La première étape a démarré en avril 2022 avec la mise en service d’une installation d’intégration de biocombustibles au mélange - de la coque de tournesol mélangée à l’argile, qui au contact de la chaleur entraîne une autocombustion des briques - permettant de faire des économies de gaz.
La seconde étape, prévue d’ici à 2027 permettra d’atteindre une décarbonation de la production de plus de 85 % grâce à la mise en place de la cuisson par la sciure.
Pour y parvenir, en plus de la construction d’une ligne de production de sciure à partir de biocombustibles naturels, Bouyer Leroux va s’équiper d’une unité de séchage de cette dernière.
Installée par la société bordelaise Newheat, elle s’appuiera sur la récupération des fumées en sortie de cheminée. Compris entre 2 et 3 millions d’euros, l’investissement sera porté par Newheat qui en facturera ensuite la location et l’utilisation.