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25/12/2017

La brique foraine, du Volvestre et d'ailleurs

Rieux-Volvestre accueillait le 22 Novembre la dernière conférence de «PUPenVOL» (Petite université populaire en Volvestre) avec pour thème : «La brique foraine». Laurent Noël en était le principal intervenant. Laurent Noël, qui faisait face à un public  venu nombreux  à Rieux, est issu d'une famille de maçons du Lauragais. Avant d'être Compagnon, il a fait ses études dans un lycée près de la plus grande Basilique d'Occident en foraines : Saint-Sernin alors en travaux, avec l'entreprise Alphonse Maurice Sagné.

En occitan, on l'appelle «teoule» ou «tegulae» quand Claude Nougaro l'appelait la pincée de tuile. Elle donne au Sud-Ouest cette atmosphère si chaleureuse et caractéristique.

Pourquoi elle est écologique, murs et arcs, l'art des pleins et des vides ?

Rappels d'hier. Son identité et ses dimensions sont issues du «pied» romain, la fabrication, la taille… Les particularités de ces bâtisses en foraines, parfois massives et imposantes, souvent très élégantes, témoignent d'enduits suggérant aussi bien d'épais manteaux que de fines draperies.

Qu'en est-il aujourd'hui ?

Avec l'évolution de notre habitat, y compris sur les qualités d'isolation thermiques et sonores, la brique foraine démontre sans cesse ses qualités et c'est pour cela qu'elle recueille autant de succès.

Ne trouve-t-on la brique foraine que chez nous ?

On peut aussi effectuer un détour vers les briques d'ailleurs» : celles romaines, celles du Nord, celles de la Muraille de Chine même !

Source La Dépêche du Midi

Tunisie : la pollution d’une briqueterie menace la vie des habitants à Kalaa Sghira

Plusieurs citoyens et membres de la société civile ont manifesté jeudi 07 décembre 2017, devant le siège du ministère de l’Industrie pour dénoncer le danger de la pollution causé par l’usine de briques de Kalaa Sghira à Sousse.

Anis Ben Ahmed, activiste de la société civile, a affirmé à Tunisienumérique que la briqueterie dans la zone de Klaa Sghira à Sousse représente une menace majeure pour la région et la santé de ses habitants.  Elle est située à environ 200 mètres de l’hôpital universitaire Sahloul et à côté d’une ville d’environ 40 mille habitants et à proximité d’un complexe universitaire.

Ben Ahmed a indiqué que les différentes parties prenantes de la région et les militants de la société civile ont cherché depuis cinq ans à trouver une solution à ce problème, précisant qu’il a été décidé après une réunion avec le ministère de l’Environnement, le Syndicat, l’Association des droits de l’homme et un certain nombre d’associations, l’engagement du propriétaire de la briqueterie à mettre en place  de 5 dispositifs dont l’installation de filtres pour réduire la pollution, mais l’industriel n’a pas respecté le délai imparti et n’a respecté aucun de ses engagements.

Anis Ben Ahmed a ajouté que des rapports des ministères de la Santé et des affaires locales et l’environnement, indiquent que la pollution causée par les émissions de l’usine atteint le taux de 83 fois la nuit et de 65 fois dans la journée  causent plusieurs maladies aux habitants dont l’asthme et les allergies.

Il a affirmé qu’une solution définitive et radicale avait été récemment trouvée par les parties concernées, à savoir le transfert de l’usine vers un autre lieu. Le gouverneur avait promis de fournir trois terrains pour le transfert, mais cela est lié à l’approbation du ministère de l’Industrie qui n’a pas manifesté d’intérêt  à ce problème, malgré  la menace sérieuse qui pèse sur la vie de milliers de citoyens.

Source Tunisien Numérique par Mourad S

24/12/2017

TERREAL à la rencontre des étudiants en écoles d’ingénieurs

Dans le cadre de sa politique d’apprentissage, le groupe TERREAL tisse des liens étroits avec des écoles et universités depuis plusieurs années. Pour 2017/2018, ce dispositif est renforcé, avec notamment la participation à plusieurs forums des métiers d’écoles d’ingénieurs ainsi que l’accueil d’étudiants dans le cadre de visites d’usines.

Trois événements ont d’ores et déjà eu lieu au mois d’octobre et novembre :

Le 18 octobre, la filière innovation et entrepreneuriat de l’Ecole Nationale Supérieure d'Arts et Métiers de Cluny avait rendez-vous à l’usine de Chagny. Au programme la découverte de notre process industriel et de nos produits ainsi que la rencontre avec les équipes qui ont pu partager via des témoignages le quotidien de leur métier.
Le 19 octobre, direction le forum de l’Ecole des Mines d’Albi. Parmi les 30 entreprises présentes, tous secteurs confondus (alimentaire, mécanique, esthétique, industriel…), TERREAL a accueilli sur son stand de nombreux étudiants. L’occasion de leur faire découvrir notre groupe, nos métiers, les différents domaines où les ingénieurs interviennent dans le processus de fabrication… Un moment d’échanges permettant également de leur présenter des offres de stages et offres d’emploi à pourvoir au sein du groupe.
Le 15 novembre, c’est à l’Ecole Nationale Supérieure de Céramique industrielle (ENSCI) de Limoges que le rendez-vous était pris. Les étudiants ont pu rencontrer nos équipes sur place pour échanger sur les métiers et les opportunités de stages et d’emplois.

Source Terreal

23/12/2017

En Allemagne, la gare centrale de Leipzig voit rouge

La gare centrale de Leipzig dans la Saxe est l’un des plus grands terminus d’Europe. Son imposant hall est surmonté d’un toit en tuiles à plusieurs niveaux qui a reçu en 2016 une nouvelle couverture de tuiles canal (50 000 de courant et 50 000 de couvert) fabriquées par Erlus.

Depuis 1915, le hall de gare a subit plusieurs réparations et le toit n’a pas fait exception. Il présentait d’ailleurs un curieux mélange de tuiles : d’anciennes tuiles canal des années soixante cohabitent avec des spécimens d’origine polonaise nettement plus récents. Cette couverture d’une trentaine d’années était largement abîmée et présentait de nombreux défauts causés par le gel.

En 2012, le renouvellement de la couverture des halls est et ouest (qui doit être achevé début 2017) a conduit à la pose d’une nouvelle couverture en tuiles combinant des tuiles canal étroites de couvert et de courant. Le fabricant de tuiles Erlus s’est basé sur la rénovation du cloître Seligenthal de Landshut, pour lequel avaient été fabriqués et utilisés des modèles de tuiles canal particulièrement étroits.

Pour adhérer à la forme particulière du toit, avec des pentes à 70%, Erlus a mis en oeuvre une fixation au liteau renforcée par la pose d’un clou. La sécurisation de la tuile canal Mönch a, quant à elle, nécessité la conception d’une attache en inox spécialement développée pour ce chantier. Lors de la pose, le couvreur pousse cette attache entre les tuiles canal Nonne et accroche cette sécurité contre le vent derrière le liteau. Cet assemblage de tuiles possède une grande résistance et se veut flexible et résistant au gel.

La fin du projet de rénovation est prévue pour début 2017. Les toits des deux halls porteront alors une nouvelle couverture de tuiles canal conforme au modèle historique de 25 000 tuiles de couvert et 25 000 tuiles de courant chacun.

Source Construction Cayola

22/12/2017

Roofing: US Forecasts by Product, Market and Subregion

Larger Number of Older Roofs to Spur Reroofing Activity

The US features a large number of older homes and commercial structures with roofs at or near the end of their expected product lifespans.
Going forward, many home and business owners will invest in roof renovation and replacement projects to install new roofs with superior performance and aesthetic properties.

Key Findings in the Roofing Market Forecasts Study:

High Level of Storm Activity in 2016 to Boost Use of Storm-Resistant Roofing Materials
The US experienced a number of severe weather events in 2016 that caused extensive roof damage in many parts of the country, necessitating the repair and replacement of thousands of roofs.
This surge in reroofing jobs was in large part due to the fact that many structures are outfitted with roofing materials that do not meet modern building codes for storm resistance.
Going forward, home and business owners will undertake roof renovation projects to replace these older products with more durable materials – such as laminated asphalt shingles, metal roofing, and polymer-modified bituminous membranes – that can better withstand high winds and heavy precipitation.

