L'idée est venue, il y a un an, d'un salarié de la carrière de Terreal. Elle a fait son chemin chez les cadres et responsables – dont Didier Serres — et voici que, désormais, la carrière de Saint-Papoul héberge vingt-cinq ruchers. Parce que l'idée a séduit également Jean-Louis Serres, passionné d'abeilles. Sur les 25 ruches, 23 sont colonisées. Exposés plein sud, ce qu'il faut afin de ne pas être trop à l'humidité, l'hiver, et près d'un point d'eau pour se désaltérer… «Je n'y ai mis qu'une seule colonie de l'an dernier. Les autres sont des essaims nouveaux. J'élève mes propres reines», explique le spécialiste, déplorant le mauvais temps de ce printemps. «S'ils se sont développés rapidement, c'est parce que nous avons mis beaucoup de sucre». Et d'espérer une première récolte de miel de tournesol, pour la fin du mois d'août.
«Terreal, ce sont 25 sites, dont 17 en France ; beaucoup sont dans le Sud, autour d e Castelnaudary. Et c'est la carrière de Saint-Papoul qui fournit la terre pour de nombreux sites», présente Lionel Nathan, directeur des carrières sud, soulignant les efforts du groupe en matière de maîtrise de ses impacts environnementaux. C'est notamment la préservation des ressources en matière premières, en minorant la quantité des déchets, ou encore en limitant les impacts des transports. «Une carrière est une parenthèse dans la vie du sol. Quand une carrière se crée, le but est de générer, voire d'enrichir la biodiversité. Nous faisons des efforts pour produire plus avec moins», poursuit-il, évoquant les palettes recyclées, un poids des emballages en diminution. «Nous comptons réduire de 10 % notre émission de gaz carbonique», abonde un responsable.
Hier, les élus étaient invités à se rendre compte sur place, en présence de l'apiculteur. En attendant peut-être de goûter à ce miel qui sera réservé aux salariés du site.
Source La Dépêche du Midi
«Terreal, ce sont 25 sites, dont 17 en France ; beaucoup sont dans le Sud, autour d e Castelnaudary. Et c'est la carrière de Saint-Papoul qui fournit la terre pour de nombreux sites», présente Lionel Nathan, directeur des carrières sud, soulignant les efforts du groupe en matière de maîtrise de ses impacts environnementaux. C'est notamment la préservation des ressources en matière premières, en minorant la quantité des déchets, ou encore en limitant les impacts des transports. «Une carrière est une parenthèse dans la vie du sol. Quand une carrière se crée, le but est de générer, voire d'enrichir la biodiversité. Nous faisons des efforts pour produire plus avec moins», poursuit-il, évoquant les palettes recyclées, un poids des emballages en diminution. «Nous comptons réduire de 10 % notre émission de gaz carbonique», abonde un responsable.
Hier, les élus étaient invités à se rendre compte sur place, en présence de l'apiculteur. En attendant peut-être de goûter à ce miel qui sera réservé aux salariés du site.
Source La Dépêche du Midi
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire