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12/03/2017

ALGERIE: Interview de Raouf Stiti, PDG de Batimatec Expo

La prochaine édition du salon algérien Batimatec se tiendra à Alger, du 23 au 27 avril 2017.
À cette occasion, nous avons interrogé Raouf Stiti qui a été récemment nommé PDG de la société Batimatec Expo, l’organisateur du salon, au sein duquel les secteurs de la céramique et de la terre cuite sont particulièrement bien représentés.

Vous venez d’être nommé PDG de la société Batimatec Expo, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
« Permettez-moi tout d’abord de vous remercier de me donner l’occasion de me présenter à vos lecteurs. Je suis informaticien de formation, issu du secteur de l’industrie des matériaux de construction. Je suis âgé de 50 ans et père de cinq enfants. Étant l’aîné de ma famille, j’ai toujours été très proche de mon père, cimentier de métier et l’un des fondateurs du salon Batimatec, que j’ai suivi de près tout au long de sa carrière professionnelle. Si bien que dès mon enfance, j’ai usé mes fonds de culottes dans les cimenteries et les briqueteries où mon père travaillait. Mais c’est surtout dans les briqueteries que j’aimais passer mon temps libre. J’étais impressionné par exemple en regardant le boudin d’argile défiler à travers le gueulard de la mouleuse pour être coupé, puis empilé sur des claies… etc. J’aimais toucher cette matière argileuse de mes mains, cela réveillait en moi cet instinct d’origine paysanne. L’homme n’est-il pas viscéralement rattaché à la terre ! En tous les cas, je pense que le métier de briquetier reste, malgré la modernisation technologique, imprégné d’un cachet assez rustique ».

Quel est votre parcours professionnel ?
« Inévitablement, j’ai débuté ma carrière professionnelle dans les briqueteries, où j’ai commencé en tant que chargé d’études, dans une firme relevant du secteur public, qui était chargée du développement de nouveaux projets de briqueteries. Ma connaissance du terrain m’a permis d’évoluer assez rapidement dans les responsabilités. Je suis donc devenu, au bout d’une année, sous-directeur technique. Lorsque le gouvernement de l’époque a annoncé sa volonté de privatiser le secteur, j’ai préféré rester dans le public. J’ai donc anticipé sur le cours des événements en quittant cette firme en 1998 pour aller travailler dans un Centre technologique relevant de l’industrie des matériaux de construction (Cetim). Ce prestigieux centre rayonne depuis plus de trois décennies sur le secteur des matériaux de construction.

« Nous allons mettre en place un espace dédié aux matériaux et procédés de construction innovants »

Il est doté du plus grand laboratoire au niveau du pays, d’un bureau d’études en géologie et mines et d’un centre de documentation et d’information qui est dépositaire de toutes les études techniques menées dans le cadre de l’industrialisation du pays depuis l’indépendance. Ma plus grande fierté a été lorsque, en tant que responsable assurance qualité des laboratoires, j’ai fait partie de l’équipe qui a réussi l’accréditation ISO 1725 par le Cofrac. C’était en l’an 2000 et nous étions les premiers en Algérie à réussir cet exploit. En 2009 j’ai rejoint la société Batimatec Expo dont j’étais membre fondateur et actionnaire. J’ai travaillé sous la direction de mon père qui était le PDG de la société jusqu’à juin 2016, date à laquelle j’ai été élu par le Conseil d’administration au poste de premier responsable exécutif de la firme ».

En quoi consiste exactement la société Batimatec Expo, quelles sont ses activités, combien de personnes emploie-t-elle ? Gérez-vous d’autres salons que Batimatec ?
« Batimatec Expo est un des principaux leaders à l’échelle nationale spécialisés dans l’événementiel. Ses activités principales sont orientées vers la prestation de services en relation avec l’organisation et la gestion de foires et salons et toute autre manifestation à caractère économique, scientifique et culturel. La société emploie en moyenne 20 personnes à titre permanent. Cet effectif est renforcé occasionnellement durant les salons. Il peut atteindre 80 personnes. Par ailleurs, la société s’entoure à tout moment et en toutes circonstances de consultants choisis parmi les meilleurs spécialistes de la branche d’activité à l’échelle nationale. Aussi, grâce à un réseau de sous-traitance très efficace, Batimatec Expo arrive à externaliser certaines de ses fonctions et à participer de ce fait à l’essor économique de son environnement. Les principaux salons organisés par Batimatec Expo sont le salon international du bâtiment, des matériaux de construction et des travaux publics Batimatec, en partenariat avec la Société algérienne des foires et exportations (Safex), le salon Alger industries en partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie de Provence Côte d’Azur et Cadefa, le salon Setifbat (régional) en partenariat avec la Safex et la ville de Sétif.
Batimatec Expo entretient une relation continue avec les professionnels de la construction, les industriels et particulièrement la corporation des architectes, en organisant régulièrement des séminaires ou rencontres thématiques, sur des sujets choisis en relation avec les préoccupations de l’heure ».


En tant que nouveau PDG de la société Batimatec Expo, quelles sont vos priorités sur le plan stratégique et quels sont vos premiers chantiers et vos premières décisions ?
« Étant donné que j’ai toujours participé aux décisions dans la société, je ne peux qu’être le garant d’une continuité. La culture d’entreprise, que les fondateurs de la firme ont instaurée dès le départ, véhicule des valeurs universelles nobles. Nos collaborateurs s’identifient parfaitement à cela et n’hésitent guère à adhérer à ces principes.
Sur le plan stratégique, nous comptons travailler davantage à l’amélioration de notre image à l’international ; améliorer le management ; développer l’activité (salons & événements /nouveaux créneaux dans le domaine de la communication). Concrètement, plusieurs chantiers seront lancés dès le début de l’année 2017, le plus important consistera en la mise en place d’un système de management qualité ISO 9001.
En cette occasion, je vous accorde la primauté en vous annonçant la tenue, en novembre 2017, du premier salon international consacré à la prévention des risques professionnels et de la sécurité industrielle que nous comptons organiser à Alger ».

Batimatec 2017 se tiendra à des dates un peu plus avancées dans le calendrier que les années précédentes, quelles en sont les raisons ?
« En effet, cette édition connaîtra un glissement d’une dizaine de jours par rapport à l’édition précédente. Nous avons pris l’habitude de programmer le Batimatec en début du mois de mai, mais pour des raisons liées au calendrier des manifestations du Palais des expositions d’Alger, qui tient rigoureusement compte de toutes les échéances socio-économiques du pays, nous avons décidé d’un commun accord, que la meilleure date pour la tenue de notre salon serait celle du 23 au 27 avril 2017. À noter que tous nos partenaires nationaux et internationaux ont accueilli favorablement cette nouvelle date ».

Comment se présente cette prochaine édition 2017 de votre salon ? Quelles seront cette année ses nouveautés ?
« Depuis quelques années le salon occupe la totalité des espaces d’exposition disponibles dans le palais des expositions d’Alger. La Safex, propriétaire des lieux et coorganisateur du salon a entamé des aménagements, notamment au niveau des parkings. Nous constatons une amélioration des flux de circulation et une optimisation des capacités d’accueil des véhicules. À noter que le Palais est desservi depuis quelque temps par le tramway qui passe à proximité. Nous nous attendons donc à plus de visiteurs pour cette édition. Pour ce qui est du nombre d’exposants, nous avons amélioré la sectorisation, ce qui nous permettra d’optimiser les surfaces d’expositions de manière à endiguer la demande de plus en plus croissante d’exposants.
Parmi les nouveautés de cette année : étant donné que le thème phare sera consacré à l’innovation, nous comptons mettre en place un espace dédié aux matériaux et procédés de construction innovants. Il est prévu autour de cela un riche programme de communications. Un concours de la meilleure innovation pour la PME sera organisé à cette occasion.
D’autres espaces thématiques (architectes ; médias ; business…) seront implantés à travers l’exposition, pour permettre aux professionnels, exposants et visiteurs de se rencontrer et d’échanger dans une zone neutre en dehors de leurs stands ».

