Les mesures d'adaptation les moins brutales - fin de l'intérim, non-remplacement des départs naturels… - ont déjà été mises en oeuvre dans la filière des matériaux et produits de construction.
C'est un brutal rappel des faits pour les pouvoirs publics, entre panne de la construction neuve et hoquets de la rénovation. En France, après les promoteurs, les entreprises et artisans du bâtiment, la crise risque fort, désormais, de se traduire aussi par un choc social chez les industriels des matériaux et produits de construction.
Source Les Echos par Christophe Palierse