Selon les chefs d’entreprise du bâtiment interrogés par l’INSEE en avril 2018, le climat des affaires est stable, le solde d’opinion se maintenant bien au-dessus de sa moyenne de longue période.
Si l’activité passée est apparue moins vigoureuse, les professionnels s’attendent en revanche à une accélération dans les mois à venir et jugent leurs carnets de commandes plutôt bien garnis (7,4 mois de travail contre 5,5 mois en moyenne sur longue période).
Du côté des promoteurs, la dernière enquête menée par l’INSEE en avril marque une amélioration, ces
derniers étant en effet plus nombreux qu’en janvier à estimer que la demande de logements neufs est forte.Ainsi, après deux trimestres de repli,les perspectives de mises en chantier se redressent un peu, celles concernant les logements destinés à la vente demeurant encore au-dessus de leur moyenne de long terme.
De fait, les promoteurs signalent un net repli de leurs stocks de logements invendus.
Le maintien de ce climat conjoncturel favorable fait écho à la situation du marché de la construction qui demeure plutôt solide.
Certes, les données de mises en chantier de logements du premier trimestre confirment le mouvement de modération amorcé depuis quelques mois, avec une contraction de - 2,5 % par rapport au trimestre précédent (cvs-cjo) et de - 3,5 % au regard de l'an passé.
Cet essoufflement concerne d'ailleurs plus le segment du collectif que celui de l'individuel qui reste en progression de + 2,6 % et + 2,9 % respectivement.
Du côté des permis,la tendance du premier trimestre 2018 est restée haussière par rapport au quatrième trimestre 2017 (+ 3,4 %) mais est devenue négative au regard de la même période d'il y a un an (- 1,6 %), notamment sous l'effet de la chute des autorisations de logements en résidence (- 30,2 %), les segments de l'individuel groupé et du collectif demeurant haussiers (+ 7,4 % et +6,7% respectivement).
En revanche, côté non résidentiel, tous les voyants restent au vert ! Les locaux mis en chantiers ont bondi de +12,9 % au premier trimestre sur un an, dont + 29,2 % dans l'industrie et + 35,5 % dans les services publics et collectifs. Quant aux surfaces autorisées, elles grimpent de + 12,3 % sur un an,dont+ 81,8% pour les bureaux, les secteurs de l'industrie et des services collectifs demeurant très vigoureux.
Source UNICEM
Si l’activité passée est apparue moins vigoureuse, les professionnels s’attendent en revanche à une accélération dans les mois à venir et jugent leurs carnets de commandes plutôt bien garnis (7,4 mois de travail contre 5,5 mois en moyenne sur longue période).
Du côté des promoteurs, la dernière enquête menée par l’INSEE en avril marque une amélioration, ces
derniers étant en effet plus nombreux qu’en janvier à estimer que la demande de logements neufs est forte.Ainsi, après deux trimestres de repli,les perspectives de mises en chantier se redressent un peu, celles concernant les logements destinés à la vente demeurant encore au-dessus de leur moyenne de long terme.
De fait, les promoteurs signalent un net repli de leurs stocks de logements invendus.
Le maintien de ce climat conjoncturel favorable fait écho à la situation du marché de la construction qui demeure plutôt solide.
Certes, les données de mises en chantier de logements du premier trimestre confirment le mouvement de modération amorcé depuis quelques mois, avec une contraction de - 2,5 % par rapport au trimestre précédent (cvs-cjo) et de - 3,5 % au regard de l'an passé.
Cet essoufflement concerne d'ailleurs plus le segment du collectif que celui de l'individuel qui reste en progression de + 2,6 % et + 2,9 % respectivement.
Du côté des permis,la tendance du premier trimestre 2018 est restée haussière par rapport au quatrième trimestre 2017 (+ 3,4 %) mais est devenue négative au regard de la même période d'il y a un an (- 1,6 %), notamment sous l'effet de la chute des autorisations de logements en résidence (- 30,2 %), les segments de l'individuel groupé et du collectif demeurant haussiers (+ 7,4 % et +6,7% respectivement).
En revanche, côté non résidentiel, tous les voyants restent au vert ! Les locaux mis en chantiers ont bondi de +12,9 % au premier trimestre sur un an, dont + 29,2 % dans l'industrie et + 35,5 % dans les services publics et collectifs. Quant aux surfaces autorisées, elles grimpent de + 12,3 % sur un an,dont+ 81,8% pour les bureaux, les secteurs de l'industrie et des services collectifs demeurant très vigoureux.
Source UNICEM
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