Nichée dans la Zac des Hauts de Glos, en bordure de la D613, à un jet de pierre de grandes surfaces et pôles industriels, la briqueterie Lagrive bichonne son savoir-faire ancestral.
On se croirait parachuté dans un roman de Zola, à l’époque où les hommes travaillaient presque uniquement à la force des bras, les doigts noircis de charbon, mêlant le feu et la terre sans discontinuer.
Quatre générations se sont succédé à la tête de la briqueterie.
L’argile vient d’une carrière située à quelques mètres de la briqueterie.
Dans le four, les briques sont cuites entre 1 000 et 1 200°C.
Les briques sont entreposées à la main en attendant d’être cuites.
Patrick Lagrive utilise du poussier pour faire chauffer le four.
Source Ouest France par Daphné CAGNARD-BUDIMAN.
On se croirait parachuté dans un roman de Zola, à l’époque où les hommes travaillaient presque uniquement à la force des bras, les doigts noircis de charbon, mêlant le feu et la terre sans discontinuer.
Quatre générations se sont succédé à la tête de la briqueterie.
L’argile vient d’une carrière située à quelques mètres de la briqueterie.
Dans le four, les briques sont cuites entre 1 000 et 1 200°C.
Les briques sont entreposées à la main en attendant d’être cuites.
Patrick Lagrive utilise du poussier pour faire chauffer le four.
Source Ouest France par Daphné CAGNARD-BUDIMAN.
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