Comment se porte actuellement le secteur de la construction en Algérie et notamment celui des tuiles et briques ?
« Depuis plus d’une décennie la commande publique en logements et infrastructures/équipements de base n’a cessé d’être exprimée par les pouvoirs publics algériens. Je me permets de reprendre les propos d’un haut responsable du secteur de l’habitat, selon lequel l’Algérie est actuellement le premier donneur d’ordres au niveau du bassin méditerranéen. Outre l’ambitieux programme de logements en cours, d’innombrables projets structurants sont lancés à travers le territoire national : aéroports ; ports ; ouvrages d’art… etc. C’est vous dire que le secteur de la construction demeure encore assez stable.
Par ailleurs, il est évident que tous ces projets de construction engendrent une demande accrue en matériaux de construction. Partant du fait que cette demande doit être soutenue essentiellement par un tissu industriel existant dans le pays, l’État algérien encourage les industriels nationaux à l’investissement dans la production des matériaux de construction.
Pour ce qui est des produits rouges, je dirais qu’au regard du nombre impressionnant de projets mis en production depuis ces cinq dernières années, le marché algérien représente aujourd’hui, à mon avis, un véritable Eldorado (du moins au niveau régional) pour les fournisseurs d’équipements de briqueteries. Certains équipementiers ont même réalisé de véritables performances en termes de volumes d’affaires sur le sol algérien. Pour exemple, Equipceramic, qui ne cache pas sa satisfaction à ce propos, allant même jusqu’à communiquer largement lors de sa participation au Salon Batimatec 2016 sur son bilan (très positif) durant les six ans de présence sur le marché algérien. À elle seule, cette société espagnole a renforcé le marché de 22 briqueteries allant de 300 à 1 200 tonnes par jour, d’une tuilerie, et opéré 12 modernisations. Un autre fournisseur de briqueterie bienheureux, Cleia, lequel a construit la plus grosse briqueterie mono-ligne du Maghreb en Algérie. Pour renforcer davantage sa position dans le pays en cette période de forte croissance, Cleia se démarque en créant sa seconde filiale au Maghreb avec des partenaires algériens. Cette filiale offre un service de proximité pour les industriels en Algérie ».

Des projets importants de nouvelles usines sont-ils actuellement en cours ?
« Même si c’est vrai que l’arrivée d’investisseurs nouveaux dans le secteur s’est ralentie dernièrement, le marché algérien, en règles générales, jouit encore d’une bonne santé grâce aux nouveaux besoins en investissements des briquetiers algériens déjà existants. Ces derniers continuent à exprimer leurs demandes d’augmenter leurs capacités de production et diversifier leurs gammes de produits ».

Vous organisez tous les ans un séminaire sur la thématique de la terre cuite. Renouvelez-vous cette année cette initiative ?
« En effet, c’est une tradition que nous comptons maintenir avec la collaboration de l’Association des briquetiers algériens (ABA). Un comité technique est à pied d’œuvre en ce moment pour ainsi préparer un programme, lequel, je l’espère, sera très intéressant. Aussi, nous avons émis les vœux que le séminaire soit consacré, cette année, à « l’innovation », thème phare de cette 20e édition ».

C’est une question que notre magazine vous pose régulièrement depuis plusieurs années mais avez-vous toujours le projet de créer un salon entièrement dédié aux briques et aux tuiles ? 
« Un salon dédié plutôt à l’industrie céramique en général. Nous avons soumis cette idée à nos partenaires internationaux, mais nous n’avons pas pu trouver un créneau de dates pour 2017, à cause de la profusion de salons thématiques incontournables, notamment en Europe. Nous nous sommes entendus de fixer une date pour 2018 à l’occasion du prochain Batimatec, après avoir bien sûr, consulté directement les exposants au niveau du Salon ».

De plus en plus de salons dans le monde nouent des partenariats entre eux. Pensez-vous qu’un jour il soit possible que Batimatec puisse établir ce type de partenariat avec un autre salon généraliste du bâtiment comme Bau en Allemagne, Batimat en France ou ePower&Building en Espagne ?
« Nous avons par le passé établi quelques contacts assez timides avec certains de ces organisateurs, qui sont d’ailleurs restés sans suite. Mais nous voulons travailler à développer des événements en partenariat pour peu qu’ils représentent un intérêt commun et qu’ils respectent les exigences socioculturelles du pays. Partant de ce fait, nous sommes ouverts à toute proposition concrète de collaboration émanant de ces grands organisateurs internationaux ».

Source L'Industrie Céramique et Verrière

11/03/2017

TERREAL mécène de SNL Essonne pour la création d'un logement d'insertion

TERREAL a offert les tuiles nécessaires à la réfection du toit d’un bâtiment rénové par Solidarités Nouvelles pour le Logement en Essonne (SNL Essonne). La réhabilitation de ce T4 permettra de loger une famille en difficulté et de lui apporter tout le confort essentiel à sa réinsertion.

SNL Essonne a pour mission de créer des logements très sociaux et de les louer à des personnes en difficultés. L’association a ainsi fait l'acquisition d’un bâtiment présentant une surface habitable de 72 m² à Villebon auprès d’un propriétaire engagé. La maison a été entièrement réhabilitée grâce aux subventions et mécénats dont SNL a pu bénéficier pour y accueillir une famille. Parmi eux, TERREAL a effectué un don de 5 palettes de tuiles Côtes de Nuits (soit environ 1500 tuiles) et d’accessoires (faitages avec rabats, chatières, rives à rabat) pour rénover la toiture.

TERREAL mène une politique de mécénat en faveur de l’accès au logement et de la sauvegarde du patrimoine. Cette action est au cœur de nos convictions, notre volonté étant d'apporter une contribution durable à notre environnement, pour le bien-être collectif et le confort de vie.

Source TERREAL

10/03/2017

Juwö Poroton-Werke takes over Zeller Poroton

With effect from 1 January 2017, Juwö Poroton-Werke Ernst Jungk u. Sohn GmbH, Wöllstein (Rhineland-Palatinate) has acquired Adolf Zeller GmbH & Co. Poroton Ziegelwerke KG, Alzenau (Bavaria).
With this takeover, Juwö Poroton-Werke, with a turnover of almost € 30 mill. and 138 employees. is one of the biggest clay block manufacturers in the Rhineland-Palatinate, Hesse, Northern Bavaria and the Saarland regions and therefore one of the leading building materials manufacturers in the metropolitan Rhine-Main region as well as in Western and Southwestern Germany. Zeller Poroton will be retained as the company name under the umbrella and corporate design of Juwö Poroton-Werke. All employees will be kept on. Confidentiality was agreed with regard to the sale price.

Juwö Poroton-Werke and Zeller Poroton are already undertaking joint product development and management and are founding members of the “Mein Ziegelhaus”-Group, an umbrella organization to which seven masonry block manufacturers belong. “With the takeover, the strengths of the plants will be bundled and focussed under a unified management. The goal is to secure and extend the excellent position of clay brick as a building material in the future”, says Dipl.-Kfm. Univ. Stefan Jungk, owner and Managing Director of the Juwö Poroton-Werke.


The family company Juwö Poroton-Werke has been a specialist in high-thermal-insulation full ceramic masonry bricks since 1862, is winner of the Grand Prize for SMEs and Company of the Year 2017 in the Alzey-Worms district.

Zeller Poroton is a pioneer in the modern clay brick and tile industry. Bricks have been fired in Alzenau since 1808. The company was one of the first manufacturers of Poroton clay blocks in Germany, and the first clay block filled with mineral wool (MZ block) was made in Alzenau.

Source Ziegelindustrie International

Once again new records for Bau 2017

For the first time ever, 80 000 of the more than 250 000 visitors who attended Bau 2017 were from abroad. As a result, Bau, the World‘s Leading Trade Fair for Architecture, Materials and Systems, managed once again to make significant gains at the international level (2015: 72 000 visitors).

With more than 65 000 visitors from architecture and planning offices, Bau managed yet again to solidify its reputation as a trade fair for architects.

Once again, the Top 10 countries of visitor origin included three countries from outside the EU: Turkey (3055 visitors/2015: 3 716), Russia (2 868/2015: 2 500) and China. The already large number of Chinese trade visitors increased once again (2 235 visitors/2015: 2 096), and China improved its ranking in the Top 10. Once again, neighboring countries Austria (11 520 visitors), Switzerland (5 243) and Italy (5 013) topped Bau‘s list of visitor countries. The list of countries with the largest increases in the number of visitors shows that awareness about Bau is growing, even outside Europe. They include South Korea (1 301 visitors/+42 %), the USA (792 visitors/+40 %) and India (803/+59 %).

Exhibitors were pleased with the internationality, quality and diversity of the trade visitors

The halls and exhibition stands were full from day one. As always, the halls were characterized by elaborately designed stand presentations – many two-stories high. The visitors that could be seen and heard at the stands came from around the world. The 2 120 exhibitors from 45 countries were well prepared.

Bau‘s position as number one in the industry was also verified by a survey of exhibitors conducted by market research institute Gelszus: According to the survey, nearly all exhibitors (98 %) gave Bau a rating of good to excellent. Its character as a leading exhibition was recognized on a broad front (95 %). 95 % of exhibitors gave it top marks for quality, 91 % for the share of international visitors. Less surprising: This time exhibitors gave the current state of the economy better marks than in 2015. 91 % – compared to 81 % two years ago – gave it a rating of good to excellent. Exhibitors also confirmed that the willingness to make concrete business deals has improved compared to 2015. Almost all exhibitors (98 %) plan to participate again in 2019.

96 % of the visitors plan to attend again in two years

The results of the visitor survey remained stable at the highest level. Further improvement is hardly possible in this case, as well. As in 2015, 98 % of visitors who attended Bau gave it a rating of good to excellent, and 96 % plan to attend again in two years. Visitors gave the fair top marks for the scope and completeness of its exhibits (98 % good to excellent) and for the presence of market leaders (95 %). Visitor satisfaction was between 90 and 100 % in all categories. 95 % of visitors reported reaching their most important goal, which was to gather information about new developments. That was slightly more than in 2015. Nearly all visitors, exactly 95 %, were trade visitors, and 62 % said that they held management positions.