Roofing That Improves Energy Efficiency Will See Increasing Use
Construction professionals are increasingly recognizing the role roofing can play in reducing a building’s energy consumption and lowering its utility bills.
In parts of the US where lengthy summers drive up air conditioning costs, contractors will increasingly specify products that meet cool roofing criteria.
These products – light-colored membranes, metal roofing, roofing tile, and granule-coated asphalt shingles -- deflect sunlight and minimize heat transfer.
In areas where severe winters are an issue, the installation of insulated metal panels can minimize heat loss and keep energy costs low.

Concerns About Shortage of Trained Roofers to Promote Use of Easy-to-Install Products
The roofing industry faces a potential shortage of trained craftspeople as older workers leave the profession and younger people show a reluctance to enter traditionally blue-collar careers.
One way in which contractors will be able to adjust to this lack of highly skilled roofers is to increasingly specify easy-to-install roofing materials.
Such products as plastic, rubber, and bituminous membranes with peel-and-stick backings, and field-fabricated standing seam roofing can be quickly installed by work crews with moderate skill levels, thus reducing the complexity – and cost – of roofing jobs.

Study Coverage
This study presents historical sales and demand data (2006, 2011, and 2016) and forecasts (2021) by product (asphalt shingles, metal roofing, bituminous membranes, plastic roofing, rubber roofing, roofing tiles, wood shingles and shakes, and other products), market (new residential, residential reroofing, new commercial, and commercial reroofing), and US subregion.
The study also evaluates company market share and provides competitive analysis on industry participants, including GAF Materials, Owens Corning, CertainTeed, Firestone Building Products, Carlisle SynTec, and Johns Manville.

Source ReportLinker

21/12/2017

BREVET BOUYER LEROUX/ BLOC DE CONSTRUCTION POUR LA REALISATION D'UNE STRUCTURE MACONNEE

La présente invention concerne un bloc de construction pour la réalisation d'une structure maçonnée, en particulier un mur, lequel bloc de construction (1) comporte un corps de structure (2) qui comporte plusieurs rangées d'alvéoles (6) et qui présente une forme parallélépipédique. Selon l'invention, l'une au moins des faces (51, 52) de l'une au moins des deux parois frontales (5) du corps de structure (2) est recouverte par une couche d'un matériau résistant au feu (7).


  • Signet FR3027615 (A1)  
  • Inventeur(s) FOUSSARD VINCENT [FR]; GAUTRON JEROME [FR]; REGRETTIER JEAN-FRANCOIS [FR] +
  • Demandeur(s) BOUYER LEROUX [FR] +
  • Numéro de demande FR20140060159 20141022 



Le bloc béton nouvelle génération passe à l’attaque

Les industriels du béton veulent frapper un grand coup avec leur nouveau bloc à base de mousse Airium. Leur objectif : récupérer les parts de marché perdues, face à la montée en force de la brique…

D’un côté, ils sont une centaine d’industriels du béton en France (des PME majoritairement) et comptent quelque 200 usines de blocs béton (ou parpaings) réparties sur le territoire, soit une usine de blocs près de chaque chantier de construction.

De l’autre côté, ils sont beaucoup moins nombreux avec trois groupes industriels leaders qui dominent le marché de la brique en France et en Europe : Bouyer Leroux, Terreal et Wiennerberger.


Leur avantage concurrentiel : la brique affiche un pouvoir isolant supérieur à celui du bloc béton classique, un atout dont elle a su tirer parti pour s’imposer depuis 2012 (année de la RT2012), dans le logement neuf, notamment dans le collectif (avec un système classique d’isolation par l’intérieur dans les deux cas, bloc béton et brique).

« Nous perdions des parts de marché depuis quelques années, mais cela va un peu mieux depuis deux ans, constate Jérôme de Mauroy, président du GIE France Bloc qui regroupe 3 industriels majeurs du bloc béton (Alkern, basé dans le Nord, Fabemi, dans la Drôme, et Seac, à Toulouse). « Face à ce constat, nous avons décidé de partager depuis un peu plus de 5 ans nos travaux en Recherche et Développement pour récupérer ces parts de marché » explique le responsable.

Une meilleure résistance thermique que la brique

La réflexion des industriels du béton a porté sur la mise au point d’un bloc de nouvelle génération doté d’un meilleur pouvoir isolant apte à concurrencer la brique. Idée retenue : introduire une mousse isolante à base de ciment dans les alvéoles du bloc. La mousse Airium de Lafarge s’est finalement imposée auprès du GIE qui avait consulté d’autres cimentiers.

Avantage de la mousse : elle procure à un bloc béton doté de 4 alvéoles (ex : FabTherm Air 1.1) une résistance thermique de 1,12 m2.K/W contre 0,23 pour le parpaing sans isolation. Et elle permet au bloc avec isolant intégré d’afficher une meilleure résistance thermique que la brique alvéolée de 20 cm dont la résistance varie de 0,75 à 1 m2.K/W.

« Cette solution est intéressante car on ne modifie pas le processus de fabrication des blocs : on l’adapte » explique Jérôme de Maury. Le bloc composé d’agrégats à 87 %, de 6% de ciment et de 7% d’eau est ainsi moulé de façon traditionnelle et est ensuite placé en étuve où il sèche et se solidifie naturellement. Avec pour conséquence, un bon bilan carbone".

Trois usines avec des lignes de fabrication adaptées

« Pour la fabrication de ce type de blocs, le produit est étuvé pendant 3 à 5 heures. Ensuite, nous injectons la mousse isolante et le bloc peut repartir en étuve durant 19 à 21 heures » reprend Jérôme de Mauroy. Un processus qui a permis d’adapter récemment les lignes de fabrication dans les trois usines appartenant respectivement aux membres du GIE : Rouen pour Alkern, Béziers pour Seac et Valence pour Fabemi.

« Le groupe Fabemi dont je fais partie, a investi environ 1,8 million d’euros à Valence dans une usine existante, indique Jérôme de Mauroy. Nous l’avons optimisée afin qu’elle produise 15 000 tonnes de blocs avec isolation intégrée en 2018 sur les 200 000 tonnes de blocs fabriquées annuellement. Sur nos 14 sites de production, le groupe Fabemi produit 1 million de tonnes d’éléments en béton" (la profession produit environ 6,5 millions de tonnes sur le plan national).

Pose au mortier ou pose collée au choix

Ces nouveaux blocs pourront être mis en œuvre soit de manière classique (au mortier) soit en pose collée, ce qui diminue la pénibilité sur chantier : « Le gain de temps est assuré avec les blocs dotés de bords rectifiés qui permettent la pose collée » assure le responsable.

Quant au GIE, il a bien l’intention de poursuivre son travail afin d’optimiser le nouveau système de bloc isolant. « Nous continuons les recherches afin d’obtenir une mousse plus dure en surface qui pourra être protégée par un voile » confie Jérôme de Mauroy. Par ailleurs, les industriels du GIE cherchent à développer une colle qui pourra être appliquée au pistolet avec un système à cartouche et qu’ils pourront commercialiser avec leurs blocs…

La gamme Fabemi compte trois solutions à base de mousse Airium qui affichent les résistances thermiques suivantes : 0,6 pour le bloc mousse à maçonner au mortier ; 1,1 pour le bloc à coller à 4 alvéoles (sur la photo) et enfin, 1,8 pour le bloc haute performance à base de pierre ponce à deux alvéoles en pose collé.

Quel prix pour le nouveau bloc ?

Les blocs classiques de 50 cm de long (20 x 20 x 50) soit 10 au m2 sont vendus en fonction des régions entre 0,80 à 1 euros l’unité. Le nouveau bloc R 1,1 coûtera environ 1,70 euros.

« Au lieu de débourser de 800 à 1000 euros de maçonnerie sur une maison de 100 m2 de plain-pied, il en coûtera 1700 euros au maître d’ouvrage pour un mur qui tiendra dans le temps et qui sera doté d’une meilleure acoustique grâce à la mousse. Quoi de plus important que le mur dans la construction ? » termine le président du GIE.

