Ce résultat s'explique principalement par une conjoncture favorable et un hiver clément en Europe, où Wienerberger réalise 85% de son activité. Les résultats en Europe ont notamment été tirés par le dynamisme des marchés allemand, polonais, tchèque, roumain, slovaque, belge et néerlandais, a souligné Wienerberger.
Néanmoins, ces chiffres s'accompagnent, «comme prévu», d'une baisse de 50% du résultat opérationnel aux Etats-Unis, dans un contexte de crise immobilière.
Par ailleurs, le groupe prévoit d'investir 400 millions d'euros cette année pour consolider son expansion et vise notamment un rachat du britannique Baggeridge.