The next Bau will feature two new halls when it takes place at the Messe München trade fair center from January 14 to 19, 2019. The trade-fair center will then have
200 000 m2 of exhibition space.

Source Ziegelindustrie International

09/03/2017

Wienerberger Brick Awards 2018 : ouverture des candidatures

Concours biennal d’envergure mondiale, Wienerberger Brick Awards récompense l’exceptionnelle diversité et la qualité de l’architecture moderne incarnées par des réalisations en terre cuite, matériau ancestral.

Après le succès de 2016 affichant un nombre record de dossiers et confirmant toute la dynamique de la créativité architecturale en terre cuite, Wienerberger annonce l’ouverture des candidatures de l’édition 2018, sur une plate-forme en ligne dédiée : https://brickaward.submit.to/register/

Mettant en avant de manière remarquable les possibilités qu’offre la terre cuite, au niveau conceptuel ou bien technologique, tant en mur, qu’en toiture ou bien en façade et pavage, les réalisations candidates vont ainsi concourir, au choix pour l’édition 2018, dans 5 catégories :

Feeling at home

Maisons familiales, maisons jumelées et petits ensembles résidentiels de haute qualité architecturale, proposant des espaces de vie confortables, sains et durables.

Living together

Maisons multifamiliales, solutions résidentielles innovantes, prenant en compte les tendances et les défis de l’urbanisation tels que la rareté de l’espace, les défis sociaux et les nouveaux concepts de “vie commune”.

Working together

Bâtiments commerciaux, bureaux et bâtiments industriels confortables, esthétiques et fonctionnels.

Sharing public spaces

Lieux à des fins éducatives, sociales, médicales ou publiques, confortables, esthétiques et fonctionnels.

Building outside the box

Des concepts innovants, des nouvelles façons d’utiliser la brique. L’utilisation de nouvelles technologies de construction, de nouvelles façons de maçonner, de briques sur mesure et/ou de nouvelles décorations.


De plus, notons qu’une partie significative du projet doit être consacrée aux matériaux de construction en terre cuite et que ce concours est ouvert à tous les projets, sans qu’il soit nécessaire d’utiliser des produits Wienerberger. Un appel tout particulier est d’ailleurs lancé cette année pour les bâtiments à plusieurs étages respectant des critères de durabilité et d’écologie, ainsi que d’esthétique et d’intégration dans un environnement urbain.

Après la sélection d’une cinquantaine de projets par un panel de journalistes et de critiques en architecture, un jury international d’architectes élira les lauréats 2018. Soulignons la présence, parmi eux, de l’architecte français Marc Mimram, du cabinet Marc Mimram Ingenierie, basé à Paris. Enfin, comme chaque édition, la cérémonie officielle se tiendra à Vienne au printemps 2018 où sera également remis Brick’18, le traditionnel ouvrage de référence édité par Callwey.



Fondé à Vienne en 1819, Wienerberger est aujourd’hui le 1er briquetier mondial et le 1er tuilier européen. La terre cuite, matériau sain, économique et écologique, répond idéalement aux projets de constructions à haute performance énergétique. Matériaux écoresponsables, les briques et tuiles terres cuites ont une durée de vie minimum de 100 ans. Présent dans 30 pays, ses 204 usines emploient plus de 14800 personnes à travers le monde. En France, 830 salariés travaillent dans les 10 usines de tuiles et briques détenues par le groupe. Le chiffre d’affaires en 2014 atteint 178 millions d’euros avec 4 marques reconnues : Argeton - Solutions façade, Koramic - Solutions toiture et façade, Porotherm - Solutions mur et Terca - Solutions façade.


Pour toute information complémentaire, s’adresser à :
Wienerberger SAS - 8, rue du Canal - Achenheim - 67087 Strasbourg Cedex 2
Tél. 03 90 64 64 64 - Fax 03 90 64 64 61 - www.wienerberger.fr

Source: Schilling communication

08/03/2017

Du 8 au 10 mars 2017, au salon "be positive" à Lyon: imerys toiture dévoile en avant première les nouveautés de sa gamme solaire

Salon de la performance énergétique et environnementale des bâtiments et territoires, le salon Be Positive est un rendez-vous incontournable pour tous les professionnels du bâtiment et de l’énergie à la recherche de solutions innovantes.

A l’occasion de sa participation dans l’Univers « Energies dans le bâtiment » dédié aux solutions énergies renouvelables, IMERYS Toiture invite les visiteurs à adopter un autre regard sur les économies d’énergie.

Le leader français de la tuile terre cuite, et spécialiste de solutions pour toits et façades, y présente en exclusivité les derniers développements de sa gamme solaire pour produire, autoconsommer et utiliser l’énergie en toute simplicité.

NOUVEAUTÉS :

HYBRID’KIT : une solution 2 en 1 qui a une longueur d’avance

ALPHA SOLAIRE : la 1ère tuile terre cuite avec cellule photovoltaïque intégrée

MARQUISE SOLAIRE : une solution qui allie protection solaire et production d’électricité


 HYBRID’KIT : une solution 2 en 1 qui a une longueur d’avance
Anticipant les exigences de la RT 2020, IMERYS Toiture innove en proposant HYBRID’KIT, une solution pour la production d’électricité et d’eau chaude sanitaire, qui réunit deux technologies sur une seule tuile : photovoltaïque et héliothermique.

HYBRID’KIT : une autoconsommation maximale

Système multi-énergies pour la maison individuelle neuve ou existante, l’HYBRID’KIT comprend :
dix tuiles 2 en 1 brevetés, constitués d’un capteur héliothermique placé sous une tuile photovoltaïque, qui disposent ainsi d’une performance améliorée jusqu’à 25% l’été,
un chauffe-eau héliothermique avec ballon d’une capacité de 200 litres, répondant aux besoins en eau chaude sanitaire d’une famille de 2 à 4 personnes, programmé pour fonctionner en journée,
un micro-onduleur pour raccorder les tuiles photovoltaïques au réseau électrique et optimiser la prouction.

La production électrique des tuiles photovoltaïques compense la production de l’eau chaude sanitaire produite exclusivement en journée pour obtenir les meilleurs coefficients de performance.
En cas de surplus, celui-ci sera réinjecté dans le réseau électrique de la maison et affecté aux consommations du logement améliorant ainsi le taux d’autoconsommation (production consommée sur place / production totale).

Affichant un COP annuel moyen de 3,6 et jusqu’à 6 l’été (6 kW restitués pour 1 kW consommé), le chauffe-eau héliothermique associe une pompe à chaleur qui récupère l’énergie gratuite contenue dans l’air extérieur et celle du soleil pour chauffer l’eau du ballon.

D’une incroyable efficacité, les capteurs héliothermiques permettent à la pompe à chaleur de produire de l’eau chaude sanitaire jusqu’à 60°C avec un fonctionnement 365 jours par an, de jour comme de nuit, été comme hiver. A titre d’exemple, 10 tuiles hybrides permettent de produire 750 kWh !

Offrant des performances exceptionnelles (zéro point de consommation d’énergie primaire), l’HYBRID’KIT produit ainsi autant d’électricité injectée dans la maison que le chauffe-eau héliothermique n’en consomme annuellement. IMERYS Toiture anticipe ainsi l’une des exigences de la RT 2020 puisque plus de la moitié de l’énergie consommée par le chauffe-eau est directement produite par les tuiles photovoltaïques.

HYBRID’KIT : une solution universelle, design et facile à poser

Pour s’inscrire dans les nouvelles tendances constructives tout en respectant les enjeux environnementaux, IMERYS Toiture propose avec l’HYBRID’KIT une solution idéale alliant efficacité énergétique et esthétique.
Avec sa tuile 2 en 1, l’HYBRID’KIT optimise l’encombrement en toiture. Grâce à son châssis spécialement adapté, il trouve sa place sur tous les types de toiture qu’elle soit en terre cuite, en ardoise ou métallique, faiblement ou fortement galbée, à pureau plat ou canal. Discret, seul le capteur photovoltaïque est apparent pour s’intégrer harmonieusement au reste de la toiture.

Afin de proposer un système évolutif, la tuile HYBRID est parfaitement compatible avec l’ensemble des solutions solaires d’IMERYS Toiture. Il est ainsi possible de l’associer à toute autre tuile photovoltaïque de la marque pour augmenter sa production d’électricité.
Livré en kit complet avec tous les éléments nécessaires à son fonctionnement, la tuile HYBRID se pose rapidement sur liteaux comme les tuiles traditionnelles, ce qui garantit une étanchéité parfaite renforcée par le châssis en aluminium sur lequel repose la tuile HYBRID.