Source : batirama.com / Fabienne Leroy

20/12/2017

Imerys : un analyste optimiste

Bryan Garnier fait le point sur le dossier Imerys après avoir rencontré Olivier Pirotte, directeur financier de la société. Alors que le groupe a été pénalisé cette année par les conditions difficiles sur le marché du papier et la faible dynamique du marché de la tuile en France, il y a des raisons d'être optimiste pour 2018, selon le broker. Premièrement, le groupe bénéficiera de la consolidation des différentes acquisitions récemment finalisées, deuxièmement, de nombreux marchés sous-jacents sont nettement mieux orientés, et troisièmement, divers nouveaux marchés de niche sont prometteurs. Mis bout à bout, cela supporte la vision positive du courtier sur la valeur. BG est à 'acheter' sur l'action avec une 'fair value' de 85 euros.

Source Boursier.com par Jean-Baptiste André

ALGERIE - Une briqueterie et une usine de rond à béton à Aïn Témouchent

Deux grands projets viennent de voir le jour dans la zone industrielle de Tamzoura d’une superficie de 205 ha dans la wilaya de Aïn Témouchent.

Il aura fallu attendre l’installation de la cabine mobile d’une centrale électrique d’une capacité de production de 40 MWA, pour que l’usine de production de rond à béton de la société algéro-turque Ozmert puisse faire sortir les premières lingots de bielles d’acier.
L’usine est donc entrée en production en octobre dernier avec une capacité annuelle estimée à  300 000 tonnes de bielles d’acier destinées aux producteurs de rond à béton actuellement importé. Le projet qui emploie actuellement plus de 180 travailleurs constitue une valeur ajoutée de qualité dans le domaine de l’investissement et de l’industrie dans la wilaya de Aïn Témouchent. Selon Mme Harhira Amel, directrice de l’usine de production, pour une première phase Ozmert couvre actuellement une bonne partie du marché national en bielles d’acier et ce, pour une première phase selon les besoins exprimés par les producteurs de rond à béton.
Dès 2018, l’usine produira elle-même son fer à béton. Il faut dire que la durée de réalisation de projet était tributaire de la disponibilité de l’énergie électrique même si le recours à la cabine mobile n’est pas une solution définitive et ce, en attendant son raccordement en gaz naturel, la fibre optique et la disponibilité de la matière première en quantité suffisante notamment en acier et fer massif. Le plan d’action d’Ozmert pour 2018 prévoit la réalisation d’une unité de laminoir pour 2018, l’unité de traitement de déchets, l’installation d’un équipement pour le traitement, le compactage, pour cisailler ces déchets pour leur utilisation mais également avec pour objectif un développement d’atelier de tours servira aussi bien Ozmert que tous les investisseurs qui sont implantés dans la zone industrielle.

L’autre projet important que la wilaya se targue d’avoir réussi à mettre sur les rails, demeure la briqueterie géante dont le taux de réalisation avoisine des 85%  et dont l’entrée en production est prévue pour le mois de janvier 2018, au plus tard au mois de février. Ce complexe qui est considéré comme le plus grand au niveau de la région ouest du pays produira quatre types de briques de différents diamètres ainsi que les tuiles avec une moyenne de 1200 tonnes/jour à raison de 60 000 unités/jour.
Ce projet stratégique qui emploiera dans une première phase 250 ouvriers participera à répondre aux besoins du marché national  de l’ordre de 75%. Benyettou Tarek directeur du projet nous a indiqué que l’objectif visera l’exportation de ce matériau de construction qui génèrera des entrées en devise. La main-d’œuvre qui est composée localement à 90% de l’’effectif global atteindra les 350 travailleurs quand l’usine fonctionnera à plein régime. Cette briqueterie résoudra un grand problème du chômage dans cette région.

Source Liberté Algarie par M. LARADJ

8ème édition des Terroirs de TERREAL : L’entreprise Couverture Tourangelle à Pernay (37) reçoit le prix Coup de Cœur du Jury dans la catégorie Patrimoine Religieux pour la rénovation de la toiture de la chapelle du Prieuré de Saint Genest

Suresnes, le 22 novembre 2017 – La 8ème cérémonie des « Terroirs de TERREAL » organisée par TERREAL, acteur incontournable du marché des tuiles de patrimoine en France, s’est tenue le 9 novembre dernier à Paris. Véritable temps fort pour la sauvegarde de l’héritage architectural français, le concours met à l’honneur sept professionnels de la couverture et leurs réalisations.

Le Coup de Cœur du Jury dans la catégorie Patrimoine religieux a été décerné à la SARL Couverture Tourangelle pour son travail de restauration de la couverture de cette chapelle du 11ème siècle où un arbre y avait pris racine.

Inscrite au patrimoine des monuments historiques, la chapelle est le vestige de l’abbaye de Comery fondée en 853 et appartient aujourd’hui à un propriétaire privé. La couverture a été réalisée en tuiles Périgord Bastide, tuile à pureau brouillé permettant de restituer l’authenticité des monuments anciens.

La belle intégration de la tuile dans le paysage ainsi que le travail soigné des arêtiers en filet de mortier redonnent vie à ce bâtiment trop longtemps laissé à l’abandon.
         
Les Terroirs de TERREAL, un concours pour mettre en valeur le patrimoine architectural français

Attribués par un jury de professionnels du Patrimoine, selon des critères de sélection portant sur la technicité, l’esthétique et le respect du patrimoine architectural local, les prix Terroirs de TERREAL ont pour vocation de valoriser les travaux de réhabilitation des toits patrimoniaux de nos régions et les professionnels qui les réalisent.

Le concours Terroirs de TERREAL s’inscrit dans la démarche du Groupe de développement de produits dédiés à la rénovation dans le respect des traditions architecturales de chaque région, tels que les gammes de tuiles Pommard (déclinaisons multiples), Bastide (Sud-Ouest et Périgord) ou encore Canalaverou (côte Atlantique).
Il fait aussi écho à l’engagement RSE du Groupe qui consiste notamment à accompagner les communautés et les territoires à travers la protection de la ruralité et de l’identité de nos régions. Ainsi, avec ses tuiles de tradition et l’expertise des couvreurs, TERREAL contribue à la sauvegarde de la richesse de notre patrimoine.

Source Wellcom

19/12/2017

Isabelle Dorgeret souffle les 60 bougies du CTMNC

Le 23 novembre dernier, la filière terre cuite et pierre naturelle a fêté les 60 ans de son centre technique, le CTMNC, aux Beaux-Arts de Paris en présence de plus de 200 invités : entreprises, architectes, institutionnels, Centres Techniques Industriels, organisations professionnelles de la construction. Et pour la première fois, c’est une femme qui est à la tête d’un grand organisme technique ...

Isabelle Dorgeret, Directrice du CTMNC

La soirée s’est tenue dans le cadre magnifique de l’école des Beaux-Arts de Paris à l’occasion de l’exposition rétrospective Sculptures en briques (1966-2016) de l’artiste contemporain danois Per Kirkeby, un événement dont nous avions déjà parlé. La Fédération Française des Tuiles et Briques a permis son organisation en fournissant les matériaux nécessaires à la réalisation de 12 sculptures architecturales monumentales.

La soirée a débuté par une allocution de la nouvelle Directrice Générale du CTMNC, Isabelle Dorgeret, dans l’amphithéâtre d’honneur des Beaux-Arts de Paris, devant les salariés et administrateurs du Centre et de la Fédération Française des Tuiles et Briques : « Le Centre est la vigie qui doit permettre à toute la profession de prévoir, d’anticiper et d’améliorer sans cesse les produits, les process et de participer à la veille règlementaire et à la normalisation. Les hommes et les femmes du CTMNC mettent leurs talents, leurs expertises au service d’un produit vivant, chaleureux, qui traverse les époques avec beaucoup de panache et de beauté. Ils sont à l’honneur ce soir » souligne-t-elle.

Notons que c’est la première femme à diriger un Centre Technique Industriel (CTI) et qu’elle est par ailleurs directrice générale de la FFTB depuis mai 2017.

Pierre Jonnard, Président du CTMNC et de la FFTB (et par ailleurs président d’Imerys, le premier fabricant de tuiles et briques en terre cuite) a ensuite pris la parole : « Transmettre et partager avec le plus grand nombre la beauté de la terre cuite y compris dans des usages inhabituels pour nous ... ce sont des valeurs partagées par nos entreprises. La filière terre cuite est particulièrement fière de vous accueillir dans cette extraordinaire et monumentale exposition. Sont réunis ici ce soir, des fabricants, les collaborateurs du CTMNC et de la FFTB, des représentants élus ou permanents des institutions, organismes, entreprises, médias, associations, maîtres d’œuvre, architectes, avec qui et pour lesquels la filière terre cuite et pierre naturelle travaille au quotidien. Le CTMNC a toujours soutenu, anticipé, accompagnées les évolutions de nos métiers. Par ses travaux, il contribue à ce que notre filière soit une filière innovante, exemplaire et responsable. En 2017, le Centre est un centre technique de référence pour nos professions et ce y compris au niveau européen. Nous vous remercions très chaleureusement d’être à nos côtés pour célébrer ce soixantième anniversaire ».

