Les blocs des volets roulants se font depuis quelque temps plus discrets, intégrés au gros oeuvre. Pour cela, il est mis en place, lors de la construction, des linteaux monoblocs permettant de cacher le coffre au sein de la structure extérieure, assurant de conserver toute la hauteur vitrée de la fenêtre ou de la baie.
Source ETI
La réduction des ponts thermiques avec le linteau monobloc
C’est bien connu, les menuiseries, aussi performantes soient-elles, notamment avec la mise en place de double ou triple vitrage, sont également source de nombreuses déperditions thermiques. Pour jouer à la fois la carte de l’esthétique, tout en réduisant les ponts thermiques, la solution est la mise en œuvre, en construction neuve ou dans les cas de rénovation lourde, d’un linteau monobloc.
Intégré au gros œuvre, celui-ci prend, à l’intérieur de sa structure, la forme d’un coffre de volet roulant. Ainsi, celui-ci est absent à l’intérieur, évitant les entrées d’air, sans pour autant être apparent à l’extérieur. Outre la conservation de l’architecture globale de la construction, cette solution permet aussi de conserver toute la surface vitrée sur laquelle s’appuie le volet roulant.
Ce type de produit répond aux principes de construction de la RT 2012, y compris en zone sismique.
Un linteau plus léger et mieux adaptable
Terreal propose un linteau monobloc de nouvelle génération. Sa première innovation est son poids, plus léger. Il dispose également d’une réservation plus importante, afin de s’adapter à un plus grand nombre de modèles de volets roulants. Il est aussi conçu pour accueillir des dimensions d’ouverture de 50 à 520 cm.
À noter que sa pose ne nécessite aucun étai provisoire jusqu’à 2,60 m. Il présente enfin une forte résistance mécanique, en faisant un matériau durable.
Son niveau thermique est, lui, élevé, avec un Uc jusqu’à 0,36 W/m².K, lui permettant notamment de contribuer à la performance de chaque construction.
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