Cette innovation signée IMERYS Toiture a d’ores et déjà retenu l’attention des membres du jury des BePositive Awards qui l’ont nominé dans la catégorie « Energies dans le bâtiment ».

 ALPHA SOLAIRE : la 1ère tuile terre cuite avec cellule photovoltaïque intégrée

Pour respecter les exigences de la RT 2012 qui demande une utilisation minimum de 10% d’énergies renouvelables (5 kWhep/m2 par an) en maison individuelle, IMERYS Toiture disposait déjà de nombreuses tuiles photovoltaïques disponibles sous forme de kits en autoconsommation. Aujourd’hui, IMERYS Toiture enrichit son offre avec ALPHA SOLAIRE, la première tuile terre cuite qui intègre des cellules photovoltaïques.

Une tuile aux qualités déjà éprouvées

Directement inspirée de la forme et des caractéristiques de la tuile standard ALPHA 10 Ste Foy d’IMERYS Toiture, ALPHA SOLAIRE, bénéficie de toutes les qualités propres à ce modèle telles
que :
une étanchéité optimale grâce aux propriétés intrinsèques de la terre cuite,
une longévité et une fiabilité d’un matériau durable terre cuite garanti 30 ans,
la qualité supérieure de l’argile Ste Foy qui lui confère une haute résistance mécanique.

Deux en un, ALPHA SOLAIRE est une tuile double ALPHA 10 Ste Foy sur laquelle est assemblé, sans aucune surépaisseur, un capteur photovoltaïque. Un atout supplémentaire qui garantit une ligne épurée et lisse à la toiture pour une intégration dans le plus grand respect de l’architecture quel que soit le type d’habitation, moderne ou traditionnel, en neuf ou en rénovation.

Une pose rapide et ergonomique

Parfaitement compatible avec une toiture déjà réalisée en ALPHA 10 Ste Foy, l’ALPHA SOLAIRE d’IMERYS Toiture dispose également des mêmes caractéristiques de montage, emboîtements, pureau variable entre 350 et 370 mm et accessoires d’ores et déjà reconnus par les professionnels de la couverture. D’une grande facilité, la mise en œuvre est d’autant plus simplifiée grâce à un raccordement électrique des ALPHA SOLAIRE par raccord plug & play et à une livraison sous forme de kit complet.

Modulable en fonction des besoins, le kit comprend 11 tuiles ALPHA SOLAIRE, un micro-onduleur
et les connectiques inter-tuiles nécessaires au bon fonctionnement. Répondant parfaitement aux exigences de la RT 2012, ce système performant permet de faire gagner aux propriétaires jusqu’à 12 kwh/m2 /an sur le CEP (pour deux kits de 11 tuiles d’ALPHA SOLAIRE). La production photovoltaïque permettra d’alimenter les appareils électriques (box internet, branchement électrique...) et ainsi de réduire la consommation achetée.
Alliant couverture et étanchéité de la toiture, simplicité de pose et production d’électricité, l’ALPHA SOLAIRE d’IMERYS Toiture, sera lancée officiellement au début du deuxième semestre 2017.

 MARQUISE SOLAIRE : une solution qui allie protection solaire et production d’électricité



Parmi les critères requis par la RT 2012, il y a non seulement la réduction des besoins énergétiques grâce à une meilleure gestion des apports gratuits mais également l’obtention du confort d’été. Pour contribuer à relever ce double défi, IMERYS Toiture lance la MARQUISE SOLAIRE, une solution double fonction qui conjugue protection solaire et production d’électricité.

Un panneau photovoltaïque, deux fonctionnalités

Solution idéale en neuf, la MARQUISE SOLAIRE permet de créer une avancée de toit au-dessus de toutes les ouvertures d’un bâtiment (portes, fenêtres, baies vitrées...) qu’il soit résidentiel, tertiaire ou même industriel.
Composé d’un panneau photovoltaïque d’une puissance de 250 à 300 W/m2 et d’une structure exclusive en acier, la MARQUISE SOLAIRE fait office de brise-soleil pour protéger des rayonnements solaires tout en récupérant l’énergie pour la production et l’autoconsommation en instantané de l’électricité. Performante, cette solution évolutive compatible avec l’ensemble des solutions solaires d’IMERYS Toiture permet de gagner 5 à 12 kWh/m2 /an d’énergie primaire et répond ainsi parfaitement à la RT 2012.
Au design moderne et à l’esthétique intemporelle, la MARQUISE SOLAIRE s’intègre harmonieusement à toutes les architectures, des plus contemporaines aux plus classiques. Avec son panneau photovoltaïque et sa structure intégralement de couleur noire, elle offre en toute discrétion un ombrage efficace quelle que soit l’heure de la journée.


Un brise-soleil photovoltaïque robuste et rapide à poser

Solide grâce à sa structure acier anticorrosion et à son module photovoltaïque d’une haute technicité, la MARQUISE SOLAIRE d’IMERYS Toiture bénéficie d’une grande résistance face aux conditions climatiques.
Livrée en kit complet, la MARQUISE SOLAIRE d’IMERYS Toiture allie simplicité et rapidité de pose. En moins d’une heure, deux personnes suffisent pour installer l’ensemble des éléments nécessaires à son fonctionnement, à savoir :
un ou deux panneaux photovoltaïques,
la structure composée de 2 consoles droite et gauche avec système de fixation inclus et d’une traverse avant,
et le micro-onduleur.
Disponible à partir de mars 2017, la MARQUISE SOLAIRE d’IMERYS Toiture est proposée en option avec toute une gamme d’accessoires de finition (plaque de fond, joues latérales droite et gauche.

Alors que la confiance des français envers les énergies renouvelables est au beau fixe (80% souhaitent voir se développer les panneaux photovoltaïques*), IMERYS Toiture illustre une fois de plus qu’il est le partenaire incontournable pour accompagner tous ceux, professionnels comme particuliers, qui souhaitent porter un autre regard sur l’avenir.
*source 7ème édition du baromètre annuel OpinionWay pour Qualit’EnR

UNE GAMME PHOTOVOLTAÏQUE COMPLÈTE
Expert de la tuile terre cuite, rappelons qu’IMERYS Toiture propose une large gamme solaire au service d’une performance énergétique inégalée incluant des tuiles photovoltaïques novatrices et des kits complets en faveur de l’autoconsommation totale ou partielle (EVOLU’KIT), de l’autoconsommation/stockage (STOCK’IT) et de la vente d’électricité (SELL’KIT).
D’une grande fiabilité, les systèmes photovoltaïques IMERYS Toiture bénéficient d’une garantie étanchéité jusqu’à 30 ans avec des tuiles terre cuite neuves de sa gamme et d’un rendement garanti pendant 25 ans à 80% du rendement initial.

Source IMERYS TOITURE

07/03/2017

La Scop Bouyer Leroux va doubler de taille en fusionnant avec Imerys Structure

Bouyer Leroux, leader français de la brique de terre cuite, va convertir l'ex-Imerys Structure au mode coopératif.
C'est un travail de longue haleine, pour la SCOP Bouyer Leroux, que de doubler de taille. Le numéro un français de la brique en terre cuite, basé à La Séguinière (Maine-et-Loire), compte y parvenir en février 2018. Les 250 salariés, sociétaires de cette coopérative fondée en 1980, seront alors appelés à voter pour fusionner avec la filiale Bouyer Leroux Structure (BL Structure), issue du rachat du pôle terre cuite d'Imerys en 2013. Avec ses 360 salariés sur sept sites, la filiale acquise dépasse en taille celle de son acquéreur. Une telle fusion sous forme de coopérative ne s'était pas vue depuis celle de Chèques Déjeuner en 2015.
Initialement, BL Structure devait demeurer une filiale, « mais nous avons préféré une fusion-absorption, explique Roland Besnard, le PDG du groupe. Car nos activités sont les mêmes, ainsi que les clients, on ne pouvait imaginer durablement de faire vivre deux entités côte à côte ».
SPPF et Fermetures Loire-Océan, autres filiales de Boyer Leroux, ne passeront pas au statut coopératif
Depuis le rachat, Bouyer Leroux a mené un long travail de convergence sur l'informatique, les pratiques, le langage interne, la codification des produits, la gouvernance… Restait à s'aligner sur le statut coopératif, ce qui implique un travail de formation des salariés avec un système de parrainage. Pour ne pas déstabiliser le groupe, « les salariés se présenteront au sociétariat en trois vagues », précise le dirigeant, qui décrit deux cultures différentes entre les sociétaires historiques et les ex-Imerys. L'esprit coopératif « ne se décrète pas » , mentionne Roland Besnard. « Mais un vote négatif créerait une forte déception et ferait de cette filiale un bateau difficile à piloter. »
Pas question, en revanche, de convertir les autres filiales du groupe au statut coopératif. Bouyer Leroux détient notamment les menuiseries SPPF et Fermetures Loire-Océan. En 2014, il s'est diversifié dans le béton en reprenant le breton Robert Thébault. Le groupe atteint ainsi un effectif de 900 salariés, pour un chiffre d'affaires de 185 millions d'euros. « Du fait de leur rentabilité et de leur valorisation, ces sociétés seraient hors d'atteinte pour les salariés », précise Roland Besnard. Qui plus est, « elles ont été acquises dans le cadre d'une stratégie de diversification », poursuit-il. « Si la Scop allait mal, elles pourraient nous aider à survivre grâce à leur résultat ou même être cédées pour dégager une marge de manoeuvre. »
Source Les Echos par EMMANUEL GUIMARD

06/03/2017

Martin Piotte est nommé Directeur de la Technologie et de l’Innovation du Groupe TERREAL

Laurent Musy, Président Directeur Général de TERREAL, a le plaisir d’annoncer l’arrivée de Martin Piotte au poste de Directeur de la Technologie et de l’Innovation du Groupe.