Pierre Jonnard, président d’Imerys du du CTMNC

Le Centre Technique de Matériaux Naturels de Construction est le centre technique industriel de deux professions : les matériaux de construction en terre cuite et les entreprises de la roche ornementale et de construction.

Les missions du CTMNC sont :

  • Favoriser le développement technique au travers de la veille technologique, environnementale ainsi que la recherche scientifique,
  • Assurer le transfert technologique à l’échelle industrielle,
  • Assistance technique aux professions notamment en matière de qualité et de certification mais aussi de formation,
  • Participation aux travaux de normalisation et de marquage CE,
  • Diffusion des connaissances


MADAGASCAR - 19e Salon de l’Habitat : Les briques compressées séduisent

De plus en plus de constructeurs s’intéressent aux briques compressées. Celles-ci seraient plus écologiques, esthétiques et économiques. La première journée du 19e Salon de l’Habitat, à Tanjombato a permis de confirmer cette constatation.

Tendance en matériaux de construction. Visiblement, le Salon international de l’Habitat est révélateur de talents. Parmi les centaines d’exposants à ce rendez-vous qui a débuté ce 16 novembre au parc d’exposition Forello, à Tanjombato, pour ne finir que dimanche 19 novembre, la société malgache Lego brik séduit avec ses briques compressées.

Contrairement à la brique classique en argile, la version compressée ne nécessite pas de cuisson, d’où son autre appellation de brique écologique. Elle est fabriquée à l’aide d’une terre stabilisée à la chaux ou au ciment. En plus de cette qualité s’ajoute la praticité, car ces briques étant autobloquantes, les maçons n’auront plus besoin de mortier pour la pose.

« Les briques compressées ne nécessitent pas de cuisson, car après compression, elles sont simplement entreposées et laissées à sécher pendant quelques jours (7 jours en dehors de la saison de la pluie). Quand celles-ci sont suffisamment reposées et séchées, elles sont complètement résistantes à l’eau et donc prêtes à l’emploi», explique Mavo Rakotovololonandriana, assistante commerciale de la société Lego brik, dont l’atelier de fabrication est sis à Ambohimalaza.

Plus économique avec une forme 3 en 1

Selon les dires de cette responsable, les briques compressées sont adaptées à tous types de construction, dont maison, école, église ou clôture. Concernant le prix, l’unité est à 540 ariary, contre 120 ariary pour la brique en argile cuite. L’un des avantages des briques compressées est sa forme « trois en un », c’est-à-dire qu’il faut une unité de trois briques pour chaque pose. Ainsi, les murs sont faits d’une ligne, un système plus pratique comparé au standard de la construction malgache qui nécessite deux lignes.

Jugées plus écologiques, esthétiques et économiques, les briques compressées commencent à gagner le marché des matériaux de construction. Les commandes affluent auprès de la société fabricante. Selon toujours l’assistante commerciale, elle reçoit en moyenne 10 commandes par mois, avec une quantité  variant de 3 000 à 20 000 unités de briques compressées par commande.

Il est à savoir que la société, elle-même assure la livraison des briques sur les lieux indiqués par les acheteurs. Une façon de séduire les clients, les fidéliser et par la même occasion de battre la concurrence. A noter que la société Lego brik n’est pas la seule dans ce business. On note également l’autre producteur Trano natoraly qui s’investit de plus en plus dans la construction de maison écologique.

Source L'Actualité par Michella Raharisoa 

18/12/2017

Terreal annonce une croissance rentable et des projets dans la toiture

Le groupe Terreal, spécialiste des produits de construction en terre cuite, a retrouvé « une dynamique de croissance rentable » et annonce le rachat de la société Achard, spécialisée dans les accessoires de toiture.

Laurent Musy, président directeur général de Terreal, annonce une croissance rentable et durable pour le groupe Terreal

Le groupe Terreal, spécialisé dans la fabrication de matériaux de construction en terre cuite* reprend la parole après deux années de silence. Laurent Musy, président directeur général du groupe, nommé en 2015 après le départ de Hervé Gastinel, estime le moment opportun pour parler de l’activité du groupe.

« Nous avons réenclenché une dynamique de croissance, rentable et durable, que l’on va essayer de conserver dans un marché qui n’est pas toujours simple » explique le responsable en préambule. De fait, le groupe présent en France mais aussi à l’international (25 sites industriels dont 17 en France) a repris des couleurs après la crise qui a durement frappé l’ensemble du secteur de la construction.

Terreal annonce un chiffre d’affaires de 336 millions d’euros en 2016, et table sur une croissance de 4 % en 2017, soit 350 millions en 2017. « La croissance du groupe en France sera de l’ordre de 2,5 à 3 %, c’est à dire un peu mieux que le marché » reprend le responsable qui précise que l’endettement a été significativement réduit.


29 projets stratégiques suivis par Terreal

« Cinquante personnes ont été impliquées dans le changement de la stratégie du groupe depuis mon arrivée, et nous avons défini 29 projets stratégiques que nous suivons, dont un plan de modernisation industrielle » souligne Laurent Musy.

Le groupe a investi 90 millions d’euros dans son outil industriel. Il s’est traduit par l’installation d’une nouvelle presse sur le site de Chagny, le démarrage d’une production de tuiles au biométhane sur le même site, l’automatisation des lignes de l’usine de Castelnaudary et Roumazières, ou encore l’agrandissement du site dédié à la fabrication des tuiles solaires Lahera dans le Tarn, indique Laurent Musy.

C’est justement sur le marché de la couverture, principale activité de Terreal, que le groupe souhaite croître par le biais de partenariats ou d’acquisitions. Le numéro 2 de l’activité couverture en France (derrière Imerys Toiture) y réalise 75 % de son chiffre d’affaires (contre 15 % en briques de structure et 10 % dans les éléments de façade).

Terreal va pouvoir élargir son offre dans la toiture notamment avec le rachat de la société Achard (accessoires de toitures) qui rejoindra la société Lahera

Regroupement des sociétés Achard et Lahera en vue

L’acquisition récente de la société Achard (8 millions d’euros, une usine à Genay), spécialisée dans les accessoires de toitures, témoigne de l’intérêt de l’industriel pour ce marché. Laurent Musy annonce d’ailleurs un regroupement, « sans réduction de personnel », des activités des sociétés Achard et Lahera, (cette dernière également spécialisée en accessoires de toiture ayant été acquise en 2007 par Terreal).

Selon le responsable, le regroupement des activités Achard et Lahera (36 % de parts de marché à elles deux) permettra d’offrir au groupe une nouvelle force de frappe dans le domaine des composants de toiture, avec l’élargissement de la gamme de produits dans un premier temps (avec notamment l’évacuation des eaux pluviales).

En effet, le marché stratégique de la toiture focalise l’intérêt de l’ensemble des acteurs industriels, dont le groupe Saint-Gobain qui a récemment acquis le belge Wattex (produits étanches pour la toiture). L’annonce de la commercialisation en 2018 d’un toit solaire bon marché (et source d’économies pour le ménage qui doit réduire sa facture d’électricité) promise par Elon Musk, le patron de Tesla, a fait mouche dans l’esprit des acteurs de la toiture.

« Nous regardons Tesla »

« Nous avons une offre de tuiles solaires et nous regardons Tesla, confirme Laurent Musy. Mais personne ne connaît à ce jour la solution qui va émerger car il existe plusieurs types de technologies et différents projets sont en cours ».

Or, le marché de la toiture solaire, certes en développement (+ 40 % de croissance pour Terreal) est encore « minuscule », selon Laurent Musy. « Nous vendons peu de batteries mais ce marché est en pleine évolution et on y croit, la preuve étant notre investissement de 1,5 million d’euros réalisé dans le Tarn » (agrandissement du site de tuiles solaires).

