positif) durant les six ans de présence sur le marché algérien. À elle seule, cette société espagnole a renforcé le marché de 22 briqueteries allant de 300 à 1 200 tonnes par jour, d’une tuilerie, et opéré 12 modernisations. Un autre fournisseur de briqueterie bienheureux, Cleia, lequel a construit la plus grosse briqueterie mono-ligne du Maghreb en Algérie. Pour renforcer davantage sa position dans le pays en cette période de forte croissance, Cleia se démarque en créant sa seconde filiale au Maghreb avec des partenaires algériens. Cette filiale offre un service de proximité pour les industriels en Algérie ».

Des projets importants de nouvelles usines sont-ils actuellement en cours ?
« Même si c’est vrai que l’arrivée d’investisseurs nouveaux dans le secteur s’est ralentie dernièrement, le marché algérien, en règles générales, jouit encore d’une bonne santé grâce aux nouveaux besoins en investissements des briquetiers algériens déjà existants. Ces derniers continuent à exprimer leurs demandes d’augmenter leurs capacités de production et diversifier leurs gammes de produits ».

Vous organisez tous les ans un séminaire sur la thématique de la terre cuite. Renouvelez-vous cette année cette initiative ?
« En effet, c’est une tradition que nous comptons maintenir avec la collaboration de l’Association des briquetiers algériens (ABA). Un comité technique est à pied d’œuvre en ce moment pour ainsi préparer un programme, lequel, je l’espère, sera très intéressant. Aussi, nous avons émis les vœux que le séminaire soit consacré, cette année, à « l’innovation », thème phare de cette 20e édition ».

C’est une question que notre magazine vous pose régulièrement depuis plusieurs années mais avez-vous toujours le projet de créer un salon entièrement dédié aux briques et aux tuiles ? 
« Un salon dédié plutôt à l’industrie céramique en général. Nous avons soumis cette idée à nos partenaires internationaux, mais nous n’avons pas pu trouver un créneau de dates pour 2017, à cause de la profusion de salons thématiques incontournables, notamment en Europe. Nous nous sommes entendus de fixer une date pour 2018 à l’occasion du prochain Batimatec, après avoir bien sûr, consulté directement les exposants au niveau du Salon ».

De plus en plus de salons dans le monde nouent des partenariats entre eux. Pensez-vous qu’un jour il soit possible que Batimatec puisse établir ce type de partenariat avec un autre salon généraliste du bâtiment comme Bau en Allemagne, Batimat en France ou ePower&Building en Espagne ?
« Nous avons par le passé établi quelques contacts assez timides avec certains de ces organisateurs, qui sont d’ailleurs restés sans suite. Mais nous voulons travailler à développer des événements en partenariat pour peu qu’ils représentent un intérêt commun et qu’ils respectent les exigences socioculturelles du pays. Partant de ce fait, nous sommes ouverts à toute proposition concrète de collaboration émanant de ces grands organisateurs internationaux ».

Source L'Industrie Céramique et Verrière