La Direction de la Technologie et de l’Innovation a pour mission de développer les nouveaux systèmes et produits au service de nos clients, ainsi que les ressources d’argile et les nouveaux procédés qui doivent rendre nos usines plus performantes et durables.

Elle est également en charge, avec la direction industrielle, d’évaluer et de mettre en œuvre les investissements internes et externes. Elle assure de plus l’assistance technique, requérant une expertise approfondie, aux équipes opérationnelles industrielles et marketing.

Martin Piotte assure le développement des partenariats externes de R&D et des relations institutionnelles et professionnelles visant à défendre et développer les marchés de Terreal d’un point de vue réglementaire.

Martin est basé au Centre de Recherche et de Développement de Terreal à Castelnaudary (Aude).

Biographie

Diplômé d’un PHD de Chimie Physique de l’université de Sherbrooke au Canada, Martin Piotte a débuté sa carrière au sein du Groupe Lafarge. Il y a occupé plusieurs fonctions pendant plus de 16 ans, dont ceux de Directeur de la conformité industrielle et de Directeur de Portfolio de recherche.

En 2011, il rejoint Siniat International en tant que Directeur Qualité Procédé, Opérations pour les zones Europe et Amérique du Sud.

Source Wellcom

La Résidence Black Box (Lyon) s’habille de vêture de terre cuite Thermoreal-Gebrik noir velouté posée à la verticale

Un immeuble paré d’une vêture en terre cuite de couleur noir, posée à la verticale, c’est le projet surprenant de l’Agence Soho en collaboration avec TERREAL. Construit dans une « dent creuse » au cœur de Lyon Perrache, la résidence Black Box affirme sa différence.

Glissé entre deux bâtiments mitoyens d’architecture classique, Black Box surprend par sa façade alliant acier et terre cuite d’un noir velouté. En posant la vêture à la verticale, l’architecte associé en charge du projet, Patrick Miton (Agence Soho), a souhaité s’affranchir de l’image traditionnelle de la brique et affirmer son choix pour une vêture isolante habillant un mur béton et non une maçonnerie en brique. C’est également une façon d’affirmer la proportion verticale du bâtiment.

Le Thermoreal®-Gebrik® est posé en aplats cadrés par des nervures d’angle verticales en joints creux et des couvertines en acier laqué noir. Les baies viennent s’y inscrire dans des pré-cadres également métalliques. Les joints ont été traités dans une teinte la plus proche possible de la brique.

Le Thermoreal®-Gebrik® est un panneau isolant préassemblé en usine, constitué de plaquettes de terre cuite serties dans une mousse isolante en polyuréthane rigide. Il se fixe par chevillage directement dans le mur support. Cette solution de vêture pré-assemblée a permis la pose à la verticale des briquettes de terre cuite pour une esthétique très originale du bâtiment.

Une sous-couche de 10 cm de polystyrène extrudé vient en complément du Thermoreal®-Gebrik® pour isoler le bâtiment, classé BBC.

Résidence Black Box:

  • Lieu : Lyon 2ème (69)
  • Surface de façade: 425 m²
  • Architecte : Soho Architecture et Urbanisme – Lyon
  • Maître d’ouvrage : DCB International
  • Produit TERREAL : vêture Thermoreal® Gebrik
  • Couleur : noire
  • Entreprise de pose : IB Façades – Vaux en Velin
Source Welcom Presse

05/03/2017

Haute-Loire : le groupe Cérabati repris par Koramic

Le tribunal de commerce de Lyon a accepté, le 14 Février, l'offre de reprise du groupe Koramic pour Cérabati. Sur les 116 postes que compte le site de Couteuges et celui du siège à Lyon, 93 seront repris dont 77 salariés sur les 87 employés en Haute-Loire.
Une étape est franchie depuis ce mardi dans le dossier de reprise du groupe Cérabati, en redressement judiciaire depuis novembre 2016. A minuit, dans la nuit de mardi à mercredi, le groupe belge Koramic, à travers Cofrac, sa société holding en France, est devenu le nouveau propriétaire du site.

La veille, au tribunal de commerce de Lyon, l'offre du repreneur du site de Couteuges (87 salariés) et de son siège à Lyon (33 salariés) a été acceptée. Sur les 116 postes que compte le groupe Cérabati, 93 seront repris. Dix postes seraient supprimés sur le site de Couteuges et 13 à Lyon.

Le personnel de production le plus touché
« Une étape est franchie mais cela reste un regret de perdre dix emplois sur le site de Couteuges et treize à Lyon, on perd toujours trop d’emplois, précise Laurent Batisson, délégué syndical. Et dans ces cas, ce sont souvent à 80 % les personnels de production qui sont impactés... La prochaine étape sera la finalisation de l’offre de reprise et les discussions avec l’administrateur pour la gestion du plan social. »

Le groupe belge Koramic, dans un communiqué, annonce que ce rachat "créera le plus grand groupe de l'industrie du carrelage céramique en France".


Le groupe Koramic est implanté dans le domaine du carrelage en France au travers de la société Desvres et de deux unités de production situées à Maubeuge (Hauts de France) et Forbach (Moselle), rachetée le 6 décembre 2016.

Se spécialiser 
"Le nouvel ensemble emploie 380 collaborateurs en France et réalise un chiffre d'affaires de plus de 60 millions d'euros, est-il précisé. Il fera partie de la division Produits céramiques de Koramic : ‘Koracer‘. Il s’appuie sur des marques réputées, chacune ayant son identité propre ; un outil industriel comprenant trois sites de production totalement complémentaires en termes de savoir-faire et de localisation géographique avec une capacité de production totale de près de 10 millions de m². Ces complémentarités ouvrent la voie à une spécialisation des usines par gamme de produits pour une plus grande efficacité industrielle et une proximité géographique accrue pour délivrer le niveau de service attendu par les clients."

Une stratégie affichée de Koramic de prendre des parts de marché en s'appuyant sur des produits Origine France garantie et en réduisant l'empreinte écologique des transports.

Le groupe Koramic
C'est un groupe privé belge créé en 1883 et actif dans différents métiers. Il réalise un chiffre d’affaires de 600 millions d’euros dans 15 pays et emploie plus de 6.000 collaborateurs. Outre la fabrication de carrelage, Koramic est aussi dans la production de produits chimiques pour le bâtiment et dans les centres d’appels.

Source Le Moniteur par Magali Roche

04/03/2017

Don d’argile pour l’association Lieu Commun à Toulouse

TERREAL a été sollicité par Lieu Commun, lieu d'exposition d'art contemporain sur Toulouse, pour fournir de la matière première dans le cadre d’un projet pédagogique.

Un parcours artistique, destiné à des lycéens de trois établissements toulousains, leur propose ainsi de partir à la découverte d’expositions, d’œuvres, d’artistes et des métiers de l’art.

L’association a pour cela invité le trio d’artiste ILE/MER/FROID à intervenir lors d’ateliers avec des lycéens issus de différents horizons : Techniques du bâtiment et organisation du gros œuvre, arts plastique ou encore communication. Le but : préparer une exposition collective pour le mois de juin 2017.

Un des ateliers sera ainsi consacré à la création, avec comme matière première l’argile provenant de notre carrière de Colomiers.

TERREAL, via sa contribution, est fier de participer à des projets éducatifs et culturels comme celui initié par Lieu Commun. Les élèves peuvent ainsi découvrir toutes les qualités de l’argile et travailler avec un matériau 100% local puisque l’argile est extraite en région Occitanie, à proximité de Toulouse.

Source TERREAL

Chine : reprise du secteur des matériaux de construction en 2016

Le secteur des matériaux de construction de la Chine a connu une croissance l'année dernière comme le marché de l'immobilier du pays s'est développé, selon des données officielles publiées lundi.
La production du ciment a progressé de 2,5% en glissement annuel pour atteindre 2,4 milliards de tonnes en 2016, contre une baisse annuelle de 4,9% en 2015, selon la Commission nationale du développement et de la réforme.

La production du verre plat a augmenté de 5,8% sur un an en 2016, contre un recul de 8,6% enregistré en 2015.