Autre signe de l’intérêt stratégique de l’industriel pour ce marché : il a créé une force de vente spécifique dédiée au solaire « pour développer ce marché indépendamment du quotidien qui, lui, est traité par les forces de vente classiques ». « Nous avons besoin de connaissances spécifiques dont celles des bureaux d’études pour mieux aborder ce marché en devenir… » conclut Laurent Musy.

Terreal en chiffres

CA : 336 Millions d’euros
2250 collaborateurs
25 sites industriels (17 en France, 4 en Italie, 2 en Malaisie, 1 au USA, 1 en Espagne)
6 bureaux commerciaux (Chine, Thaïlande, Singapour, Bahreïn, Belgique et Royaume-Uni)

Source : batirama.com par Fabienne Leroy

INDIA Build in style, brick by brick

Bricks  — the backbone of constructed structures — have metamorphosed into design elements to add a distinctive touch to the interior as well as exterior surfaces. Even though clay bricks have been on the receiving end for the past few years due to their harmful eco impact, their demand has not been hit due to the affordability and durability factors. The brick-making industry in India, though largely unorganised, seems to have woken up to the environmental concerns and new techniques in manufacturing as well as marketing these are being adopted at a breakneck pace. Add to this the expansion in the ways of application and use of bricks in residential as well commercial buildings and the huge variety of colours, sizes and finishes available in the market, and you find that the brick market is on a roll. Fascia bricks are, no doubt, the trendsetters these days given their vast variety. “The decorative use of bricks has become a serious trend as India is now a globally integrated economy and more and more customers are getting exposure to global trends. This has even changed the way bricks are now marketed and purchased”, says Jagjit Sood, proprietor of The Brick Store — a brick boutique in Ludhiana. In an interview, he talks about the new trends in the brick market.

What are the advantages of using fascia and clay bricks? 

Evolving trends in the building sector suggest that sustainability is one of the key focus areas. Clay bricks score a point as these are virtually maintenance free, provide high grade thermo-insulation and getting plumbing and electrical work done on these is easier. Moreover, amazing colours and variety of shapes and different textures make these an ideal choice to suit any type of building design and interior style. 

What are the different types of bricks that consumers can find in the market nowadays?

Primarily there are four types of bricks: Traditional whole bricks; extruded bricks; cladding tiles and cladding extruded tiles. While the traditional clay bricks are suitable for the basic structure of a building and are made in brick kilns, the extruded bricks are machine made and have more uniformity in design, size and colour. Cladding tiles and cladding extruded tiles are popular fascia materials that are thin and sleek. Besides these, bricks are available in various sizes from the smallest "Liliput" mini bricks to the giant "Linea", which is a very long format of brick that is currently a rage in Europe.

What is the price range?

The price range for the facades is in the range of Rs 150 to Rs 200 per square feet which is quite competitive compared to most of the facade materials like wood, stone, granite ACP etc

How is the concept of a brick boutique beneficial  for customers?

Selling bricks in a store reflects the maturity that is there in this market now. The main idea is to present a unique platform to see and understand various aspects of brick and brick laying along with various mortar/joint combinations to create  different designs. Here buyers and architects can also learn about the various types of bricks and their history. It also serves as a knowledge centre for providing information on various aspects of brick laying, cement sand combinations, mortar colours and providing a comprehensive support about handling of bricks and brick structures during and after the construction. The display panels help the buyers/architects to experience the “final” look and decide accordingly. 

What is the state of brick market in Punjab and what has been the impact of GST so far?

This is a consolidation phase for the industry in the state. Market experts foresee closure of around 60 per cent units due to low profit margins. It is important to control the costs and accept new technologies to create value-added products.

GST is a welcome initiative which not only rationalises the cost, but also offers a level playing field all over India. In spite of the initial hiccups and some heartburning, cutomers are going to realise the benefits of GST in the near future. Its impact so far has been neutral as VAT rates have been retained.

What future do you foresee for clay  brick segment?

As more people turn to natural materials, bricks have sprung back and caught the fancy of architects due to the unique advantages that these offer.  With labour being very expensive and energy conservation important, it is imperative to use materials which are maintenance free and energy efficient and also lend a character to exterior as well as interior walls.

Source The Tribune India

17/12/2017

SOLUMIX: Multifunctional Building Solution

Crée en 2013, SOLUMIX SAS à développé une expertise pointue basée sur la synthèse hydrothermale pour la production d’un matériau multifonction minéral neutre et respectueux de l’environnement.

Parmi les diverses applications couvertes par SOLUMIX, la rénovation et la construction de bâtiments (isolation et protection incendie) ou le stockage de liquide constituent les deux axes de développement privilégiés par la société qui a consacré un important effort de R&D pour développer des solutions innovantes.

 Le centre R&D de SOLUMIX s’appuie son expertise matériau et process pour développer des produits silico-calcaires en plaques dans les 3 domaines suivants :


  • La résistance au Feu,
  • L’isolation en rénovation de la construction individuelle,
  • L’isolation en construction individuelle neuve pour répondre à la RT 2012.

Les produits développés par notre R&D sont commercialisés sous licence.

Le centre R&D travaille aussi sur l’élaboration de solutions constructives, basée sur l’association de SOLUMIX à des matériaux en terre cuite, par exemple.
Ces solutions répondent aux dernières réglementations thermiques et apportent une solution saine et respectueuse de l’environnement aux problématiques de développement durable.

Source Solumix

16/12/2017

Microwave-assisted gas firing


 » The new MAGF chamber kiln in operation at the DTI 

At the Danish Technological Institute (DTI), a project is currently underway to develop microwave-assisted gas firing (MAGF) in the clay brick and tile industry. A MAGF chamber kiln has recently been installed at the DTI. This kiln is a prototype, to be used for tests and experiments during and after the project, in order to upscale and develop MAGF technology.

Replacing fossil fuels with microwave heating

In the years to come, it must be expected that the use of fossil fuels will be restricted or even prohibited: The “2020 climate & energy package” contains binding legislation to ensure the EU...

Danish Technological Institute Masonry www.dti.dk

Source Ziegelindustrie International

Les Prix de l’éco : la briqueterie Tellus Ceram pas réfractaire à l’innovation

La liquidation judiciaire, prononcée il y a quatre ans n’est plus qu’un lointain souvenir. À Monsempron-Libos, la séculaire briqueterie connaît une seconde jeunesse. Sous la houlette de Mesmin Béragnes, Tellus Ceram adopte un rythme en deux temps qui fait ses preuves : « Grandir, stabiliser, grandir, stabiliser… »

Après avoir relancé un second four en décembre dernier, l’usine n’en est qu’à 50 % de ses capacités de production de briques réfractaires pour isoler fours et centrales nucléaires. En un an, pourtant, tout a doublé au sein de l’entreprise : activité, nombre de commandes comme de salariés qui seront bientôt 40 à s’activer sous les gigantesques hangars. Le chiffre d’affaires pour l’année 2017 devrait s’établir à 2,4 millions, dopé par l’export qui représente plus de 80 % de l’activité.

Export à travers le monde

À ce jeu, aucun continent ne manque à l’appel. Les pays du Golfe, l’Asie du sud-est et le Brésil sont les derniers marchés à s’être laissés séduire par les nouveaux produits destinés à l’industrie du verre et surtout de l’alumine. La Chine et la Pologne, toutefois, représentent de sérieux concurrents.

ale« Surtout sur les produits de moyenne température, relativise le PDG de Tellus Ceram. Pour nous distinguer, nous montons en gamme technique et qualitative. Nous avons abandonné certains marchés de masse pour des marchés plus pointus. »

Sa nouvelle réputation n’est déjà plus à faire et son savoir-faire reconnu. Saint-Gobain fait appel à elle quand un besoin de réparation se fait sentir. La briqueterie prend aussi part à un grand programme de recherche européen piloté par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) sur le stockage de la chaleur à partir de déchets industriels. Le site de Monsempron-Libos travaille en réseau avec des entreprises et universitaires européens. Dans l’usine, trois fours sont en activité.

Cette année, 2 000 tonnes d’argile devraient être transformées par les salariés de Tellus Ceram qui bénéficient d’un important programme de formation. « Toujours dans le souci de produire de la qualité », insiste Mesmin Béragnes qui, depuis le Fumélois, défend la réputation du made in France.

