En plus de l’envahissement anarchique et incontrôlé des lits des cours d’eau dans la préfecture de Labé par les habitations, les fours à briques qui se comptent par centaines, ont fini par détruire le reste de ces fleuves qui ceinturent la cité de Karamoko Alpha mo Labé, en particulier et toute la préfecture, en général. Un simple tour dans quelques quartiers périurbain permet de se rendre compte de cette triste réalité.
Pourtant, des normes bien établies par les spécialistes de l’environnement, réglementent toute installation de fours à briques. Des normes violées par les usagers au su et au vu de tout le monde comme le reconnait Diao Diallo, le chef de la section préfectorale des Eaux et forets de Labé.
«On a toujours demandé aux fabricants de briques de laisser un minimum de 30 mètres entre eux et le lit des cours d’eau. En plus venir au niveau des services techniques pour faire des demandes de coupe afin qu’on leur dise voici l’essence à couper pour cuir ces briques. Malheureusement, le contrôle n’est pas facile. Il y a toujours des cas qui font exception à ces règles en implantant leurs fours à briques n’importe où et sans consulter les services techniques», a déploré Diao Diallo qui soutient qu’il est en train de se battre pour tenter de ramener les gens à la raison. Car, espère-t-il, cela va dans l’avantage de tout le monde afin de faire profiter à tout le monde un environnement vivable.
Selon lui également, il existe plusieurs raisons qui expliquent la prolifération incontrôlée de ces briqueteries. « Il y a d’abord le problème du ciment qui est très cher. Donc, ce n’est pas tout le monde qui a la possibilité d’utiliser les briques à ciment pour la construction. Le deuxième facteur, c’est la facilité de faire ces briques. Il y a beaucoup de personnes qui en font une source de revenus en les produisant et en les revendant. Voilà quelques aspects qui font qu’il y a une prolifération. En plus de tout cela, les constructions sont nombreuses par rapport aux années précédentes. Mais à ce jour tout le monde à l’ambition d’avoir sa propre maison», a-t-il expliqué.
Et selon des spécialistes en environnement, l’implantation des briqueteries dans le lit des cours d’eau, est l’un des plus grands facteurs du changement climatique qui frappe de plein fouet notre pays.
Source Guinéenews par Alaidhy Sow
Pourtant, des normes bien établies par les spécialistes de l’environnement, réglementent toute installation de fours à briques. Des normes violées par les usagers au su et au vu de tout le monde comme le reconnait Diao Diallo, le chef de la section préfectorale des Eaux et forets de Labé.
«On a toujours demandé aux fabricants de briques de laisser un minimum de 30 mètres entre eux et le lit des cours d’eau. En plus venir au niveau des services techniques pour faire des demandes de coupe afin qu’on leur dise voici l’essence à couper pour cuir ces briques. Malheureusement, le contrôle n’est pas facile. Il y a toujours des cas qui font exception à ces règles en implantant leurs fours à briques n’importe où et sans consulter les services techniques», a déploré Diao Diallo qui soutient qu’il est en train de se battre pour tenter de ramener les gens à la raison. Car, espère-t-il, cela va dans l’avantage de tout le monde afin de faire profiter à tout le monde un environnement vivable.
Selon lui également, il existe plusieurs raisons qui expliquent la prolifération incontrôlée de ces briqueteries. « Il y a d’abord le problème du ciment qui est très cher. Donc, ce n’est pas tout le monde qui a la possibilité d’utiliser les briques à ciment pour la construction. Le deuxième facteur, c’est la facilité de faire ces briques. Il y a beaucoup de personnes qui en font une source de revenus en les produisant et en les revendant. Voilà quelques aspects qui font qu’il y a une prolifération. En plus de tout cela, les constructions sont nombreuses par rapport aux années précédentes. Mais à ce jour tout le monde à l’ambition d’avoir sa propre maison», a-t-il expliqué.
Et selon des spécialistes en environnement, l’implantation des briqueteries dans le lit des cours d’eau, est l’un des plus grands facteurs du changement climatique qui frappe de plein fouet notre pays.
Source Guinéenews par Alaidhy Sow
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