Ces augmentations interviennent alors que le secteur immobilier du pays, consommateur principal du ciment et du verre plat, a connu une croissance l'année dernière grâce à la réduction des taux d'intérêt et du taux de réserves obligatoires.

Les investissements dans le secteur immobilier ont enregistré une hausse de 6,9% sur un an en 2016, soit 1,1 point de pourcentage de plus par rapport aux trois premiers trimestres, et 5,9 points de pourcentage de plus par rapport à 2015, selon le Bureau d'Etat des Statistiques (BES).

Cependant, la reprise du secteur immobilier est variable d'une ville à l'autre, avec une forte augmentation des prix des logements enregistrée dans les régions qui sont fortes sur le plan économique, et des logements qui restent invendus dans les régions moins développées.

Source CRI Online

03/03/2017

Les résultats de Cerinnov boostés par l'international

Cerinnov Group a passé une bonne année 2016. Le spécialiste de l'ingénierie robotique et des équipements industriels pour l'industrie de la céramique et du verre en France, implanté sur le parc d'Ester Technopole à Limoges, a vu son chiffre d'affaires progresser de 91,1 % à 18,7 millions d'euros contre 9,8 millions d'euros en 2015.

Les raisons de cette croissance exceptionnelle ?

1- Une accélération à l'international (+ 148%)

C'est le moteur de la croissance générée par le groupe. Une performance remarquable qui s'explique par une présence forte : trois implantations en Allemagne, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis et 15 agents commerciaux qui couvrent 70 pays à travers le monde. Résultat : Cerinnov a réussi à conquérir des acteurs majeurs de l'industrie mondiale de la céramique et du verre. En 2016, le groupe a livré plusieurs machines et équipements de pointe à plus de 230 clients, dans plus de 30 pays sur les cinq continents

«  Cette réussite démontre notre capacité à nous inscrire au cœur de l’industrie 4.0 en fournissant à ces acteurs internationaux les équipements et les machines de pointe qui correspondent strictement à leurs besoins. Ces performances sont le résultat d’innovations constantes menées par nos équipes de R&D et d’expertises techniques uniques que nous détenons pour anticiper les technologies de demain et aider nos clients à relever les défis de la compétitivité et de la différenciation de leur industrie ».
ARNAUD HORY (Président-directeur général et co-fondateur de Cerinnov Group.)

2- Une diversification sectorielle

Historiquement ancré dans le secteur traditionnel des Arts de la table, Cerinnov Group a su diversifier sa clientèle en s'adressant à de nouveaux secteurs : la céramique technique (33 % du chiffre d'affaires 2016) et la métallurgie (24 % du chiffre d'affaires 2016).

En 2015, les Arts de la table représentaient encore plus de la moitié du chiffre d'affaires de Cerinnov Group. Fin 2016, ils ne représentaient plus que 36 % du chiffre d'affaires total.

Source Le Populaire

02/03/2017

ALGERIE - OUARGLA : Les mines d’argile, un drame écologique

Connue pour la richesse de son sol, Beldet Omar, situé dans le nord de la wilaya de Ouargla, abrite de nombreuses carrières et de mines, dont des mines d’argile.

Alors que des sociétés privées extraient cette argile pour la fabrication de briques, grâce à des licences d’exploitation, les associations écologistes et les autorités locales tirent la sonnette d’alarme. L’exploitation de ces mines, disent-elles, est en infraction avec la loi qui exige de remettre le sol en l’état après extraction de l’argile. Résultat de la non-application de cette clause, des trous géants se sont formés et font désormais office de dépotoirs.

Ces trous, dont la profondeur atteint parfois 30 mètres, ont  même entraîné la montée des eaux souterraines et la formation d’un grand lac, à l’été 2014. Ignorant les dangers liés à ces eaux stagnantes, véritable catastrophe écologique, les habitants s’y sont  baignés, obligeant les autorités locales à décréter l’état d’urgence et à combler le lac au bout de deux semaines. Cet incident est, selon les associations écologistes, une preuve supplémentaire de  la désinvolture de ces sociétés d’exploitation des mines d’argile. Un lac d’eaux souterraines formé à cause des dépassements dans l’extraction d’argile.

Atteinte aux parcelles

Les agriculteurs dont les terres jouxtent ces mines, souffrent spécialement de cette proximité, les opérations de forage les empêchant d’atteindre leur terre et endommageant leurs récoltes. Oncle Mohamed, un de ces fermiers, affirme que les glissements de terrains dus à l’extraction d’argile entraînent l’écoulement des eaux sous les couches du sol de sa plantation. Ces eaux dépassent de loin les besoins des récoltes qui finissent par s’altérer.

Oncle Mohamed réclame des autorités locales de mettre un terme aux dérives de ces entreprises, d’imposer un contrôle strict sur les opérations de comblement et d’instaurer un système d’exploitation périodique pour minimiser les dégâts dans les mines. Le maire de Beldet Omar se défend en déclarant que  la municipalité «n’a rien à voir avec les problèmes dans les mines, même si celles-ci se trouvent sur des terrains municipaux».  Il précise que «les licences d’exploitation sont fournies par le ministère de l’Energie et des Mines et que la loi est appliquée sur toutes les mines du pays».

Arguments des exploitants

Les détenteurs de licence d’exploitation estiment de leur côté que le non-comblement des mines est dû au «manque d’équipement et de main-d’œuvre dans ce pénible domaine». Un argument fallacieux, selon les écologistes, qui notent que ces entrepreneurs  n’ont aucun problème à trouver de la main-d’œuvre pour forer, mais ne la trouve pas quand il s’agit de combler les fosses.

Saleh G., représentant d’une association écologiste à Ouargla, dénonce une réalité qui dure depuis des années. «L’exploitation des carrières et des mines à Ouargla remonte à 1989. Depuis, le forage va bon train et l’environnement ne cesse d’en pâtir», dit-il. Saleh se demande indigné : «pourquoi continue-on de causer tant de catastrophes et de nuire de la sorte à la nature ?

Pourquoi ce silence de la part des autorités ?»

Quant à Abdelhamid Safi, expert en géologie, il accuse les chefs des sociétés qui exploitent ces mines «d’être conscients des dégâts qu’ils causent aux habitants de la région et à la nature». «Le forage sans comblement par la suite est la plus grande violation de la terre…
La science moderne découvre chaque jour de nouvelles méthodes pour protéger le sol et les couches terrestres de l’érosion, et ces chefs d’entreprise viennent bousiller tout ceci sans la moindre considération pour le droit international ni pour la Constitution du pays».  Safi a réclamé au ministère de l’Energie et des Mines de  «prendre des mesures punitives contre tous ceux qui enfreignent la loi sur l’exploitation des mines».

Source El Watan par Mohcine Ghettas

01/03/2017

Vandersanden Group buys four brickworks from CRH

The Belgian brick manufacturer, the Vandersanden Group, is acquiring from CRH three brickworks in the Netherlands and one in Germany. In the Netherlands, these are the Bylandt Tolkamer plant (pavers), the Bylandt Kessel plant (extruded bricks and pavers) and the Façade Beek plant (hand-moulded facing bricks). In Germany, the AKA Oberlausitz Klinkerwerke (a brickworks near Dresden) manufactures extruded facing bricks and pavers. In addition, there is a central sales office in Peine (central Germany) and the sales partner “De Saegher” (a renowned ceramic specialist) in Antwerp, Belgium. Together, all these CRH facilities employ a total of 230 people.
The main reason for the acquisition are synergies between the business activities of the two companies. Vandersanden, the Belgian family-run business, is a market leader in hand-moulded bricks in Belgium, and this acquisition will, in 2017, elevate it to become a market leader in clay pavers in the Netherlands.

In the increasingly important German market, the Vandersanden Group will gain even more openings to meet the needs of the market for façades and pavers.

This acquisition is part of the overall Vandersanden Group strategy and strengthens its position as one of the largest family-owned brick manufacturers in Europe. Only recently, Vandersanden acquired its sales partner Hoskins Brick in Great Britain.

As a result of these acquisitions, Vandersanden Group will employ a total of 600 people in 2017, including 240 employees in Belgium, 275 in the Netherlands, 15 in Great Britain, 4 in France and 66 in Germany. The annual total production capacity will be more than 500 mill. bricks.

Following the acquisition, which is expected to take place in the second half of January 2017, the consolidated turnover of the Vandersanden Group will be € 160 mill., with the main sales markets being Belgium, the Netherlands and Germany (with combined sales of approx. 85 % of the turnover). Additionally, the group exports to more than 20 other countries and regions, including Great Britain, Ireland, France, Poland, Russia, the Middle East and Asia.

Source Ziegelindustrie International

28/02/2017

Eric Lebeau est nommé directeur commercial d’Imerys Toiture

Le fabricant de tuiles et de produits de couverture et de façade Imerys Toiture annonce cette nomination suite au départ en retraite de Jean-Noël Robelin.