Organisé par « Sud Ouest », la Banque Populaire Occitane et la région Nouvelle-Aquitaine, en partenariat avec Kedge BS, ce prix distingue des entreprises performantes de la région. Le 7 novembre, au Cap Ciné à Agen, aura lieu la remise des prix.

Source Sud Ouest

15/12/2017

Investissez dans le stockage d'énergie !

Le stockage de chaleur pour valoriser l'énergie perdue : une solution d'avenir, préconisée par Bertrand Piccard lui même.

Quel meilleur ambassadeur que l'aviateur militant des solutions innovantes en terme d'économie d'énergie. Il a fait une démonstration éclatante avec l'avion solaire... Désormais , il parcourt le monde pour promouvoir à travers l'initiative l'Alliance pour les technologies propres toutes les idées intéressantes. Et celle d'Antoine Meffre, créateur de l'entreprise Ecotech ceram en fait partie. Le principe est de réutiliser la chaleur des fours d'usine, évacuée généralement par des cheminées et donc perdue pour l'emmagasiner et ensuite la redistribuer. Un circuit fermé, vertueux, au coeur de la Loi sur la transition énergétique de 2015. L'objectif est de baisser de 50% notre consommation d'ici 2050, notamment par l'efficacité énergétique.

Déjà trois prototypes testés

De l'idée de laboratoire à l'installation de la première unité, l'essentiel du chemin a déjà été parcouru par Ecotech Ceram. Trois prototypes ont été testés pour des fumées allant de 250 et 900 degrés. La chaleur récupérée (celle des torchères qu'on voit sur les sites pétrochimiques ou celles des aciéries) , est envoyée vers un conteneur. Ce conteneur type maritime est rempli avec 20 tonnes de briques réfractaires en céramique, elles-mêmes issues de matériaux recyclés. Les briques en captant la chaleur vont se charger, un peu comme une pile puis la restituer... Soit directement en chaleur, soit en courant, en vapeur ou même en froid. C'est d'ailleurs pour refroidir un entrepôt de fruits et légumes que la toute première installation sera implantée l'an prochain près de Perpignan en Occitanie, région qui a soutenu depuis le début ce projet innovant.


Adapté à l'industrie lourde


Avec cette technologie et 1 conteneur, il est possible de valoriser 10% de l'énergie gaspillée, avec 2 conteneurs 20%. Parmi les industries potentiellement intéressées, celles qui utilisent des fours pour fabriquer leur produite: la sidérurgie, les industriels du verre, de la céramique, les fonderies, les cimenteries .

Le secteur des énergies renouvelables est une autre cible. Face au défi du stockage de l'énergie, il faut parvenir à lisser la production et la consommation. Faire en sorte que les sources intermittentes type solaire ou éolien puissent compléter intelligemment le parc nucléaire ou l'hydroélectrique. Toute la problématique est là: économiser l'énergie en maîtrisant le mieux possible son stockage et sa distribution. L’intérêt de l'innovation ECOSTOCK c'est aussi de limiter les pertes lors du transport. Le conteneur perd peu. Surtout ,il est mobile. Posé sur une remorque, on peut le déplacer et le raccorder là où sont les besoins. Enfin, plus le nombre de charges/décharges est important, moins le prix du kilowatt/heure produit est cher.

Outil de la transition énergétique

C'est un complément de notre réseau national basé en grande partie sur le parc nucléaire. Désormais vont se multiplier les sources locales de production. Chez l'habitant, sur un site industriel. L'idéal serait de ne pas avoir à transporter l'énergie sur de trop longues distances pour éviter les déperditions. Produire localement, consommer localement . On gagne en efficacité énergétique. C'est d'ailleurs avec le principe du mix que les producteurs d'énergie vont pouvoir jouer sur le marché énergétique et garantir le meilleur tarif. Plus que les industriels à qui il est difficile de demander de revoir leur système d'alimentation en énergie, ce sont eux qui feront les investissements pour tirer profit de ces innovations technologiques. Selon Stanislas Dupré, plutôt que de confier à sa banque son argent, mieux vaut investir dans le secteur énergétique durable. On améliorer notre bilan carbone.

Source France Inter

14/12/2017

Innovation. La maison 3D Yrys de Maisons France Confort avance

À Alençon, Concept Yrys, la maison écologique du futur de Maisons France Confort, prend forme.

Concept Yrys, c’est une maison bourrée d’innovations que le groupe Maisons France Confort construit près de son siège social à Alençon. Ce jeudi, une visite du chantier a été proposée à des journalistes de la presse professionnelle nationale. En présence de plusieurs partenaires experts.

« Sans ces poteaux, le plancher nous tombe sur la tête. » Ces quatre piliers, à la forme poétique de troncs d’arbres entrelacés, sont des éléments structurants extérieurs de Concept Yrys, la maison du futur que l’entreprise Maisons France Confort (MFC) construit à Alençon. « Des poteaux fabriqués en impression 3D béton, près de Paris », précise Hervé Chavet, directeur technique et recherche & développement.Le fruit d’une innovation qui associe les savoir-faire des sociétés françaises Lafarge, XtreeE et MFC.

Jeudi, les responsables de MFC ouvraient les portes du chantier de Concept Yrys. L’occasion de montrer l’avancée rapide des travaux et de dévoiler quelques premières innovations en présence de partenaires experts.« La construction commencée en mai progresse bien, explique Loïc Vandromme, directeur du marketing et de la communication. Nous sommes même un peu en avance. »

« En juin 2018, la maison sera finie », annonce Hervé Chavet. À temps pour le centenaire de cette entreprise familiale créée en 1919.Le projet Concept Yrys n’est pas le premier porté par MFC. En 2012, une maison prototype a été édifiée près de Lyon. « En 2014, nous avons présenté notre nouvelle idée à nos partenaires, en tirant les enseignements de la première expérience », souligne Hervé Chavet. Deux années ont ensuite été consacrées aux études. « Nous sommes plus de 60 à 70 personnes à avoir phosphoré sur ce projet. »

Source Ouest France par Fabienne GÉRAULT

Vandersanden and Joseph Bricks join forces

On 21 August 2017, Vandersanden signed an agreement with Wim Heylen and Matthieu van den Berg, the founders of Joseph Bricks, to add Joseph Bricks to its family of Belgian companies. The Vandersanden Group is strengthening the capital structure of Joseph Bricks, taking on the operational management and worldwide sales of ECO brick slips.
The pressed facing brick slips from Joseph Bricks ideally complement the cut slips that Vandersanden already produces itself. Both sustainable brick slips are suitable for facades and wall facing.

 “We were working on implementing the production of ECO brick slips in our Spouwen factory, using a similar pressing process that we developed ourselves,” Jean-Pierre Wuytack, CEO of Vandersanden Group explains. He adds: “Instead of further expanding our own manufacturing operations in Spouwen, we soon reached an agreement to integrate Joseph Bricks into the Vandersanden Group.”

The Joseph Bricks factory in Maasmechelen is still in the start-up phase. The new technological ECO hand-moulded slip press developed by De Boer will come into service in September. So far, almost thirty colours that conform to the ‘Petersen’ Waterstruck Table Press process have been developed, giving the brick slips an authentic appearance.

From 2018, the extensive range of waterstruck and hand-moulded ECO brick slips will be distributed worldwide.

Source Ziegelindustrie International

13/12/2017

8ème édition des Terroirs de TERREAL : l’entreprise Monteil Masmalet reçoit le prix Coup de Cœur du Jury dans la catégorie Maison Paysanne pour la rénovation d’une ancienne couverture en lauze en Corrèze (19)

Suresnes, le 22 novembre 2017 – La 8ème  édition des « Terroirs de TERREAL » organisée par TERREAL, acteur incontournable du marché des tuiles de patrimoine en France, s’est tenue le 9 novembre dernier au Musée des Arts Forains à Paris. Véritable temps fort pour la sauvegarde de l’héritage architectural français, le concours met à l’honneur sept professionnels de la couverture et leurs réalisations.

En partenariat avec Maisons Paysannes de France, association nationale reconnue d’utilité publique pour la sauvegarde du patrimoine rural bâti et paysager, les Terroirs de TERREAL ont décerné à la SARL Monteil Masmalet le prix Coup de Cœur du Jury dans la catégorie Maison Paysanne pour ce chantier de rénovation atypique en lauze et tuiles en terre cuite.

