La réalisation est entièrement manuelle, privilégiant la qualité et la personnalisation des produits : l'argile est « pétrie » dans un pétrin de boulanger, les pièces sont faites à la main, mises à sécher (six jours), puis cuites au sel à 1.200 degrés.
La couleur est donnée par la montée graduelle en température et l'aspect vernissé, par la projection de sel. Ces produits sont ensuite posés à l'ancienne par les couvreurs, avec des joints à la chaux, sur les monuments historiques, les bâtiments classés ou dans leur périmètre, mais aussi sur les maisons traditionnelles et de caractère.
Source Le Télégramme
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