A partir du 1er mars prochain, la direction commerciale d’Imerys Toiture change de tête. Jean-Noël Robelin, actuel titulaire du poste, part en retraite et cède sa place à Eric Lebeau. Agé de 54 ans, Eric Lebeau a effectué l’essentiel de sa carrière chez cet industriel, qu’il a rejoint en 1986. Après 17 ans en tant que Responsable de Secteur, fonction qu’il a exercé sur trois régions différentes, il a été successivement directeur régional des ventes Rhône-Alpes, puis directeur national des ventes, poste qu’il occupait depuis 2012.

Il pilotera les orientations stratégiques sur les cinq activités de l’entreprise : tuile, bardage, solaire, services et accessoires fonctionnels.

Source Le Moniteur par Pierre Pichère

27/02/2017

TERREAL VA-T-IL CHOISIR DE MUSCLER ROUMAZIÈRES ?


Laurent Musy, P-DG de Terreal, avait fait hier le déplacement du siège

Le P-DG était hier en Charente limousine. Au préfet et à quelques élus, il a indiqué que le site était sur les rangs pour un projet de développement.

Il en a trop dit ou pas assez. Et a même un peu regretté l’indiscrétion. Laurent Musy, le P-DG de Terreal, en visite hier après-midi à l’usine de Roumazières où il recevait le préfet Pierre N’Gahane et quelques élus du territoire, a annoncé que le fabricant de tuiles pourrait à court terme doper son entité charentaise. "Nous avons envie de rester une industrie leader, indique-t-il. Roumazières est notre usine la plus importante, elle est stratégique et fondamentale, même si la baisse d’activité nous contraint à recourir à du chômage partiel trois mois par an. Pour accompagner notre développement, nous pourrions être amenés à investir ici de manière satisfaisante."

De quoi mettre l’eau à la bouche du représentant de l’État et des décideurs de Charente limousine. "Si vous nous en dites plus, cela pourrait être un argument pour vous accompagner", tente le préfet. Raté. Laurent Musy répond que le sujet est "bien trop prématuré" et que d’ailleurs, "ça ne se fera peut-être pas ici". Roumazières est en concurrence avec d’autres sites du groupe.
Deux autres, selon nos informations, répartis parmi les différentes tuileries du groupe, en Occitanie, en Bourgogne-Franche-Comté, en Normandie ou en Ile-de-France. Il s’agirait d’une unité de fabrication de tuiles spéciales, destinées à un marché qui ne serait pas forcément national. L’activité, quel que soit le site retenu, ne démarrerait pas avant 2019 ou 2020.

"Plus de polyvalence" à l’horizon 2020

Frappé par la crise du marché (-40% en dix ans), la tuilerie ne fonctionne actuellement que 9 mois par an.

À ce propos, Bruno Hocde, le directeur de l’usine de Roumazières, est tout aussi prudent que son patron. "Nous avons des atouts à faire valoir. Nous aimerions bien évidemment être retenus, mais les réflexions n’en sont qu’au tout début. Nous ne pouvons rien annoncer pour ne pas donner de faux espoirs aux gens."
Rien annoncer encore, c’est aussi le mot d’ordre quant aux suppressions de postes pour l’heure toujours fortement envisagées à Roumazières dans les trois ans. "Nous souhaitons axer davantage sur la polyvalence pour ne pas avoir à remplacer tous les départs à la retraite, dit Laurent Musy. Nous devons réfléchir à d’autres fonctionnements pour réagir autrement que par du chômage partiel aux baisses d’activité." Soixante-dix salariés feront valoir leurs droits à la retraite d’ici à 2020. La grande majorité d’entre eux ne sera a priori pas remplacée.
Pour autant, le tuilier historique reste confiant en son avenir sur ses terres d’argile historiques de Charente limousine. Le groupe a obtenu l’an dernier l’autorisation d’exploiter de nouvelles carrières et prospecte désormais du côté du nord de la Dordogne, de la Vienne et de l’Indre. Ses carrières actuelles lui offrent six ans de visibilité à Roumazières. Laurent Musy a l’ambition de faire grimper ce chiffre à vingt ans.

Source La Charente Libre par Benoît CAURETTE

TERREAL mécène de SNL Essonne pour la création d'un logement d'insertion

TERREAL a offert les tuiles nécessaires à la réfection du toit d’un bâtiment rénové par Solidarités Nouvelles pour le Logement en Essonne (SNL Essonne). La réhabilitation de ce T4 permettra de loger une famille en difficulté et de lui apporter tout le confort essentiel à sa réinsertion.

SNL Essonne a pour mission de créer des logements très sociaux et de les louer à des personnes en difficultés. L’association a ainsi fait l'acquisition d’un bâtiment présentant une surface habitable de 72 m² à Villebon auprès d’un propriétaire engagé. La maison a été entièrement réhabilitée grâce aux subventions et mécénats dont SNL a pu bénéficier pour y accueillir une famille. Parmi eux, TERREAL a effectué un don de 5 palettes de tuiles Côtes de Nuits (soit environ 1500 tuiles) et d’accessoires (faitages avec rabats, chatières, rives à rabat) pour rénover la toiture.

TERREAL mène une politique de mécénat en faveur de l’accès au logement et de la sauvegarde du patrimoine. Cette action est au cœur de nos convictions, notre volonté étant d'apporter une contribution durable à notre environnement, pour le bien-être collectif et le confort de vie.

Source Terreal

26/02/2017

Fimec Technologies devient Alfi Technologies

Le groupe Materials Technologies fédère ses différentes activités sous la nouvelle marque Alfi Technolies pour rationaliser ses activités et se développer dans l’intralogistique.

Le groupe et ses filiales, Fimec Technologies, ACC Technologies, Adler Technologies et Chaudronnerie Savoyarde portent désormais la marque Alfi Technologies. En complément des solutions dédiées à la fabrication de matériaux de construction (béton, terre cuite, isolation et plaques), le groupe s’appuie sur son savoir-faire dans le domaine de la manutention de charges de grandes dimensions pour proposer des solutions dédiées à l’intralogistique, notamment dans les industries aéronautiques, pneumatiques et papier.

Sur le marché de la logistique et des centres de tri express postaux, Alfi Technologies capitalise sur son expérience dans le déchargement automatisé avec ses basculeurs de la gamme U-Care, lancée en 2014, qui permettent d’augmenter le nombre de colis traités par heure tout en respectant l’intégrité des colis. "Une réelle avancée en terme d’ergonomie pour les opérateurs", explique Pierre Audic, responsable développement Transport et Logistique. Soutenu par la BPI, Alfi Technologies pèse aujourd’hui 40 millions d’euros de chiffre d’affaires dont un tiers dans le domaine de l’intralogistique, axe de développement du groupe.

Source Stratégie ligistique par GILLES SOLARD    

25/02/2017

ALGERIE Achouat (Taher) : Redémarrage de la briqueterie

Après un arrêt de quatre mis à profit pour la rénovation des équipements de l’ancienne entreprise publique reprise par l’opérateur Alcodimex, la briqueterie d’El Achouat, dans la commune de Taher (wilaya de Jijel), a redémarré il y a un mois.

Cette reprise permettra d’injecter dans le circuit de la construction 150 000 tonnes par an de produits rouges, jusque-là essentiellement achetés dans d’autres wilayas du pays.

Reprise dans le cadre de la privatisation des entreprises publiques, l’usine a bénéficié d’une rénovation réalisée par les entreprises Ipa Group (Italie) et Ceratec (Belgique), pour un coût de 15 millions d’euros, financés en partie par la BEA et les fonds propres pour 760 millions de dinars.

L’usine, qui emploie actuellement 130 personnes et qui a généré 300 emplois indirects, bénéficie d’une étude pour son extension afin d’installer une deuxième briqueterie de 200 000 tonnes/an.

Source El Watan par Fodil S.

24/02/2017

Algérie : les matériaux de construction subissent l'effet de l'austérité

En Algérie, même les importations de matériaux de construction sont soumises à l’austérité à laquelle s’astreint le pays avec l’effondrement des cours du pétrole. Les importations algériennes de matériaux de construction notamment de ciment, d’acier, de fer et de céramique, ont enregistré une baisse en valeur de 18,1% en 2016.
Les chiffres ont été révélés par le Centre national de l'informatique et des statistiques (CNIS) affilié aux Douanes algériennes. Pour l'année 2016, l'Algérie n'aura importé que 2,1 milliards de dollars contre une valeur de 2,57 milliards de dollars une année plus tôt.

Dans le détail, la baisse en valeur est le résultat de la conjugaison d'une chute de plusieurs types de matériaux. Ainsi, l'importation de ciment a connu une chute de 35,45%, passant de 474,3 millions de dollars en 2015 contre 306,1 millions de dollars en 2016.

Chute en quantité et en valeur
Les importations de fer et d'acier ont reculé à 1,4 millions de dollars en 2016 contre 1,17 millions de dollars soit une baisse de 16,23% d'une année à l'autre. De plus, le bois de construction et ses dérivés ont connu une baisse 12,35% confortée par un recul de sa facture passée de 642,08 millions de dollars en 2015 pour se retrouver à 562,7 millions de dollars.

Cette baisse en valeur a entraîné dans son sillage, une baisse en quantité moins marquée. De 11, 11 millions de tonnes entre janvier et décembre 2016, la quantité de matériaux importées pour la construction, n'a été que de 9,8 millions de tonnes au cours de la même période en 2016 soit une chute de 11,74%. Conséquence d'une baisse dans certains types de matériaux et timide hausse dans d'autres.

Austérité oblige...
Là aussi, la baisse dans les importations de ciment s'est fait ressentir. De 6,6 millions de tonnes en 2015, les quantités importées de ciment se sont chiffrées à 4,8 millions de tonnes soit une baisse de 27,41%. Il faut cependant voir dans cette baisse les mesures de limitation de l'importation du ciment par les autorités algériennes via un système rigoureux de quotas.

Par contre, le bois affiche une hausse de 6,21% en un an, en passant de 49.544 tonnes en 2015 à 52.621 tonnes en 2016. Tendance à l'opposé pour le fer et l'acier, avec une chute de 10,4% passant de 3,03 millions de tonnes à 2,71 millions de tonnes d'une année à l'autre.

Cette double chute de la courbe d'indicateurs des matériaux de construction s'explique par la baisse des cours mondiaux de pétrole, principal ressource économique du pays maghrébin (97% des recettes d'Etat).

Affectée par cet effondrement des cours comme la plupart des pays pétroliers, l'Algérie a adopté des mesures d'austérité parmi lesquelles l'obligation pour les entreprises de BTP de s'approvisionner sur le marché local plutôt que d'importer des matériaux, désormais soumis à des quotas.

Source  La Tribune Afrique 

23/02/2017

Salon BePositive : 22 solutions innovantes en lice pour les Awards

Près de 30 000 professionnels sont attendus au salon BePositive, qui ouvrira ses portes le 8 mars prochain à Lyon.

À cette occasion, les visiteurs pourront notamment découvrir les lauréats des BePositive Awards, récompensés dans quatre catégories de solution : EnR & territoires, Energies dans le bâtiment, Flam’expo et Bâtiment & Aménagement. Vingt-deux produits et services sont actuellement en lice pour tenter de remporter l’un des prix.

Catégorie Énergies dans le bâtiment

Pour la catégorie EnR & territoires, quatre candidats ont été retenus par le jury de sélection, à l’instar d’Imerys TC (Rhône) et sa tuile Alpha Solaire, qui intègre des cellules photovoltaïques à une tuile terre cuite. D’autre part, la batterie Stock-R, présentée par Systovi (Loire-Atlantique), stocke la chaleur issue de l’énergie solaire afin d’apporter du chauffage en journée ou en soirée.

Source Batiweb

22/02/2017

USA Hebron Brick becomes employee-owned business

The employees of Hebron Brick Co. became business owners last month when the company adopted an ESOP, or employee stock ownership plan.

The manufacturer of clay brick and concrete blocks became 100 percent employee-owned Jan. 10 thanks to a collaboration between the business, First International Bank and Trust and the Bank of North Dakota.

The move was made to ensure the North Dakota company remains "viable for generations to come," said CEO Rodney Paseka.

"We believe providing ownership as an employee benefit will lead to greater employee satisfaction, better retention and greater customer service," added President Jeff Laliberte.

Hebron Brick was founded in 1904 in Hebron, N.D. Today, the company owns nine locations in North Dakota, South Dakota and Minnesota.

Source INFORUM

Malaysia: Fire breaks out at clay-brick maker Kia Lim’s factory

BATU PAHAT: A fire broke out on Friday morning at one of the factories belonging to a subsidiary of Johor-based clay brick manufacturer Kia Lim Bhd.

The company said in a filing with Bursa Malaysia that no personnel was injured in the 6am incident that took place at the factory’s buildings, which housed machinery for firing materials and storage, firing material for transportation, feeding system and tunnel kiln.

Kia Lim said at the time of the filing it was unable to ascertain the extent of the damage and financial loss the company.

“KLB is looking into ascertaining the actual extent and quantum of the damage caused by the fire together with the insurers and other relevant parties,” the company said.

Kia Lim’s share price rose 3.5 sen to close at 48.5 sen last Friday.

Source The Sundaily

Guy Quémerais, quarante ans de service chez Terreal, cela méritait une petite fête entre collègues

«Guitou», comme le nomment ses amis, qu'ils soient du monde du travail, du rugby, des Gauvois, ou les Villeneuvois qui l'ont vu grandir, vient de faire valoir ses droits à la retraite à compter du 1er février, quarante ans et cinq mois aux labos de l'entreprise Guiraud frères puis du groupe Terréal.

Embauché le 23 août 1976 après une rencontre fortuite sur les terrains de rugby avec Charles Guiraud qui lui a tendu la main. Un pan de vie, une page se tourne et pour cela tous ses collègues de travail, actifs, retraités, cadres et directeurs étaient réunis, ce vendredi, autour d'un «pot» et d'un buffet amical et superbement décoré, Guy est capable de faire des yeux à un chat, pour anecdote tous ses copains villeneuvois le surnomment «Mac Gyver», référence à la célèbre série télévisée.

Une soirée réussie avec l'aide de sa proche famille : Martine son épouse, Pauline sa fille, qui avaient concocté des pâtisseries d'enfer ; Claude son «frérot», son clone de bricoleur mais aussi docteur es'pizza ; Rosemonde, Grégory et Geneviève les petites mains au grand cœur. Guy remercie les quatre-vingt-dix personnes qui se sont associées à cet événement, il nous a confié sa joie d'avoir partagé ce grand moment d'humanité et de fraternité. Il rappelle qu'une centaine de stagiaires sont venus recueillir ses précieux conseils, notamment une jeune Mexicaine qui depuis son pays, au téléphone, vient de lui souhaiter bonne retraite.

Guy, profite de ta nouvelle vie, enseigne à Liam, ton petit-fils, les rudiments de la vie.

Source La Dépêche du Midi

21/02/2017

Braas Monier appoints Georg Harrasser

The Braas Monier Building Group has appointed Georg Harrasser (50), currently Chief Operating Officer (COO) at Braas Monier, as its Chief Executive Officer (CEO).

He succeeds Pierre-Marie De Leener, who has held the CEO position on an interim basis since January 2016 and will henceforth focus on his role as Chairman of the Board of Directors of Braas Monier. Together with Matthew Russell, Chief Financial Officer (CFO), Georg Harrasser will form the senior management at Braas Monier.

Georg Harrasser has also been appointed as a member of the Board of Directors. The Board of Directors thus now consists of eight members, including the Chairman of the Board of Directors.

Georg Harrasser started his career at Braas Monier in 1993 and has since held various positions in quality management, plant management and as Industrial Director for concrete and clay tiles as well as CEO positions at Monier Italy and Asia Pacific. Since 2013, he has been Regional President of the Group’s Central, Northern and Eastern European region. Georg Harrasser graduated from the Technical University Munich with degrees in Mechanical Engineering and Business Management.

Source Ziegelindustrie International

20/02/2017

BOUYER LEROUX: Une rencontre professionnelle et un nouveau souffle autour d’un grand match de rugby

Opti-solution a réuni 50 clients, bureaux d’étude, constructeurs de maisons individuelles, entreprises du bâtiment, négociants, dimanche dernier au Stade de France pour une présentation de ses nouveautés 2017, avant d’assister au match du Tournoi des 6 nations opposant l’équipe de France de rugby à celle d’Écosse.


Cette manifestation a été organisée, dans le salon Oxygène du Stade de France haut lieu de l’ovalie européenne. « Le rugby est un sport qui correspond bien aux valeurs de notre marque : coopération, engagement, proximité et convivialité » résume Cyrille Bocquel, Directeur de l’Activité Opti-solution.

Cette opération fut l’occasion d’insuffler un nouveau souffle et de présenter 3 innovations :

  • Innovation système : démonstration devant les clients du système Opti-fix, pour le montage de briques rectifiées. Cette nouvelle colle haute adhérence est prête à l’emploi. 
  • Innovation service : création de la fonction « commerciale sédentaire » qui permet d’offrir un meilleur soutien en complément à l’action des Responsables de secteur, et ainsi de proposer aux clients les solutions techniques et économiques les plus performantes.
  •  Innovation numérique : lancement d’une application originale et moderne qui sera accessible sur tous supports y compris smartphones et tablettes. Elle sera opérationnelle en avril 2017 et favorisera le partage d’informations, la mise en relation des acteurs et le développement des affaires. 


Suite à un début d’après-midi professionnel, les participants ont revêtu leurs habits de supporters pour prendre place dans les tribunes et apporter leur soutien à une équipe de France victorieuse. La journée s’est terminée au terme d’une troisième mi-temps qui aura permis de refaire le match et de célébrer cette première victoire du quinze de France dans le Tournoi des 6 nations 2017.

Source Cécile Roux