Sinistrée par un incendie, les 180 m² de couverture de cette bâtisse construite en 1880 ont dû être restaurés. Le choix s’est alors porté sur la tuile Bocage Bastide : son format 20*30 cm et son coloris vieux toit foncé typique de la région lui ont redonné une seconde vie.

Le jury, composé de professionnels, a tenu à récompenser cette mise en œuvre hors du commun entre la lauze et la tuile plate, ainsi que le travail de finition sur le faitage et les arêtiers scellés au mortier.

Les Terroirs de TERREAL, un concours pour mettre en valeur le patrimoine architectural français

Attribués par un jury de professionnels du Patrimoine, selon des critères de sélection portant sur la technicité, l’esthétique et le respect du patrimoine architectural local, les prix Terroirs de TERREAL ont pour vocation de valoriser les travaux de réhabilitation des toits patrimoniaux de nos régions et les professionnels qui les réalisent.

Le concours Terroirs de TERREAL s’inscrit dans la démarche du Groupe de développement de produits dédiés à la rénovation dans le respect des traditions architecturales de chaque région, tels que les gammes de tuiles Pommard (déclinaisons multiples), Bastide (Sud-Ouest et Périgord) ou encore Canalaverou (côte Atlantique). Il fait aussi écho à l’engagement RSE du Groupe qui consiste notamment à accompagner les communautés et les territoires à travers la protection de la ruralité et de l’identité de nos régions. Ainsi, avec ses tuiles de tradition et l’expertise des couvreurs, TERREAL contribue à la sauvegarde de la richesse de notre patrimoine.

Source Wellcom

Erlus AG: € 106 million revenues for 2016

In 2016, Erlus AG realized sales proceeds totalling approx. € 106.3 mill (after € 110.1 mill. in 2015).


For the fifth year in a row, the number of employees at the Erlus locations in Neufahrn and Ergoldsbach in Lower Bavaria and in Teistungen, Thuringia, remained extensively constant at 523.



Source Ziegelindustrie International

12/12/2017

BREVET MONIER/ NEW ROOFING TILE WITH ENHANCED SURFACE DURABILITY AND PROCESSES FOR MANUFACTURING THE SAME

The invention provides a roofing tile comprising: (a) a substrate; and (b) a coating disposed on said substrate, said coating resulting from hydration and hardening of a mixture comprising a hydraulic binder, said hydraulic binder comprising at least 60% by weight of a source of calcium aluminate and no more than 1% by weight of sulfate. The invention also provides methods for making the tile. Durability, acid resistance and freeze-thaw resistance are enhanced due to formation of a dense layer of hydrated alumina (AH 3 ) gel that fills the pores at the surface exposed to environmental impact.


  • Signet HUE029971 (T2)  
  • Inventeur(s) DRECHSLER ANDREAS [DE]; KLEIN JUERGEN [DE]; YZIQUEL FLORENCE [DE]; CHEN JEFFERY [FR]; FOURDRIN EMMANUEL [FR] +
  • Demandeur(s) MONIER ROOFING GMBH [DE] +
  • Numéro de demande HUE06290304 20060223 



NOUVELLE DIRECTION À LA TÊTE DE KELLER

Pour mener à bien les futurs challenges de sa Division Keller, Legris Industries renforce l’équipe de management en nommant Uwe Hartmann, Président Directeur Général, et Stefan Reichert, Directeur Général.

Uwe Hartmann, qui a rejoint Keller en 1999, a piloté avec succès le développement de l’activité MSR de Keller spécialisée dans l’automatisation (IAS – Intelligent Automation Solutions) et les équipements de mesure industrielle (ITS – Infrared Thermometer Solutions). Sa connaissance approfondie des marchés internationaux, combinée à une forte intimité clients et de solides compétences techniques ainsi qu'un leadership reconnu, lui permettront de structurer et d'accélérer le développement rentable de Keller.

Stefan Reichert est entré chez Keller en 2012 en tant que Responsable Juridique (General Counsel) et a dirigé le Service Juridique de la Division Keller. Fortement impliqué dans le déploiement business, sa compréhension des besoins du marché et des clients, combinée à son expertise en développement organisationnelles, lui permettront de mettre en place et de soutenir une équipe de management efficace et de représentant l'entreprise en tant que partenaire de confiance.

Keller a réalisé un chiffre d’affaires de 74 M€ en 2016 (65 % hors zone Euro) et est l’un des leaders mondiaux dans l’Ingénierie de la Terre Cuite. Le Groupe Legris Industries soutient le développement de Keller par des investissements ciblés afin d'accroître les parts de marché de sa Division, de pérenniser son expertise mondialement reconnu ainsi que sa R&D.

Dans une déclaration commune, Uwe Hartmann et Stefan Reichert indiquent : « Keller est une entreprise de premier plan avec de fortes compétences et des collaborateurs engagés. Notre objectif est de renforcer la compétitivité de nos clients historiques et de continuer à développer le succès de Keller ».

A propos de Keller : Keller (Keller HCW GmbH et Morando srl), Division du Groupe Legris Industries, est spécialisée en équipements automatisés pour l’industrie de la Terre Cuite – et autres industries similaires – et en ingénierie d’usines complètes pour la production de matériaux de construction (briques et tuiles).

Source Keller

11/12/2017

Wienerberger - Brick award 2018: la liste des nominés publiée !

Créé en 2004, les Wienerberger Brick Award sont un concours d’architecture bisannuel récompensant les exemples les plus remarquables de réalisations architecturales modernes et innovantes en brique. En 2018, Wienerberger organise pour la huitième fois cette manifestation de renommée internationale.

La liste des 50 projets nominés pour les Brick Award 2018 est désormais connue.

  • 4 projets français font partie de la sélection.
  • Près de 600 projets venus de 44 pays différents ont été envoyés.
  • La liste des gagnants sera annoncée durant la cérémonie de remise des prix organisée en mai 2018 !
  • Jury Brick Award 2018



Un concours comprenant 3 temps forts :
• Une première étape désignant les 50 meilleurs projets sélectionnés par un jury composé d’architectes et de journalistes spécialisés en architecture.
• L’élection finale des 5 lauréats, comprenant 1 gagnant par catégorie plus un Grand prix. Ces prix sont décernés par un jury indépendant composé de 5 célèbres architectes de renommée internationale avec, pour cette édition 2018, la présence d’un architecte français dans le jury.
• La publication d’un livre référencé dans le monde de l’architecture intégrant les
50 projets sélectionnés et vendu en librairie.

Découvrez les 50 projets nominés ! www.brickaward.com

Source Wienerberger

AMT-SPECAVIA builds Europe's first habitable 3D printed building

AMT-SPECAVIA, a Moscow-based group of machining and 3D printing companies, says it has built Europe’s first habitable 3D printed house. The residence, located in Yaroslavl and reportedly spanning almost 300 square meters, may also be Europe’s largest 3D printed building.


It’s been around two years since AMT-SPECAVIA, a group specializing in construction additive manufacturing, started work on a livable 3D printed house in Yaroslavl, Russia. And although “livable house” might sound like a tautology, it was actually a highly ambitious project when you consider the current state of architectural 3D printing.

Because while 3D printing in the construction industry is a hot talking point right now, even the most advanced companies in the field have struggled to create buildings that are large enough or strong enough to be considered habitable.

Many predict that large, 3D printed apartment blocks will appear sooner rather than later, but at present the landscape is scarce. Just browse through our list of 3D printed buildings and construction projects from last year: many of the designs are spectacular, but many were made purely for show.

AMT-SPECAVIA wanted to do things differently, by building a residential building that not only grabbed some media attention, but which could actually house a local Yaroslavl family once finished.

“It was important for us to set a precedent—to show in practice that 3D construction technology is working,” commented Alexander Maslov, general director of the AMT-SPECAVIA Group.

Source 3Ders.org

10/12/2017

Uzès : des "Histoires d’argile" à découvrir au musée Borias

Uzès : des "Histoires d’argile" à découvrir au musée Borias Brigitte Chimier conservatrice du musée Borias

Au musée municipal Georges Borias, l'exposition "Histoires d'argile autour du Pont du Gard Potiers et tuiliers entre Rhône et Gardon de l'Antiquité au XXe siècle" est prolongée jusqu'au 31 décembre.

