L'entreprise SOKA, spécialisée dans le kaolin depuis 1951, à Quessoy, nous a ouvert ses portes.
L’entreprise SOKA, vue du ciel. On distingue l’immense carrière sur la gauche avec les différentes couleurs du kaolin.
« Pour vivre heureux, vivons caché ».
Séverine Dudot, la directrice de SOKA plante le décor.
À Quessoy, vendredi 30 mars, nous visitons un domaine méconnu : l’extraction de kaolin. Le kaolin est une argile blanche friable. Le nom SOKA provient de Société Kaolinière Armoricaine.
Crée en 1951, SOKA possède deux usines, une à Quessoy et une en Ukraine. Elle compte aussi trois carrières.
Ici, l’entreprise emploie 67 salariés. La société exporte 55 % de sa marchandise à l’étranger comme en Asie, au Moyen-Orient mais aussi en Russie, Danemark et Italie…
Des nouilles de kaolin de l’usine de Quessoy utilisées dans la céramique.
Multifonctions
Le kaolin est utilisé dans de nombreux domaines. « Le kaolin est exceptionnel. Il sert au maquillage, au vin, à la peinture, à l’automobile, à l’arboriculture, les dentifrices, l’alimentation animale… » admet Séverine Dudot.
Le kaolin change de couleur selon sa qualité et la profondeur de son extraction.
1 million d’euros par an est investi dans la recherche et le développement. « Une quinzaine de personnes travaille dans ce sens»
À la pointe
De nombreuses machines sont présentes dans l’usine comme le four. « Quand on cuit le kaolin, la couleur change, comme un bifteck », détaille Pierre Burlot directeur des opérations techniques depuis 2015.
« Le kaolin change de couleur comme un bifteck »
« Pour nos opérateurs, le travail est avant tout de la surveillance de machine et donc peu de travail physique » se réjouit la directrice générale.
Chaque salarié a son domaine de compétence.
Un futur projet
« On continue sur nos métiers historiques. On souhaite se diversifier en valorisant l’écologie. Dans trois semaines, un projet sur le métakaolin verra le jour», conclut la chef d’entreprise.
Séverine Dudot, à droite sur la photo, dirige l’entreprise Soka de Quessoy.
Source Le Penthievre par Lamballe
L’entreprise SOKA, vue du ciel. On distingue l’immense carrière sur la gauche avec les différentes couleurs du kaolin.
« Pour vivre heureux, vivons caché ».
Séverine Dudot, la directrice de SOKA plante le décor.
À Quessoy, vendredi 30 mars, nous visitons un domaine méconnu : l’extraction de kaolin. Le kaolin est une argile blanche friable. Le nom SOKA provient de Société Kaolinière Armoricaine.
Crée en 1951, SOKA possède deux usines, une à Quessoy et une en Ukraine. Elle compte aussi trois carrières.
Ici, l’entreprise emploie 67 salariés. La société exporte 55 % de sa marchandise à l’étranger comme en Asie, au Moyen-Orient mais aussi en Russie, Danemark et Italie…
Des nouilles de kaolin de l’usine de Quessoy utilisées dans la céramique.
Multifonctions
Le kaolin est utilisé dans de nombreux domaines. « Le kaolin est exceptionnel. Il sert au maquillage, au vin, à la peinture, à l’automobile, à l’arboriculture, les dentifrices, l’alimentation animale… » admet Séverine Dudot.
Le kaolin change de couleur selon sa qualité et la profondeur de son extraction.
1 million d’euros par an est investi dans la recherche et le développement. « Une quinzaine de personnes travaille dans ce sens»
À la pointe
De nombreuses machines sont présentes dans l’usine comme le four. « Quand on cuit le kaolin, la couleur change, comme un bifteck », détaille Pierre Burlot directeur des opérations techniques depuis 2015.
« Le kaolin change de couleur comme un bifteck »
« Pour nos opérateurs, le travail est avant tout de la surveillance de machine et donc peu de travail physique » se réjouit la directrice générale.
Chaque salarié a son domaine de compétence.
Un futur projet
« On continue sur nos métiers historiques. On souhaite se diversifier en valorisant l’écologie. Dans trois semaines, un projet sur le métakaolin verra le jour», conclut la chef d’entreprise.
Séverine Dudot, à droite sur la photo, dirige l’entreprise Soka de Quessoy.
Source Le Penthievre par Lamballe
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire