Dans un communiqué publié mardi soir, le groupe de minéraux industriels et de matériaux avancés Imerys indique avoir engagé une « réflexion stratégique » sur l’avenir de sa division Toiture. Leader en France, cette division a réalisé un chiffre de 300 millions d’euros en 2017. Mais si l’activité est encore rentable, le groupe précise qu’elle ne s’inscrit plus forcément dans la stratégie mondiale du groupe.
La décision n'a pas encore été prise mais Imerys pourrait bien céder sa division toiture !
Dans un communiqué publié ce mardi, le groupe rappelle revoir « régulièrement ses options d’allocations de ressources au sein de son portefeuille d’activité de manière à assurer l’optimisation de son profils de métiers et de croissance ».
Dérnière révision en date, l'activité « toiture » qui a réalisé en 2017 un chiffre d'affaires de 300 millions d'euros, soit 6,5% du total du groupe. Bien que rentable, elle ne s'inscrit plus forcément dans la stratégie mondiale du groupe, révèle un porte-parole d'Imerys.
D'une façon générale, le rythme de croissance de l'activité est inférieur à celui du groupe. En outre, le marché de la tuile en terre cuite en France était orienté à la baisse ces cinq dernières années.
Plusieurs scénarios sont envisageables. Outre la cession, le groupe mentionne l’éventualité d’un partenariat avec un autre industriel, ou encore le maintien de l’activité au sein du groupe qui compte 14 unités de production dans toute la France.
« Si cette réflexion devait se traduire en options concrètes, celles-ci donneraient lieu à un examen par les organes de gouvernance du Groupe », précise un communiqué.
Cette annonce a été suivie d'une forte progression de l'action Imerys à la Bourse de Paris: vers 10h37, le titre montait de 4,27% à 79,35 euros, dans un marché en hausse de 0,46%.
Une vente déjà lancée ?
L’agence Reuters rapporte qu’Imerys aurait lancé la vente de son pôle toiture et engagé JPMorgan et Rothschild pour superviser la cession de cet actif. Les fonds Cinven, Lone Star et Carlyle seraient sur les rangs. Leurs propositions définitives sont attendues dans trois semaines à peu près, ont déclaré des sources, qui s’attendent à ce que cet actif soit valorisé autour du milliard d’euros. Les banques et les postulants se sont refusés à tout commentaire.
Source Batiweb
La décision n'a pas encore été prise mais Imerys pourrait bien céder sa division toiture !
Dans un communiqué publié ce mardi, le groupe rappelle revoir « régulièrement ses options d’allocations de ressources au sein de son portefeuille d’activité de manière à assurer l’optimisation de son profils de métiers et de croissance ».
Dérnière révision en date, l'activité « toiture » qui a réalisé en 2017 un chiffre d'affaires de 300 millions d'euros, soit 6,5% du total du groupe. Bien que rentable, elle ne s'inscrit plus forcément dans la stratégie mondiale du groupe, révèle un porte-parole d'Imerys.
D'une façon générale, le rythme de croissance de l'activité est inférieur à celui du groupe. En outre, le marché de la tuile en terre cuite en France était orienté à la baisse ces cinq dernières années.
Plusieurs scénarios sont envisageables. Outre la cession, le groupe mentionne l’éventualité d’un partenariat avec un autre industriel, ou encore le maintien de l’activité au sein du groupe qui compte 14 unités de production dans toute la France.
« Si cette réflexion devait se traduire en options concrètes, celles-ci donneraient lieu à un examen par les organes de gouvernance du Groupe », précise un communiqué.
Cette annonce a été suivie d'une forte progression de l'action Imerys à la Bourse de Paris: vers 10h37, le titre montait de 4,27% à 79,35 euros, dans un marché en hausse de 0,46%.
Une vente déjà lancée ?
L’agence Reuters rapporte qu’Imerys aurait lancé la vente de son pôle toiture et engagé JPMorgan et Rothschild pour superviser la cession de cet actif. Les fonds Cinven, Lone Star et Carlyle seraient sur les rangs. Leurs propositions définitives sont attendues dans trois semaines à peu près, ont déclaré des sources, qui s’attendent à ce que cet actif soit valorisé autour du milliard d’euros. Les banques et les postulants se sont refusés à tout commentaire.
Source Batiweb
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