De Meynes à Théziers, de Castillon-du-Gard à Fournès, l'argile abondante entre Rhône et Gardon a toujours été exploitée pour fabriquer vaisselle, tuiles, briques, pots de fleurs... Des potiers gallo-romains aux tuileries et briquetteries du 20e siècle, des carrières d'argile aux fours, l'exposition présente l'état des recherches inédites menées par l'archéologue Freddy Thuillier, docteur en archéologie sur l'activité céramique dans ce territoire.

Le musée Georges Borias est installé dans l'ancien palais épiscopal d'Uzès, superbe bâtiment du 17e siècle (monument historique classé), entre ville et garrigue. Créé en 1910 puis considérablement développé à partir de 1945 par Georges Borias, artiste et enseignant, le musée regroupe des collections d'archéologie, d'histoire et d'artisanat, permettant de découvrir le riche passé d'Uzès et de sa région. La poterie de l'Uzège en est un des points forts, avec un bel ensemble de terres vernissées et pipes de Saint-Quentin la Poterie. Toute une salle est dédiée aux productions de la fabrique Pichon (collection Jean-Paul Pichon), toujours en activité à Uzès depuis deux siècles, célèbre pour ses céramiques décoratives en « terres mêlées », spectaculaire mélange d'argiles de différentes couleurs produisant l'effet du marbre ou du jaspe.
Les fameuses armoires d'Uzès, meubles peints typiques de la région au 18e siècle, sont également présentées. Ces collections sont complétées par le fonds consacré à l'écrivain André Gide : la famille Gide était en effet originaire de l'Uzège. Bien qu'il n'y ait fait que de brefs séjours, Gide a si merveilleusement évoqué la petite ville de ses aïeux qu'elle lui devait bien une salle dans son musée, unique au monde. Le musée propose des visites guidées sur réservation, en français, anglais et italien. Un audioguide gratuit (en français et anglais), ainsi que des feuilles d'aide à la visite (en français, anglais et allemand) sont disponibles à l'accueil. Un livret-découverte pour les enfants (entrée gratuite) est proposé gratuitement. Entrée gratuite pour les scolaires.
Ouvert du mardi au dimanche de 14 h à 17h . Contact au 04 66 22 40 23

Source Le Midi Libre

Building Bytes 3D Printed Bricks

It is actually a project that was done about two years ago, but it’s been in Europe. The architect is from Barcelona, but what he did was in the Netherlands. That doesn’t surprise me because the Netherlands has been a hotbed of 3D print activity. In some ways, it’s been ahead of the U.S., especially in the early days of 3D printing.

This is by an architect who created this thing called Building Bytes, as in computer bytes. How geeky. Brian Peters is his name. What he did was modify a 3D printer to produce ceramic bricks for actual building in architecture structures. I’m using “bricks” in quotes because it’s not like he is producing rectangular bricks. He is 3D printing structures. Think of Legos as bricks. It’s not a physical brick. It’s a building block essentially. His are very creative.

He adapted this 3D printer to print ceramic material in an FFF type of process. It has a fairly thick nozzle. The actual dimension was hard to determine. It looks to be an 8-9 mm diameter amount of a tube of ceramic that he is extruding. It’s pretty thick. To build a brick that is your typical thickness of several inches high, it looks like he has 12-16 layers to make it that tall. They print pretty quickly.

Adapted extruder

The cool thing is the shapes. They are structurally interesting. Some of them are interlocking. We are going to have some videos in the blog post. They have YouTube or Vimeo videos available. When you think about the potential and what this really opened up for the architectural field and what they are doing, it’s quite amazing. First of all, they could make customized brick structures. Let’s say you wanted to build something that was a cone shaped structure of a building. You would constantly have changing diameters of bricks as you go up the cone.

Just for a history lesson. The other reason this is interesting to me is because I come from a family of brick masons. My father and his grandfather and his father really built brick chimneys and fireplaces and brick walls and staircases for residential and commercial stuff in New England. I have actually seen it first-hand. One of my hidden skills is I know how to mix cement. Doesn’t that shock you, folks? How often have you used that in your life? Not very much, right? Surprisingly more than I thought I would. Tracy is not really a construction kind of girl. Camping for Tracy is like the Holiday Inn. That seriously is camping though.

Anyway, I do know how to do it, and I did help my dad when I was younger. They would take these bricks, but it was artistic at the same time. I was always fascinated because regular clay bricks have a different quality to them. Some are blacker, some are whiter, they have a quality of color that happens because of how they get baked. Then they would have to brick-lay them, which is the term, so you offset them. They would do something creative where sometimes they would brick-lay them and put a half brick in occasionally or a blackened half brick in. They would do something creative and cool-looking. When you were trying to create a shape where you had to go around a shape of something as you were building a brick wall, which happens in landscape all the time, you had to break the bricks and get creative with how to end it. You had to think about it as you were building it, and it was always fascinating to me that they would be able to make it work out.

I was actually impressed when we were first married and your grandfather was still with us, watching him do a project and how he would break the brick just by striking it with one of his tools. It would break just the way he wanted it. He had probably 40,000 hours at this point in his life of doing bricks because he was in his 80’s. He knew exactly what to do so it would do what he wanted. He had these massive hands, and he was incredibly strong.

Not to take anything away from traditional brick masons, and certainly that is a heck of a trade and a craft that they do. But this is really exciting what this 3D printing of bricks can do. As an architect or designer of any kind, you can plan a structure and then you don’t have to use those same square form of bricks and figure out how to cut them and fit them to the shape. You are creating every single brick in some of these projects that Brian Peters has designed. Every brick is different. They plan it out in the computer and design it, and then they print each brick a little differently.

It’s really cool that you can create this custom-sized, custom-designed, custom-patterned brick and plan it out perfectly. I love the idea of that. Some of the shapes they make are beautiful. Shapes that you really couldn’t make in a traditional brick-making process. Some of the structures, maybe there is more going on in the internal structure that once it is assembled you won’t see. But in other cases, it is absolutely part of the visual that you see. In either case, the reality is you are using less actual ceramic material, and you are creating a geometric structure with these. These bricks can interlock.

Unique interlocking bricks
My other thing about it is this would be such a fun design inspiration project, in small cases. Treat it like a Lego brick. Make a bunch of small ones, and then make really cool forms and shapes. This is something you could easily do and then see how strong you made something. Do it again with a different shape and see how the strength characteristics are. This is a great project really to test your STEAM. This is a great project for education. You are not just 3D printing one complete object. You are thinking about breaking it down into elements. I love it. I think it’s great.

You sent an email over to my dad. You asked him what he thought. I was really surprised that this brick mason old dog… Did you just call my dad an old dog? He is an old dog. Let’s face it. I’m telling him. You will, I’m sure. He doesn’t really listen to the podcast. Oh, he does. You’d be surprised. Ah, well, we’ll find out because he will get me for this one.

The thing is he is a guy who is retired. I would say he is very set in his mind and his ways of how he thinks about things, especially things that are business-related. Of course we should mention that he wasn’t a brick mason his whole life. He started out in the family business, but then he went to college, became an engineer, and built multi-million-dollar pipelines. He went on to be a major corporate manager and engineer with a great business.

But he is very set in his ways about certain things. I frequently have arguments with him about why I want an electric car. Of course he was an oil guy. I fundamentally disagree with some of these things. You can’t come to Sunday dinner anymore.

The point is, he really looked at these videos and at the 3D printed bricks and is like, “Wow. That is pretty cool. There is something there.” He actually respected it, was intrigued by it, and then probed a few more questions because he was genuinely interested in it. I was really pleased to see that.

One of the other things I really want to mention about these bricks, which is an environmental benefit, and that is why I am excited about it, besides the design aspects: This 3D printer is designed to be portable and put on location. You can 3D print the bricks right where they are going to be assembled.

Do you still have to bake them? They didn’t cover that in what I have been reading about it. That was the point your father made. You have to bake them for them to be tremendously strong. I don’t know if there are some structural limitations to these bricks. A lot of the things they have designed have been a lot more artistic and sculptural than they are functional. I don’t know the answer to that. I would agree.

You would need to bake them in order to have that additional strength. A lot of clay bricks are baked outside. They make them, and they are laid out in a big field, and the sun bakes them. They take a lot of time to make them. Most bricks went through a kiln process. I don’t know how they are addressing that issue. But I do like the idea of the customized, unique, one-of-a-kind process in building things with unique bricks and the local building of them all. It just makes a ton of sense. Very exciting to me.

Source 3D Start Point